L’image est un diagramme à bandes horizontales empilées qui montre les pourcentages totaux exprimant la mesure dans laquelle 1 013 répondants sont en accord (le niveau d’accord) avec l’énoncé selon lequel le CRTC prend des mesures pour améliorer la sécurité et la protection des Canadiens dans le système de communication. Une liste d’activités que mène le CRTC est fournie avec la question; il s’agit donc d’une question avec aide. Plus précisément, voici la question 3 qui a été posée : « Si je vous disais que le CRTC met en œuvre des activités en lien avec : l’accès aux services 9-1-1, les messages d’avis d’urgence à la télé et à la radio, la Loi canadienne anti-pourriel, la protection contre les appels non sollicités ou de télémarketing, un code de conduite pour les fournisseurs de service sans fil et la protection contre les appels trompeurs durant les élections fédérales. Diriez-vous que vous êtes fortement d’accord, plutôt d’accord, plutôt en désaccord ou fortement en désaccord que le CRTC prend des mesures pour améliorer la sécurité et la protection des Canadiens au sein du système de communication? ». Le diagramme montre les résultats globaux et les résultats pour divers groupes démographiques, selon la région, l’âge, le sexe, le niveau d’études et la langue du questionnaire du sondage. De façon globale, 28 % se disent fortement d’accord, 45 % plutôt d’accord, 13 % plûtot en désaccord, 10 % fortement en désaccord et 4 % ont dit qu’ils ne savent pas, pour un total de 73 % de réponses favorables. Dans le Canada atlantique, 20 % se disent fortement d’accord, 56 % plutôt d’accord, ce qui constitue un résultat bien différent, 9 % sont plutôt en désaccord, 11 % fortement en désaccord, ce qui constitue un résultat bien différent, et 3 % ont dit qu’ils ne savent pas, pour un total de 76 % de réponses favorables. Au Québec, 44 % se disent fortement d’accord, ce qui constitue un résultat bien différent, 42 % plutôt d’accord, 7 % plutôt en désaccord, 3 % fortement en désaccord et 3 % ont dit qu’ils ne savent pas, pour un total de 87 % de réponses favorables. En Ontario, 21 % se disent fortement d’accord et 41 % plutôt d’accord. Vingt-deux (22) % des répondants en Ontario se disent plutôt en désaccord et 12 % fortement en désaccord. Ces deux derniers résultats sont bien différents. En Ontario, 4 % ont dit qu’ils ne savent pas, ce qui donne un total de 62 % de réponses favorables et constitue un résultat bien différent. Dans les Prairies, 22 % se disent fortement d’accord, 51 % plutôt d’accord, 8 % plutôt en désaccord, 13 % fortement en désaccord, ce qui constitue un résultat bien différent, et 6 % ont dit qu’ils ne savent pas, pour un total de 73 % de réponses favorables. En Colombie-Britannique, 28 % se disent fortement d’accord, 49 % plutôt d’accord, 10 % plutôt en désaccord, 8 % fortement en désaccord et 5 % ont dit qu’ils ne savent pas, pour un total de 77 % de réponses favorables. Chez les 18 à 34 ans et les 35 à 54 ans, 28 % se disent fortement d’accord, 46 % plutôt d’accord, 13 % plutôt en désaccord, 9 % fortement en désaccord et 4 % ont dit qu’ils ne savent pas. Chez les 18 à 34 ans, les réponses favorables représentent 74 %; chez les 35 à 54 ans, 71 %. Chez les 55 ans et plus, 29 % se disent fortement d’accord, 46 % plutôt d’accord, 11 % quelque peu en désaccord, 9 % fortement en désaccord et 5 % ont dit qu’ils ne savent pas, pour un total de 75 % de réponses favorables. Chez les hommes, 24 % se disent fortement d’accord, 45 % plutôt d’accord, 15 % plutôt en désaccord, 12 % fortement en désaccord et 4 % ont dit qu’ils ne savent pas, pour un total de 69 % de réponses favorables. Chez les femmes, 31 % se disent fortement d’accord, ce qui constitue un résultat bien différent, 46 % sont plutôt d’accord, 12 % sont plutôt en désaccord, 8 % fortement en désaccord et 4 % ont dit qu’elles ne savent pas, pour un total de 77 % de réponses favorables, ce qui constitue un résultat bien différent. Chez les étudiants, 30 % se disent fortement d’accord, 48 % plutôt d’accord, 13 % plutôt en désaccord, 7 % fortement en désaccord et 3 % ont dit qu’ils ne savent pas, pour un total de 78 % de réponses favorables. Chez les répondants qui ont au plus un niveau d’études secondaires, 28 % se disent fortement d’accord, 44 % plutôt d’accord, 13 % plutôt en désaccord, 10 % fortement en désaccord et 5 % ont dit qu’ils ne savent pas, pour un total de 72 % de réponses favorables. Chez les répondants qui ont un niveau d’études collégiales, 24 % se disent fortement d’accord, 49 % plutôt d’accord, 13 % plutôt en désaccord, 11 % fortement en désaccord et 3 % ont dit qu’ils ne savent pas, ce qui donne un total de 73 % de réponses favorables. Chez les répondants qui ont un niveau d’études universitaires, 29 % se disent fortement d’accord, 43 % plutôt d’accord, 14 % plutôt en désaccord, 10 % fortement en désaccord et 4 % ont dit qu’ils ne savent pas, ce qui donne un total de 73 % de réponses favorables. Chez les répondants anglophones, 23 % se disent fortement d’accord et 46 % plutôt d’accord. Quinze pour cent des répondants anglophones se disent plutôt en désaccord, 11 % fortement en désaccord et 5 % ont dit qu’ils ne savent pas. Ces trois derniers résultats sont bien différents. Ce qui donne un total de 69 % de réponses favorables. Chez les répondants francophones, 46 % se disent fortement d’accord, ce qui constitue un résultat bien différent, 44 % sont plutôt d’accord, 7 % quelque peu en désaccord et 3 % fortement en désaccord. Ce qui donne un total de 89 % de réponses favorables et constitue un résultat bien différent.