Recherche sur l'opinion publique auprès de petits producteurs pour appuyer les communications sur la peste porcine africaine - Rapport final

Préparé pour l'Agence canadienne d'inspection des aliments

Nom du fournisseur : Earnscliffe Strategy Group
Numéro du contrat : 39903-210590/001/CY
Valeur du contrat : 129 699,47 $ (y compris la TVH)
Date d'attribution : 4 décembre 2020
Date de livraison : 26 mars 2021

Numéro d'enregistrement : ROP-069-20
Pour de plus amples renseignements sur ce rapport, veuillez communiquer avec l'ACIA à l'adresse suivante : cfia.enquiriesarchive-archivedemandederenseignements.acia@inspection.gc.ca

This report is also available in English.

Recherche sur l'opinion publique auprès de petits producteurs pour appuyer les communications sur la peste porcine africaine

Préparé pour l'Agence canadienne d'inspection des aliments
Nom du fournisseur : Earnscliffe Strategy Group
Mars 2021

Ce rapport de recherche sur l'opinion publique présente les résultats des groupes de discussion, du sondage téléphonique et du sondage en ligne menés par Earnscliffe Strategy Group au nom de l'Agence canadienne d'inspection des aliments. La recherche a été menée de janvier à mars 2021.

This publication is also available in English under the title: Public opinion research with small scale producers to support communications on African swine fever

Cette publication peut être reproduite à des fins non commerciales seulement. Une autorisation écrite préalable doit être obtenue de l'Agence canadienne d'inspection des aliments. Pour de plus amples renseignements sur ce rapport, veuillez communiquer avec l'Agence canadienne d'inspection des aliments à l'adresse suivante : cfia.enquiriesarchive-archivedemandederenseignements.acia@inspection.gc.ca ou :

    Agence canadienne d'inspection des aliments
    1400, chemin Merivale
    Ottawa (Ontario) K1A 0Y9

Numéro de catalogue : A104-206/2021F-PDF

Numéro international normalisé du livre (ISBN) : 978-0-660-38838-0

Publications connexes (numéro d'inscription) : ROP-069-20

A104-206/2021E-PDF (Rapport final, anglais)
978-0-660-38837-3

© Sa Majesté la Reine du chef du Canada, représentée par la ministre de la Santé, 2021

Table des matières

Sommaire

But et objectifs

Earnscliffe Strategy Group (Earnscliffe) a le plaisir de présenter ce rapport à l'Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA) sur les résultats de la recherche menée auprès des petits producteurs de porcs et des propriétaires de porcs afin d'éclairer les communications futures sur la peste porcine africaine (PPA).

La PPA pose un risque important pour la santé des troupeaux de porcs du Canada, l'industrie du porc et l'économie canadienne. Cette maladie virale, bien qu'elle ne constitue une menace que pour les porcs, est très contagieuse et peut se propager rapidement par contact direct ou indirect avec des porcs ou des produits porcins infectés, ainsi qu'avec l'équipement agricole. Afin d'atténuer les risques de la peste porcine africaine au Canada, le Centre national des opérations d'urgence pour la PPA de l'ACIA a examiné les voies d'introduction possibles de la maladie au Canada. Le Centre a identifié les agriculteurs dont les pratiques de biosécurité à la ferme sont insuffisantes et ceux qui pourraient nourrir les porcs avec du porc ou des produits porcins comme point d'entrée possible.

Pour réduire le risque de PPA au Canada, l'Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA) a l'intention de communiquer avec les petits producteurs de porc et les agriculteurs amateurs pour les informer du risque de PPA et de protéger les porcs du Canada en encourageant des pratiques de biosécurité à la ferme plus rigoureuses. L'ACIA doit s'appuyer sur une recherche pour étayer ses efforts visant à renforcer les pratiques de biosécurité et à protéger l'industrie canadienne du porc. La recherche servira à éclairer les communications futures avec les petits producteurs de porc et les propriétaires de porcs sur la PPA et d'autres questions semblables.

Les objectifs de recherche particuliers de cette étude étaient les suivants :

La valeur totale du contrat de recherche est de 129 699,47 $, y compris la TVH.

Méthodologie

Pour atteindre ces objectifs, Earnscliffe a mené un programme de recherche en 2 volets. Le programme de recherche commençait par un sondage à deux modes :

Au total, 355 petits producteurs de porcs (56) et propriétaires de porcs sans entreprise agricole enregistrée (299) ont été interrogés. Le sondage a été mené en collaboration avec notre sous-traitant quantitatif, Léger Marketing. Les petits producteurs de porc ont été interrogés par téléphone à partir du centre d'appel virtuel de Léger, à l'aide de leur système d'interview téléphonique assistée par ordinateur de pointe. Léger a tiré l'échantillon de la liste d'entreprises agricoles enregistrées de Dun & Bradstreet. Les propriétaires de porcs sans entreprise agricole enregistrée ont été interrogés en ligne au moyen du panel exclusif de Léger. Les entrevues téléphoniques ont eu lieu entre le 29 janvier et le 2 mars 2021, et la durée moyenne des entrevues a été de 25 minutes. Les entrevues en ligne ont eu lieu entre le 8 février et le 8 mars 2021, et la durée moyenne des entrevues était de 9 minutes. En raison du manque d'information sur la taille et le profil des environnements échantillonnés, les données n'ont pas été pondérées.

Le deuxième volet portait sur des données qualitatives et comportait une série de 20 entrevues avec des petits producteurs de porc qui n'appartiennent pas à des associations nationales ou provinciales de producteurs de porc. 15 des entrevues ont été menées en anglais et 5 en français. 13 entrevues ont été menées par téléphone et 7 par Zoom. Les entrevues ont duré environ 30 minutes. Les participants ont été recrutés à partir de la liste d'entreprises agricoles enregistrées de Dun & Bradstreet. Les entrevues ont eu lieu du 16 février au 4 mars 2021.

Il est important de noter que la recherche qualitative est une forme de recherche scientifique, sociale, stratégique et sur l'opinion publique. Ce type de recherche n'est pas conçu pour aider à atteindre un consensus ou à prendre des décisions, mais plutôt pour obtenir la gamme complète d'idées, d'attitudes, d'expériences et d'opinions d'un échantillon sélectionné de participants sur un sujet défini. En raison du petit nombre de participants en cause, on ne peut s'attendre à ce qu'ils soient entièrement représentatifs sur le plan statistique de la population plus vaste d'où ils proviennent, et les constatations ne peuvent être généralisées de façon fiable au-delà de leur nombre.

Principales constatations

Cabinet de recherche

Earnscliffe Strategy Group Inc. (Earnscliffe)
Numéro du contrat : 39903-210590/001/CY
Date d'attribution du contrat : 4 décembre 2020

Je certifie par la présente, à titre de représentant d'Earnscliffe Strategy Group, que les produits livrables finaux sont entièrement conformes aux exigences de neutralité politique du gouvernement du Canada énoncées dans la Politique de communication du gouvernement du Canada et dans la Procédure de planification et d'attribution de marchés de services de recherche sur l'opinion publique. Plus particulièrement, les produits finaux ne comprennent pas de renseignements sur les intentions de vote aux élections, sur les préférences de partis politiques, sur les positions vis-à-vis de l'électorat ou sur l'évaluation de la performance d'un parti politique ou de ses dirigeants.

Signé :

Doug Anderson

Date : 26 mars 2021

Doug Anderson
Associé principal, Earnscliffe

Introduction

Earnscliffe Strategy Group (Earnscliffe) a le plaisir de présenter ce rapport à l'Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA) sur les résultats de la recherche menée auprès des petits producteurs de porcs et des propriétaires de porcs afin d'éclairer les communications futures sur la peste porcine africaine (PPA).

La PPA pose un risque important pour la santé des troupeaux de porcs du Canada, l'industrie du porc et l'économie canadienne. Cette maladie virale, bien qu'elle ne constitue une menace que pour les porcs, est très contagieuse et peut se propager rapidement par contact direct ou indirect avec des porcs ou des produits porcins infectés, ainsi qu'avec l'équipement agricole. Afin d'atténuer les risques de la peste porcine africaine au Canada, le Centre national des opérations d'urgence pour la PPA de l'ACIA a examiné les voies d'introduction possibles de la maladie au Canada. Le Centre a identifié les agriculteurs dont les pratiques de biosécurité à la ferme sont insuffisantes et ceux qui pourraient nourrir les porcs avec du porc ou des produits porcins comme point d'entrée possible.

Pour réduire le risque de PPA au Canada, l'Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA) a l'intention de communiquer avec les petits producteurs de porc et les agriculteurs amateurs pour les informer du risque de PPA et de protéger les porcs du Canada en encourageant des pratiques de biosécurité à la ferme plus rigoureuses. L'ACIA doit s'appuyer sur une recherche pour étayer ses efforts visant à renforcer les pratiques de biosécurité et à protéger l'industrie canadienne du porc. La recherche servira à éclairer les communications futures avec les petits producteurs de porc et les propriétaires de porcs sur la PPA et d'autres questions semblables.

Les objectifs de recherche particuliers de cette étude étaient les suivants :

Pour atteindre ces objectifs, Earnscliffe a mené un programme de recherche en 2 volets. Le programme de recherche a commencé par un sondage à deux modes auprès de 56 petits producteurs de porc qui n'appartiennent pas à une association de producteurs de porc et de 299 propriétaires de porcs qui n'ont pas d'entreprise agricole enregistrée et qui n'appartiennent pas à une association de producteurs de porc, menée en collaboration avec notre sous-traitant quantitatif, Léger Marketing. Les petits producteurs de porc ont été interrogés par téléphone à partir du centre d'appel virtuel de Léger, à l'aide de leur système d'interview téléphonique assistée par ordinateur de pointe. Léger a tiré l'échantillon de la liste d'entreprises agricoles enregistrées de Dun & Bradstreet. Les propriétaires de porcs sans entreprise agricole enregistrée ont été interrogés en ligne au moyen du panel exclusif de Léger. Les entrevues téléphoniques ont eu lieu entre le 29 janvier et le 2 mars 2021, et la durée moyenne des entrevues a été de 25 minutes. Les entrevues en ligne ont eu lieu entre le 8 février et le 8 mars 2021, et la durée moyenne des entrevues était de 9 minutes. En raison du manque d'information sur la taille et le profil des environnements échantillonnés, les données n'ont pas été pondérées.

Le deuxième volet portait sur des données qualitatives et comportait une série de 20 entrevues avec des petits producteurs de porc qui n'appartiennent pas à des associations nationales ou provinciales de producteurs de porc. 15 des entrevues ont été menées en anglais et 5 en français. 13 entrevues ont été menées par téléphone et 7 par Zoom. Les entrevues ont duré environ 30 minutes. Les participants ont été recrutés à partir de la liste d'entreprises agricoles enregistrées de Dun & Bradstreet. Les entrevues ont eu lieu du 16 février au 4 mars 2021. Les participants ont reçu une rétribution de 175 $ en guise de remerciement pour leur temps.

Il est important de noter que la recherche qualitative n'est pas conçu pour aider un groupe à parvenir à un consensus ou à prendre des décisions, mais plutôt pour obtenir la gamme complète d'idées, d'attitudes, d'expériences et d'opinions d'un échantillon sélectionné de participants sur un sujet défini. En raison du petit nombre de participants en cause, on ne peut s'attendre à ce qu'ils soient entièrement représentatifs sur le plan statistique de la population plus vaste d'où ils proviennent, et les constatations ne peuvent être généralisées de façon fiable au-delà de leur nombre.

Les résultats détaillés de cette recherche sont présentés dans les sections suivantes de ce rapport. Les rapports sur les groupes de discussion et la méthodologie du sondage, le guide d'entrevue, l'outil de sélection, l'instrument du sondage et les tableaux de données (présentés sous une couverture séparée) sont annexés au présent rapport.

Résultats détaillés

Le rapport qui suit est divisé en 6 sections et présente les résultats quantitatifs et qualitatifs. La première explique l'expérience des répondants en matière d'élevage de porcs. La deuxième décrit en détail leur connaissance des maladies porcines, y compris la PPA. Les troisième et quatrième sections portent respectivement sur la connaissance des mesures de biosécurité et des soins vétérinaires. La cinquième section explique comment les propriétaires de porcs cherchent de l'information sur l'élevage des porcs et leurs méthodes de communication préférées. La dernière section décrit brièvement les réponses à 2 concepts publicitaires mis à l'essai au cours des entrevues qualitatives.

La recherche quantitative a porté sur 2 types différents de propriétaires de porcs : ceux qui ont des exploitations agricoles enregistrées et qui possèdent des porcs (appelés agriculteurs tout au long du présent rapport) et ceux qui ne sont pas des exploitations agricoles enregistrées, mais qui possèdent des porcs (appelés non-agriculteurs). Les 2 profils varient de plusieurs façons, notamment leur niveau d'expérience et le nombre de porcs qu'ils possèdent. Par exemple, près de la moitié (43 %) des agriculteurs ont plus de 20 ans d'expérience en matière d'élevage de porcs. Plus des deux tiers (69 %) des non-agriculteurs ont moins de 5 ans d'expérience. Les agriculteurs sont aussi beaucoup plus susceptibles d'avoir plus de 100 porcs (38 %) tandis que plus de la moitié (52 %) des non-agriculteurs n'ont qu'un seul porc. Par conséquent, l'examen de l'ensemble de toutes les entrevues embrouille les distinctions importantes entre ces 2 segments et, comme l'échantillon n'est pas pondéré, il est plus approprié de maintenir la séparation entre les 2 groupes. Dans les tableaux inclus dans le présent rapport, nous présentons les constatations pour les agriculteurs et les non-agriculteurs séparément. Les différences statistiquement significatives entre les 2 groupes sont indiquées par un astérisque (*) à côté du pourcentage qui est beaucoup plus élevé.

Expérience en matière d'élevage de porcs

Plus du tiers (38 %) des agriculteurs disent garder plus de 100 porcs. Un répondant sur 5 (20 %) en conserve entre 11 et 100. La moitié des non-agriculteurs (52 %) n'ont qu'un seul porc. Un quart (24 %) en possèdent 2 ou 3. La moitié de ceux qui ont plus de 20 ans d'expérience ont plus de 100 porcs, une proportion beaucoup plus grande que ceux qui ont moins d'expérience.

Les agriculteurs ont tendance à avoir plus d'expérience que les non-agriculteurs pour ce qui est des soins aux porcs. La majorité relative (43 %) des agriculteurs ont plus de 20 ans d'expérience en matière de soins aux porcs, comparativement à seulement 2 % des non-agriculteurs. Plus des deux tiers (69 %) des non-agriculteurs ont 5 ans d'expérience ou moins, comparativement à 31 % des agriculteurs.

Les agriculteurs gardent surtout les porcs pour les vendre (48 %) ou pour l'alimentation (46 %). Plus de la moitié des non-agriculteurs élèvent également des porcs pour l'alimentation (57 %), mais ils sont nettement moins nombreux à les vendre pour générer des revenus (13 %). Les non-agriculteurs sont plus susceptibles d'élever des porcs comme passe-temps (30 %) que les agriculteurs (9 %).

La majorité relative (43 %) des non-agriculteurs qualifient leurs connaissances en matière de soins aux porcs comme débutantes. Un tiers (35 %) disent qu'ils sont intermédiaires. Les agriculteurs ont tendance à donner une note plus élevée à leur niveau d'expérience, plus de la moitié (57 %) se disant de niveaux avancé ou expert.

La moitié des agriculteurs (48 %) et des non-agriculteurs (49 %) achètent de nouveaux porcs aux enchères. Parmi les agriculteurs, environ 1 sur 5 acquiert des porcs en ligne (21 %) ou des porcs d'élevage appartenant à quelqu'un d'autre (18 %). Plus d'un non-agriculteur sur 5 (22 %) achète des porcs dans un marché physique.

 

Pièce A1 : Q6 – Au cours d'une année type, combien de porcs en moyenne gardez-vous (ou prévoyez-vous garder) sur votre propriété? Veuillez inclure tous les porcs que vous possédez, que vous élevez ou que vous gardez sur votre propriété. N'incluez pas les porcs sauvages que vous avez vus sur votre propriété.
Nombre de porcs Agriculteurs
n = 56
Non-agriculteurs
n = 299
1 4 % 52 %*
2 à 3 16 % 24 %
4 à 5 16 % 9 %
6 à 10 7 % 4 %
11 à 100 20 % 11 %
Plus de 100 38 %* 1 %

 

Pièce A2 : Q7 – Depuis combien d'années gardez-vous ou prenez-vous soin de porcs?
Nombre d'années d'expérience Agriculteurs
n = 56
Non-agriculteurs
n = 299
Moins de 1 an 13 % 30 %*
1 à 5 ans 18 % 39 %*
6 à 10 ans 9 % 13 %
11 à 20 ans 18 %* 6 %
Plus de 20 ans 43 %* 2 %
Ne sait pas/préfère ne pas répondre - 10 %

 

Pièce A3 : Q8 – Pourquoi possédez-vous des porcs?
Raisons d'avoir des porcs Agriculteurs
n = 56
Non-agriculteurs
n = 299
Nourriture pour moi-même, ma famille ou mes amis 46 % 57 %
Passe-temps 9 % 30 %*
Pour les vendre ou générer des revenus 48 %* 13 %
Animal de compagnie 7 % 15 %*
Utilisé pour le commerce ou l'échange de produits d'autres agriculteurs  5 % 10 %
Prendre en pension les porcs de quelqu'un d'autre  9 % 4 %
Autre 5 % -
Ne sait pas/préfère ne pas répondre - 5 %

 

Pièce A4 : Q9 – Comment évalueriez-vous vos connaissances en matière de soins aux porcs?
Nombre d'années d'expérience Agriculteurs
n = 56
Non-agriculteurs
n = 299
Débutant 16 % 43 %*
Intermédiaire 27 % 35 %
Avancé 41 %* 13 %
Expert 16 %* 3 %
Ne sait pas/préfère ne pas répondre - 6 %

 

Pièce A5 : Q10 – Comment faites-vous pour acquérir de nouveaux porcs?
Provenant des porcs Agriculteurs
n = 56
Non-agriculteurs
n = 299
Vente aux enchères 48 % 49 %
Marché physique 9 % 22 %*
Marché en ligne 21 % 11 %
Acheté directement auprès d'un autre propriétaire/éleveur de porcs 7 % 13 %
J'élève de nouveaux porcs à partir de ceux que je possède 7 % 13 %
Je garde des porcs appartenant à quelqu'un d'autre 18 % 8 %
Autre 9 %* -
Ne sait pas/préfère ne pas répondre 2 % 10 %*

Connaissance des maladies porcines et préoccupations à cet égard

Plus de la moitié des agriculteurs (57 %) ne craignent pas que leurs porcs contractent un virus ou une maladie. Moins d'un répondant sur 5 (16 %) est quelque peu préoccupé et un quart (25 %) est préoccupé. Un tiers des non-agriculteurs (32 %) craignent que leurs porcs contractent une maladie, tandis qu'un autre tiers (35 %) s'en inquiètent quelque peu. Un quart (28 %) ne sont pas inquiets. À l'échelle du pays, c'est au Manitoba et en Saskatchewan que l'inquiétude est la plus grande (42 %), surtout par rapport au Canada atlantique (21 %).

