Recherche sur l’opinion publique canadienne de 2022-2023 pour appuyer les communications liées à la peste porcine africaine

Agence canadienne d’inspection des aliments

Rapport final

Mars 2023

Préparé pour :

Agence canadienne d’inspection des aliments

Fournisseur : Le groupe-conseil Quorus Inc

Date d’octroi du contrat : 5 décembre 2022

Date de livraison : mars 2023

Valeur du contrat (TVH incluse) : 104 928,14 $

Numéro de contrat : CW2251163

Numéro de ROP : POR-086-22

Pour obtenir de plus amples renseignements, veuillez communiquer avec :

Information@inspection.gc.ca

This report is also available in English.

Page de copyright

Recherche sur l’opinion publique canadienne de 2022-2023 pour appuyer les communications liées à la peste porcine africaine

Rapport final

Préparé pour l’Agence canadienne d’inspection des aliments

Fournisseur : Le groupe-conseil Quorus Inc.

Mars 2023

Le présent rapport de recherche sur l’opinion publique contient les résultats d’une recherche en deux volets (quantitatif et qualitatif) menée par le groupe-conseil Quorus Inc. au nom de l’Agence canadienne d’inspection des aliments en février 2023.

This publication is also available in English entitled: Public Opinion Research with Canadians to support communications on African Swine Fever: 2022-2023

Le présent document peut être reproduit pour des fins non commerciales uniquement. Une permission écrite doit être obtenue au préalable auprès de l’Agence canadienne d’inspection des aliments. Pour obtenir de plus amples renseignements sur le présent rapport, veuillez communiquer avec l’Agence canadienne d’inspection des aliments par courriel à Information@inspection.gc.ca, ou par la poste, à l’adresse suivante :

Agence canadienne d’inspection des aliments

1400, chemin Merivale

Ottawa (Ontario)

K1A 0Y9

Numéro de catalogue :

A104-287/2023F-PDF

Numéro international normalisé du livre (ISBN) :

978-0-660-48126-5

Publications connexes (numéro d’enregistrement : POR-041-21) :

Numéro de catalogue : A104-287/2023E-PDF (rapport final en anglais)

ISBN : 978-0-660-48125-8

© Sa Majesté le roi du chef du Canada, représenté par le ministre de la Santé, 2023

Imprimé au Canada et icône de recyclage.

Attestation de neutralité politique

J’atteste, par les présentes, à titre de président du groupe-conseil Quorus, que les produits livrables sont entièrement conformes aux exigences en matière de neutralité politique du gouvernement du Canada énoncées dans la Politique sur les communications et l’image de marque et la Directive sur la gestion des communications – Annexe C.

Plus précisément, les produits livrables ne comprennent pas d’information sur les intentions de vote électoral, les préférences quant aux partis politiques, les positions des partis ou l’évaluation de la performance d’un parti politique ou de ses dirigeants.

Signé :

Signature de Rick Nadeau.

Le 17 mars 2023 Rick Nadeau, président Le groupe-conseil Quorus Inc.

Table des matières

  1. Sommaire
    1. But et objectifs de la recherche
    2. Méthodologie
    3. Résultats de la recherche qualitative
    4. Résultats de la recherche quantitative
  2. Résultats détaillés
    1. But et objectifs de la recherche
    2. Résultats de la recherche qualitative
      1. Points de vue et expériences des voyages et des expéditions de produits au Canada
      2. Vivre avec des porcs ou à proximité de ceux-ci
      3. Connaissance et préoccupations quant aux risques liés à la peste porcine africaine (PPA)
      4. Revue des ressources en ligne et des publicités
    3. Résultats de la recherche quantitative
      1. Auditoires cibles
      2. Connaissance de la peste porcine africaine
      3. Connaissance et points de vue sur les comportements susceptibles d’introduire la PPA au Canada
      4. Niveaux de préoccupations quant à la présence éventuelle de la PPA au Canada
      5. Communications et sensibilisation
    4. Méthodologie
  3. Annexes
    1. Annexe A: Questionnaire de recrutement pour les groupes de discussion
    2. Annexe B: Guide de l’animateur pour les groupes de discussion
    3. Annexe C: Instrument de sondage

Sommaire

But et objectifs de la recherche

La peste porcine africaine (PPA) est une maladie virale qui affecte seulement les porcs, et qui pose un risque important pour la santé des troupeaux de porcs, l’industrie du porc et l’économie canadienne. La PPA est hautement contagieuse pour les porcs et peut se propager rapidement par contact direct et indirect avec des porcs ou des produits de porc infectés ou de l’équipement agricole, de la nourriture pour animaux ou des vêtements contaminés.

Depuis 2018, la maladie s’est propagée en Asie et en Europe, et l’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) a déployé des efforts importants pour atténuer les risques d’introduction de la PPA au Canada et à se préparer à cette éventualité.

Afin d’atténuer les risques d’introduction de la PPA au Canada, l’ACIA entend communiquer avec les Canadiens, en particulier ceux qui pourraient se livrer à des activités qui risquent davantage de propager la PPA au Canada, comme les voyages à l’étranger, l’importation d’aliments ou le fait de vivre en zone rurale où il y a plus de chances d’avoir des porcs.

La recherche avait plusieurs objectifs :

  • Mieux comprendre le niveau de sensibilisation de la population canadienne au danger que représente la peste porcine africaine;

  • Sonder les opinions, les perceptions et les préoccupations de la population canadienne à l’égard de la peste porcine africaine;

  • En apprendre davantage sur les projets de voyage des Canadiens à l’étranger;

  • Déterminer si des membres de la famille ou des amis vivant à l’étranger avaient l’intention de visiter des résidents du Canada;

  • Déterminer si les Canadiens recevaient des colis de l’étranger contenant des produits alimentaires;

  • Déterminer si les voyageurs étaient au courant de leur obligation de déclarer s’ils transportaient des produits du porc à leur retour au Canada.

Méthodologie

Le volet qualitatif de la recherche consistait en huit groupes de discussion en ligne avec des publics cibles précis dirigés par Quorus du 7 au 13 février 2023. Deux séances ont eu lieu avec des personnes qui avaient voyagé à l’étranger, trois avec des membres de communautés ethniques (une avec des Italiens et des Allemands, une autre avec des Chinois, des Philippins et des Vietnamiens, et une dernière avec des Haïtiens), et trois autres avec des résidents de régions rurales, dont des personnes qui habitent à proximité d’une ferme porcine ou qui sont propriétaires de porcs. Au total, 61 personnes ont pris part aux séances de groupe.

Le volet quantitatif consistait en un sondage national en ligne mené auprès de 2 732 ménages canadiens, avec un chevauchement de publics cibles. Les données ont été recueillies du 1er au 23 février 2023.

Résultats de la recherche qualitative

Points de vue et expériences avec les voyages ou les expéditions de produits au Canada

Voyageurs

Les personnes qui voyagent à l’étranger rapportent souvent des choses au Canada, que ce soit des souvenirs, de l’alcool, des vêtements ou des aliments. Les voyageurs ont partagé différents points de vue au sujet des aliments qu’ils rapportent au pays. Dans la plupart des cas, ils ont indiqué qu’ils déclaraient les produits alimentaires à leur arrivée au Canada. La majorité s’est dit à l’aise de rapporter des aliments qui d’après eux passeront facilement la douane (par exemple, des produits emballés ou transformés comme des collations). De nombreux voyageurs ne tentent même pas de rapporter des aliments frais ou non transformés comme des fruits, des légumes ou de la viande crus, principalement parce qu’il est difficile de conserver leur fraicheur durant le long voyage de retour, en particulier la viande crue. Lorsqu’ils rapportent des aliments non transformés au pays, ce sont souvent des graines, des fruits ou des fines herbes.

Les participants étaient généralement au fait des exigences législatives concernant l’entrée de certains produits alimentaires au Canada. Certains en avaient été informés lors de voyages précédents alors que d’autres avaient consulté des sites Web pour savoir ce qu’il était permis d’apporter au pays. Même s’ils connaissaient ces exigences, certains y voyaient des suggestions plutôt que des règles strictes pouvant entraîner de lourdes amendes. Quelques-uns étaient au courant des répercussions possibles sur le Canada lorsque des aliments interdits entraient au pays. La plupart des participants se doutaient que cela pouvait introduire des espèces étrangères comme des plantes ou des insectes, voire des maladies. Cependant, de façon générale, les participants ne croyaient pas qu’un seul produit alimentaire puisse avoir des répercussions trop catastrophiques sur le Canada ou l’économie canadienne.

Membres de communautés ethniques

Les membres de communautés ethniques ressentent rarement le besoin d’importer ou de rapporter des aliments spéciaux ou traditionnels qui ne sont pas offerts dans leur région. La plupart peuvent effectivement trouver tous ces produits, ou des équivalents, au Canada. Certains en rapportent toutefois lorsqu’ils voyagent à l’extérieur du pays ou lorsque des membres de leur famille qui vivent à l’étranger leur rendent visite. Tout comme les voyageurs, ces participants évitent de rapporter des fruits, des légumes ou de la viande crus, surtout pour éviter les problèmes à la douane ou par crainte que l’aliment ne se gâte avant qu’ils aient le temps de le consommer. Généralement, les membres de communautés ethniques ne reçoivent pas ou ne commandent pas d’aliments provenant de l’étranger. Ils évitent également de commander ces produits en ligne en raison du coût élevé. Ils n’en reçoivent pas non plus par la poste en provenance de l’étranger par souci de fraicheur.

Comme les voyageurs, ces participants connaissent assez bien les exigences législatives qui restreignent les produits alimentaires que les voyageurs peuvent rapporter au Canada de l’étranger. Quelques-uns seulement semblaient au courant des exigences qui interdisent l’envoi de produits alimentaires par la poste. Le degré de connaissance de la raison d’être de ces exigences était le même que celui des voyageurs – les aliments rapportés au Canada pourraient introduire des espèces étrangères (plantes ou insectes), un virus ou une maladie (en particulier la viande avariée).

Résidents de régions rurales et propriétaires de porcs

Outre les propriétaires de porcs, quelques participants qui vivent en zone rurale ou à proximité de fermes porcines semblent prendre plus de mesures que les autres voyageurs à leur retour au Canada. Lorsque nous leur avons demandé quelles étaient les raisons, ces participants ont répondu que c’était surtout la référence aux porcs et aux fermes porcines qui les faisaient réagir. Ils soupçonnaient que cela avait à voir avec la propagation de maladies, mais étaient loin de se douter de la gravité des impacts.

Parmi les propriétaires de porcs, en particulier ceux qui possèdent de grandes fermes, ils étaient beaucoup plus nombreux à connaître les exigences pour les voyageurs qui transportent des aliments ou des importateurs de produits alimentaires, et évitaient de le faire. D’autre part, certains ont admis avoir ignoré ces exigences lors de voyages précédents.

Les propriétaires de porcs ont indiqué qu’à leur retour au Canada après un séjour à l’étranger, ils prennent des mesures de sécurité, comme le lavage de mains et la décontamination des vêtements, l’utilisation de désinfectants pour éviter de transférer une maladie à leurs animaux. Les propriétaires de grandes fermes ont également mentionné qu’ils respectaient les règles de confinement et des normes élevées de décontamination. Ils évitaient également de visiter des établissements d’élevage porcin à l’extérieur du Canada pour ne pas rapporter de maladies qu’ils pourraient transmettre à leurs porcs.

Propriétaires de porcs ou personnes vivant à proximité de fermes porcines

Personnes qui ne possèdent pas de porcs

Les personnes qui ne possèdent pas de porcs, mais qui habitent en zone rurale entrent très rarement en contact avec ceux-ci ou avec des travailleurs de l’industrie porcine. Des contacts sporadiques peuvent survenir en faisant des achats chez un agriculteur local (même si les clients ne s’approchent pas du lieu où on garde les porcs). Peu nombreux sont les gens qui interagissent avec les porcs lorsqu’ils visitent des agriculteurs locaux, principalement parce que ces derniers n’ont pas d’installations de zoo pour enfants – ce sont des producteurs commerciaux de porcs fermés au public.

Sauf pour quelques participants qui avaient déjà travaillé pour des entreprises qui fournissent des produits et services aux fermes, ceux qui ne possèdent pas de porcs ne connaissaient pas particulièrement les protocoles de sécurité en place sur les fermes ou les propriétés où on trouve des porcs. Les participants ne semblaient pas très préoccupés puisqu’ils ne visitent pas les fermes porcines.

Quelques participants dont des amis ou des membres de la famille possédaient un porc domestique étaient plus familiarisés avec ces protocoles et ont mentionné qu’ils devaient toujours se laver les mains avant et après avoir approché l’animal.

Propriétaires de porcs

Parmi les propriétaires de porcs, on retrouvait des exploitants de fermes d’agrément, des producteurs commerciaux de porcs et des propriétaires de porcs domestiques. Tous avaient confiance en leurs connaissances sur les porcs et les soins à leur apporter, et se considéraient comme des experts, peu importe le nombre de porcs qu’ils possèdent.

En ce qui concerne les soins apportés aux animaux, les réponses variaient selon le nombre de porcs et le type de ferme porcine. Les producteurs commerciaux de porcs ont parlé de grandes étables conformes à toutes les exigences et aux règlements auxquels ils sont soumis. Les exploitants de fermes d’agrément qui possèdent d’autres animaux en plus des porcs ont indiqué qu’ils gardaient ces derniers dans des étables ou des enclos situés sur leur propriété. Certains laissaient leurs animaux aller et venir librement sur la propriété tandis que d’autres ne laissaient pas leurs porcs s’approcher des autres animaux. Ceux qui possédaient un ou deux porcs domestiques ont indiqué qu’ils les laissaient souvent entrer dans la maison.

Les exploitants de fermes d’agrément ou de porcs domestiques ont expliqué que des membres de leur famille, principalement les enfants, participaient aux soins des porcs et devaient respecter certaines normes et règles. Les gros producteurs de porcs ont des employés pour les aider.

Les éleveurs de porcs ne nourrissent pas leurs animaux avec des restes de nourriture, mais utilisent uniquement de la nourriture, des antibiotiques et des vitamines spécialement conçus pour les porcs. Les registres de nourriture sont soumis à un contrôle rigoureux et les listes de vérification, soigneusement conservées. D’autre part, les propriétaires de porcs domestiques ont mentionné qu’ils les nourrissaient parfois avec des restes de nourriture en plus de grains, de légumes, d’orge ou de nourriture spécialement conçue pour les porcs.

Connaissance et préoccupations quant aux risques liés à la PPA

Dans tous les groupes, les participants connaissaient très bien au moins quelques maladies animales, et plusieurs ont mentionné la grippe aviaire et la maladie de la vache folle. Dans une proportion moindre, les participants connaissaient le virus du Nil occidental, la rage et la grippe porcine. Il convient de noter que ceux-ci ont parlé de « grippe porcine », sans jamais mentionner la « peste porcine africaine ». Dans les groupes en anglais, certains propriétaires de porcs ont parlé de « ASF », mais plusieurs croyaient que le « F » désignait le mot « Flu » (« grippe » en français). Les participants ont réalisé que ces types de maladies pouvaient causer préjudice aux troupeaux, forçant ainsi les éleveurs à détruire la grande majorité, sinon la totalité de leur bétail si celui-ci était infecté. Certains savaient que les humains pouvaient eux aussi être malades s’ils consommaient la viande d’un animal infecté.

Même si les participants ne connaissaient aucune maladie animale étrangère, cela n’a pas apaisé leurs inquiétudes à l’idée que ces maladies aient des répercussions négatives sur l’économie canadienne. Ils ont parlé de la rapidité à laquelle la COVID-19 s’était propagée partout dans le monde et de la possibilité que cela se produise de nouveau.

Peu de participants avaient entendu parler de la peste porcine africaine et il est fort probable que certains l’aient confondue avec la grippe porcine. Dans le même ordre d’idées, presque aucun des participants n’avait vu, entendu ou lu quoi que ce soit au sujet de la PPA dans la dernière année, et aucun d’eux n’avait tenté d’obtenir de l’information sur cette maladie.

Seulement quelques gros éleveurs de porcs en avaient entendu parler par des voies formelles ou informelles, sans qu’ils ne recherchent activement l’information.

Parallèlement, les connaissances à l’égard des porcs sauvages au Canada étaient très faibles. Les quelques participants qui en avaient entendu parler ont indiqué que le principal danger qu’ils posaient était les dommages importants qu’ils causaient dans les champs des agriculteurs.

Pour ce qui est de la gestion des maladies animales au Canada, les participants avaient tendance à croire que ces maladies étaient généralement bien gérées et ont attribué cela au fait que ces maladies ne font pas constamment les manchettes et qu’on ne voit pas souvent de rappels pour la viande. De nombreux participants ont associé Santé Canada, Agriculture Canada et leur ministère provincial de la santé à la gestion des maladies au pays. Très peu ont mentionné spontanément l’ACIA, même si plusieurs ont reconnu qu’il serait logique que cette agence soit l’une des organisations responsables.

Revue des ressources et des publicités en ligne

Nous avons présenté aux participants quelques ressources en ligne du site Web de l’ACIA et leur avons demandé de formuler leurs commentaires.

Les propriétaires de porcs et les personnes qui vivent à proximité de fermes porcines ont examiné ce site Web : Fermez votre barrière à la peste porcine africaine – Agence canadienne d’inspection des aliments (canada.ca):

  • Les participants s’entendaient généralement pour dire que le contenu était informatif, épuré et simple à comprendre.

  • Certains cliqueraient sur le lien de la liste de vérification de la biosécurité.

  • Les participants considéraient généralement que cette information visait les (petits) propriétaires de porcs et le message principal était clair.

  • Certains ont fait des suggestions d’améliorations, notamment :

    • Mettre la phrase « Il n’existe pas de traitement contre la PPA » en caractères gras ou en faire un titre

    • Ajouter de l’information sur la propagation de la maladie dans le monde

Dans tous les autres groupes, nous avons présenté ce site Web : Protéger les porcs du Canada contre la peste porcine africaine – Agence canadienne d’inspection des aliments:

  • Les participants s’entendaient généralement pour dire que le contenu était informatif, simple à comprendre et présenté de manière conviviale. L’utilisation de capsules avec images pour chaque thème leur a plu.

  • La pénalité pouvant atteindre 1 300 $ a capté l’attention de nombreux participants.

  • Les participants aimeraient voir un lien menant directement à une liste des pays touchés par la PPA.

  • Même si la plupart ont apprécié que l’information soit présentée en plusieurs langues, de nombreux participants se sont demandé pourquoi on avait sélectionné certaines langues et qu’on n’en offrait pas davantage.

    • Certains ont supposé que ces langues étaient celles des pays où la PPA est prévalente, mais ils aimeraient que cela soit précisé.

Les participants étaient également invités à examiner quelques concepts publicitaires en ligne accompagnés du slogan « N’apportez pas de porcs ». Ces concepts sont présentés dans la section des résultats détaillés et dans le guide de l’animateur à l’annexe B. Les principales réactions aux concepts étaient les suivantes :

  • On les remarquerait s’ils étaient diffusés en ligne ou dans les médias sociaux.

  • L’information est généralement simple à comprendre.

  • Le concept qui mentionne « N’apportez pas de porcs » était considéré comme étant beaucoup plus pertinent que celui qui dit « N’envoyez pas de porcs » ce qui, pour la plupart, était plutôt inconcevable.

  • Plusieurs étaient d’avis que la conception du colis dans le concept « N’envoyez pas de porcs » était faible, principalement parce que celui-ci ne ressemblait pas à un colis.

  • Les participants ont préféré le concept qui explique pourquoi il n’est pas recommandé d’apporter des porcs, le trouvant plus percutant et plus significatif.

  • Le concept de la valise ouverte a suscité des réactions mitigées – certains ont aimé l’image de la viande dans la valise qui selon eux rendait le tout plus intuitif alors que d’autres l’ont trouvé moins crédible et difficile à décoder.

Une autre série de concepts a été présentée aux propriétaires de porcs. Dans chacun d’eux, on pouvait voir une jeune fille et un adulte dans un champ près d’un porc. Le premier contenait le texte « Protégez vos porcs de la peste porcine africaine », puis « Plus d’info ». Dans le deuxième concept, on pouvait lire « Fermez la porte à la peste porcine africaine », puis « Utilisez la liste de vérification ». Ces concepts sont présentés dans la section des résultats détaillés et dans le guide de l’animateur à l’annexe B.

Les principales réactions à ces concepts étaient les suivantes :

  • Les participants avaient l’impression que ces concepts s’adressaient surtout aux exploitants de fermes d’agrément plutôt qu’aux producteurs commerciaux de porcs, en raison de l’image qui montre une fillette dans un champ avec des porcelets.

  • Malgré la clarté du message, les concepts ont obtenu des réactions mitigées. Certains étaient d’avis qu’ils n’étaient pas suffisamment sérieux ou alarmants compte tenu de la menace que représente la PPA. Dans ce contexte, le message selon lequel la PPA est mortelle et qu’il n’existe aucun remède n’est pas transmis.

    • Un message plus direct (« vos porcs pourraient mourir ») serait plus efficace et attirerait davantage l’attention.

  • Le message « Protégez vos porcs » a surtout interpellé les propriétaires de porcs domestiques, alors que les éleveurs s’identifiaient davantage aux images de barrières.

  • Certains ont préféré l’appel à l’action plus direct qui dit « Utilisez la liste de vérification » alors que d’autres, surtout ceux qui connaissaient moins cet outil, ont préféré la phrase « Plus d’info », à caractère plus général.

Finalement, nous avons demandé aux participants s’ils préféraient le slogan « N’apportez pas de porcs » ou « Les cochons ne volent pas ». Même si plusieurs ont rigolé en entendant le deuxième, la plupart ont préféré « N’apportez pas de porcs », en invoquant qu’un enjeu grave exigeait un slogan sérieux. De plus, compte tenu du peu qu’ils savaient de la PPA, il était préférable d’avoir des instructions claires ou un message direct (dans ce cas, de ne pas apporter de porcs).

Mise en garde concernant la recherche qualitative

Résultats de la recherche quantitative

Nous avons demandé aux répondants s’ils connaissaient cinq des maladies animales. La connaissance était la plus élevée pour la grippe porcine (H1N1) à 85 %, suivie de près par la grippe aviaire à 82 % et la maladie de la vache folle à 81 %. La connaissance descendait à 22 % pour la maladie débilitante chronique (MDC) ou encéphalopathie des cervidés et 17 % pour la peste porcine africaine (PPA). Dans l’ensemble, neuf répondants sur dix connaissaient au moins une de ces maladies.

Parmi ceux qui connaissaient au moins une de ces maladies, 43 % ne se sentaient nullement concernés par celles qu’ils connaissaient. De façon générale, c’est la grippe aviaire qui a attiré le plus d’attention alors que 26 % des répondants qui connaissaient au moins une maladie l’ont choisie comme étant celle qui les préoccupait le plus. La grippe porcine et la maladie de la vache folle étaient également préoccupantes à 13 % et 14 % respectivement. Un petit nombre de répondants ont désigné la MDC (3 %) et la PPA (1 %) comme étant les plus préoccupantes.

En ce qui concerne ceux qui connaissaient la PPA, un peu plus d’un répondant sur quatre croyait très bien la connaître (4 %) ou plutôt bien la connaître (22 %). Plusieurs, soit 49 %, ont affirmé qu’ils ne la connaissaient pas très bien et les 24 % qu’il reste ne la connaissaient pas du tout. Nous avons demandé à ceux qui ne connaissaient pas très bien, ceux qui connaissaient plutôt bien et ceux qui connaissaient très bien la PPA s’ils avaient vu, lu ou entendu quoi que ce soit au sujet de cette maladie. Les sources d’information les plus souvent citées étaient les nouvelles ou les médias (57 %), suivies des médias sociaux (21 %) et de la famille et des amis (14 %). Un petit groupe avait vu quelque chose lors d’un voyage ou dans les aéroports (6 %).

Les deux tiers des répondants (66 %) n’ont su quoi répondre à la question à savoir si des cas de PPA avaient été répertoriés au Canada et s’il faudrait prendre des précautions d’une façon ou d’une autre. Parmi ceux qui avaient une opinion, la plupart (17 %) croyaient que la PPA n’avait pas fait son apparition au Canada, mais qu’il faudrait quand même prendre toutes les précautions possibles. Dix pour cent des répondants croyaient que la PPA était au Canada; environ la moitié croyait qu’il n’y avait rien à craindre et l’autre moitié, qu’il faudrait prendre toutes les précautions possibles.

Divers comportements peuvent introduire la peste porcine africaine (PPA) au Canada et la propager. Lorsque nous leur avons présenté quatre des comportements les plus fréquents, près de la moitié des répondants (49 %) n’en connaissaient aucun. Dans une proportion similaire, les répondants étaient au fait des comportements suivants :

  • 37 % – rapporter des produits du porc d’un voyage à l’étranger

  • 36 % – visiter une ferme porcine ou une propriété où on retrouve des porcs au Canada peu de temps après avoir visité une ferme porcine ou une propriété avec des porcs lors d’un voyage à l’étranger (zoos, refuges pour animaux et expéditions de chasse là où on retrouve des porcs sauvages)

  • 31% – recevoir des produits du porc expédiés par la poste par des amis ou des membres de la famille qui habitent à l’étranger

Parmi les comportements présentés, celui qui était le moins connu était celui qui consistait à nourrir les porcs avec des restes de nourriture et des déchets alimentaires (13 %).

Ces quatre comportements ont été réexaminés dans le sondage pour déterminer dans quelle mesure chacun posait un risque d’introduire ou de propager la PPA au Canada. Le comportement considéré comme à haut risque par la plus grande proportion des répondants était de rapporter des produits du porc de l’étranger sans le déclarer aux douanes (53 %), suivi par recevoir des produits du porc par la poste de la part d’amis ou de membres de la famille qui habitent à l’extérieur du Canada (43 %) et visiter une ferme porcine ou une propriété où on retrouve des porcs au Canada (39 %). Le comportement considéré le moins à risque était de nourrir les porcs avec des restes de nourriture ou des déchets alimentaires (17 %). Pour chaque comportement, il convient de noter qu’une importante proportion de répondants ont sélectionné l’option « je ne sais pas ».

Quant à l’impact que la PPA pourrait avoir sur eux personnellement, sur l’industrie canadienne du porc et sur l’économie du Canada, l’étude a révélé ce qui suit :

  • 27 % des répondants seraient très préoccupés à l’idée que la PPA pourrait les affecter personnellement si elle faisait son apparition au Canada.

  • 50 % des répondants seraient très préoccupés à l’idée que la PPA pourrait affecter l’industrie canadienne du porc si elle faisait son apparition au Canada. Une proportion plus élevée (57 %) croyait que l’impact sur l’industrie canadienne du porc serait assez important.

  • 36 % des répondants seraient très préoccupés à l’idée que la PPA pourrait affecter l’économie canadienne si elle faisait son apparition au Canada. Une proportion similaire (35 %) était d’avis que l’impact sur l’économie canadienne serait assez important.

  • Finalement, 42 % seraient assez préoccupés quant au danger que la PPA pourrait poser pour la sécurité de la chaîne alimentaire si elle faisait son apparition au Canada.

Une minorité de répondants (28 % ont donné une note de 6 ou 7 sur une échelle de 7 points) ont manifesté beaucoup d’intérêt à obtenir plus d’information sur la PPA et ses répercussions sur la population canadienne. D’autre part, 34 % ont manifesté un intérêt modéré (note de 4 ou 5). Les répondants seraient plus enclins à utiliser un moteur de recherche en ligne (53 %), à faire appel au gouvernement du Canada (50 %) ou à leur gouvernement provincial/territorial (31 %), aux médias (25 %) et aux associations de l’industrie porcine (24 %).

S’ils devaient obtenir de l’information sur la PPA auprès du gouvernement du Canada, la majorité des répondants aimeraient recevoir cette information sur le site Web du gouvernement du Canada (60 %), suivi de la télévision (37 %). Des proportions similaires se tourneraient vers les médias sociaux (22 %) et le courriel (20 %).

Lorsque nous leur avons demandé qui devrait avoir la principale responsabilité de veiller à ce que la PPA soit bien gérée et contrôlée au Canada, les répondants ont désigné le gouvernement du Canada à 46 %. D’autres ont mentionné que les gros producteurs de porcs et les entreprises qui importent des aliments devraient être les principaux responsables (13 % dans les deux cas). Quant aux gouvernements provinciaux/territoriaux, 35 % des répondants en ont fait leur premier ou leur deuxième choix.

Les résultats sont présentés et décrits en détail dans la section des résultats détaillés du présent rapport.

Résultats détaillés

But et objectifs de la recherche

La peste porcine africaine (PPA) est une maladie virale qui affecte seulement les porcs, et qui pose un risque important pour la santé des troupeaux de porcs, l’industrie du porc et l’économie canadienne. La PPA est hautement contagieuse pour les porcs et peut se propager rapidement par contact direct et indirect avec des porcs ou des produits de porc infectés ou de l’équipement agricole, de la nourriture pour animaux ou des vêtements contaminés.

Depuis 2018, la maladie s’est propagée en Asie et en Europe, et l’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) a déployé des efforts importants pour atténuer les risques d’introduction de la PPA au Canada et à se préparer à cette éventualité.

Afin d’atténuer les risques d’introduction de la PPA au Canada, l’ACIA entend communiquer avec les Canadiens, en particulier ceux qui pourraient se livrer à des activités qui risquent davantage de propager la PPA au Canada, comme les voyages à l’étranger, l’importation d’aliments ou le fait de vivre en zone rurale où il y a plus de chances d’avoir des porcs.

Une meilleure compréhension du degré de sensibilisation de la population canadienne envers la PPA et leurs habitudes de voyage à l’étranger permettra d’élaborer des outils de communication qui contribueront à protéger l’industrie canadienne du porc. Cette industrie crée plus de 100 000 emplois qui à leur tour génèrent près de 24 milliards de dollars lorsqu’on englobe les fermes, les facteurs de production, le traitement et les exportations de porcs. Le Canada est le troisième plus important exportateur au monde de porcs en termes de valeur et de volume, et représente environ 20 % du commerce mondial de porc. En 2019, 1,3 million de tonnes de porc canadien totalisant 4,2 milliards de dollars ont été exportées vers plus de 95 pays.

À ce jour, la recherche sur l’opinion publique (ROP) concernant la peste porcine africaine menée auprès de la population canadienne est limitée et quelque peu désuète (2019). La ROP réalisée auprès du grand public ainsi qu’avec les petits éleveurs et les propriétaires ont démontré ce qui suit :

  • Le niveau de sensibilisation à la PPA est faible – 32 % des petits éleveurs ont entendu parler de la PPA; ces résultats sont similaires à ceux obtenus pour la population générale en 2019.

  • La plupart (53 %) en ont entendu parler dans les médias.

  • Les médias sociaux se classent au deuxième rang avec 27 %.

  • Les femmes sont plus susceptibles que les hommes (17 % et 2,2 % respectivement) d’en avoir entendu parler par un membre de la famille.

La recherche avait plusieurs objectifs :

  • Mieux comprendre le niveau de sensibilisation de la population canadienne au danger que représente la peste porcine africaine;

  • Sonder les opinions, les perceptions et les préoccupations de la population canadienne à l’égard de la peste porcine africaine;

  • En apprendre davantage sur les projets de voyage des Canadiens à l’étranger;

  • Déterminer si des membres de la famille ou des amis vivant à l’étranger avaient l’intention de visiter des résidents du Canada;

  • Déterminer si les Canadiens recevaient des colis de l’étranger contenant des produits alimentaires;

  • Déterminer si les voyageurs étaient au courant de leur obligation de déclarer s’ils transportaient des produits du porc à leur retour au Canada.

