Rapport final
Préparé pour Emploi et Développement social Canada
Nom du fournisseur : Phoenix SPI
Numéro de contrat : G9292-204820/001/CY
Date d’attribution : 21/01/2020
Date de livraison : 05/01/2021
Valeur du contrat : 112 805,66 $ (taxes comprises)
Numéro d’enregistrement ROP : 071-19
Pour en savoir plus sur ce rapport, veuillez contacter EDSC à l’adresse nc-por-rop-gd@hrsdc-rhdcc.gc.ca
This report is also available in English on request.
Le présent rapport de recherche sur l’opinion publique présente les résultats d’une recherche qualitative menée pour explorer les obstacles à l’accès aux possibilités d’études et de travail à l’étranger pour les étudiants de niveau postsecondaire traditionnellement sous-représentés.
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© Sa Majesté la Reine du chef du Canada, 2021
Pour obtenir des renseignements sur les droits de reproduction : droitdauteur.copyright@HRSDC-RHDCC.gc.ca.
No de cat. : Em4-26/2021F-PDF
ISBN : 978-0-660-36890-0
ESDC
No de cat. : POR-108-05-21FE
Publications connexes :
Cat. No.: Em4-26/2021E-PDF
ISBN: 978-0-660-36889-4
EDSC
Cat. No.: POR-108-05-21EF
La Direction générale de l’apprentissage d’Emploi et Développement social Canada (EDSC) a embauché Phoenix Strategic Perspectives (Phoenix SPI) pour mener une recherche sur l’opinion publique (ROP) qualitative dans le cadre du projet pilote de mobilité étudiante vers l’étranger du Ministère.
1. But et objectifs de la recherch
Des études ont montré que les études à l’étranger augmentent l’employabilité (Universities UK International, 2017) et ont un impact positif sur le développement des compétences requises, y compris les capacités d’adaptation et de communication (Bureau canadien de l’éducation internationale, Un monde à apprendre, 2014). Pour inciter un plus grand nombre d’étudiants canadiens à étudier ou à travailler à l’étranger dans le cadre de leurs études postsecondaires, le budget 2019 prévoyait le lancement du projet pilote de mobilité étudiante vers l’étranger. Mené par EDSC, ce projet pilote a pour but d’aider les étudiants canadiens de niveau postsecondaire à acquérir les compétences nécessaires pour réussir dans l’économie mondiale grâce à des possibilités d’études et de travail à l’étranger.
Pour appuyer la conception et le succès de ce projet pilote, il fallait mener une recherche pour mieux comprendre les obstacles aux possibilités d’études ou de travail à l’étranger pour les étudiants canadiens. La Direction générale de l’apprentissage d’EDSC a donc chargé Phoenix SPI de mener une ROP pour mieux comprendre les obstacles que rencontrent les étudiants traditionnellement sous-représentés lorsqu’il s’agit d’étudier ou de travailler à l’étranger. Cette recherche avait pour objectif d’analyser le niveau de sensibilisation, les habitudes, les attitudes et les comportements à l’égard des possibilités d’études ou de travail à l’étranger, y compris les obstacles rencontrés par les étudiants traditionnellement sous-représentés.
2. Méthodologie
Le fournisseur a opté pour une approche de recherche qualitative pour atteindre les objectifs indiqués. Plus précisément, il a organisé 12 groupes de discussion en ligne et 20 entretiens téléphoniques individuels approfondis auprès de la population cible, à savoir les étudiants canadiens de premier cycle universitaire et des collèges, âgés de 18 ans ou plus, fréquentant un établissement d’enseignement postsecondaire canadien désigné. La population cible a été segmentée en deux groupes : les étudiants qui avaient participé à un programme d’études ou de travail à l’étranger et les étudiants qui n’avaient pas participé à un tel programme, mais qui étaient intéressés par un tel programme. La conception de cette recherche incluait des étudiants de divers horizons, y compris des étudiants traditionnellement sous-représentés dans l’enseignement postsecondaire (c’est-à-dire les étudiants issus de ménages à faibles revenus, les étudiants handicapés et les étudiants autochtones).
TDes intermédiaires tiers, comme Universités Canada (UnivCan), Collèges et instituts Canada, l’Association nationale des étudiant(e)s handicapé(e)s au niveau postsecondaire, Indspire et divers établissements d’enseignement postsecondaire canadiens, se sont mobilisés pour promouvoir cette étude auprès des étudiants potentiellement admissibles en utilisant des annonces en ligne et dans les médias sociaux. Le recrutement a commencé au début du mois de mars 2020. À la mi-mars, la COVID-19 a provoqué la suspension du recrutement, qui a pu reprendre en septembre 2020. Les groupes de discussion et les entretiens se sont déroulés du 7 septembre au 5 novembre 2020[1] Tous les participants percevaient des primes pour les remercier du temps qu’ils avaient consacré à cette recherche. Vous trouverez plus de précisions sur la méthodologie à l' annexe : Caractéristiques technique.
3. Limites et utilisation des résultats de la recherche
Cette recherche était qualitative et non quantitative. Une recherche qualitative vise à révéler un riche éventail d’opinions et d’interprétations et non à mesurer le pourcentage de la population cible ayant telle ou telle opinion. À ce titre, les résultats indiquent les points de vue des participants sur les questions posées, mais ces résultats ne peuvent être généralisés à l’ensemble de la population des étudiants ayant participé à des programmes d’études ou de travail à l’étranger ou qui souhaitent participer à de tels programmes. Compte tenu de ce qui précède, EDSC utilisera les résultats de cette recherche pour éclairer les approches politiques visant à accroître la participation des étudiants sous-représentés au nouveau projet pilote de mobilité étudiante vers l’étranger.
4. Principales constatations
Les étudiants de niveau postsecondaire citaient la possibilité de voyager à l’étranger comme la principale source de motivation (facteur clé) dans leur désir de participer à des programmes d’études ou de travail à l’étranger.
Lorsqu’on leur demandait pourquoi ils voulaient (ou voudraient) participer à un programme d’études ou de travail à l’étranger, les participants à la recherche citaient souvent la possibilité de voyager. Ils ont souvent utilisé des expressions comme « une grande possibilité », « une possibilité unique », « la possibilité de toute une vie » et « une possibilité qui ne se produit qu’une fois dans une vie » pour la décrire. Non seulement cela donne aux étudiants la possibilité de voyager à l’étranger, mais cela leur permet aussi de le faire dans un environnement « sûr », « structuré » ou « supervisé » (par exemple, dans le cadre d’un programme d’études international) et, pour beaucoup, de voyager à un moment de leur vie avant d’assumer des responsabilités, comme un emploi à plein temps et une famille.
Les participants à la recherche citaient les avantages suivants pour eux-mêmes, en tant qu’individus : le développement des compétences de vie, comme l’indépendance, l’esprit d’initiative, la confiance en soi et le fait d’apprendre comment interagir avec des gens de cultures diverses; une meilleure compréhension de soi, y compris la capacité à reconnaître leurs forces et leurs faiblesses; et l’épanouissement personnel, comme l’élargissement de leurs horizons en découvrant de nouveaux centres d’intérêt et en acquérant de nouvelles perspectives en voyageant à l’étranger.
S’agissant de leur vie universitaire ou professionnelle, les étudiants citaient les avantages suivants : l’acquisition de connaissances approfondies dans leur domaine d’études ou de travail en en faisant l’expérience dans un cadre différent ou en le voyant sous un autre angle; l’établissement de liens professionnels et l’amélioration de leur employabilité; l’acquisition ou l’amélioration de compétences liées à la carrière, comme les compétences linguistiques; et le renforcement de leur CV grâce à la possibilité d’y mentionner une expérience de travail ou d’études à l’étranger.
Les questions financières, les problèmes administratifs et le choc culturel étaient cités par les étudiants comme les principaux facteurs compliquant le processus décisionnel au moment d’envisager de participer à un programme d’études ou de travail à l’étranger.
Les considérations financières étaient systématiquement citées comme des questions importantes lorsqu’il s’agit de participer à un programme d’études ou de travail à l’étranger. Ces considérations faisaient généralement partie du processus de réflexion ayant orienté la décision de postuler ou non au programme, les participants au programme les citant systématiquement comme un facteur clé dans leur décision, et les non-participants les citant systématiquement comme un facteur clé les dissuadant de participer.
Parmi les autres obstacles ou difficultés qui compliquent le processus décisionnel, les participants mentionnaient les difficultés administratives et les appréhensions liées au choc culturel. Si l’on se penche d’abord sur les difficultés administratives, les étudiants ont souligné la complexité des exigences administratives et logistiques, parfois aggravées par un sentiment de manque de soutien de la part des établissements. Ces complexités étaient couramment associées à trois questions précises : le choix des cours dans l’établissement d’accueil, la demande de visa et la recherche d’un logement à l’étranger, les participants ayant souvent constaté qu’ils devaient résoudre ces questions par eux-mêmes ou avec peu d’aide de la part de leur établissement ou de l’établissement d’accueil.
Bien que moins d’étudiants aient abordé cette question, l’inquiétude et l’anxiété que suscitent les éventuels obstacles culturels au moment d’étudier ou de travailler à l’étranger étaient l’un des facteurs compliquant le processus décisionnel pour un certain nombre de participants à la recherche. Cet élément était souvent associé à un obstacle linguistique potentiel et à une incertitude quant à la mesure dans laquelle ils pourraient s’en sortir en parlant anglais.
Les étudiants ont collectivement recensé une panoplie d’obstacles ou d’entraves découlant de la COVID-19 auxquels une personne pourrait être confrontée au moment de participer à un programme d’études ou de travail à l’étranger.
Après avoir abordé les difficultés et les obstacles liés à l’accès aux possibilités d’études et de travail à l’étranger, les participants à la recherche ont été invités à examiner l’impact de la COVID-19. Les difficultés et les obstacles liés à la pandémie comprenaient : la réduction ou l’annulation de programmes; les restrictions de voyage (par exemple, les pays fermant leurs frontières ou ne délivrant plus de visas, les établissements se retirant des programmes d’échanges internationaux); les exigences nouvelles ou supplémentaires des programmes ou des voyages (par exemple, les exigences plus strictes pour l’obtention d’un visa, la vaccination obligatoire en cas de disponibilité d’un vaccin, l’imposition de restrictions de voyage pendant le séjour dans le pays d’accueil); et les contraintes financières, comme l’augmentation des frais de voyage (en supposant que les voyages dans d’autres pays sont autorisés) ainsi que la perte d’emploi ou le manque de possibilités d’emploi (entraînant la perte d’un revenu qui servait à financer la participation à un programme d’études ou de travail à l’étranger).
La plupart des participants à la recherche étaient d’avis que les étudiants étaient assez largement informés des programmes d’études ou de travail à l’étranger, mais que cette information était de nature générale.
Lorsqu’on leur demandait de réfléchir à ce qui pourrait être fait pour que les étudiants soient informés des programmes d’études et de travail à l’étranger, les participants à la recherche ont eu tendance à se concentrer sur les canaux utilisés pour diffuser l’information, notamment les médias sociaux, les courriers électroniques des étudiants, les kiosques ou les stands présents lors des principaux événements (par exemple, la semaine d’orientation, les foires internationales) et la publicité dans les zones très fréquentées du campus. Certains ont également recommandé que cette information soit diffusée dès le début des efforts de recrutement dans les écoles secondaires, lors des visites des campus par les futurs étudiants potentiels et au cours des toutes premières semaines de l’année scolaire. Enfin, pour veiller à ce que les possibilités d’études et de travail à l’étranger restent au premier plan des préoccupations des étudiants tout au long de leur cursus universitaire, certains ont cité la diffusion plus fréquente de l’information comme un moyen d’y parvenir. Les deux moyens de communication préférés étaient les médias sociaux et les courriers électroniques.
5. Conclusions et conséquences
Les étudiants ayant participé à cette recherche citaient la possibilité de voyager comme l’un des principaux attraits des programmes d’études ou de travail à l’étranger. Par conséquent, l’orientation que prendront les programmes d’études ou de travail à l’étranger dans le contexte post-pandémie devra tenir compte de deux défis clés liés aux voyages.