Lorsqu'on leur demande d'évaluer leurs inquiétudes concernant les diverses sources d'infection, les agriculteurs mentionnent craindre surtout que leurs porcs soient infectés par des visiteurs de leur propriété (63 %), suivis par le contact avec des véhicules ou des équipements empruntés, le développement d'une maladie sans transmission connue (38 %) et la consommation par les porcs d'aliments porteurs d'un virus ou d'une maladie (33 %).

Les non-agriculteurs s'inquiètent surtout de voir leurs porcs manger des aliments porteurs d'un virus ou d'une maladie (42 %) ou que leurs porcs développent eux-mêmes une maladie (40 %). Environ un tiers s'inquiètent du fait que les visiteurs de leur propriété propagent une maladie (32 %) et que les porcs contractent une maladie à partir de véhicules ou d'équipement empruntés (31 %).

Éléments qualitatifs : Préoccupation concernant les maladies du porc

Bien que toutes les personnes interrogées aient tendance à donner la priorité au bien-être de leurs porcs, tout comme les résultats de la recherche quantitative, leur niveau d'inquiétude quant à la possibilité que leurs porcs contractent une quelconque maladie était mitigé. Les participants qui n'étaient pas préoccupés par les maladies porcines avaient l'impression d'avoir pris des mesures pour atténuer la maladie. Pour quelques-uns, cela signifiait faire vacciner leurs porcs. D'autres ont mentionné leurs pratiques de nettoyage, le fait que leurs porcs n'entrent pas en contact avec d'autres personnes ou le fait qu'ils leur donnent beaucoup d'espace pour brouter à l'extérieur.

Ceux qui possédaient plus de quelques porcs étaient généralement plus préoccupés que ceux qui en possédaient seulement quelques-uns, mais aussi plus susceptibles d'énumérer une série de mesures de biosécurité précises qu'ils ont mises en place pour prévenir la propagation d'une maladie. Ces mesures comprenaient la mise en quarantaine des nouveaux porcs, la vaccination, porter des vêtements propres avant de s'occuper des porcs et le lavage des véhicules de transport.

 

Pièce B1 : Q15 – Dans quelle mesure craignez-vous que vos porcs contractent un virus ou développent une maladie qui pourrait leur nuire ou causer leur mort? Utilisez une échelle de 1 à 7 où 1 signifie « pas du tout » et 7 signifie « très préoccupé ».
Préoccupation au sujet d'un virus ou d'une maladie contractée par les porcs Agriculteurs
n = 56
Non-agriculteurs
n = 299
Préoccupé (6,7) 25 % 32 %
Quelque peu préoccupé (4,5) 16 % 35 %*
Pas préoccupé (1, 2, 3) 57 %* 28 %
Ne sait pas/préfère ne pas répondre 2 % 5 %

 

Pièce B2 : Q16 – Les porcs peuvent être infectés de différentes manières. Quelles sont les sources d'infection qui vous préoccupent le plus? Sélectionnez toutes les réponses qui s'appliquent.
Sources d'infection Agriculteurs
n = 56
Non-agriculteurs
n = 299
Vos porcs mangent des aliments porteurs de virus et de maladies 33 % 42 %
Apparition d'une maladie ou d'une affection par elle-même (aucune transmission connue) 38 % 40 %
Les visiteurs de votre propriété sont porteurs de virus ou de maladies provenant d'autres exploitations 63 %* 32 %
Contracter un virus en entrant en contact avec de l'équipement ou des véhicules empruntés à une autre ferme 50 % 31 %
Porcs ou sangliers sauvages infectés par un virus qui entrent en contact avec vos porcs 25 % 21 %
Autre. Veuillez préciser 8 % -
Je ne crains pas que mes porcs soient infectés - 4 %

Les deux tiers (66 %) des agriculteurs ont entendu parler de maladies porcines au cours de la dernière année. Parmi ceux qui se souviennent avoir entendu quelque chose au sujet des maladies porcines, la moitié (51 %) des agriculteurs mentionnent la PPA. Les autres mentions comprennent la diarrhée épidémique porcine (16 %), la grippe porcine (11 %) et les maladies respiratoires (8 %).

Moins du tiers (30 %) des non-agriculteurs ont entendu parler de maladies porcines au cours de la dernière année. Parmi ce groupe, seulement 4 % mentionnent la PPA. Près d'un répondant sur 5 (17 %) se rappelle avoir entendu parler de la grippe porcine. Plus du tiers (37 %) des répondants interrogés ne peuvent pas indiquer ce qu'ils ont entendu.

Plus de la moitié (61 %) des agriculteurs disent avoir entendu parler de la PPA. Ils se souviennent le plus souvent avoir entendu dire qu'elle est très contagieuse (24 %), qu'elle peut causer la mort des porcs (26 %) et qu'elle est dangereuse en général (9 %). Moins du tiers (30 %) des non-agriculteurs se rappellent avoir entendu parler de la PPA. Parmi ceux qui se souviennent en avoir entendu parler, environ le tiers (35 %) ne peuvent pas dire exactement ce qu'ils ont entendu ou ne répondent pas. Environ 1 répondant sur 5 (19 %) a entendu dire que la PPA est très contagieuse, tandis que moins de répondants se souviennent avoir entendu dire qu'elle pouvait causer la mort des porcs (12 %), qu'elle était dangereuse (13 %) et qu'elle pouvait causer des problèmes de santé chez les humains (8 %).

La sensibilisation à la PPA est plus élevée au Manitoba et en Saskatchewan (58 %) que dans les autres régions, particulièrement comparativement au Canada atlantique (29 %), au Québec (28 %) et à l'Ontario (31 %). Ceux qui sont très préoccupés par les maladies porcines sont plus susceptibles de se souvenir de la PPA (47 %) que ceux qui sont quelque peu préoccupés (30 %) ou qui ne le sont pas (33 %).

Éléments qualitatifs : Sensibilisation à la PPA

Presque tous les répondants étaient au courant des sources d'infection qui pouvaient affecter leurs porcs, et quelques-uns ont même spontanément nommé la PPA. Lorsqu'on leur a posé des questions précises à ce sujet, environ la moitié avaient entendu parler de la PPA, mais la plupart avaient du mal à décrire la maladie en détail. Ceux qui se souvenaient de la PPA avaient l'impression qu'elle ne s'était pas propagée au Canada et qu'elle était un problème présent à l'étranger, notamment en Chine et en Europe. Les sources d'information sur la PPA étaient très variées. Quelques-uns en ont entendu parler par une association de producteurs de porcs, tandis que d'autres en ont entendu parler dans les journaux (CBC, Journal de Montréal). Un autre a mentionné en avoir entendu parler par un autre propriétaire de porcs sur Facebook.

 

Pièce B3 : Q11 – Au cours des 12 derniers mois, avez-vous vu, lu ou entendu quoi que ce soit au sujet des maladies des porcs?
Se souvient d'avoir entendu parler des maladies porcines Agriculteurs
n = 56
Non-agriculteurs
n = 299
Oui 66 %* 30 %
Non 34 % 63 %*
Ne sait pas/préfère ne pas répondre - 7 %

 

Pièce B4 : Q12 – [Si vous avez entendu parler de maladies porcines] Qu'avez-vous vu, lu ou entendu en particulier?
Sujets liés aux maladies porcines Agriculteurs
n = 37
Non-agriculteurs
n = 90
Peste porcine africaine (PPA) 51 %* 4 %
Grippe porcine (non précisé) 11 % 17 %
Virus/maladies des porcs (non précisés) 11 % 9 %
Diarrhée épidémique porcine 16 % 4 %
Soins/traitements appropriés des porcs - 3 %
Maladie respiratoire 8 % -
Fièvre aphteuse 0 % 2 %
Autre 11 % 27 %*
Ne sait pas/préfère ne pas répondre 14 % 37 %*

 

Pièce B5 : Q13 – Au cours des 12 derniers mois, avez-vous vu, lu ou entendu quoi que ce soit au sujet de la peste porcine africaine (PPA)?
Souvenir sur la PPA Agriculteurs
n = 56
Non-agriculteurs
n = 299
Oui 61 %* 30 %
Non 36 % 60 %*
Je ne sais pas 4 % 10 %

 

Pièce B6 : Q14 – [Si vous avez entendu parler de la ppa] Qu'avez-vous entendu précisément au sujet de la PPA?
Sujets liés à la PPA Agriculteurs
n = 34
Non-agriculteurs
n = 91
Très contagieuse/transmissible 24 % 19 %
Peut causer la mort de porcs 26 % 12 %
En est conscient/dangereux 9 % 13 %
Problèmes de santé/décès chez les humains 0 % 8 %
Grippe porcine (non précisée) 9 % 2 %
Cause de la fièvre 0 % 3 %
Autre (préciser) 15 % 21 %
Je ne me souviens pas 18 % 35 %*

Dans l'ensemble, les répondants ne sont pas convaincus que la PPA pose un risque élevé pour leurs porcs. Seulement 4 % des agriculteurs et 14 % des non-agriculteurs estiment qu'elle représente un risque. Un quart des agriculteurs estiment que la PPA ne pose aucun risque, et 45 % estiment qu'il s'agit d'un faible risque. 13 % des non-agriculteurs estiment que la PPA ne pose aucun risque et un tiers (32 %) estiment qu'elle pose un faible risque. Il convient de noter que ceux qui ont de 11 à 100 porcs sont plus susceptibles de considérer la PPA comme un risque que ceux qui ont 10 porcs ou moins et que ceux qui ont plus de 100 porcs. Par exemple, plus du tiers (37 %) de ceux qui ont 11 à 100 porcs considèrent la PPA comme un risque élevé pour leurs porcs, comparativement à seulement 8 % de ceux qui ont un seul porc et à 13 % de ceux qui ont plus de 100 porcs.

Bien qu'ils ne pensent pas que la PPA pose un risque élevé pour leurs porcs, la moitié (50 %) des agriculteurs pensent qu'il est probable que la PPA soit présente au Canada. Plus du tiers (36 %) pensent que c'est peu probable. Plus du tiers (37 %) des non-agriculteurs pensent que la PPA sera probablement introduite au Canada, tandis que 45 % pensent que c'est peu probable. Les préoccupations au sujet de l'impact de la PPA, si elle arrivait au Canada, sont mitigées. La moitié (50 %) des agriculteurs ne prévoient pas d'impacts importants sur leurs activités porcines si la PPA devait se répandre au Canada, tandis qu'un peu moins (45 %) prévoient des impacts importants ou très importants. La moitié (49 %) des non-agriculteurs ne semblent pas non plus penser que l'introduction de la PPA au Canada aurait un impact sur leurs activités porcines. Un tiers (36 %) prévoit des impacts importants ou très importants. Les répondants ayant entre 11 et 100 porcs et plus de 100 porcs sont les plus susceptibles de s'attendre à des impacts très négatifs (26 % chacun). En comparaison, seulement 8 % de ceux qui ont un seul porc et 10 % de ceux qui ont deux ou trois porcs s'attendent à des impacts très négatifs.

Les agriculteurs semblent un peu mieux préparés à gérer la PPA que les non-agriculteurs. Encore une fois, si l'on considère leur position au cas où la PPA serait introduite au Canada, la moitié (50 %) des agriculteurs sont d'accord pour dire qu'ils connaissent toutes les pratiques exemplaires à la ferme pour empêcher la maladie de se propager à leurs porcs. Un tiers (34 %) des non-agriculteurs sont d'accord.

Bien que la moitié d'entre eux ne s'attendent pas à des impacts importants sur leurs activités, les deux tiers (64 %) des agriculteurs savent que, si la PPA se répandait au Canada, des zones de contrôle et des restrictions de déplacement pourraient être nécessaires. La moitié d'entre eux savent qu'il faudra peut-être suspendre les exportations (50 %) et qu'il faudra peut-être abattre des animaux en bonne santé (48 %). La moitié des non-agriculteurs (53 %) sont au courant de la possibilité d'une suspension des exportations de porcs, tandis qu'un peu moins (45 %) sont au courant de l'imposition possible de zones de contrôle. Un peu moins du tiers d'entre eux savent que des animaux sains pourraient devoir être abattus (31 %).

La grande majorité des agriculteurs (86 %) communiqueraient avec leur vétérinaire si leurs porcs présentaient des symptômes de maladie. Environ la moitié des non-agriculteurs (48 %) communiqueraient avec un vétérinaire. Les non-agriculteurs sont plus susceptibles de communiquer avec le gouvernement local (25 %) et l'ACIA (22 %) que les agriculteurs. Environ la moitié des agriculteurs (59 %) et des non-agriculteurs (51 %) affirment qu'ils savent qu'ils doivent signaler à l'ACIA s'ils soupçonnent que leur porc est infecté par la PPA.

Près de la moitié (46 %) des agriculteurs n'ont pas confiance en la capacité des organismes de réglementation gouvernementaux de contenir la PPA si elle est introduite au Canada. Moins du tiers (30 %) sont plutôt confiants et 20 % sont confiants. La confiance est un peu plus élevée chez les non-agriculteurs. La majorité (44 %) est plutôt confiante, tandis que 29 % sont confiants et 18 % ne sont pas confiants. Il convient de noter que ceux qui sont très préoccupés par les maladies porcines ont plus confiance dans la capacité des organismes de réglementation gouvernementaux de contrôler la propagation de la PPA que ceux qui ne le sont pas (42 % comparativement à 19 %).

Éléments qualitatifs : Préoccupation à l'égard de la PPA

Le niveau de préoccupation à l'égard de la PPA variait parmi les personnes interrogées. Ceux qui n'étaient pas inquiets ont cité plusieurs raisons pour expliquer leur absence de préoccupation. Premièrement, certains ne connaissaient pas suffisamment la PPA pour savoir si on devrait s'en préoccuper, mais ils ont indiqué qu'ils feraient plus de recherches à ce sujet. Excepté le manque de connaissances, l'une des raisons les plus fréquemment mentionnées était leur confiance dans leurs propres procédures de prévention de la maladie (p. ex., isoler leurs porcs des autres animaux). Beaucoup croyaient également que la PPA n'était pas présente au Canada et ils supposaient que la réglementation en place au Canada, qu'ils considéraient comme plus stricte que dans d'autres pays, empêcherait l'introduction de la PPA dans le pays (p. ex., assurer un approvisionnement alimentaire sûr). Voici ce qu'a dit 1 participant :

« Il y a toujours un risque. Je pense que le risque pour la peste porcine africaine est faible, d'après ce que je comprends, et qu'elle pourrait être introduite par des ingrédients d'aliments pour animaux de partout dans le monde. Par conséquent, si les agriculteurs ne s'approvisionnent pas bien et si l'ACIA ne fait pas un bon travail d'inspection des produits qui viennent d'ailleurs, ils pourraient entrer dans la chaîne alimentaire de nos animaux, et mes porcs pourraient y avoir accès. Il y a donc une possibilité, je ne dis pas qu'elle est élevée, elle est plutôt faible. Mais si le système est défaillant quelque part, alors n'importe qui peut y être exposé. Vous comprenez ce que je veux dire? Il faut donc adopter une approche systémique. »

L'un des répondants, qui avait entendu dire que la PPA peut être transmise par des porcs sauvages, a expliqué qu'ils n'avaient jamais vu de porcs sauvages dans leur région et que, pour cette raison, ils n'étaient pas préoccupés.

Pour les petites exploitations, l'élevage des porcs ne fait pas partie intégrante de leur gagne-pain, alors même si leurs porcs tombaient malades, cela ne les toucherait pas financièrement, ce qui les rendait moins inquiets.

En revanche, ceux qui étaient préoccupés par la PPA ont souligné les effets dévastateurs que cela aurait sur l'industrie et, pour les grands producteurs, sur leur propre entreprise. Un participant a expliqué ceci : « Cela ruinerait notre production agricole au Canada ou aux États-Unis ou, vous savez, cela dépend d'où elle vient, ou de l'endroit où elle apparaît, mais ce serait vraiment difficile pour nous, pour notre calendrier agricole. » Un ou 2 répondants ont également expliqué qu'ils seraient personnellement contrariés s'ils perdaient leurs porcs, parce qu'ils s'y étaient attachés.