Résultats de la recherche qualitative

Points de vue et expériences des voyages et des expéditions de produits au Canada

Voyageurs

Dans les groupes de voyageurs internationaux, les participants ont discuté de ce qu’ils rapportaient, si cela incluait la viande, et de ce que les voyageurs savent généralement des exigences législatives qui leur interdisent de rapporter certains produits alimentaires au Canada.

Les personnes qui voyagent à l’étranger rapportent souvent des choses au Canada, que ce soit des souvenirs, de l’alcool, des vêtements ou des aliments.

Les voyageurs ont partagé différents points de vue au sujet des aliments qu’ils rapportent au pays. Dans la plupart des cas, ils ont indiqué qu’ils déclaraient les produits alimentaires à leur arrivée au Canada. La majorité s’est dit à l’aise de rapporter des aliments qui d’après eux passeront facilement la douane – par exemple des produits emballés ou transformés comme des collations. En règle générale, de nombreux voyageurs ne tentent même pas de rapporter des aliments frais ou non transformés comme des fruits, des légumes ou de la viande crus, principalement parce qu’il est difficile de conserver leur fraicheur durant le long voyage de retour, en particulier la viande crue. Lorsqu’ils rapportent des aliments non transformés au pays, ce sont souvent des graines, des fruits ou des fines herbes.

Certains ont admis qu’il leur arrivait de rapporter de l’étranger certains aliments qu’ils ne pouvaient acheter au Canada (comme des bonbons, des pâtisseries ou autres friandises). Quelques-uns ont mentionné avoir visité des membres de leur famille ailleurs dans le monde et rapporté certains aliments ou des marques particulières de produits qui sont moins accessibles ou qu’on ne retrouve pas au Canada.

Les participants étaient généralement au fait des exigences qui interdisent aux voyageurs de rapporter certains produits alimentaires au Canada. Parmi ceux qui avaient voyagé à de multiples reprises au fil des ans, plusieurs connaissaient ces exigences. D’autres en avaient pris connaissance après s’être fait confisquer certains articles.

« I travel a lot, so I generally know the rules and I don’t do anything dairy, meat, fresh fruit, vegetables. I just stick to basically potato chips and candy. » – Femme, 37 ans, voyageuse internationale, Ontario [« Je voyage beaucoup, alors je connais les règles et je ne rapporte ni produits laitiers, ni viande, ni fruits et légumes. Je m’en tiens aux croustilles et aux friandises. »]

D’autres se rappelaient les exigences pour les avoir vues sur les formulaires de douane et les affiches dans les aéroports canadiens. Certains s’étaient familiarisés avec ces règles en consultant des sites Web, presque toujours ceux du gouvernement du Canada, avant leur départ pour l’étranger ou avant de revenir au Canada.

Pour simplifier le plus possible leur expérience de voyage, certains avaient également créé leurs propres règles, comme ne jamais rapporter d’aliments au Canada pour éviter de se les faire confisquer ou pour ne pas avoir à prendre connaissance des exigences. D’autres ont mentionné qu’ils rapportaient seulement des friandises ou autres collations emballées pour éviter les problèmes.

« At first, it was hard for me to understand what I could bring back and what I couldn’t. So, I was kind of always airing on the safe side, making sure that I didn’t bring back anything that I was not allowed. » – Femme, 35 ans, voyageuse internationale, Colombie-Britannique [« Au début, j’avais du mal à comprendre ce que je pouvais rapporter ou non. Par mesure de prudence, je m’assurais de ne rien rapporter qui soit interdit. »]

Certains participants ne ressentaient pas le besoin de rapporter des produits lorsqu’ils visitent de la famille à l’étranger puisque de toute façon, ils peuvent trouver la majorité de ces produits au Canada.

« Nowadays, especially Vancouver, is so diverse you can buy anything… There’s a lot of Middle Eastern shops and international shops. » – Homme, 20 ans, voyageur international, Colombie-Britannique [« De nos jours, des villes comme Vancouver sont si diversifiées qu’on y trouve de tout. Il y a de nombreuses boutiques internationales, notamment du Moyen-Orient. »]

En revanche, d’autres ont indiqué qu’ils consulteraient le Web pour savoir ce qu’il est permis de rapporter au pays avant d’arriver à l’aéroport. Certains avaient également l’impression qu’aussi longtemps que la marchandise est déclarée à la douane, ils pouvaient voyager avec des produits alimentaires. Quelques-uns étaient moins préoccupés par ces exigences et avaient adopté l’attitude de « si on me les confisque, et bien tant pis ».

Même s’ils sont au courant de ces exigences, certains participants les considèrent davantage comme des suggestions plutôt que des règles strictes pouvant mener à de lourdes amendes. Quelques-uns ont admis avoir déjà rapporté des produits alimentaires interdits au Canada, comme des fruits frais ou de la viande, sans les déclarer aux douanes.

En ce qui concerne le moment où ils commencent à réfléchir à ce qui est permis ou interdit de rapporter au Canada, quelques participants le font en faisant leurs bagages alors que d’autres s’empêchent d’acheter des choses à moins d’être certains de pouvoir les rapporter au pays.

« I’m always aware - before I buy stuff my first thought is ‘can I bring this back’ if that is my intent like if I am buying clothes or a souvenir. When I am packing my bags, I always check in case I missed something that I shouldn’t bring back. » – Femme, 48 ans, voyageuse internationale, Ontario [« Je suis toujours au courant. Avant d’acheter quelque chose, la première question que je me pose est si je peux le rapporter à la maison, si c’est mon intention, comme des vêtements ou un souvenir. En faisant mes bagages, je vérifie toujours pour m’assurer que je n’ai rien que je ne peux rapporter. »]

D’autre part, certains participants ne pensent pas aux exigences avant d’arriver à l’aéroport ou dans la file pour la douane.

« I often don’t think about it until I’m in the line. Before I go on trips, depending on where I’m going, I’ll have an idea of the snacks I want to pick up… but then I don’t think about it too much until I’m in the line again. » – Homme, 45 ans, voyageur international, Ontario [« Il m’arrive souvent de ne pas y penser avant d’être dans la file. Avant de partir en voyage, dépendamment de la destination, j’ai une idée des collations que je veux acheter, mais je n’y pense plus jusqu’au moment où je suis de nouveau dans la file. »]

Très peu de participants étaient au courant des répercussions possibles sur le Canada que pourrait avoir le fait de rapporter des produits alimentaires interdits. Dans la plupart des cas, ils soupçonnaient que ces produits pourraient introduire des espèces étrangères, comme des plantes ou des insectes. Certains d’entre eux croyaient qu’ils pourraient introduire une maladie.

« I watched a YouTube video… more regarding the US than Canada, but people bring back fresh fruits and veggies. Sometimes there is parasites… People sometimes bring back seeds… which is even worse. [It can be] full of insects. » – Homme, 20 ans, voyageur international, Colombie-Britannique [« J’ai visionné une vidéo sur YouTube… ça concernait surtout les États-Unis, mais on voyait des gens rapporter des fruits et légumes frais. Parfois, ceux-ci contiennent des parasites. D’autres rapportent des graines, c’est encore pire. Ça pourrait être plein d’insectes. »]

« Fruits do carry a lot if insects and could spread itself around. As far as meats are concerned, if it’s not inspected, then it’s not deemed safe. If it’s not safe, then you can cause yourself harm and your friends. » – Homme, 71 ans, voyageur international, Ontario [« Il y a beaucoup d’insectes dans les fruits et ils pourraient se propager. Pour ce qui est de la viande, si ce n’est pas inspecté, on ne peut pas la considérer comme sécuritaire. Si ce n’est pas sécuritaire, ça peut être dangereux pour notre santé et celle de nos amis. »]

« Even within provinces, like if you go from Newfoundland to Nova Scotia, they make sure you don’t bring plant material because it might infect the soil. There’s potato blight or whatever it is. So maybe it has something to do with bringing something in that could impact our industry here. » - Homme, 46 ans, voyageur international, Ontario [« Même à l’intérieur des provinces, comme si on voyage entre Terre-Neuve et la Nouvelle-Écosse, on s’assure que vous n’apportez pas de plantes parce qu’elles pourraient infecter le sol. On parle entre autres de mildiou de la pomme de terre. Alors cela a peut-être à voir avec le fait de rapporter quelque chose qui pourrait nuire à notre industrie ici. »]

Certains participants croyaient également qu’on voulait décourager les voyageurs de rapporter des produits alimentaires au Canada parce que cela pourrait réduire la demande pour des produits similaires ici et par conséquent, nuire à l’économie canadienne. Pour ces participants, les exigences législatives avaient un objectif de protectionnisme économique plutôt que de prévention des maladies.

« I don’t think there much of a risk. I just think that if they don’t have regulations around it, people are going to take it ten times as far as they should. So, they need to have some kind of limits… they want us to protect the industries that are here. » – Homme, 46 ans, voyageur international, Ontario [« Je ne crois pas qu’il y ait réellement un risque. Je pense que s’il n’y avait pas de règles, les gens rapporteraient dix fois plus de choses qu’ils ne devraient. Il faut donc imposer des limites pour protéger les industries d’ici. »]

Dans l’ensemble, les participants ne croyaient pas qu’un seul produit alimentaire pouvait avoir des répercussions si négatives sur le Canada ou l’économie canadienne.

« I think there’s a risk, but it’s a very low risk. » – Homme, 45 ans, voyageur international, Ontario [« Je crois qu’il y a un risque, mais très faible. »]

« For your average tourist, I don’t think were risking anything. But I guess if you’re talking about tens of thousands of people you elevate it… If you’re talking about importing things from farms or on a commercial scale, I’m glad that the government is looking at stuff like that of course, but I mean, someone jumping on a plane coming from the Dominican taking back a sample of meat, I don’t really think that is going to be a big problem. » – Homme, 46 ans, voyageur international, Ontario [« Le touriste moyen ne risque rien. Mais je suppose que si on parle de milliers de gens, on passe à un autre niveau. Si vous parlez de choses importantes pour les fermes ou à l’échelle commerciale, je suis content de voir que le gouvernement examine la situation, bien entendu, mais si quelqu’un revient de la République dominicaine en avion et rapporte un échantillon de viande, je ne crois pas que ça causera de graves problèmes. »]

Membres de communautés ethniques

Dans les groupes de discussion composés de membres de communautés ethniques, les participants ont discuté des produits alimentaires qu’ils recevaient de l’étranger, le cas échéant, si de la viande était incluse ou envisagée pour ces envois et de ce qu’ils savaient des exigences législatives qui interdisent les voyageurs de rapporter certains produits alimentaires au pays.

Les membres de communautés ethniques ressentent rarement le besoin d’importer ou de rapporter des aliments spéciaux ou traditionnels qui ne sont pas offerts dans leur région. La plupart peuvent effectivement trouver tous ces produits, ou des équivalents, dans leur région ou du moins, dans d’autres provinces. Ils souhaitent aussi éviter d’avoir affaire aux douanes ou de payer des droits et taxes supplémentaires.

Les participants qui obtiennent des produits alimentaires spéciaux ou traditionnels le font quand ils voyagent à l’extérieur du Canada ou quand des membres de leur famille qui habitent à l’étranger leur rendent visite. Par exemple, un participant a mentionné que ses parents lui avaient apporté de la soupe japonaise au Canada, tandis qu’un autre a raconté que sa famille lui avait donné de la viande, du fromage et du café à rapporter au Canada. Ceci étant dit, comme pour les voyageurs, la plupart de ces participants évitent les fruits et légumes frais, par crainte d’avoir des problèmes à la douane ou que les aliments se gâtent avec qu’ils aient le temps de les consommer.

Généralement, les membres de communautés ethniques ne reçoivent pas ou ne commandent pas d’aliments provenant de l’étranger. Ils évitent également de commander ces produits en ligne en raison du coût élevé. Ils n’en reçoivent pas non plus par la poste en provenance de l’étranger par souci de fraicheur (p. ex., les bactéries qui se développent sur la viande ou les produits laitiers).

Comme les voyageurs, ces participants connaissent assez bien les exigences législatives qui restreignent les produits alimentaires que les voyageurs peuvent rapporter de l’étranger. La plupart avaient pris connaissance de ces exigences en remplissant des formulaires de douane où on leur demandait ce qu’ils rapportaient de leur voyage. Comme pour les voyageurs internationaux, certains membres de communautés ethniques s’étaient vu confisquer des produits par les douaniers chargés d’appliquer ces exigences. D’autres avaient fait des recherches pour des membres de leur famille qui souhaitaient apporter des produits au Canada.

Quelques-uns semblaient être au courant qu’il était interdit de se faire expédier des produits alimentaires par la poste.

Le degré de connaissance de ces participants quant à la raison d’être de ces exigences était similaire à celui des voyageurs – les produits alimentaires qui entrent au Canada pourraient introduire des espèces étrangères (des plantes ou des insectes) ou bien un virus ou une maladie (en particulier la viande avariée).

« I think the biggest concern is bacteria, and bringing back something that is not native to North America. » – Homme, 76 ans, membre d’un groupe ethnique, Ontario [« D’après moi, la plus grande crainte, ce sont les bactéries et rapporter un produit d’une espèce qui n’est pas indigène de l’Amérique du Nord. »]

« Maybe not Europe, but other parts of the world obviously have different health care systems … for example meat maybe they have something that grows on their meat is something that Canada doesn’t have, and they bring it here and we don’t know how to treat it or handle it. » – Femme, 29 ans, membre d’un groupe ethnique, Ontario [« Ce n’est peut-être pas le cas en Europe, mais d’autres pays ont manifestement des systèmes de santé différents… par exemple, ils pourraient avoir quelque chose qui se développe sur la viande que le Canada n’a pas et que lorsque ces produits entrent au pays, on ne sait pas comment traiter la situation. »]

En général, les participants ne croyaient pas qu’un seul produit alimentaire puisse avoir une incidence très néfaste sur le Canada ou l’économie canadienne. Comme pour les Canadiens qui voyagent à l’étranger, quelques participants des groupes ethniques avaient l’impression que les exigences avaient pour but de protéger l’économie canadienne.

« I think that’s the excuse they use to make us comply, to kinda make us scared. I’m trying to wrap my head around it… like if I bring it, its bad, but if I go to the grocery store where everything in the produce section is from all these foreign countries, that’s okay? » – Homme, 42 ans, membre d’un groupe ethnique, Ontario [« Je crois que c’est l’excuse qu’ils utilisent pour nous forcer à respecter les règles, pour nous faire peur. J’essaie de comprendre. Si j’apporte quelque chose considéré comme mauvais, mais qu’à l’épicerie, tous les produits dans la section des fruits et légumes proviennent de ces pays, c’est correct? »]

Résidents de régions rurales et propriétaires de porcs

Dans les groupes de résidents de régions rurales, de ceux qui habitent à proximité d’une ferme porcine et de propriétaires de porcs, les participants ont discuté des précautions qu’ils prenaient à leur retour d’un voyage à l’étranger.

Autres que les propriétaires de porcs, quelques participants qui habitent en région rurale ou à proximité d’une ferme porcine semblaient ne prendre aucune précaution particulière si ce n’est que les précautions d’usage que les voyageurs prennent à leur retour d’un voyage à l’étranger.

Questionnés à savoir pourquoi ils devraient prendre certaines mesures étant donné qu’ils habitent à proximité de porcs et de fermes porcines, ces participants ont réagi plus fortement à la mention des porcs et des fermes porcines qu’à toute autre chose. Certains se rappelaient d’avoir vu des formulaires de douanes qui faisaient référence aux fermes et aux porcs plus particulièrement, mais ils n’avaient pas très bien compris pourquoi les exigences s’appliquaient aux porcs et aux fermes porcines. Ils croyaient qu’elles visaient peut-être à limiter la propagation de certaines maladies, même s’ils étaient loin de se douter de la gravité des impacts. Plusieurs ont admis qu’ils cochaient automatiquement la case « non » sur ces formulaires sans y réfléchir à deux fois.

Parmi les propriétaires de porcs et plus particulièrement ceux qui possèdent de grandes fermes, les participants étaient plus nombreux à connaître les exigences pour ceux qui voyagent avec des produits alimentaires ou qui en importent et évitaient de le faire. En revanche, ici aussi, certains ont avoué ne pas avoir tenu compte de ces exigences lors de voyages précédents. Ceci étant dit, ces participants ont précisé qu’ils n’avaient pas voyagé dernièrement ou s’ils l’avaient fait, ils n’avaient rapporté aucun produit interdit. Plusieurs avaient l’impression que les discussions de groupe pourraient les inciter à réfléchir davantage aux produits qu’ils rapporteront lors de leur prochain voyage.

Quant aux autres précautions à prendre en revenant au Canada après un séjour à l’étranger, les propriétaires de porcs ont mentionné prendre des mesures de sécurité comme le lavage des mains et la décontamination des vêtements, et l’utilisation de désinfectants pour éviter de transmettre des maladies aux porcs ou au public. Certains ont mentionné qu’ils respectaient ces normes, peu importe le voyage; pour eux, il est logique de prendre une douche, changer de vêtements et se désinfecter avant d’entrer dans une étable.

« We have a hobby farm… we’re very careful with our pig. We have very strict rules about using boot and hand sanitizer before going in. Before we give any type of feed to the pig, we make sure that everything is clean. We’re strictly feeding the pig it’s pellets. We’re very careful because we’re very aware of the swine flu and how dangerous it is. We also make sure that anyone who has been in contact with other animals isn’t around our pig. » – Femme, 43 ans, propriétaire de ferme d’agrément, Manitoba [« Nous possédons une ferme d’agrément et nous prenons bien soin de nos porcs. Nous avons des règles strictes sur l’utilisation des bottes et du désinfectant avant d’entrer dans les enclos. Avant de nourrir les porcs, nous voulons nous assurer que tout est propre et nous leur donnons uniquement des granulés. Nous faisons très attention parce que nous sommes très conscients du danger que représente la grippe porcine. Nous nous assurons également que toute personne qui a été en contact avec d’autres animaux ne s’approche pas de nos porcs. »]

Les propriétaires de grandes fermes porcines ont parlé des règles d’isolement (comme ne pas s’approcher des porcs pendant un certain temps) et des normes rigoureuses de décontamination. Ils ont également indiqué qu’ils évitaient de visiter des fermes porcines à l’extérieur du Canada (comme aux États-Unis) pour éviter de transmettre des maladies à leurs animaux.

“I never used to think about it, but just in recent years with everything that when on. Then we’ve been taking a bigger role on the farm so it’s definitely a bigger priority for us. My dad’s got a big rule, if I travel anywhere, I go to BC often, so when I come back, I’m not allowed on the farm for at least a week.” – Homme, 30 ans, agriculteur commercial, Saskatchewan [« Je n’y pensais jamais, mais les choses ont changé dans les dernières années. Notre rôle sur la ferme a également pris de l’ampleur alors c’est assurément une plus grande priorité pour nous. Mon père a établi une règle importante; si je voyage, je dois souvent me rendre en Colombie-Britannique, je n’ai pas le droit de remettre les pieds sur la ferme pendant au moins une semaine après mon retour. »

Vivre avec des porcs ou à proximité de ceux-ci

Personnes autres que les propriétaires de porcs

Les personnes qui ne possèdent pas de porcs, mais qui habitent en région rurale entrent très rarement en contact avec ceux-ci ou avec des travailleurs de l’industrie porcine. Des contacts sporadiques peuvent survenir en faisant des achats chez un agriculteur local, même si les clients ne s’approchent jamais du lieu où on garde les porcs.

Peu nombreux sont les gens qui interagissent avec les porcs lorsqu’ils visitent des agriculteurs locaux, principalement parce que ces derniers n’ont pas d’installations de zoo pour enfants – ce sont des producteurs commerciaux de porcs fermés au public. Le grand public a bien compris, et cela a été confirmé par les éleveurs de porcs dans les groupes, que les visiteurs ne sont pas autorisés à s’approcher des porcs. Tous ont reconnu que c’est malsain pour les porcs et pour les humains. Quelques participants travaillaient ou avaient déjà travaillé pour des entreprises de fournitures agricoles, y compris des fermes porcines.

Autres que ceux qui avaient travaillé pour des entreprises de fournitures agricoles, les participants autres que les propriétaires de porcs ne connaissaient pas particulièrement bien les protocoles de sécurité en place sur les fermes ou autres propriétés où on retrouve des porcs. Ces participants ne semblaient pas préoccupés outre mesure puisqu’ils ne visitaient jamais de fermes porcines.

Les quelques-uns qui avaient visité une ferme porcine ont semblé se rappeler des règles et protocoles en vigueur sur les lieux. Autrement, les participants ne se rappelaient pas d’avoir vu ou entendu parler de protocoles ailleurs.

Quelques participants qui avaient des amis ou des membres de la famille propriétaires de porcs domestiques connaissaient mieux les protocoles qui exigeaient qu’ils se lavent les mains avant et après avoir été en contact avec les porcs.

Questionnés à savoir de quelle manière ils obtenaient normalement de l’information sur les maladies animales, les participants qui vivent à proximité de porcs ne semblaient pas avoir de connaissances précises sur les maladies animales même s’ils habitent près de ces animaux. Ils pensaient pouvoir en entendre parler dans l’actualité, mais ne se rappelaient de rien en particulier.

Propriétaires de porcs

Parmi les propriétaires de porcs qui ont participé à la présente étude, on retrouvait des exploitants de fermes d’agrément, des producteurs commerciaux de porcs et des propriétaires de porcs domestiques. Tous avaient généralement confiance en leurs connaissances sur les porcs et les soins à leur apporter, et se considéraient comme des experts, peu importe le nombre de porcs qu’ils possèdent ou les raisons pour lesquelles ils ont des porcs (élevage ou animaux domestiques).

En ce qui concerne les soins apportés aux animaux, les réponses variaient selon le nombre de porcs et le type de ferme porcine. Les producteurs commerciaux de porcs ont parlé de grandes étables conformes à toutes les règles et tous les règlements auxquels ils sont soumis. Les exploitants de fermes d’agrément qui possèdent d’autres animaux en plus des porcs ont indiqué qu’ils gardaient ces derniers dans des étables ou des enclos situés sur leur propriété. Certains laissaient leurs animaux aller et venir librement tandis que d’autres ne laissaient pas leurs porcs s’approcher des autres animaux. Ceux qui possédaient un ou deux porcs domestiques ont indiqué qu’ils les laissaient souvent entrer dans la maison.

« They’re totally in their own barn, they’re separate for our other animals. » – Homme, 50 ans, éleveur de porcs (commercial), Nouveau-Brunswick [« Ils sont tous dans leur étable, isolés des autres animaux. »]

« We do mostly have them indoors just because commercially, we have a large amount and with environmentally controlled areas, we have to be able to safety remove the feces and urine which can cause environmental impacts to our soils with that large amount of swine in one controlled area. It’s not so easy to have them just free ranging as you would with a smaller amount of pigs. » – Femme, 42 ans, propriétaire de porcs (commercial), Terre-Neuve-et-Labrador [« Nous les gardons à l’intérieur principalement parce qu’en tant qu’entreprise commerciale, nous en avons beaucoup et en raison des environnements contrôlés, nous devons pouvoir nettoyer en toute sécurité les excréments et l’urine qui peuvent endommager les sols dans une aire contrôlée où se trouve un nombre élevé de porcs. Ce n’est pas simple de les laisser en liberté, comme on peut le faire avec un troupeau plus petit. »]

Les exploitants de fermes d’agrément et les propriétaires de porcs domestiques peuvent compter sur des membres de la famille, souvent les enfants, pour s’occuper de leurs animaux. Tous participent aux soins et à l’alimentation tout en respectant certaines normes et règles. Les gros producteurs ont des employés pour les aider.

Les éleveurs de porcs ne nourrissent pas leurs animaux avec des restes de nourriture, mais utilisent uniquement de la nourriture, des antibiotiques et des vitamines spécialement conçus pour les porcs. Les registres de nourriture sont soumis à un contrôle rigoureux et les listes de vérification, soigneusement conservées. D’autre part, les propriétaires de porcs domestiques ont mentionné qu’ils les nourrissaient parfois avec des restes de nourriture en plus de grains, de légumes, d’orge ou de nourriture spécialement conçue pour les porcs.

« We have a big bucket under our sink, and my kids know if there’s any leftovers on their plate it all goes in there – lettuce, egg, you name it. Everything is in there and that gets fed to [the pigs] later on. » – Femme, 47 ans, propriétaire de ferme d’agrément/porcs domestiques, Nouvelle-Écosse [« Nous gardons un gros seau sous l’évier et mes enfants savent que la nourriture qu’ils laissent dans leurs assiettes se retrouveront là – laitue, œufs, et ainsi de suite. Nous utilisons ces restes pour nourrir les porcs. »]

« They’re quite well fed. We give them vitamins and minerals daily. They’re pets, so they’re part of out animal family. [They get fed] a lot of grains or barley and feed like that… We do buy them special food as well. But at the same time, on occasion if we do have leftovers of something, it’s kind of a treat for them. » – Homme, 52 ans, propriétaire de ferme d’agrément/porcs domestiques, Nouveau-Brunswick [« Nos porcs sont très bien nourris. Nous leur donnons des vitamines et des minéraux tous les jours. Ce sont des animaux domestiques, alors ils font partie de la famille. Nous leur donnons beaucoup de grains ou de l’orge et autre nourriture du genre. Nous leur achetons aussi de la nourriture spéciale. Et quand nous avons des restes de nourriture, c’est un délice pour eux. »]

Lorsque nous leur avons demandé si l’alimentation des porcs était réglementée de quelque façon que ce soit, certains producteurs commerciaux ont parlé des antibiotiques et du fait qu’il fallait cesser de donner des médicaments ou des antibiotiques aux porcs pendant un certain temps avant de les vendre ou de les abattre. Autrement, les propriétaires de porcs n’ont pu penser à aucune exigence légale particulière lorsqu’il s’agit de nourrir leurs animaux.

Questionnés sur les listes de vérification de la biosécurité, la plupart des producteurs commerciaux sont intervenus pour expliquer la manière dont ils faisaient le suivi.

« I hear [my dad] talking about that all the time. Little things that we got to do. Like we don’t allow visitors on our farm…. There’s a lot of dangers involved in that. One sick pig could ruin our entire livestock. » – Homme, 30 ans, éleveur commercial, Saskatchewan [« J’entends mon père parler de ça tout le temps. Des petites choses que nous devons faire. Entre autres, nous n’accueillons aucun visiteur sur notre ferme. C’est trop dangereux. Un porc malade peut ruiner tout le bétail. »]

Nous avons demandé aux propriétaires de porcs quelles étaient les sources qu’ils consultaient pour obtenir des conseils et de l’information à ce sujet. Même si certains producteurs commerciaux ont indiqué qu’ils avaient un réseau multiressources, la plupart se tournaient vers leur vétérinaire, en plus de l’Internet pour s’informer. Un propriétaire de porcs se rappelait avoir découvert un site Web du gouvernement du Canada où il était question de la PPA. Bien qu’il ait parlé de « ASF » (en anglais), il croyait que le « F » désignait le mot « flu » (« grippe » en français). Par contre, après que nous lui ayons donné le nom exact, un éleveur commercial est intervenu pour dire qu’il s’agissait de la peste porcine africaine, laquelle n’avait rien à voir avec la grippe porcine.

« I’ll talk to our vet usually is how we find out information. Sometimes I’ll read stuff online…. Google, or Government of Canada sites are always good. They talk about swine flus and what might be going on… I recently was reading something about an African swine flu. I can’t tell you exactly how I got to that page, I just recall it was a Government of Canada site for sure. » – Femme, 47 ans, propriétaire de ferme d’agrément/porcs domestiques, Nouvelle-Écosse [« Je consulte habituellement mon vétérinaire pour obtenir de l’information. Parfois, il m’arrive aussi de lire des choses sur Internet. Google ou les sites du gouvernement du Canada sont de bonnes sources. On y parle de la grippe porcine et de ce qui se passe. J’ai récemment lu quelque chose au sujet de la peste porcine africaine. Je ne saurais dire comment j’ai abouti sur cette page, je me rappelle seulement que c’était un site du gouvernement du Canada. »]

Connaissance et préoccupations quant aux risques liés à la peste porcine africaine (PPA)

Dans tous les groupes, les participants connaissaient très bien au moins quelques maladies animales. Conformément aux résultats du sondage présentés plus loin dans le présent rapport, les participants connaissaient surtout la grippe aviaire et la maladie de la vache folle. Dans une proportion moindre, ils connaissaient le virus du Nil occidental, le virus Zika, la rage et la grippe porcine. Même si certains ont utilisé l’expression « grippe porcine », personne n’a mentionné spontanément la « peste porcine africaine ». Dans les groupes en anglais, certains propriétaires de porcs ont parlé de « ASF », mais plusieurs croyaient que le « F » désignait le mot « Flu » (« grippe » en français). Quelques-uns ont aussi mentionné l’E. coli, la COVID-19 et la variole du singe comme maladies animales.

Les participants ont réalisé que ces maladies pouvaient être préjudiciables aux troupeaux et que les éleveurs devaient détruire tout leur bétail ou une grande partie de celui-ci s’il était infecté.

« I know the African swine flu is a big one right now that my dad keeps going on about… I don’t know much about it other than it’s got a ridiculously high mortality rate. I know we can’t afford to lose that many pigs. One gets sick with it, who knows how many we could lose. So that’s why we have a lot of safety protocols in place right now. » – Homme, 30 ans, éleveur commercial, Saskatchewan [« Je sais que la peste porcine africaine est un gros problème actuellement, car mon père en parle tout le temps. Je n’en sais pas grand-chose, sauf que le taux de mortalité lié à cette maladie est très élevé. Je sais aussi que je ne peux pas me permettre de perdre autant de porcs. Si un est infecté, qui sait combien d’animaux nous pourrions perdre. C’est pour ça que nous avons mis en place plusieurs protocoles de sécurité. »]

Plusieurs participants savaient également que les humains peuvent être malades s’ils consomment de la viande infectée.

Tandis que la plupart de ceux qui ne possèdent pas porcs ne connaissaient pas la PPA ou d’autres maladies animales qui touchent les porcs en particulier, quelques-uns ont parlé de ce qu’ils savaient d’autres maladies, comme la grippe aviaire. Certains ont mentionné que cette maladie pouvait affecter la volaille et la capacité des poules à pondre, et comprenaient qu’elle pouvait également nuire à l’économie (notamment en faisant grimper le prix des œufs en raison de la diminution de l’offre, à rendre d’achat de poulets plus difficile, etc.).

Malgré que les participants n’étaient pas particulièrement au courant des malades animales étrangères, cela n’a en rien réduit leurs préoccupations envers celles-ci et les répercussions négatives sur l’économie canadienne. Ils ont décrit comment la COVID-19 s’était propagée rapidement partout dans le monde et que cela pourrait fort bien se reproduire. Un participant s’est rappelé à quelle vitesse la maladie de la vache folle s’était propagée avant d’être contrôlée.

Cela dit, quelques-uns se sont dits convaincus que le gouvernement gérerait tous les risques potentiels. Comme expliqué plus loin, certains participants ignoraient qui était l’agence gouvernementale responsable et ceux qui ont pu en nommer n’avaient pas toujours l’information exacte.

Peste porcine africaine

La connaissance de la peste porcine africaine était particulièrement faible, fort possiblement parce que certains participants confondaient cette maladie avec la grippe porcine. Même si plusieurs pouvaient distinguer la « grippe » (« flu » en anglais) et la « fièvre » (dans le cas de la PPA, le mot « fever » est utilisé en anglais pour désigner la « peste ») et reconnaissaient que la grippe porcine et la PPA n’étaient pas reliées, ils ont pu difficilement expliquer la différence entre les deux. Presque aucun participant n’avait vu, lu ou entendu quoi que ce soit au sujet de la PPA dans la dernière année, et aucun n’avait tenté de s’informer à son sujet ce qui explique le faible niveau de connaissance de cette maladie.