Tout d’abord, dans la mesure où les établissements d’enseignement postsecondaire se tournent vers la prestation des cours en ligne ou envisagent de le faire dans le contexte post-pandémie, l’un des défis consistera à souligner les avantages et les bienfaits d’un programme dépourvu de l’un de ses principaux attraits (à savoir la possibilité de voyager). Les avantages potentiels d’une approche en ligne, ou de mobilité virtuelle, comprennent sa capacité à surmonter, voire à éliminer, les principaux obstacles à la participation au programme cités par les étudiants : obstacles financiers, appréhensions liées au choc culturel, anxiété ou peur de la solitude et inquiétudes quant à un éventuel retard dans l’obtention du diplôme ou le programme d’études national pendant le séjour à l’étranger. En l’absence de voyage, la question sera de savoir dans quelle mesure l’élimination de ces obstacles au prix de l’élimination de la composante « voyage » rendra la participation au programme plus ou moins attrayante. Dans cette optique, il convient d’accorder une attention particulière aux avantages et aux aspects positifs de la mobilité virtuelle lors de la promotion de ces programmes auprès des étudiants.
Par ailleurs, lorsque la composante « voyage » des programmes d’études ou de travail à l’étranger sera relancée dans un contexte post-pandémie, le défi consistera à élaborer des outils, des ressources et des services pour répondre aux préoccupations précises exprimées par les étudiants au sujet de ces programmes. Il s’agira notamment de répondre aux préoccupations concernant la possibilité de se trouver à l’étranger lors d’une nouvelle éclosion et des exigences administratives supplémentaires liées aux voyages internationaux en général, et aux programmes d’études ou de travail à l’étranger en particulier.
Il sera particulièrement important de répondre aux préoccupations concernant la possibilité de se trouver à l’étranger lors d’une nouvelle éclosion pour deux raisons principales : la solitude ou le mal du pays étaient parmi les inconvénients les plus fréquemment cités à propos des expériences à l’étranger des étudiants; l’anxiété ou la peur ont été citées parmi les obstacles potentiels les plus importants à la participation. De telles préoccupations seraient sans aucun doute renforcées si les appréhensions liées à une nouvelle épidémie, comme le fait d’être mis en quarantaine à l’étranger et de ne pas pouvoir rentrer chez soi, n’étaient pas correctement prises en compte.
Il sera également important de répondre aux préoccupations concernant les exigences administratives supplémentaires. L’un des facteurs compliquant le processus décisionnel le plus souvent cité était la complexité des exigences administratives et logistiques. Étant donné que les étudiants ont l’impression que les exigences existantes sont complexes et qu’ils sont souvent laissés à eux-mêmes dans ce domaine, il sera essentiel d’essayer de trouver des moyens de minimiser les complications potentielles résultant de toute exigence administrative ou logistique supplémentaire dans un contexte post-pandémie.
Les futurs domaines de recherche à envisager comprennent, entre autres, la mobilité virtuelle, les mesures incitatives et le marketing. Premièrement, une recherche pourrait être menée pour favoriser le développement de la programmation virtuelle (c’est-à-dire, à quoi pourrait ressembler un tel programme pour les participants) et déterminer quelles mesures incitatives, le cas échéant, seraient nécessaires pour tenir compte de la perte de l’expérience de voyage (c’est-à-dire, comment motiver la participation des étudiants en l’absence de voyage, l’un des principaux attraits des programmes d’études ou de travail à l’étranger). Deuxièmement, une recherche permettrait de déterminer les meilleurs moyens pour faire la promotion des programmes virtuels d’études ou de travail à l’étranger auprès des étudiants, tant ceux qui sont prédisposés à voyager ou à travailler à l’étranger que ceux qui n’ont peut-être pas réfléchi aux avantages d’un tel programme, surtout compte tenu de la COVID-19.
6. Valeur du contrat
La valeur du contrat se chiffrait à 112 805,66 $ (taxes comprises).
La Direction générale de l’apprentissage d’EDSC a embauché Phoenix SPI pour mener une ROP qualitative dans le cadre du projet pilote de mobilité étudiante vers l’étranger du Ministère. Phoenix SPI a l’honneur de présenter les résultats de cette recherche dans le présent rapport.
Des études ont montré que les études à l’étranger augmentent l’employabilité (Universities UK International, 2017) et ont un impact positif sur le développement des compétences requises, y compris les capacités d’adaptation et de communication (Bureau canadien de l’éducation internationale, Un monde à apprendre, 2014). Étudier ou travailler à l’étranger peut également aider les étudiants à développer de solides réseaux internationaux et à approfondir leur compréhension des régions économiques importantes pour le Canada.
En dépit des retombées positives potentielles liées à des études à l’étranger, peu d’étudiants canadiens étudient ou travaillent à l’étranger par rapport aux étudiants de pays comparables (Groupe d’étude sur l’éducation mondiale, 2017). Les étudiants canadiens déclarent se heurter à plusieurs obstacles pour étudier à l’étranger, notamment le coût (coût financier et coût d’option) et les obstacles non financiers, comme des préoccupations concernant le transfert des crédits ou le fait de savoir si une expérience à l’étranger retardera l’obtention du diplôme (Bureau canadien de l’éducation internationale, Dossier spécial sur les études à l’étranger, 2016). Les étudiants sous-représentés peuvent être confrontés à d’autres obstacles, comme les coûts supplémentaires liés aux déplacements depuis des zones rurales ou éloignées, ou encore le besoin d’équipements spécialisés pour les étudiants handicapés. Cependant, peu de recherches existent concernant les obstacles à l’accès aux possibilités d’études et de travail à l’étranger pour les étudiants traditionnellement sous-représentés qui fréquentent des établissements d’enseignement postsecondaire au Canada.
Pour encourager un plus grand nombre d’étudiants canadiens à partir étudier ou travailler à l’étranger dans le cadre de leurs études postsecondaires, le budget 2019 prévoyait, dans le cadre de la nouvelle Stratégie en matière d’éducation internationale (SEI) du gouvernement du Canada, le lancement du projet pilote de mobilité étudiante vers l’étranger, doté d’une enveloppe de 95 millions de dollars sur cinq ans. Mené par EDSC, ce projet pilote a pour but d’aider les étudiants canadiens de niveau postsecondaire à acquérir les compétences nécessaires pour réussir dans l’économie mondiale grâce à des possibilités d’études et de travail à l’étranger. Le ministère travaille avec Universités Canada et Collèges et instituts Canada à l’élaboration et à la mise en œuvre du projet pilote par l’intermédiaire d’ententes de contribution et en tenant compte des nouvelles circonstances à la lumière de la COVID-19. Au total, 50 % des fonds destinés au nouveau projet pilote seront consacrés à des initiatives soutenant les étudiants traditionnellement sous-représentés dans l’enseignement postsecondaire. Ces étudiants comprennent ceux issus de familles à faible revenu, les étudiants autochtones et les étudiants handicapés.
Pour appuyer la conception et le succès de ce projet pilote, il fallait mener une recherche pour mieux comprendre les obstacles aux possibilités d’études ou de travail à l’étranger pour les étudiants canadiens. La Direction générale de l’apprentissage d’EDSC a donc chargé Phoenix SPI de mener une ROP pour mieux comprendre les obstacles que rencontrent les étudiants traditionnellement sous-représentés lorsqu’il s’agit d’étudier ou de travailler à l’étranger. Cette recherche avait pour objectif d’analyser le niveau de sensibilisation, les habitudes, les attitudes et les comportements à l’égard des possibilités d’études ou de travail à l’étranger, y compris les obstacles rencontrés par les étudiants traditionnellement sous-représentés dans l’enseignement postsecondaire.
On utilisera les résultats de cette recherche pour éclairer les approches politiques visant à accroître la participation des étudiants sous-représentés au nouveau projet pilote de mobilité étudiante vers l’étranger. Plus précisément, la Direction générale de l’apprentissage utilisera ce projet de recherche pour : 1) éclairer la conception et la mise en œuvre des politiques et des services tout en renforçant les options politiques recommandées; 2) recenser les actions qui pourraient être élargies ou étendues par l’intermédiaire des programmes actuels ou de nouvelles initiatives; 3) mettre au point une base de connaissances et des leçons apprises à propos des méthodes nouvelles et innovantes en matière de prestation de services.
Nous avons organisé 12 groupes de discussion en ligne et 20 entretiens téléphoniques individuels approfondis auprès de la population cible, à savoir les étudiants canadiens de premier cycle universitaire et des collèges, âgés de 18 ans ou plus, fréquentant un établissement d’enseignement postsecondaire canadien désigné. La population cible a été segmentée en deux groupes : les étudiants qui avaient participé à un programme d’études ou de travail à l’étranger et les étudiants qui n’avaient pas participé à un tel programme, mais qui étaient intéressés par un tel programme. La conception de cette recherche incluait des étudiants de divers horizons, y compris des étudiants traditionnellement sous-représentés dans l’enseignement postsecondaire (c’est-à-dire les étudiants issus de ménages à faibles revenus, les étudiants handicapés et les étudiants autochtones).
Pour cette recherche, le recrutement a commencé au début du mois de mars 2020 et s’est déroulé avec l’aide d’intermédiaires tiers. Ces intermédiaires tiers, comme Universités Canada, Collèges et instituts Canada, l’Association nationale des étudiant(e)s handicapé(e)s au niveau postsecondaire, Indspire et divers établissements d’enseignement postsecondaire canadiens, se sont mobilisés pour promouvoir cette étude auprès des étudiants potentiellement admissibles en utilisant des annonces en ligne et dans les médias sociaux. Ces annonces (dont des exemples sont présentés à l' annexe : Annonces de recrutement) dorientaient les élèves intéressés vers un écran de présélection en ligne qui était utilisé pour identifier des étudiants correspondant aux critères de la recherche. À la mi-mars, la COVID-19 a provoqué la suspension du recrutement.
Il a pu reprendre en septembre 2020 (pour coïncider avec l’année universitaire 2020-2021). Les groupes de discussion et les entretiens se sont déroulés du 7 septembre au 5 novembre 2020 . Les participants avaient la possibilité de répondre aux questions dans la langue officielle de leur choix. Au total, 100 étudiants ont participé à cette recherche. Les participants aux groupes de discussion percevaient des primes de 150 dollars et les participants aux entretiens des primes de 100 dollars pour les remercier du temps qu’ils avaient consacré à cette recherche. Vous trouverez plus de précisions sur la méthodologie à l' annexe : Caractéristiques techniques.
La présente section comprend des renseignements généraux et contextuels à propos des participants à un programme (c’est-à-dire les étudiants qui ont profité d’une possibilité d’études ou de travail à l’étranger par l’intermédiaire de leur établissement d’enseignement postsecondaire), et des non-participants (les étudiants qui ont exprimé leur souhait de profiter d’une possibilité d’études ou de travail à l’étranger par l’intermédiaire de leur établissement d’enseignement postsecondaire).
Étudiants plus susceptibles d’étudier que de travailler à l’étranger; la plupart ont déclaré que leur programme était lié à leurs études.
Les participants à un programme étaient un peu plus susceptibles d’avoir étudié à l’étranger que d’avoir travaillé à l’étranger, tandis que quelques-uns ont décrit le programme auquel ils ont participé comme comprenant à la fois des études et un travail.
La plupart de ceux qui ont étudié à l’étranger ont décrit leurs études comme « transférables » ou « donnant droit à des crédits », ce qui signifie que la réussite de leurs études ou de leurs cours à l’étranger comptait pour le respect des exigences liées à leur programme d’études. C’était le cas pour tous les étudiants des universités ayant étudié à l’étranger. La situation des étudiants des collèges était différente dans le sens où, alors que certains décrivaient leurs études à l’étranger comme « donnant droit à des crédits », d’autres les décrivaient comme un voyage d’études à l’étranger dirigé par un membre du corps enseignant qui ne donnait pas droit à des crédits dans le cadre de leur programme.
