Recherche
sur l'opinion publique auprès des entreprises et des consommateurs pour
l'enquête annuelle sur la réputation de l'ACIA: 2022-2023
Rapport final
Préparé
pour : L'Agence canadienne d'inspection des aliments
Nom
du fournisseur : Pollara Strategic Insights
Numéro
de contrat : CW2265540
Valeur
du contrat : 194 738,55 $ (y compris la TVH)
Date d'attribution : 16 décembre 2022
Date de livraison : 31 mars, 2023
Numéro
d'enregistrement : POR 095-22
Pour
plus d'informations sur ce rapport, veuillez contacter l'ACIA à l'adresse
suivante:
information@inspection.gc.ca
This report is also available in English.
Ce rapport présente les
résultats d'une étude menée par Pollara Strategic Insights pour le compte de
l'Agence canadienne d'inspection des aliments. Cette étude a consisté en une
recherche qualitative (groupes de discussion) et quantitative (enquête) auprès
de deux groupes au cœur du mandat de l'Agence : les consommateurs canadiens et
les entreprises alimentaires réglementées. Il s'agit d'une étude annuelle sur
la réputation, la confiance, le message et d'autres attributs de la marque qui
permettent à l'ACIA de gérer et de développer sa marque.
This publication is also available in
English under the title: Public opinion research with businesses and
consumers for the CFIA annual reputation survey 2022-2023.
Cette
publication ne peut être reproduite qu'à des fins non commerciales. Une
autorisation écrite préalable doit être obtenue auprès de l'Agence canadienne
d'inspection des aliments. Pour plus d'informations sur ce rapport, veuillez
contacter l'Agence canadienne d'inspection des aliments à l'adresse suivante: Information@inspection.gc.ca
ou à cette adresse :
L'Agence
canadienne d'inspection des aliments
1400 Merivale Road
Ottawa, Ontario K1A 0Y9
Numéro de catalogue: A104-208/2023E-PDF
Numéro international normalisé du livre (ISBN): 978-0-660-48123-4
Publications connexes (numéro d'enregistrement : POR 095-22):
Numéro de catalogue : A104-287/2023F-PDF (Rapport final, français)
ISBN : 978-0-660-48126-5
© Sa Majesté le
Roi du Canada, représenté par l'Agence canadienne d'inspection des aliments,
2023
Certification de neutralité politique
Je certifie par la présente, en tant que cadre supérieur de Pollara
Strategic Insights, que les produits livrables sont entièrement conformes aux
exigences de neutralité politique du gouvernement du Canada énoncées dans la
Politique sur la communication et l'image de marque et dans la Directive sur la
gestion des communications.
Plus précisément, les résultats attendus ne comprennent pas
d'informations sur les intentions de vote, les préférences des partis
politiques, les positions au sein de l'électorat ou l'évaluation des
performances d'un parti politique ou de ses dirigeants.
Signé :
Juillet 2023
Craig Worden
Président de Pollara
Pollara Strategic Insights
L'Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA) a pour mission de
protéger les aliments, les animaux et les végétaux, afin d'améliorer la santé
et le bien-être de la population, de l'environnement et de l'économie du
Canada.
L'atténuation des risques pour la sécurité alimentaire est une priorité
absolue de l'ACIA, et la santé et la sécurité des Canadiens sont au cœur de la
conception et de l'élaboration des programmes de l'ACIA. L'ACIA, en
collaboration et en partenariat avec l'industrie, les consommateurs et les
organisations fédérales, provinciales et municipales, continue de travailler à
la protection des Canadiens contre les risques sanitaires évitables liés aux
aliments et aux zoonoses.
La prospérité économique actuelle et future des secteurs agricole et
forestier canadiens repose sur une base de ressources animales et végétales
saine et durable. C'est pourquoi l'ACIA améliore continuellement la conception
et l'exécution de ses programmes dans les domaines de la santé animale et des
ressources végétales afin de minimiser et de gérer les risques. Afin de
protéger l'environnement naturel contre les maladies animales et végétales
envahissantes et les parasites des végétaux, l'ACIA effectue également un
travail considérable lié à la protection de la biodiversité environnementale.