De façon générale, seulement quelques gros éleveurs de porcs avaient entendu parler de la PPA. Parmi ceux-ci, quelques-uns savaient que la maladie était mortelle pour les porcs et croyaient que les mesures de biosécurité et l’achat de porcs auprès de sources réputées protègeraient leur bétail.

Dans un groupe ethnique, un participant a mentionné avoir vu une annonce à l’écran durant un vol aller-retour au Vietnam. Il se rappelait qu’on informait les passagers qu’il était interdit d’apporter des porcs en Taiwan, sous peine de se voir imposer une amende. D’après eux, cette mesure visait à protéger la population porcine taiwanaise qui à ce jour n’était pas affectée.

Lorsqu’il s’agit de s’informer sur ce type de maladie, les propriétaires de porcs reçoivent habituellement cette information par le biais de canaux formels et informels plutôt que par une recherche active. Ces canaux incluent des réseaux de communautés agricoles, des fournisseurs de nourriture pour animaux, des associations de l’industrie porcine, le gouvernement fédéral (ACIA) et les vétérinaires.

De même, très peu de participants connaissaient l’existence de porcs sauvages au Canada. Pour ceux qui étaient au courant, le plus gros problème qu’ils posaient était les dommages importants dans les champs agricoles. Quelques-uns croyaient que tous les porcs transportaient des maladies, en particulier les porcs sauvages. Malgré que deux participants se rappelaient d’avoir lu quelque chose à leur sujet, ils ne se souvenaient pas des détails ni des régions canadiennes touchées.

Dans l’ensemble, la plupart des participants qui avaient entendu parler des porcs sauvages ignoraient tout des préoccupations les concernant, si ce n’est que du fait que c’est une espèce invasive qui détruit les terres ou qui peut poser un danger pour les humains. Cela dit, un participant d’un groupe ethnique avait écouté un balado où il était question de la présence des porcs sauvages aux États-Unis et du risque de contamination pour les espèces non sauvages. Un participant d’un groupe de résidents de régions rurales du Canada a indiqué qu’il était au courant du problème aux États-Unis et croyait que celui-ci progressait vers la frontière. Les éleveurs eux-mêmes ont précisé qu’ils étaient toujours conscients des prédateurs, même s’ils ne possèdent pas nécessairement de vastes connaissances ou ne sont pas préoccupés outre mesure par les porcs sauvages, même s’ils se doutaient que la situation pourrait devenir problématique si ceux-ci débarquaient dans les fermes porcines.

Gestion des maladies animales au Canada

Pour ce qui est de la gestion des maladies animales au Canada, les participants avaient tendance à croire que ces maladies étaient généralement bien gérées et ont attribué cela au fait que ces maladies ne font pas constamment les manchettes et qu’on ne voit pas souvent de rappels pour la viande. Ils s’entendaient pour dire que lorsqu’il y a un rappel ou tout autre problème, le gouvernement intervient rapidement et peut retracer le lieu de fabrication ou d’approvisionnement pour s’assurer que les autres produits sont sécuritaires, ce qui leur donnait le sentiment que les maladies animales seraient gérées de la même façon. Un participant a fait allusion à la grippe aviaire et la façon dont elle a été gérée au Canada, sans toutefois pouvoir nommer la maladie.

« I think they’re on top of it. We hear about the turkey farms in the lower mainland, and they were fast to act on that. There was a similar problem in Alberta, and they were fast to act on that. » – Femme, 77 ans, voyageuse internationale, Colombie-Britannique [« Je pense que le gouvernement a la situation en main. Nous avons entendu parler des fermes d’élevage de dindes dans les basses-terres et de l’intervention rapide des autorités. L’Alberta a connu un problème semblable et là aussi, on a agi rapidement. »]

Cela dit, quelques participants ont discuté de la rapidité à laquelle d’autres maladies comme la COVID-19 s’étaient propagées au Canada et s’inquiétaient que la même chose arrive avec la PPA. Un autre a indiqué qu’il n’était pas du tout préoccupé puisqu’il y aurait toujours des virus et des maladies en circulation qui ne seraient pas tous aussi graves.

De nombreux participants ont associé Santé Canada, Agriculture Canada et leur ministère provincial de la santé à la gestion des maladies au pays. Très peu ont mentionné spontanément l’ACIA bien que, lorsqu’elle a été mentionnée par l’animateur, plusieurs ont reconnu qu’il serait logique qu’elle soit parmi les organisations responsables. Quelques participants qui ne connaissaient pas les divisions qui gèrent les maladies animales croyaient qu’il existait une forme quelconque de contrôle des maladies animales, alors que d’autres ont mentionné la Food and Drug Administration et les Centers for Disease Control and Prevention aux États-Unis.

Revue des ressources en ligne et des publicités

Nous avons présenté aux participants les ressources en ligne offertes sur le site Web de l’ACIA et leur avons demandé de formuler leurs commentaires.

Propriétaires de porcs et personnes vivant à proximité de porcs

Ces participants étaient invités à explorer ce site Web : Fermez votre barrière à la peste porcine africaine – Agence canadienne d’inspection des aliments (canada.ca).

Une affiche intitulée “Fermez votre porte sur la peste porcine africaine” est montrée.
Une affiche intitulée “Fermez votre porte sur la peste porcine africaine” est montrée

Une affiche de sensibilisation intitulée “Fermez votre porte sur la peste porcine africaine” est montrée. Une photographie d’un homme et d’une petite fille dans une ferme porcine est montrée à droite. Un bouton, “Obtenir la liste de contrôle de biosécurité”, est présent sous la description à gauche.

Illustration de l’importance de la prévention de la peste porcine africaine.
Illustration de l’importance de la prévention de la peste porcine africaine

La représentation souligne l’importance de la prévention de la peste porcine africaine et de la protection des porcs contre la peste porcine africaine. Des outils et des ressources pour les agriculteurs ayant des liens avec la biosécurité porcine, les principes de base de la biosécurité et connaissant les signes de A S F sont donnés en bas. Des mesures pour l’alimentation animale, les porcs sauvages, les restes de nourriture, les personnes et l’achat de porcs sont données. Les silhouettes d’un cochon, d’une serrure et d’un bloc-notes sont affichées à gauche.

Dans l’ensemble, les participants avaient tendance à dire que le contenu du site Web était informatif, plutôt épuré et simple à comprendre. Certains se verraient cliquer sur le lien pour voir la liste de vérification de la biosécurité.

Les participants avaient généralement l’impression que le site Web s’adressait aux petits propriétaires de porcs et trouvaient le message principal clair.

Certains ont suggéré de mettre le texte qui les informe que « il n’existe pas de traitement contre la PPA » en caractères gras ou en faire un titre. D’autres ont proposé d’ajouter de l’information sur la propagation de la maladie dans le monde.

Le site Web et les images ont suscité des réactions de certains propriétaires de porcs qui jugeaient que cette information était particulièrement importante pour les gros producteurs commerciaux qui possèdent un nombre élevé de porcs puisque la maladie risquait de décimer entièrement leurs troupeaux. Un certain nombre d’entre eux ont alors suggéré de redoubler d’efforts de sensibilisation à la PPA dans les endroits comme les magasins de nourriture pour animaux.

Groupes ethniques et voyageurs internationaux

Nous avons présenté le site Web suivant aux participants : Protéger les porcs du Canada contre la peste porcine africaine – Agence canadienne d’inspection des aliments.

Les participants considéraient généralement le contenu informatif, simple à comprendre et présenté de manière conviviale. L’utilisation de capsules avec images pour chaque thème leur a plu.

Les participants ont indiqué que la mention d’une pénalité pouvant atteindre 1 300 $ a attiré leur attention. Certains ont proposé d’inclure un lien direct menant à une liste des pays touchés par la PPA.

Même si la plupart ont apprécié que l’information soit présentée en plusieurs langues, de nombreux participants se sont demandé pourquoi on avait sélectionné certaines langues et qu’on n’en offrait pas davantage. Certains ont supposé que ces langues étaient celles des pays où la PPA est prévalente, mais ils aimeraient que cela soit précisé.

Ces concepts publicitaires en ligne ont également été présentés aux participants :

Une collection de quatre concepts publicitaires.
Une collection de quatre concepts publicitaires

Le premier concept montre une affiche partagée sur les réseaux sociaux, le slogan se lit comme suit : “N’emballez pas de porc”. Une silhouette de porc avec une valise et le texte Canada sont présents sur l’affiche. La deuxième affiche montre une valise avec des vêtements, des vêtements et des aliments à base de porc avec le slogan “n’emballez pas de porc”. Le troisième concept montre une affiche sur les réseaux sociaux avec le slogan “Don’t mail pork”. Une silhouette de porc avec une lime non approuvée est montrée à droite. La quatrième affiche est une brochure avec le même contenu que la troisième affiche sur les réseaux sociaux.

Les participants avaient généralement l’impression qu’ils remarqueraient ces concepts s’ils les voyaient en ligne ou dans les médias sociaux. Ils ont jugé que l’information était simple à comprendre pour l’essentiel.

Le concept qui mentionne « N’apportez pas de porcs » était considéré comme étant beaucoup plus pertinent que celui qui dit « N’envoyez pas de porcs » ce qui, pour la plupart, était plutôt inconcevable. Comme discuté précédemment, ce n’est pas quelque chose qu’ils avaient fait dans le passé.

Plusieurs étaient d’avis que la conception du colis dans le concept « N’envoyez pas de porcs » était faible, principalement parce que celui-ci ne ressemblait pas à un colis.

Puisque de nombreux participants ne connaissaient pas la PPA, la manière dont elle se propage ou ses répercussions sur eux personnellement, les porcs canadiens ou l’économie du Canada, ils ont préféré le concept qui explique pourquoi il n’est pas recommandé d’apporter ou d’envoyer des porcs, le trouvant plus percutant et plus significatif.

Le concept de la valise ouverte a suscité des réactions mitigées – certains ont aimé l’image de la viande dans la valise qui selon eux rendait le tout plus intuitif alors que d’autres l’ont trouvé moins crédible et difficile à décoder.

Les propriétaires de porcs ont pu voir les concepts suivants :

Four figures represents the concepts to raise awareness about African Swine Fever.
Four figures represents the concepts to raise awareness about African Swine Fever

A figure shows four slides used to spread awareness. All the slides have a photograph of a man and a little girl standing in a pig farm. The first slide has a text, “Protect your pigs from African Swine Fever.” This first slide leads to the second slide with a learn more button. The third slide has a text, “Close the gate on African Swine Fever.” This third slide leads to the fourth slide with the button, “Get the Checklist.”

Quelques éleveurs craignaient que si elles étaient diffusées dans les médias sociaux, ces publicités passent inaperçues puisqu’ils ne vont pas souvent sur Internet. Certains ont suggéré de les afficher là où on vend de la nourriture pour animaux ou des fournitures agricoles où les agriculteurs seraient plus susceptibles de les voir. Les participants avaient l’impression que ces concepts s’adressaient surtout aux exploitants de fermes d’agrément plutôt qu’aux producteurs commerciaux de porcs, en raison de l’image qui montre une fillette dans un champ avec des porcelets.

« I don’t do social media. I’d never see this if I was a farmer. » – Homme, 42 ans, résident d’une région rurale, Terre-Neuve-et-Labrador [« Je ne suis pas adepte des médias sociaux. Je ne verrais jamais cette publicité si j’étais un agriculteur. »]

« As for the people who aren’t on social media, maybe this could be wherever you pick up your feed. Maybe they could have some type of sign that they ask people to put up to let them know to Canada.ca so they can find out more if they are pig farmers. » – Femme, 42 ans, propriétaire de porcs (commercial), Terre-Neuve-et-Labrador [« Puisque ce n’est pas tout le monde qui utilise les médias sociaux, il faudrait peut-être afficher cette publicité dans les magasins où on achète la nourriture pour nos animaux, comme des affiches qui invitent les éleveurs de porcs à se rendre sur le site Canada.ca pour obtenir plus d’information. »]

Malgré la clarté du message, les concepts ont obtenu des réactions mitigées. Certains étaient d’avis qu’ils n’étaient pas suffisamment sérieux ou alarmants compte tenu de la menace que représente la PPA. Le message selon lequel la PPA est mortelle et qu’il n’existe aucun traitement n’est pas transmis. Un message plus direct (p. ex., « vos porcs pourraient mourir ») serait plus efficace et attirerait davantage l’attention.

Le slogan « Protégez vos porcs » a surtout interpellé les propriétaires de porcs domestiques, alors que les éleveurs s’identifiaient davantage aux images de barrières. Certains ont préféré l’appel à l’action plus direct qui dit « Utilisez la liste de vérification » alors que d’autres, surtout ceux qui connaissaient moins cet outil, ont préféré la phrase « Plus d’info », à caractère plus général.

Quelques-uns préféreraient que l’oncombine le slogan « Protégez vos porcs » avec la phrase « Utilisez la liste de vérification ».

« I think the “Protect your pigs from African Swine Fever” is great – keep that. But I like the checklist. Because when you hear “learn more”, especially from a government agency… it’s not actionable. But if you’re telling me my pigs might die and you get a checklist… I’m going to click on that and see what I need to do to protect them. » – Homme, 52 ans, propriétaire de ferme d’agrément/de porcs domestiques, Nouveau-Brunswick [« J’aime beaucoup la phrase « Protégez vos porcs contre la peste porcine africaine – il faudrait la garder. Mais j’aime aussi la liste de vérification. Quand on entend « Plus d’info », surtout de la part d’une agence gouvernementale, on ne peut pas y donner suite. Mais si vous me dites que mes porcs pourraient mourir et qu’on me présente une liste de vérification, je vais cliquer dessus pour savoir comment les protéger. »]

Finalement, nous avons demandé aux participants s’ils préféraient le slogan « N’apportez pas de porcs » ou « Les cochons ne volent pas ». Même si plusieurs ont rigolé en entendant le deuxième, la plupart ont préféré « N’apportez pas de porcs ». Ceux-ci croyaient que le deuxième (« Les cochons ne volent pas ») ne leur permettrait pas de faire le lien avec le fait de rapporter des porcs au Canada après un voyage à l’étranger.

Plusieurs étaient d’avis que la gravité de la situation exigeait un slogan sérieux et avaient l’impression que « Les cochons ne volent pas » atténuait les inquiétudes envers la PPA.

« I think now is not the time for word play when it comes to a serious issue like this… if I see this on an ad that is meant to protect Canadians, it would actually make me upset. » – Homme, 31 ans, membre d’un groupe ethnique, Colombie-Britannique [« Je ne crois pas que ce soit un bon temps pour les jeux de mots pour un sujet aussi sérieux. Si je voyais ce slogan dans une publicité qui vise à protéger la population canadienne, ça me rendrait furieux. »]

De plus, compte tenu du peu qu’ils savaient de la PPA, il était préférable d’avoir des instructions claires ou un message direct (dans ce cas, de ne pas apporter de porcs).

Résultats de la recherche quantitative

Auditoires cibles

La présente étude avait pour but non seulement de sonder les connaissances, les comportements et les attitudes de la population générale, mais également d’en apprendre davantage sur ces dimensions pour des segments d’intérêt pour l’ACIA.

Notamment, la possession de porcs était une considération importante. Les résultats démontrent que 3 % des répondants possédaient des porcs, que ce soit comme animaux domestiques, animaux d’élevage, de ferme d’agrément ou pour d’autres raisons. Le tiers de ces répondants (34 %) possédaient des porcs à des fins commerciales. Parmi ceux qui ne possédaient pas de porcs, 28 % croyaient vivre dans un rayon de 20 kilomètres d’une ferme porcine ou d’un endroit où on retrouve des porcs.

Figure 1 – Posséder des porcs

Un graphique à barres illustre les données sur la propriété des porcs.
Un graphique à barres illustre les données sur la propriété des porcs

Les données extraites du graphique à barres horizontales se présentent comme suit: (Oui, 3 pour cent); (Non, 97 pour cent).

Q5. Possédez-vous des porcs, que ce soit comme animaux domestiques, animaux d’élevage, de ferme d’agrément ou pour d’autres raisons? Base : tous les répondants, 2023, n=2 732.

Figure 2 – Posséder des porcs à des fins commerciales

Un graphique à barres illustre les données sur la propriété commerciale de porcs.
Un graphique à barres illustre les données sur la propriété commerciale de porcs

Les données extraites du graphique à barres horizontales se présentent comme suit: (Oui, 34 pour cent); (Non, 66 pour cent).

Q6. Possédez-vous des porcs pour des fins d’élevage commercial? Base : propriétaires de porcs, 2023, n=100.

Figure 3 – Vivre à proximité de porcs

Un graphique à barres illustre les données sur les personnes vivant à proximité des porcs.
Un graphique à barres illustre les données sur les personnes vivant à proximité des porcs

Les données extraites du graphique à barres horizontales se présentent comme suit: (Oui, 28 pour cent); (Non, 72 pour cent).

Q6. Possédez-vous des porcs pour des fins d’élevage commercial? Base : répondants qui ne possèdent aucun porc, 2023, n=2 632.

Les voyageurs internationaux représentaient également un auditoire cible important pour cette étude. Les résultats démontrent que 27 % des répondants avaient voyagé à l’extérieur du Canada dans les 18 mois précédents. Ils étaient deux fois plus nombreux (54 %) à prévoir un voyage au cours des deux prochaines années.

Figure 4 – Comportements de voyageur international

Un graphique illustre le comportement des voyageurs internationaux.
Un graphique illustre le comportement des voyageurs internationaux

Un graphique à barres horizontales représente le comportement de voyage international. Les données extraites du tableau se lisent comme suit: (ont voyagé à l’extérieur du Canada au cours des 18 derniers mois, 27 pour cent); (ont l’intention de voyager à l’extérieur du Canada au cours des 2 prochaines années, 54 pour cent); (total des voyageurs internationaux, 57 pour cent).

Q8. Avez-vous voyagé à l’extérieur du Canada au cours des 18 derniers mois? Base : tous les répondants, 2023, n=2 732. / Q11. Avez-vous l’intention de voyager à l’étranger au cours des deux prochaines années? Base : tous les répondants, 2023, n=2 732.

Environ 2 % des répondants étaient des étudiants étrangers.

Figure 5 – Étudiants étrangers

Un graphique représente le pourcentage d’étudiants internationaux.
Un graphique représente le pourcentage d’étudiants internationaux

Un graphique à barres horizontales représente le pourcentage d’étudiants internationaux. Les données extraites du graphique se présentent comme suit: (Oui, 2 pour cent); (Non, 98 pour cent).

Q14. Êtes-vous un étudiant étranger qui fréquente actuellement un établissement d’enseignement au Canada? Base : tous les répondants, 2023, n=2 732.

Les participants ont discuté de comportements susceptibles de propager la PPA. Un répondant sur quatre feront ou ont déjà fait au moins une des choses suivantes :

  • 15 % accueilleront probablement des parents ou des amis de l’étranger au cours des 12 prochains mois alors que 10 % l’ont fait au cours des 12 derniers mois

  • 4 % ont indiqué qu’un membre de leur ménage recevra probablement du courrier international contenant des produits alimentaires alors que 5 % l’ont fait au cours des 12 derniers mois.

Figure 6 – Recevoir des amis, des parents ou des produits alimentaires de l’étranger à la maison

Un graphique représente le pourcentage d’amis internationaux, de famille ou de nourriture entrant dans le ménage.
Un graphique représente le pourcentage d’amis internationaux, de famille ou de nourriture entrant dans le ménage

Un graphique à barres horizontales illustre le pourcentage d’amis internationaux, de famille ou de nourriture entrant dans le ménage. Les données extraites du tableau sont les suivantes: (au cours des 12 prochains mois, vous recevrez probablement de la famille ou des amis de l’extérieur du Canada, 15 pour cent); (au cours des 12 derniers mois, vous avez reçu de la famille ou des amis de l’extérieur du Canada, 10 pour cent); (au cours des 12 derniers mois, un membre de votre ménage a reçu du courrier international contenant de la nourriture, 5 pour cent); (au cours des 12 prochains mois, un membre de votre foyer recevra probablement du courrier international contenant de la nourriture, 4 pour cent ); (aucune des réponses ci-dessus, 75 pour cent).

Q15. Lesquels des énoncés suivants s’appliquent à votre ménage? SÉLECTIONNER TOUTES LES RÉPONSES QUI S’APPLIQUENT. Base : tous les répondants, 2023, n=2 732.

Comme l’illustrent les figures ci-dessous, la probabilité qu’au moins une de ces choses se produise est plus élevée chez les répondants philippins, les propriétaires de porcs et les voyageurs internationaux.

Figure 7 – Recevoir des amis, des parents ou des produits alimentaires de l’étranger à la maison – par ethnicité

Total (n=2 732) Chinois (n=161) Philippins (n=150) Vietnamiens (n=76) Allemands (n=199) Italiens (n=152) Autres (n=453) Toutes les ethnicités prioritaires (n=729)
Au cours des 12 prochains mois, il est probable que vous accueilliez des parents ou des amis de l’étranger 15% 21% 28% 21% 23% 20% 20% 22%
Au cours des 12 derniers mois, vous avez accueilli des parents ou des amis de l’étranger 10% 13% 19% 17% 14% 9% 15% 13%
Au cours des 12 derniers mois, un membre de votre ménage a reçu du courrier international contenant des produits alimentaires 5% 11% 5% 14% 7% 3% 8% 8%
Au cours des 12 prochains mois, il est probable qu’un membre de votre ménage reçoive du courrier international contenant des produits alimentaires 4% 11% 10% 4% 5% 4% 7% 7%
Aucune de ces réponses 75% 61% 51% 59% 64% 73% 65% 64%

Q15. Lesquels des énoncés suivants s’appliquent à votre ménage? SÉLECTIONNER TOUTES LES RÉPONSES QUI S’APPLIQUENT. Base : tous les répondants, 2023, n=2 732.

Figure 8 – Recevoir des amis, des parents ou des produits alimentaires de l’étranger à la maison – par proximité avec des porcs et comportements de voyageur international

Total (n=2 732) Propriétaires de porcs (n=100) Vit à proximité de porcs (n=701) Ne vit pas à proximité de porcs (n=1 931) Voyageurs internationaux (n=854) Ne voyage pas à l’étranger (n=1 878)
Au cours des 12 prochains mois, il est probable que vous accueilliez des parents ou des amis de l’étranger 15% 31% 16% 14% 25% 11%
Au cours des 12 derniers mois, vous avez accueilli des parents ou des amis de l’étranger 10% 17% 11% 10% 18% 8%
Au cours des 12 derniers mois, un membre de votre ménage a reçu du courrier international contenant des produits alimentaires 5% 24% 5% 4% 6% 5%
Au cours des 12 prochains mois, il est probable qu’un membre de votre ménage reçoive du courrier international contenant des produits alimentaires 4% 18% 5% 3% 6% 4%
Aucune de ces réponses 75% 42% 75% 76% 62% 80%

Q15. Lesquels des énoncés suivants s’appliquent à votre ménage? SÉLECTIONNER TOUTES LES RÉPONSES QUI S’APPLIQUENT. Base : tous les répondants, 2023, n=2 732.

Connaissance de la peste porcine africaine

Nous avons demandé aux répondants s’ils connaissaient cinq des maladies animales. La connaissance était la plus élevée pour la grippe porcine (H1N1) à 85 %, suivie de près par la grippe aviaire à 82 % et la maladie de la vache folle à 81 %. La connaissance descendait à 22 % pour la maladie débilitante chronique (MDC) ou encéphalopathie des cervidés et 17 % pour la peste porcine africaine (PPA). Dans l’ensemble, neuf répondants sur dix connaissaient au moins une de ces maladies.

Les répondants philippins et les propriétaires de porcs étaient deux fois plus susceptibles d’avoir entendu parler de la PPA (38 %). Les voyageurs internationaux étaient également plus susceptibles d’avoir entendu parler de la PPA avant le sondage (22 %).

Figure 9 – Connaissance des maladies animales

Un graphique à barres horizontales illustre la sensibilisation des populations aux maladies animales.
Un graphique à barres horizontales illustre la sensibilisation des populations aux maladies animales

Un graphique à barres horizontales représente la sensibilisation aux maladies animales. Les données extraites du graphique sont les suivantes : (grippe porcine H 1 N 1, 85 pour cent); (Influenza aviaire (grippe aviaire), 82 pour cent); (maladie de la vache folle ou encéphalopathie spongiforme bovine, 81 pour cent); (maladie débilitante chronique (C W D), 22 pour cent); (Peste porcine africaine (A S F), 17 pour cent); (aucune des réponses ci-dessus, 9 pour cent).

Q16. Parmi les maladies suivantes, quelles sont celles dont vous aviez entendu parler avant aujourd’hui? SÉLECTIONNER TOUTES LES RÉPONSES QUI S’APPLIQUENT. Base : tous les répondants, 2023, n=2 732.

Figure 10 – Connaissance des maladies animales – par ethnicité

Total (n=2 732) Chinois (n=161) Philippins (n=150) Vietnamiens (n=76) Allemands (n=199) Italiens (n=152) Autres (n=453) Toutes les ethnicités prioritaires (n=729)
Grippe porcine (H1N1) 85% 74% 71% 74% 90% 81% 86% 80%
Grippe aviaire 82% 67% 72% 70% 89% 82% 82% 76%
Maladie de la vache folle ou encéphalopathie spongiforme bovine (ESB) 81% 66% 56% 66% 91% 82% 77% 75%
Encéphalopathie des cervidés (EC) 22% 11% 9% 14% 32% 13% 21% 17%
Peste porcine africaine (PPA) 17% 17% 38% 20% 22% 20% 20% 21%
Aucune de ces réponses 9% 15% 18% 17% 4% 11% 7% 11%

Q16. Parmi les maladies suivantes, quelles sont celles dont vous aviez entendu parler avant aujourd’hui? SÉLECTIONNER TOUTES LES RÉPONSES QUI S’APPLIQUENT. Base : tous les répondants, 2023, n=2 732.

Figure 11 – Connaissance des maladies animales – par proximité avec des porcs et comportements de voyageur international

Total (n=2 732) Propriétaires de porcs (n=100) Vit à proximité de porcs (n=701) Ne vit pas à proximité de porcs (n=1 931) Voyageurs internationaux (n=854) Ne voyage pas à l’étranger (n=1 878)
Grippe porcine (H1N1) 85% 77% 93% 82% 85% 85%
Grippe aviaire 82% 56% 90% 81% 82% 83%
Maladie de la vache folle ou encéphalopathie spongiforme bovine (ESB) 81% 68% 88% 78% 78% 82%
Encéphalopathie des cervidés (EC) 22% 26% 29% 19% 21% 22%
Peste porcine africaine (PPA) 17% 38% 21% 15% 22% 16%
Aucune de ces réponses 9% 9% 3% 11% 9% 9%

Q16. Parmi les maladies suivantes, quelles sont celles dont vous aviez entendu parler avant aujourd’hui? SÉLECTIONNER TOUTES LES RÉPONSES QUI S’APPLIQUENT. Base : tous les répondants, 2023, n=2 732.

Nous avons demandé aux répondants quelle était la maladie animale la plus préoccupante selon eux parmi toutes celles dont ils avaient entendu parler avant le sondage. De ceux qui connaissaient au moins une maladie, 43 % n’étaient préoccupés par aucune d’entre elles. Dans l’ensemble, c’est la grippe aviaire qui a attiré le plus d’attention avec 26 % des répondants qui connaissaient au moins une maladie qu’ils ont sélectionnée comme étant la plus préoccupante. La grippe porcine et la maladie de la vache folle étaient également préoccupantes à 13 % et 14 % respectivement. Les participants étaient peu nombreux à choisir l’encéphalopathie des cervidés (3 %) ou la PPA (1 %).

Alors que seulement 1 % des répondants qui connaissaient au moins une maladie ont sélectionné la PPA comme étant la plus préoccupante, ces résultats étaient plus élevés chez les Philippins (9 %) et les propriétaires de porcs (10 %). De plus, les préoccupations à l’égard de ces maladies étaient plus marquées chez les propriétaires de porcs – 25 % d’entre eux n’ont exprimé aucune crainte par rapport à 43 % pour l’ensemble des répondants.

Figure 12 – Maladie animale la plus préoccupante

Un diagramme à barres horizontales illustre les maladies qui concernent les personnes.
Un diagramme à barres horizontales illustre les maladies qui concernent les personnes

Un diagramme à barres horizontales représente les maladies qui préoccupent le plus les gens. Les données extraites du graphique sont les suivantes: (grippe aviaire (grippe aviaire), 26 pour cent ); (maladie de la vache folle ou encéphalopathie spongiforme bovine, 14 pour cent); (grippe porcine (H 1 N 1), 13 pour cent); (maladie débilitante chronique (C W D), 3 pour cent); (Peste porcine africaine (A S F), 1 pour cent); (aucune de ces réponses, 43 pour cent).

Q17. Laquelle de ces maladies vous préoccupe le plus? Base : les répondants qui connaissaient au moins une maladie animale, 2023, n=2 475.

Figure 13 – Maladie animale la plus préoccupante – par ethnicité

Total (n=2 475) Chinois (n=139) Philippins (n=125) Vietnamiens (n=64) Allemands (n=192) Italiens (n=135) Autres (n=423) Toutes les ethnicités prioritaires (n=646)
Grippe aviaire 26% 23% 19% 16% 24% 33% 26% 25%
Maladie de la vache folle ou encéphalopathie spongiforme bovine 14% 12% 10% 15% 18% 13% 15% 14%
Grippe porcine (H1N1) 13% 27% 24% 21% 12% 15% 16% 19%
Encéphalopathie des cervidés (EC) 3% <1% 2% 2% 1% 3% 4% 1%
Peste porcine africaine (PPA) 1% 4% 9% 5% 1% - 1% 3%
Aucune de ces réponses 43% 33% 35% 41% 44% 36% 39% 37%

Q17. Laquelle de ces maladies vous préoccupe le plus? Base : les répondants qui connaissaient au moins une maladie animale, 2023, n=2 475.

Figure 14 – Maladie animale la plus préoccupante – par proximité avec des porcs et comportements de voyageur international

Total (n=2 475) Propriétaires de porcs (n=89) Vit à proximité de porcs (n=674) Ne vit pas à proximité de porcs (n=1 712) Voyageurs internationaux (n=777) Ne voyage pas à l’étranger (n=1 698)
Grippe aviaire 26% 20% 27% 26% 27% 25%
Maladie de la vache folle ou encéphalopathie spongiforme bovine 14% 15% 16% 13% 14% 14%
Grippe porcine (H1N1) 13% 28% 14% 12% 14% 13%
Encéphalopathie des cervidés (EC) 3% 2% 4% 2% 3% 3%
Peste porcine africaine (PPA) 1% 10% 1% 1% 2% 1%
Aucune de ces réponses 43% 25% 38% 45% 41% 44%

Q17. Laquelle de ces maladies vous préoccupe le plus? Base : les répondants qui connaissaient au moins une maladie animale, 2023, n=2 475.

Quant à ceux qui connaissaient la PPA, un peu plus d’un répondant sur quatre croyait très bien la connaître (4 %) ou la connaître assez bien (22 %). Un grand nombre de répondants (49 %) ne la connaissaient pas très bien et 24 % ne la connaissaient pas du tout.

Les répondants philippins étaient plus susceptibles que les autres à dire qu’ils connaissaient très bien la PPA (12 %). Les répondants qui ne vivaient pas à proximité de porcs étaient plus susceptibles de ne pas connaître du tout la PPA comparativement à ceux qui habitent à proximité de porcs (30 % contre 18 %). Parmi les éleveurs de porcs qui connaissaient la PPA, 79 % affirmaient connaître assez bien cette maladie.