La plupart des participants ayant travaillé à l’étranger ont décrit leur expérience professionnelle comme répondant à une exigence du programme (c’est-à-dire qu’ils étaient inscrits à un programme coopératif comprenant un stage obligatoire). Le stage en question pouvait être effectué au Canada ou à l’étranger, et ils avaient choisi de le faire à l’étranger. Quelques participants ayant travaillé à l’étranger ont décrit leur expérience professionnelle comme une possibilité de stage international ou une option de travail à l’étranger qui comptait pour l’obtention de crédits, mais qui n’était pas obligatoire. Dans certains cas, l’expérience de travail à l’étranger était rémunérée, tandis que dans d’autres (comme la possibilité de stage international ou l’option de travail à l’étranger facultative), elle n’était pas rémunérée.
Parmi les participants ayant travaillé et étudié à l’étranger, il y avait ceux qui avaient été acceptés dans un programme international spécial comprenant un volet de travail et d’études « donnant droit à des crédits », et ceux qui étaient inscrits à un programme d’études comprenant un stage devant être effectué au Canada ou à l’étranger. Dans chaque cas, le volet professionnel du programme était décrit comme non rémunéré.
Les étudiants des universités passent généralement plus de temps à l’étranger que les étudiants des collèges.
Nous avons constaté une différence notable entre les étudiants des universités et les étudiants des collèges en ce qui concerne la durée de leur programme d’études ou de travail à l’étranger. Les étudiants des universités décrivaient la durée de leur séjour à l’étranger en termes de mois. Cette durée variait de deux mois et demi à douze mois, la plupart d’entre eux déclarant avoir séjourné à l’étranger pour une période comprise entre quatre et six mois. De plus, les étudiants universitaires qui avaient passé moins de trois mois à l’étranger ont expliqué qu’ils avaient été obligés de revenir plus tôt en raison de la pandémie.
En comparaison, presque tous les étudiants des collèges ont décrit la durée de leur séjour à l’étranger en termes de jours ou de semaines, cette durée allant pour la plupart d’un peu plus d’une semaine à six semaines. Seuls quelques étudiants des collèges ont déclaré être restés à l’étranger plus longtemps, la plus longue durée étant un stage de dix mois.
Lieu du programme d’étude ou de travail : principalement en Europe occidentale.
Les participants à un programme étaient plus susceptibles d’être allés dans un pays d’Europe occidentale, et la plupart de ceux qui n’y étaient pas allés s’étaient rendus dans un pays d’Extrême-Orient (c’est-à-dire la Chine, le Japon, Hong Kong, la Corée du Sud), en Australie ou en Nouvelle-Zélande. Certains participants se sont rendus dans d’autres pays, notamment aux États-Unis, en Afrique, à Cuba et en Amérique latine.
La plupart des participants à un programme ont pu se rendre dans la destination de leur choix.
La plupart des participants à un programme ont déclaré que le pays où ils s’étaient rendus pour leur programme d’études ou de travail à l’étranger était leur premier choix. Ceux pour lesquels ce n’était pas le cas ont expliqué pourquoi en indiquant l’une des raisons suivantes :
Certains participants ont expliqué qu’ils n’avaient pas le choix (c’est-à-dire que leur possibilité d’étudier à l’étranger se limitait à une seule destination).
Différents facteurs influencent le choix du pays de destination.
Divers facteurs avaient une incidence ou une influence sur le pays choisi par les participants pour étudier ou travailler, et ces derniers citaient souvent plus d’un facteur influençant leur choix. Les raisons suivantes étaient couramment citées :
Un certain nombre d’autres facteurs influençant le choix d’un pays ont été cités moins fréquemment, et notamment les suivants :
Comme nous l’indiquions précédemment, certains participants ont expliqué qu’ils n’avaient pas le choix et que, par conséquent, le choix du pays était prédéterminé pour eux.
Des étudiants souhaitant étudier ou travailler à l’étranger et intéressés par les mêmes lieux que les participants, pour des raisons semblables.
Tous les non-participants ont exprimé un intérêt au moins modéré pour la participation à un programme d’études ou de travail à l’étranger, et la plupart ont indiqué qu’ils étaient très intéressés par une telle possibilité. Si la plupart ont exprimé le désir d’étudier à l’étranger, certains ont exprimé le désir de travailler à l’étranger. Certains non-participants ont déclaré que, dans une certaine mesure, leur niveau d’intérêt avait diminué à cause de la pandémie, mais pas au point de ne plus vouloir y participer.
À l’instar des participants au programme, la plupart des étudiants intéressés par des études ou un travail à l’étranger ont exprimé le désir de se rendre dans un pays d’Europe occidentale, et relativement peu se sont montrés intéressés par d’autres régions. La liste complète des pays dans lesquels les participants se sont rendus et que les non-participants souhaitaient visiter se trouve à l' annexe : Destinations de voyage. Les non-participants ressemblaient également aux participants concernant les facteurs ayant des répercussions ou une influence sur leur choix d’un pays pour étudier ou travailler (voir ci-dessus).
Presque tous les non-participants disent que leur établissement offre une possibilité d’étudier ou de travailler à l’étranger.
Presque tous les non-participants ont déclaré que leur établissement d’enseignement postsecondaire offrait aux étudiants la possibilité d’étudier ou de travailler à l’étranger, mais quelques-uns ont précisé que leur établissement n’offrait pas de telles possibilités dans leur programme particulier. Deux ou trois ont déclaré qu’ils n’étaient pas certains que leur établissement offrait de telles possibilités, car ils n’avaient pas pu trouver de renseignements à ce sujet jusqu’à présent.
Les connaissances du programme d’études ou de travail à l’étranger proposé par leur établissement d’enseignement postsecondaire ont tendance à être relativement limitées, allant de connaissances de base quant à l’existence du programme à des connaissances sur certains éléments fondamentaux, notamment les suivants :
Quelques-uns ont indiqué qu’ils connaissaient bien le processus de demande, ayant déjà postulé pour le programme, tandis que d’autres ont déclaré qu’ils connaissaient bien le programme, ayant fait des recherches approfondies en ligne à ce sujet.
Au moins dans une certaine mesure, les non-participants s’étaient penchés sur les possibilités.
La plupart des non-participants ont indiqué qu’ils avaient pris au moins une mesure en vue d’une éventuelle participation à un programme d’études ou de travail à l’étranger. Il s’agissait notamment des mesures suivantes :
Quelques non-participants ont indiqué qu’ils n’avaient pris aucune mesure supplémentaire en raison de la suspension du programme liée à la COVID-19.
La présente section recense les commentaires des participants et des non-participants sur les questions qui éclairent leur prise de décision concernant leur participation ou non à un programme d’études ou de travail à l’étranger.
Activités de sensibilisation et bouche-à-oreille – principale source de sensibilisation aux programmes d’études ou de travail à l’étranger.
Les participants au programme ont appris ou découvert l’existence d’une possibilité d’étudier ou de travailler à l’étranger de diverses manières, mais ils étaient plus susceptibles d’avoir reçu ces premiers renseignements au sein de leur établissement d’enseignement postsecondaire ou par son intermédiaire que dans le cadre de recherches actives de leur part à leur arrivée dans l’établissement. Ceux ayant reçu ces renseignements au lieu de les rechercher activement les avaient généralement obtenues dans le cadre d’une activité de sensibilisation ou de communication ou par le bouche-à-oreille.
Voici certaines des activités de sensibilisation ou de communications régulièrement citées :
Voici certaines des sources de bouche-à-oreille régulièrement citées :
Certains participants ont déclaré avoir pris connaissance du programme pour la première fois en consultant le site Web de leur établissement de manière générale (c’est-à-dire qu’ils ne cherchaient pas précisément de renseignements sur les possibilités d’études ou de travail à l’étranger).
Les participants qui ont activement recherché ces renseignements ont expliqué qu’ils connaissaient l’existence de ces programmes avant d’arriver dans leur établissement. Ces étudiants avaient pris connaissance de ces possibilités grâce aux efforts de recrutement de l’établissement au sein de leur lycée ou grâce à des frères, à des sœurs ou à des connaissances plus âgés qui y avaient participé. Par conséquent, ils ont commencé à rechercher ces renseignements dès leur arrivée dans leur établissement.
Les étudiants ont indiqué un certain nombre de raisons pour lesquelles ils souhaitaient participer à un tel programme.
Les étudiants citaient la possibilité de voyager à l’étranger comme la principale source de motivation (facteur clé) dans leur désir de participer à des programmes d’études ou de travail à l’étranger. Ils ont souvent utilisé des expressions comme « une grande possibilité », « une possibilité unique », « la possibilité de toute une vie » et « une possibilité qui ne se produit qu’une fois dans une vie » pour la décrire. Voici quelques variations sur ce thème :
En plus du voyage, les participants aux programmes d’études ou de travail à l’étranger et les personnes intéressées par un tel programme ont collectivement cité une série d’autres raisons pour expliquer leur intérêt pour un tel programme, beaucoup d’entre eux indiquant plus d’une source de motivation. Les sources de motivation fréquemment citées comprenaient les suivantes :
Parmi les autres sources de motivation, citons le fait d’être persuadé par un ami, un professeur ou un conseiller pédagogique de postuler, le désir d’avoir la possibilité d’améliorer ses compétences linguistiques et l’exploration de possibilités en matière d’études supérieures. En ce qui concerne les études supérieures, il s’agissait ici de montrer qu’étudier à l’étranger permettait d’explorer les options ou des possibilités d’études dans un autre pays et que l’expérience des études internationales était un atout pour une candidature à un poste destiné à des diplômés.
Les avantages perçus de la participation à un programme d’études ou de travail à l’étranger sont semblables aux sources de motivation.
Les participants et les non-participants citaient régulièrement divers avantages qu’ils espéraient ou pensaient retirer de leur participation à un programme d’études ou de travail à l’étranger. Il n’est pas surprenant de constater que les avantages cités étaient semblables ou liés aux facteurs qui les avaient poussés à vouloir participer à un tel programme. Ces avantages comprenaient :
Bien que cela puisse aller de soi, il convient de souligner que ces avantages, et en particulier les trois premiers, étaient couramment associés aux voyages à l’étranger. En d’autres termes, l’expérience du voyage était la condition sine qua non ou nécessaire à l’obtention de ces avantages.
Un certain nombre de facteurs influençaient les décisions des étudiants.
Sans surprise, les participants et les non-participants ont tenu compte de divers facteurs au moment d’envisager la possibilité d’étudier ou de travailler à l’étranger. En décrivant le processus de réflexion ayant guidé leur décision de postuler ou non au programme, ils mettaient systématiquement l’accent sur les types de considérations ci-dessous et les questions connexes :
Parfois, ces considérations prenaient plutôt la forme d’une appréhension de voir le souhait de participer à un tel programme donner lieu à une désapprobation par les parents.
Le caractère unique de l’occasion et les ressources financières – des facteurs clés pour la simplification du processus décisionnel.
Les participants à un programme ont collectivement cité une série de facteurs facilitant ou simplifiant leur processus décisionnel, mais deux facteurs étaient cités plus fréquemment. Le premier était le caractère unique de l’occasion offerte par un tel programme. Comme nous l’indiquions précédemment, parmi les principales sources de motivation poussant les étudiants à vouloir participer à un programme d’études ou de travail à l’étranger, il est possible de citer les occasions uniques qu’un tel programme peut offrir, comme la possibilité de voyager à l’étranger, d’étudier à l’étranger (tout en payant les frais de scolarité canadiens), de vivre une expérience à l’extérieur du pays, de développer des compétences de vie et de tirer d’éventuels avantages liés à sa carrière.
Les étudiants qui ont participé à des programmes d’études ou de travail à l’étranger soulignaient souvent ces mêmes éléments comme des facteurs de simplification du processus décisionnel. L’autre facteur était le fait de disposer (ou la perspective de disposer) de ressources financières suffisantes (y compris l’obtention d’une aide financière) pour couvrir les coûts liés à la participation à un tel programme. Vous trouverez ci-après certains des autres facteurs de simplification couramment cités.