La réputation et la crédibilité de l'ACIA sont essentielles pour que
l'Agence puisse s'acquitter de son mandat. En tant que telles, ces variables
font partie intégrante des valeurs de l'Agence et guident ses actions, en
interne comme en externe, afin de préserver la confiance. La meilleure façon de
communiquer avec les parties prenantes est en constante évolution et doit être
examinée.
Pour évaluer ces éléments de la réputation de l'ACIA, il est nécessaire
de réaliser une étude complète de ROP à l'aide de plusieurs méthodologies. Il
s'agit d'une étude annuelle sur la réputation, la confiance, les messages et
d'autres attributs de la marque qui permettent à l'ACIA de gérer et de
développer sa marque. Cette ROP permettra également de saisir les variables
nécessaires aux indicateurs de ROP requis pour le rapport ministériel sur les
résultats et les annexes sur les résultats de la présentation au Conseil du
Trésor.
Méthodologie
Consommateurs
Comme c'était le cas dans les
versions précédentes de cette étude, la recherche menée auprès des
consommateurs et des entreprises comprenait à la fois des méthodes qualitative
et quantitative. Le travail qualitatif mené avec les consommateurs canadiens a
consisté en six (6) groupes de discussion en ligne, deux en français et quatre
en anglais, d'une durée d'environ 100 minutes, avec des participants qui sont
principalement responsables des achats alimentaires dans leur foyer. Les
consommateurs participants ont reçu 150 dollars pour leur participation à
l'étude, en guise de compensation pour le temps qu'ils y ont consacré.
La phase quantitative de
l'étude de consommation a été menée auprès de (N=3003) consommateurs par le
biais d'un panel en ligne dont le temps de réponse moyen était de 9 minutes. L'enquête en ligne a été choisie en
raison de sa capacité à présenter efficacement l'enquête à un échantillon
largement représentatif de Canadiens, et parce qu'elle est bien adaptée aux
habitudes de communication des Canadiens. Les panels en ligne présentent des
limites pour la généralisation des résultats à la population cible, et il
convient d'être prudent lors de l'application des statistiques inférentielles.
Entreprises réglementées
Le travail qualitatif mené auprès
des entreprises canadiennes réglementées a consisté en cinq (5) groupes de
discussion en ligne, un en français et quatre en anglais, d'une durée d'environ
110 minutes. La recherche qualitative auprès des entreprises s'est concentrée
sur les sociétés impliquées dans la culture, l'élevage ou le transport de
plantes ou d'animaux vivants.
La phase quantitative de
l'étude sur les entreprises réglementées a été menée avec Logit Group et a
permis de recueillir des données auprès de (N=1575) entreprises par le biais
d'invitations envoyées par courrier électronique à partir des serveurs de
l'Agence. Il fallait environ 13,5 minutes en moyenne pour répondre à ces
invitations.
Limites de la recherche qualitative
La recherche qualitative est le
meilleur moyen d'élargir notre compréhension de ce qui compte pour les publics
cibles et de leur façon de penser. La recherche qualitative révèle la diversité
des points de vue des publics cibles et met en lumière des questions qui
n'avaient peut-être pas été identifiées ou reconnues auparavant par l'équipe de
recherche. Cela dit, les résultats d'une enquête qualitative ne sont pas et ne
doivent pas être interprétés comme étant statistiquement représentatifs des
populations étudiées.
Résumé quantitatif des consommateurs
L'objectif
de cette étude est de mesurer et de comparer la perception qu'ont les
consommateurs canadiens de la santé et de la sécurité des aliments, des plantes
et des animaux au Canada, ainsi que d'évaluer la réputation et les activités de
l'ACIA, y compris la manière dont l'ACIA, en tant qu'agence fédérale, s'efforce
de familiariser les consommateurs avec ce domaine, de leur inspirer confiance
et de renforcer leur confiance. Un autre objectif pratique est d'explorer la
manière dont le public reçoit les messages de communication, de mesurer sa
connaissance des activités de l'ACIA dans leur vie quotidienne, dans l’espoir
d'obtenir des indications sur les moyens d'améliorer les messages dans sa
mission de réglementation de la sécurité et de la santé des aliments, des
plantes et des animaux au Canada.