Figure 15 – Familiarité avec la PPA

Un graphique à barres représente la familiarité de la peste porcine africaine parmi le public.
Un graphique à barres représente la familiarité de la peste porcine africaine parmi le public

Une barre horizontale représente la familiarité de la peste porcine africaine avec le peuple. Les données extraites de la barre sont les suivantes: (très familier, 4 pour cent); (plutôt familier, 22 pour cent); (pas très familier, 49 pour cent); (pas du tout familier, 24 pour cent).

Q18. Dans quelle mesure la peste porcine africaine vous est-elle familière? Base : les répondants qui avaient entendu parler de la PPA, 2023, n=519.

Figure 16 – Familiarité avec la PPA – par ethnicité

Total (n=519) Chinois (n=29) Philippins (n=58) Vietnamiens (n=13) Allemands (n=45) Italiens (n=31) Autres (n=90) Toutes les ethnicités prioritaires (n=172)
Très familière 4% 4% 12% 11% 0% 9% 2% 5%
Plutôt familière 22% 44% 41% 46% 24% 20% 26% 33%
Pas très familière 49% 34% 37% 36% 48% 45% 53% 41%
Pas du tout familière 34% 18% 10% 7% 28% 26% 19% 21%

Q18. Dans quelle mesure la peste porcine africaine vous est-elle familière? Base : les répondants qui avaient entendu parler de la PPA, 2023, n=519. MISE EN GARDE : échantillons de petite taille.

Figure 17 – Familiarité avec la PPA – par proximité avec des porcs et comportements de voyageur international

Total (n=519) Propriétaires de porcs (n=29) Vit à proximité de porcs (n=154) Ne vit pas à proximité de porcs (n=294) Voyageurs internationaux (n=198) Ne voyage pas à l’étranger (n=321)
Très familière 4% 21% 2% 4% 7% 3%
Plutôt familière 22% 58% 26% 17% 28% 20%
Pas très familière 49% 15% 54% 50% 48% 50%
Pas du tout familière 34% 6% 18% 30% 18% 28%

Q18. Dans quelle mesure la peste porcine africaine vous est-elle familière? Base : les répondants qui avaient entendu parler de la PPA, 2023, n=519. MISE EN GARDE : échantillons de petite taille.

Ceux qui ont répondu que la PPA ne leur était pas très familière, qu’elle leur était plutôt familière ou très familière devaient nous dire s’ils avaient vu, lu ou entendu quelque chose au sujet de cette maladie. Les sources les plus souvent consultées étaient les médias et l’actualité (57 %), les réseaux sociaux (21 %), les amis ou les membres de la famille (14 %). Quelques-uns seulement avaient vu quelque chose en voyageant ou dans les aéroports (6 %).

Figure 18 – Sources d’information sur la PPA

Un graphique à barres montre les différentes sources d’information sur ’A’ S F.
Un graphique à barres montre les différentes sources d’information sur ’A’ S F

Un diagramme à barres horizontales illustre les différentes sources d’information sur « A » S F. Les données extraites du diagramme sont les suivantes: (médias ou nouvelles, 57 pour cent); (médias sociaux, 21 pour cent); (amis ou membre de la famille, 14 pour cent); (en voyage ou dans les aéroports, 6pour cent); (travail, 1 pour cent); (autre, 1 pour cent); (école, 1 pour cent); (en ligne, 1 pour cent); (ne me souviens pas ou ne sait pas, 24 pour cent).

Q19. Où avez-vous vu, lu ou entendu quelque chose au sujet de la peste porcine africaine? SÉLECTIONNER TOUTES LES RÉPONSES QUI S’APPLIQUENT. Base : les répondants pour qui la PPA est très familière, plutôt familière ou pas très familière, 2023, n=402.

Figure 19 – Sources d’information sur la PPA – par ethnicité

Total (n=402) Chinois (n=23) Philippins (n=52) Vietnamiens (n=12) Allemands (n=32) Italiens (n=23) Autres (n=74) Toutes les ethnicités prioritaires (n=139)
Médias/actualité 57% 61% 76% 61% 36% 51% 54% 55%
Réseaux sociaux 14% 10% 26% 24% 8% 6% 16% 11%
Amis ou membres de la famille 14% 10% 26% 24% 8% 6% 16% 11%
En voyage/dans les aéroports 6% 13% 17% 7% - 10% 6% 9%
Au travail 1% - - - - - 1% -
À l’école 1% - 2% 8% - - 1% 1%
En ligne 1% - - - - 4% 3% 1%
Autre 1% - - - - - - -
Je ne me souviens pas/je ne sais pas 24% 17% 10% 20% 46% 36% 28% 27%

Q19. Où avez-vous vu, lu ou entendu quelque chose au sujet de la peste porcine africaine? SÉLECTIONNER TOUTES LES RÉPONSES QUI S’APPLIQUENT. Base : les répondants pour qui la PPA est très familière, plutôt familière ou pas très familière, 2023, n=402. MISE EN GARDE : échantillons de petite taille.

Figure 20 – Sources d’information sur la PPA – par proximité avec des porcs et comportements de voyageur international

Total (n=402) Propriétaires de porcs (n=36) Vit à proximité de porcs (n=123) Ne vit pas à proximité de porcs (n=243) Voyageurs internationaux (n=164) Ne voyage pas à l’étranger (n=238)
Médias/actualité 57% 47% 57% 58% 56% 57%
Réseaux sociaux 14% 41% 13% 23% 23% 20%
Amis ou membres de la famille 14% 30% 17% 10% 16% 13%
En voyage/dans les aéroports 6% 6% 8% 5% 9% 4%
Au travail 1% 6% 2% 1% 2% 1%
À l’école 1% - 2% 1% 1% 2%
En ligne 1% 2% 2% <1% 1% 1%
Autre 1% 0% 1% 1% - 1%
Je ne me souviens pas/je ne sais pas 24% 7% 22% 28% 24% 25%

Q19. Où avez-vous vu, lu ou entendu quelque chose au sujet de la peste porcine africaine? SÉLECTIONNER TOUTES LES RÉPONSES QUI S’APPLIQUENT. Base : les répondants pour qui la PPA est très familière, plutôt familière ou pas très familière, 2023, n=402. MISE EN GARDE : échantillons de petite taille.

Les deux tiers des répondants (66 %) n’ont su quoi répondre lorsque nous leur avons demandé si des cas de PPA avaient été découverts au Canada et s’il faudrait prendre des précautions d’une façon ou d’une autre.

Figure 21 – Points de vue sur la PPA

Un graphique représente les différents points de vue sur la peste porcine africaine.
Un graphique représente les différents points de vue sur la peste porcine africaine

Un graphique à barres horizontales illustre les points de vue sur la peste porcine africaine. Les données extraites du tableau sont les suivantes: (A S F n’a pas été trouvé au Canada, mais nous devrions quand même prendre autant de précautions que possible, 17 pour cent); (A S F n’a pas été au Canada et il n’y a pas lieu de s’inquiéter, 7 pour cent); (A S F a été trouvé au Canada et nous devrions prendre autant de précautions que possible, 6 pour cent); (A S F a été trouvé au Canada mais il n’y a pas lieu de s’inquiéter, 4 pour cent); (ne sait pas ou préfère ne pas répondre, 66 pour cent).

Q20. Lequel de ces énoncés décrit le mieux ce que vous pensez de la peste porcine africaine (PPA)? Base : tous les répondants, 2023, n=2 732.

Parmi ceux qui avaient une opinion, la plupart (17 %) croyaient qu’aucun cas de PPA n’avait été découvert au Canada, mais que nous devrions tout de même prendre toutes les précautions possibles. Un total combiné de 10 % croyait que des cas de PPA avaient été découverts au Canada; environ la moitié était d’avis qu’il n’y avait pas lieu de s’inquiéter (4 %) alors que l’autre moitié croyait que nous devrions prendre toutes les précautions possibles (6 %).

Les répondants qui n’habitaient pas à proximité de porcs étaient plus susceptibles d’exprimer de l’incertitude envers ces énoncés (69 %). Les propriétaires de porcs étaient les plus enclins à croire qu’aucun cas de PPA n’avait été découvert au Canada, mais que nous devrions tout de même prendre toutes les précautions possibles (34 %) comparativement aux répondants qui habitaient à proximité de porcs (21 %) et ceux qui n’habitaient pas à proximité de porcs (15 %).

Figure 22 – Points de vue sur la PPA – par ethnicité

Total (n=2 732) Chinois (n=161) Philippins (n=150) Vietnamiens (n=76) Allemands (n=199) Italiens (n=152) Autres (n=453) Toutes les ethnicités prioritaires (n=729)
Aucun cas de PPA n’a été découvert au Canada, mais nous devons tout de même prendre toutes les précautions possibles 17% 18% 21% 23% 15% 19% 20% 18%
Aucun cas de PPA n’a été découvert au Canada et il n’y a pas lieu de s’inquiéter 7% 8% 11% 4% 5% 4% 7% 6%
Des cas de PPA ont été découverts au Canada et nous devons prendre toutes les précautions possibles 6% 9% 12% 8% 8% 9% 6% 9%
Des cas de PPA ont été découverts au Canada, mais il n’y a pas lieu de s’inquiéter 4% 6% 4% 0% 3% 2% 4% 4%
Je ne sais pas/je préfère ne pas répondre 66% 59% 52% 65% 68% 65% 63% 63%

Q20. Lequel de ces énoncés décrit le mieux ce que vous pensez de la peste porcine africaine (PPA)? Base : tous les répondants, 2023, n=2 732.

Figure 23 – Points de vue sur la PPA – par proximité avec des porcs et comportements de voyageur international

Total (n=2 732) Propriétaires de porcs (n=100) Vit à proximité de porcs (n=701) Ne vit pas à proximité de porcs (n=1 931) Voyageurs internationaux (n=854) Ne voyage pas à l’étranger (n=1 878)
Aucun cas de PPA n’a été découvert au Canada, mais nous devons tout de même prendre toutes les précautions possibles 17% 34% 21% 15% 20% 17%
Aucun cas de PPA n’a été découvert au Canada et il n’y a pas lieu de s’inquiéter 7% 11% 6% 7% 7% 6%
Des cas de PPA ont été découverts au Canada et nous devons prendre toutes les précautions possibles 6% 13% 7% 6% 7% 6%
Des cas de PPA ont été découverts au Canada, mais il n’y a pas lieu de s’inquiéter 4% 5% 4% 4% 5% 3%
Je ne sais pas/je préfère ne pas répondre 66% 37% 63% 69% 61% 68%

Q20. Lequel de ces énoncés décrit le mieux ce que vous pensez de la peste porcine africaine (PPA)? Base : tous les répondants, 2023, n=2 732.

Connaissance et points de vue sur les comportements susceptibles d’introduire la PPA au Canada

Divers comportements peuvent contribuer à introduire la PPA au Canada et à la propager. Lorsque nous leur avons présenté quatre des comportements les plus connus, près de la moitié des répondants (49 %) ne les connaissaient pas. Des proportions similaires étaient au courant des comportements suivants :

  • 37 % – Rapporter des produits du porc d’un voyage à l’étranger

  • 36 % – Visiter une ferme porcine ou un endroit où on retrouve des porcs au Canada peu de temps après avoir visité une ferme porcine ou un endroit où on retrouve des porcs lors d’un voyage à l’étranger (zoos, refuges pour animaux et territoires de chasse où on retrouve des porcs sauvages)

  • 31 % – Recevoir des produits du porc par la poste de la part d’amis ou de membres de la famille à l’étranger

Parmi les comportements présentés, le moins connu était celui qui consiste à nourrir les porcs avec des restes de nourriture et des déchets alimentaires (13 %).

Nous avons constaté des écarts en comparant les résultats des différents groupes ethniques.

  • Les répondants vietnamiens étaient moins au courant que le fait de rapporter des produits du porc d’un voyage à l’étranger pouvait contribuer à introduire la PPA au Canada (25 %) par rapport aux Chinois (39 %), aux Philippins (42 %) et aux Allemands (39 %).

  • Comparativement aux répondants vietnamiens et italiens, les Philippins étaient plus au fait que recevoir des produits du porc par la poste de la part d’amis ou de membres de la famille à l’étranger pouvait contribuer à introduire la PPA au Canada (36 % contre 22 % et 25 % respectivement).

  • Les répondants chinois et philippins étaient plus au courant que le fait de nourrir les porcs avec des restes de nourriture et des déchets alimentaires pouvait contribuer à introduire la PPA au Canada (20 % et 19 % respectivement) comparativement aux Allemands et aux Italiens (10 % et 11 % respectivement).

Les propriétaires de porcs étaient plus au fait que de nourrir les porcs avec des restes de nourriture et des déchets alimentaires pouvait contribuer à introduire la PPA au Canada (31 %) comparativement à ceux qui vivent à proximité de porcs (17 %) et ceux qui ne vivent pas à proximité de porcs (11 %).

Les voyageurs internationaux étaient plus nombreux que ceux qui ne voyagent pas à l’étranger à connaître chacun des quatre comportements présentés.

Les répondants étaient libres de mentionner d’autres comportements susceptibles d’introduire la PPA au Canada. Parmi les quelques-uns qui avaient entendu parler d’autres activités pouvant contribuer à introduire la PPA au pays, certains ont mentionné les enclos insalubres.

Figure 24 – Connaissance des comportements susceptibles d’introduire ou de propager la PPA

Un histogramme illustre la notoriété du public sur A S F.
Un histogramme illustre la notoriété du public sur A S F

Un diagramme à barres horizontales représente la sensibilisation du public aux comportements qui peuvent introduire ou propager la A S F. Les données extraites du diagramme sont les suivantes: (ramener des produits de porc d’un voyage à l’extérieur du Canada, 37 pour cent); (Visite d’une ferme porcine ou d’une propriété où se trouvent des porcs au Canada peu de temps après avoir visité une ferme porcine ou une propriété où se trouvent des porcs lors d’un voyage à l’extérieur du Canada, 36 pour cent); (Recevoir des produits de porc par la poste d’amis ou de membres de la famille situés à l’extérieur du Canada, 31 pour cent); (Donnant des restes de nourriture et des déchets aux porcs, 13 pour cent); (conditions d’enclos insalubres (cette option n’est pas présentée dans le questionnaire), moins de 1 pour cent) ); (d’autres activités que j’ai entendues peuvent introduire A S F, moins de 1 pour cent); (aucune de ces réponses, 49 pour cent).

Q21. Divers comportements peuvent contribuer à introduire la peste porcine africaine (PPA) au Canada et à la propager. Parmi les suivants, quels sont ceux dont vous êtes au courant? SÉLECTIONNER TOUTES LES RÉPONSES QUI S’APPLIQUANT. Base : tous les répondants, 2023, n=2 732. *Option non offerte dans le questionnaire.

Figure 25 – Connaissance des comportements susceptibles d’introduire ou de propager la PPA – par ethnicité

Total (n=2 732) Chinois (n=161) Philippins (n=150) Vietnamiens (n=76) Allemands (n=199) Italiens (n=152) Autres (n=453) Toutes les ethnicités prioritaires (n=729)
Rapporter des produits du porc d’un voyage à l’étranger 37% 39% 42% 25% 39% 33% 40% 37%
Visiter une ferme porcine ou un endroit où on retrouve des porcs au Canada peu de temps après avoir visité une ferme porcine ou un endroit où ou retrouve des porcs lors d’un voyage à l’étranger 36% 38% 39% 26% 36% 34% 37% 36%
Recevoir des produits du porc par la poste d’amis ou de membres de la famille à l’étranger 31% 29% 36% 22% 34% 25% 33% 30%
Nourrir les porcs avec des restes de nourriture et des déchets alimentaires 13% 20% 19% 17% 10% 11% 15% 15%
Enclos insalubres <1% - - - - - - -
J’ai entendu parler d’autres activités qui peuvent introduire la PPA au Canada <1% - - - <1% - 1% -
Aucune de ces réponses 49% 43% 37% 57% 47% 50% 46% 45%

Q21. Divers comportements peuvent contribuer à introduire la peste porcine africaine (PPA) au Canada et à la propager. Parmi les suivants, quels sont ceux dont vous êtes au courant? SÉLECTIONNER TOUTES LES RÉPONSES QUI S’APPLIQUANT. Base : tous les répondants, 2023, n=2 732.

Figure 26 – Connaissance des comportements susceptibles d’introduire ou de propager la PPA au Canada – par proximité avec des porcs et comportements de voyageur international

Total (n=2 732) Propriétaires de porcs (n=100) Vit à proximité de porcs (n=701) Ne vit pas à proximité de porcs (n=1 931) Voyageurs internationaux (n=854) Ne voyage pas à l’étranger (n=1 878)
Rapporter des produits du porc d’un voyage à l’étranger 37% 41% 43% 34% 41% 35%
Visiter une ferme porcine ou un endroit où on retrouve des porcs au Canada peu de temps après avoir visité une ferme porcine ou un endroit où ou retrouve des porcs lors d’un voyage à l’étranger 36% 41% 43% 33% 42% 34%
Recevoir des produits du porc par la poste d’amis ou de membres de la famille à l’étranger 31% 27% 38% 29% 36% 30%
Nourrir les porcs avec des restes de nourriture et des déchets alimentaires 13% 31% 17% 11% 16% 12%
Enclos insalubres <1% - - <1% - <1%
J’ai entendu parler d’autres activités qui peuvent introduire la PPA au Canada <1% 1% 1% <1% <1% <1%
Aucune de ces réponses 49% 20% 42% 53% 42% 52%

Q21. Divers comportements peuvent contribuer à introduire la peste porcine africaine (PPA) au Canada et à la propager. Parmi les suivants, quels sont ceux dont vous êtes au courant? SÉLECTIONNER TOUTES LES RÉPONSES QUI S’APPLIQUANT. Base : tous les répondants, 2023, n=2 732.

Les quatre mêmes comportements ont été repris dans le sondage pour savoir dans quelle mesure chacun d’eux posait un risque d’introduire ou de propager la PPA au Canada. Une échelle de 7 points (7 étant un risque considérable) a été utilisée.

Le comportement considéré comme posant un risque très élevé par la majorité des répondants était celui qui consiste à rapporter des produits du porc au Canada de l’étranger sans les déclarer aux douanes (53 % ont donné une note de 6 ou 7 sur l’échelle de 7 points). Il était suivi du fait de recevoir des produits du porc par la poste d’amis ou de membres de la famille à l’étranger (43 %) et de visiter une ferme porcine ou un endroit où on retrouve des porcs au Canada (39 %).

Le comportement considéré le moins risqué était celui de nourrir les porcs avec des restes de nourriture et des déchets alimentaires (17 %). Dans tous les cas, il convient de noter qu’une grande proportion de répondants ont sélectionné l’option « je ne sais pas ».

Des écarts ont été constatés au moment de comparer ces résultats avec ceux des segments clés :

  • Les répondants philippins étaient les plus susceptibles de considérer que le fait de rapporter des produits du porc d’un voyage à l’étranger sans les déclarer aux douanes posait un risque important (64 %), comparativement aux répondants chinois en particulier (36 %). Les propriétaires de porcs étaient moins enclins à croire que ce comportement posait un risque important (34 %) comparativement à ceux qui vivent à proximité de porcs (56 %) et ceux qui ne vivent pas à proximité de porcs (53 %). Ces propriétaires voyaient ce comportement comme neutre en termes de risque (38 %) ou un faible risque (18 %).

  • Le comportement qui consiste à recevoir des produits du porc par la poste d’amis ou de membres de la famille à l’étranger était perçu comme posant un risque important par les répondants philippins (51 %), allemands (41 %) et italiens (44 %) par rapport aux répondants chinois (27 %).

  • Le fait de visiter une ferme porcine ou un endroit où on retrouve des porcs au Canada peu de temps après avoir visité une ferme porcine ou un endroit où on retrouve des porcs lors d’un voyage à l’étranger était plus souvent considéré comme un risque important par les répondants philippins (43 %), allemands (41 %) et italiens (42 %) comparativement aux répondants chinois (25 %).

  • Les répondants philippins, vietnamiens et italiens étaient plus susceptibles d’affirmer que nourrir les porcs avec des restes de nourriture et des déchets alimentaires posait un risque important d’introduire et de propager la PPA au Canada (34 %, 26 % et 26 % respectivement) par rapport aux répondants chinois (14 %). Les Philippins et les Italiens étaient aussi plus enclins à considérer ce comportement comme posant un risque important comparativement aux Allemands (15 %).

  • Les répondants qui ne voyagent pas à l’étranger étaient moins susceptibles d’avoir une opinion sur le niveau de risque pour tous les énoncés, comparativement aux voyageurs internationaux.

Figure 27 – Perceptions des risques liés aux comportements susceptibles de contribuer à propager la PPA

Un graphique à barres illustre les comportements qui pourraient propager A S F.
Un graphique à barres illustre les comportements qui pourraient propager A S F

Un graphique à barres horizontales empilées représente le risque perçu de comportements susceptibles de propager la A S F. Chaque barre représente un comportement. Les données extraites du graphique pour chaque comportement sont les suivantes. Nourrir les porcs avec des restes de nourriture et des déchets: (risque important (7, 6), 17 pour cent); (neutre (5, 4), 23 pour cent); (faible risque (3, 2, 1), 25 pour cent); (ne sait pas ou préfère ne pas dire, 35 pour cent). Visiter une ferme porcine ou une propriété où se trouvent des porcs au Canada peu de temps après avoir visité une ferme porcine ou une propriété où des porcs se trouvent lors d’un voyage à l’extérieur du Canada: (risque important (7, 6), 39 pour cent); (neutre (5, 4), 25 pour cent); (risque faible (3, 2, 1), 10 pour cent); (ne sait pas ou préfère ne pas dire, 25 pour cent). Recevoir des produits de porc par la poste d’amis ou de membres de la famille situés à l’extérieur du Canada: (risque important (7, 6), 43 pour cent) ; (neutre (5, 4), 23 pour cent); (faible risque (3, 2, 1), 11 pour cent); (ne sait pas ou préfère ne pas dire, 23 pour cent). Rapporter des produits de porc d’un voyage à l’extérieur du Canada et ne pas les déclarer à la douane: (risque important (7, 6), 53 pour cent); (neutre (5, 4), 20 pour cent); (risque faible (3, 2, 1), 7 pour cent); (ne sais pas ou préfère ne pas dire, 20 pour cent).

Q22. À votre avis, quels sont les risques d’introduction ou de propagation de la PPA au Canada associés aux comportements suivants? Base : tous les répondants, 2023, n=2 732.

Figure 28 – Perceptions des risques liés aux comportements susceptibles de contribuer à propager la PPA – par ethnicité

Rapporter des produits du porc d’un voyage à l’étranger sans les déclarer aux douanes

Total (n=2 732) Chinois (n=161) Philippins (n=150) Vietnamiens (n=76) Allemands (n=199) Italiens (n=152) Autres (n=453) Toutes les ethnicités prioritaires (n=729)
Risque important (7,6) 53% 36% 64% 44% 54% 50% 51% 46%
Neutre (5,4) 20% 35% 21% 27% 21% 29% 22% 29%
Pas ou peu de risque (3,2,1) 7% 11% 6% 4% 10% 7% 9% 9%
Je ne sais pas/je préfère ne pas répondre 20% 18% 9% 24% 15% 15% 19% 16%

Recevoir des produits du porc par la poste de la part d’amis ou de membres de la famille à l’étranger

Total (n=2 732) Chinois (n=161) Philippins (n=150) Vietnamiens (n=76) Allemands (n=199) Italiens (n=152) Autres (n=453) Toutes les ethnicités prioritaires (n=729)
Risque important (7,6) 43% 27% 51% 36% 41% 44% 44% 36%
Neutre (5,4) 23% 37% 26% 36% 27% 28% 24% 31%
Pas ou peu de risque (3,2,1) 11% 16% 8% 8% 13% 8% 12% 12%
Je ne sais pas/je préfère ne pas répondre 23% 20% 16% 20% 20% 20% 21% 20%

Visiter une ferme porcine ou un endroit où on retrouve des porcs au Canada peu de temps après avoir visité une ferme porcine ou un endroit où on retrouve des porcs lors d’un voyage à l’étranger

Total (n=2 732) Chinois (n=161) Philippins (n=150) Vietnamiens (n=76) Allemands (n=199) Italiens (n=152) Autres (n=453) Toutes les ethnicités prioritaires (n=729)
Risque important (7,6) 39% 25% 43% 32% 41% 42% 36% 35%
Neutre (5,4) 25% 38% 32% 35% 26% 28% 27% 32%
Pas ou peu de risque (3,2,1) 10% 17% 8% 10% 11% 10% 13% 13%
Je ne sais pas/je préfère ne pas répondre 25% 20% 17% 23% 22% 20% 25% 20%

Nourrir les porcs avec des restes de nourriture et des déchets alimentaires

Total (n=2 732) Chinois (n=161) Philippins (n=150) Vietnamiens (n=76) Allemands (n=199) Italiens (n=152) Autres (n=453) Toutes les ethnicités prioritaires (n=729)
Risque important (7,6) 17% 14% 34% 26% 15% 26% 21% 18%
Neutre (5,4) 23% 34% 32% 29% 22% 27% 24% 29%
Pas ou peu de risque (3,2,1) 25% 26% 14% 19% 27% 16% 23% 23%
Je ne sais pas/je préfère ne pas répondre 35% 26% 20% 26% 35% 32% 33% 29%

Q22. À votre avis, quels sont les risques d’introduction ou de propagation de la PPA au Canada associés aux comportements suivants? Base : tous les répondants, 2023, n=2 732.

Figure 29 – Perceptions des risques liés aux comportements susceptibles de contribuer à propager la PPA – par proximité avec des porcs et comportements de voyageur international

Rapporter des produits du porc d’un voyage à l’étranger sans les déclarer aux douanes

Total (n=2 732) Propriétaires de porcs (n=100) Vit à proximité de porcs (n=701) Ne vit pas à proximité de porcs (n=1 931) Voyageurs internationaux (n=854) Ne voyage pas à l’étranger (n=1 878)
Risque important (7,6) 53% 34% 56% 53% 53% 53%
Neutre (5,4) 20% 38% 21% 19% 21% 19%
Pas ou peu de risque (3,2,1) 7% 18% 9% 6% 9% 7%
Je ne sais pas/je préfère ne pas répondre 20% 9% 14% 22% 16% 21%

Recevoir des produits du porc par la poste de la part d’amis ou de membres de la famille à l’étranger

Total (n=2 732) Propriétaires de porcs (n=100) Vit à proximité de porcs (n=701) Ne vit pas à proximité de porcs (n=1 931) Voyageurs internationaux (n=854) Ne voyage pas à l’étranger (n=1 878)
Risque important (7,6) 43% 37% 45% 43% 44% 43%
Neutre (5,4) 23% 31% 25% 22% 26% 22%
Pas ou peu de risque (3,2,1) 11% 20% 14% 9% 12% 11%
Je ne sais pas/je préfère ne pas répondre 23% 12% 17% 25% 19% 24%

Visiter une ferme porcine ou un endroit où on retrouve des porcs au Canada peu de temps après avoir visité une ferme porcine ou un endroit où on retrouve des porcs lors d’un voyage à l’étranger

Total (n=2 732) Propriétaires de porcs (n=100) Vit à proximité de porcs (n=701) Ne vit pas à proximité de porcs (n=1 931) Voyageurs internationaux (n=854) Ne voyage pas à l’étranger (n=1 878)
Risque important (7,6) 39% 33% 42% 39% 41% 39%
Neutre (5,4) 25% 40% 28% 24% 29% 24%
Pas ou peu de risque (3,2,1) 10% 19% 11% 9% 10% 10%
Je ne sais pas/je préfère ne pas répondre 25% 8% 19% 28% 21% 27%

Nourrir les porcs avec des restes de nourriture et des déchets alimentaires

Total (n=2 732) Propriétaires de porcs (n=100) Vit à proximité de porcs (n=701) Ne vit pas à proximité de porcs (n=1 931) Voyageurs internationaux (n=854) Ne voyage pas à l’étranger (n=1 878)
Risque important (7,6) 17% 22% 14% 18% 19% 16%
Neutre (5,4) 23% 37% 27% 21% 25% 23%
Pas ou peu de risque (3,2,1) 25% 30% 30% 22% 25% 25%
Je ne sais pas/je préfère ne pas répondre 35% 11% 29% 39% 31% 37%

Q22. À votre avis, quels sont les risques d’introduction ou de propagation de la PPA au Canada associés aux comportements suivants? Base : tous les répondants, 2023, n=2 732.

Niveaux de préoccupations quant à la présence éventuelle de la PPA au Canada

Nous avons présenté aux participants plusieurs scénarios et leur avons demandé s’ils étaient préoccupés par chacun d’eux. Tous ces scénarios invitaient les répondants à supposer que la PPA avait fait son apparition au Canada. Ces résultats s’inscrivent dans un contexte différent des résultats précédents qui démontraient un faible niveau de préoccupation envers la PPA. Notamment, ces derniers concernaient les préoccupations advenant que la PPA ait déjà fait son apparition au Canada. De plus, les répondants pouvaient choisir une seule maladie animale (celle qui d’après eux était la plus préoccupante) plutôt que de discuter des préoccupations envers chacune de ces maladies.

Dans le premier scénario de cette section, les répondants devaient évaluer (sur une échelle de 7 points) dans quelle mesure ils seraient préoccupés pour eux-mêmes si la PPA faisait son apparition au Canada. Un peu moins de trois répondants sur dix (29 %) seraient très préoccupés pour eux-mêmes si la PPA faisait son apparition au Canada. Moins du quart (23 %) ne serait pas préoccupé alors qu’une plus faible proportion était incertaine (16 %).

Les répondants philippins étaient les plus susceptibles d’être très préoccupés (55 %) comparativement à toutes les ethnicités ciblées. D’autre part, les répondants allemands étaient les moins enclins à se dire préoccupés alors que 32 % ont affirmé ne pas l’être du tout ou très peu (note de 3, 2 ou 1 sur l’échelle de 7 points).

Les propriétaires de porcs étaient les plus enclins à se dire très préoccupés que la PPA puisse les affecter personnellement (39 %) par rapport à ceux qui vivent à proximité de porcs (26 %).

Figure 30 – Préoccupations pour son bien-être si la PPA faisait son apparition au Canada

Un graphique à barres montre la préoccupation pour le bien-être personnel si la A S F se propageait au Canada.
Un graphique à barres montre la préoccupation pour le bien-être personnel si la A S F se propageait au Canada

Une barre horizontale affiche le souci de bien-être personnel si A S F est entré au Canada. Les données extraites de la barre sont les suivantes: (très inquiet (7, 6), 29 pour cent); (neutre (5, 4), 31 pour cent); (pas du tout concerné (3, 2, 1), 23 pour cent); (ne sait pas ou préfère ne pas dire, 17 pour cent).

Q23. Si la peste porcine africaine faisait son apparition au Canada, dans quelle mesure seriez-vous préoccupé(e) pour vous-même? Base : tous les répondants, 2023, n=2 732.

Figure 31 – Préoccupations pour son bien-être si la PPA faisait son apparition au Canada – par ethnicité

Total (n=2 732) Chinois (n=161) Philippins (n=150) Vietnamiens (n=76) Allemands (n=199) Italiens (n=152) Autres (n=453) Toutes les ethnicités prioritaires (n=729)
Très préoccupé (7,6) 29% 27% 55% 37% 23% 34% 34% 30%
Neutre (5,4) 31% 36% 30% 37% 29% 39% 28% 34%
Peu ou pas du tout préoccupé (3,2,1) 23% 20% 10% 5% 32% 16% 24% 21%
Je ne sais pas/je préfère ne pas répondre 17% 17% 6% 21% 16% 12% 14% 15%

Q23. Si la peste porcine africaine faisait son apparition au Canada, dans quelle mesure seriez-vous préoccupé(e) pour vous-même? Base : tous les répondants, 2023, n=2 732.