 

Pièce B7 : Q17 – Selon vous, quel est le risque que pose actuellement la peste porcine africaine pour vos porcs?
Risque que pose la PPA Agriculteurs
n = 56
Non-agriculteurs
n = 299
Aucun risque 25 % 13 %
Risque faible 45 % 32 %
Risque modéré 18 % 27 %
Risque élevé 2 % 9 %*
Risque très élevé 2 % 5 %
Ne sait pas/préfère ne pas répondre 9 % 13 %

 

Pièce B8 : Q18 – À votre connaissance, quelle est la probabilité que la peste porcine africaine se manifeste au Canada?
Probabilité de présence de la PPA au Canada Agriculteurs
n = 56
Non-agriculteurs
n = 299
Très improbable 13 % 10 %
Peu probable   23 % 35 %
Probable 43 %* 27 %
Très probable 7 % 10 %
Ne sait pas/préfère ne pas répondre 14 % 18 %

 

Pièce B9 : Q19 – Si la peste porcine africaine devait se propager au Canada, quelles précautions parmi les suivantes connaissez-vous qui pourraient être mises en œuvre?
Précautions relatives à la PPA Agriculteurs
n = 56
Non-agriculteurs
n = 299
Suspension des exportations de porcs, y compris le porc, les produits du porc ou les porcs vivants  50 % 53 %
Imposition de zones de contrôle et de restrictions de déplacement 64 %* 45 %
Abattage sélectif d'animaux sains 48 %* 31 %
Autre. Veuillez préciser 4 % -
Ne sais pas 16 % 15 %

 

Pièce B10 : Q20 – Si la peste porcine africaine devait se propager au Canada, dans quelle mesure croyez-vous que cela aurait une influence sur vos activités porcines (par ex., acquisition, possession, vente, etc.)?
Effet de la PPA sur les activités porcines Agriculteurs
n = 56
Non-agriculteurs
n = 299
Aucun effet négatif sur mes activités liées au porc. Je continuerai comme si de rien n'était 20 % 18 %
Effet négatif mineur sur mes activités liées au porc. Je devrai apporter de petits ajustements à la façon dont je contrôle et prends soin de mes porcs 30 % 31 %
Effet négatif important sur mes activités liées au porc. Je devrai apporter d'importants ajustements à la façon dont je contrôle et prends soin de mes porcs 27 % 25 %
Effet négatif très important sur mes activités liées au porc. Je ne serai probablement plus en mesure de garder mes porcs. 18 % 11 %
Ne sait pas/préfère ne pas répondre 5 % 15 %*

 

Pièce B11 : Q21 – Veuillez indiquer votre degré d'accord avec l'affirmation suivante : Je connais toutes les pratiques exemplaires à adopter en matière d'exploitation pour éviter que la peste porcine africaine ne se propage à mes porcs
Effet de la PPA sur les activités porcines Agriculteurs
n = 56
Non-agriculteurs
n = 299
Fortement en désaccord 11 % 8 %
En désaccord 14 % 14 %
Ni d'accord ni en désaccord 18 % 35 %*
D'accord 32 % 28 %
Tout à fait d'accord 18 %* 6 %
Ne sait pas/préfère ne pas répondre 7 % 10 %

 

Pièce B12 : Q22 – Si vos porcs présentaient des symptômes de maladie, avec qui communiqueriez-vous?
Contact si des porcs présentent des signes de maladie Agriculteurs
n = 56
Non-agriculteurs
n = 299
Un vétérinaire 86 %* 48 %
Administration locale (autorités sanitaires locales) 9 % 25 %*
Gouvernement provincial (autorités sanitaires provinciales) 14 % 23 %
Gouvernement fédéral/Agence canadienne d'inspection des aliments 7 % 22 %*
Autres éleveurs de porcs de la région  13 % 20 %
Associations porcines 14 % 15 %
Ne sait pas/préfère ne pas répondre  4 % 10 %*

 

Pièce B13 : Q23 – Savez-vous que si vous soupçonnez que votre porc est infecté par la peste porcine africaine, vous devez le signaler à l'Agence canadienne d'inspection des aliments, car il s'agit d'une maladie à déclaration obligatoire en vertu de la Loi sur la santé des animaux?
Sensibilisation à la PPA comme maladie à déclaration obligatoire Agriculteurs
n = 56
Non-agriculteurs
n = 299
Oui 59 % 51 %
Non 38 % 39 %
Préfère ne pas répondre 4 % 10 %*

 

Pièce B14 : Q24 – Si la peste porcine africaine devait un jour se propager au Canada, dans quelle mesure êtes-vous confiant dans la capacité des organismes de réglementation gouvernementaux de contrôler la propagation afin qu'elle soit contenue rapidement? Utilisez une échelle de 1 à 7 où 1 correspond à « pas du tout confiant » et 7 à « très confiant ».
Confiance dans les organismes de réglementation gouvernementaux pour contenir la PPA Agriculteurs
n = 56
Non-agriculteurs
n = 299
Confiant (6,7) 20 % 29 %
Plutôt confiant (4,5) 30 % 44 %*
Pas en confiance (1, 2, 3) 46 %* 18 %
Ne sait pas/préfère ne pas répondre  4 % 8 %

Mesures de biosécurité

Près de la moitié (46 %) des agriculteurs gardent leurs porcs à l'intérieur en tout temps. Seulement 9 % des non-agriculteurs gardent toujours leurs porcs à l'intérieur, tandis que la moitié affirment que leurs porcs passent moins de 50 % de leur temps à l'intérieur. Environ 1 agriculteur sur 5 affirme que ses porcs passent tout leur temps à l'extérieur. Ce pourcentage est plus faible chez les non-agriculteurs (11 %).

 

Pièce C1 : Q25 – Temps passé à l'intérieur – Quel pourcentage de temps vos porcs passent-ils à l'intérieur et à l'extérieur?
Pourcentage de temps passé à l'intérieur Agriculteurs
n = 56
Non-agriculteurs
n = 299
0 21 % 11 %
1 à 25 16 % 14 %
26 à 50 14 % 26 %*
51 à 75 2 % 15 %*
76 à 99 0 % 11 %
100 46 %* 9 %
Ne sais pas 0 % 15 %

 

Pièce C2 : Q25 – Temps passé à l'extérieur – Quel pourcentage de temps vos porcs passent-ils à l'intérieur et à l'extérieur?
Pourcentage de temps passé à l'extérieur Agriculteurs
n = 56
Non-agriculteurs
n = 299
0 46 %* 9 %
1 à 25 0 % 11 %
26 à 50 14 % 30 %*
51 à 75 2 % 13 %*
76 à 99 16 % 11 %
100 21 % 11 %
Ne sais pas 0 % 15 %

Environ la moitié des agriculteurs (50 %) et des non-agriculteurs (56 %) gardent les porcs dans une zone clôturée pour se déplacer, tandis qu'environ le tiers (32 % des agriculteurs et 36 % des non-agriculteurs) déclarent utiliser une petite structure. Plus du tiers de ceux qui ont une ferme les gardent à l'intérieur dans des enclos (39 %), soit plus du double du pourcentage de ceux qui ne sont pas des agriculteurs qui les gardent regroupés dans des enclos (16 %). Ceux qui ont plus de 100 porcs sont de loin les plus susceptibles d'utiliser des enclos intérieurs (74 %). Ceux qui ont 100 porcs ou moins sont beaucoup plus susceptibles que ceux qui ont plus d'une centaine de porcs d'utiliser une zone extérieure clôturée pour leurs porcs. Par exemple, plus du tiers (69 %) de ceux qui ont 2 ou 3 porcs les gardent dans une zone extérieure clôturée. Ceux qui se disent très familiers avec les normes de biosécurité sont plus susceptibles de garder leurs porcs à l'intérieur et de les regrouper dans des enclos (44 %) que ceux qui sont assez familiers (18 %) et pas du tout familiers (13 %).

 

Pièce C3 : Q26 – Où gardez-vous vos porcs?
Endroits où les porcs sont gardés Agriculteurs
n = 56
Non-agriculteurs
n = 299
Zone clôturée pour se déplacer 50 % 56 %
Une petite structure (y compris une petite grange) 32 % 36 %
Intérieur – regroupés en enclos 39 %* 16 %
Intérieur – étables/enclos individuels 4 % 13 %*
Intérieur – dans ma maison, comme animal de compagnie - 8 %
Zone non clôturée pour se déplacer - 5 %
Autre - 1 %
Ne sait pas/Préfère ne pas répondre - 8 %

Les agriculteurs semblent plus susceptibles que les non-agriculteurs de limiter le contact de leurs porcs avec d'autres porcs, animaux et humains. Par exemple, 13 % des non-agriculteurs comparativement à 4 % des agriculteurs disent que leurs porcs entrent en contact avec des porcs qui ne leur appartiennent pas. Un cinquième (21 %) des agriculteurs disent laisser les visiteurs interagir avec leurs porcs, comparativement à 34 % des non-agriculteurs. Enfin, près du quart (23 %) des non-agriculteurs affirment que les personnes qui interagissent avec leurs porcs interagissent avec les porcs d'autres propriétés, comparativement à 4 % des agriculteurs.

Il convient de noter que ceux qui sont très préoccupés par les maladies porcines sont plus susceptibles de laisser leurs porcs interagir ou entrer en contact indirect avec d'autres animaux. Par exemple, 25 % de ceux qui sont très préoccupés par les maladies porcines et 26 % de ceux qui le sont un peu disent que les personnes qui interagissent avec leurs porcs interagissent avec les porcs d'autres propriétés, comparativement à 13 % chez ceux qui ne sont pas préoccupés. Ceux qui se disent très familiers avec les normes de biosécurité sont aussi plus susceptibles de dire que les personnes qui interagissent avec leurs porcs interagissent aussi avec les porcs d'autres propriétés (32 % comparativement à 18 % chez ceux qui ne sont pas familiers) et que leurs porcs interagissent avec d'autres porcs (21 % comparativement à 8 %).

La plupart d'entre eux n'ont vu aucune trace de porcs sauvages sur leur propriété. Seulement 7 % des agriculteurs et 12 % des non-agriculteurs disent en avoir vu.

 

Pièce C4 : Q27 – Vos porcs entrent-ils parfois en contact avec d'autres porcs que vous ne possédez pas ou que vous ne gardez pas, comme des porcs dans d'autres fermes?
Porcs en contact avec les autres Agriculteurs
n = 56
Non-agriculteurs
n = 299
Oui 4 % 13 %*
Non 96 %* 78 %
Préfère ne pas répondre - 9 %

 

Pièce C5 : Q28 – [Si des porcs sont gardés en pension] Est-ce que vous gardez les porcs que vous mettez en pension séparément des autres porcs de votre propriété?
Porcs en pension maintenus à l'écart Agriculteurs
n = 5
Non-agriculteurs
n = 13
Oui 0 % 31 %
Non 60 % 23 %
Je n'ai pas d'autres porcs que ceux que je garde pour d'autres personnes 40 % 46 %
Ne sait pas/Préfère ne pas répondre - -

 

Pièce C6 : Q29 – Permettez-vous aux visiteurs de votre propriété d'interagir avec vos porcs?
Permettre aux visiteurs d'interagir avec les porcs Agriculteurs
n = 56
Non-agriculteurs
n = 299
Oui 21 % 34 %*
Non 77 %* 57 %
Préfère ne pas répondre 2 % 9 %*

 

Pièce C7 : Q30 – Est-ce que vous ou d'autres personnes qui interagissent avec des porcs sur votre propriété, comme des membres de votre famille ou des travailleurs, interagissent aussi régulièrement avec des porcs sur d'autres propriétés?
Interaction avec des porcs sur d'autres propriétés Agriculteurs
n = 56
Non-agriculteurs
n = 299
Oui 4 % 23 %*
Non 96 %* 66 %
Ne sait pas - 10 %

 

Pièce C8 : Q31 – Avez-vous vu des porcs sauvages ou des traces de porcs sauvages sur votre propriété? Il pourrait s'agir d'excréments, d'empreintes, etc.
Signes de présence de porcs sauvages Agriculteurs
n = 56
Non-agriculteurs
n = 299
Oui 7 % 12 %
Non 93 %* 80 %
Ne sait pas - 9 %

Plus des trois quarts (79 %) des agriculteurs mettent en œuvre des mesures pour réduire le risque de maladie. Plus de la moitié (60 %) des non-agriculteurs disent faire de même. Ceux qui ont entendu parler de la PPA sont plus susceptibles de mettre en œuvre des mesures (75 %) que ceux qui n'en ont pas entendu parler (57 %). Peut-être que logiquement, plus les répondants connaissent les mesures de biosécurité, plus ils sont susceptibles de les mettre en œuvre (86 % parmi ceux qui les connaissent très bien, 70 % parmi ceux qui les connaissent assez bien et 52 % parmi ceux qui ne les connaissent pas).

En ce qui concerne le type de mesures mises en place par les répondants, plus des trois quarts des agriculteurs disent demander conseil à un vétérinaire si leur porc semble malade (86 %), éviter de prêter de l'équipement (80 %), établir des barrières physiques entre leurs porcs et toute espèce sauvage potentielle (77 %) et acquérir uniquement des porcs d'une source fiable (75 %). Ces pratiques sont moins répandues chez les non-agriculteurs, bien que plus de la moitié (58 %) disent se laver les mains avant et après avoir interagi avec leurs porcs, près de la moitié (48 %) mettent en place des obstacles physiques et demandent conseil à un vétérinaire (46 %).

L'obstacle le plus courant à la mise en œuvre de mesures de prévention de la maladie est le manque de connaissances, tant chez les agriculteurs (30 %) que chez les non-agriculteurs (26 %). Environ 1 non-agriculteurs sur 5 estime également ne pas avoir suffisamment de temps pour mettre en œuvre de nouvelles mesures (23 %) ou estime que c'est trop difficile (20 %).

La perception des défis en matière de biosécurité semble varier selon le nombre de porcs qui sont gardés. Par exemple, ceux qui ont plus de 100 porcs sont beaucoup moins susceptibles de dire que la mise en œuvre des mesures est trop difficile pour eux (4 %) que ceux qui ont 1 (16 %) de 2 à 3 (23 %) ou de 11 à 100 (21 %) porcs.

Perspectives qualitatives : Mesures de biosécurité existantes

Les entrevues individuelles ont permis de découvrir un large éventail de mesures de biosécurité prises par les répondants. Même si les mesures prises étaient variées, tous les répondants semblaient faire quelque chose qui, selon eux, aiderait à assurer la santé de leurs porcs.

Beaucoup ont mentionné la vaccination de leurs porcs et ont considéré qu'il s'agissait d'une mesure de biosécurité importante. De nombreux participants ont également indiqué qu'ils étaient particulièrement attentifs au type d'aliments qu'ils utilisent, bien que les types d'aliments que les participants considèrent comme appropriés varient. Certains achètent des aliments d'un fournisseur spécialisé. Quelques-uns nourrissent leurs porcs avec des restes de nourriture de table.

Quelques-uns ont fait référence aux protocoles de nettoyage, qui sont apparus comme les principales mesures que les répondants de la recherche quantitative affirment avoir mises en place. Les participants à la recherche qualitative ont dit qu'ils se lavaient les mains avant d'interagir avec leurs porcs et qu'ils portaient des vêtements propres pendant les interactions. L'un d'entre eux a mentionné l'existence d'une station de douche que les personnes peuvent utiliser avant d'entrer dans l'enclos. Le fait d'éviter de partager l'équipement n'a pas été mentionné explicitement, mais quelques personnes ont mentionné le risque que présentent les véhicules de transport qui ont pu contenir d'autres porcs et la nécessité d'assainir ces véhicules. Quelques répondants ont aussi expliqué qu'ils limitent les interactions avec leurs porcs et l'un d'eux a mentionné une période de quarantaine obligatoire pour les nouveaux porcs à la ferme.

Lorsqu'on leur a demandé s'ils pensaient qu'il y avait autre chose qu'ils pouvaient faire pour prévenir la propagation de la maladie chez leurs porcs, environ la moitié ont convenu qu'ils pouvaient prendre des mesures supplémentaires. Certaines de ces mesures supplémentaires comprenaient l'utilisation d'une seule source d'aliments, la construction d'un poste de transfert ou d'une aire d'attente pour rendre le transport plus sécuritaire, et l'apprentissage auprès de leur vétérinaire. Les obstacles à la mise en œuvre de ces mesures étaient liés au coût, à la main-d'œuvre et au temps. L'un des participants, qui utilise actuellement plusieurs sources d'alimentation, a expliqué l'implication financière que représente le changement de source d'alimentation :

Participant : « Je pense que je peux acheter tous leurs aliments directement d'une source, je pense que ce serait probablement le plus sûr. Lorsque vous êtes là, il n'y a pas de changement variable. Pendant 7 semaines, ils mangent beaucoup de maïs. Nous avons donc mis beaucoup de légumes verts feuillus, cela dépend, vous savez, la collectivité a vraiment ce que j'achète, ce qu'elle n'a pas à offrir, par exemple, si je me limitais à 1 seul aliment, je pense que ce serait en soi un peu plus sécuritaire.

 

Intervieweurs : D'accord. Pourquoi ne le faites-vous pas déjà?

 

Participant : C'est une mesure coûteuse, c'est beaucoup moins cher de faire ce que je fais maintenant. Personnellement, je ne sens pas la différence. En ce qui concerne cela, oui. Je sais que beaucoup de gens pensent au bon vieux bœuf nourri au maïs, et vous savez, les poulets biologiques en liberté. Je ne goûte pas de différence entre les vaches nourries au maïs, les porcs nourris au maïs et, vous savez, les porcs nourris à la laitue, par exemple. Pour moi, le goût de la viande est ultimement le même, alors je ne vois pas vraiment d'urgence de le faire.

Ceux qui ne croyaient pas qu'il y avait autre chose qu'ils pouvaient faire pour prévenir la propagation de la maladie ont fait valoir qu'ils faisaient déjà tout ce qu'ils pouvaient ou qu'ils ne voyaient tout simplement pas la nécessité de mesures supplémentaires.

 

Pièce C9 : Q32 – Prenez-vous des mesures pour réduire le risque que vos porcs développent une maladie?
Mettre en œuvre des mesures pour réduire la propagation de maladies Agriculteurs
n = 56
Non-agriculteurs
n = 299
Oui 79 %* 60 %
Non 20 % 23 %
Ne sait pas 2 % 17 %*

 

Pièce C10 : Q33 – [Si vous mettez en œuvre des mesures] Parmi les mesures suivantes, lesquelles utilisez-vous pour réduire le risque de maladies chez vos porcs?
Mettre en œuvre des mesures pour réduire la propagation de maladies Agriculteurs
n = 44
Non-agriculteurs
n = 179
Je me lave les mains avant ou après l'interaction avec mes porcs 73 %* 58 %
Je mets en place des barrières physiques comme des clôtures et des barrières pour empêcher mes porcs d'entrer en contact avec la faune 77 %* 48 %
Je demande l'avis de mon vétérinaire dès que j'observe des signes de maladie ou d'affection chez mes porcs 86 %* 46 %
J'évite de partager de l'équipement avec d'autres propriétaires de porcs ou agriculteurs 80 %* 41 %
Je n'achète des porcs que de fournisseurs ou de sources réputés 75 %* 39 %
Je lave mes vêtements ou mon équipement avant ou après avoir interagi avec mes porcs  57 % 42 %
Je contrôle la façon dont les visiteurs interagissent avec mes porcs, notamment en leur demandant de se laver les mains ou de m'informer de la visite à l'avance 61 %* 37 %
Je mets en œuvre des mesures de lutte contre les rongeurs ou d'autres ravageurs qui pourraient propager des maladies 68 %* 30 %
Je dispose de vêtements ou d'équipements dédiés qui ne sont utilisés que pour interagir avec mes porcs 66 %* 28 %
J'isole les nouveaux porcs pendant 14 jours avant de les introduire à d'autres porcs que j'ai sur ma propriété 48 %* 22 %
J'installe des panneaux pour informer les gens de ne pas nourrir mes porcs 43 %* 22 %
Je n'interagis pas avec mes porcs pendant un certain temps après avoir interagi avec les porcs d'autres propriétés 45 %* 12 %
Autre 14 % -
Je ne prends aucune mesure particulière - -
Ne sait pas/Préfère ne pas répondre - 1 %

 

Pièce C16 : Q39 – Quels sont les obstacles qui vous empêchent d'en faire plus pour empêcher vos porcs de contracter des maladies?
Obstacles Agriculteurs
n = 56
Non-agriculteurs
n = 299
Je ne connais pas suffisamment les mesures à prendre pour prévenir les maladies 30 % 26 %
Je n'ai pas le temps de faire autre chose 9 % 23 %*
Il est trop difficile de mettre en œuvre d'autres mesures 5 % 20 %*
Il est trop coûteux de mettre en œuvre d'autres mesures 11 % 18 %
Autre, veuillez préciser 2 % 0 %
Je n'ai aucun obstacle 39 % 20 %
Préfère ne pas répondre  7 % 7 %

La plupart des agriculteurs disent que la principale source de nourriture de leurs porcs est soit des aliments prémélangés d'un fournisseur (54 %), soit des aliments pour porcs qu'ils fabriquent eux-mêmes à partir d'ingrédients végétaux (41 %). Les aliments prémélangés pour porcs provenant d'un fournisseur (41 %) sont les plus populaires chez les non-agriculteurs, suivis des aliments pour porcs faits à partir de plantes (27 %) et des restes de nourriture de table (17 %).

