Prolégomènes
Bibliographie
Note liminaire
I. Littérature, communautés culturelles, Montréal
II. Témoignages
III. Les communautés culturelles au Québec
Remerciements
Travaux des membres du groupe de recherche Montréal imaginaire
Parmi les oeuvres récentes faisant une large place à Montréal, Myriam Première de Francine Noël est une des plus sensibles aux modes culturelles. C'est donc sans étonnement qu'on y trouvera diverses remarques sur le nouvel exotisme des années quatre-vingt. François, par exemple, a signé son scénario d'un pseudonyme pour qu'il soit accepté : «Vois-tu, pour le public québécois -- et canadien --, y a rien de mieux que ce qui vient d'ailleurs. J'ai pensé que le jury apprécierait un peu d'exotisme et j'ai signé Franco Soave. Un nom à consonance italienne, c'est très vendeur, en cinéma ![1]» L'intérêt du public pour un ailleurs mythique ne trouve cependant pas à s'exprimer que dans cette Italie cinématographique; il est aussi devenu celui que portent les chercheurs à cet autre venu, à des époques diverses selon les lieux d'origine, enrichir la société québécoise. Celui qui a choisi de s'établir ailleurs n'est certes plus porteur du même exotisme que s'il n'avait pas quitté son lieu d'origine, mais il n'est pas non plus tout à fait comme tout le monde.
La présence des communautés culturelles à Montréal, car c'est elle qui accueille 90 p. 100 des immigrants au Québec, est devenue depuis quelques années un sujet de discussions dans la société. À l'attrait que ressentent pour l'exotisme les personnages de Noël -- attrait qui est également un choix stratégique --, s'est parfois opposée une opinion publique soucieuse d'identité nationale. Des faits divers, quelquefois tragiques, ont obligé la société à s'interroger sur la place qu'elle voulait offrir à des communautés qui ne correspondent pas à ce qu'il est aujourd'hui convenu d'appeler les Québécois «de souche». Cette nécessaire redéfinition des enjeux de la présence de l'autre a donné lieu à quelques rares débats publics, mais aussi à des recherches de divers types sur l'«intégration» ou l'«assimilation» des communautés culturelles. Quelques-unes de ces recherches ont eu pour objet le Montréal littéraire de ces communautés. Avant d'aborder celui-ci, il importe de résumer les recherches littéraires sur l'écriture immigrante, migrante ou minoritaire et de les situer dans le contexte plus large des études en sciences humaines. Il sera alors possible de voir où s'inscrit la critique littéraire dans la réflexion actuelle et quelles sont les avenues qui s'ouvrent à elle.
Dans un ouvrage paru en 1983 et intitulé les Études ethniques au Québec. Bilan et perspectives, Gary Caldwell déplorait l'absence de tradition dans ces études et le manque de pensée théorique dont elles faisaient preuve : «dans la représentation intellectuelle que la société québécoise se fait d'elle-même, la question ethnique vient à peine d'émerger[2]». Ces constatations ne sont plus tout à fait justes aujourd'hui, les monographies ethnohistoriques sur les communautés culturelles s'étant multipliées depuis la parution du livre de Caldwell (voir la troisième partie de notre «Bibliographie»), mais il reste que le statut de ces études n'est pas sans continuer à poser des difficultés, et ce jusque dans la façon de désigner ces autres devenus «minorités visibles». Doit-on parler de «groupes ethniques», comme le fait Caldwell[3] ? De «communautés ethniques[4]» ? D'«ethnies[5]» tout simplement ? De «communautés culturelles» (comme nous avons décidé de le faire ici), puisque le gouvernement du Québec a un ministère des Communautés culturelles et de l'Immigration ? De Néo-Québécois ? Faut-il distinguer les «Québécois ethniques» des «autres Québécois», tel que le fait Régine Robin, les Québécois d'arrivée récente ne faisant pas partie du premier groupe, mais bien plutôt du second[6] ? Faut-il créer un nouvel adjectif, «allochtone» par exemple[7], à partir de l'habituel «allophone» ? Montréal est-elle une ville pluriethnique ou multiethnique ? Pluriculturelle ou multiculturelle ? En quoi la «culture immigrée» du dramaturge italo-québécois Marco Micone se distingue-t-elle de la «transculture» des gens de la revue Vice versa[8] ? La façon de nommer les communautés non francophones est lourde de signification en ce qu'elle oblige à réfléchir à la nature de ces groupes eux-mêmes[9].