Figure 32 – Préoccupations pour son bien-être si la PPA faisait son apparition au Canada – par proximité avec des porcs et comportements de voyageur international

Total (n=2 732) Propriétaires de porcs (n=100) Vit à proximité de porcs (n=701) Ne vit pas à proximité de porcs (n=1 931) Voyageurs internationaux (n=854) Ne voyage pas à l’étranger (n=1 878)
Très préoccupé (7,6) 29% 39% 26% 29% 27% 29%
Neutre (5,4) 31% 35% 34% 30% 35% 30%
Peu ou pas du tout préoccupé (3,2,1) 23% 19% 25% 22% 24% 23%
Je ne sais pas/je préfère ne pas répondre 17% 7% 15% 19% 13% 19%

Q23. Si la peste porcine africaine faisait son apparition au Canada, dans quelle mesure seriez-vous préoccupé(e) pour vous-même? Base : tous les répondants, 2023, n=2 732.

La moitié des répondants (50 %) seraient très préoccupés pour l’industrie canadienne du porc si la PPA faisait son apparition au Canada. Un sur dix (10 %) n’était pas préoccupé alors qu’une proportion plus élevée était incertaine (15 %).

Les répondants philippins étaient plus susceptibles d’être très préoccupés (64 %) pour l’industrie canadienne du porc si la PPA faisait son apparition comparativement aux Chinois (35 %), aux Vietnamiens (43 %) et aux Allemands (52 %). Les répondants italiens étaient également plus susceptibles d’être très préoccupés (57 %) par rapport aux répondants chinois (35 %).

Comme on aurait pu l’imaginer, les répondants qui ne vivent pas à proximité de porcs étaient plus nombreux à se dire incertains des impacts de la PPA sur l’industrie canadienne du porc (16 %) comparativement aux propriétaires de porcs (9 %). Ceux qui ne voyagent pas à l’étranger étaient aussi plus enclins à exprimer de l’incertitude quant aux impacts de la PPA sur l’industrie canadienne du porc (16 %) par rapport aux voyageurs internationaux (12 %).

Figure 33 – Préoccupations pour l’industrie canadienne du porc si la PPA faisait son apparition au Canada

Un graphique à barres montre l’inquiétude pour l’industrie porcine canadienne si la peste porcine américaine se répandait au Canada.
Un graphique à barres montre l’inquiétude pour l’industrie porcine canadienne si la peste porcine américaine se répandait au Canada

Une barre horizontale indique l’inquiétude pour l’industrie porcine canadienne si A S F entrait au Canada. Les données extraites de la barre sont les suivantes: (très inquiet (7, 6), 50 pour cent) ); (neutre (5, 4), 26 pour cent); (pas du tout concerné (3, 2, 1), 10 pour cent); (ne sait pas ou préfère ne pas dire, 15 pour cent).

Q24. Si la peste porcine africaine faisait son apparition au Canada, dans quelle mesure seriez-vous préoccupé(e) pour l’industrie canadienne du porc? Base : tous les répondants, 2023, n=2 732.

Figure 34 – Préoccupations pour l’industrie canadienne du porc si la PPA faisait son apparition au Canada – par ethnicité

Total (n=2 732) Chinois (n=161) Philippins (n=150) Vietnamiens (n=76) Allemands (n=199) Italiens (n=152) Autre (n=453) Toutes les ethnicités prioritaires (n=729)
Très préoccupé (7,6) 50% 35% 64% 43% 52% 57% 51% 47%
Neutre (5,4) 26% 40% 23% 31% 30% 25% 25% 33%
Peu ou pas du tout préoccupé (3,2,1) 10% 10% 5% 14% 9% 5% 13% 9%
Je ne sais pas/je préfère ne pas répondre 15% 14% 8% 11% 10% 13% 11% 12%

Q24. Si la peste porcine africaine faisait son apparition au Canada, dans quelle mesure seriez-vous préoccupé(e) pour l’industrie canadienne du porc? Base : tous les répondants, 2023, n=2 732.

Figure 35 – Préoccupations pour l’industrie canadienne du porc si la PPA faisait son apparition au Canada – par proximité avec des porcs et comportements de voyageur international

Total (n=2 732) Propriétaires de porcs (n=100) Vit à proximité de porcs (n=701) Ne vit pas à proximité de porcs (n=1,931) Voyageurs internationaux (n=854) Ne voyage pas à l’étranger (n=1 878)
Très préoccupé (7,6) 50% 45% 51% 49% 49% 50%
Neutre (5,4) 26% 27% 27% 25% 28% 25%
Peu ou pas du tout préoccupé (3,2,1) 10% 19% 9% 10% 11% 10%
Je ne sais pas/je préfère ne pas répondre 15% 9% 13% 16% 12% 16%

Q24. Si la peste porcine africaine faisait son apparition au Canada, dans quelle mesure seriez-vous préoccupé(e) pour l’industrie canadienne du porc? Base : tous les répondants, 2023, n=2 732.

Tandis que la moitié des répondants (50 %) seraient très préoccupés du fait que la PPA pourrait affecter l’industrie canadienne du porc si elle faisait son apparition au pays, une plus grande proportion (57 %) croyait que cet impact serait assez important. Seulement 6 % avaient l’impression que la PPA aurait peu ou aucun impact sur l’industrie canadienne du porc.

Les répondants allemands et italiens étaient plus susceptibles de croire que la PPA aurait un impact important sur l’industrie canadienne du porc (64 % et 65 % respectivement) comparativement aux répondants chinois (41 %) et vietnamiens (47 %). Les Philippins étaient aussi plus enclins à croire que cet impact serait important, par rapport aux Chinois (59 % contre 41 %).

Les propriétaires de porcs étaient plus susceptibles de croire que la PPA aura peu ou aucun impact sur l’industrie canadienne du porc (14 % ont donné une note de 1, 2 ou 3 sur une échelle de 7 points) comparativement à ceux qui vivent à proximité de porcs (6 %) et ceux qui ne vivent pas à proximité de porcs (6 %).

Figure 36 – Perceptions de l’impact de la PPA sur l’industrie du porc

Un graphique à barres horizontales représente l’impact perçu d’A S F sur l’industrie porcine.
Un graphique à barres horizontales représente l’impact perçu d’A S F sur l’industrie porcine

Une barre horizontale affiche l’impact perçu de l’A S F sur l’industrie porcine. Les données extraites de la barre sont les suivantes: (impact significatif (7, 6), 57 pour cent); (neutre (5, 4), 22 pour cent); (pas du tout concerné (3, 2, 1), 6 pour cent); (ne sait pas ou préfère ne pas dire, 16 pour cent).

Q25. Si la peste porcine africaine faisait son apparition au Canada, quel serait selon vous son impact sur l’industrie canadienne du porc? Base : tous les répondants, 2023, n=2 732.

Figure 37 – Perceptions de l’impact de la PPA sur l’industrie du porc – par ethnicité

Total (n=2 732) Chinois (n=161) Philippins (n=150) Vietnamiens (n=76) Allemands (n=199) Italiens (n=152) Autres (n=453) Toutes les ethnicités prioritaires (n=729)
Impact important (7,6) 57% 41% 59% 47% 64% 65% 58% 54%
Neutre (5,4) 22% 35% 28% 30% 22% 20% 21% 28%
Peu ou pas d’impact (3,2,1) 6% 12% 3% 9% 6% 1% 7% 7%
Je ne sais pas/je préfère ne pas répondre 16% 13% 10% 14% 8% 14% 14% 12%

Q25. Si la peste porcine africaine faisait son apparition au Canada, quel serait selon vous son impact sur l’industrie canadienne du porc? Base : tous les répondants, 2023, n=2 732.

Figure 38 – Perceptions de l’impact de la PPA sur l’industrie du porc – par proximité avec des porcs et comportements de voyageur international

Total (n=2 732) Propriétaires de porcs (n=100) Vit à proximité de porcs (n=701) Ne vit pas à proximité de porcs (n=1 931) Voyageurs internationaux (n=854) Ne voyage pas à l’étranger (n=1,878)
Impact important (7,6) 57% 46% 58% 56% 57% 56%
Neutre (5,4) 22% 29% 23% 21% 23% 22%
Peu ou pas d’impact (3,2,1) 6% 14% 6% 6% 7% 5%
Je ne sais pas/je préfère ne pas répondre 16% 11% 13% 17% 13% 17%

Q25. Si la peste porcine africaine faisait son apparition au Canada, quel serait selon vous son impact sur l’industrie canadienne du porc? Base : tous les répondants, 2023, n=2 732.

Plus du tiers des répondants (36 %) seraient très préoccupés à l’idée que la PPA pourrait affecter l’économie canadienne si elle faisait son apparition au pays. Plus d’un répondant sur dix (13 %) ne serait pas préoccupé et 15 % seraient incertains.

Les répondants philippins étaient plus susceptibles d’être très préoccupés pour l’économie canadienne (51 %) comparativement aux répondants chinois (27 %), vietnamiens (36 %) et allemands (40 %). Les Allemands et les Italiens étaient plus nombreux à se dire très préoccupés (40 % et 42 % respectivement) par rapport aux Chinois (27 %).

En comparaison avec ceux qui ne vivent pas à proximité de porcs, les propriétaires de porcs étaient plus susceptibles d’être préoccupés pour l’économie canadienne si la PPA faisait son apparition au pays (47 % contre 36 %).

Figure 39 – Préoccupations pour l’économie canadienne si la PPA faisait son apparition au pays

Un graphique à barres montre l’inquiétude pour l’économie canadienne si A S F se répandait au Canada.
Un graphique à barres montre l’inquiétude pour l’économie canadienne si A S F se répandait au Canada

Une barre horizontale affiche la préoccupation pour l’économie canadienne si A S F entrait au Canada. Les données extraites de la barre sont les suivantes: (très inquiet (7, 6), 36 pour cent); (neutre (5, 4), 35 pour cent); (pas du tout concerné (3, 2, 1), 13 pour cent); (ne sait pas ou préfère ne pas dire, 15 pour cent).

Q26. Si la peste porcine africaine faisait son apparition au Canada, dans quelle mesure seriez-vous préoccupé(e) pour l’économie canadienne? Base : tous les répondants, 2023, n=2 732.

Figure 40 – Préoccupations pour l’économie canadienne si la PPA faisait son apparition au pays – par ethnicité

Total (n=2 732) Chinois (n=161) Philippins (n=150) Vietnamiens (n=76) Allemands (n=199) Italiens (n=152) Autres (n=453) Toutes les ethnicités prioritaires (n=729)
Très préoccupé (7,6) 36% 27% 51% 36% 40% 42% 40% 36%
Neutre (5,4) 35% 42% 34% 44% 36% 41% 32% 40%
Peu ou pas du tout préoccupé (3,2,1) 13% 18% 7% 9% 11% 6% 15% 12%
Je ne sais pas/je préfère ne pas répondre 15% 13% 7% 11% 12% 11% 14% 12%

Q26. Si la peste porcine africaine faisait son apparition au Canada, dans quelle mesure seriez-vous préoccupé(e) pour l’économie canadienne? Base : tous les répondants, 2023, n=2 732.

Figure 41 – Préoccupations pour l’économie canadienne si la PPA faisait son apparition au pays – par proximité avec des porcs et comportements de voyageur international

Total (n=2 732) Propriétaires de porcs (n=100) Vit à proximité de porcs (n=701) Ne vit pas à proximité de porcs (n=1 931) Voyageurs internationaux (n=854) Ne voyage pas à l’étranger (n=1 878)
Très préoccupé (7,6) 36% 47% 36% 36% 34% 37%
Neutre (5,4) 35% 31% 37% 34% 38% 34%
Peu ou pas du tout préoccupé (3,2,1) 13% 16% 13% 13% 15% 13%
Je ne sais pas/je préfère ne pas répondre 15% 5% 14% 16% 13% 16%

Q26. Si la peste porcine africaine faisait son apparition au Canada, dans quelle mesure seriez-vous préoccupé(e) pour l’économie canadienne? Base : tous les répondants, 2023, n=2 732.

Plus du tiers des répondants (35 %) croyaient que l’impact sur l’économie canadienne serait assez important.

Ce pourcentage grimpe à un peu moins de la moitié (49 %) des répondants philippins, comparativement à une plus petite proportion de répondants chinois (23 %) et allemands (37 %). Les Vietnamiens, les Allemands et les Italiens étaient également plus enclins à croire que l’impact serait important par rapport aux Chinois (37 %, 37 % et 38 % respectivement contre 23 %).

Figure 42 – Perceptions de l’impact de la PPA sur l’économie canadienne

Un graphique à barres horizontales représente l’impact perçu de A S F sur l’économie canadienne.
Un graphique à barres horizontales représente l’impact perçu de A S F sur l’économie canadienne

Une barre horizontale affiche l’impact perçu de A S F sur l’économie canadienne. Les données extraites de la barre sont les suivantes: (impact significatif (7, 6), 35 pour cent); (neutre (5, 4), 35 pour cent); (pas du tout concerné (3, 2, 1), 13 pour cent); (ne sait pas ou préfère ne pas dire, 17 pour cent).

Q27. Si la peste porcine africaine faisait son apparition au Canada, quel serait selon vous son impact sur l’économie canadienne? Base : tous les répondants, 2023, n=2 732.

Figure 43 – Perceptions de l’impact de la PPA sur l’économie canadienne – par ethnicité

Total (n=2 732) Chinois (n=161) Philippins (n=150) Vietnamiens (n=76) Allemands (n=199) Italiens (n=152) Autres (n=453) Toutes les ethnicités prioritaires (n=729)
Impact important (7,6) 35% 23% 49% 37% 37% 38% 39% 32%
Neutre (5,4) 35% 46% 35% 39% 39% 41% 31% 42%
Peu ou pas d’impact (3,2,1) 13% 18% 8% 10% 12% 8% 15% 13%
Je ne sais pas/je préfère ne pas répondre 17% 13% 9% 14% 12% 13% 15% 13%

Q27. Si la peste porcine africaine faisait son apparition au Canada, quel serait selon vous son impact sur l’économie canadienne? Base : tous les répondants, 2023, n=2 732.

Figure 44 – Perceptions de l’impact de la PPA sur l’économie canadienne – par proximité avec des porcs et comportements de voyageur international

Total (n=2 732) Propriétaires de porcs (n=100) Vit à proximité de porcs (n=701) Ne vit pas à proximité de porcs (n=1 931) Voyageurs internationaux (n=854) Ne voyage pas à l’étranger (n=1,878)
Impact important (7,6) 35% 39% 35% 35% 33% 36%
Neutre (5,4) 35% 34% 38% 34% 38% 34%
Peu ou pas d’impact (3,2,1) 13% 18% 12% 13% 15% 12%
Je ne sais pas/je préfère ne pas répondre 17% 10% 15% 18% 14% 18%

Q27. Si la peste porcine africaine faisait son apparition au Canada, quel serait selon vous son impact sur l’économie canadienne? Base : tous les répondants, 2023, n=2 732.

Finalement, plus de quatre répondants sur dix (42 %) seraient assez préoccupés des dangers pour la sécurité de la chaîne alimentaire si la PPA faisait son apparition au Canada. Un peu plus d’un répondant sur dix (12 %) serait peu préoccupé ou pas du tout, alors que 15 % étaient incertains.

Les répondants philippins étaient les plus enclins à se dire préoccupés des dangers de la PPA pour la sécurité de la chaîne alimentaire (61 %), surtout lorsqu’on les compare aux Chinois (30 %), aux Vietnamiens (38 %), aux Allemands (38 %) et aux Italiens (48 %). Ces derniers étaient plus susceptibles que les répondants chinois à être préoccupés pour la sécurité de la chaîne alimentaire (48 % contre 30 %).

Figure 45 – Préoccupations pour la sécurité de la chaîne alimentaire si la PPA faisait son apparition au Canada

Un graphique à barres montre les préoccupations concernant la salubrité des aliments si la peste porcine américaine se propageait au Canada.
Un graphique à barres montre les préoccupations concernant la salubrité des aliments si la peste porcine américaine se propageait au Canada

Une barre horizontale affiche le problème de salubrité des aliments si A S F est entré au Canada. Les données extraites de la barre sont les suivantes: (très inquiet (7, 6), 42 pour cent); (neutre (5, 4), 32 pour cent); (pas du tout concerné (3, 2, 1), 12 pour cent); (ne sait pas ou préfère ne pas dire, 15 pour cent).

Q28. Si la peste porcine africaine faisait son apparition au Canada, dans quelle mesure seriez-vous préoccupé(e) des dangers pour la sécurité de la chaîne alimentaire? Base : tous les répondants, 2023, n=2 732.

Figure 46 – Préoccupations pour la sécurité de la chaîne alimentaire si la PPA faisait son apparition au Canada – par ethnicité

Total (n=2 732) Chinois (n=161) Philippins (n=150) Vietnamiens (n=76) Allemands (n=199) Italiens (n=152) Autres (n=453) Toutes les ethnicités prioritaires (n=729)
Très préoccupé (7,6) 42% 30% 61% 38% 38% 48% 48% 38%
Neutre (5,4) 32% 44% 29% 36% 33% 35% 27% 38%
Peu ou pas du tout préoccupé (3,2,1) 12% 15% 3% 10% 17% 5% 13% 12%
Je ne sais pas/je préfère ne pas répondre 15% 12% 7% 16% 12% 12% 11% 12%

Q28. Si la peste porcine africaine faisait son apparition au Canada, dans quelle mesure seriez-vous préoccupé(e) des dangers pour la sécurité de la chaîne alimentaire? Base : tous les répondants, 2023, n=2 732.

Figure 47 – Préoccupations pour la sécurité de la chaîne alimentaire si la PPA faisait son apparition au Canada – par proximité avec des porcs et comportements de voyageur international

Total (n=2 732) Propriétaires de porcs (n=100) Vit à proximité de porcs (n=701) Ne vit pas à proximité de porcs (n=1 931) Voyageurs internationaux (n=854) Ne voyage pas à l’étranger (n=1,878)
Très préoccupé (7,6) 42% 40% 42% 42% 40% 42%
Neutre (5,4) 32% 39% 32% 31% 35% 30%
Peu ou pas du tout préoccupé (3,2,1) 12% 13% 13% 12% 13% 12%
Je ne sais pas/je préfère ne pas répondre 15% 8% 13% 16% 12% 16%

Q28. Si la peste porcine africaine faisait son apparition au Canada, dans quelle mesure seriez-vous préoccupé(e) des dangers pour la sécurité de la chaîne alimentaire? Base : tous les répondants, 2023, n=2 732.

Communications et sensibilisation

Une minorité de répondants (28 % ont donné une note de 6 ou 7 sur une échelle de 7 points) a démontré beaucoup d’intérêt à obtenir de l’information supplémentaire sur la PPA et ses répercussions sur les Canadiens. D’autre part, 34 % ont démontré un intérêt modéré (note de 4 ou 5). Plus du quart ont répondu que cela ne les intéresserait pas (27 % ont donné une note de 1, 2 ou 3).

Parmi les groupes ethniques d’intérêt, les Philippins étaient les plus susceptibles de démontrer un intérêt à obtenir plus d’information (50 %). L’intérêt était le plus faible chez les Chinois (20 %).

Les propriétaires de porcs étaient plus nombreux que ceux qui ne vivent pas à proximité de porcs à vouloir en apprendre davantage sur la PPA (40 % contre 27 %).

Figure 48 – Intérêt à en apprendre davantage sur la PPA

Un graphique à barres montre l’intérêt d’en savoir plus sur A S F.
Un graphique à barres montre l’intérêt d’en savoir plus sur A S F

Une barre horizontale représente l’intérêt pour A S F. Les données extraites de la barre sont les suivantes: (assez intéressé (7, 6), 28 pour cent); (plutôt intéressé (5, 4), 34 pour cent); (peu ou pas d’intérêt (3, 2, 1), 27 pour cent); (ne sais pas ou préfère ne pas dire, 10 pour cent).

Q29. Dans quelle mesure cela vous intéresse-t-il d’en apprendre davantage sur la peste porcine africaine et ses répercussions sur les Canadiens? Base : tous les répondants, 2023, n=2 732.

Figure 49 – Intérêt à en apprendre davantage sur la PPA – par ethnicité

Total (n=2 732) Chinois (n=161) Philippins (n=150) Vietnamiens (n=76) Allemands (n=199) Italiens (n=152) Autres (n=453) Toutes les ethnicités prioritaires (n=729)
Beaucoup d’intérêt (7,6) 28% 20% 50% 36% 30% 33% 35% 28%
Intérêt modéré (5,4) 34% 44% 31% 42% 33% 41% 35% 40%
Peu ou pas d’intérêt (3,2,1) 27% 24% 12% 13% 30% 19% 22% 23%
Je ne sais pas/je préfère ne pas répondre 10% 12% 7% 10% 8% 7% 9% 9%

Q29. Dans quelle mesure cela vous intéresse-t-il d’en apprendre davantage sur la peste porcine africaine et ses répercussions sur les Canadiens? Base : tous les répondants, 2023, n=2 732.

Figure 50 – Intérêt à en apprendre davantage sur la PPA – par proximité avec des porcs et comportements de voyageur international

Total (n=2 732) Propriétaires de porcs (n=100) Vit à proximité de porcs (n=701) Ne vit pas à proximité de porcs (n=1 931) Voyageurs internationaux (n=854) Ne voyage pas à l’étranger (n=1,878)
Beaucoup d’intérêt (7,6) 28% 40% 30% 27% 27% 29%
Intérêt modéré (5,4) 34% 36% 35% 34% 39% 33%
Peu ou pas d’intérêt (3,2,1) 27% 21% 29% 27% 27% 27%
Je ne sais pas/je préfère ne pas répondre 10% 3% 7% 11% 7% 11%

Q29. Dans quelle mesure cela vous intéresse-t-il d’en apprendre davantage sur la peste porcine africaine et ses répercussions sur les Canadiens? Base : tous les répondants, 2023, n=2 732.

Sans égard à leur intérêt d’en apprendre davantage sur la PPA, nous avons demandé à tous les répondants où ils seraient les plus susceptibles de rechercher de l’information sur la PPA. Parmi les réponses les plus souvent mentionnées, notons la recherche sur Internet (53 %), le gouvernement du Canada (50 %), les gouvernements provinciaux/territoriaux (31 %), les médias d’information (25 %) et les associations de l’industrie porcine (24 %).

Les répondants philippins étaient plus nombreux à affirmer qu’ils rechercheraient de l’information sur la PPA dans les réseaux sociaux (34 %) comparativement à toutes les autres ethnicités ciblées. Ils étaient également plus enclins à faire appel au gouvernement du Canada (63 %) par rapport aux répondants chinois (49 %) et allemands (46 %).

Ceux qui vivent à proximité de porcs étaient plus susceptibles d’effectuer une recherche sur Internet pour obtenir de l’information par rapport aux propriétaires de porcs (60 % contre 37 %). Ceux qui ne vivent pas à proximité de porcs seraient aussi plus enclins à utiliser cette méthode de recherche comparativement aux propriétaires de porcs (51 % contre 37 %).

Les propriétaires de porcs et ceux qui vivent à proximité de porcs seraient plus nombreux que ceux qui ne vivent pas à proximité de porcs à consulter un vétérinaire pour obtenir de l’information sur la PPA (19 % et 12 % contre 8 %).

Les voyageurs internationaux seraient plus enclins à faire appel au gouvernement du Canada pour obtenir de l’information sur la PPA comparativement à ceux qui ne voyagent pas à l’étranger (57 % contre 47 %).

Figure 51 – Sources d’information sur la PPA

Un tableau illustre les sources potentielles d’information sur A S F.
Un tableau illustre les sources potentielles d’information sur A S F

Un diagramme à barres horizontales représente les sources potentielles d’information sur A S F. Les données extraites du diagramme sont les suivantes: (recherche générale en ligne (exemple Google), 53 pour cent); (Gouvernement du Canada, 50 pour cent); (Gouvernements provinciaux, 31 pour cent); (Publication de presse ou publication de magazine (y compris les formats en ligne), 25 pour cent); (Associations de l’industrie porcine, 24 pour cent); (articles académiques, revues et publications universitaires, 19 pour cent); (médias sociaux (exemple YouTube, groupes Facebook, etc.), 15 pour cent); (formulaires en ligne, 9 pour cent); (vétérinaire, 9 pour cent); (télévision ou informations, moins de 1 pour cent); (radio, moins de 1 pour cent); (bouche à oreille ou amis ou famille, moins de 1 pour cent); (autre, moins de 1 pour cent); (ne sais pas ou préfère ne pas dire, 10 pour cent).

Q30. Où seriez-vous le plus susceptible de rechercher de l’information sur la peste porcine africaine? SÉLECTIONNER TOUTES LES RÉPONSES QUI S’APPLIQUENT. [Base : les répondants qui souhaitent obtenir plus d’information sur la PPA], 2023, n=1 760 / Q30. Même si cela ne vous intéresse pas particulièrement pour le moment, où seriez-vous le plus susceptible de rechercher de l’information sur la peste porcine africaine si vous souhaitez en savoir davantage? Base : les répondants qui ne souhaitent pas en apprendre davantage sur la peste porcine africaine, 2023, n=720. *Ces options n’étaient pas offertes dans le questionnaire.

Figure 52 – Sources d’information sur la PPA – par ethnicité

Total (n=2 732) Chinois (n=161) Philippins (n=150) Vietnamiens (n=76) Allemands (n=199) Italiens (n=152) Autres (n=453) Toutes les ethnicités prioritaires (n=729)
Moteur de recherche sur Internet (p. ex., Google) 53% 48% 54% 52% 59% 47% 57% 51%
Gouvernement du Canada 50% 49% 63% 51% 46% 53% 51% 50%
Gouvernements provinciaux/territoriaux 31% 26% 39% 31% 31% 38% 33% 31%
Médias d’information ou magazines (y compris les versions en ligne) 25% 25% 28% 32% 21% 27% 24% 25%
Associations de l’industrie porcine 24% 14% 24% 11% 24% 23% 24% 19%
Articles, journaux et publications universitaires 19% 16% 18% 26% 15% 20% 20% 17%
Réseaux sociaux (p. ex., YouTube, groupes Facebook) 15% 16% 34% 16% 12% 7% 21% 14%
Forums en ligne 9% 11% 12% 12% 8% 9% 16% 10%
Vétérinaire 9% 6% 11% 3% 11% 7% 9% 8%
*Télévision/actualité <1% 1% 1% - - 1% 1% 1%
*Radio <1% - - - - 1% <1% <1%
*Bouche-à-oreille/amis/famille <1% - <1% - - - <1% <1%
Autre <1% - - - 1% - 1% <1%
Je ne sais pas/je préfère ne pas répondre 10% 14% 8% 8% 7% 10% 7% 11%

Q30. Où seriez-vous le plus susceptible de rechercher de l’information sur la peste porcine africaine? SÉLECTIONNER TOUTES LES RÉPONSES QUI S’APPLIQUENT. [Base : les répondants qui souhaitent obtenir plus d’information sur la PPA], 2023, n=1 760 / Q30. Même si cela ne vous intéresse pas particulièrement pour le moment, où seriez-vous le plus susceptible de rechercher de l’information sur la peste porcine africaine si vous souhaitez en savoir davantage? Base : les répondants qui ne souhaitent pas en apprendre davantage sur la peste porcine africaine, 2023, n=720. *Ces options n’étaient pas offertes dans le questionnaire.

Figure 53 – Sources d’information sur la PPA – par proximité avec des porcs et comportements de voyageur international

Total (n=2 732) Propriétaires de porcs (n=100) Vit à proximité de porcs (n=701) Ne vit pas à proximité de porcs (n=1 931) Voyageurs internationaux (n=854) Ne voyage pas à l’étranger (n=1,878)
Moteur de recherche sur Internet (p. ex., Google) 53% 37% 60% 51% 52% 54%
Gouvernement du Canada 50% 42% 46% 51% 57% 47%
Gouvernements provinciaux/territoriaux 31% 28% 30% 32% 31% 31%
Médias d’information ou magazines (y compris les versions en ligne) 25% 15% 26% 24% 24% 25%
Associations de l’industrie porcine 24% 29% 27% 22% 24% 24%
Articles, journaux et publications universitaires 19% 23% 19% 19% 20% 19%
Réseaux sociaux (p. ex., YouTube, groupes Facebook) 15% 19% 18% 14% 15% 15%
Forums en ligne 9% 16% 11% 8% 10% 9%
Vétérinaire 9% 19% 12% 8% 7% 10%
*Télévision/actualité <1% 2% 1% <1% <1% <1%
*Radio <1% - <1% <1% - <1%
*Bouche-à-oreille/amis/famille <1% - <1% <1% - <1%
Autre <1% - <1% <1% <1% <1%
Je ne sais pas/je préfère ne pas répondre 10% 10% 5% 12% 8% 11%

Q30. Où seriez-vous le plus susceptible de rechercher de l’information sur la peste porcine africaine? SÉLECTIONNER TOUTES LES RÉPONSES QUI S’APPLIQUENT. [Base : les répondants qui souhaitent obtenir plus d’information sur la PPA], 2023, n=1 760 / Q30. Même si cela ne vous intéresse pas particulièrement pour le moment, où seriez-vous le plus susceptible de rechercher de l’information sur la peste porcine africaine si vous souhaitez en savoir davantage? Base : les répondants qui ne souhaitent pas en apprendre davantage sur la peste porcine africaine, 2023, n=720. *Ces options n’étaient pas offertes dans le questionnaire.

Pour les répondants qui souhaiteraient obtenir de l’information sur la PPA de la part du gouvernement du Canada, la majorité aimerait recevoir cette information sur son site Web (60 %) ou à la télévision (37 %). Des proportions similaires souhaiteraient obtenir l’information dans les réseaux sociaux (22 %) et par courriel (20 %).

Les voyageurs internationaux seraient plus susceptibles d’obtenir de l’information sur la PPA sur le site Web du gouvernement du Canada (66 %) comparativement à ceux qui ne voyagent pas.

La télévision était la source d’information favorite des Italiens (48 %) par rapport aux Chinois (26 %), aux Vietnamiens (23 %) et aux Allemands (34 %). Les Philippins étaient plus enclins à utiliser cette source d’information (42 %) comparativement aux Chinois (26 %) et aux Vietnamiens (23 %).

Près de quatre répondants philippins sur dix (39 %) préféreraient utiliser les réseaux sociaux pour obtenir de l’information sur la PPA, comparativement à seulement 15 % pour les Allemands.

Le courriel a été mentionné par près de trois répondants philippins sur dix (28 %) et 18 % des répondants chinois.

La ligne téléphonique d’information serait une bonne source d’information pour un peu plus d’un propriétaire de porcs sur dix (12 %). Ce pourcentage est plus faible pour ceux qui vivent à proximité de porcs ou ceux qui ne vivent pas à proximité de porcs (3 % et 4 % respectivement).

Figure 54 – Méthode favorite pour recevoir de l’information sur la PPA du gouvernement du Canada

Un tableau montre la méthode préférée de réception des informations sur A S F.
Un tableau montre la méthode préférée de réception des informations sur A S F

Un graphique à barres horizontales représente la méthode préférée pour recevoir des informations sur A S F. Les données extraites du graphique sont les suivantes: (site Web, 60 pour cent); (télévision, 37 pour cent); (médias sociaux, 22 pour cent); (courriel, 20 pour cent); (ligne téléphonique d’information, 4 pour cent); (radio, 1 pour cent); (journal, 1 pour cent); (courrier ou services postaux, moins de 1 pour cent); (Santé Canada, moins de 1 pour cent); (autre, moins de 1 pour cent); (ne sait pas ou préfère ne pas dire, 12 pour cent).