Quelques participants handicapés ont déclaré que leur processus décisionnel avait été facilité grâce aux garanties formulées par l’établissement d’accueil en matière d’hébergement, tandis qu’un autre a déclaré que le processus décisionnel avait été facilité par le fait de s’être vu affecter une personne-ressource au sein du bureau des études à l’étranger de son établissement et dans l’établissement d’accueil.
Voici d’autres facteurs de simplification du processus décisionnel cités par un nombre plus limité de participants : une expérience antérieure de voyage à l’étranger, notamment le fait d’avoir déjà voyagé dans le pays en question; le fait d’avoir rencontré des étudiants provenant de l’établissement d’accueil; le fait de parler avec des étudiants étrangers évoluant dans leur propre établissement d’enseignement postsecondaire; le fait de comprendre ou de parler la langue du pays où ils allaient étudier ou travailler; le fait que l’emploi du temps ou le calendrier du programme correspondait bien avec le calendrier scolaire ou le semestre de leur établissement d’enseignement postsecondaire d’origine (par exemple, étudier à l’étranger pendant la période estivale, voyager à l’étranger pendant une pause entre deux périodes de cours au collège).
Les questions financières, les problèmes administratifs et le choc ou les obstacles culturels – principaux facteurs compliquant le processus décisionnel.
Les obstacles, les défis ou les difficultés compliquant le processus décisionnel des participants au programme tendaient à être l’exact opposé des facteurs de simplification de ce même processus. Ils comprenaient :
Voici certains des facteurs de complication du processus décisionnel cités par un nombre plus restreint de participants au programme :
Les participants au programme étaient généralement en mesure de trouver des solutions adéquates aux problèmes ou aux complications liés au processus de demande. Les problèmes pour lesquels des solutions étaient le plus souvent trouvées, au moins dans une certaine mesure, étaient les problèmes d’ordre financier, la solution prenant la forme d’une aide financière, quelle qu’elle soit.
Les opinions des non-participants concernant les « avantages » et les « inconvénients » d’une candidature à un programme d’études ou de travail à l’étranger sont variées.
Les non-participants ont été invités à faire part des considérations ou des facteurs qui les ont le plus incités à envisager de postuler pour un séjour d’études ou de travail à l’étranger, et ceux qui les ont le plus dissuadés à le faire.
S’agissant des facteurs les ayant le plus incités à envisager de postuler pour un programme d’études ou de travail à l’étranger, les opinions des non-participants correspondaient à celles des participants au programme, et en particulier pour deux de ces facteurs. Les non-participants étaient également enclins à souligner le caractère unique de l’occasion offerte par ces programmes, et ce pour des raisons semblables à celles invoquées par les participants aux programmes (abordées ci-dessus). De même, tout comme les participants au programme, ils ont fréquemment indiqué que la possibilité d’une aide financière ou les possibilités de financement avaient une influence sur leur décision de postuler pour un séjour d’études ou de travail à l’étranger.
S’agissant des facteurs les ayant le plus dissuadés d’envisager de postuler pour un programme d’études ou de travail à l’étranger, les opinions des non-participants correspondaient aussi à celles des participants au programme, et en particulier pour certains facteurs. Comme les participants au programme, ils ont fréquemment cité des considérations financières, même s’ils avaient tendance à y accorder plus d’importance que les participants et à mettre davantage l’accent sur la perte de revenus ou sur l’obligation de s’absenter de son travail comme des facteurs « dissuasifs ». Leurs réponses faisaient également écho à celles des participants au programme concernant les préoccupations ou les craintes liées au choc culturel ou à la présence d’obstacles culturels comme des facteurs « dissuasifs ». Enfin, à l’instar des participants au programme (et pour des raisons similaires), certains non-participants ont cité le processus de demande comme un facteur « dissuasif ».
En revanche, les non-participants se distinguaient des participants sur certains points essentiels. Les questions domestiques étaient notamment un facteur « dissuasif » plus influent. Ces questions comprenaient notamment le fait d’être dissuadés par ses parents pour des raisons de sécurité, le fait d’avoir des responsabilités familiales en tant qu’aidants naturels ou la nécessité de trouver un logement à l’étranger pour un conjoint et des enfants. Les non-participants se distinguaient également des participants en présentant comme des facteurs « dissuasifs » les mauvaises notes et le manque de possibilités en matière d’études ou de travail à l’étranger. En ce qui concerne ce dernier point, certains ont parfois observé que les seules possibilités, ou la plupart des possibilités disponibles, se limitaient à la première année. Enfin, et ce n’est pas surprenant, la COVID-19 a été exclusivement été cité par les non-participants comme un facteur dissuasif. Cette question est abordée ci-dessous, à la section intitulée Obstacles potentiels.
Nombre de non-participants ont déclaré s’être renseignés sur les aides ou les ressources accessibles pour remédier à ces difficultés, et notamment sur les demandes d’aide financière et le processus de demande. Généralement, ils avaient obtenu des renseignements sur les sources possibles d’aides financières ou les options de financement. Certains de ceux qui n’avaient pas cherché de renseignements à ce sujet ont expliqué qu’ils ne l’avaient pas fait parce que le programme était interrompu en raison de la pandémie, ou parce qu’ils ne s’étaient pas encore pleinement engagés à postuler. D’autres ont déclaré ne pas l’avoir fait parce qu’ils avaient des problèmes insolubles (c’est-à-dire, une faible moyenne pondérée cumulative, un manque d’options ou des possibilités limitées, une incapacité à emmener leur conjoint et leurs enfants à l’étranger).
Un large éventail de renseignements, d’outils et de ressources ont été consultés dans le cadre du processus décisionnel.
Les participants et les non-participants au programme ont recensé diverses sources consultées dans le cadre de leur processus décisionnel, mais ils se sont principalement appuyés sur des renseignements ou des ressources fournis par leur propre établissement d’enseignement postsecondaire. La source d’information ou les ressources de l’établissement les plus fréquemment citées étaient le site Web de leur établissement ou le site Web du programme d’études international ou du programme d’études à l’étranger. En plus du site Web de l’établissement, les participants citaient régulièrement deux autres sources d’information de l’établissement :
Voici certaines des ressources ou sources d’information en dehors de l’établissement d’enseignement postsecondaire fréquemment citées par les participants :
Parmi les autres sources d’information consultées dans le cadre du processus décisionnel figuraient les parents, des proches vivant dans les destinations choisies, des étudiants et des professeurs des établissements d’accueil, ainsi que des étudiants étrangers en échange dans leur propre établissement d’enseignement postsecondaire. Certains participants autochtones ont déclaré avoir consulté leur conseil de bande pour obtenir des renseignements sur une éventuelle aide financière.
Les non-participants ayant consulté des personnes ou dialogué avec celles-ci ont déclaré que leurs discussions avaient tendance à se concentrer sur les points suivants : les avantages et les inconvénients de la participation au programme; les exigences, les échéances ou les délais; le financement ou le coût; et les options ou les possibilités offertes par leur établissement.
La plupart s’estimaient suffisamment informés à propos du programme d’études ou de travail à l’étranger.
La plupart des étudiants estiment que leur établissement leur a fourni ou leur a donné suffisamment de renseignements, d’outils ou de ressources au sujet du programme d’études ou de travail à l’étranger, mais les participants au programme sont plus enclins à le dire ou à le déclarer sans réserve que les non-participants. Les non-participants n’étaient pas nécessairement plus critiques à cet égard, mais ils étaient moins susceptibles d’être certains ou inconditionnels dans leur évaluation, notant parfois qu’ils n’avaient pas encore cherché beaucoup d’informations ou qu’ils ne s’étaient pas encore penchés pleinement sur cette question pour être en mesure d’apporter un jugement approprié. À cet égard, il convient de garder à l’esprit que les participants au programme ont pu répondre à cette question rétrospectivement (c’est-à-dire en profitant d’un certain recul et après avoir traversé le processus du début à la fin).
Les raisons précises données pour expliquer la satisfaction à cet égard comprenaient la qualité de l’information, la facilité d’accès à l’information et l’assistance, les instructions ou l’orientation fournies par l’information. Vous trouverez ci-dessous certains exemples des raisons pour lesquelles les étudiants étaient satisfaits de l’information ainsi reçue. Les exemples précédés d’un astérisque (*) ont été exclusivement cités par des participants au programme.
Ceux qui estiment ne pas être ou ne pas avoir été suffisamment informés à propos du programme d’études ou de travail à l’étranger proposé par leur établissement d’enseignement postsecondaire ont expliqué pourquoi en évoquant la difficulté de trouver ou d’obtenir des renseignements, le manque d’orientation ou d’assistance et la fourniture de renseignements incomplets, incorrects, vagues ou contradictoires. Certains ont fait remarquer qu’ils étaient suffisamment informés, mais qu’ils avaient eu du mal à trouver l’information dont ils avaient besoin ou qu’il fallait du temps pour la trouver ou l’obtenir. Vous trouverez ci-dessous certains exemples des raisons pour lesquelles les étudiants étaient insatisfaits de l’information ainsi reçue.
Large sensibilisation à propos du soutien financier.
Les participants et les non-participants étaient largement sensibilisés à propos de l’aide financière. Seul un nombre relativement faible d’étudiants ont fait part d’un manque de sensibilisation à ce sujet, et ils étaient plus susceptibles d’être des non-participants. Voici quelques éléments précis connus à propos du soutien financier : les montants disponibles; les éléments couverts (par exemple, les billets d’avion); les détails concernant le processus de demande (par exemple, comment présenter une demande, les dates limites); les divers types de soutiens financiers (par exemple, des bourses d’études, des bourses d’entretien); les conditions et les critères d’admissibilité (par exemple, conserver une moyenne pondérée cumulative minimale, fournir une preuve qu’un soutien financier est nécessaire); et les différentes sources de soutiens (par exemple, les établissements d’enseignement postsecondaire, le gouvernement du Canada, les bourses du Commonwealth).
Le soutien avant le départ était mentionné par beaucoup d’étudiants interrogés sur les autres types d’aide.
Les participants aux programmes étaient beaucoup plus susceptibles que les non-participants d’indiquer qu’ils connaissaient les autres types de soutiens (c’est-à-dire des soutiens non financiers) mis à la disposition des participants aux programmes d’études ou de travail à l’étranger. Les types de soutiens cités concernaient le plus souvent l’aide apportée avant le départ, sous une forme ou sous une autre. Une séance d’information ou de formation avant le départ, parfois décrite comme obligatoire, était le type d’aide le plus fréquemment cité. Voici certains des autres types de soutien avant le départ cités moins fréquemment, mais seulement par des participants au programme :
Certains des participants et des non-participants au programme ont cité des sources de soutien plus informelles ou moins officielles, comme les conseillers pédagogiques, les professeurs et les anciens participants.
Certains participants au programme ont également cité des ressources, des services ou des renseignements mis à disposition par leur établissement ou par son intermédiaire, y compris :
L’une des ressources en dehors des établissements citée était le programme SWAP vacances-travail de la Fédération canadienne des étudiantes et étudiants.
Aide financière – principale exigence préalable pour permettre aux non-participants de prendre part à un programme.
Les non-participants ont collectivement cité divers éléments qui devraient être instaurés ou mis à leur disposition en matière de soutiens, de ressources ou d’outils et pour leur permettre concrètement de participer à un tel programme. Cela dit, le type de soutien le plus fréquemment cité était le soutien financier ou l’aide financière. Voici certains des autres types de soutien, de ressources ou d’outils fréquemment cités :
Voici certains des types de soutiens, de ressources ou d’outils moins fréquemment cités qui permettraient concrètement à des non-participants de prendre part à un tel programme :
Cette section rend compte des questions liées à l’expérience d’études ou de travail à l’étranger des participants, auxquelles viennent s’ajouter les commentaires reçus par les non-participants de la part de personnes ayant pris part à un tel programme.
Une impression générale positive de l’expérience d’études ou de travail à l’étranger.