D'une
année sur l'autre, la connaissance qu'ont les Canadiens de l'ACIA en tant
qu'organisation responsable de la santé et de la sécurité des aliments, des
plantes et des animaux est restée constante.
En outre, deux consommateurs sur trois affirment avoir entendu ou vu
quelque chose en rapport avec l'ACIA au cours de l'année écoulée. Les sources
de sensibilisation sont les médias traditionnels, Internet et le bouche à
oreille. Les outils numériques tels que le site Web de l'ACIA, les podcasts et
les articles/vidéos en ligne ont plus d'impact sur la sensibilisation et la
familiarité avec l'ACIA que les bulletins d'information, les avis ou les
contacts directs avec l'Agence.
Un
autre objectif de cette étude est de mesurer le pourcentage de Canadiens qui
estiment que les activités de l'ACIA contribuent à garantir la sécurité des
aliments vendus au Canada. Les Canadiens accordent une grande confiance (5, 6
ou 7 sur une échelle de 7 points) à l'ACIA pour qu'elle fasse ce qu'il faut
pour garantir la salubrité des aliments au Canada (71 %). Cette confiance
augmente régulièrement d'année en année, le score de confiance de l'année
dernière (70 %) et le score initial en 2021 étant de 66 % pour cette mesure. Il
convient de noter que la confiance est plus élevée chez les personnes dont le
revenu du ménage est le plus élevé, ainsi que chez celles qui ont fait des
études supérieures.
Bien
que les consommateurs associent toujours la marque de l'ACIA à des attributs
similaires à ceux de l'année dernière, nous constatons un déclin progressif de
cet accord. Les associations les plus fortes sont à nouveau " Les rappels
d'aliments sont un exemple du fonctionnement du système alimentaire " 70 %
(en baisse de 3 points par rapport à l'année dernière et de 6 points par rapport
à 2021), " L'ACIA veille aux meilleurs intérêts des Canadiens " 64 %
(en baisse de 3 points par rapport à l'année dernière et de 8 points par
rapport à 2021) et " L'ACIA est efficace dans l'application de la
réglementation sur la sécurité alimentaire " 61 % (en baisse de 2 points
par rapport à l'année dernière et de 4 points par rapport à 2021).
Enfin,
une analyse des facteurs clés a été réalisée pour déterminer l'importance
relative d'une liste de variables pour prédire la familiarité, la confiance
dans l'Agence. Il en ressort que l'Agence devrait concentrer ses messages sur
des questions susceptibles d'influer spécifiquement sur la familiarité, la
confiance ou l'assurance, comme suit :
· Le meilleur moyen d'accroître la notoriété de l'Agence est de
mieux communiquer sur ses activités et de proposer d'autres moyens d'accès à
l'information sur ses activités.
· Les principaux facteurs de confiance envers l'Agence restent
également cohérents avec les résultats de l'année dernière; ils donnent
l'impression que l'ACIA "veille" aux intérêts des Canadiens et
qu'elle applique efficacement les réglementations en matière de sécurité
alimentaire.
· La confiance dans l'ACIA s'explique par
le fait que les consommateurs comprennent le mandat de l'Agence et que les
rappels d'aliments sont un exemple du bon fonctionnement du système
alimentaire.
Résumé quantitatif des affaires
L'objectif
de cette étude est de mesurer la réputation de l'ACIA auprès des principales
parties prenantes, à savoir les industries des secteurs alimentaire, végétal et
animal. Les organisations interrogées relèvent de la compétence de l'ACIA et
peuvent donc s'investir davantage auprès de l’Agence dans cadre de leurs
activités. Nous avons examiné la familiarité organisationnelle, la confiance
dans l'ACIA, ainsi que les mesures de communication et d'image de marque.