Q31. De quelle manière aimeriez-vous recevoir de l’information sur la peste porcine africaine de la part du gouvernement du Canada? SÉLECTIONNER TOUTES LES RÉPONSES QUI S’APPLIQUENT. Base : les répondants qui souhaitaient en apprendre davantage sur la PPA, 2023, n=1 760 / Q31. Même si cela ne vous intéresse pas particulièrement pour le moment, comment aimeriez-vous recevoir de l’information sur la peste porcine africaine de la part du gouvernement du Canada si vous souhaitiez en savoir davantage? Base : les répondants qui ne souhaitaient pas en apprendre davantage sur la peste porcine africaine, 2023, n=720.

Figure 55 – Méthode favorite pour recevoir de l’information sur la PPA du gouvernement du Canada – par ethnicité

Total (n=2 732) Chinois (n=161) Philippins (n=150) Vietnamiens (n=76) Allemands (n=199) Italiens (n=152) Autres (n=453) Toutes les ethnicités prioritaires (n=729)
Site Web 60% 63% 61% 65% 61% 59% 60% 62%
Télévision 37% 26% 42% 23% 34% 48% 38% 34%
Réseaux sociaux 22% 26% 39% 28% 15% 21% 28% 23%
Courriel 20% 18% 28% 19% 19% 21% 25% 20%
Ligne d’information téléphonique 4% 3% 6% 7% 5% 9% 5% 5%
Radio 1% <1% - 0% 1% 1% 1% 1%
Journaux 1% - 1% - 2% - 1% <1%
Poste/services postaux <1% - - - 1% 1% 1% 1%
Santé Canada <1% 0% 0% 0% 0% 0% <1% 0%
Autre <1% - <1% - <1% - <1% <1%
Je ne sais pas/je préfère ne pas répondre 12% 14% 9% 11% 8% 9% 10% 11%

Q31. De quelle manière aimeriez-vous recevoir de l’information sur la peste porcine africaine de la part du gouvernement du Canada? SÉLECTIONNER TOUTES LES RÉPONSES QUI S’APPLIQUENT. Base : les répondants qui souhaitaient en apprendre davantage sur la PPA, 2023, n=1 760 / Q31. Même si cela ne vous intéresse pas particulièrement pour le moment, comment aimeriez-vous recevoir de l’information sur la peste porcine africaine de la part du gouvernement du Canada si vous souhaitiez en savoir davantage? Base : les répondants qui ne souhaitaient pas en apprendre davantage sur la peste porcine africaine, 2023, n=720.

Figure 56 – Méthode favorite pour recevoir de l’information sur la PPA du gouvernement du Canada – par proximité avec des porcs et comportements de voyageur international

Total (n=2 732) Propriétaires de porcs (n=100) Vit à proximité de porcs (n=701) Ne vit pas à proximité de porcs (n=1 931) Voyageurs internationaux (n=854) Ne voyage pas à l’étranger (n=1 878)
Site Web 60% 54% 64% 59% 66% 59%
Télévision 37% 30% 35% 39% 37% 37%
Réseaux sociaux 22% 33% 26% 21% 25% 22%
Courriel 20% 29% 18% 20% 18% 20%
Ligne d’information téléphonique 4% 12% 3% 4% 4% 4%
Radio 1% - <1% 1% 1% 1%
Journaux 1% - <1% 1% 1% 1%
Poste/services postaux <1% 1% 1% <1% <1% <1%
Santé Canada <1% - - <1% - <1%
Autre <1% - <1% <1% <1% <1%
Je ne sais pas/je préfère ne pas répondre 12% 7% 9% 13% 10% 13%

Q31. De quelle manière aimeriez-vous recevoir de l’information sur la peste porcine africaine de la part du gouvernement du Canada? SÉLECTIONNER TOUTES LES RÉPONSES QUI S’APPLIQUENT. Base : les répondants qui souhaitaient en apprendre davantage sur la PPA, 2023, n=1 760 / Q31. Même si cela ne vous intéresse pas particulièrement pour le moment, comment aimeriez-vous recevoir de l’information sur la peste porcine africaine de la part du gouvernement du Canada si vous souhaitiez en savoir davantage? Base : les répondants qui ne souhaitaient pas en apprendre davantage sur la peste porcine africaine, 2023, n=720.

Perceptions de la responsabilité pour la surveillance et le contrôle de la PPA

Questionnés à savoir qui avait la principale responsabilité de s’assurer que la PPA était bien surveillée et contrôlée au Canada, plus de quatre répondants sur dix (46 %) ont mentionné le gouvernement du Canada. La première responsabilité a été attribuée aux gros producteurs commerciaux de porcs et aux entreprises qui importent des aliments au Canada par 13 % des répondants respectivement. Pour ce qui est des deux meilleurs résultats, les gouvernements provinciaux/territoriaux ont obtenu des notes élevées, alors que 35 % des répondants les ont sélectionnés au premier ou au deuxième rang en tant que principaux responsables.

Les propriétaires de porcs étaient plus susceptibles que ceux qui vivent à proximité de porcs et ceux qui ne vivent pas à proximité de porcs de désigner les petits éleveurs de porcs et les exploitants de fermes d’agrément comme principaux responsables (10 % contre 3 % et 4 % respectivement). Cependant, les propriétaires de porcs étaient moins enclins à désigner le gouvernement du Canada comme principal responsable comparativement aux autres segments (33 % contre 48 % et 46 % respectivement). Ils étaient également moins susceptibles d’attribuer la principale responsabilité aux entreprises qui importent des aliments au Canada (5 %) par rapport à ceux qui vivent à proximité de porcs (14 %) et ceux qui ne vivent pas à proximité de porcs (12 %).

Figure 57 – Classement en ordre d’importance des entités ayant la principale responsabilité de s’assurer que la PPA est bien surveillée et contrôlée au Canada

Un tableau illustre le classement des responsabilités pour une surveillance et un contrôle appropriés d’A S F.
Un tableau illustre le classement des responsabilités pour une surveillance et un contrôle appropriés d’A S F

Un graphique à barres horizontales empilées représente la responsabilité de classement pour une surveillance et un contrôle appropriés de A S F. Chaque barre représente un groupe responsable différent. Les données extraites du graphique pour chaque groupe sont les suivantes. Le gouvernement du Canada: (rang 1, 46 pour cent); (rang 2, 11 pour cent); (rang 3, 9 pour cent). Gouvernements provinciaux: (rang 1, 5 pour cent); (rang 2, 30 pour cent); (rang 3, 13 pour cent). Grands éleveurs commerciaux de porcs : (rang 1, 13 pour cent); (rang 2, 13 pour cent); (rang 3, 18 pour cent). entreprises qui importent des aliments au Canada: (rang 1, 13 pour cent); (rang 2, 12 pour cent); (rang 3, 18 pour cent). Associations canadiennes qui représentent l’industrie porcine canadienne: (rang 1, 8 pour cent); (rang 2, 11 pour cent); (rang 3, 18 pour cent). Fabricants ou transformateurs d’aliments: (rang 1, 6 pour cent) ; (rang 2, 11 pour cent); (rang 3, 14 pour cent). Petits éleveurs de porcs et exploitants de fermes d’agrément : (rang 1, 4 pour cent) ; (rang 2, 8 pour cent) ; (rang 3, 8 pour cent). Consommateurs : (rang 1, 5 pour cent) ; (rang 2, 4 pour cent) ; (rang 3, 4 pour cent).

Q32. Veuillez classer ce qui suit en ordre d’importance selon la responsabilité que vous attribuez à chacun de s’assurer que la peste porcine africaine est bien surveillée et contrôlée au Canada. Veuillez classer les options en ordre de 1 à 8, 1 étant l’entité ayant la plus grande responsabilité et 8, la plus faible responsabilité. Base : tous les répondants, 2023, n=2 732.

Figure 58 – Classement en ordre d’importance des entités ayant la principale responsabilité de s’assurer que la PPA est bien surveillée et contrôlée au Canada – par ethnicité

Gouvernement du Canada

Total (n=2 732) Chinois (n=161) Philippins (n=150) Vietnamiens (n=76) Allemands (n=199) Italiens (n=152) Autres (n=453) Toutes les ethnicités prioritaires (n=729)
Premier rang 46% 37% 42% 45% 49% 46% 43% 43%
Deuxième rang 11% 13% 10% 16% 10% 12% 12% 12%
Troisième rang 9% 10% 4% 4% 10% 9% 8% 9%

Gouvernements provinciaux

Total (n=2 732) Chinois (n=161) Philippins (n=150) Vietnamiens (n=76) Allemands (n=199) Italiens (n=152) Autres (n=453) Toutes les ethnicités prioritaires (n=729)
Premier rang 5% 2% 6% 9% 4% 10% 6% 5%
Deuxième rang 30% 27% 32% 20% 29% 27% 28% 27%
Troisième rang 13% 10% 10% 18% 17% 9% 12% 12%

Gros producteurs commerciaux de porcs

Total (n=2 732) Chinois (n=161) Philippins (n=150) Vietnamiens (n=76) Allemands (n=199) Italiens (n=152) Autres (n=453) Toutes les ethnicités prioritaires (n=729)
Premier rang 13% 13% 9% 13% 10% 13% 15% 12%
Deuxième rang 13% 11% 12% 18% 15% 15% 11% 13%
Troisième rang 18% 17% 17% 13% 18% 14% 16% 16%

Entreprises qui importent des aliments au Canada

Total (n=2 732) Chinois (n=161) Philippins (n=150) Vietnamiens (n=76) Allemands (n=199) Italiens (n=152) Autres (n=453) Toutes les ethnicités prioritaires (n=729)
Premier rang 13% 17% 16% 13% 14% 10% 12% 14%
Deuxième rang 12% 8% 10% 9% 16% 10% 12% 11%
Troisième rang 18% 18% 18% 22% 17% 18% 18% 18%

Associations qui représentent l’industrie canadienne du porc

Total (n=2 732) Chinois (n=161) Philippins (n=150) Vietnamiens (n=76) Allemands (n=199) Italiens (n=152) Autres (n=453) Toutes les ethnicités prioritaires (n=729)
Premier rang 8% 9% 8% 8% 10% 4% 9% 8%
Deuxième rang 11% 11% 11% 15% 13% 12% 12% 12%
Troisième rang 18% 17% 18% 9% 16% 17% 17% 16%

Fabricants de produits alimentaires ou entreprises de transformation alimentaire

Total (n=2 732) Chinois (n=161) Philippins (n=150) Vietnamiens (n=76) Allemands (n=199) Italiens (n=152) Autres (n=453) Toutes les ethnicités prioritaires (n=729)
Premier rang 6% 11% 7% 4% 7% 4% 6% 8%
Deuxième rang 11% 16% 13% 14% 10% 10% 12% 13%
Troisième rang 14% 19% 16% 17% 16% 17% 17% 17%

Petits éleveurs de porcs et exploitants de fermes d’agrément

Total (n=2 732) Chinois (n=161) Philippins (n=150) Vietnamiens (n=76) Allemands (n=199) Italiens (n=152) Autres (n=453) Toutes les ethnicités prioritaires (n=729)
Premier rang 4% 7% 4% 6% 2% 5% 5% 5%
Deuxième rang 8% 10% 8% 6% 6% 10% 9% 9%
Troisième rang 8% 6% 15% 10% 6% 11% 8% 8%

Consommateurs

Total (n=2 732) Chinois (n=161) Philippins (n=150) Vietnamiens (n=76) Allemands (n=199) Italiens (n=152) Autres (n=453) Toutes les ethnicités prioritaires (n=729)
Premier rang 5% 4% 8% 3% 5% 8% 6% 5%
Deuxième rang 4% 4% 3% 2% 1% 4% 4% 3%
Troisième rang 4% 3% 2% 7% 1% 5% 4% 3%

Q32. Veuillez classer ce qui suit en ordre d’importance selon la responsabilité que vous attribuez à chacun de s’assurer que la peste porcine africaine est bien surveillée et contrôlée au Canada. Veuillez classer les options en ordre de 1 à 8, 1 étant l’entité ayant la plus grande responsabilité et 8, la plus faible responsabilité. Base : tous les répondants, 2023, n=2 732.

Figure 59 – Classement en ordre d’importance des entités ayant la principale responsabilité de s’assurer que la PPA est bien surveillée et contrôlée au Canada – par proximité avec des porcs et comportements de voyageur internationale

Gouvernement du Canada

Total (n=2 732) Propriétaires de porcs (n=100) Vit à proximité de porcs (n=701) Ne vit pas à proximité de porcs (n=1 931) Voyageurs internationaux (n=854) Ne voyage pas à l’étranger (n=1 878)
Premier rang 46% 33% 48% 46% 48% 46%
Deuxième rang 11% 5% 10% 11% 11% 11%
Troisième rang 9% 10% 8% 9% 7% 9%

Gouvernements provinciaux

Total (n=2 732) Propriétaires de porcs (n=100) Vit à proximité de porcs (n=701) Ne vit pas à proximité de porcs (n=1 931) Voyageurs internationaux (n=854) Ne voyage pas à l’étranger (n=1 878)
Premier rang 5% 11% 5% 5% 6% 5%
Deuxième rang 30% 21% 31% 29% 31% 29%
Troisième rang 13% 14% 13% 12% 11% 13%

Gros producteurs commerciaux de porcs

Total (n=2 732) Propriétaires de porcs (n=100) Vit à proximité de porcs (n=701) Ne vit pas à proximité de porcs (n=1 931) Voyageurs internationaux (n=854) Ne voyage pas à l’étranger (n=1 878)
Premier rang 13% 14% 11% 13% 10% 13%
Deuxième rang 13% 10% 12% 14% 13% 13%
Troisième rang 18% 23% 17% 17% 20% 16%

Entreprises qui importent des aliments au Canada

Total (n=2 732) Propriétaires de porcs (n=100) Vit à proximité de porcs (n=701) Ne vit pas à proximité de porcs (n=1 931) Voyageurs internationaux (n=854) Ne voyage pas à l’étranger (n=1 878)
Premier rang 13% 5% 14% 12% 12% 13%
Deuxième rang 12% 12% 12% 11% 13% 11%
Troisième rang 18% 23% 21% 17% 16% 19%

Associations qui représentent l’industrie canadienne du porc

Total (n=2 732) Propriétaires de porcs (n=100) Vit à proximité de porcs (n=701) Ne vit pas à proximité de porcs (n=1 931) Voyageurs internationaux (n=854) Ne voyage pas à l’étranger (n=1 878)
Premier rang 8% 10% 7% 9% 7% 9%
Deuxième rang 11% 11% 12% 11% 12% 11%
Troisième rang 18% 10% 17% 18% 18% 18%

Fabricants de produits alimentaires et entreprises de transformation alimentaire

Total (n=2 732) Propriétaires de porcs (n=100) Vit à proximité de porcs (n=701) Ne vit pas à proximité de porcs (n=1 931) Voyageurs internationaux (n=854) Ne voyage pas à l’étranger (n=1 878)
Premier rang 6% 7% 6% 6% 7% 6%
Deuxième rang 11% 21% 11% 11% 10% 12%
Troisième rang 14% 8% 15% 14% 14% 14%

Petits éleveurs de porcs et exploitants de fermes d’agrément

Total (n=2 732) Propriétaires de porcs (n=100) Vit à proximité de porcs (n=701) Ne vit pas à proximité de porcs (n=1 931) Voyageurs internationaux (n=854) Ne voyage pas à l’étranger (n=1 878)
Premier rang 4% 10% 3% 4% 4% 4%
Deuxième rang 8% 12% 9% 8% 8% 9%
Troisième rang 8% 11% 6% 9% 10% 8%

Consommateurs

Total (n=2 732) Propriétaires de porcs (n=100) Vit à proximité de porcs (n=701) Ne vit pas à proximité de porcs (n=1 931) Voyageurs internationaux (n=854) Ne voyage pas à l’étranger (n=1 878)
Premier rang 5% 10% 6% 5% 5% 5%
Deuxième rang 4% 9% 3% 4% 4% 4%
Troisième rang 4% 2% 3% 4% 4% 3%

Q32. Veuillez classer ce qui suit en ordre d’importance selon la responsabilité que vous attribuez à chacun de s’assurer que la peste porcine africaine est bien surveillée et contrôlée au Canada. Veuillez classer les options en ordre de 1 à 8, 1 étant l’entité ayant la plus grande responsabilité et 8, la plus faible responsabilité. Base : tous les répondants, 2023, n=2 732.

Méthodologie

Tous les travaux de recherche ont été menés conformément aux Normes pour la recherche sur l’opinion publique effectuée par le gouvernement du Canada, de la manière qui suit :

Recherche qualitative

La méthodologie de recherche consistait en huit groupes de discussion avec des Canadiens de 18 ans et plus représentant une variété de populations de différentes régions du pays. Les séances, d’une durée moyenne de 90 minutes, se sont déroulées en ligne du 7 au 13 février 2023. Quorus avait la responsabilité de coordonner tous les aspects du projet de recherche, y compris la conception et la traduction du questionnaire de recrutement et du guide de l’animateur, le recrutement des participants, la coordination de la plateforme de discussion en ligne et la logistique, l’animation des séances et la production des rapports requis au terme de la collecte de données.

Dans toutes les séances, les participants étaient segmentés par groupes démographiques cibles :

  • Des Canadiens qui voyagent à l’étranger

  • Des résidents de régions rurales/des propriétaires de porcs/des personnes qui vivent à proximité de porcs

  • Les groupes ethniques cibles (une séance avec des Italiens et des Allemands, une avec des Chinois, des Philippins et des Vietnamiens, et une autre avec des Haïtiens)

Pour tous les groupes, nous nous sommes efforcés de recruter des participants de tous âges et de tous genres et, lorsque cela s’appliquait, des résidents de régions urbaines et rurales et, lorsqu’applicable, des membres de minorités visibles. Pour les séances qui couvraient plus d’une province ou plus d’un territoire, des efforts ont été faits pour recruter des participants de chaque province et territoire de la région concernée.

Les participants aux groupes de discussion ont été recrutés au téléphone auprès du grand public et par le biais d’une base de données de volontaires.

Des questions bien précises ont été insérées dans le questionnaire de recrutement pour déterminer si les participants remplissaient les conditions d’admissibilité au programme de recherche et pour obtenir, le cas échéant, une bonne représentation des principales dimensions démographiques.

En plus des critères généraux susmentionnés, d’autres mesures ont été utilisées pour recruter des participants de qualité :

  • Nous avons exclu tout participant qui occupait ou avait déjà occupé un poste au sein d’un ministère ou d’un organisme gouvernemental concerné, d’une agence de publicité, d’une firme d’études de marché, d’un cabinet de relations publiques ou des médias (radio, télévision, journaux, production vidéo ou cinématographique, etc.). Cette exclusion s’appliquait également aux membres de la famille ou du ménage d’un participant.

  • Nous avons exclu tous les participants qui se connaissaient, à moins qu’ils fussent à des séances différentes, tenues à des moments différents.

  • Nous avons exclu tout participant qui aurait pris part à une séance de recherche qualitative au cours des six mois précédents.

  • Nous avons également exclu tout participant qui avait pris part à cinq séances ou plus de recherche qualitative au cours des cinq années précédentes.

  • Nous avons exclu tout participant qui avait pris part à une séance de recherche qualitative sur le même sujet, tel que défini par le chercheur ou l’animateur au cours des deux années précédentes.

Les données ont été recueillies auprès de groupes de discussion en ligne. Les séances duraient 90 minutes. Pour chacune d’elles, Quorus a recruté huit participants pour s’assurer de la présence de six à huit personnes par groupe.

Toutes les séances de groupes de discussion en ligne se sont déroulées en soirée durant la semaine sur la plateforme de webconférence Zoom, pour permettre à l’équipe du client d’observer les discussions en temps réel. L’équipe de recherche a utilisé la plateforme de webconférence Zoom pour héberger et enregistrer les séances (avec des microphones et des webcams branchés aux appareils électroniques de l’animateur et des participants, comme les ordinateurs portables et les tablettes). Les participants ont reçu une prime de 125 $ pour leur contribution.

Le recrutement des participants pour les groupes de discussion a été fait conformément aux règles de sélection, de recrutement et de protection de la vie privée établies dans les Normes pour la recherche sur l’opinion publique effectuée par le gouvernement du Canada – Recherche qualitative. Les exigences suivantes ont également été respectées :

  • Toutes les activités de recrutement se sont déroulées dans la langue officielle de préférence du participant, en français ou en anglais selon le cas.

  • Nous avons informé les participants qui l’ont demandé sur la manière dont ils pouvaient accéder aux résultats de la recherche.

  • Nous avons fourni l’énoncé de confidentialité de Quorus à ceux qui l’ont demandé.

  • La procédure de recrutement a permis de confirmer la capacité de chaque participant à communiquer, comprendre, lire et écrire dans la langue utilisée pour leur séance.

  • Nous avons informé les participants de leurs droits en vertu de la Loi sur la protection des renseignements personnels et de la Loi sur l’accès à l’information et nous leur avons donné l’assurance que ces droits seraient protégés tout au long du processus de recherche. Plus précisément, nous avons informé les participants du but de la recherche, de l’identité du ministère ou de l’agence qui l’avait commandée et du fournisseur des services de recherche, et que les résultats de l’étude seraient rendus publics dans les six mois suivant la fin des travaux de recherche à Bibliothèque et Archives Canada. Enfin, nous avons informé les participants que leur participation à l’étude était volontaire et que l’administration des renseignements fournis respecterait les exigences de la Loi sur la protection des renseignements personnels.

À l’étape du recrutement et au début de chaque groupe de discussion, nous avons informé les participants que cette recherche se faisait pour le compte du gouvernement du Canada. Ceux-ci ont également été informés que les séances seraient enregistrées et que des observateurs du gouvernement du Canada seraient présents. Quorus s’est assuré d’obtenir le consentement préalable des participants à l’étape du recrutement.

Au total, huit groupes de discussion en ligne ont été organisés avec 61 Canadiens, selon les critères mentionnés ci-bas.

Figure 60 – Calendrier des groupes de discussion

Région Langue Segment Date et heure (2023) Participants
Ontario/Nunavut Anglais Canadiens qui voyagent à l’étranger 7 février, 17 h HNE 8
Colombie-Britannique/Yukon Anglais Canadiens qui voyagent à l’étranger 7 février, 17 h HNP 8
Canada atlantique Anglais Résidents de régions rurales/propriétaires de porcs/personnes qui vivent à proximité de porcs 8 février, 16 h HNA 8
Prairies et Colombie-Britannique Anglais Résidents de régions rurales/propriétaires de porcs/personnes qui vivent à proximité de porcs 8 février, 17 h HNC 8
Ontario/National Anglais Italiens et Allemands 9 février, 17 h HNE 7
Colombie-Britannique/National Anglais

Chinois/Philippins/ Vietnamiens

9 février, 17 h HNP 7
Québec Français Haïtiens 13 février, 17 h HNE 7
Québec/National Français Résidents de régions rurales/propriétaires de porcs/personnes qui vivent à proximité de porcs 13 février, 19 h HNE 8
Total - - 61

Recherche quantitative

La recherche consistait en un sondage en ligne réalisé avec un suréchantillonnage de certains groupes cibles. Le sondage a été mené auprès d’un panel de ménages.

Quorus a collaboré avec l’ACIA pour finaliser l’instrument de sondage en anglais afin de répondre aux objectifs de recherche. Quorus a par la suite traduit la version du questionnaire approuvée par le client. Les répondants avaient le choix de faire le sondage en anglais ou en français.

Tous les travaux de recherche ont été menés conformément aux Normes pour la recherche sur l’opinion publique effectuée par le gouvernement du Canada – Sondages en ligne. Nous avons informé les participants de leurs droits en vertu de la Loi sur la protection des renseignements personnels et de la Loi sur l’accès à l’information et nous leur avons donné l’assurance que ces droits seraient protégés tout au long du processus de recherche. Plus précisément, nous avons informé les participants du but de la recherche, de l’identité du ministère ou de l’agence qui l’avait commandée et du fournisseur des services de recherche, et que les résultats de l’étude seraient rendus publics dans les six mois suivant la fin des travaux de recherche à Bibliothèque et Archives Canada. Enfin, nous avons informé les participants que leur participation à l’étude était volontaire et que l’administration des renseignements fournis respecterait les exigences de la Loi sur la protection des renseignements personnels.

Au total, 2 732 sondages ont été complétés. La collecte de données s’est déroulée du 1er au 23 février 2023. Un essai préliminaire a également été mené, dont 61 sondages avec des répondants anglophones et 18 avec des francophones. Cet essai avait pour but d’évaluer la fluidité du sondage, la compréhension des questions, le langage, l’intégrité des données et plus particulièrement, la durée du sondage. L’analyse des résultats a permis de déterminer qu’aucun changement n’était requis pour le questionnaire et par conséquent, les sondages réalisés lors de l’essai préliminaire ont été inclus dans les résultats finaux.

La durée moyenne du sondage était de 11 minutes.

Pour cette étude, des quotas ont été établis pour chaque province afin d’assurer une représentation adéquate afin de générer des données suffisantes pour chaque région et permettre une analyse plus robuste. Les données ont été surveillées pour obtenir une proportion égale de genres dans chaque province et pour faire en sorte qu’aucune cohorte ne soit sous représentée. Une marge d’erreur n’a pu être calculée pour les résultats en ligne en raison de l’utilisation d’un échantillon non probabiliste, puisque les répondants ont été sélectionnés uniquement à partir d’un panel de volontaires inscrits pour des sondages en ligne. La marge d’erreur équivalente pour une étude de probabilité de 2 732 cas serait de +/- 1,9 %.

Figure 61 – Taux de participation pour le panel en ligne

Nombre total de clics (C) 11364
Cas non valides (I) 40
Interruptions 40
Unités répondantes (UR) 9 122
Sondages remplis exclus une fois le quota atteint 6 389
Sondages remplis 2733
Taux de participation = I + UR/C (40 + 9 122 / 11 364) 80 %

Le taux de participation pour le sondage en ligne était d’environ 80 %.

Un biais de non-réponse est possible puisque certains types de personnes pourraient être plus susceptibles que d’autres d’accepter une invitation à participer à un sondage.

Les données recueillies ne peuvent être extrapolées à l’ensemble de la population canadienne. Pour une description détaillée de la méthode d’échantillonnage non probabiliste, y compris les quotas et les panels Web, visiter le https://www150.statcan.gc.ca/n1/edu/power-pouvoir/ch13/nonprob/5214898-fra.htm.

Les données ont été pondérées par région, genre et âge pour s’assurer que la distribution finale de l’échantillon reflétait la population canadienne d’après les données du dernier recensement. Les segments ci-dessous ont été suréchantillonnés pour obtenir des échantillons de taille suffisante aux fins d’analyse : résidents de régions rurales, ethnicités particulières (Chinois, Philippins, Vietnamiens, Italiens et Allemands), propriétaires de porcs et voyageurs internationaux. Les taux d’incidence pour la population qui figurent ci-dessous ont été utilisés pour bien calibrer les résultats globaux et les ajuster pour le suréchantillonnage.

Figure 62 – Pondération selon l’âge

Âge Non pondéré Pondéré Estimation pour la population canadienne de 2021
18-24 ans 10% 10% 10,1%
25-34 ans 17% 17% 16,6%
35-44 ans 17% 16% 16,5%
45-54 ans 18% 16% 15,7%
55-64 ans 18% 18% 17,5%
65 ans et plus 20% 24% 23,6%

Figure 63 – Pondération selon l’âge

Genre Non pondéré Pondéré Estimation pour la population canadienne de 2021
Homme 47% 49% 48,8%
Femme 53% 51% 51,2%

Figure 64 – Pondération selon la région

Région Non pondéré Pondéré Estimation pour la population canadienne de 2021
Canada atlantique 6% 7% 6,7%
Québec 25% 23% 23%
Ontario/Nunavut 39% 39% 38,7%
Ouest du Canada (MB/SK/AB/NWT/BC/YK) 30% 32% 31,6%

Figure 65 – Pondération selon l’ethnicité

Ethnicité Non pondéré Pondéré Estimation pour la population canadienne de 2021
Chinois 6% 6% 6,3%
Philippin 5% 1% 1%
Vietnamien 3% 1% 0,5%
Italien 6% 4% 3,4%
Allemand 7% 3% 4,1%

Figure 66 – Pondération selon le milieu urbain/rural

Milieu Non pondéré Pondéré Estimation pour la population canadienne de 2021
Urbain 77% 75% 75%
Rural 23% 25% 25%

Figure 67 – Pondération selon la condition de propriétaire de porcs

Propriétaire de porcs Non pondéré Pondéré Estimation pour la population canadienne de 2021
Oui 4% 3% 2,9%
Non 96% 97% 97,1%

Figure 68 – Pondération selon le statut de voyageur international

Voyageur international Non pondéré Pondéré Pourcentages utilisés pour la pondération
Oui 31% 27% 26,8%
Non 69% 73% 73,2%

Profil des répondants

Les tableaux suivants présentent en détail la composition démographique de l’échantillon du sondage pour la collecte de données en ligne.

Figure 69 – Âge

Âge Non pondéré Pondéré
18-24 ans 10% 10%
25-34 ans 17% 17%
35-44 ans 17% 16%
45-54 ans 18% 16%
55-64 ans 18% 18%
65 ans et plus 20% 24%

Q1. Quelle est votre année de naissance? Base : tous les répondants, 2023, n=2 732.

Figure 70 – Identité de genre

Genre Non pondéré Pondéré
Homme 47% 49%
Femme 53% 51%

GENRE : À quel genre vous identifiez-vous? Base : tous les répondants, 2023, n=2 732.

Figure 71 – Région

Région Non pondéré Pondéré
Colombie-Britannique 13% 13%
Alberta 11% 12%
Saskatchewan 3% 4%
Manitoba 3% 3%
Ontario 39% 39%
Québec 25% 23%
Nouveau-Brunswick 2% 2%
Nouvelle-Écosse 2% 3%
Île-du-Prince-Édouard 1% 1%
Terre-Neuve-et-Labrador 1% 1%
Territoires du Nord-Ouest <1% <1%
Yukon <1% <1%
Nunavut <1% <1%

Q2. Dans quelle province ou quel territoire habitez-vous? Base : tous les répondants, 2023, n=2 732.

Figure 72 – Groupe ethnique

Groupe ethnique Non pondéré Pondéré
Chinois 6% 6%
Philippin 5% 1%
Vietnamien 3% 1%
Haïtien <1% <1%
Allemand 7% 4%
Italien 6% 3%
Canadien 3% 3%
Indien 1% 1%
Ukrainien 1% 1%
Portugais <1% 1%
Anglais/Britannique 1% 1%
Néerlandais <1% <1%
Grec <1% <1%
Irlandais <1% <1%
Français <1% <1%
Coréen <1% 1%
Polonais <1% <1%
Hongrois <1% <1%
Blanc/Caucasien 2% 2%
Hispanique/Latino 1% 1%
Autochtone 1% 1%
Arabe <1% <1%
Noir <1% <1%
Pakistanais <1% <1%
Européen (non précisé) <1% <1%
Du Moyen-Orient (non précisé) <1% <1%
Asiatique du Sud <1% <1%
Asiatique du Sud-Est <1% <1%
Africain <1% <1%
Mixte/multiethnique 1% 1%
Autre 2% 3%
Je ne sais pas/je refuse de répondre <1% <1%
Aucune de ces réponses 57% 65%

Q3. Vous considérez-vous comme faisant partie de l’un de ces groupes ethniques? SÉLECTIONNER TOUTES LES RÉPONSES QUI S’APPLIQUENT. Base : tous les répondants, 2023, n=2 732.