Ceci est d'autant plus vrai que toutes les communautés culturelles québécoises ont leur spécificité. Elles ont leur histoire et leurs lieux, parfois leur langue; elles se trouvent toujours devant la nécessité de se définir par rapport à une majorité tantôt anglophone, tantôt francophone, souvent faite d'un délicat mélange des deux. Qu'y a-t-il de commun entre la communauté anglophone, la plus anciennement établie et la plus importante linguistiquement, culturellement et politiquement, et la communauté sud-asiatique d'implantation toute récente ? La première peut aujourd'hui publier une anthologie, Montreal mon amour. Short Stories from Montreal[10], dont le plus ancien texte remonte à 1914; ce ne saurait certes être possible pour la seconde. Comment peut-on comparer les oeuvres littéraires des écrivains juifs de Montréal[11], certaines remontant au milieu du XIXe siècle, et celles des Italo-Québécois, qui n'existent comme corpus reconnu que depuis tout au plus vingt ans[12] ? Jusqu'à maintenant, ces questions n'ont été abordées que rarement, et toujours d'un point de vue sociologique. L'étude de la littérature des communautés culturelles -- lorsque cette littérature existe, ce qui n'est pas toujours le cas -- est susceptible d'enrichir la connaissance que la société québécoise a d'elles, et donc d'elle-même.
Dans un article sur «L'aventure transculturelle de Vice Versa ou les métamorphoses des Italo-Québécois de Montréal», le chercheur français Jean-Michel Lacroix déclare que «le Québec a [longtemps] pris tout l'espace et ne s'est pas montré sensible aux écritures élaborées dans le même territoire et produites par des langues et des cultures différentes -- l'anglais d'abord et surtout mais aussi les cultures immigrantes -- haïtienne, italienne, grecque, espagnole[13]». Il est significatif que des recherches entreprises depuis les années quatre-vingt aient tenté de mettre fin à cette carence. La littérature minoritaire (Sherry Simon), la littérature migrante ou immigrante (Pierre Nepveu) et la littérature d'immigration (Simon Harel) sont devenues des objets critiques légitimes au moment où l'identité nationale, référendum oblige, se remettait en cause.
Sherry Simon définit la «perspective minoritaire» dans le prolongement de la réflexion de Deleuze et Guattari sur Kafka (1975); c'est la langue qui occupe la première place quand il s'agit d'«Écrire la différence». Tout comme Nepveu, Simon situe cette littérature par rapport aux autres productions québécoises. Elle rattache ainsi la pratique des écrivains des communautés culturelles dans leur rapport au langage littéraire à celle de Parti pris, de la Nouvelle Barre du jour et des écrivaines féministes : «La question du choix d'un langage littéraire, surtout dans le contexte d'une société multilingue où langue et pouvoir s'associent, est centrale à l'oeuvre. C'est le lieu où se rejoignent le littéraire et le social, l'esthétique et l'éthique[14]». Qu'il s'agisse du problème de la représentation des langues chez le dramaturge anglophone David Fennario et chez Marco Micone, ou de l'éclatement formel des textes de Régine Robin, de Jean Jonassaint et de Dany Laferrière, le choix de la langue «naturelle» et du langage littéraire ne se fait pas toujours de façon identique, mais il est ce qui donne à ces textes leur spécificité : l'écriture minoritaire, pour Simon, naît de la «formulation explicite, à la fois thématique et textuelle, de la différence[15]».
Pierre Nepveu, reprenant des définitions proposées par
Robert Berrouët-Oriol, préfère écriture «migrante»
à écriture «immigrante» : «"Immigrante"
est un mot à teneur socio-culturelle, alors que "migrante" a l'avantage
de pointer déjà vers une pratique esthétique, dimension
évidemment fondamentale pour la littérature actuelle[16]».
Sa lecture des écritures migrantes des années quatre-vingt
cherche à montrer comment elles s'inscrivent dans la littérature
«québécoise» de la même époque.
Selon lui,
La réflexion (psychanalytique, sociologique) de Simon Harel sur la représentation de l'«étranger fictif» dans la littérature québécoise contemporaine, bien qu'elle ne porte pas d'abord sur des écrivains nés à l'extérieur du Québec, devrait malgré tout permettre d'étudier les productions littéraires de ces écrivains. Trois des questions soulevées par Harel semblent particulièrement riches eu égard à l'inscription, dans le corpus traditionnellement reconnu de la littérature québécoise, de cette «littérature d'immigration[17]». L'arrivée en ville est un thème fondateur de toute littérature urbaine : en quoi celle du «migrant de l'intérieur (le Québécois de l'espace rural)», celui qui vient d'un «arrière-monde», diffère-t-elle de celle de l'immigrant venu d'un «arrière-temps»[18] ? Comment l'«étrangeté dans la langue», manifestation d'un plurilinguisme dialogique proprement urbain, est-elle vécue par ceux dont la langue maternelle n'est pas, le plus souvent, la langue véhiculaire de la société québécoise ? Sur le mode de la «confusion» des langues, ou sur celui de leur «traversée» ? La forte fragmentation de l'espace montréalais, enfin, détermine divers types de «dynamique spatiale du déplacement[19]» : celle de l'«écrivain multiculturel» est-elle de l'ordre de la «réappropriation mimétique» ou de la «sédimentation toujours instable de [la] figure de l'étranger[20]» ? Encore une fois, la littérature des communautés culturelles ne saurait être interprétée indépendamment du reste du corpus québécois.