Lorsqu'ils évaluent ce qu'ils ont donné à leurs porcs au cours de la dernière année, les deux tiers (66 %) des agriculteurs disent qu'ils les ont nourris en achetant des aliments pour porcs. Près de la moitié (46 %) leur ont donné des aliments faits maison. Un quart (25 %) leur ont donné des restes d'aliments destinés à la consommation humaine (25 %). Un répondant sur 5 leur a donné des restes de légumes ou de fruits d'une cuisine ou d'un restaurant.

Moins de la moitié (44 %) des non-agriculteurs ont donné à leurs porcs des aliments achetés auprès d'un fournisseur, tandis qu'un tiers (31 %) leur ont donné des restes de fruits ou de légumes provenant de la cuisine. Un répondant sur 5 leur a donné des aliments faits maison (21 %) ou des restes de nourriture destinés initialement à la consommation humaine (19 %).

Plus de la moitié (55 %) des agriculteurs sont au courant des risques posés par le fait de nourrir leurs animaux avec des restes d'aliments, alors que 44 % des producteurs non-agricoles le sont.

La grande majorité des exploitants agricoles (82 %) utilisent de l'eau de puits pour leurs porcs. La majorité des non-agriculteurs utilisent un approvisionnement en eau municipal (54 %).

Perspectives qualitatives : Alimentation des porcs

Comme il a été mentionné ci-dessus, les participants considéraient que le type d'aliments qu'ils donnent à leurs porcs était très important, mais leur compréhension de ce qui constituait le « meilleur » aliment variait. Certains s'approvisionnent auprès d'un fournisseur. Cependant, quelques-uns donnent des restes d'aliments de table à leurs porcs. Un participant, à qui l'on demandait s'il craignait que ses porcs contractent une maladie, a cité le fait qu'il utilise des restes de table comme un facteur d'apaisement de ses inquiétudes : « Eh bien, dans l'ensemble, je ne suis pas vraiment [inquiet], parce que j'utilise des sources d'alimentation très, très précises et fiables. Nous utilisons beaucoup nos restes et les restes du quartier, comme les fermes près de nous, et il a été décidé que nous allons prendre tous leurs restes alimentaires et ce genre de choses et les utiliser. » Dans le même ordre d'idées, quelques-uns ont mentionné qu'une partie de leur justification pour acquérir des porcs était d'utiliser des restes de nourriture, soit de leur ferme ou des fermes voisines. 

 

Pièce C11 : Q34 – Quelle est la principale source de nourriture pour vos porcs?
Principale source de nourriture Agriculteurs
n = 56
Non-agriculteurs
n = 299
Aliments pour porcs – prémélange d'un fournisseur d'aliments 54 % 41 %
Aliments pour porcs – produits par vous-même ou quelqu'un de votre ferme à l'aide d'ingrédients d'aliments à base de plantes 41 %* 27 %
Déchets alimentaires/restes d'aliments destinés aux humains 4 % 17 %
Restes d'aliments pour d'autres animaux - 5 %
Autre 2 % 1 %
Ne sait pas/Préfère ne pas répondre - 9 %

 

Pièce C12 : Q35 – Au cours de la dernière année, avez-vous nourri vos porcs avec l'un des aliments suivants?
Alimentation des porcs Agriculteurs
n = 56
Non-agriculteurs
n = 299
Aliments pour porcs achetés d'un magasin ou d'un fournisseur réputé 66 %* 44 %
Restes de fruits ou de légumes d'une cuisine ou d'un restaurant ou d'une source semblable 21 % 31 %
Aliments pour porcs que j'ai moi-même préparés  46 %* 21 %
Autres restes d'aliments destinés à la consommation humaine (par ex., cuisine, restaurant ou source semblable) 25 % 19 %
Aliments achetés d'un autre agriculteur ou d'une autre personne qui garde des porcs ou d'autres animaux 2 % 16 %*
Restes d'aliments d'autres animaux de votre ferme 9 % 10 %
Autre, veuillez préciser : 11 % 0 %
Ne sait pas/Préfère ne pas répondre 2 % 12 %*

 

Pièce C13 : Q36 – Êtes-vous conscient des risques pour vos porcs si vous les nourrissez avec des restes de nourriture après que d'autres personnes aient été en contact avec ceux-ci (par ex., des déchets ou des restes de cuisine ou de restaurant)?
Conscient des risques liés aux restes d'aliments Agriculteurs
n = 56
Non-agriculteurs
n = 299
Oui 55 % 44 %
Non 43 % 47 %
Préfère ne pas répondre 2 % 8 %*

 

Pièce C14 : Q37 – Lequel des éléments suivants utilisez-vous comme source d'eau pour vos porcs?
Source d'eau Agriculteurs
n = 56
Non-agriculteurs
n = 299
Approvisionnement en eau municipal 16 % 54 %*
Eau de puits 82 %* 23 %
Eau de surface (par ex., étangs, ruisseaux ou réservoirs) 9 % 17 %
Eau de pluie collectée (à l'exclusion des flaques d'eau et des réservoirs) 5 % 18 %*
Autre, veuillez préciser : 0 % 0 %
Ne sait pas/Préfère ne pas répondre 0 % 8 %

Environ le tiers (34 %) des agriculteurs disent connaître les normes nationales de biosécurité, tandis que la majorité relative (43 %) ne les connaît pas. Les non-agriculteurs sont moins nombreux (15 %) à les connaître. Il convient de noter que ceux qui croient que la PPA présente un risque élevé pour leurs porcs sont plus susceptibles de prétendre connaître les normes de biosécurité (34 %) que ceux qui estiment qu'elle pose un faible risque (15 %). Ceux qui ont plus de 100 porcs sont plus susceptibles de connaître les normes de biosécurité (61 %) que tous les autres propriétaires qui ont moins de porcs. Par exemple, seulement 9 % de ceux qui ont un seul porc disent les connaître.

Perspectives qualitatives : Connaissance des mesures et des normes de biosécurité

La plupart étaient d'avis qu'ils en savaient assez sur les mesures qu'ils pouvaient prendre pour arrêter la propagation de la maladie chez leurs porcs. Comme il a été mentionné précédemment, ils semblaient avoir confiance en leurs pratiques actuelles. En même temps, la plupart ont dit qu'ils ne connaissaient pas les normes de biosécurité qui s'appliquent aux porcs. Certains ont admis qu'ils pourraient probablement en apprendre davantage s'ils le voulaient, mais qu'ils ne pensaient pas que c'était quelque chose qu'ils devraient examiner sérieusement à moins d'acquérir plus de porcs ou de gagner leur vie en les élevant. Quelques-uns ont indiqué qu'ils devraient en apprendre davantage sur la propagation de la maladie en général.

Les quelques personnes qui connaissaient bien les normes nationales de biosécurité ont mentionné l'importance de la propreté en matière de soins aux porcs (p. ex., stations de douche, changement de vêtements, etc.), les vaccins et la mise en quarantaine des nouveaux porcs. Ceux qui n'étaient pas au courant des normes semblaient tout à fait ignorer que de telles normes existaient ou supposaient que les normes ne s'appliquaient pas à eux. Un grand nombre des répondants qui ne croyaient pas que les normes nationales de biosécurité s'appliquaient à eux se sont dit que, puisqu'ils prenaient déjà des mesures pour prévenir la propagation des maladies, ils n'avaient rien d'autre à craindre. D'autres croyaient que leur exploitation était trop petite pour que les normes nationales de biosécurité s'appliquent à eux ou estimaient que puisqu'ils n'élevaient pas les porcs pour en vendre la viande au public, les normes pouvaient ne pas s'appliquer à eux. 

Bien que les participants ne semblent pas connaître les normes nationales de biosécurité et que certains ne soient pas certains qu'elles s'appliquent à leur situation, ils ne sont pas opposés à en apprendre davantage. Certains seraient particulièrement intéressés si l'information provient d'un gouvernement ou d'une source scientifique, comme l'a fait remarquer 1 participant :

« Je suppose que si ces normes sont établies par le gouvernement, et qu'elles sont approuvées par les scientifiques, elles constituent probablement une bonne base de départ. Et, vous savez, je ne suis pas un expert. Comme je l'ai dit, j'écouterais certainement les gens qui sont plus compétents que moi en termes de sécurité, de sûreté et de biosécurité. Je veux apprendre d'eux. »

 

Pièce C15 : Q38 – Connaissez-vous les normes nationales de biosécurité? Utilisez une échelle de 1 à 7 où 1 signifie « pas du tout familier » et 7 « très familier ».
Connaissance des normes de biosécurité Agriculteurs
n = 56
Non-agriculteurs
n = 299
Familiers (6,7) 34 %* 15 %
Un peu familier (4,5) 23 % 37 %*
Pas familier (1, 2, 3) 43 % 40 %
Ne sait pas/Préfère ne pas répondre 0 % 8 %

Soins vétérinaires

Moins de la moitié des agriculteurs (39 %) et des non-agriculteurs (41 %) ont demandé des soins vétérinaires pour leurs porcs au cours de la dernière année. Parmi les agriculteurs qui demandent des soins, 50 % le font régulièrement, tous les 6 mois, tandis que l'autre moitié ne le fait que lorsque quelque chose ne va pas. Parmi les non-agriculteurs qui demandent des soins pour leurs porcs, ils le font presque tous les 6 mois (43 %) ou une fois par année (46 %).

Il convient de noter que les agriculteurs qui ont plus de 100 porcs sont plus susceptibles d'avoir consulté un vétérinaire (65 %) que ceux qui n'ont que 1 (35 %), 4 ou 5 (31 %) et 11 à 100 (37 %) porcs.

Les agriculteurs qui ne demandent pas de soins disent qu'ils n'en voient tout simplement pas le besoin (91 %). Plus de la moitié (58 %) des non-agriculteurs pensent la même chose, bien que certains mentionnent d'autres raisons, comme le fait que leurs porcs n'ont pas besoin de soins vétérinaires parce qu'ils ne sont pas élevés pour leur viande (15 %), qu'ils n'ont pas les moyens de payer un vétérinaire (14 %) et qu'ils ne peuvent pas trouver un vétérinaire (12 %).

Si le porc d'un agriculteur venait à mourir, environ la moitié (46 %) disent qu'ils l'enterreraient dans le sol, tandis que plus d'un quart (29 %) feraient appel à un service spécialisé de collecte des déchets. Un cinquième (20 %) travaillerait avec un vétérinaire pour savoir pourquoi il est mort. Les réponses varient un peu plus chez les non-agriculteurs. Un quart (24 %) travailleraient avec un vétérinaire pour déterminer pourquoi il est mort, 18 % l'enterreraient dans le sol, 15 % utiliseraient un service spécialisé de collecte des déchets et 12 % le donneraient à la science ou à des fins de recherche.

Perspectives qualitatives : Soins vétérinaires

Contrairement aux résultats du sondage, la plupart des personnes interrogées au cours de la phase qualitative avaient demandé des soins vétérinaires pour leurs porcs à un moment donné, mais la fréquence des interactions entre les participants et leur vétérinaire variait. Plusieurs d'entre eux ont fait vacciner leurs porcs par un vétérinaire. D'autres ont affirmé que leurs porcs sont examinés régulièrement (tous les quelques mois ou chaque année). Presque tous les participants qui ont consulté un vétérinaire pour leurs porcs considèrent qu'il s'agit d'un aspect important de la possession de porcs, en particulier si les porcs sont élevés pour la consommation humaine. Dans certains cas, ceux qui n'ont pas demandé de soins ont affirmé que le coût était supérieur à la valeur des porcs. D'autres ont dit qu'ils ne sentaient tout simplement pas le besoin puisque, à leurs yeux, leurs porcs avaient toujours été en santé.

 

Pièce D1 : Q40 – Au cours de la dernière année, avez-vous demandé des soins vétérinaires pour vos porcs?
Demande de soins vétérinaires Agriculteurs
n = 56
Non-agriculteurs
n = 299
Oui 39 % 41 %
Non 59 % 49 %
Préfère ne pas répondre 2 % 10 %*

 

Pièce D2 : Q41 – [Si vous avez demandé des soins vétérinaires] Laquelle des propositions suivantes décrit le mieux la fréquence à laquelle vos porcs reçoivent des soins vétérinaires?
Fréquence des soins vétérinaires Agriculteurs
n = 22
Non-agriculteurs
n = 122
Régulièrement, au moins une fois tous les 6 mois 50 % 43 %
Régulièrement, au moins une fois par année - 46 %
Seulement lorsqu'il y a un problème 50 %* 10 %
Ne sait pas/Préfère ne pas répondre - 1 %
Autre - -

 

Pièce D3 : Q42 – [Si vous n'avez pas demandé de soins vétérinaires] Pourquoi n'avez-vous pas demandé de soins vétérinaires sur une base régulière pour vos porcs?
Raisons de ne pas avoir demandé de soins vétérinaires sur une base régulière Agriculteurs
n = 33
Non-agriculteurs
n = 146
Je ne ressens pas le besoin de communiquer avec un vétérinaire 91 %* 58 %
Mes porcs ne sont pas destinés à servir de source de nourriture, ils n'ont donc pas besoin d'être examinés, sauf s'ils sont manifestement malades 9 % 15 %
Je n'ai pas les moyens de payer un vétérinaire - 14 %
Il m'est difficile de trouver un vétérinaire ou des soins vétérinaires - 12 %
Je ne fais pas confiance aux vétérinaires - 5 %
Autre 6 % 1 %
Ne sait pas/Préfère ne pas répondre - 10 %

 

Pièce D4 : Q43 – Si l'un de vos porcs devait mourir ou devait être euthanasié, laquelle des mesures suivantes seriez-vous le plus susceptible de prendre pour disposer de l'animal?
Étapes à suivre si un porc devait mourir Agriculteurs
n = 56
Non-agriculteurs
n = 299
Travailler avec un vétérinaire pour savoir pourquoi il est mort 20 % 24 %
Enterrer dans le sol 46 %* 18 %
Utiliser un service de collecte des déchets spécialisé dans le bétail 29 %* 15 %
En faire don à la science ou à la recherche - 12 %
L'apporter au dépotoir local ou au lieu d'élimination des déchets - 8 %
Le vendre à une personne intéressée - 6 %
Le brûler 2 % 1 %
Autre - -
Je ne sais pas ce que je ferais 4 % 8 %
Préfère ne pas répondre - 7 %

Sources d'information

Presque toutes les personnes cherchent de l'information (86 % des agriculteurs, 88 % des non-agriculteurs). Pour les agriculteurs, leur vétérinaire (59 %), le bouche-à-oreille des autres éleveurs de porcs (54 %) et les circulaires des fournisseurs d'aliments pour animaux (34 %) sont les 3 principales sources d'information sur les soins aux porcs. Viennent ensuite les ressources des gouvernements provinciaux (27 %), les sites Web spécialisés (23 %) et les organismes provinciaux du porc (20 %). Parmi les non-agriculteurs, les principales sources comprennent également leur vétérinaire (35 %) et le bouche-à-oreille (24 %), ainsi que des sites Web spécialisés (27 %). Environ le quart (24 %) comptent sur le bouche-à-oreille des autres éleveurs de porcs, tandis qu'un sur 5 compte sur les sources des gouvernements provinciaux (20 %).

Les répondants vivant en milieu rural (41 %) sont plus susceptibles de recueillir de l'information par le bouche-à-oreille auprès d'autres propriétaires de porcs que ceux des régions urbaines (20 %). Les résidents ruraux sont également plus susceptibles d'obtenir de l'information de leur vétérinaire (47 %) que ceux des régions urbaines (34 %). 

Les propriétaires de porcs moins expérimentés ont tendance à se fier davantage aux médias sociaux pour obtenir de l'information que ceux qui ont 11 à 20 ans d'expérience. Un quart (27 %) des propriétaires de porcs ayant de 6 à 10 ans d'expérience obtiennent de l'information sur les médias sociaux, comparativement à 4 % des propriétaires de 11 à 20 porcs.

Moins d'agriculteurs (18 %) et de non-agriculteurs (13 %) se fient aux publications de l'industrie des médias sociaux par rapport aux sources mentionnées ci-dessus, mais beaucoup plus des répondants ayant 4 ou 5 porcs (29 %) et 6 à 10 porcs (38 %) se fient à ces types de publications.

En ce qui concerne les sources auxquelles les répondants font le plus confiance, les vétérinaires occupent le premier rang parmi les agriculteurs (58 %) et les non-agriculteurs (28 %). Le bouche-à-oreille des autres éleveurs de porcs est la deuxième source (12 % chez les agriculteurs et 13 % chez les non-agriculteurs).

Perspectives qualitatives : Sources d'information

Tous les participants ont dit avoir fait des recherches sur les soins aux porcs. Il convient de noter qu'aucune source unique n'est ressortie comme étant la plus souvent consultée. Comme l'indiquent les résultats quantitatifs, les vétérinaires sont une source d'information très importante (bien qu'ils ne soient pas la seule source). Comme il a été mentionné précédemment, la plupart des participants avaient eu des contacts avec un vétérinaire à un moment donné pour apporter des soins à leurs porcs. Ils font davantage confiance aux renseignements et aux conseils des vétérinaires que presque toutes les autres sources. Même ceux qui n'avaient pas communiqué avec un vétérinaire ont dit qu'ils se sentiraient à l'aise de le faire s'ils remarquaient un problème avec leurs porcs.

Une autre façon courante pour les participants de trouver de l'information au sujet des porcs consiste à utiliser divers moyens non officiels de communication avec d'autres agriculteurs ou leur fournisseur d'aliments pour animaux. De nombreux participants ont indiqué qu'ils avaient reçu des informations sur l'élevage des porcs de la part d'autres agriculteurs de leur communauté, de l'agriculteur à qui ils avaient acheté leurs porcs ou, dans 1 cas, du sanctuaire d'animaux de ferme où ils avaient acquis leurs porcs. Parfois, cette communication se fait en personne. Par exemple, 1 participant a mentionné avoir appris des renseignements utiles en discutant avec son fournisseur d'aliments pour animaux, tandis qu'un autre a dit que l'agriculteur qui lui a vendu les porcs était un voisin, qui lui avait donné des conseils utiles au départ. Cependant, plusieurs ont indiqué que la plupart de leurs communications avec d'autres agriculteurs se font en ligne. Ils font partie de groupes de messages sur WhatsApp, de groupes de messages textes avec d'autres agriculteurs locaux ou des groupes Facebook et Reddit Threads pour les petits exploitants agricoles. Quelques-uns suivent des blogues ou des sites Web qui traitent de l'agriculture biologique ou d'élevage à petite échelle.