Figure 73 – Milieu urbain/rural

Milieu Non pondéré Pondéré
Urbain 77% 75%
Rural 23% 25%

Q4. Comment décririez-vous l’endroit où vous habitez? Base : tous les répondants, 2023, n=2 732.

Figure 74 – Condition de propriétaire de porcs

Propriétaire de porcs Non pondéré Pondéré
Oui 4% 3%
Non 96% 97%

Q5. Possédez-vous des porcs, que ce soit comme animaux domestiques, animaux d’élevage, de ferme d’agrément ou pour d’autres raisons? Base : tous les répondants, 2023, n=2 732.

Figure 75 – Situation d’emploi

Emploi Non pondéré Pondéré
Travailleur à temps plein, soit 35 heures ou plus par semaine 44% 41%
Travailleur à temps partiel, soit moins de 35 heures par semaine 9% 9%
Travailleur autonome 6% 6%
Sans emploi, mais à la recherche d’un emploi 4% 4%
Étudiant à temps plein 6% 6%
Retraité 24% 27%
Hors du marché du travail (personne au foyer, sans-emploi qui ne cherche pas de travail) 7% 7%
Je ne sais pas/je préfère ne pas répondre 1% 1%

Q33. Comment décririez-vous votre situation d’emploi actuelle? Base : tous les répondants, 2023, n=2 732.

Figure 76 – Scolarité

Scolarité Non pondéré Pondéré
Secondaire partiel 3% 3%
Diplôme d’études secondaires ou l’équivalent 20% 22%
Apprentissage enregistré, certificat ou diplôme d’un autre métier 6% 6%
Certificat d’un collège, d’un cégep ou autre établissement non universitaire 25% 25%
Certificat ou diplôme universitaire inférieur au baccalauréat 7% 6%
Baccalauréat 28% 26%
Diplôme d’études supérieures 11% 11%
Je ne sais pas/je préfère ne pas répondre 1% 1%

Q34. Quel est le plus haut niveau de scolarité que vous avez atteint? Base : tous les répondants, 2023, n=2 732.

Figure 77 – Statut d’Autochtone

Statut d’Autochtone Non pondéré Pondéré
Oui 3% 3%
Non 96% 96%
Je ne sais pas/je préfère ne pas répondre 1% 1%

Q35. Êtes-vous un Autochtone, c’est-à-dire un membre des Premières Nations, un Métis ou un Inuk (Inuit)? Base : tous les répondants, 2023, n=2 732.

Figure 78 – État matrimonial

État matrimonial Non pondéré Pondéré
Célibataire 31% 31%
Marié(e)/en cohabitation/conjoints de fait 56% 54%
Séparé(e)/divorcé(e) 9% 9%
Veuf/veuve 3% 4%
Je ne sais pas/je préfère ne pas répondre 1% 1%

Q36. Quel est votre état matrimonial? Base : tous les répondants, 2023, n=2 732.

Figure 79 – Nombre de personnes dans le ménage

Nombre de personnes dans le ménage Non pondéré Pondéré
1 23% 24%
2 36% 37%
3 18% 17%
4 13% 12%
5+ 7% 6%
Je ne sais pas/je préfère ne pas répondre 4% 3%

Q37. En vous comptant, de combien de personnes est composé votre ménage? Base : tous les répondants, 2023, n=2 732.

Figure 80 – Statut de parent ou tuteur

Parent ou tuteur Non pondéré Pondéré
Oui 23% 21%
Non 76% 78%
Je ne sais pas/je préfère ne pas répondre 1% 1%

Q38. Êtes-vous le parent ou le tuteur d’un enfant de moins de 18 ans? Base : tous les répondants, 2023, n=2 732.

Figure 81 – Revenu du ménage

Revenu du ménage Non pondéré Pondéré
Moins de 20 000 $ 8% 9%
20 000 $ à moins de 40 000 $ 15% 16%
40 000 $ à moins de 60 000 $ 15% 16%
60 000 $ à moins de 80 000 $ 14% 14%
80 000 $ à moins de 100 000 $ 12% 12%
100 000 $ à moins de 150 000 $ 15% 15%
150 000 $ et plus 10% 9%
Je ne sais pas/je préfère ne pas répondre 11% 10%

Q39. Laquelle de ces catégories décrit le mieux le revenu de votre ménage en 2022, c’est-à-dire le revenu total de toutes les personnes qui vivent sous votre toit, avant impôts? Base : tous les répondants, 2023, n=2 732.

Annexes

Annexe A: Questionnaire de recrutement pour les groupes de discussion

Spécifications

  • Recruter 8 participants par groupe pour s’assurer de la présence de 6 à 8 d’entre eux.

  • Chaque participant recevra 125 $.

  • Nous formerons huit groupes de discussion en ligne composés de personnes âgées d’au moins 18 ans de partout au Canada, répartis comme suit :

    • Trois groupes composés de membres de certaines origines ethniques [les ethnicités visées varieront d’un groupe à l’autre]

    • Trois groupes composés de résidents de régions rurales qui possèdent des porcs ou qui habitent à proximité de fermes porcines

    • Deux groupes composés de Canadiens qui voyagent à l’étranger

  • Dans chaque groupe, deux participants doivent habiter un village de 20 000 habitants ou moins.

Toutes les heures sont indiquées en heure locale, à moins d’indication contraire.

Questionnaire

A. Introduction

Bonjour/Hello. Je m’appelle [NOM] et je suis du groupe-conseil Quorus, une entreprise canadienne d’études de marché. Nous organisons des groupes de discussion en ligne au nom du gouvernement du Canada avec des gens de votre région. Préférez-vous continuer en français ou en anglais ? / Would you prefer to continue in English or French?

[NOTE POUR L’INTERVIEWEUR : POUR LES GROUPES EN ANGLAIS, SI LE RÉPONDANT PRÉFÈRE CONTINUER EN FRANÇAIS, DITES-LUI : Malheureusement, nous recherchons des personnes qui parlent anglais pour participer à ces groupes de discussion. Nous vous remercions de votre intérêt. POUR LES GROUPES EN FRANÇAIS, SI LE RÉPONDANT PRÉFÈRE CONTINUER EN ANGLAIS, DITES-LUI : Unfortunately, we are looking for people who speak French to participate in this discussion group. We thank you for your interest.]

[NOTE 2 POUR L’INTERVIEWEUR : SI LE RÉPONDANT DEMANDE DE PARTICIPER EN ANGLAIS/FRANÇAIS, MAIS QU’AUCUNE DISCUSSION N’EST PRÉVUE DANS CETTE LANGUE DANS LA RÉGION, S’ADRESSER AU SUPERVISEUR.]

Comme je le mentionnais, nous organisons une série de groupes de discussion au nom du gouvernement du Canada avec des gens de votre région. L’étude portera sur la sécurité de la chaîne alimentaire. Chaque séance durera environ 90 minutes (une heure et demie) et les participants recevront une prime en argent en guise de remerciement.

Votre participation est volontaire. Nous voulons seulement connaître vos opinions. Personne n’essaiera de vous vendre quoi que ce soit ou de vous faire changer d’idée. La discussion se déroulera en ligne, sur une plateforme de webconférence semblable à Zoom, et sera dirigée par un professionnel de la recherche. De six à huit autres participants ayant reçu la même invitation que vous seront présents. Pour participer, vous devez avoir accès à un ordinateur ou une tablette (aucun téléphone intelligent) et à une pièce tranquille puisque l’animateur sondera les réactions aux concepts et au matériel présentés. Toutes les opinions resteront anonymes et serviront uniquement aux fins de la recherche, conformément aux lois visant à protéger vos renseignements personnels.

[NOTE POUR L’INTERVIEWEUR : SI LE RÉPONDANT POSE DES QUESTIONS AU SUJET DES LOIS SUR LA PROTECTION DES RENSEIGNEMENTS PERSONNELS, RÉPONDRE : Les renseignements recueillis durant l’étude sont assujettis aux dispositions de la Loi sur la protection des renseignements personnels du gouvernement du Canada, et aux lois provinciales qui s’appliquent.]

  1. Avant de vous inviter, j’aimerais vous poser quelques questions afin de m’assurer d’obtenir une bonne variété de participants. Cela ne prendra que 5 minutes. Puis-je continuer?

B. Admissibilité
  1. Auriez-vous des objections à discuter de porcs ou de produits qui s’y rattachent, pour des raisons religieuses, alimentaires, morales ou autre?

    SI A RÉPONDU OUI, REMERCIER ET METTRE FIN À L’ENTRETIEN

  1. 3a. Vous identifiez-vous comme Autochtone ou Métis? [Noter pour les fins d’analyse]

  1. Faites-vous partie de l’un ou l’autre de ces groupes ethniques? [Accepter plusieurs réponses]

    SI UNE ETHNICITÉ PARMI LES OPTIONS 1 À 6 EST CHOISIE, CONSIDÉRER LE RÉPONDANT POUR LE GROUPE ETHNIQUE APPROPRIÉ

  2. [Demander uniquement si plusieurs réponses sont fournies à Q3 parmi les options 1 à 6] Y a-t-il un groupe ethnique auquel vous vous identifiez plus particulièrement?

    SI A RÉPONDU OUI, CONSIDÉRER LE RÉPONDANT POUR LE GROUPE QUI CORRESPOND LE MIEUX À SON ETHNICITÉ

    SI A RÉPONDU NON, CONSIDÉRER LE RÉPONDANT POUR L’UN OU L’AUTRE DES GROUPES ETHNIQUES, S’IL Y A LIEU

  3. Habitez-vous… [LIRE LES CHOIX DE RÉPONSES]

    SI <20 000, CONSIDÉRER LE RÉPONDANT POUR LES GROUPES DE RÉSIDENTS DE RÉGIONS RURALES/PROPRIÉTAIRES DE PORCS/CANADIENS QUI HABITENT À PROXIMITÉ DE FERMES PORCINES – TENTER DE RECRUTER LA MOITIÉ DES PARTICIPANTS DANS LE SEGMENT DES RÉGIONS RURALES DE <10 000

    POUR LES GROUPES DE CANADIENS QUI VOYAGENT À L’ÉTRANGER, RECRUTER UN MÉLANGE DE PARTICIPANTS

    POUR LES GROUPES ETHNIQUES, RECRUTER UN MÉLANGE, DANS LA MESURE DU POSSIBLE

  4. Possédez-vous des porcs, que ce soit comme animaux domestiques, animaux d’élevage, de ferme d’agrément ou pour d’autres raisons?

  5. Possédez-vous des porcs pour des fins d’élevage commercial?

    SI A RÉPONDU NON À Q7, DONNER LA PRIORITÉ POUR LES GROUPES DE RÉSIDENTS DE RÉGIONS RURALES/PROPRIÉTAIRES DE PORCS/CANADIENS QUI HABITENT À PROXIMITÉ DE FERMES PORCINES ET PASSER À Q16

  6. [SI A RÉPONDU OUI À Q7] Faites-vous partie d’une commission ou d’une association de producteurs de porcs?

    SI A RÉPONDU OUI À Q8, NE PAS RECRUTER POUR LES GROUPES DE RÉSIDENTS DE RÉGIONS RURALES/PROPRIÉTAIRES DE PORCS/CANADIENS QUI HABITENT À PROXIMITÉ DE FERMES PORCINES – MAIS PLUTÔT POUR LES AUTRES GROUPES

    SI A RÉPONDU NON À Q8, DONNER LA PRIORITÉ POUR LES GROUPES DE RÉSIDENTS DE RÉGIONS RURALES/PROPRIÉTAIRES DE PORCS/CANADIENS QUI HABITENT À PROXIMITÉ DE FERMES PORCINES ET PASSER À Q16

  7. [SI A RÉPONDU NON à Q6] Habitez-vous dans un rayon de 20 km d’une ferme porcine ou d’une autre propriété où on retrouve des porcs?

    SI A RÉPONDU OUI, DONNER LA PRIORITÉ POUR LES GROUPES DE RÉSIDENTS DE RÉGIONS RURALES/PROPRIÉTAIRES DE PORCS/CANADIENS QUI HABITENT À PROXIMITÉ DE FERMES PORCINES ET PASSER À Q16

  8. Avez-vous voyagé à l’extérieur du Canada au cours des 18 derniers mois?

  9. [SI A RÉPONDU OUI À Q10] Où avez-vous voyagé au cours des 18 derniers mois? [NOTER TOUT CE QUI S’APPLIQUE]

    NOTER : ____________

    SI UN AUTRE PAYS QUE LES ÉTATS-UNIS EST MENTIONNÉ, CONSIDÉRER LE RÉPONDANT POUR LES GROUPES DE CANADIENS QUI VOYAGENT À L’ÉTRANGER (RECRUTER UN MÉLANGE DE PAYS) ET PASSER À Q16

  10. [SI LA SEULE RÉPONSE FOURNIE À Q11 = ÉTATS-UNIS] Avez-vous voyagé à Hawaii ou tout autre territoire des États-Unis, comme les Samoa américaines, le Guam, les îles Mariannes du Nord, Puerto Rico et les îles Vierges américaines?

    SI A RÉPONDU OUI, CONSIDÉRER LE RÉPONDANT POUR LES GROUPES DE CANADIENS QUI VOYAGENT À L’ÉTRANGER ET PASSER À Q16

  11. Avez-vous l’intention de voyager à l’étranger au cours des deux prochaines années?

    SI A RÉPONDU NON À Q10 ET Q13, CONSIDÉRER LE RÉPONDANT POUR LE GROUPE ETHNIQUE S’IL EST ADMISSIBLE, OU LE REMERCIER ET METTRE FIN À L’ENTRETIEN

    SI A RÉPONDU NON À Q12 ET Q13, CONSIDÉRER LE RÉPONDANT POUR LE GROUPE ETHNIQUE S’IL EST ADMISSIBLE OU LE REMERCIER ET METTRE FIN À L’ENTRETIEN

  12. Quels pays pourriez-vous visiter? [NOTER TOUT CE QUI S’APPLIQUE]

    NOTER : ____________

    SI UN AUTRE PAYS QUE LES ÉTATS-UNIS EST MENTIONNÉ, CONSIDÉRER LE RÉPONDANT POUR LES GROUPES DE CANADIENS QUI VOYAGENT À L’ÉTRANGER (RECRUTER UN MÉLANGE DE PAYS) ET PASSER À Q16

  13. [SI LA SEULE RÉPONSE À Q14 = ÉTATS-UNIS] Avez-vous l’intention de voyager à Hawaii ou tout autre territoire des États-Unis, comme les Samoa américaines, le Guam, les îles Mariannes du Nord, Puerto Rico et les îles Vierges américaines?

    SI A RÉPONDU OUI, CONSIDÉRER LE RÉPONDANT POUR LES GROUPES DE CANADIENS QUI VOYAGENT À L’ÉTRANGER

    SI A RÉPONDU NON À Q10 ET Q15, CONSIDÉRER LE RÉPONDANT POUR LE GROUPE ETHNIQUE S’IL EST ADMISSIBLE OU LE REMERCIER ET METTRE FIN À L’ENTRETIEN

    SI A RÉPONDU NON À Q12 ET Q15, CONSIDÉRER LE RÉPONDANT POUR LE GROUPE ETHNIQUE S’IL EST ADMISSIBLE OU LE REMERCIER ET METTRE FIN À L’ENTRETIEN

    POUR LES GROUPES DE CANADIENS QUI VOYAGENT À L’ÉTRANGER, RECRUTER UN MÉLANGE DE PERSONNES AYANT VOYAGÉ AU COURS DES 18 DERNIERS MOIS ET CELLES QUI PRÉVOIENT VOYAGER AU COURS DES DEUX PROCHAINES ANNÉES

  14. Êtes-vous un étudiant étranger qui fréquente actuellement un établissement d’enseignement au Canada?

    RECRUTER DES ÉTUDIANTS ÉTRANGERS AU FUR ET À MESURE QU’ILS SE PRÉSENTENT, POUR TOUS LES GROUPES

  15. Est-ce que vous ou d’autres membres de votre famille immédiate travaillez dans l’un ou l’autre des domaines suivants? [LIRE LES CHOIX DE RÉPONSES]

    Oui Non
    Une firme d’études de marché 1 2
    Un magazine ou un journal (en ligne ou papier) 1 2
    Une station de radio ou de télévision 1 2
    Un cabinet de relations publiques 1 2
    Une agence de publicité ou une firme de graphisme 1 2
    Un média en ligne ou comme blogueur 1 2
    Le gouvernement, que ce soit à l’échelle fédérale, provinciale ou municipale 1 2

    S’IL A RÉPONDU OUI À L’UNE OU L’AUTRE DE CES RÉPONSES, REMERCIER LE RÉPONDANT ET METTRE FIN À L’ENTRETIEN

  16. Quelle est votre identité de genre ? [Vous n’avez pas à répondre si vous n’êtes pas à l’aise de le faire.] [NE PAS LIRE LES CHOIX DE RÉPONSES]

    TENTER DE RECRUTER UNE PROPORTION ÉGALE D’HOMMES ET DE FEMMES, ET LES AUTRES IDENTITÉS DE GENRES AU FUR ET À MESURE QU’ELLES SE PRÉSENTENT

  17. Nous recrutons des participants d’âges différents pour les séances. Pourrais-je avoir votre âge ? NOTER L’ÂGE DU RÉPONDANT : ______________

    RECRUTER UN MÉLANGE D’ÂGES

  18. Avez-vous déjà participé à une discussion de groupe ou une entrevue organisée à l’avance pour laquelle vous avez reçu un montant d’argent?

  19. À quand remonte votre dernière discussion ou entrevue?

  20. Quels étaient les sujets des discussions ou entrevues auxquelles vous avez participé?

    NOTER : _______________

    REMERCIER ET METTRE FIN À L’ENTRETIEN SI LE SUJET CONCERNAIT LA SÉCURITÉ DE LA CHAÎNE ALIMENTAIRE OU LA PESTE PORCINE AFRICAINE

  21. À combien de discussions de groupe ou entrevues avez-vous participé au cours des cinq dernières années?

  22. Nous demandons aux participants des groupes de discussion d’exprimer leurs opinions et de verbaliser leurs pensées. Dans quelle mesure êtes-vous à l’aise d’exprimer votre opinion dans une discussion de groupe en ligne? Êtes-vous…? LIRE LES CHOIX DE RÉPONSES

  23. Avez-vous accès à une connexion Internet stable pour soutenir une vidéoconférence de 90 minutes?

  24. Les participants devront utiliser une plateforme de conférence Web sur un ordinateur ou une tablette (et non un téléphone intelligent) dans une pièce tranquille. Cela est essentiel puisque l’animateur devra évaluer vos réactions à certains concepts et matériels. Y a-t-il des raisons qui vous empêchent de participer (p. ex., aucun accès à un ordinateur, une tablette ou Internet) ? Si vous avez besoin de lunettes pour lire ou un appareil auditif, veuillez les porter.

  25. Y a-t-il quoi que ce soit que nous pouvons faire pour que vous puissiez participer?

  26. Que pourrions-nous faire? [QUESTION OUVERTE]

    NOTER LA RÉPONSE POUR UNE POSSIBLE ENTREVUE INDIVIDUELLE

NOTE POUR LE RECRUTEUR – POUR CONCLURE L’ENTRETIEN, DIRE : Merci de votre coopération. Nous ne pouvons vous inviter, car nous avons atteint notre quota pour les participants avec un profil comme le vôtre.

C. INVITATION
  1. J’aimerais vous inviter à faire partie d’un groupe de discussion en ligne où vous pourrez échanger vos opinions avec d’autres participants de votre région. La discussion sera dirigée par un chercheur du groupe-conseil Quorus, une firme nationale de recherche sur l’opinion publique. La séance sera enregistrée, mais vos commentaires demeureront confidentiels. Nous utiliserons une plateforme de webconférence. La discussion de 90 minutes (une heure et demie) aura lieu le [JOUR] [DATE] à [HEURE]. Chaque participant recevra 125 $ en guise de remerciement.

    Acceptez-vous de participer à cette étude ?

  2. La séance sera enregistrée sur bande vidéo. Les enregistrements serviront à analyser les résultats et à rédiger le rapport. Les réponses obtenues seront regroupées, ce qui signifie qu’aucun participant ne sera identifié. Est-ce que cela vous semble acceptable ?

  3. Des représentants de l’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) ou du gouvernement du Canada qui participent à ce projet pourraient observer la séance. Ils ne prendront aucunement part à la discussion et ne connaîtront pas votre nom. Est-ce acceptable pour vous?

  4. Les enregistrements pourraient également être utilisés par l’équipe de l’ACIA uniquement pour présenter les résultats de l’étude à l’interne. Cependant, votre nom n’apparaîtra nulle part et aucun des membres de l’équipe du client ne communiquera avec vous pour discuter de vos commentaires. Est-ce acceptable pour vous?

  5. Merci. Je vous confirme que la séance de 90 minutes (une heure et demie) aura lieu le [JOUR] [DATE] à [HEURE]. Au terme de votre participation, vous recevrez 125 $ en guise de remerciement. Souhaitez-vous participer et serez-vous disponible?

Pour la séance, nous utiliserons une application de partage d’écran appelée [PLATEFORME]. Nous vous ferons parvenir un courriel contenant les directives pour vous connecter. Vous devez utiliser un ordinateur ou une tablette (et non un téléphone intelligent) dans une pièce tranquille puisque l’animateur vous présentera du matériel pour obtenir vos réactions – ce sera un volet important de la discussion.

Nous vous recommandons de cliquer sur le lien que nous vous enverrons quelques jours avant la date prévue pour la séance afin de nous assurer que vous pourrez avoir accès à la plateforme en ligne qui aura été aménagée. Vous devrez répéter les étapes au moins 10 à 15 minutes avant la séance.

Puisque nous n’invitons qu’un nombre restreint de participants, votre présence est essentielle. Si vous n’êtes pas en mesure de participer, pour quelque raison que ce soit, vous ne pouvez pas envoyer quelqu’un d’autre à votre place – veuillez nous contacter pour que nous puissions vous trouver un remplaçant. Vous pouvez nous joindre au [INSÉRÉR LE NUMÉRO DE TÉLÉPHONE]. Demandez à parler à [INSÉRER LE NOM].

Afin que nous puissions vous envoyer un rappel ou vous informer de tout changement, pouvez-vous me fournir les renseignements suivants ? [LIRE L’INFORMATION ET APPORTER LES CHANGEMENTS NÉCESSAIRES]

Prénom : _________________________________________________

Nom de famille : ___________________________________________

Courriel : _________________________________________________

Numéro de téléphone (le jour) : _______________________________

Numéro de téléphone (en soirée) : _____________________________

Merci!

Si le répondant refuse de donner son nom de famille ou son prénom, ou bien son numéro de téléphone, lui dire que cette information demeurera confidentielle, conformément aux lois sur la protection des renseignements personnels et qu’elle servira uniquement à confirmer sa présence et à l’informer de tout changement. S’il refuse toujours, le REMERCIER ET METTRE FIN À L’ENTRETIEN.

Annexe B: Guide de l’animateur pour les groupes de discussion

Introduction et déroulement (10 minutes)

Merci de vous joindre à nous pour ce groupe de discussion en ligne!

  • Présentation de l’animateur et de l’entreprise. Accueil des participants.

    • Merci de prendre part à ce groupe de discussion.

    • Je m’appelle [INSÉRER LE NOM DE L’ANIMATEUR] et je travaille avec le groupe-conseil Quorus. Nous menons ce projet de recherche pour le gouvernement du Canada.

    • Aujourd’hui, nous allons parler d’enjeux de sécurité alimentaire.

    • La discussion prendra environ 90 minutes.

    • Veuillez éteindre vos cellulaires et autres appareils électroniques à portée de main.

  • Description de la discussion de groupe

    • Une discussion de groupe est une discussion de type « table ronde », ce qui signifie que nous discuterons d’un sujet particulier sur lequel vous aurez tous la chance de vous exprimer. Nous vous demanderons également de répondre à quelques questions pour nous aider à orienter la discussion.

    • Mon travail consiste à faciliter la discussion et à m’assurer que personne ne s’écarte du sujet, tout en respectant le temps qui nous est alloué.

    • Votre tâche consiste à partager vos opinions sur les sujets que je vous présenterai aujourd’hui/ce soir.

    • Nous voulons des opinions sincères. Il n’y a pas de bonnes ou de mauvaises réponses. Ceci n’est pas un test de connaissances.

    • Toutes les opinions sont importantes et doivent être respectées.

    • N’hésitez pas à vous exprimer, même si vous croyez que votre opinion est différente de celle du groupe. Vous pourriez avoir la même opinion que d’autres consommateurs.

    • Pour participer à la séance, veuillez vous assurer d’activer votre caméra Web et votre microphone et que vous êtes en mesure de m’entendre clairement. Lorsque vous ne parlez pas, je vous invite à couper le son pour réduire au minimum les bruits ambiants. N’oubliez pas de le réactiver avant de prendre la parole!

    • Il se peut que nous utilisions également la fonction de clavardage. [L’ANIMATEUR EXPLIQUE COMMENT ACCÉDER À LA FONCTION SUR ZOOM, SELON LE DISPOSITIF UTILISÉ PAR LE PARTICIPANT.] Faisons un test maintenant. Ouvrez la fenêtre de clavardage et envoyez un court message au groupe (p. ex., Bonjour tout le monde!) Si vous souhaitez répondre à une question que je ne vous ai pas adressée directement, tapez votre réponse ici. Nous lirons tous les commentaires à la fin du projet.

  • Explications

    • Il est important de savoir que toutes les discussions menées dans ces groupes restent strictement confidentielles. Nous n’associons jamais un commentaire à une personne en particulier. Notre rapport présente un résumé de l’information recueillie dans les groupes sans jamais donner de noms. Évitez de fournir des renseignements qui permettraient de vous identifier.

    • Le rapport de recherche rassemblera les informations recueillies dans tous les groupes de discussion. Vous pourrez y avoir accès sur le site Web de la Bibliothèque du Parlement ou celui de Bibliothèque et Archives Canada lorsqu’il sera publié.

    • Vos réponses n’auront aucune incidence sur vos rapports avec le gouvernement du Canada.

    • Nous enregistrons la séance sur support audiovisuel pour faciliter la rédaction du rapport et la révision des commentaires. Certains segments de l’enregistrement pourraient servir à l’usage interne de l’équipe de recherche du client afin de soutenir leur communication interne des résultats de la recherche.

    • Quelques-uns de mes collègues qui participent au projet observeront la séance. Ils sont là pour entendre vos commentaires directement.

  • Je tiens à souligner que je ne suis pas un employé du gouvernement du Canada. Il se peut donc que je ne sois pas en mesure de répondre certaines de vos questions sur le sujet. Dans ce cas, je ferai tout ce que je peux pour obtenir des réponses avant la fin de la séance.

    Avez-vous des questions?

Présentations (5 minutes)

Partie 1 : Opinions générales et expériences concernant les voyages ou l’expédition de produits au Canada (15 minutes)

À DEMANDER AUX VOYAGEURS

Lorsque vous voyagez à l’extérieur du Canada, rapportez-vous des choses avec vous au pays?

  • Qu’en est-il des aliments… en avez-vous déjà rapporté?

    • SI OUI : Qu’avez-vous rapporté au pays?

    • SI NON : Pourquoi certains d’entre vous n’ont jamais rapporté d’aliments lors d’un voyage à l’étranger?

Que pensez-vous de l’action de rapporter des aliments au Canada?

  • Quels genres d’aliments jugez-vous acceptable ou sécuritaire de rapporter au Canada, le cas échéant?

    • Qu’est-ce qui les rend « sécuritaires » ou « acceptables »?

  • …et quels genres d’aliments jugez-vous inacceptables ou dangereux, le cas échéant?

    • Qu’est-ce qui les rend « dangereux » ou « inacceptables »?

  • SI NÉCESSAIRE : Dans quelle catégorie placeriez-vous la viande, par exemple? … et plus particulièrement la viande de porc?

Essayez de vous souvenir d’un moment où vous avez voyagé en avion et où vous avez rapporté des articles dans votre valise, notamment des produits alimentaires :

  • Avez-vous eu des préoccupations à savoir si vous pouviez rapporter ce produit alimentaire au Canada? …quelles étaient vos préoccupations?

  • À quel moment au cours d’un voyage vous demandez-vous si un produit alimentaire peut être apporté au Canada?

  • Vous est-il déjà arrivé d’oublier de déclarer un produit alimentaire à votre retour au Canada? …vous souvenez-vous de quel produit alimentaire il s’agissait?

    • Vous est-il déjà arrivé de décider délibérément de ne pas déclarer un produit alimentaire à votre retour au Canada? …vous souvenez-vous de quel produit il s’agissait et quel était votre raisonnement à ce moment?

En ce qui a trait aux préoccupations lors d’un voyage quelle importance accorderiez-vous au fait de rapporter à la maison un produit alimentaire qu’il n’est pas permis de ramener au pays? Diriez-vous que c’est très important, peu important ou pas important du tout?

  • Aidez-moi à mieux comprendre votre évaluation.

  • Lorsque vous retournez au Canada après un voyage à l’étranger, vous souvenez-vous d’avoir vu des règles concernant la déclaration de produits alimentaires aux douanes?

    • Où les avez-vous vues?

    • Pourquoi pensez-vous qu’on a établi ces règles?

    • Quels sont les risques, le cas échéant, de rapporter des aliments d’un autre pays?

Pensez-vous qu’un morceau de viande ou un fruit ou quelque chose du genre pourrait avoir des répercussions au Canada? Quelles pourraient être ces répercussions?

À votre connaissance, le fait de rapporter un produit alimentaire pourrait-il contribuer de quelque manière que ce soit à propager des maladies au Canada? … aidez-moi à comprendre ce que vous avez entendu à ce sujet.

  • Vous souvenez-vous à quel moment ou de quelle manière vous avez pris conscience de cela?

  • Votre opinion ou votre sensibilisation à la propagation de maladies par le biais d’aliments importés au Canada a-t-elle changé depuis ou à cause de la pandémie de COVID-19?

À DEMANDER AUX GROUPES ETHNIQUES

Comment vous procurez-vous vos aliments de spécialité ou traditionnels qui ne sont pas facilement accessibles dans votre région?

  • Avez-vous déjà commandé des produits alimentaires de spécialité ou traditionnels en ligne, d’un fournisseur situé à l’extérieur du Canada? … donnez-moi un exemple.

  • Avez-vous déjà reçu un produit alimentaire de spécialité ou traditionnel par la poste d’un parent qui habite dans un autre pays? … donnez-moi un exemple.

  • Avez-vous de la parenté qui habite dans un autre pays et qui vous a apporté des produits alimentaires de spécialité ou traditionnels lors d’une de leurs visites? …donnez-moi un exemple.

  • Avez-vous déjà rapporté des produits alimentaires de spécialité ou traditionnels au Canada à la suite d’une visite dans votre famille dans un autre pays? … donnez-moi un exemple.

  • Avez-vous utilisé une autre manière pour vous procurer des aliments de spécialité ou traditionnels qui ne sont pas facilement accessibles dans votre région?

Lorsque vous réfléchissez aux différentes manières qu’une personne puisse se procurer des produits alimentaires qui sont impossibles ou difficiles à trouver au Canada ou dans votre région, vous souvenez-vous de vous être procuré des produits de viande? … qu’en est-il des produits du porc en particulier?

Quelles préoccupations avez-vous lorsque vous vous procurez des produits alimentaires de l’étranger pour votre consommation personnelle, le cas échéant?

  • …est-ce que cela dépend du genre de produit alimentaire?

  • Quel produit alimentaire, le cas échéant, craindriez-vous de rapporter au Canada?