Tous ceux ayant pris part à un programme d’études ou de travail à l’étranger ont décrit l’expérience globale comme positive ou très positive, tandis que les non-participants ont décrit des évaluations globales similaires de la part de personnes qu’ils connaissaient ayant pris part à de tels programmes. Il n’est pas surprenant de noter que les participants aient parfois nuancé leurs impressions positives en recensant des éléments ayant nécessité une adaptation de leur part (voir détails ci-dessous), mais dans l’ensemble, leur expérience avait répondu ou dépassé leurs attentes, certains décrivant même cette expérience comme un changement de vie.
Les voyages et l’expérience figurent en tête de liste des aspects positifs de l’expérience.
Les participants au programme ont relevé de nombreux aspects positifs concernant leur expérience à l’étranger (c’est-à-dire ce qu’ils ont aimé), mais les aspects suivants étaient les plus souvent cités : la capacité ou la possibilité de voyager; l’expérience d’une culture nouvelle ou différente et la découverte de cette culture; la découverte de nouveaux centres d’intérêt; et les rencontres (se faire des amis ou des connaissances).
Voici d’autres aspects positifs de l’expérience à l’étranger régulièrement cités :
Voici d’autres éléments que les participants ont appréciés dans leur expérience à l’étranger :
En réponse à cette question, certains participants se sont plus concentrés sur les avantages qu’ils ont tirés de cette expérience que sur les choses qu’ils ont aimées pendant l’expérience en tant que telle. Il s’agissait notamment des avantages liés aux études (c’est-à-dire l’expérience permettant d’être accepté dans un programme d’études au Canada) et des avantages liés à la carrière (c’est-à-dire les compétences transférables, l’expérience professionnelle à l’étranger, les possibilités d’emploi à l’étranger et l’expérience contribuant à l’obtention d’un emploi au Canada).
Le mal du pays et le choc culturel figurent en tête de liste des aspects négatifs de l’expérience à l’étranger.
Les participants ont collectivement recensé un certain nombre d’aspects qu’ils n’avaient pas aimés dans leur expérience à l’étranger, mais les seuls qui étaient cités assez fréquemment étaient la solitude ou le mal du pays (par exemple, le fait de ne pas rencontrer de gens, d’être la seule personne de son établissement ou encore d’avoir des amis, de la famille ou des partenaires qui leur manquaient) et l’existence d’un certain choc culturel ou de difficultés d’intégration ou d’adaptation à un nouvel environnement, en partie à cause d’obstacles linguistiques. Cependant, les participants ayant cité ces aspects négatifs ajoutaient souvent qu’il s’agissait de problèmes vécus principalement au début de leur séjour à l’étranger et qu’ils avaient progressivement surmontés ou appris à gérer.
Les autres aspects négatifs de cette expérience n’étaient recensés que par des participants uniques ou par de petits nombres de participants. Ils couvraient divers éléments que nous avons classés par thèmes pour en faciliter l’analyse.
Problèmes liés au programme :
Problèmes liés à la résidence ou au logement :
Expériences difficiles, mauvaises ou négatives :
Le mal du pays et le choc culturel : principaux défis, principales difficultés et principaux obstacles rencontrés.
Les participants au programme ont une nouvelle fois souligné les aspects de leur expérience qu’ils n’avaient pas appréciés lorsqu’on leur a demandé plus précisément s’ils avaient rencontré ou éprouvé des difficultés, des défis ou des obstacles au cours de leur séjour d’études ou de travail à l’étranger. Là encore, les seuls défis cités assez fréquemment concernaient la gestion de la solitude et le choc culturel ou la difficulté d’intégration ou d’adaptation à un nouvel environnement. Ces défis ont également été cités par les non-participants sur la base des commentaires reçus de la part d’amis ou de connaissances ayant participé à un programme. Certains étudiants handicapés ont observé que les défis, comme la solitude et le choc culturel, peuvent être plus difficiles à surmonter pour les personnes souffrant d’un problème de santé mentale, car l’anxiété causée par la solitude et le choc culturel peut exacerber ce problème.
Tous les autres défis, difficultés ou obstacles précis n’étaient recensés que par des participants uniques ou par de petits nombres de participants et comprenaient les éléments suivants :
Pour la plupart, les participants au programme étaient en mesure de relever ces défis ou de les résoudre, souvent en s’y adaptant ou en s’y habituant. C’était généralement le cas, par exemple, lorsqu’il s’agissait de faire face à la solitude et au choc culturel (par exemple, en l’oubliant au fil du temps ou en mettant en place des stratégies d’adaptation). Quelques participants uniques ont déclaré qu’aucune solution appropriée n’avait été trouvée pour leur problème, que leur problème avait été résolu avec beaucoup de difficulté ou que leur problème n’avait été résolu qu’après leur retour au Canada. Ces problèmes comprenaient :
Presque tous les participants avaient reçu un soutien financier et l’ont décrit comme « essentiel » ou « utile ».
Presque tous les participants au programme ont déclaré avoir reçu une aide financière, quelle qu’en soit la forme, dans le cadre de leur expérience d’études ou de travail à l’étranger. Beaucoup de ceux qui avaient reçu une aide financière ont décrit son impact comme crucial, soulignant qu’ils n’auraient pas participé à un tel programme sans cette aide, ou qu’ils y auraient participé, mais pas dans le lieu de leur choix qui aurait été trop coûteux (par exemple, Londres).
Un certain nombre d’autres ont décrit l’impact comme utile, voire très utile. Cette aide financière leur a notamment permis de se déplacer alors qu’ils étaient à l’étranger, de ne pas vivre dans la précarité et de faire face au coût élevé de la vie (parfois aggravé par la faiblesse du dollar canadien). Un petit nombre d’entre eux ont décrit l’impact de l’aide financière qu’ils ont reçue comme limité, soit parce que le montant était décrit comme relativement faible, soit parce qu’ils avaient économisé en prévision de leur participation au programme et qu’ils l’avaient financée principalement sur leurs propres deniers.
La plupart de ceux qui n’avaient pas reçu d’aide financière ont déclaré que la percevoir une telle aide leur aurait permis de voyager davantage ou plus profiter plus de cette occasion à l’étranger ou que cela leur aurait apporté une plus grande tranquillité d’esprit quant à leur situation financière. D’autre part, deux autres ont déclaré que cela n’aurait pas fait une grande différence pour eux : l’un parce qu’il avait suffisamment d’économies personnelles, et l’autre parce qu’il percevait un revenu grâce à un stage rémunéré.
Une large sensibilisation aux aides supplémentaires à l’étranger.
Presque tous les participants au programme ont déclaré qu’ils étaient au courant du soutien supplémentaire qui leur était proposé dans le cadre de leur expérience à l’étranger. Les soutiens les plus souvent cités étaient liés au bien-être mental ou psychologique et comprenaient des prises de nouvelles régulières de la part d’un représentant de l’établissement d’origine et des services de conseil disponibles dans l’établissement d’accueil. La plupart des autres types de soutien cités étaient ceux fournis par l’établissement d’accueil et conçus pour aider les étudiants à s’acclimater ou à s’intégrer dans leur environnement. Ils comprenaient des séances d’orientation ou d’information (souvent à l’arrivée), des activités sociales, des sorties ou des voyages périodiques prévus ou réguliers, un programme de jumelage conçu pour aider les étudiants étrangers à rencontrer des gens ou encore un accès à un guide local. Dans un cas, l’établissement d’accueil avait un aîné en résidence et pouvait servir de personne-ressource pour les participants autochtones.
Les autres ressources citées par des participants uniques ou par quelques participants seulement comprenaient : des familles d’accueil; une application pour l’assistance médicale; l’accès à un centre médical; des possibilités de réseautage offertes par l’intermédiaire du programme ERASMUS (Programme d’action communautaire en matière de mobilité des étudiants); les coordonnées des services consulaires du Canada; les numéros d’urgence; la communauté d’étudiants internationaux; le personnel ou les professeurs de l’établissement d’accueil. Un participant a souligné que la présence de membres de sa famille dans la ville d’accueil représentait une forme de soutien, tandis qu’un autre a souligné la présence d’autres employés canadiens au sein de l’entreprise dans laquelle il travaillait.
Les participants étaient plus susceptibles d’utiliser les services mis à leur disposition par leur établissement d’enseignement postsecondaire d’origine afin de prendre des nouvelles, ainsi que les services permettant de socialiser proposés par les établissements d’accueil. Ceux ayant utilisé ces services ont déclaré qu’il n’y avait pas d’obstacles entravant leur accès, et les décrivaient généralement comme utiles ou efficaces, notamment lorsqu’il s’agissait de gérer la solitude, le mal du pays et le choc culturel. Un participant qui ayant utilisé des services de counselling fournis par l’établissement d’accueil les a décrits comme peu utiles, car le conseiller ne savait pas comment s’identifier au participant et ne donnait aucun conseil utile. Un autre participant occupant un stage coopératif a cessé de participer aux entretiens hebdomadaires organisés par son établissement d’accueil pour prendre de ses nouvelles, expliquant que ces entretiens n’étaient pas particulièrement utiles. Quelques participants ayant séjourné dans des familles d’accueil ont décrit leur expérience comme agréable, ajoutant que cette option était moins coûteuse que le séjour en résidence ou dans un logement hors du campus.
Les participants au programme n’ayant pas utilisé les services dont ils avaient pourtant connaissance n’ont indiqué aucun obstacle à leur utilisation, expliquant généralement qu’ils n’avaient pas fait appel à ces services parce qu’ils n’en avaient pas ressenti le besoin.
La plupart ont estimé que leur programme ne manquait de rien.
La plupart des participants au programme ont indiqué qu’il ne manquait rien ou rien d’important au programme auquel ils avaient pris part. Bien que divers éléments aient été mentionnés, aucun ne revenait fréquemment. Nous avons classé ci-dessous ces éléments considérés comme manquants en fonction des trois phases du programme :
Avant le départ :
Études ou travail à l’étranger :
Retour :
Les participants ont cité divers éléments lorsqu’on les a invités à indiquer ce qu’ils auraient aimé savoir avant de partir à l’étranger ou ce qu’ils feraient différemment s’ils avaient la chance de participer de nouveau au programme.
Avec le recul, un certain nombre de participants au programme ont cité des choses qu’ils avaient apprises grâce à leur expérience et qu’ils auraient aimé savoir avant de partir à l’étranger, ou des choses qu’ils feraient différemment s’ils avaient la chance de participer de nouveau au programme.
Voici certaines des choses qu’ils auraient aimé savoir avant de partir :
Voici certaines choses qu’ils feraient différemment s’ils avaient la chance de participer de nouveau au programme :
Conseils aux personnes qui envisagent de participer à un tel programme.
Lorsqu’on leur a demandé s’ils avaient des conseils à donner à quelqu’un qui envisagerait de participer à un tel programme, les participants ont proposé les conseils suivants :
Les principaux avantages ou bienfaits découlant de la participation au programme renvoient aux facteurs de simplification du processus décisionnel.
Après avoir abordé leur expérience de travail ou d’études à l’étranger, on a invité les participants au programme à indiquer le principal avantage ou bienfait découlant de leur participation à ce programme. La plupart des principaux avantages que les participants ont tirés de leur participation au programme correspondaient à ceux qu’ils espéraient ou attendaient. Voici certains de ces avantages :
La présente section rend compte des obstacles pouvant entraver la participation à un programme d’études ou de travail à l’étranger.
Situation financière – le principal obstacle pouvant entraver la participation à un programme d’études ou de travail à l’étranger.
TLes participants et les non-participants au programme s’accordaient presque tous à dire que la situation financière d’une personne était l’un des obstacles les plus importants pouvant entraver sa participation à un programme d’études ou de travail à l’étranger. En outre, l’impression générale était que les questions financières constituaient l’obstacle possible le plus important (c’est-à-dire plus important que les autres obstacles). Les explications quant à l’importance des questions financières se sont concentrées sur les points suivants :
Voici quelques exemples d’obstacles financiers ou d’obstacles auxquels une personne pourrait être confrontée au moment de participer à un tel programme :
Certains ont également observé que les coûts pendant le séjour à l’étranger pouvaient augmenter en raison de facteurs tels que le coût de la vie là où l’on étudie ou travaille (par exemple, à Londres, au Royaume-Uni), le taux de change ou la valeur du dollar canadien et la distance entre la résidence et l’établissement d’accueil (c’est-à-dire des coûts de transport plus élevés). Lorsqu’ils abordaient les coûts directement liés au programme, les anciens participants observaient parfois qu’il était important que les participants potentiels aient une compréhension claire et exhaustive de ces coûts et qu’ils apprennent à établir un budget. Plus particulièrement :
Divers obstacles non financiers entravant la participation à un programme d’études ou de travail à l’étranger étaient considérés comme importants.