Les participants ont vraiment apprécié l'expérience des autres agriculteurs, comme quelqu'un l'a fait remarquer :

« Et je pense aussi que les gens qui ont une expérience directe sont crédibles, parce que je suis à peu près dans la même situation que beaucoup de ces agriculteurs qui apprennent au fur et à mesure. »

Ils étaient d'avis que d'autres agriculteurs élevant seulement quelques porcs étaient dignes de confiance et appréciaient leur point de vue en raison de leurs expériences et de leurs objectifs communs. Ils n'hésiteraient pas à raconter leur propre expérience avec d'autres agriculteurs.

Certains participants ont nommé quelques autres sources d'information en ligne. Quelques-uns ont utilisé YouTube ou Google Images pour trouver des exemples ou des tutoriels vidéo (p. ex., comment construire un enclos). En ce qui concerne les sources gouvernementales, quelques-uns ont également indiqué qu'ils cherchaient de l'information sur les sites Web des gouvernements provinciaux. Notamment, les sources provinciales ont été citées plus fréquemment que les ressources fédérales. En fait, presque personne n'avait communiqué avec l'ACIA ou visité leur site Web.

Comme il a été mentionné précédemment, certains participants ont indiqué qu'ils recueillent de l'information à partir des médias sociaux. Lorsqu'on leur demande, ceux qui les utilisent reconnaissent qu'ils les jugent généralement moins dignes de confiance que d'autres sources (p. ex. d'autres agriculteurs qu'ils connaissent, des vétérinaires, des sources gouvernementales) en ce qui concerne certains renseignements. Par exemple, 1 participant a expliqué qu'il ne ferait pas confiance aux renseignements sur les médias sociaux au sujet des vaccins sans les vérifier auprès de son vétérinaire, mais qu'il suivrait des conseils sur la construction d'un enclos. Un autre participant a fait remarquer que lorsqu'on recueille des renseignements sur les médias sociaux, il est important de les évaluer par rapport à sa propre expérience, en déclarant :

« Je suppose que c'est là qu'on doit utiliser notre bon sens et nos connaissances. [Vous] devez vous demander si cela vaut la peine de réfléchir, de lire ou de considérer cela comme un fait. Vous savez, n'importe qui peut écrire ce qu'il veut, n'est-ce pas? »

Peu de participants ont déclaré obtenir des renseignements auprès d'associations de l'industrie, et aucun n'a assisté à un salon professionnel ou à une conférence. Les participants qui élèvent des porcs pour la consommation feraient confiance à l'information des associations de l'industrie, mais ils ont dit qu'ils ne voient pas l'intérêt d'appartenir à une association. Ils peuvent accéder à leurs renseignements gratuitement s'ils le veulent et, comme ils ne possèdent que quelques porcs, ils ne se fient pas au travail de marketing et de défense des intérêts des associations. Ceux qui élèvent des porcs à des fins autres que la consommation étaient opposés à la mission de ces associations industrielles et ont déclaré qu'étant donné que leurs objectifs étaient très différents, ils n'envisageraient pas d'y adhérer.

 

Pièce E1 : Q44 – Parmi les sources suivantes, quelles sont celles que vous utilisez pour trouver des renseignements sur les soins à apporter aux porcs?
Sources d'information Agriculteurs
n = 56
Non-agriculteurs
n = 299
Votre vétérinaire 59 %* 35 %
Bouche-à-oreille d'autres éleveurs de porcs 54 %* 24 %
Sites Web particuliers (p. ex., National Hog Farmer, The Pig Site) 23 % 27 %
Gouvernement provincial 27 % 20 %
Organismes provinciaux du porc (p. ex., Alberta Pork, SaskPork, Manitoba Pork, Ontario Pork) 20 % 18 %
Forums et sites de discussion en ligne 18 % 17 %
Gouvernement fédéral 16 % 15 %
Associations de l'industrie (p. ex., Conseil canadien du porc) 18 % 14 %
Groupes dans les médias sociaux 18 % 13 %
Publications de l'industrie sur les médias sociaux 23 % 12 %
Circulaires et autres points de vente où j'achète des fournitures agricoles 34 %* 9 %
Autre 11 % -
Je ne cherche pas de renseignements de quelque source que ce soit 9 % 5 %
Ne sait pas/Préfère ne pas répondre 5 % 7 %

 

Pièce E2 : Q45 – [Si vous cherchez des renseignements] Parmi ces sources, à laquelle faites-vous le plus confiance?
Sources d'information les plus fiables Agriculteurs
n = 49
Non-agriculteurs
n = 264
Gouvernement fédéral 4 % 6 %
Gouvernement provincial 10 % 7 %
Votre vétérinaire 53 %* 28 %
Organismes provinciaux du porc (p. ex., Alberta Pork, SaskPork, Manitoba Pork, Ontario Pork) 2 % 11 %*
Associations de l'industrie (p. ex., Conseil canadien du porc) 2 % 7 %*
Publications de l'industrie sur les médias sociaux - 5 %
Groupes dans les médias sociaux - 2 %
Forums et sites de discussion en ligne - 5 %
Circulaires et autres points de vente où j'achète des fournitures agricoles - 4 %
Bouche-à-oreille d'autres éleveurs de porcs 12 % 13 %
Sites Web particuliers (p. ex., National Hog Farmer, The Pig Site) 2 % 12 %*
Autre, veuillez préciser : 8 % -
Je ne cherche pas de renseignements de quelque source que ce soit - -
Ne sait pas/Préfère ne pas répondre 6 % -

La moitié des agriculteurs (51 %) disent passer moins d'une heure par mois à chercher des renseignements sur les soins à donner à leurs porcs. Le quart (23 %) des non-agriculteurs y passent moins d'une heure. La majorité relative passe entre 1 et 5 heures (42 %).

Les propriétaires de porcs plus expérimentés sont plus susceptibles de dire qu'ils passent moins d'une heure par semaine à chercher des renseignements (56 % parmi ceux qui ont 20 ans ou plus) que ceux qui ont 1 à 5 ans (23 %), 6 à 10 ans (7 %) et 11 à 20 ans d'expérience (27 %).

Ceux qui estiment que la PPA pose un risque élevé pour leurs porcs semblent passer plus de temps à chercher des renseignements que ceux qui ne pensent pas qu'elle représente un risque. Près d'un répondant sur 5 (17 %) parmi ceux qui croient que la PPA représente un risque important passe plus de 11 heures par mois à faire des recherches, tandis que seulement 3 % de ceux qui estiment qu'il s'agit d'un risque faible disent la même chose.

Perspectives qualitatives : Temps consacré à la recherche de renseignements

Les résultats qualitatifs semblent appuyer la conclusion quantitative selon laquelle, à mesure que les agriculteurs acquièrent de l'expérience, ils passent moins de temps à chercher activement des renseignements sur les soins aux porcs. Souvent, les participants ont affirmé avoir fait plus de recherches au début, lors de l'acquisition de leurs porcs, et recherchent maintenant activement des renseignements lorsque des problèmes surviennent, ou ils les reçoivent plus passivement par l'intermédiaire des nouvelles ou en interagissant avec d'autres agriculteurs. Certains ont indiqué qu'ils avaient grandi dans une ferme où il y avait des porcs et qu'ils avaient appris les bases des soins aux porcs grâce à cette expérience, et qu'ils ne passent donc pas beaucoup de temps à chercher des renseignements supplémentaires.

 

Pièce E3 : Q46 – [Si vous cherchez des renseignements] En moyenne, combien d'heures par mois consacrez-vous à des recherches sur les procédures de soins aux porcs, toutes sources confondues?
Temps consacré Agriculteurs
n = 49
Non-agriculteurs
n = 264
Moins d'une heure 51 %* 23 %
1 à 5 heures 29 % 42 %
6 à 10 heures 14 % 25 %
Plus de 11 heures  6 % 5 %
Ne sait pas/Préfère ne pas répondre - 4 %

Les agriculteurs sont généralement d'accord pour dire qu'ils peuvent facilement trouver tous les renseignements dont ils ont besoin pour s'assurer que leurs porcs sont protégés des maladies (82 % sont tout à fait d'accord ou d'accord). Les non-agriculteurs (49 % fortement d'accord ou d'accord) sont moins certains.

 

Pièce E4 : Q47 – Veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d'accord avec l'énoncé suivant : Je suis en mesure de trouver tous les renseignements dont j'ai besoin sur les précautions nécessaires pour m'assurer que mes porcs sont protégés des maladies.
Niveau d'accord Agriculteurs
n = 56
Non-agriculteurs
n = 299
Fortement en désaccord 2 % 5 %
En désaccord 4 % 5 %
Ni d'accord ni en désaccord 13 % 33 %*
D'accord 64 %* 35 %
Tout à fait d'accord 18 % 14 %
Ne sait pas/Préfère ne pas répondre - 8 %

Les agriculteurs connaissent moins bien le rôle de l'ACIA dans la prévention de la propagation de la PPA (48 % ne le connaissent pas) que les non-agriculteurs (21 %).

 

Pièce E5 : Q48 – Dans quelle mesure connaissez-vous le rôle de l'Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA) dans la prévention de la propagation de la peste porcine africaine au Canada? Utilisez une échelle de 1 à 7 où 1 signifie « pas du tout familier » et 7 « très familier ».
Connaissance du rôle de l'ACIA dans la prévention de la PPA Agriculteurs
n = 56
Non-agriculteurs
n = 299
Familiers (6,7) 14 % 23 %
Un peu familier (4,5) 36 % 48 %
Pas familier (1,3) 48 %* 21 %
Ne sait pas/Préfère ne pas répondre 2 % 7 %

Lorsqu'il s'agit de contacter les répondants, il existe de nombreux moyens de les joindre. Les agriculteurs apprécient les bulletins d'information par courriel (39 %), les bulletins d'information sur papier (29 %), les conversations directes avec l'ACIA (29 %), les sites Web spécialisés (29 %) et le recours à une ligne d'information téléphonique (27 %). Les non-agriculteurs apprécient l'utilisation d'un site Web spécialisé (36 %), des bulletins d'information par courriel (29 %) et les conversations directes (24 %).

Perspectives qualitatives : Communication avec les propriétaires et les éleveurs de porcs

Les participants n'étaient pas très désireux d'obtenir plus de renseignements sur les soins à donner à leurs porcs, mais ils étaient ouverts à en recevoir. Ils ont dit que la meilleure façon de les joindre serait par courriel et par publipostage. Toutefois, compte tenu du lien que de nombreux participants ont déclaré avoir avec leur vétérinaire, les cabinets vétérinaires pourraient également constituer un moyen efficace de cibler ce groupe.

 

Pièce E6 : Q49 – Comment préféreriez-vous recevoir des renseignements réglementaires concernant vos porcs?
Voies de communication Agriculteurs
n = 56
Non-agriculteurs
n = 299
Site Web spécialisé 29 % 36 %
Bulletin électronique 39 % 29 %
Conversation directe avec un responsable de la réglementation/représentant de l'Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA) 29 % 24 %
Numéro de téléphone ou ligne 1-800 avec de l'information 27 %* 14 %
Bulletin d'information traditionnel sur papier 29 %* 12 %
Messages directs dans les médias sociaux 11 % 13 %
Conférence ou congrès 14 % 11 %
Autre 4 % -
Ne sait pas/Préfère ne pas répondre 4 % 14 %*

Préférences publicitaires

Au cours de la phase qualitative, nous avons demandé aux participants qui ont été en mesure de réaliser l'entrevue au moyen de Zoom d'examiner 2 publicités utilisées par l'ACIA pour sensibiliser les petits producteurs de porc à la PPA. Les annonces se trouvent dans l'annexe du présent rapport.

Les participants ont choisi à l'unanimité l'image de l'agriculteur, de la petite fille et des porcelets comme présentation préférée. Plusieurs ont dit que cela leur rappelait leur ferme ou que la publicité reflétait leurs valeurs (p. ex., exploitation familiale, fournir beaucoup d'espace extérieur aux porcs pour se déplacer, etc.). Un agriculteur a dit :

« Vous savez, c'est à cela que ressemble notre ferme. C'est là que nous élevons nos porcs. »

La deuxième annonce donnait l'impression que le porcelet était élevé dans une grande ferme porcine surpeuplée. Cela ne correspondait pas à la façon dont les participants décrivaient leur approche de l'élevage des porcs.

Conclusions

La sensibilisation à la PPA est plus élevée chez les agriculteurs que chez les non-agriculteurs, mais la recherche qualitative donne à penser que la plupart n'ont pas une compréhension détaillée de la maladie et des conséquences de sa propagation au Canada. Bien moins de la moitié des agriculteurs et des non-agriculteurs sont très préoccupés par la PPA et ne la considèrent pas comme un risque important pour leurs porcs. L'absence de préoccupation peut probablement être attribuée à de faibles niveaux de compréhension détaillée, à la croyance que ce n'est qu'un problème à l'étranger, et que les autorités canadiennes seraient bien placées pour contenir la maladie en cas d'introduction. Certains sont également moins préoccupés par le fait que même si leurs porcs étaient infectés par la PPA, l'élevage des porcs ne leur permettrait pas de gagner leur vie et une éclosion ne les toucherait pas financièrement. Enfin, la confiance dans leurs propres pratiques peut aussi contribuer à l'absence de préoccupation au sujet de la PPA au Canada.

Presque tous les agriculteurs et non agriculteurs déclarent prendre des mesures pour prévenir la maladie chez leurs porcs. Dans l'ensemble, les agriculteurs semblent prendre plus de mesures que les non-agriculteurs. La recherche qualitative appuie la conclusion selon laquelle la plupart semblent prendre des mesures pour prévenir la maladie, mais elle souligne que les mesures prises ne sont pas uniformes pour tous les producteurs. Elles vont de pratiques d'assainissement strictes à la surveillance des aliments donnés aux porcs (bien que la compréhension de ce qu'est le « meilleur » type d'aliments pour prévenir les maladies varie).

Le manque de connaissances détaillées sur la PPA et l'écart dans les mesures de biosécurité donnent à penser que l'accent mis par l'ACIA sur les petits producteurs et les propriétaires de porcs est justifié. Pour joindre efficacement ces personnes, l'ACIA pourrait devoir envisager de nombreuses stratégies et différentes voies de communication. Les producteurs et les propriétaires de porcs à petite échelle semblent se fier à plusieurs sources d'information, et certaines sont plus crédibles que d'autres, particulièrement sur des sujets comme la vaccination.

La recherche confirme que la stratégie de communication de l'ACIA devrait être proactive. Les producteurs ne passent que quelques heures par mois à examiner des renseignements sur les soins à donner à leurs porcs, et actuellement, leurs recherches ne comprennent pas la visite du site Web de l'ACIA de leur propre initiative. L'ACIA devra probablement attirer les agriculteurs vers le site Web ou d'autres sources de l'ACIA en communiquant à l'aide de nouvelles, de sites de médias sociaux pour les petits producteurs ou du publipostage. Une stratégie efficace comprendrait également la communication du message de l'ACIA par d'autres sources influentes.  

Les vétérinaires semblent être l'une des sources d'information les plus utilisées et les plus fiables. Quelques-uns ont expliqué qu'ils ont communiqué avec leur vétérinaire pour faire vacciner leurs porcs, ce qui pourrait être l'occasion pour les vétérinaires de fournir une certaine éducation sur la PPA et les mesures de biosécurité. La sensibilisation des vétérinaires pour s'assurer qu'ils disposent des renseignements à transmettre pourrait constituer un élément important de la stratégie de communication.

Bien qu'il s'agisse d'une source d'information vitale pour certains, plus de la moitié d'entre eux ne consultent pas régulièrement un vétérinaire. Cela souligne l'importance d'une stratégie de communication à volets multiples. Étant donné la forte proportion d'agriculteurs qui se fient au bouche-à-oreille de leurs pairs pour obtenir des renseignements, il serait utile de trouver des personnes d'influence au sein de ce groupe. Il peut s'agir de fournisseurs d'aliments, d'agriculteurs qui vendent des porcs à d'autres pour les élever ou de fermes de sauvetages d'animaux d'élevage.

Annexe A : Rapport sur la méthodologie d'enquête

Méthodologie d'enquête

L'approche globale du Earnscliffe Strategy Group pour cette étude consistait à mener un sondage à double mode auprès de 355 petits producteurs de porcs (56) et de propriétaires de porcs sans exploitation agricole enregistrée (299). Elle a été menée en collaboration avec notre sous-traitant quantitatif, Léger Marketing. Les entrevues téléphoniques ont eu lieu entre le 29 janvier et le 2 mars 2021, et la durée moyenne des entrevues a été de 25 minutes. Les entrevues en ligne ont eu lieu entre le 8 février et le 8 mars 2021, et la durée moyenne des entrevues était de 9 minutes.

Conception du questionnaire

Le questionnaire de cette étude a été conçu par l'ACIA et examiné par Earnscliffe pour s'assurer qu'il répondrait aux objectifs de la recherche. Il a ensuite été fourni à Léger pour que l'entreprise puisse l'utiliser. Le sondage a été offert aux répondants en anglais et en français, et ils l'ont rempli en fonction de leurs préférences.

Plan d'échantillonnage et sélection

Léger a prélevé l'échantillon de petits producteurs de porc qui ne font pas partie d'une association nationale ou provinciale de producteurs de porc de la liste de Dun & Bradstreet, qui a été présélectionnée pour les codes du Système de classification des industries de l'Amérique du Nord désignant les exploitations agricoles.

L'échantillon de propriétaires de porcs sans entreprise agricole et qui n'appartiennent à aucune association nationale ou provinciale de producteurs de porc a été tiré du groupe en ligne exclusif de Léger. Les répondants au groupe ont été sélectionnés en fonction d'une propriété importante et pour déterminer si eux-mêmes ou les membres de leur famille ont une entreprise agricole ou s'ils appartiennent à une association nationale ou provinciale de producteurs de porc.

Les renseignements sur la taille et la composition de ce public cible étaient extrêmement limités. Par conséquent, nous avons formulé certaines hypothèses afin d'élaborer une approche de recherche quantitative à la fois viable et valable. En utilisant 2 sources d'information, soit le plus récent Recensement de l'agriculture et les estimations des membres des organisations provinciales de producteurs de porc, il semble qu'environ 36 % des exploitations agricoles au Canada ont des porcs. Un examen du nombre de membres des associations de producteurs de porc a révélé que plus de la moitié d'entre eux appartiennent à une organisation fédérale ou provinciale. En faisant des déductions à partir de ces 2 points de données, et en supposant que la plupart des exploitations agricoles qui ont des porcs, mais qu'ils ont choisi de ne pas adhérer à une association fédérale ou provinciale de producteurs de porcs, nous avons estimé qu'environ 15 % des exploitations agricoles au Canada seraient admissibles à titre de répondants cibles pour ce sondage.