  • Savez-vous s’il y a des règles que les personnes qui vivent au Canada doivent respecter lorsqu’il s’agit de se procurer ou d’apporter des aliments de l’étranger, même si c’est pour leur consommation personnelle? Que pouvez-vous me dire au sujet de ces règles?

    • Vous souvenez-vous de quelle manière vous avez pris conscience de ces règles?

    • À votre connaissance, s’agit-il de recommandations générales ou de règles strictes?

    • D’après ce que vous en savez, pourquoi ces règles existent-elles? … que pourrait-il arriver si on ne respectait pas ces règles? … quels sont les risques?

Pensez-vous qu’un morceau de viande ou un fruit ou quelque chose du genre pourrait avoir des répercussions au Canada? Quelles pourraient être ces répercussions?

À votre connaissance, le fait de vous procurer ou de rapporter un produit alimentaire pourrait-il contribuer de quelque manière que ce soit à propager des maladies au Canada? … aidez-moi à comprendre ce que vous avez entendu à ce sujet.

  • Vous souvenez-vous à quel moment ou de quelle manière vous avez pris conscience de cela?

À DEMANDER AUX GROUPES « RURAUX / ÉLEVEURS DE PORCS / GENS QUI HABITENT PRÈS D’UN ÉLEVAGE PORCIN »

Y en a-t-il parmi vous qui voyagez à l’étranger?

Lorsque vous vous préparez à revenir au Canada, y en a-t-il parmi vous qui craignent de rapporter des maladies? …veuillez m’en dire davantage à ce sujet.

  • Quel genre de maladies vous vient à l’esprit?

  • Quelles mesures prenez-vous habituellement pour éviter un tel problème, le cas échéant?

SI NÉCESSAIRE :

Vous partagez tous un élément commun : vous habitez dans un milieu rural ou vous nous avez indiqué que vous habitez à proximité d’un élevage de porcs, ou encore que vous possédez des porcs.

Lorsque vous retournez au Canada après un voyage à l’étranger, prenez-vous des précautions particulières en raison de votre proximité avec des porcs ou un élevage porcin?

  • Quelles mesures prenez-vous généralement pour éviter tout problème, le cas échéant?

  • Pourquoi vous donnez-vous cette peine? À votre connaissance, de telles précautions sont-elles même importantes?

Vous souvenez-vous de quelle manière vous avez pris conscience de problèmes en lien avec les voyages à l’étranger et leurs répercussions potentielles sur les porcs?

Partie 2 : Vivre avec des porcs ou à proximité de ceux-ci (20 minutes)

À DEMANDER AUX GROUPES « RURAUX / ÉLEVEURS DE PORCS / GENS QUI HABITENT PRÈS D’UN ÉLEVAGE PORCIN »

Vous avez mentionné que vous possédez des porcs ou que vous vivez à proximité d’un élevage porcin. J’aimerais avoir une meilleure idée du genre de contacts que vous pouvez avoir avec des porcs.

Veuillez lever votre main si vous possédez des porcs.

Habitent une région rurale/habitent à proximité de porcs (mais ne possèdent pas de porcs) :

Pour ceux et celles qui ne possèdent pas de porcs, pouvez-vous me décrire le genre de contact que vous pourriez avoir avec des porcs?

  • Avez-vous des voisins qui possèdent des porcs ou connaissez-vous des gens qui travaillent avec des porcs?

  • Visitez-vous des fermes locales ou des gens qui ont des porcs sur leur propriété?

  • Avez-vous l’occasion de flatter les porcs ou d’interagir avec eux?

  • Achetez-vous des aliments des producteurs locaux?

  • Pouvez-vous penser à d’autres genres de relations ou de contacts que vous pourriez avoir avec un éleveur de porcs local?

Possèdent des porcs :

Pour ceux et celles d’entre vous qui possèdent des porcs, combien en avez-vous présentement et depuis combien de temps vous en occupez-vous?

  • Comment évaluez-vous vos connaissances en matière d’élevage et de soin des porcs? Diriez-vous que vous êtes débutant, intermédiaire, avancé ou expert?

Élevez-vous des porcs comme source de nourriture, comme passe-temps, pour les échanger/vendre, comme animal domestique, etc.?

  • Vous considérez-vous un éleveur de porcs? Pourquoi dites-vous ça?

Pouvez-vous me décrire à quel endroit vous gardez vos porcs et la routine que vous avez pour vous en occuper?

J’ai quelques questions concernant l’alimentation de votre ou vos porcs :

  • Que donnez-vous à manger à vos porcs? Vous assurez-vous qu’ils mangent exclusivement certains aliments? Qu’en est-il des restes de nourriture?

  • Existe-t-il des éléments d’ordre législatif/des lois en ce qui a trait à ce que vous pouvez donner ou ne pas donner à vos porcs?

  • Comment tenez-vous compte des activités associées à vos porcs? Avez-vous entendu parler d’une liste de vérification pour la biosécurité?

De manière générale, dans quelle mesure pensez-vous connaître les maladies animales et les mesures à prendre pour éviter la contagion?

  • Où avez-vous tendance à aller pour obtenir des conseils et des renseignements sur ces sujets? Ces ressources ont-elles été utiles? Y a-t-il autre chose que vous aimeriez savoir?

À DEMANDER À TOUS DANS LES GROUPES « RURAUX / ÉLEVEURS DE PORCS / GENS QUI HABITENT PRÈS D’UN ÉLEVAGE PORCIN »

Savez-vous s’il y a des protocoles de sécurité en place dans les fermes ou les propriétés qui élèvent des porcs?

  • Veuillez décrire les règles ou les protocoles que vous [pourriez connaître / avez mis en place].

  • Dans quelle mesure [sont-ils/êtes-vous] stricts avec la manière dont [leurs/vos] porcs entrent en contact avec des personnes, des objets ou d’autres animaux?

  • PROPRIÉTAIRES DE PORCS : Imposez-vous certains comportements pour assurer la désinfection afin d’éviter de propager des maladies animales? / NE POSSÈDENT PAS DE PORCS : Lorsque vous vous rendez dans un élevage porcin, faites-vous certaines choses pour assurer la désinfection afin d’éviter de propager des maladies animales?

Vous êtes tous en contact avec des porcs ou vivez près d’eux. Quelle est votre expérience sur la manière dont les personnes ont tendance à partager de l’information concernant des maladies animales?

  • J’ai demandé plus tôt aux propriétaires de porcs où ils se procuraient des informations sur les maladies animales – qu’en est-il pour les autres? Quel rôle les propriétaires jouent-ils dans ce domaine? Pensez-vous que les propriétaires prennent cette question au sérieux?

  • À quel autre endroit avez-vous obtenu des renseignements sur les maladies animales?

  • Pensez-vous savoir tout ce dont vous devez savoir à ce sujet? Que voudriez-vous savoir de plus?

Partie 3 : Sensibilisation et préoccupations concernant les risques de la PPA (15 minutes)

Demander à tous les groupes : Nous allons maintenant discuter un peu de la transmission de maladies animales de nos jours, et, de manière générale, de la façon dont elles peuvent se propager au Canada.

Connaissez-vous des maladies animales? Pouvez-vous en nommer?

  • À votre connaissance, quel impact pensez-vous que ce genre de maladies pourrait avoir au Canada?

Êtes-vous au courant des maladies animales exotiques, soit des maladies qui existent ailleurs, mais qui ne sont pas encore au Canada?

  • Dans quelle mesure êtes-vous préoccupé par le fait qu’une maladie animale exotique puisse avoir un impact négatif sur l’économie canadienne? …aidez-moi à comprendre votre point de vue à ce sujet.

Levez la main si vous avez entendu parler de la peste porcine africaine (PPA).

Avez-vous vu, lu ou entendu quelque chose concernant la peste porcine africaine au cours de la dernière année?

  • Qu’avez-vous vu, lu ou entendu?

  • Où avez-vous vu, lu ou entendu cette information?

Y en a-t-il parmi vous qui ont une expérience des porcs sauvages au Canada? Saviez-vous qu’il y a des populations de porcs sauvages au Canada?

  • Qu’avez-vous vu, lu ou entendu à ce sujet?

  • Pensez-vous qu’ils soient un gros problème?

  • Avez-vous des inquiétudes particulières concernant le fait qu’ils pourraient s’alimenter à partir de sites d’enfouissement ou de dépotoirs?

De manière générale, que pouvez-vous me dire au sujet de la peste porcine africaine?

SONDER SI NÉCESSAIRE :

  • Que savez-vous au sujet de la grippe porcine?

    • Pensez-vous que la grippe porcine et la peste porcine africaine sont reliées, ou peut-être la même chose?

  • Avez-vous une idée de la manière dont la peste porcine africaine se compare à d’autres maladies, comme la grippe aviaire, par exemple?

  • Est-elle dangereuse pour les humains?

  • Des inquiétudes?

Y en a-t-il parmi vous qui ont recherché activement pour de l’information sur la peste porcine africaine?

  • Que cherchiez-vous précisément et avez-vous trouvé ce que vous cherchiez?

  • Où êtes-vous allé chercher l’information?

    • Dans quelle mesure ces ressources vous ont-elles aidé à mieux comprendre ce qu’est la peste porcine africaine?

Dans l’ensemble, que pensez-vous de la « gestion » des maladies animales au Canada?

  • À votre connaissance, qui a la responsabilité de gérer les maladies animales? Y a-t-il une organisation en particulier?

  • Avez-vous une idée sur la manière dont on « gère » les maladies animales au Canada?

  • Votre opinion a-t-elle changé à ce sujet au fil du temps?

    • Si oui, de quelle manière?

    • Si oui, qu’est-ce qui explique ce changement au fil du temps?

Partie 4 : Recherche d’informations et examen de ressources en ligne / publicités (20 minutes)

Y en a-t-il parmi vous qui avez fait de la recherche pour savoir ce que vous pouvez et ne pouvez pas apporter au Canada?

  • Pour quelle raison avez-vous fait cette recherche?

  • Où êtes-vous allé pour trouver l’information?

  • Quelle information recherchiez-vous précisément et l’avez-vous trouvée?

  • Avez-vous fait cette recherche récemment?

J’aimerais maintenant avoir votre avis sur certaines informations qui se trouvent en ligne :

Pour les éleveurs de porcs et ceux qui habitent près des porcs/régions rurales :

Montrer : Fermez votre barrière à la peste porcine africaine – Agence canadienne d’inspection des aliments (canada.ca)

Pour tous les autres groupes :

Montrer : Protéger les porcs du Canada contre la peste porcine africaine – Agence canadienne d’inspection des aliments

Avez-vous déjà vu ce site Web?

  • SI OUI :

    • Vous souvenez-vous pourquoi vous avez visité ce site Web?

    • Vous souvenez-vous comment vous êtes arrivé à ce site Web?

  • SI NON : D’après votre premier coup d’œil de cette page Web…

    • …qu’en pensez-vous?

    • L’information est-elle facile à comprendre?

    • Si vous aviez le contrôle de la souris, à quel endroit cliqueriez-vous en premier sur cette page? Pourquoi voudriez-vous aller là?

  • [MESSAGE PRINCIPAL] En quelques mots, quel est, selon vous, le message principal de cette page Web? Qu’est qu’on essaie de nous dire?

    • L’idée et le message ont-ils un sens pour vous?

Jetez un coup d’œil à ce matériel, qui pourrait être publié dans les réseaux sociaux ou sur d’autres plateformes en ligne :

L’ANIMATEUR MONTRE CHAQUE IMAGE INDIVIDUELLEMENT, PUIS TERMINE AVEC UNE DIAPOSITIVE QUI PRÉSENTE LES QUATRE CONCEPTS SUR UNE MÊME PAGE POUR EN DISCUTER :

Une collection de quatre concepts publicitaires.
Une collection de quatre concepts publicitaires

Le premier concept montre une affiche partagée sur les réseaux sociaux, le slogan se lit comme suit : “N’emballez pas de porc”. Une silhouette de porc avec une valise et le texte Canada sont présents sur l’affiche. La deuxième affiche montre une valise avec des vêtements, des vêtements et des aliments à base de porc avec le slogan “n’emballez pas de porc”. Le troisième concept montre une affiche sur les réseaux sociaux avec le slogan “Don’t mail pork”. Une silhouette de porc avec une lime non approuvée est montrée à droite. La quatrième affiche est une brochure avec le même contenu que la troisième affiche sur les réseaux sociaux.

Quelle est votre première impression concernant ce matériel?

  • Y a-t-il quelque chose qui ressort immédiatement? Qu’est-ce qui vous interpelle?

  • Qu’est-ce qui retient votre attention, le cas échéant?

  • Y a-t-il quelque chose dans ces concepts qui vous feraient changer d’idée au sujet de la peste porcine africaine? Qu’est-ce qui retiendrait votre attention ou changerait votre façon de penser au sujet de la PPA?

  • En quelques mots, quel est, selon vous, le message principal de ce matériel? Qu’est qu’on essaie de nous dire?

  • L’information que vous voyez est-elle facile à comprendre?

  • Si vous voyiez cette information en ligne, vous inciterait-elle à faire quelque chose?

    • Combien d’entre vous cliqueraient pour en savoir plus?

    • Est-ce que vous partageriez cette information?

  • Qui est le public visé?

L’ANIMATEUR MONTRE LA DIAPOSITIVE QUI SUIT :

Deux déclarations à gauche et à droite se lisent comme suit. “N’apportez pas de porc” et “Les cochons ne volent pas.”
  • Certains concepts que je vous ai montrés portent la signature « N’apportez pas de porc ». Que pensez-vous de « Les cochons de volent pas » à la place?

    • Laquelle des deux préférez-vous?

    • Laquelle des deux est la plus mémorable?

Jetez un coup d’œil à ce matériel, qui pourrait être publié dans les réseaux sociaux ou sur d’autres plateformes en ligne.

L’ANIMATEUR MONTRE CHAQUE IMAGE INDIVIDUELLEMENT, PUIS TERMINE AVEC UNE DIAPOSITIVE QUI PRÉSENTE LES DEUX CONCEPTS SUR UNE MÊME PAGE POUR EN DISCUTER :

Quatre figures représentent les concepts de sensibilisation à la peste porcine africaine.
Quatre figures représentent les concepts de sensibilisation à la peste porcine africaine

Toutes les diapositives présentent une photographie d’un homme et d’une petite fille debout dans une ferme porcine. La première diapositive contient un texte, “Protégez vos porcs de la peste porcine africaine”. Cette première diapositive mène à la deuxième diapositive avec un bouton en savoir plus. La troisième diapositive contient un texte, “Fermez la porte sur la peste porcine africaine”. Cette troisième diapositive mène à la quatrième diapositive avec le bouton “Obtenir la liste de contrôle”.

Quelle est votre première impression concernant ce matériel?

  • Y a-t-il quelque chose qui ressort immédiatement? Qu’est-ce qui vous interpelle?

  • Qu’est-ce qui retient votre attention, le cas échéant?

  • Y a-t-il quelque chose dans ces concepts qui vous feraient changer d’idée au sujet de la peste porcine africaine? Qu’est-ce qui retiendrait votre attention ou changerait votre façon de penser au sujet de la PPA?

  • En quelques mots, quel est, selon vous, le message principal de ce matériel? Qu’est qu’on essaie de nous dire?

  • L’information que vous voyez est-elle facile à comprendre?

  • Si vous voyiez cette information en ligne, vous inciterait-elle à faire quelque chose?

    • Combien d’entre vous cliqueraient pour en savoir plus?

    • Est-ce que vous partageriez cette information?

  • Qui est le public visé?

Mot de la fin (2 minutes)

Merci encore pour votre participation. L’équipe qui vous a invité à participer à ce groupe de discussion communiquera avec vous concernant la manière de recevoir l’incitatif que nous vous avons promis.

Merci beaucoup – passez une belle soirée!

Test de concepts

Concept A

Une capture d’écran d’une affiche de médias sociaux est affichée.
Une capture d’écran d’une affiche de médias sociaux est affichée

L’affiche partagée sur les réseaux sociaux par l’Agence canadienne d’inspection des aliments, le slogan se lit comme suit : “N’apportez pas de porc”. Une silhouette de porc avec une valise et le texte Canada sont présents sur l’affiche. La description se lit comme suit : “Des aliments réconfortants familiers et authentiques pourraient guérir le mal du pays, mais les aliments contenant du porc pourraient propager la peste porcine africaine.” Un lien, « www.inspection.cc.ca/protect-pics », est affiché sous l’affiche.

Concept B

Une affiche de sensibilisation pour voyager avec du porc est montrée.
Une affiche de sensibilisation pour voyager avec du porc est montrée

L’affiche montre une valise avec des vêtements, des vêtements et des aliments à base de porc avec le slogan “n’apportez pas de porc”. Une silhouette d’avion est présente sous le slogan. Un texte sous la valise indique : « Protégez le Canada de la peste porcine africaine ». Le logo du Canada est présent dans le coin inférieur droit de l’affiche.

Concept C

Une affiche sociale de sensibilisation à l’envoi de porc est présentée.
Une affiche sociale de sensibilisation à l’envoi de porc est présentée

L’affiche partagée sur les réseaux sociaux par l’Agence canadienne d’inspection des aliments avec le slogan “Ne postez pas de porc” est montrée. Une silhouette de porc avec une lime non approuvée est montrée à droite. Un texte sous la silhouette indique : « Protégez le Canada de la peste porcine africaine ». Le logo du Canada est présent dans le coin inférieur droit de l’affiche. Un lien, « www.inspection.cc.ca/protect-pics », est affiché sous l’affiche.

Concept D

Une capture d’écran d’une affiche de médias sociaux est affichée.
Une capture d’écran d’une affiche de médias sociaux est affichée

L’affiche partagée sur les réseaux sociaux par l’Agence canadienne d’inspection des aliments, le slogan se lit comme suit : “N’apportez pas de porc”. Une silhouette de porc avec une valise et le texte Canada sont présents sur l’affiche. La description se lit comme suit : “Des aliments réconfortants familiers et authentiques pourraient guérir le mal du pays, mais les aliments contenant du porc pourraient propager la peste porcine africaine.” Un lien, « www.inspection.cc.ca/protect-pics », est affiché sous l’affiche.

Concept E

Un homme et une petite fille jouent dans une ferme porcine. Le texte dans le coin inférieur droit indique « Canada ».

Concept F

Un homme et une petite fille jouent dans une ferme porcine. Le texte dans le coin inférieur droit indique « Canada ».

Concept G

Deux déclarations à gauche et à droite se lisent comme suit. “N’apportez pas de porc” et “Les cochons ne volent pas.”

Annexe C: Instrument de sondage

Recherche sur l’opinion publique auprès des Canadiens pour appuyer les communications sur la peste porcine africaine (PPA) de 2022-2023

[L’information entre crochets n’est pas visible pour les répondants]

[Introduction :]

Merci de prendre le temps de participer au présent sondage.

The survey is also available in English. [Lien vers le sondage en anglais]

Ce sondage sur la sécurité de la chaîne alimentaire au Canada est réalisé par le groupe-conseil Quorus, une firme canadienne d’études de marché, au nom du gouvernement du Canada. L’exercice prendra de 10 à 15 minutes.

Votre participation est volontaire et entièrement confidentielle. Toutes vos réponses demeureront anonymes. Les renseignements que vous fournirez seront traités conformément aux exigences de la Loi sur la protection des renseignements personnels et la Loi sur l’accès à l’information. Le rapport final contenant les résultats de l’étude sera disponible par l’entremise de Bibliothèque et Archives Canada dans les six mois suivant la fin des travaux de recherche.

Si vous avez des questions au sujet du sondage ou si vous souhaitez recevoir l’information sous une autre forme ou avez besoin de mesures d’adaptation ou d’assistance technique, veuillez communiquer avec [nom et numéro de téléphone de la personne à contacter].

Remarque : Si vous voyez des mots soulignés, vous pouvez passer votre curseur sur ceux-ci afin d’obtenir de l’information additionnelle.

[Section 1 : Questionnaire de recrutement]
  1. Quelle est votre année de naissance?

    [INSÉRER L’ANNÉE. SI LE RÉPONDANT A MOINS DE 18 ANS OU QU’IL/ELLE PRÉFÈRE NE PAS RÉPONDRE, METTRE FIN À L’ENTRETIEN]

    GENRE : À quel genre vous identifiez-vous?

  2. Dans quelle province ou quel territoire habitez-vous?

  3. Vous considérez-vous comme faisant partie de l’un de ces groupes ethniques? SÉLECTIONNER TOUTES LES RÉPONSES QUI S’APPLIQUENT

  4. Comment décririez-vous l’endroit où vous habitez?

    CLASSER COMME « RÉSIDENT DE RÉGION RURALE » SI Q4 = 3 OU 4

  5. Possédez-vous des porcs, que ce soit comme animaux domestiques, animaux d’élevage, de ferme d’agrément ou pour d’autres raisons?

    CLASSER COMME « PROPRIÉTAIRE DE PORCS » SI Q5=1

  6. [SI A RÉPONDU OUI À Q5] Possédez-vous des porcs pour des fins d’élevage commercial?

  7. [SI A RÉPONDU NON À Q5] Habitez-vous dans un rayon de 20 km d’une ferme porcine ou d’un autre endroit où on retrouve des porcs?

    CLASSER COMME « CANADIEN QUI HABITE À PROXIMITÉ DE PORCS » SI Q7=1

  8. Avez-vous voyagé à l’extérieur du Canada au cours des 18 derniers mois?

  9. Où avez-vous voyagé au cours des 18 derniers mois? Veuillez noter les pays dans lesquels vous avez séjourné plus de 24 heures.

  10. [DEMANDER SI Q9 = ÉTATS-UNIS] Avez-vous voyagé à Hawaii ou dans tout autre territoire des États-Unis, comme les Samoa américaines, le Guam, les îles Mariannes du Nord, Puerto Rico et les îles Vierges américaines?

    CLASSER COMME « CANADIEN QUI VOYAGE » SI :

    • A MENTIONNÉ UN PAYS AUTRE QUE LES ÉTATS-UNIS À Q9

    • Q10 = OUI

  11. Avez-vous l’intention de voyager à l’étranger au cours des deux prochaines années?

  12. Quels pays pourriez-vous visiter?

  13. [DEMANDER SI Q12 = États-Unis] Avez-vous l’intention de voyager à Hawaii ou dans tout autre territoire des États-Unis, comme les Samoa américaines, le Guam, les îles Mariannes du Nord, Puerto Rico et les îles Vierges américaines?

    CLASSER COMME « CANADIEN QUI VOYAGE » SI :

    • A MENTIONNÉ UN PAYS AUTRE QUE LES ÉTATS-UNIS À Q12

    • Q13 = OUI

  14. Êtes-vous un étudiant étranger qui fréquente actuellement un établissement d’enseignement au Canada?

  15. Lesquels des énoncés suivants s’appliquent à votre ménage? SÉLECTIONNER TOUTES LES RÉPONSES QUI S’APPLIQUENT

[Section 2 : peste porcine africaine]
  1. Parmi les maladies suivantes, quelles sont celles dont vous aviez entendu parler avant aujourd’hui? SÉLECTIONNER TOUTES LES RÉPONSES QUI S’APPLIQUENT [RANDOMISER]

  2. Laquelle de ces maladies vous préoccupe le plus?

    [MENTIONNER LES MALADIES SÉLECTIONNÉES À Q16]

  3. [DEMANDER SI Q16 = 1] Dans quelle mesure la peste porcine africaine vous est-elle familière?

  4. [DEMANDER SI Q18 = 1, 2 ou 3] Où avez-vous vu, lu ou entendu quelque chose au sujet de la peste porcine africaine? SÉLECTIONNER TOUTES LES RÉPONSES QUI S’APPLIQUENT

  5. Lequel de ces énoncés décrit le mieux ce que vous pensez de la peste porcine africaine (PPA)?

  6. Divers comportements peuvent contribuer à introduire la peste porcine africaine (PPA) au Canada et à la propager. Parmi les suivants, quels sont ceux dont vous êtes au courant? SÉLECTIONNER TOUTES LES RÉPONSES QUI S’APPLIQUENT

    [RANDOMISER]

  7. À votre avis, quels sont les risques d’introduction ou de propagation de PPA au Canada associés aux comportements suivants?

    [RANDOMISER]

    1. Visiter une ferme porcine ou un endroit où on retrouve des porcs au Canada peu de temps après avoir visité une ferme porcine ou un endroit où on retrouve des porcs lors d’un voyage à l’étranger (zoos, refuges pour animaux et territoires de chasse où on retrouve des porcs sauvages)

    2. Rapporter des produits du porc d’un voyage à l’étranger sans les déclarer aux douanes

    3. Recevoir des produits du porc par la poste de la part d’amis ou de membres de la famille à l’étranger

    4. Nourrir les porcs avec des restes de nourriture et des déchets alimentaires

  8. Si la peste porcine africaine faisait son apparition au Canada, dans quelle mesure seriez-vous préoccupé(e) pour vous-même?

  9. Si la peste porcine africaine faisait son apparition au Canada, dans quelle mesure seriez-vous préoccupé(e) pour l’industrie canadienne du porc?

  10. Si la peste porcine africaine faisait son apparition au Canada, quel serait selon vous son impact sur l’industrie canadienne du porc?

  11. Si la peste porcine africaine faisait son apparition au Canada, dans quelle mesure seriez-vous préoccupé(e) pour l’économie canadienne?

  12. Si la peste porcine africaine faisait son apparition au Canada, quel serait selon vous son impact sur l’économie canadienne?

  13. Si la peste porcine africaine faisait son apparition au Canada, dans quelle mesure seriez-vous préoccupé(e) des dangers pour la sécurité de la chaîne alimentaire?

  14. Dans quelle mesure cela vous intéresse-t-il d’en apprendre davantage sur la peste porcine africaine et ses répercussions sur les Canadiens?

  15. [DEMANDER SI Q29 >= 4] Où seriez-vous le plus susceptible de rechercher de l’information sur la peste porcine africaine? SÉLECTIONNER TOUTES LES RÉPONSES QUI S’APPLIQUENT

    [DEMANDER SI Q29 < 4] Même si cela ne vous intéresse pas particulièrement pour le moment, où seriez-vous le plus susceptible de rechercher de l’information sur la peste porcine africaine si vous souhaitiez en savoir davantage? SÉLECTIONNER TOUTES LES RÉPONSES QUI S’APPLIQUENT

    [RANDOMISER LES CHOIX DE 1 À 9]

  16. [DEMANDER SI Q29 >= 4] De quelle manière aimeriez-vous recevoir de l’information sur la peste porcine africaine de la part du gouvernement du Canada? SÉLECTIONNER TOUTES LES RÉPONSES QUI S’APPLIQUENT

    [DEMANDER SI Q29 < 4] Même si cela ne vous intéresse pas particulièrement pour le moment, comment aimeriez-vous recevoir de l’information sur la peste porcine africaine de la part du gouvernement du Canada si vous souhaitiez en savoir davantage? SÉLECTIONNER TOUTES LES RÉPONSES QUI S’APPLIQUENT

  17. Veuillez classer ce qui suit en ordre d’importance selon la responsabilité que vous attribuez à chacun de s’assurer que la peste porcine africaine est bien surveillée et contrôlée au Canada. Veuillez classer les options en ordre de 1 à 8, 1 étant l’entité ayant la plus grande responsabilité et 8, la plus faible responsabilité. [RANDOMISER]

    RESPONSABILITÉ CLASSEMENT

    a. Les petits éleveurs de porcs et les exploitants de fermes d’agrément

    b. Le gouvernement du Canada

    c. Les gouvernements provinciaux

    d. Les fabricants de produits alimentaires ou les entreprises de transformation alimentaire (c.-à-d. les entreprises qui fabriquent ou qui transforment les aliments)

    e. Les gros producteurs commerciaux de porcs

    f. Les entreprises qui importent des aliments au Canada

    g. Les consommateurs

    h. Les associations et les groupes qui représentent l’industrie canadienne du porc

    Je ne sais pas/je préfère ne pas répondre 99
[Section 3 : Données démographiques]

Les dernières questions sont strictement à des fins de statistiques. Toutes vos réponses demeureront confidentielles.

  1. Comment décririez-vous votre situation d’emploi actuelle?

  2. Quel est le plus haut niveau de scolarité que vous avez atteint?

  3. Êtes-vous un Autochtone, c’est-à-dire un membre des Premières Nations, un Métis ou un Inuk (Inuit)?

  4. Quel est votre état matrimonial?

  5. En vous comptant, de combien de personnes est composé votre ménage?

  6. Êtes-vous le parent ou le tuteur d’un enfant de moins de 18 ans?

  7. Laquelle de ces catégories décrit le mieux le revenu de votre ménage en 2022, c’est-à-dire le revenu total de toutes les personnes qui vivent sous votre toit, avant impôts?

  8. Quels sont les trois premiers caractères de votre code postal?

    [INSÉRER LES TROIS PREMIER CARACTÈRES DU CODE POSTAL, P. EX. A1A]

[Section 4 : Invitation au groupe de discussion]

[INVITER LES PERSONNES SUIVANTES AU GROUPE DE DISCUSSION :

  • COMMUNAUTÉS ETHNIQUES D’INTÉRÊT (SI Q3 = 1 À 6)

  • CANADIENS QUI VIVENT EN RÉGION RURALE

  • CANADIENS PROPRIÉTAIRES DE PORCS

  • CANADIENS QUI HABITENT À PROXIMITÉ D’ENDROITS OÙ ON RETROUVE DES PORCS

  • CANADIENS QUI VOYAGENT

  • ÉTUDIANTS ÉTRANGERS (Q14 = 1)

SI LE RÉPONDANT N’APPARTIENT À AUCUNE DE CES CATÉGORIES, PASSER À LA SECTION 5]

Merci beaucoup pour vos commentaires.

Cette étude a été commandée par l’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) en vue de sonder les connaissances et les perceptions des Canadiens au sujet de la peste porcine africaine, de manière à ce que l’Agence puisse élaborer des communications efficaces pour répondre aux préoccupations de la population ou réduire les malentendus.

L’ACIA souhaite recueillir des opinions sur un vaste éventail d’enjeux liés à la peste porcine africaine.

Accepteriez-vous de faire partie d’un groupe de discussion? La séance prendra la forme d’une table ronde virtuelle dirigée par un professionnel de la recherche sur une plateforme comme Zoom. De six à huit autres personnes prendront part à la discussion de 90 minutes et chaque participant recevra un montant de 125 $. Personne ne tentera de vous vendre quoi que ce soit, ni de vous faire changer d’idée.

Tout comme pour le sondage, toutes les opinions exprimées durant la séance demeureront anonymes et les commentaires seront regroupés afin qu’aucun participant ne puisse être identifié.

Aimeriez-vous participer? Si c’est le cas, veuillez fournir votre prénom, votre adresse de courriel et le numéro de téléphone où nous pouvons vous joindre, ci-dessous. Au cours des prochaines semaines, un membre de notre équipe de recrutement vous contactera pour confirmer votre intérêt, votre admissibilité et votre disponibilité pour une discussion de groupe. Nous utiliserons votre adresse de courriel uniquement pour vous faire parvenir l’invitation et des rappels.

OUI – RECUEILLIR L’INFORMATION

NON – REMERCIER ET METTRE FIN À L’ENTRETIEN

Prénom : _____________________

Courriel : _____________________

Numéro de téléphone : _____________________

[Section 5 : Conclusion]

Voilà qui termine le sondage. Vos réponses ont été envoyées. Merci de votre participation!

Les résultats du sondage seront affichés à Bibliothèque et Archives Canada.

Pour obtenir de plus amples renseignements sur la peste porcine africaine, rendez-vous sur le site de l’Agence canadienne d’inspection des aliments (Inspection.gc.ca).