Si les étudiants ont souligné l’importance des obstacles financiers et les ont généralement considérés comme les plus importants, ils citaient aussi systématiquement d’importants obstacles non financiers possibles entravant la participation à un tel programme. Ces obstacles comprenaient :
Parmi les autres obstacles possibles considérés comme les plus importants, citons : le manque de connaissance du programme; le manque de renseignements ou la difficulté à trouver des renseignements sur le programme; une faible moyenne pondérée cumulative (MPC), un nombre limité d’options ou de possibilités d’études ou de travail à l’étranger dans le programme; un nombre important de candidats pour un nombre limité de postes.
Les étudiants ont recensé un certain nombre d’obstacles ou d’entraves découlant de la pandémie.
Les étudiants ont collectivement recensé une panoplie d’obstacles ou d’entraves découlant de la pandémie et auxquels une personne pourrait être confrontée au moment de participer à un tel programme. L’impact perçu de ces obstacles ou entraves était qu’ils auraient des répercussions négatives sur la possibilité pour les étudiants de participer au programme, ainsi que sur l’intérêt même d’y participer. Voici certains de ces avantages :
Diverses préoccupations concernant la participation à de tels programmes dans un contexte post-pandémie.
Pour une personne envisageant de participer à un tel programme dans un contexte post-pandémie, les étudiants citaient les préoccupations potentielles suivantes :
Un quasi-consensus sur le fait que la pandémie aura un effet négatif sur l’intérêt pour les voyages dans les pays non traditionnels.
Presque tous les participants estimaient que la pandémie aurait un effet négatif sur l’intérêt que susciteront les voyages vers des pays non traditionnels, car ces derniers pourraient être perçus comme moins sûrs. Certains, en revanche, ont estimé que cela ne serait pas nécessairement le cas pour les raisons suivantes :
Sur le plan personnel, la plupart des non-participants ont déclaré que la pandémie avait eu un effet négatif sur leur propre niveau d’intérêt pour le programme, du moins dans une certaine mesure. En effet, certains non-participants l’ont spontanément souligné au tout début de leur entrevue ou groupe de discussion, lorsqu’on leur demandait dans quelle mesure ils étaient intéressés par une participation à de tels programmes. Voici certaines des raisons invoquées pour expliquer la baisse d’intérêt suscité :
Les non-participants ayant déclaré que la pandémie n’avait pas eu d’effet négatif sur leur propre niveau d’intérêt pour le programme ont donné les raisons suivantes pour l’expliquer : l’espoir ou l’optimisme concernant la disponibilité d’un vaccin; le fait qu’il leur reste encore quelques années pour participer au programme; la vigilance accrue dont ils font preuve (par exemple, en prenant des précautions, en suivant les règles, les réglementations ou les recommandations). Quelques non-participants ont souligné qu’un tel programme continuerait de les intéresser sous certaines conditions, et plus particulièrement que leur intérêt ne diminuerait pas s’ils étaient certains de pouvoir rentrer rapidement au Canada en cas de problème.
Les étudiants avaient du mal à citer les avantages potentiels que de tels programmes pourraient avoir dans un contexte post-pandémie.
Il n’est peut-être pas surprenant de constater que les étudiants aient eu plus de mal à citer les avantages potentiels que les programmes d’études ou de travail à l’étranger pourraient avoir dans le contexte post-pandémie. À tout le moins, l’impact positif éventuel que de tels programmes pourraient avoir dans le contexte post-pandémie n’était pas immédiatement évident. Cela dit, les avantages potentiels suivants ont été cités :
La présente section présente les suggestions afin de faciliter et d’accroître la participation des étudiants aux programmes d’études ou de travail à l’étranger.
Améliorer les soutiens et l’aide financière, multiplier les possibilités et corriger les idées fausses – principales suggestions afin de faciliter et d’accroître la participation aux occasions d’études ou de travail à l’étranger.
De nombreuses suggestions ont été formulées afin de faciliter et d’accroître la participation des étudiants aux occasions d’études ou de travail à l’étranger. Ces suggestions portaient sur les soutiens et les outils, l’aide financière, les occasions à l’international, les idées fausses sur les programmes et les communications liées aux programmes[3].Plus précisément :[4]
Un certain nombre de suggestions ont été formulées pour motiver les étudiants à étudier ou à travailler dans des pays non traditionnels.
Lorsqu’on leur a demandé précisément ce qui pourrait être fait pour motiver ou encourager les étudiants à étudier ou à travailler dans des pays non traditionnels (par exemple, des pays autres que les États-Unis, le Royaume-Uni, l’Australie, la France et l’Allemagne), les étudiants formulaient régulièrement les suggestions suivantes :
Une culture similaire et la capacité de parler anglais – les principales raisons pour lesquelles les étudiants sont plus susceptibles d’être attirés par certains pays.
NLes non-participants citaient collectivement diverses raisons pour expliquer pourquoi les étudiants étaient plus susceptibles d’être attirés par des pays comme les États-Unis, le Royaume-Uni, l’Australie, la France et l’Allemagne pour y profiter d’occasions d’études ou de travail à l’étranger. Toutefois, les raisons les plus fréquemment citées étaient les similitudes culturelles et la capacité à communiquer en anglais, que ce soit parce que c’est la langue principale ou parce qu’elle est suffisamment comprise pour que l’on puisse « s’en sortir » en l’utilisant. Ces facteurs rendent ces pays attractifs en injectant un élément de familiarité dans l’expérience de voyage dans un autre pays. Ils facilitent l’intégration ou l’adaptation en minimisant les obstacles et le choc culturels.
Voici certaines des autres raisons couramment citées pour expliquer l’attrait de ces pays :
La présente section rend compte des questions liées aux communications, y compris aux perceptions relatives au niveau de sensibilisation des étudiants à l’égard de ces programmes, à la meilleure façon de s’assurer que les personnes connaissent ces programmes et à la meilleure façon de fournir aux étudiants de l’information au sujet de ces programmes ou de mettre ces renseignements à leur disposition.
L’impression générale est que le niveau de sensibilisation à l’égard de ces programmes est relativement élevé, mais que les connaissances à leur sujet demeurent superficielles.
Bien qu’il existe quelques divergences d’opinion sur la question, la plupart des étudiants estimaient que le niveau de sensibilisation à l’égard des programmes d’études ou de travail à l’étranger était relativement élevé parmi les étudiants, du moins au sein de leurs propres établissements d’enseignement postsecondaire. Cela étant dit, l’impression générale était aussi que la connaissance de ces programmes avait tendance à être générale. En d’autres termes, si les étudiants avaient tendance à savoir que de tels programmes existaient, ils étaient peu susceptibles de savoir beaucoup de choses à leur sujet avant de commencer à chercher des renseignements. Certains ont également laissé entendre que, même si de nombreux étudiants connaissent l’existence du programme, certains ne sont pas forcément sûrs d’avoir la possibilité d’y participer compte tenu de leur situation. Autrement dit, certains peuvent penser que cette possibilité n’est offerte qu’à un petit nombre de personnes.
Les étudiants ont formulé un certain nombre de suggestions pour veiller à ce que les étudiants soient au courant des possibilités qui leur sont offertes à l’international.
Participants routinely identified the following ways of ensuring that students are aware of such opportunities:
Les autres moyens de sensibilisation et d’approfondissement des connaissances à l’égard de ces programmes se concentraient sur le fait de susciter l’intérêt et la curiosité des étudiants. Les participants ont expliqué qu’un intérêt et une curiosité accrus motiveraient ou inciteraient les étudiants à rechercher des renseignements sur le programme, ce qui, au bout du compte, favoriserait la sensibilisation des étudiants à propos des possibilités à l’international. Voici certains des moyens permettant précisément de susciter l’intérêt ou la curiosité des étudiants : veiller à ce que les renseignements relatifs à la disponibilité de l’aide financière soient diffusés et mis en valeur; répondre aux éventuelles préoccupations, appréhensions et idées fausses concernant le programme (par exemple, par le biais de foires aux questions); fournir autant de détails que possible sur les coûts; et insister sur le fait qu’être handicapé n’empêche pas de participer.
Diverses suggestions ont été formulées pour fournir de l’information ou mettre des renseignements à la disposition des étudiants.
Les étudiants ont formulé les suggestions suivantes en ce qui concerne les moyens permettant de fournir de l’information ou de mettre des renseignements à la disposition des étudiants :
Au total, 100 étudiants ont participé à cette recherche qualitative. Celle-ci comportait des groupes de discussion en ligne et des entretiens individuels approfondis. Plus précisément : 12 groupes de discussion virtuels ont été organisés, soit six pour chacun des principaux publics visés – étudiants ayant travaillé ou étudié à l’étranger et étudiants qui n’ayant pas travaillé ou étudié à l’étranger, mais qui souhaiteraient le faire s’ils en avaient l’occasion; et 20 entretiens téléphoniques approfondis ont été menés avec des étudiants handicapés et des étudiants autochtones ayant travaillé ou étudié à l’étranger et des étudiants qui n’ayant pas travaillé ou étudié à l’étranger, mais qui souhaiteraient le faire s’ils en avaient l’occasion. Les groupes de discussion et les entretiens se sont déroulés du 7 septembre au 5 novembre 2020.[5] Toutes les étapes de ce projet respectaient les Normes pour la recherche sur l’opinion publique effectuée par le gouvernement du Canada.
Les normes de conception suivantes s’appliquaient aux groupes de discussion:
Ouest | Ontario | Québec | Atlantique |
---|---|---|---|
•Université de Victoria
•Université Mount Royal
•Bow Valley College
•Lethbridge College
•Université de l’Alberta
•Université de Calgary
•Université de Saskatchewan
•Université de Regina
•Université du Manitoba |
•Sheridan College
•George Brown College
•Université de Ryersony
•Université de Windsor
•Université Western
•Université York
•Université Brock
•Université de Guelph
•Université d'Ottawa |
•Université de Montréal
•Université du Québec à Montréal
•Université du Québec à Chicoutimi
•Université du Québec à Trois-Rivières
•École Nationale d'administration Publique |
•Université Dalhousie
•Université Saint Mary’s
•Université St. Francis Xavier
•University of PEI |
Les normes de conception suivantes ont été appliquées aux entretiens:
RESEARCH PARTICIPANTS NEEDED
Have you participated in or considered participating in a study or work abroad program?
The Government of Canada is conducting a research study about study and work abroad opportunities.
If you or someone you know participated or considered participating in a study or work abroad program through a post secondary institution, you/they might be eligible for the research study.
Research participants will be asked to take part in one of the following:
Students who qualify and participate in a discussion group or interview will receive a cash honorarium.
To see if you qualify for the study, please click the link below and complete the online questionnaire.
[LINK]
This research study is being conducted by Phoenix Strategic Perspectives (Phoenix SPI), a Canadian public opinion research firm, on behalf of the Government of Canada, and specifically the Learning Branch of Employment and Social Development Canada (ESDC).
À LA RECHERCHE DE PARTICIPANTS POUR UNE ÉTUDE
Avez-vous déjà participé ou songé à participer à un programme d'études ou de travail à l'étranger?
Le gouvernement du Canada mène une recherche sur les possibilités d'études et de travail à l'étranger.
Vous pourriez prendre part à la recherche si vous avez déjà participé ou songé à participer à un programme d'études ou de travail à l'étranger par l'entremise d'un établissement d'enseignement postsecondaire. Si c'est le cas d'une personne que vous connaissez, cette personne pourrait aussi être admissible.