Compte tenu de la taille de la liste des entreprises agricoles au Canada, du taux d'incidence estimé et du taux de réponse estimé, on a également estimé que le nombre maximal d'entrevues téléphoniques qui pourraient raisonnablement être entreprises serait d'environ 120. Ce nombre supposait que nous épuiserions la liste en faisant plusieurs tentatives auprès de chaque numéro pour lesquels il n'y avait pas de réponse. La liste étant un univers limité qui serait épuisé, tout écart dans l'estimation de l'incidence ou du taux de réponse se traduirait directement par le nombre de compléments possibles.

Après avoir conçu un plan d'échantillonnage pour les agriculteurs, nous avons constaté que l'utilisation de la liste des exploitations commerciales agricoles exclurait nécessairement les personnes qui possédaient un petit nombre de porcs et ne figurerait pas sur les listes des exploitations commerciales agricoles. Par conséquent, le groupe de Léger a été interrogé pour déterminer l'incidence des propriétaires de porcs qui n'exploitent pas une entreprise agricole, et cette incidence s'est avérée d'environ 2 %. Afin de saisir ce segment, un échantillon en ligne a été prélevé à partir du groupe de Léger. Nous voulions recueillir 200 réponses en ligne.

Comme il a été mentionné ci-dessus, le fait d'obtenir 120 entrevues par téléphone aurait épuisé toute la liste d'échantillons d'exploitations agricoles canadiennes. À mesure que les entrevues avançaient, il est devenu évident que l'incidence réelle était beaucoup plus faible. Par conséquent, plutôt que de continuer à épuiser complètement la liste des producteurs, nous avons transféré des compléments à la partie en ligne du sondage.

Étant donné le manque d'information sur la taille et la composition des deux échantillons, nous n'avons pas fait d'estimations ni établi de quotas pour un nombre minimal de répondants dans un sous-ensemble ou une caractéristique démographique donnée.

Collecte de données

Le sondage téléphonique a été mené en français et en anglais du 29 janvier au 2 mars 2021. Le sondage en ligne a été mené en français et en anglais du 8 février au 8 mars 2021. Le sondage a été mené par le groupe d'inscription en ligne et le centre d'appels virtuel de Léger, ainsi que par le système de pointe d'entrevue téléphonique assistée par ordinateur.

Au total, 299 entrevues ont été menées en ligne et 56 par téléphone. Comme nous l'avons mentionné précédemment, nous avions initialement prévu 120 entretiens par téléphone et 200 en ligne, mais nous nous sommes tournés davantage vers les entretiens en ligne lorsque nous avons découvert que le taux d'incidence des agriculteurs correspondant au profil des personnes que nous souhaitions atteindre sur la liste de D&B était inférieur à ce que nous avions prévu. 

Cibles et pondération

En raison d'un manque d'informations sur l'univers à partir duquel nous avons tiré l'échantillon, les données n'ont pas été pondérées.

Rapports

Les résultats avec un astérisque (*) dans le présent rapport indiquent que la différence entre les groupes démographiques analysés est beaucoup plus élevée que les résultats qui se trouvent dans l'autre colonne du tableau. Dans le texte du rapport, sauf indication contraire, les différences mises en évidence sont statistiquement significatives au niveau de confiance de 95 %. Le test statistique utilisé pour déterminer la signification des résultats était le test Z.

Dans les tableaux ci-joints, les résultats statistiquement significatifs sont indiqués en lettres majuscules. Si un pourcentage est accompagné d'une lettre majuscule, cela signifie qu'il est considérablement plus élevé que le résultat dans la colonne associée à la lettre majuscule.

Contrôles de la qualité

Léger a procédé à un prélancement du sondage en ligne et par téléphone, et Earnscliffe a examiné les données pour s'assurer que tous les enchaînements fonctionnaient et que tous les participants répondaient au sondage dans un délai approprié.

Le processus de contrôle de la qualité de la collecte des données de Léger en ce qui concerne les entrevues téléphoniques est concrètement fondé sur les éléments suivants :

Résultats

Dispositions finales – en ligne

Au total, 71 990 personnes ont participé au sondage en ligne, dont 299 étaient admissibles et qui ont répondu au sondage.

 

Nombre total de participants au sondage 71 990
Complété  302
Non qualifié/refusé 70 522
Au-dessus du quota 0
Suspendu/abandonné 1166
Non résolu (U) 194 485
Retours d'invitations par courriel 522
Invitations par courriel sans réponse 193 963
Dans la portée du sondage – Sans réponse (IS) 1166
Sans réponse des répondants admissibles S. O.
Refus du répondant S. O.
Problème de langue S. O.
Répondant sélectionné non disponible S. O.
Répondant qualifié désisté 1 166
Dans la portée du sondage – Unités répondantes (R) 70 824
Les sondages terminés ont été rejetés – quota rempli 0
Questionnaires remplis et rejetés – autres raisons 70 525
Questionnaires remplis 299
Taux de réponse = R/(U+IS+R) 26,58 %

Dispositions finales – téléphone

 

     Total
Nombre total de tentatives 20 213
Invalide 1046
Numéro sans service, télécopieur, entreprise/aucune réponse 3977
Non résolu (U) 8750
Occupé 69
Pas de réponse, répondeur 8681
Dans la portée du sondage – Sans réponse (IS) 4870
Refus du ménage 3804
Refus du répondant 3804
Problème de langue 37
Maladie, incapacité 193
Répondant sélectionné non disponible 657
Répondant qualifié désisté 179
Dans la portée du sondage – Unités répondantes (R) 1570
Incapacité linguistique 1514
Aucune personne majeure (18 ans et plus) 1514
Autre exclusion 1514
Entrevues réalisées 56
Taux de réponse = R/(U+IS+R) 10,33 %

Non-réponse

Les répondants au sondage en ligne ont été choisis parmi ceux qui se sont portés volontaires pour participer aux sondages en ligne en se joignant à un groupe en ligne. La notion de non-réponse est plus complexe que pour les études de probabilité aléatoires qui commencent par un univers d'échantillon qui peut, au moins en théorie, inclure la population entière étudiée. Dans de tels cas, la non-réponse peut se produire à différents moments avant qu'une personne soit invitée à participer à ce sondage particulier, sans parler de la décision de répondre à une question particulière du sondage.

Marge d'erreur

Les répondants au sondage en ligne ont été choisis parmi ceux qui se sont portés volontaires pour participer aux sondages en ligne. Étant donné que l'échantillon en ligne est fondé sur ceux qui ont choisi au départ de participer au groupe, aucune estimation de l'erreur d'échantillonnage ne peut être calculée pour l'échantillon en ligne. Le traitement de l'échantillon non probabiliste est harmonisé avec les Normes pour la recherche sur l'opinion publique effectuée par le gouvernement du Canada pour les sondages en ligne.

Bien que nous ne connaissions pas la taille exacte de la population des éleveurs de porcs qui correspondent au profil de cette étude, nous pouvons fournir une estimation de la marge d'erreur pour l'échantillon téléphonique. La marge d'erreur pour un échantillon de 56 Canadiens serait de 13,1 %. Compte tenu de ce calcul et du fait que le nombre d'éleveurs de porcs au Canada est nettement inférieur à la population totale, la marge d'erreur ne peut pas être supérieure à 13,1 %.

Durée du sondage

La durée médiane du sondage était de 9 minutes en ligne et de 25 minutes par téléphone.

Annexe B : Instrument de sondage

Questionnaire du sondage

Agence canadienne d'inspection des aliments
Peste porcine africaine

Introduction au sondage téléphonique

Hello/Bonjour. Je m'appelle __________ et j'appelle de la part d'Earnscliffe Strategy Group, une entreprise de recherche sur l'opinion publique. Nous menons un sondage pour le gouvernement du Canada afin de mieux comprendre les enjeux importants pour les Canadiens et d'obtenir leurs points de vue. Le sondage dure environ 15 minutes, et la participation est volontaire et entièrement confidentielle.

Would you prefer that I continue in English or French? Préférez-vous continuer en français ou anglais?

Votre participation à ce sondage est volontaire. Soyez assurés que vos réponses sont confidentielles et qu'elles ne seront pas rapportées individuellement ni attribuées à vous personnellement. Puis-je continuer?

 

Oui     
Non     

Et, juste pour confirmer, est-ce que je vous ai joint sur une ligne terrestre ou sur un téléphone cellulaire?

 

Ligne terrestre     
Téléphone cellulaire     
Ne sait pas/refus de répondre     

Pour votre sécurité, conduisez-vous actuellement?

 

Oui – RAPPELER PLUS TARD     
Non     
Ne sait pas/refus de répondre     

*CEUX QUI NE SONT PAS ADMISSIBLES : Merci d'avoir accepté de participer à ce sondage, mais vous ne répondez pas aux critères d'admissibilité de l'étude.

TOUS CEUX QUI SONT ADMISSIBLES : Merci, commençons le sondage.

Invitation par courriel

LA VERSION ANGLAISE SUIT

Bienvenue et merci de l'intérêt que vous portez à cette étude. Earnscliffe Strategy Group, en collaboration avec Léger Marketing, a été embauché pour mener un sondage en ligne au nom du gouvernement du Canada. Le but de l'étude est de mieux comprendre les enjeux importants pour les Canadiens et de recueillir leurs points de vue sur ces sujets.

Il vous faudra environ 15 minutes pour répondre à ce sondage en ligne. Votre participation à l'étude est volontaire et entièrement confidentielle. Toutes vos réponses demeureront anonymes et seront combinées aux réponses de tous les autres répondants. En guise de remerciement pour votre participation, vous recevrez [insérer la récompense].

Si vous avez des questions au sujet du sondage ou si vous éprouvez des difficultés, veuillez envoyer un courriel à [INSÉRER LE COURRIEL DE LA PERSONNE-RESSOURCE].

Pour commencer, cliquez sur le lien ci-dessous.

[URL]

Page de renvoi en ligne

Bienvenue et merci de l'intérêt que vous portez à cette étude. Earnscliffe Strategy Group, en collaboration avec Léger Marketing, a été embauché pour mener un sondage en ligne au nom du gouvernement du Canada. Le but de l'étude est de mieux comprendre les enjeux importants pour les Canadiens et de recueillir leurs points de vue sur ces sujets.

Vos réponses à ce sondage demeureront entièrement confidentielles et tous les renseignements que vous fournirez seront traités conformément à la Loi sur la protection des renseignements personnels et aux autres lois applicables sur la protection des renseignements personnels. Voulez-vous poursuivre?

 

Oui     
Non [TERMINER]
  1. En quelle année êtes-vous né?

    [INSÉRER L'ANNÉE. SI MOINS DE 18 ANS, REMERCIEZ LE PARTICIPANT ET TERMINEZ LE SONDAGE]

  2. [TÉLÉPHONE SEULEMENT] Gardez-vous (ou prévoyez-vous garder) des porcs sur votre propriété? Veuillez inclure tous les porcs que vous possédez, que vous élevez ou que vous gardez sur votre propriété. N'incluez pas les porcs sauvages que vous avez vus sur votre propriété.

    Oui 1
    Non [Remerciez le participant et terminez le sondage] 2
    [NE PAS LIRE] Ne sait pas [Remerciez le participant et terminez le sondage] 9
  3. [EN LIGNE SEULEMENT] Veuillez indiquer si vous ou un membre de votre ménage possédez :

    Oui 1
    Non [Remerciez le participant et terminez le sondage] 2
    Ne sait pas/Préfère ne pas répondre 9
  4. [EN LIGNE SEULEMENT] Est-ce que vous ou un membre de votre ménage exploitez une entreprise agricole ou de production agricole de quelque nature que ce soit?

    Oui [Remerciez le participant et terminez le sondage] 1
    Non 2
    Ne sait pas/Préfère ne pas répondre [Remerciez le participant et terminez le sondage] 9
  5. Est-ce que vous ou un membre de votre ménage appartenez à une association provinciale ou nationale de producteurs de porc ou d'éleveurs de porcs?

    Oui [Remerciez le participant et terminez le sondage] 1
    Non 2
    Ne sait pas/Préfère ne pas répondre [Remerciez le participant et terminez le sondage] 9
  6. Au cours d'une année typique, combien de porcs en moyenne gardez-vous (ou prévoyez-vous garder) sur votre propriété? Veuillez inclure tous les porcs que vous possédez, que vous élevez ou que vous gardez sur votre propriété. N'incluez pas les porcs sauvages que vous avez vus sur votre propriété.

    Nombre de porcs comptés (prendre le nombre le plus élevé si on donne une plage) 1
    [NE PAS LIRE] Préfère ne pas répondre [Remerciez le participant et terminez le sondage] 9
  7. Depuis combien d'années gardez-vous ou soignez-vous des porcs?

    Moins de 1 an 1
    1 à 5 ans 2
    6 à 10 ans 3
    11 à 20 ans 4
    Plus de 20 ans 5
    [NE PAS LIRE] Ne sait pas/Préfère ne pas répondre 9
  8. Pourquoi gardez-vous des porcs? (Cochez toutes les réponses qui s'appliquent)

    Source d'alimentation pour moi, ma famille ou mes amis 1
    Passe-temps 2
    Utilisation pour le commerce ou l'échange de produits d'autres agriculteurs 3
    Animal de compagnie 4
    Pour les vendre/générer des revenus 5
    Prendre en pension les porcs de quelqu'un d'autre 6
    Autre, veuillez préciser __________ 7
    [NE PAS LIRE] Ne sait pas/Préfère ne pas répondre 9
  9. Vous avez indiqué que vous avez gardé des porcs pour [Insérer la réponse à la Q5]. Comment évalueriez-vous vos connaissances en matière de soins aux porcs?

    Débutant 1
    Intermédiaire 2
    Avancé 3
    Expert 4
    [NE PAS LIRE] Ne sait pas/Préfère ne pas répondre 9
  10. Comment faites-vous pour acquérir de nouveaux porcs? (Sélectionnez toutes les réponses qui s'appliquent.)

    Vente aux enchères 1
    Marché physique 2
    Marché en ligne 3
    Acheter directement auprès d'un autre propriétaire/éleveur de porcs 4
    J'élève de nouveaux porcs à partir de ceux que je possède 5
    Je garde des porcs appartenant à quelqu'un d'autre 6
    Autre, veuillez préciser : 7
    [NE PAS LIRE] Ne sait pas/Préfère ne pas répondre 9
  11. Au cours des 12 derniers mois, avez-vous vu, lu ou entendu quoi que ce soit au sujet des maladies porcines?

    Oui 1
    Non [Passez à la Q11] 2
    [NE PAS LIRE] Ne sait pas/Préfère ne pas répondre [Passez à Q11] 9

SI OUI À LA Q11, POSER LA Q12

  1. Qu'avez-vous vu, lu ou entendu en particulier?

    [RÉPONSE OUVERTE] [NE PAS LIRE] Ne se souvient pas

    Si Q12 = PPA, attribuez le code « oui » à la question Q14.

  2. Au cours des 12 derniers mois, avez-vous vu, lu ou entendu quoi que ce soit au sujet de la peste porcine africaine (PPA)?

    Oui 1
    Non [Passez à la Q15] 2
    [NE PAS LIRE] Ne sait pas/Préfère ne pas répondre [Passez à la Q15] 9
  3. Qu'avez-vous entendu précisément au sujet de la PPA?

    [RÉPONSE OUVERTE] 1
    [NE PAS LIRE] Ne se souvient pas 9
  4. Dans quelle mesure craignez-vous que vos porcs contractent un virus ou développent une maladie qui pourrait leur nuire ou causer leur mort? Utilisez une échelle de 1 à 7 où 1 signifie « pas du tout » et 7 signifie « très préoccupé ».

    Pas du tout préoccupé 1
      2
      3
      4
      5
      6
    Très préoccupé 7
    [NE PAS LIRE] Ne sait pas/Préfère ne pas répondre 9

[Si la réponse à la Q15 = 1-3, passez à la Q17]

  1. Les porcs pourraient être infectés de différentes façons. Quelles sont les sources d'infection qui vous préoccupent le plus? Sélectionnez toutes les réponses qui s'appliquent. [CHANGEMENT D'ORDRE]

    Porcs ou sangliers sauvages infectés par un virus qui entrent en contact avec vos porcs 1
    Vos porcs mangent des aliments porteurs de virus et de maladies 2
    Visiteurs de votre propriété porteurs de virus ou de maladies provenant d'autres fermes 3
    Contracter un virus en entrant en contact avec de l'équipement ou des véhicules empruntés à une autre ferme 4
    Apparition d'une maladie ou d'une affection par elle-même (aucune transmission connue) 5
    Autres, veuillez préciser __________ 6
    Je ne crains pas que mes porcs soient infectés [UNE SEULE RÉPONSE] 7
    [NE PAS LIRE] Ne sait pas/Préfère ne pas répondre [UNE SEULE RÉPONSE] 9
  2. Selon vous, quel est le risque que pose actuellement la peste porcine africaine pour vos porcs?

    Aucun risque 1
    Faible risque 2
    Risque modéré 3
    Risque élevé 4
    Risque très élevé 5
    [NE PAS LIRE] Ne sait pas/Préfère ne pas répondre 9
  3. À votre connaissance, quelle est la probabilité que la peste porcine africaine soit découverte au Canada?

    Très improbable 1
    Improbable 2
    Probable 3
    Très probable 4
    [NE PAS LIRE] Ne sait pas/Préfère ne pas répondre 9
  4. Si la peste porcine africaine devait un jour se propager au Canada, quelles sont, à votre connaissance, les précautions suivantes qui pourraient être mises en œuvre? (Sélectionnez toutes les réponses qui s'appliquent) [CHANGEMENT D'ORDRE]

    Imposition de zones de contrôle et de restrictions de déplacement 1
    Abattage sélectif d'animaux sains 2
    Suspension des exportations de porcs, y compris la viande de porc, les produits à base de porc ou les porcs vivants 3
    Autres, veuillez préciser __________ 4
    [NE PAS LIRE] Ne sait pas [UNE SEULE RÉPONSE] 9
  5. Si la peste porcine africaine devait un jour se propager au Canada, dans quelle mesure croyez-vous qu'elle influerait sur vos activités porcines (par ex., acquisition, possession, vente, etc.)?