Simon et Nepveu n'avaient pas le projet de décrire le Montréal littéraire des communautés culturelles, bien que certaines de leurs remarques aient pu avoir pour effet de mieux saisir la ville dans les textes; Harel, dont la réflexion portait essentiellement sur le cosmopolitisme dans le roman montréalais, se consacrait surtout à des écrivains nés au Québec : tous trois permettent néanmoins d'aborder ce Montréal littéraire dans une perspective renouvelée. Par son travail sur les langues et les langages, comme sur les espaces et leur ségrégation, la littérature montréalaise des communautés culturelles parle d'elle-même et des communautés où elle naît, et elle interroge la littérature québécoise à tous les niveaux de son fonctionnement : historique, social, institutionnel, esthétique. C'est aussi vrai de la littérature canadienne de langue anglaise.
Les langues et les langages, dans leur relation à la ville littéraire, ont fait l'objet de peu d'études jusqu'à maintenant. Pierre Anctil (1984[21]) a montré, à la suite de David Rome, que la présence de deux langues à Montréal a permis au yiddish de s'y implanter : une troisième langue a trouvé son lieu à côté des deux premières. Le yiddish n'a toutefois guère servi à exprimer le Montréal juif (voir Melançon 1988). Peter Brigg (1977) s'est intéressé à Combat Journal for Place d'Armes. A Personal Narrative (1967) de Scott Symons : pour le narrateur de ce roman expérimental, l'identité canadienne se fonde à la fois sur la culture et la langue françaises et sur certains lieux du Vieux-Montréal. Dans sa réflexion sur la littérature québécoise, Régine Robin (1989) situe une de ses propres nouvelles par rapport au statut des langues au Québec afin de donner un exemple de cette «écriture nomade» qu'elle appelle de ses voeux. Un des aspects déterminants du cosmopolitisme romanesque est, selon Simon Harel (1989b), l'«étrangeté dans la langue». Que les autres critiques n'aient pas interrogé plus à fond la question linguistique étonne, eu égard au statut socio-politique de celle-ci et au fait qu'elle est largement thématisée dans les oeuvres. Ainsi, personne ne semble s'être interrogé sur le fait que dans la très grande majorité des romans anglophones sur Montréal les phrases en français sont transcrites fautivement et l'anglais des personnages francophones est incorrect : dans cette ville très souvent perçue comme coupée en deux, l'usage de la langue de l'autre est vécu sous le signe de l'incapacité. Montréal n'est pas qu'un amalgame de quartiers et de villes déchiré par les querelles linguistiques; c'est aussi un texte où deux langues s'affrontent à armes inégales, où le métissage et l'hybridation dont parlent plusieurs critiques s'écrivent sous le signe de l'incompréhension.
Les lieux montréalais dans les productions des communautés culturelles ont été, pour leur part, largement analysés. Les études de Barbara Godard (1976), de Jacques Leclaire (1985) et d'Antoine Sirois (1977 a et b) sur le Mont-Royal, de Simone Vauthier sur le port (1985), de Peter Brigg sur la Place d'Armes (1977), de Monique LaRue et Jean-François Chassay (1989) et de Yannick Resch (1985) sur les différents espaces montréalais, de Jean-François Chassay (1984) sur la Pointe-Saint-Charles de David Fennario, complètent la carte du Montréal littéraire qu'avait entreprise Antoine Sirois en 1968. La forte ségrégation des espaces dans la fiction est soulevée par la plupart des commentateurs (comme des créateurs d'ailleurs). Quelques-uns lui ont consacré des études spécifiques : Michael Greenstein a décrit le ghetto juif (1981), Simon Harel s'est interrogé sur les marges de la ville chez Jean Basile (1989a), et nous nous sommes penché sur la figure du ghetto dans les littératures juive anglophone, francophone et italo-québécoise (à paraître). Au moment où l'espace du roman, écrit Gilles Marcotte, est «livré à la mobilité[22]», ce morcellement est révélateur d'une autre façon d'habiter le milieu urbain. Le «rapport à l'ici» (Nepveu) passe toujours par la volonté d'appropriation de l'espace, sa topographie et son éclatement, le cadastre et le parcours[23].