Les participants devront prendre part à l'une des trois activités suivantes:
Les étudiants admissibles qui participeront à un groupe de discussion ou à une entrevue recevront une prime en argent.
Afin de déterminer si vous êtes admissible pour participer à l'étude, veuillez cliquer sur le lien ci-dessous et remplir le questionnaire en ligne.
[LIEN]
Cette recherche est réalisée par Phoenix Strategic Perspectives (Phoenix SPI), un cabinet canadien de recherche sur l'opinion publique, pour le compte du gouvernement du Canada, plus précisément de la Direction de l'apprentissage d'Emploi et Développement social Canada (EDSC).
IMAGE OPTION 1
IMAGE OPTION 2
TEXT
Have you participated in or considered participating in a study or work abroad program?
Avez-vous déjà participé ou songé à participer à un programme d'études ou de travail à l'étranger?
Afin de déterminer si vous êtes admissible pour participer à l'étude, veuillez cliquer ici et remplir le questionnaire en ligne.
Thank you for your interest in this research study. This short online questionnaire will take no more than 5 minutes to complete. The purpose of the online questionnaire is to confirm the eligibility of individuals interested in participating in this research study.
Background information
About the research study
How does the online questionnaire work?
What about your personal information?
Need to contact us?
PROGRAMMING NOTE: "Contact us" will open a new window that will contain the following:
For more information about this research, contact Phoenix SPI by email at research@phoenixspi.ca or by telephone at 1-844-960-1700.
Phoenix SPI
1678 Bank Street, Ste. 2
Ottawa, ON K1V 7Y6
www.phoenixspi.ca
1. Are you a Canadian citizen at least 18 years of age or older?
[TERMINATION MESSAGE - AGE: Thank you for your interest. To be eligible for this research study you must be 18 years of age or older.]
2. In which of the following age categories do you belong? [RECRUIT A MIX BY AGE]
3. Do you, or a member of your household or immediate family, work in any of the following fields?
[TERMINATION MESSAGE – INDUSTRY: Thank you for your interest. Unfortunately you are not eligible to participate in this study.]
4. Which best describes your gender? [RECRUIT A MIX]
5. Are you currently enrolled in a program of study at a Canadian post-secondary institution? [RECRUIT A MIX]
5a. Prior to the Covid-19 global pandemic, were you enrolled in a program of study at a Canadian post-secondary institution?
[TERMINATION MESSAGE – PSE: Thank you for your interest. We are currently looking for participants who are enrolled in a program of study at a Canadian post-secondary institution.]
6. Have you participated in a study or work abroad experience as part of your post-secondary studies?
6a. Were you planning to participate in a study or work abroad experience, but could not due to Covid-19 travel restrictions?
7. Are you interested in participating in a study or work abroad program as part of your post-secondary studies?
7a. Prior to the Covid-19 global pandemic, were you interested in participating in a study or work abroad program as part of your post-secondary studies?
[TERMINATION MESSAGE – PSE_2: Thank you for your interest. We are currently looking for participants who are interested in studying or working abroad.]
8. Have you done any of the following…? [please select all that apply]
[IF YES TO ONE OR MORE = CONSIDERED/INTERESTED IN INTERNATIONAL EXPERIENCE]
[IF NONE OF THE ABOVE = THANK/TERMINATE]
[TERMINATION MESSAGE – PSE_2: Thank you for your interest. We are currently looking for participants who are interested in studying or working abroad.]
9. Do you currently receive any of the following? [please select all that apply]
[IF YES TO A LOAN AND/OR GRANT= LOW INCOME AND SKIP TO Q11]
10. a. Did you require funding support (e.g., grants, loans, scholarships) in order to study or work abroad?
10. b. Earlier you indicated that you are/were interested in participating in a study or work abroad program as part of your post-secondary education. Thinking about your current financial situation, would you be able to study or work abroad without receiving some type of funding support, such as grants, loans, or scholarships from the government, an Indigenous organization, or your school?
11. Do you identify as…? [please select all that apply]
[TERMINATION MESSAGE – NON-RESP: Thank you for your interest. Unfortunately you are not eligible to participate in this study.]
12. What is the nature of your disability? Do you have… [please select all that apply]
13. In which province or territory do you live?
We have a few final questions for you.
1. Have you ever attended a discussion group or taken part in an interview on any topic that was arranged in advance and for which you received money for your participation?
2. When did you last attend one of these discussion groups or interviews?
3. How many discussion groups have you attended in the past 5 years?
[TERMINATION MESSAGE – INDUSTRY_2: Thank you for your cooperation. We already have enough participants who have a similar profile to yours, so we are unable to invite you to participate.]
IF NONE OF THE ABOVE AT Q11.
1. The focus groups we'd like to invite you to participate in will take place online using an online platform and webcams . You will be required to access the platform via a weblink and to participate using your webcam. The platform will be accessible via a mobile device or a laptop/desktop environment. How comfortable would you be participating in this type of discussion?
2. Participants will be asked to voice their opinions in front of others. How comfortable would you say you are doing this in English (English screener) / French (French screener)?
3. The discussion group will be recorded. These recordings are used to help with analyzing the findings and writing the report. The results from the discussions will be grouped together in the research report, which means that individuals will not be identified in any way. Is this acceptable?
4. There may be some people from Employment and Social Development Canada who have been involved in this project observing the online session. They will not take part in the discussion. Is this acceptable?
[TERMINATING MESSAGE: Thank you for your cooperation. We already have enough participants who have a similar profile to yours, so we are unable to invite you to participate.]
1. ONLINE FOCUS GROUPS:
We would like to invite you to attend the online focus group session where you will exchange your opinions in a moderated video session with others. The discussion will be led by a researcher from the public opinion research firm, Phoenix Strategic Perspectives. The group will take place on [DAY OF WEEK], [DATE], at [TIME]. It will last up to two hours. Information regarding how to participate will be sent to you by email in the coming days. You will be asked to log into the online session 15 minutes prior to the start time. People who participate will receive $150 to thank them for their time.
i. Are you willing to participate?
ii. May I have your contact information so that we can send you information related to the online focus group?
EXIT MESSAGE: Thank you very much for your time and willingness to participate in this research.
EXIT LINK:
2. INTERVIEWS:
We would like to invite you to participate in a telephone interview which will be conducted by a researcher from the public opinion research firm, Phoenix Strategic Perspectives. It will last up to 40 minutes. We will contact you to schedule a date and time that works best with your schedule for the interview. People who participate will receive $100 to thank them for their time.
i. Are you willing to participate?
ii. May I have your contact information to schedule the telephone interview?
EXIT MESSAGE: Thank you very much for your time and willingness to participate in this research.
Nous vous remercions de votre intérêt à participer à cette étude. Vous aurez besoin d'au plus cinq minutes pour répondre à ce bref questionnaire en ligne, qui a pour but de confirmer l'admissibilité des personnes intéressées à prendre part à l'étude.
Renseignements généraux
À propos de l'étude
Répondre au questionnaire en ligne
Qu'en est-il de vos renseignements personnels?
Besoin de communiquer avec nous?
NOTE DE PROGRAMMATION: « Contactez-nous » permettra d'ouvrir une nouvelle fenêtre qui contiendra le texte suivant :
Pour obtenir de plus amples renseignements au sujet de cette recherche, veuillez communiquer avec Phoenix SPI par courriel à l'adresse research@phoenixspi.ca ou par téléphone au 1-844-960-1700.
Phoenix SPI
1678, rue Bank, bureau 2
Ottawa (Ontario) K1V 7Y6
https://phoenixspi.ca/fr/acceuil.html
Commencer
1. Êtes-vous un(e) citoyen(ne) canadien(ne) âgé(e) d'au moins 18 ans?
[MESSAGE POUR METTRE FIN AU QUESTIONNAIRE – ÂGE: Merci de votre intérêt. Cependant, pour participer à l'étude, vous devez avoir au moins 18 ans.]
2. À quelle catégorie d'âge, parmi les suivantes, appartenez-vous? [RECRUTER DES PARTICIPANTS DE DIVERS GROUPES D'ÂGE]
3. Travaillez-vous dans l'un ou l'autre des domaines suivants ou est-ce qu'un membre de votre foyer ou de votre famille immédiate y travaille?
[MESSAGE POUR METTRE FIN AU QUESTIONNAIRE – INDUSTRIE: Merci de votre intérêt. Malheureusement, vous n'êtes pas admissible pour participer à cette étude.]
4. Parmi les options suivantes, laquelle décrit le mieux votre genre? [RECRUTER DES PERSONNES DES DIVERS GROUPES]
5. Êtes-vous actuellement inscrit(e) à un programme d'études d'un établissement d'enseignement postsecondaire au Canada? [RECRUTER DES PARTICIPANTS DES DIVERS GROUPES]
5a. Avant la pandémie de la COVID-19, étiez-vous inscrit(e) à un programme d'études d'un établissement d'enseignement postsecondaire au Canada?
[MESSAGE POUR METTRE FIN AU QUESTIONNAIRE – EPS: Merci de votre intérêt. Nous sommes actuellement à la recherche de participants qui sont inscrits à un programme d'études d'un établissement d'enseignement postsecondaire canadien.]
6. Avez-vous participé à une expérience d'études ou de travail à l'étranger dans le cadre de vos études postsecondaires?
6a. Aviez-vous l'intention de participer à un programme d'études ou de travail à l'étranger, mais n'avez pu le faire en raison des restrictions de voyage découlant de la COVID-19?
7. Êtes-vous intéressé(e) à participer à un programme d'études ou de travail à l'étranger dans le cadre de vos études postsecondaires?
7a. Avant la pandémie de la COVID-19, étiez-vous intéressé(e) à participer à un programme d'études ou de travail à l'étranger dans le cadre de vos études postsecondaires?
[MESSAGE POUR METTRE FIN AU QUESTIONNAIRE – EPS_2: Merci de votre intérêt. Nous sommes actuellement à la recherche de participants qui sont intéressés à étudier ou à travailler à l'étranger.]
8. Avez-vous fait l'une ou l'autre des choses suivantes…? [veuillez sélectionner toutes les réponses qui s'appliquent]
[SI LE PARTICIPANT RÉPOND OUI À AU MOINS UNE OPTION = INTÉRESSÉ À UNE EXPÉRIENCE INTERNATIONALE]
[SI LE PARTICIPANT RÉPOND « RIEN DE TOUT CELA » = REMERCIER/METTRE FIN AU QUESTIONNAIRE]
[MESSAGE POUR METTRE FIN AU QUESTIONNAIRE – EPS_2: Merci de votre intérêt. Nous sommes actuellement à la recherche de participants qui sont intéressés à étudier ou à travailler à l'étranger.]
9. À l'heure actuelle, recevez-vous l'un ou l'autre des soutiens financiers suivants? [veuillez sélectionner toutes les réponses qui s'appliquent]
[SI LE PARTICIPANT RÉPOND OUI À UN PRÊT ET/OU UNE BOURSE = FAIBLE REVENU ET PASSER À LA Q11]
10. a. Aviez-vous besoin d'un soutien financier (p. ex., bourse d'études, prêt) pour étudier ou travailler à l'étranger?
10. b. Vous avez indiqué plus tôt que vous étiez intéressé(e) à participer à un programme d'études ou de travail à l'étranger dans le cadre de vos études postsecondaires. Si vous réfléchissez à votre situation financière actuelle, diriez-vous que vous seriez capable d'étudier ou de travailler à l'étranger sans recevoir un soutien financier comme une bourse d'études ou un prêt du gouvernement, d'un organisme autochtone ou de votre établissement d'enseignement?
11. Vous identifiez-vous comme…? [veuillez sélectionner toutes les réponses qui s'appliquent]
[MESSAGE POUR METTRE FIN AU QUESTIONNAIRE – NON-RÉP. : Merci de votre intérêt. Malheureusement, vous n'êtes pas admissible pour participer à l'étude.]