    Aucun effet négatif sur mes activités liées au porc. Je continuerai comme si de rien n'était 1
    Effet négatif mineur sur mes activités liées au porc. Je devrai apporter de petits ajustements à la façon dont je contrôle et prends soin de mes porcs 2
    Effet négatif important sur mes activités liées au porc. Je devrai apporter d'importants ajustements à la façon dont je contrôle et prends soin de mes porcs 3
    Effet négatif très important sur mes activités liées au porc. Je ne serai probablement plus en mesure de garder mes porcs 4
    [NE PAS LIRE] Ne sait pas/Préfère ne pas répondre 9
  6. Veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d'accord avec l'énoncé suivant :

    Je connais toutes les pratiques exemplaires à adopter en matière d'exploitation pour éviter que la peste porcine africaine ne se propage à mes porcs

    Fortement en désaccord 1
    En désaccord 2
    Ni d'accord ni en désaccord 3
    D'accord 4
    Tout à fait d'accord 5
    [NE PAS LIRE] Ne sait pas/Préfère ne pas répondre 9
  7. Si vos porcs présentaient des symptômes de maladie, avec qui communiqueriez-vous? Sélectionnez toutes les réponses qui s'appliquent. [CHANGEMENT D'ORDRE]

    Un vétérinaire 1
    Autres éleveurs de porcs de la région 2
    Associations porcines 3
    Gouvernement fédéral/Agence canadienne d'inspection des aliments 4
    Gouvernement provincial (autorités sanitaires provinciales) 5
    Administration locale (autorités sanitaires locales) 6
    [NE PAS LIRE] Ne sait pas/Préfère ne pas répondre [UNE SEULE RÉPONSE] 9
  8. Savez-vous que si vous soupçonnez que votre porc est infecté par la peste porcine africaine, vous devez le signaler à l'Agence canadienne d'inspection des aliments, car il s'agit d'une maladie à déclaration obligatoire en vertu de la Loi sur la santé des animaux?

    Oui 1
    Non 2
    [NE PAS LIRE] Préfère ne pas répondre 9
  9. Si la peste porcine africaine devait un jour se propager au Canada, dans quelle mesure êtes-vous confiant dans la capacité des organismes de réglementation gouvernementaux de contrôler la propagation afin qu'elle soit contenue rapidement? Utilisez une échelle de 1 à 7 où 1 correspond à « pas du tout confiant » et 7 à « très confiant ».

    Pas du tout confiant 1
      2
      3
      4
      5
      6
    Très confiant 7
    [NE PAS LIRE] Ne sait pas/Préfère ne pas répondre 9
  10. Quel pourcentage de temps vos porcs passent-ils à l'intérieur et à l'extérieur?

    __% intérieur 1
    __% extérieur 2
    [NE PAS LIRE] Ne sait pas/Préfère ne pas répondre 9
  11. Où gardez-vous vos porcs? (Sélectionnez toutes les réponses qui s'appliquent.)

    Zone clôturée pour se déplacer 1
    Zone non clôturée pour se déplacer 2
    Dans une petite structure (y compris une petite grange) 3
    Intérieur – regroupés dans des enclos 4
    Intérieur – étables/enclos individuels     
    Intérieur – dans ma maison, comme animal de compagnie     
    Autre, veuillez préciser : 7
    [NE PAS LIRE] Ne sait pas/Préfère ne pas répondre [UNE SEULE RÉPONSE] 9
  12. Vos porcs entrent-ils parfois en contact avec d'autres porcs que vous ne possédez pas ou que vous ne gardez pas, comme des porcs dans d'autres fermes?

    Oui 1
    Non 2
    [NE PAS LIRE] Ne sait pas/Préfère ne pas répondre 9
  13. [Si Q8 = Si des porcs sont gardés en pension] Est-ce que vous gardez les porcs que vous mettez en pension séparément des autres porcs de votre propriété?

    Oui 1
    Non 2
    Je n'ai pas d'autres porcs que ceux que je garde pour d'autres personnes     
    [NE PAS LIRE] Ne sait pas/Préfère ne pas répondre 9
  14. Permettez-vous aux visiteurs de votre propriété d'interagir avec vos porcs?

    Oui 1
    Non 2
    [NE PAS LIRE] Ne sait pas/Préfère ne pas répondre 9
  15. Est-ce que vous ou d'autres personnes qui interagissent avec des porcs sur votre propriété, comme des membres de votre famille ou des travailleurs, interagissent aussi régulièrement avec des porcs sur d'autres propriétés?

    Oui 1
    Non 2
    [NE PAS LIRE] Ne sait pas/Préfère ne pas répondre 9
  16. Avez-vous vu des porcs sauvages ou des traces de porcs sauvages sur votre propriété? Il pourrait s'agir d'excréments, d'empreintes, etc.

    Oui 1
    Non 2
    [NE PAS LIRE] Ne sait pas/Préfère ne pas répondre 9
  17. Prenez-vous des mesures pour réduire le risque que vos porcs développent une maladie?

    Oui 1
    Non [Passez à la Q34] 2
    [NE PAS LIRE] Ne sait pas/Préfère ne pas répondre [Passez à Q34] 9
  18. [Si Q32 = « Oui »] Parmi les mesures suivantes, lesquelles utilisez-vous pour réduire le risque de maladies chez vos porcs? (Sélectionnez toutes les réponses qui s'appliquent.) [CHANGEMENT D'ORDRE]

    Je mets en place des barrières physiques comme des clôtures et des barrières pour empêcher mes porcs d'entrer en contact avec la faune 1
    J'installe des panneaux pour informer les gens de ne pas nourrir mes porcs 2
    J'évite de partager de l'équipement avec d'autres propriétaires de porcs ou agriculteurs 3
    Je mets en œuvre des mesures de lutte contre les rongeurs ou d'autres ravageurs qui pourraient propager des maladies 4
    Je me lave les mains avant ou après l'interaction avec mes porcs 5
    Je lave mes vêtements ou mon équipement avant ou après avoir interagi avec mes porcs 6
    Je dispose de vêtements ou d'équipements dédiés qui ne sont utilisés que pour interagir avec mes porcs 7
    Je contrôle la façon dont les visiteurs interagissent avec mes porcs, notamment en leur demandant de se laver les mains ou de m'informer de la visite à l'avance 8
    Je demande l'avis de mon vétérinaire dès que j'observe des signes de maladie ou d'affection chez mes porcs 9
    Je n'achète des porcs que de fournisseurs ou de sources réputés 10
    Je n'interagis pas avec mes porcs pendant un certain temps après avoir interagi avec les porcs d'autres propriétés 11
    J'isole les nouveaux porcs pendant 14 jours avant de les introduire à d'autres porcs que j'ai sur ma propriété 12
    Autres, veuillez préciser __________ 13
    Je ne prends aucune mesure particulière [UNE SEULE RÉPONSE] 98
    [NE PAS LIRE] Ne sait pas/Préfère ne pas répondre [UNE SEULE RÉPONSE] 99
  19. Quelle est la principale source de nourriture pour vos porcs? [CHANGEMENT D'ORDRE]

    Aliments pour porcs – produits par vous-même ou quelqu'un de votre ferme à l'aide d'ingrédients d'aliments à base de plantes 1
    Aliments pour porcs – prémélange d'un fournisseur d'aliments 2
    Déchets alimentaires/restes d'aliments destinés aux humains 3
    Restes d'aliments pour d'autres animaux 4
    Autre : __________ 5
    [NE PAS LIRE] Ne sait pas/Préfère ne pas répondre 9
  20. Au cours de la dernière année, avez-vous nourri vos porcs de l'un des aliments suivants? (Sélectionnez toutes les réponses qui s'appliquent.) [CHANGEMENT D'ORDRE]

    Aliments pour porcs achetés d'un magasin ou d'un fournisseur réputé 1
    Aliments pour porcs que j'ai moi-même préparés 2
    Aliments achetés d'un autre agriculteur ou d'une autre personne qui garde des porcs ou d'autres animaux 3
    Restes d'aliments d'autres animaux de votre ferme 4
    Résidus de fruits ou de légumes d'une cuisine ou d'un restaurant ou d'une source semblable 5
    Autres restes d'aliments destinés à la consommation humaine (par ex., cuisine, restaurant ou source semblable) 6
    Autre, veuillez préciser : 7
    [NE PAS LIRE] Ne sait pas/Préfère ne pas répondre [UNE SEULE RÉPONSE] 9
  21. Êtes-vous conscient des risques pour vos porcs si vous les nourrissez avec des restes de nourriture après que d'autres personnes aient été en contact avec ceux-ci (par ex., des déchets ou des restes de cuisine ou de restaurant)?

    Oui 1
    Non 2
    [NE PAS LIRE] Préfère ne pas répondre 9
  22. Lequel des éléments suivants utilisez-vous comme source d'eau pour vos porcs? (Sélectionnez toutes les réponses qui s'appliquent.)

    Eau de surface (par ex., étangs, ruisseaux ou réservoirs) 1
    Approvisionnement en eau municipal 2
    Eau de pluie collectée (à l'exclusion des flaques d'eau ou des réservoirs) 3
    Eau de puits 4
    Autre, veuillez préciser : 5
    [NE PAS LIRE] Ne sait pas/Préfère ne pas répondre [UNE SEULE RÉPONSE] 9

Section sur l'objectivité : Découvrir les obstacles perçus à de saines pratiques de biosécurité.

  1. Connaissez-vous les normes nationales de biosécurité? Utilisez une échelle de 1 à 7 où 1 signifie « pas du tout familier » et 7 « très familier ».

    Pas du tout familier 1
         2
         3
         4
         5
         6
    Très familier 7
    [NE PAS LIRE] Ne sait pas/Préfère ne pas répondre 9
  2. Quels sont les obstacles qui vous empêchent d'en faire plus pour empêcher vos porcs de contracter des maladies? Sélectionnez toutes les réponses qui s'appliquent.

    Il est trop coûteux de mettre en œuvre d'autres mesures 1
    Il est trop difficile de mettre en œuvre d'autres mesures 2
    Je n'ai pas le temps de faire autre chose 3
    Je ne connais pas suffisamment les mesures à prendre pour prévenir les maladies 4
    Autres, veuillez préciser __________ 5
    [NE PAS LIRE] Je n'ai aucun obstacle [UNE SEULE RÉPONSE] 6
    [NE PAS LIRE] Préfère ne pas répondre [UNE SEULE RÉPONSE] 9
  3. Au cours de la dernière année, avez-vous demandé des soins vétérinaires pour vos porcs?

    Oui 1
    Non [Sautez la Q41] 2
    [NE PAS LIRE] Ne sait pas/Préfère ne pas répondre 9
  4. [Si Q40 = « oui »] Laquelle des propositions suivantes décrit le mieux la fréquence à laquelle vos porcs reçoivent des soins vétérinaires?

    Régulièrement, au moins une fois tous les 6 mois 1
    Régulièrement, au moins une fois par année 2
    Seulement lorsqu'il y a un problème 3
    Autres, veuillez préciser __________ 4
    [NE PAS LIRE] Ne sait pas/Préfère ne pas répondre 9
  5. [Si Q40 = « non »] Pourquoi n'avez-vous pas demandé de soins vétérinaires sur une base régulière pour vos porcs? Sélectionnez toutes les réponses qui s'appliquent.

    Il m'est difficile de trouver un vétérinaire ou des soins vétérinaires 1
    Je ne ressens pas le besoin de communiquer avec un vétérinaire 2
    Mes porcs ne sont pas destinés à servir de source de nourriture, ils n'ont donc pas besoin d'être examinés, sauf s'ils sont manifestement malades 3
    Je ne fais pas confiance aux vétérinaires 4
    Je n'ai pas les moyens de payer un vétérinaire 5
    Autres, veuillez préciser __________ 6
    [NE PAS LIRE] Ne sait pas/Préfère ne pas répondre 9
  6. Si l'un de vos porcs devait mourir ou devait être euthanasié, laquelle des mesures suivantes seriez-vous le plus susceptible de prendre pour disposer de l'animal? UNE SEULE RÉPONSE [CHANGEMENT D'ORDRE]

    Le vendre à une personne intéressée 1
    Enterrer dans le sol 2
    En faire don à la science ou à la recherche 3
    Utiliser un service de collecte des déchets spécialisé dans le bétail 4
    Travailler avec un vétérinaire pour savoir pourquoi il est mort 5
    L'apporter au dépotoir local ou au lieu d'élimination des déchets 6
    Autre, veuillez préciser : 7
    Je ne sais pas ce que je ferais 8
    [NE PAS LIRE] Préfère ne pas répondre 9
  7. Parmi les sources suivantes, quelles sont celles que vous utilisez pour trouver des renseignements sur les soins à apporter aux porcs? (Sélectionnez toutes les réponses qui s'appliquent.) [CHANGEMENT D'ORDRE]

    Gouvernement fédéral 1
    Gouvernement provincial 2
    Votre vétérinaire 3
    Organismes provinciaux du porc (p. ex., Alberta Pork, SaskPork, Manitoba Pork, Ontario Pork) 4
    Associations de l'industrie (p. ex., Conseil canadien du porc) 5
    Publications de l'industrie sur les médias sociaux 6
    Groupes dans les médias sociaux 7
    Forums et sites de discussion en ligne 8
    Circulaires et autres points de vente où j'achète des fournitures agricoles 9
    Bouche-à-oreille d'autres éleveurs de porcs 10
    Sites Web particuliers (p. ex., National Hog Farmer, The Pig Site) 11
    Autre, veuillez préciser : 97
    Je ne cherche pas de renseignements de quelque source que ce soit [UNE SEULE RÉPONSE] 98
    [NE PAS LIRE] Ne sait pas/Préfère ne pas répondre [UNE SEULE RÉPONSE] 99
  8. Parmi ces sources, à laquelle faites-vous le plus confiance?

  9. [Si la Q44 n'est pas « Je ne cherche pas de renseignements de quelque source que ce soit » ou « Ne sait pas/Préfère ne pas répondre »] En moyenne, combien d'heures par mois consacrez-vous à des recherches sur les procédures de soins aux porcs, toutes sources confondues?

    Moins d'une heure 1
    1 à 5 heures 2
    6 à 10 heures 3
    Plus de 11 heures 4
    [NE PAS LIRE] Ne sait pas/Préfère ne pas répondre 9
  10. Veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d'accord avec l'énoncé suivant :

    Je suis en mesure de trouver tous les renseignements dont j'ai besoin sur les précautions nécessaires pour m'assurer que mes porcs sont protégés des maladies.

    Fortement en désaccord 1
    En désaccord 2
    Ni d'accord ni en désaccord 3
    D'accord 4
    Tout à fait d'accord 5
    [NE PAS LIRE] Ne sait pas/Préfère ne pas répondre 9
  11. Dans quelle mesure connaissez-vous le rôle de l'Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA) dans la prévention de la propagation de la peste porcine africaine au Canada? Utilisez une échelle de 1 à 7 où 1 signifie « pas du tout familier » et 7 « très familier ».

    Pas du tout familier 1
         2
         3
         4
         5
         6
    Très familier 7
    [NE PAS LIRE] Ne sait pas/Préfère ne pas répondre 9
  12. Comment préféreriez-vous recevoir des renseignements réglementaires concernant vos porcs? [SÉLECTIONNEZ TOUTES LES RÉPONSES QUI S'APPLIQUENT]

    Conversation directe avec un responsable de la réglementation/représentant de l'Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA) 1
    Bulletin électronique 2
    Bulletin d'information traditionnel sur papier 3
    Site Web spécialisé 4
    Messages directs dans les médias sociaux 5
    Conférence ou congrès 6
    Numéro de téléphone ou ligne 1-800 avec de l'information 7
    Autres, veuillez préciser __________ 8
    [NE PAS LIRE] Ne sait pas/Préfère ne pas répondre [UNE SEULE RÉPONSE] 9

Les dernières questions sont strictement à des fins statistiques. Toutes vos réponses sont entièrement confidentielles.

  1. Veuillez indiquer votre genre.

    Homme 1
    Femme 2
    Diversité de genre 3
    [NE PAS LIRE] Préfère ne pas répondre 9
  2. Dans quelle province ou quel territoire vivez-vous?

    Terre-Neuve-et-Labrador 1
    Nouvelle-Écosse 2
    Île-du-Prince-Édouard 3
    Nouveau-Brunswick 4
    Québec 5
    Ontario 6
    Manitoba 7
    Saskatchewan 8
    Alberta 9
    Colombie-Britannique 10
    Yukon 11
    Nunavut 12
    Territoires du Nord-Ouest 13
    [NE PAS LIRE] Préfère ne pas répondre 99
  3. Quel est le plus haut niveau de scolarité que vous avez atteint?

    8e année ou moins 1
    Études secondaires partielles 2
    Diplôme d'études secondaires ou l'équivalent 3
    Certificat ou diplôme d'apprenti inscrit ou autre métier 4
    Certificat ou diplôme d'un collège, d'un cégep ou d'un autre établissement non universitaire 5
    Certificat ou diplôme universitaire inférieur au baccalauréat 6
    Baccalauréat 7
    Diplôme d'études supérieures au baccalauréat 8
    [NE PAS LIRE] Ne sait pas/Préfère ne pas répondre 99
  4. Êtes-vous un Autochtone, c'est-à-dire membre des Premières Nations (Indien de l'Amérique du Nord), Métis ou Inuk (Inuit)?

    Oui [PASSEZ À LA Q55] 1
    Non 2
    [NE PAS LIRE] Ne sait pas/Préfère ne pas répondre 9
  5. [SI NON AUTOCHTONE] Êtes-vous…? [SÉLECTIONNEZ JUSQU'À 3 CHOIX]

    Caucasien 1
    Asiatique du Sud (p. ex., Indien de l'Est, Pakistanais, Sri Lankais, etc.) 2
    Chinois 3
    Noir 4
    Philippins 5
    Amérique latine 6
    Arabe 7
    Asiatique du Sud-Est (p. ex., Vietnamien, Cambodgien, Malaisien, Laotien, etc.) 8
    Asiatique occidental (p. ex., Iranien, Afghan, etc.) 9
    Coréen 10
    Japonais 11
    Autre [Veuillez préciser] 98
    [NE PAS LIRE] Ne sait pas/Préfère ne pas répondre 99
  6. Quelle est la langue que vous parlez le plus souvent à la maison?

    Anglais 1
    Français 2
    Autre 8
    [NE PAS LIRE] Ne sait pas/Préfère ne pas répondre 9
  7. Laquelle des catégories suivantes décrit le mieux votre revenu total du ménage? C'est-à-dire le revenu total de toutes les personnes de votre ménage, avant impôt?

    Moins de 20 000 $ 1
    20 000 $ à un peu moins de 40 000 $ 2
    40 000 $ à un peu moins de 60 000 $ 3
    60 000 $ à un peu moins de 80 000 $ 4
    80 000 $ à un peu moins de 100 000 $ 5
    100 000 $ à un peu moins de 150 000 $ 6
    150 000 $ et plus 7
    [NE PAS LIRE] Ne sait pas/Préfère ne pas répondre 9
  8. Décrivez la collectivité dans laquelle vous vivez

    Urbaine 1
    Banlieue 2
    Rural 3
    Isolée 4
    [NE PAS LIRE] Ne sait pas/Préfère ne pas répondre 9
  9. Quels sont les 3 premiers caractères de votre code postal?

    [ENREGISTRER] [NE PAS LIRE] Ne sait pas/Préfère ne pas répondre

Nous pouvons effectuer des recherches qualitatives de suivi sur les sujets couverts par ce sondage.

Il s'agirait d'un entretien téléphonique avec un professionnel de la recherche, d'une durée de 30 à 40 minutes. Les participants recevraient une rétribution en guise de remerciement de leur temps.