Une
nouvelle mesure de performance (NPS : Net Promoter Score) a été ajoutée à
l'enquête cette année afin d'obtenir une évaluation globale de l'ACIA par les
entreprises. Tous les secteurs d'activité ont donné des scores NPS assez
différents, les entreprises du secteur alimentaire ayant donné le score le plus
favorable (48 %), suivies par les entreprises du secteur végétal (33 %) et les
entreprises du secteur animal (23 %). La principale différence se situe au
niveau des notes négatives (notes de 0 à 6 sur l'échelle des détracteurs).
Nous
avons demandé aux entreprises canadiennes dans quelle mesure elles étaient
convaincues que les aliments, ainsi que les animaux et les plantes, étaient
protégés. Une majorité encourageante a donné une note de 89 % dans les trois
premières cases (5, 6 ou 7 sur une échelle de 7 points). Les entreprises du
secteur alimentaire ont attribué une note de confiance de 91 %, tandis que
celles du secteur animal et végétal ont obtenu des notes légèrement
inférieures, à savoir 85 % et 86 % respectivement. Un autre résultat rassurant
montre une grande confiance dans l'ACIA lorsqu'il s'agit d'évaluer le niveau de
confiance de leur entreprise dans la salubrité des aliments vendus au Canada ;
les trois premières cases (5, 6 ou 7 sur une échelle de 7 points) montrent un
niveau de confiance très élevé dans tous les segments en ce qui concerne la
salubrité des aliments au Canada (total 92%, aliments 93%, animaux 89%,
végétaux 89%).
Lorsqu'elles
évaluent l'ACIA en fonction d'un certain nombre d'attributs et d'énoncés de
valeurs, les entreprises du secteur de l'alimentation accordent à l'ACIA une
note plus élevée que les entreprises du secteur des plantes et des animaux.
Comme l'année dernière, les quatre énoncés relatifs au respect, à la
serviabilité et à l'équité ont obtenu les notes les plus élevées. Il est
encourageant de constater que les entreprises dont les propriétaires sont
autochtones ou dont plus de 50 % des employés appartiennent à une minorité
visible ont tendance à être beaucoup plus d'accord avec ces énoncés au sujet de
l'ACIA. Les messages de communication semblent bien atteindre ces groupes
minoritaires.
Une
analyse des facteurs clés a également été réalisée pour prédire les facteurs
les plus importants de la familiarité, de la confiance et de l'assurance des
entreprises à l'égard de l'Agence.
Les
principales conclusions de nos discussions avec les consommateurs et les
entreprises portent sur la diversité de leurs points de vue sur la sécurité
alimentaire et l'ACIA, ainsi que sur leurs implications pour l'Agence et sa
stratégie de communication.
Consommateurs
Nous
avons constaté que les consommateurs participants n'ont pas tous le même
intérêt pour l'alimentation en général, qu'ils sont plus ou moins préoccupés
par l'impact écologique et environnemental de la production alimentaire, qu'ils
sont plus ou moins tenus de s'adapter à l'augmentation du coût des denrées
alimentaires et qu'ils n'ont pas tous la même propension à faire confiance aux
organisations - à savoir les gouvernements et les entreprises alimentaires -
impliquées dans la fabrication et le contrôle des denrées alimentaires. Nous avons également constaté que les
Canadiens dont le régime alimentaire et la santé limitent ce qu'ils peuvent
manger ont des préoccupations particulières et uniques concernant les
ingrédients, la transparence et les pratiques alimentaires sûres dans
l'industrie, ce qui fait d'eux un public distinct. Au sens le plus simple, ces
influences contribuent à des conceptions largement divergentes de la sécurité
alimentaire, opposant ceux qui la considèrent essentiellement comme une
question d'éviter l'exposition à des agents pathogènes et leur menace immédiate
d'intoxication alimentaire, et ceux dont la conception inclut des menaces à
plus long terme pour la santé des êtres humains, de la société et de la
planète.
Une
implication particulièrement difficile dans ce tourbillon d'influences est que
les participants les détiennent dans des combinaisons différentes et à des
degrés divers - résultant en un mélange qui complique grandement la
communication de l'ACIA en direction du public.