Plusieurs champs restent à explorer. Peu d'études, sauf celle de Madeleine Frédéric (à paraître), abordent les rapports de Montréal avec d'autres grandes villes dans les textes produits par les communautés culturelles. Si quelques oeuvres dramatiques (Fennario, Micone) sont lues, rares sont les poètes sur lesquels on a travaillé, à l'exception d'A.M. Klein, auquel la Revue d'études canadiennes a consacré un numéro (1984); c'est le récit qui reste le genre le plus populaire auprès des commentateurs. Dans le domaine de l'analyse institutionnelle, dont l'apport à la compréhension du Montréal littéraire ne serait pas négligeable, presque tout est à faire[24]. Si certaines communautés sont bien traitées dans le corpus critique -- les anglophones (voir Kattan 1961 et 1980, et Stratford 1982), les Juifs et, dans une moindre mesure, les Italo-Québécois --, d'autres restent à découvrir, les Haïtiens et les Sud-Américains, entre autres. Les premières études sur Montréal dans la littérature ont souvent été comparatives et mettaient en parallèle ses images au Canada français et au Canada anglais (Edwards 1969, Sirois 1968 et 1976, Thompson 1967). Au moment où la représentation de la ville se pose avec acuité chez les «Québécois pure laine d'adoption[25]», la pratique d'un tel comparatisme, mais sur de nouveaux objets, pourrait permettre de mieux saisir le Montréal imaginaire en train de se constituer.
La bibliographie est divisée en trois parties. Dans la première («Littérature, communautés culturelles, Montréal»), nous avons rassemblé et commenté les textes critiques publiés en livres ou en revues, ainsi que les mémoires et thèses, portant spécifiquement sur la présence de Montréal dans les productions littéraires des communautés culturelles québécoises. Les textes qui ne font que des allusions à cette question, ou qui l'abordent dans une perspective qui n'est pas d'abord littéraire, n'ont pas été retenus. Ont été également exclus les articles de journaux, les brochures et les oeuvres de fiction. La deuxième partie est constituée de recueils de «Témoignages» de représentants des communautés culturelles montréalaises : plusieurs de ces témoignages portent sur Montréal ou sur les pratiques culturelles de ces communautés. «Les communautés culturelles au Québec. Quelques livres et numéros de revue» regroupe enfin une sélection de travaux en sciences humaines (sociologie, géographie, ethnologie, anthropologie, etc.). Signalons qu'en 1983 Gary Caldwell a présenté de façon synthétique les Études ethniques au Québec. Bilan et perspectives (Québec, Institut québécois de recherche sur la culture, coll. «Instruments de travail», 8, 1983, 106 p.), sans cependant aborder les pratiques culturelles. Les mémoires et thèses, fort nombreux, n'ayant pas été retenus dans la troisième partie de la bibliographie, on lira la Bibliographie des thèses et des mémoires sur les communautés culturelles et l'immigration au Québec de Jacques Perron (Québec, ministère des Communautés culturelles et de l'Immigration, 1983, 43 p.), le «Répertoire des recherches en cours dans les universités québécoises sur les communautés ethniques et l'immigration au Canada» d'Agnès Beaulieu (Sociologie et sociétés, 15 : 2, octobre 1983, p. 167-174) et les bibliographies des articles du numéro récent de la Revue internationale d'action communautaire intitulé «Villes cosmopolites et sociétés pluriculturelles» (21/61, printemps 1989). De plus, on consultera avec bénéfice la collection complète des revues Collectif Paroles, Dérives, Humanitas, Interculture, la Parole métèque, Triptyque et Vice versa. Dans la première section de la bibliographie nous visons à l'exhaustivité, mais les deux suivantes sont sélectives. Rappelons enfin que cette bibliographie n'est pas celle de l'image de l'étranger dans la littérature québécoise. Montréal comme lieu d'édition a été omis des adresses bibliographiques.
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Nous tenons à remercier le Conseil de recherches en sciences humaines du Canada (qui subventionne le projet de recherche Montréal imaginaire des professeurs Gilles Marcotte et Pierre Nepveu) pour son aide dans la préparation de cette bibliographie. Nos remerciements vont également à Marie Malo, Pierre Nepveu et Pierre Popovic pour avoir accepté de lire une version préliminaire de notre manuscrit, et à Michel Biron pour ses indications bibliographiques sur le Montréal anglophone et le Montréal juif.
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abrégée de ce texte a paru sous le titre «De la ville
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Trois, Actes du Colloque de 1990 sur le Montréal
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