La participation à la prochaine étape de la recherche est entièrement volontaire. Si vous êtes intéressé, vous devrez fournir votre prénom, votre nom de famille, votre numéro de téléphone et votre adresse électronique pour être sélectionné en vue de l'entrevue. Veuillez noter que ces renseignements ne serviront pas à l'analyse de vos réponses et qu'ils ne seront utilisés que si vous êtes choisi pour faire partie des personnes invitées à participer à une étape qualitative subséquente de la recherche.

  1. Souhaitez-vous participer?

    Oui     
    Non     
  2. [SI OUI] Merci de votre intérêt. Veuillez fournir les coordonnées suivantes.

    [PRÉNOM]
    [NOM DE FAMILLE]
    [NUMÉRO DE TÉLÉPHONE]
    [COURRIEL]

    [TEST PRÉLIMINAIRE SEULEMENT, AJOUTER LES QUESTIONS A À J]

    1. Avez-vous trouvé qu'un aspect de ce sondage était difficile à comprendre? O/ N
    2. [SI A=OUI] Veuillez décrire ce que vous avez trouvé difficile à comprendre.
    3. Avez-vous trouvé qu'il était difficile pour vous de répondre aux questions de ce sondage? O/ N
    4. [SI C=OUI] Veuillez décrire le problème lié à la façon dont la question a été posée.
    5. Avez-vous éprouvé des difficultés avec la langue? O/ N
    6. [SI E=OUI] Veuillez décrire les difficultés que vous avez rencontrées avec la langue.
    7. Avez-vous trouvé que certains termes portaient à confusion? O/ N
    8. [SI G=OUI] Veuillez décrire les termes qui portaient à confusion.
    9. Avez-vous rencontré d'autres problèmes au cours de ce sondage dont vous aimeriez que nous soyons informés? O/ N
    10. [SI I=OUI] De quoi s'agit-il?

Voilà qui conclut le sondage. Merci de votre participation!

Annexe C : Rapport sur la méthodologie d'entrevue

Méthodologie

La phase qualitative comprenait une série de 20 entrevues qualitatives auprès de petits producteurs de porc qui n'appartiennent à aucune association nationale ou provinciale de producteurs de porc. 5 entrevues ont été menées en français et 15 en anglais. 7 ont été menées en ligne par Zoom, tandis que les 13 autres ont été menées par téléphone. Les entrevues ont duré environ 30 minutes. Les entrevues ont eu lieu du 16 février au 4 mars 2021. Les participants ont reçu une rétribution de 175 $ en guise de remerciement pour leur temps.

Recrutement

Les participants ont été recrutés à l'aide d'un questionnaire de sélection (inclus à l'annexe E).

Les groupes cibles étaient les petits producteurs de porc qui n'appartiennent pas à une association nationale ou provinciale de producteurs de porc. L'outil de sélection contenait une série de questions normalisées pour s'assurer que les participants étaient qualifiés en fonction des animaux qu'ils possèdent et pour vérifier qu'ils n'étaient pas membres d'une association. L'outil de sélection comprenait également une question pour déterminer combien de porcs les participants possédaient. Un effort a été fait pour recruter des participants ne possédant que quelques porcs (1 à 5).

Notre partenaire de recrutement, Decision Point, s'est appuyé sur la liste de Dun & Bradstreet, présélectionnée pour les codes SCIAN des entreprises agricoles afin de recruter des participants.

Modération

On a fait appel à 2 intervieweurs pour mener les entrevues. Chaque intervieweur prend des notes et résume ses entrevues. Ensemble, ils discutent des résultats de manière continue afin de pouvoir approfondir les domaines qui nécessitent une enquête plus poussée lors des entretiens suivants et avant que les résultats finaux ne soient communiqués.

Remarque sur l'interprétation des résultats de la recherche qualitative

Il est important de noter que la recherche qualitative est une forme de recherche scientifique, sociale, stratégique et d'opinion publique. La recherche par groupe de discussion n'est pas conçue pour aider un groupe à parvenir à un consensus ou à prendre des décisions, mais plutôt pour obtenir la gamme complète d'idées, d'attitudes, d'expériences et d'opinions d'un échantillon sélectionné de participants sur un sujet défini. En raison du petit nombre de participants, on ne peut s'attendre à ce que ceux-ci soient parfaitement représentatifs, au sens statistique, de la population plus large dont ils sont issus et les résultats ne peuvent être généralisés de manière fiable au-delà de leur nombre.

Annexe D : Guide de discussion

Objectifs

Nom :
Date/Heure :
Connexion à la conférence (le cas échéant) :
Entrevue menée par :

Merci d'avoir accepté de participer à ce projet de recherche au nom de l'Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA). La recherche sera utilisée pour aider l'ACIA à mieux comprendre vos opinions, vos habitudes de consommation de renseignements et vos activités liées aux quelques porcs que vous possédez.

À titre de rappel :

Nous vous sommes très reconnaissants d'avoir pris le temps de nous parler aujourd'hui et de nous faire part de vos expériences. Vos points de vue et vos opinions sont extrêmement importants.

Propriété des porcs et profil opérationnel

J'aimerais commencer par vous poser quelques questions au sujet de votre expérience en matière d'élevage et de soins aux porcs.

Sensibilisation et connaissance des maladies porcines

Obstacles aux mesures de biosécurité

Communication et sources d'information

Examen des images

Je vais maintenant vous montrer des photos qui sont utilisées comme publicités en ligne et qui sont liées à de l'information sur la peste porcine africaine. Laquelle des photos suivantes préférez-vous comme publicité en ligne pour informer les éleveurs de porcs des dangers et des précautions à prendre contre la peste porcine africaine? Seriez-vous plus enclin à cliquer sur l'une plutôt que sur l'autre? Pourquoi?

Image A

Photo - Une photo utilisée pour une publicité en ligne qui dit « Fermez la porte à la peste porcine africaine. Utilisez la liste de contrôle. » Description follows.
Description de la photo - Image A

Une photo utilisée pour une publicité en ligne qui dit « Fermez la porte à la peste porcine africaine. Utilisez la liste de contrôle ».

Image B

Photo - Une photo utilisée pour une publicité en ligne qui dit « Fermez la porte à la peste porcine africaine. Utilisez la liste de contrôle. » Description follows.
Description de la photo - Image B

Une photo utilisée pour une publicité en ligne qui dit « Fermez la porte à la peste porcine africaine. Utilisez la liste de contrôle ».

Conclusion

Cela met fin à toutes les questions officielles que j'avais à vous poser aujourd'hui.

Nous vous sommes très reconnaissants d'avoir pris le temps de nous parler aujourd'hui. Vos commentaires seront très utiles pour aider l'ACIA à recueillir des renseignements sur la façon dont les producteurs envisagent et gèrent la biosécurité.

Annexe E : Analyse

Résumé de l'entrevue approfondie

Bonjour, je m'appelle __________. Je vous appelle au nom d'Earnscliffe Strategy Group, une entreprise nationale de recherche sur l'opinion publique. Would you prefer to continue in English or French? /Préférez-vous continuer en anglais ou en français?

De temps à autre, nous sollicitons des opinions en communiquant avec des Canadiens. Nous nous préparons à mener une série d'entrevues individuelles pour le gouvernement du Canada, plus précisément de l'Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA), et j'aimerais m'entretenir avec vous au sujet de votre compréhension et de vos opinions sur la biosécurité. Veuillez noter qu'il ne s'agit pas d'un appel de vente. Cette recherche importante aidera le gouvernement à comprendre le point de vue des producteurs sur la biosécurité. Puis-je continuer?

 

Oui CONTINUEZ
Non DEMANDEZ À ÊTRE DIRIGÉ VERS LA BONNE PERSONNE. RÉPÉTEZ DEPUIS LE DÉBUT EN CAS DE TRANSFERT.

Nous communiquons avec vous aujourd'hui pour vous demander de participer à une discussion afin de communiquer votre point de vue sur la biosécurité. La participation est volontaire. Nous souhaitons connaître votre opinion; nous ne tenterons pas de vous vendre quoi que ce soit ou de changer votre point de vue. Il s'agit d'une entrevue individuelle de 30 à 40 minutes avec un professionnel de la recherche. Toutes les opinions exprimées demeureront anonymes et les points de vue seront regroupés pour qu'aucune personne en particulier ne puisse être identifiée. Les participants recevront une rétribution de 175 $ pour leur participation. Avant de vous inviter à participer, nous devons vous poser quelques questions afin de nous assurer que nous obtenons un échantillon adéquat de participants. Puis-je vous poser quelques questions?

REMARQUE POUR L'INTERVIEWEUR : Si un participant demande des détails sur ce projet de recherche, vous pouvez l'informer de ce qui suit : Earnscliffe Strategy Group est situé au 46, rue Elgin, bureau 400, Ottawa (Ontario) K1P 5K6.

Si un participant demande des détails sur le rôle de promoteur du gouvernement du Canada, vous pouvez l'informer de ce qui suit : Agence canadienne d'inspection des aliments, située au 1400, chemin Merivale, Ottawa (Ontario) K1A 0Y9.

 

Oui CONTINUEZ
Non REMERCIEZ LE PARTICIPANT ET TERMINEZ L'ENTRETIEN

LIRE À TOUS : « Cet appel peut être suivi ou enregistré à des fins de contrôle de la qualité et d'évaluation. »

PRÉCISIONS SUPPLÉMENTAIRES AU BESOIN :

S1.    Gardez-vous (ou prévoyez-vous de garder) des porcs sur votre propriété? Veuillez inclure tous les porcs que vous possédez, que vous élevez ou que vous gardez sur votre propriété. N'incluez pas les porcs sauvages que vous avez vus sur votre propriété.

 

Oui 1     
Non 2 [REMERCIEZ LE PARTICIPANT ET TERMINEZ LE SONDAGE]
Ne sait pas/Préfère ne pas répondre 9 [REMERCIEZ LE PARTICIPANT ET TERMINEZ LE SONDAGE]

S2.    Est-ce que vous ou un membre de votre ménage appartenez à une association provinciale ou nationale de producteurs de porc ou d'éleveurs de porcs?

 

Oui 1 [REMERCIEZ LE PARTICIPANT ET TERMINEZ LE SONDAGE]
Non 2     
Ne sait pas/Préfère ne pas répondre 9 [REMERCIEZ LE PARTICIPANT ET TERMINEZ LE SONDAGE]

S3.    Au cours d'une année typique, combien de porcs en moyenne gardez-vous (ou prévoyez-vous garder) sur votre propriété?
    Veuillez inclure tous les porcs que vous possédez, que vous élevez ou que vous gardez sur votre propriété. N'incluez pas les porcs sauvages que vous avez vus sur votre propriété.

[NOMBRE DE PORCS COMPTÉS]

S4.    Depuis combien d'années gardez-vous ou soignez-vous des porcs?

 

Moins de 1 an 1
1 à 5 ans 2
6 à 10 ans 3
11 à 20 ans 4
plus de 20 ans 5
Ne sait pas/Préfère ne pas répondre 9

S5.    Dans quelle province ou quel territoire habitez-vous? [ASSUREZ-VOUS D'AVOIR UNE BONNE RÉPARTITION DES RÉGIONS]

 

Terre-Neuve-et-Labrador 1
Nouvelle-Écosse 2
Île-du-Prince-Édouard 3
Nouveau-Brunswick 4
Québec 5
Ontario 6
Manitoba 7
Saskatchewan 8
Alberta 9
Colombie-Britannique 10
Nunavut 11
Territoires du Nord-Ouest 12
Yukon 13

S6.    Veuillez indiquer votre genre. Vous identifiez-vous comme :

 

Homme 1
Femme 2
Diversité de genre 3
Préfère ne pas répondre 9

S9.    Pouvez-vous me dire à laquelle des catégories d'âge suivantes vous appartenez? Catégorie :

 

18 à 34 ans 1
35 à 54 ans 2
55 à 74 ans 3
Plus de 75 ans 4
Préfère ne pas répondre 99

S10.    Êtes-vous un Autochtone, c'est-à-dire membre des Premières Nations (Indien de l'Amérique du Nord), Métis ou Inuk (Inuit)?

 

Oui 1
Non 2
Ne sait pas/Préfère ne pas répondre 9

S11.    [SI NON AUTOCHTONE] Êtes-vous…? [SÉLECTIONNEZ JUSQU'À 3 CHOIX]

 

Caucasien 1
Asiatique du Sud (p. ex., Indien de l'Est, Pakistanais, Sri Lankais, etc.) 2
Chinois 3
Noir 4
Philippins 5
Amérique latine 6
Arabe 7
Asiatique du Sud-Est (p. ex., Vietnamien, Cambodgien, Malaisien, Laotien, etc.) 8
Asiatique occidental (p. ex., Iranien, Afghan, etc.) 9
Coréen 10
Japonais 11
Autre 98
Ne sait pas/Préfère ne pas répondre 99

S12.    Les participants aux entrevues de recherche et aux groupes de discussion sont invités à exprimer leurs opinions et leurs points de vue. Dans quelle mesure êtes-vous à l'aise d'exprimer vos opinions devant les autres? Êtes-vous : (LIRE LA LISTE)

 

Très à l'aise 1 CONTINUEZ
Assez à l'aise 2 CONTINUEZ
Pas très à l'aise 3 REMERCIEZ LE PARTICIPANT ET TERMINEZ LE SONDAGE
Pas du tout à l'aise 4 REMERCIEZ LE PARTICIPANT ET TERMINEZ LE SONDAGE
Ne sait pas/Préfère ne pas répondre 9 REMERCIEZ LE PARTICIPANT ET TERMINEZ LE SONDAGE

INVITATION :
S13.    Les entrevues approfondies se dérouleront par téléphone. Elles dureront environ 30 à 40 minutes. L'entrevue sera menée par un professionnel de la recherche. Les personnes interrogées recevront une rétribution de 175 $ pour leur temps. Seriez-vous disponible pour participer à l'entrevue le DATE ET HEURE?

 

Oui 1     
Non 2 REMERCIEZ LE PARTICIPANT ET TERMINEZ LE SONDAGE

Questions sur les renseignements personnels

J'ai maintenant quelques questions qui ont trait à la vie privée, à vos renseignements personnels et au processus de recherche. Nous aurons besoin de votre consentement sur quelques points qui nous permettront de faire notre recherche. Pendant que je passe en revue ces questions, n'hésitez pas à me poser les questions pour lesquelles vous souhaitez plus de détails.

P1)     Tout d'abord, nous fournirons à l'intervieweur une liste des prénoms et des profils des répondants (réponses de l'analyse) afin qu'il puisse s'assurer qu'il parle à la bonne personne. Avons-nous votre permission de le faire? Je vous assure que cela restera strictement anonyme.

 

Oui 1 PASSEZ À LA P2
Non 2 PASSEZ À LA P1A

Nous devons fournir à l'intervieweur le nom et les antécédents des personnes qui participent à une entrevue, parce que seules les personnes invitées sont autorisées et que l'intervieweur doit avoir ces renseignements à des fins de vérification. Soyez assurés que ces renseignements demeureront strictement anonymes.

Maintenant que j'ai expliqué cette information, ai-je votre permission de fournir votre nom et votre profil à l'intervieweur?

 

Oui 1 PASSEZ À LA P2
Non 2 REMERCIEZ LE PARTICIPANT ET TERMINEZ LE SONDAGE

P2)    Un enregistrement audio de l'entrevue peut être produit à des fins de recherche. Il sera utilisé uniquement par le professionnel de la recherche pour aider à préparer un rapport sur les résultats de la recherche et sera détruit une fois le rapport terminé.

Acceptez-vous d'être enregistré uniquement à des fins de recherche?

 

Oui 1 REMERCIEZ LE PARTICIPANT ET PASSEZ À LA P3
Non 2 PASSEZ À LA P2A

P2A)    Pour le processus de recherche, nous devons enregistrer la conversation audio, car le chercheur en a besoin pour terminer le rapport.

Maintenant que j'ai expliqué cette information, ai-je votre permission pour l'enregistrement audio?

 

Oui 1 REMERCIEZ LE PARTICIPANT ET PASSEZ À LA P3
Non 2 REMERCIEZ LE PARTICIPANT ET TERMINEZ LE SONDAGE

P3)    Les employés de l'ACIA et du gouvernement du Canada peuvent écouter les entrevues (par enregistrement).

Êtes-vous d'accord pour permettre aux employés du gouvernement du Canada d'écouter l'enregistrement?

 

Oui 1 REMERCIEZ LE PARTICIPANT ET PASSEZ À L'INVITATION
Non 2 PASSEZ À LA P3A

P3a)    La procédure qualitative habituelle consiste à inviter les clients, en l'occurrence les employés du gouvernement du Canada, à observer la recherche ou à écouter les entrevues après qu'elles ont eu lieu. Ils le feront seulement pour entendre vos opinions directement, bien qu'ils puissent prendre leurs propres notes et s'entretenir avec l'intervieweur à l'occasion.

Êtes-vous d'accord pour permettre aux employés du gouvernement du Canada d'écouter l'enregistrement?

 

Oui 1 REMERCIEZ LE PARTICIPANT ET PASSEZ À L'INVITATION
Non 2 REMERCIEZ LE PARTICIPANT ET TERMINEZ LE SONDAGE

Merveilleux, vous êtes admissible à participer à l'une de nos entrevues. Comme je l'ai mentionné plus tôt, l'entrevue aura lieu le [jour, mois, date] à [HEURE] pendant une période maximale de 40 minutes.

ENTREVUES TÉLÉPHONIQUES APPROFONDIES du 11 février au 4 mars 2021

Programme pour des intervalles d'une heure    Rétribution : 175 $

Comme nous n'invitons qu'un petit nombre de personnes, votre participation est très importante pour nous. Si, pour une raison ou une autre, vous n'êtes pas en mesure d'assister à ce rendez-vous, veuillez nous appeler afin que nous puissions le reporter. Vous pouvez nous joindre au [INSÉRER LE NUMÉRO DE TÉLÉPHONE] à notre bureau. Veuillez demander à parler avec [NOM]. Quelqu'un vous rappellera dans les jours précédant l'entrevue.

Afin que nous puissions vous appeler pour effectuer un rappel de l'entrevue ou communiquer avec vous s'il y a des changements, pouvez-vous me confirmer votre nom et vos coordonnées?

Prénom
Nom de famille
Courriel
Numéro de téléphone de jour
Numéro de téléphone de soir

Merci beaucoup de votre participation!

Si le répondant refuse de donner son prénom, son nom de famille ou son numéro de téléphone, veuillez l'assurer que ces renseignements demeureront strictement anonymes conformément à la Loi sur la protection des renseignements personnels et qu'ils serviront strictement à communiquer avec lui pour confirmer sa présence et l'informer de tout changement apporté au groupe de discussion. S'il refuse toujours, remerciez-le et terminez l'entretien.