En résumé, nos résultats qualitatifs suggèrent très clairement que la
réputation de l'ACIA est susceptible de s'améliorer si ces différences sont
prises en compte. Le présent rapport décrit ces différences en détail et donne
un aperçu de certaines des façons les plus évidentes dont les Canadiens peuvent
être regroupés en conséquence.
Opérateurs économiques
Les
opérateurs économiques avec lesquels nous nous sommes entretenus se sont
également révélés être un groupe hétérogène. Dans leur cas, nous avons constaté
que leurs points de vue sur la réglementation et l'ACIA varient en fonction de
leur taille, de leur maturité, de leur domaine d'activité particulier, du degré
auquel ils sont soumis à la surveillance réglementaire et, enfin, de leurs valeurs
organisationnelles. Nous avons constaté
que les grandes entreprises sont mieux équipées pour faire face à la
surveillance réglementaire et qu'elles modifient souvent leurs structures de
base en conséquence. Les grandes
entreprises - et en particulier celles qui sont fortement réglementées - sont
plus susceptibles d'avoir des personnes chargées spécifiquement de la
conformité réglementaire. Ces investissements en ressources humaines et
financières contribuent à l'accumulation de connaissances spécialisées sur les
réglementations et, dans certains cas, au développement de contacts personnels
avec le personnel de l'Agence, ce qui améliore considérablement leur capacité à
naviguer dans le processus de réglementation. Il n'est pas surprenant que ces grandes
entreprises soient plus susceptibles d'être autonomes dans leurs efforts pour
se tenir au courant des réglementations et des changements qui y sont liés, et
plus assertives dans la défense de leurs intérêts.
Les
petites entreprises et celles qui ont des contacts moins fréquents avec l'ACIA
sont très différentes. Nombre d'entre elles, si ce n'est la plupart, sont
préoccupées par la sécurisation de leur activité et y parviennent généralement
avec moins de ressources humaines et financières. Les exploitants de petites entreprises
semblent plus enclins à considérer les réglementations et la conformité comme
une priorité parmi d'autres et à traiter les réglementations de manière
réactive plutôt que proactive. Les problèmes des entreprises plus petites et moins
réglementées sont plus susceptibles d'être centrés sur la reconnaissance du
moment et des contextes dans lesquels elles sont soumises à des
réglementations, et sur les défis que représente le fait de suivre les
changements réglementaires. Bien que ces
petites entreprises semblent moins susceptibles de rencontrer des problèmes de
conformité (en grande partie parce qu'elles sont beaucoup moins surveillées),
certains éléments suggèrent que lorsqu'elles le sont, elles risquent de
commettre des infractions que les grandes entreprises pourraient éviter.
Enfin,
nous avons constaté que les entreprises, qu'elles soient petites ou grandes,
fortement ou moins fortement réglementées, étaient plus ou moins enclines à
considérer la conformité comme une valeur vertueuse. Certains des opérateurs avec lesquels nous
nous sommes entretenus considèrent clairement la conformité comme une bonne
chose pour les affaires ou simplement comme un bien social, et parfois les deux
à la fois. D'autres opérateurs ont
tendance à considérer la conformité comme un fardeau - auquel il faut résister
dans certains cas, plus comme une gêne dans d'autres cas, et dans d'autres cas,
comme un obstacle à l'exercice de l'activité dans un domaine particulier. Il n'est pas surprenant que la position d'une
entreprise par rapport à ces dimensions semble exercer une influence claire et
puissante sur la conformité, sur la qualité des communications avec l'Agence et
sur la réputation de l'Agence. Ce
rapport aborde également la diversité des entreprises de manière plus
détaillée.
En
définitive, ces résultats sur la différenciation des publics de consommateurs
et d'entreprises suggèrent que l'ACIA a la possibilité d'améliorer sa
réputation, ses relations commerciales et ses performances en apprenant
davantage sur la manière dont ces deux publics sont segmentés et en configurant
son travail en conséquence.