12. Quelle est la nature de votre handicap? Avez-vous… [veuillez sélectionner toutes les réponses qui s'appliquent]
13. Dans quelle province ou quel territoire habitez-vous?
CONTINUER À LA SECTION C. CONTRÔLE DE L'INDUSTRIE
Nous avons quelques questions à vous poser pour terminer.
1. Avez-vous déjà pris part à un groupe de discussion ou à un entretien sur un sujet quelconque qui était organisé à l'avance et pour lequel vous avez reçu de l'argent pour votre participation?
2. À quand remonte votre dernière participation à l'un de ces groupes de discussion ou entretiens?
3. À combien de groupes de discussion avez-vous pris part au cours des cinq dernières années?
[MESSAGE POUR METTRE FIN AU QUESTIONNAIRE – INDUSTRIE_2: Merci pour votre coopération. Comme nous avons déjà suffisamment de participants ayant un profil semblable au vôtre, nous ne pouvons pas vous inviter à participer.]
CONTINUER À LA SECTION D. CONSENTEMENT
SI LA PERSONNE A RÉPONDU AUCUNE DE CES CATÉGORIES À LA Q11.
1. Nous aimerions vous inviter à participer à un groupe de discussion en ligne dans une plateforme numérique, à l'aide de webcams. Un lien Web vous permettra d'accéder à la plateforme et d'y participer en utilisant votre webcam. Vous pourrez vous servir d'un appareil mobile, d'un ordinateur de bureau ou d'un ordinateur portatif pour vous connecter. Dans quelle mesure seriez-vous à l'aise de participer à une discussion de ce genre?
2. Nous demanderons aux participants d'exprimer leurs opinions devant les autres. Dans quelle mesure seriez-vous à l'aise de le faire en anglais (questionnaire en anglais) / en français (questionnaire en français)?
3. Le groupe de discussion sera enregistré. Les enregistrements seront utilisés pour analyser les résultats et rédiger le rapport. Les constats issus des discussions seront regroupés dans le rapport de recherche, ce qui veut dire que les participants ne seront identifiés d'aucune façon. Est-ce que cela vous convient?
4. Des représentants d'Emploi et Développement social Canada qui ont participé au projet pourraient observer la séance en ligne. Ils ne prendront pas part à la discussion. Est-ce que cela vous convient?
[MESSAGE POUR METTRE FIN AU QUESTIONNAIRE: Merci pour votre coopération. Comme nous avons déjà suffisamment de participants ayant un profil semblable au vôtre, nous ne pouvons pas vous inviter à participer.
CONTINUER À LA SECTION E. INVITATION À PARTICIPER
1. GROUPES DE DISCUSSION EN LIGNE
Nous aimerions vous inviter à participer à un groupe de discussion en ligne afin d'exprimer vos opinions dans le cadre d'une discussion vidéo animée par un chercheur de Phoenix Strategic Perspectives, un cabinet spécialisé dans la recherche sur l'opinion publique. Le groupe se tiendra le [JOUR DE LA SEMAINE] [DATE] à [HEURE]. Il durera au plus deux heures. Dans les prochains jours, vous recevrez par courriel des renseignements concernant la façon d'y participer. On vous demandera de vous connecter en ligne 15 minutes avant le début de la séance. Les participants recevront 150 $ en guise de remerciement pour leur temps.
i. Désirez-vous y participer?
ii. Pourrais-je avoir vos coordonnées pour qu'on puisse vous faire parvenir de l'information ayant trait au groupe de discussion en ligne?
MESSAGE DE CLÔTURE: Merci beaucoup d'avoir accepté de participer à cette étude et d'y consacrer de votre temps.
LIEN DE CLÔTURE:
2. ENTRETIENS
Nous aimerions vous inviter à participer à un entretien téléphonique qui sera réalisé par un chercheur de Phoenix Strategic Perspectives, un cabinet spécialisé dans la recherche sur l'opinion publique. L'entretien durera au plus 40 minutes. Nous communiquerons avec vous pour fixer la date et l'heure qui vous convient le mieux pour l'entretien. Les participants recevront 100 $ en guise de remerciement pour leur temps.
i. Désirez-vous y participer?
ii. Pourrais-je avoir vos coordonnées pour fixer la date et l'heure de l'entretien téléphonique?
MESSAGE DE CLÔTURE: Merci beaucoup d'avoir accepté de participer à cette étude et d'y consacrer de votre temps.
Introduction (5 minutes)
Context/background (15 minutes)
What you all have in common, and the reason you are here tonight, is that each of you has participated in a study and/or work abroad program through the post-secondary institution you attend. We are going to discuss a variety of things related to your experience, but I'd like to begin with a few general questions, just to get things started.
1. Did the program you took part in involve working or studying abroad? IF WORK, QUERRY WHETHER WORK WAS PAID OR UNPAID AND FOR CREDIT (I.E., THROUGH THE PARTICIPANT'S POST-SECONDARY EDUCATION PROGRAM)
2. Where did you go for your study/work term abroad? Was this your first choice? If not, what was your first choice and why didn't it work out?
3. Why did you choose to go where you did? What factors affected your choice of a country?
4. How long were you abroad as part of your study/work program?
Decision-making process (40 minutes)
I would now like to talk about your experience leading up to your decision to apply for a study/work term abroad. First …
5. How did you learn or find out about the opportunity to study/work abroad)? [LISTEN FOR ACTIVELY SEEKING INFORMATION VERSUS RECEIVING/BEING GIVEN INFORMATION]
6. Why did you want to take part in such a program? What factor(s) motivated you to want to study/work abroad?
7. What benefits, if any, did you hope or expect to derive from that experience?
8. Can you describe the thought process that informed your decision to apply for the program? What did you consider when thinking about the possibility of studying/working abroad? [USE FLIPCHART TO RECORD RESPONSES]
Probe:
Everyone—
Probe:
Students with disabilities—
Probe:
Indigenous students—
9. [ADJUST FORMULATION BASED ON FEEDBACK TO PREVIOUS QUESTION] Did you have any apprehensions or concerns about taking part in the program? If so, what?
ROTATE NEXT 2 QUESTIONS:
10. Did any factors facilitate your decision-making process or made it easier for you? If so, what?
11. Were there any barriers, challenges, or difficulties that complicated your decision-making process? If so, what? [BE ATTENTIVE TO CHALLENGES IDENTIFIED BY MEMBERS OF SPECIFIC SUBGROUPS]
IF CHALLENGE(S)/BARRIER(S) IDENTIFIED:
12. Were you able to address this/these challenge(s)? If so, how? If not, why not?
13. What information/tools/resources did you access/consult as part of your decision-making process?
14. Do you feel you were adequately informed about the study/work abroad program by your post-secondary institution? In other words, did they provide, or give you access to, sufficient information/tools/resources about the program? If so why? If not, why not?
15. Were you aware that financial support is available for study/work abroad opportunities? [HAND COUNT]
IF AWARE OF FINANCIAL ASSISTANCE:
16. Tell me what you know about it.
17. Were you aware of any other supports available to participants in study/work abroad programs? If so, what?
Program experience (40 minutes)
I would now like to shift the focus and discuss your experience studying and/or working abroad.
18. Overall, how would you describe your experience studying/working abroad? Why do you say that?
19. What did you like about the experience? ASK TIME PERMITTING OR IF NOT COVERED AT Q18
20. Was there anything you disliked about it? ASK TIME PERMITTING OR IF NOT COVERED AT Q18
21. Did you encounter or experience any challenges, difficulties, or barriers during your study/work abroad opportunity? If so what? [BE ATTENTIVE TO CHALLENGES IDENTIFIED BY MEMBERS OF SPECIFIC SUBGROUPS] Were you able to address this/these challenge(s) adequately? Why/why not?
22. [ADJUST WORDING BASED ON PREVIOUS FEEDBACK] Earlier I asked if you were aware that financial support is available for study and/or work abroad opportunities. Did anyone receive financial support/funding through the program as part of their study/work abroad experience? [HAND COUNT]
23. For those of you who received financial support, what impact, if any, did this have on your experience? Would you have taken part without financial assistance? Why/why not?
24. For those of you who did not receive financial support, what impact, if any, do you think financial assistance would have had on your experience?
25. What other supports/tools, if any, were available to you as part of your experience abroad?
26. Did you use any of these supports/tools during your stay abroad? [HAND COUNT]
For those who did:
27. What did you use and why?
28. What is your impression of the support(s) you used?
For those who did not:
29. Is there any particular reason why you did not use any of the available supports/tools?
Thinking of the program in general …
30. Based on your experience, what, if anything, was missing from this program? For example, did you have any needs, expectations, or requirements that were not met? [BE ATTENTIVE TO ANY SUBGROUP DIFFERENCES]
31. Is there anything you learned as a result of your experience that you wish you had known before you went abroad? If so what? ASK TIME PERMITTING
32. If you had the chance to redo the program, what, if anything, would you do differently? Why is that?
33. What advice, if any, would you give to someone considering taking part in such a program?
34. What would you identify as the most important potential barriers to someone taking part in a study/work abroad program such as the one you took part in? [BE ATTENTIVE TO ANY SUBGROUP DIFFERENCES]
[ADJUST WORDING BASED ON EXTENT TO WHICH FINANCIAL BARRIERS HAVE ALREADY BEEN IDENTIFIED]
Coming back to the issue of finances ....
35. How important a factor is a person's financial situation when it comes to whether or not they take part in such a program? Are financial issues more or less important than some of the other barriers we've discussed? Why do you say that? ASK ONLY IF NOT IDENTIFIED AT Q34
36. What are some of the financial barriers or obstacles someone might face when it comes to taking part in such a program? BE ATTENTIVE TO FINANCIAL BARRIERS LINKED TO COVID-19 (E.G., INCREASED TRAVEL COSTS/AIR FARE, FINANCIAL STRAIN DUE TO LOSS OF INCOME/INADEQUATE FINANCIAL AID, ETC.)
[ADJUST WORDING BASED ON EXTENT TO WHICH COVID-19/THE PANDEMIC HAS ALREADY BEEN IDENTIFIED]
[Coming back to / turning to] the issue of COVID-19/the pandemic …
37. What are some of the barriers or obstacles resulting from the pandemic that someone might face when it comes to taking part in such a program?
38. And, what about concerns…? What concerns might someone have about taking part in such a program in the post-pandemic environment?
39. All things considered, what was the main benefit/advantage you derived from taking part in this program? PROBE RE SKILLS DEVELOPMENT IF NOT MENTIONED
40. What suggestions would you make in order to facilitate and increase the participation of students in study/work abroad opportunities? Please think broadly in terms of anything that could help improve awareness of and access to such opportunities. [BE ATTENTIVE TO ANY SUBGROUP DIFFERENCES]
41. [ADJUST WORDING BASED ON WHERE PARTICIPANTS STUDIED/WORKED ABROAD] Can you think of ways to motivate or encourage students to study or work in non-traditional countries (e.g., countries other than the United States, United Kingdom, Australia, France, Germany)? Do you think COVID-19 will affect students' decisions to study in non-traditional countries, as they may be perceived as less safe?
Coming back to COVID-19 again…
42. Can you think of any advantages programs such as these might bring in a post-pandemic environment? [WAIT FOR TOP-OF-MIND RESPONSES BEFORE USING THE PROMPT] Put another way, how might programs such as these contribute to international recovery?
Communications (10 minutes)
The last few questions have to do with communications issues.
43. In your opinion, how widespread is awareness of programs such as the ones you took part in?
PRIVILEDGE Q.45 OVER Q.44 IF PRESSED FOR TIME
44. What would be the best way to ensure that students are aware about study/work abroad opportunities offered through their post-secondary institutions?
45. And what would be the best way to provide or make available information about such programs to students? In other words, once they are aware that such programs exist what would be the most effective way(s) to communicate information to them?
Conclusion (5 minutes)
We've covered a lot tonight and I really appreciate you taking the time to come and share your opinions. I'm going to leave the room now to check with the observers to see if there are any last questions for you. When I come back, I'm going to ask whether any of you has last thoughts that you want to give the Government of Canada about this topic.
MODERATOR WILL LEAVE THE ROOM AND CHECK WITH OBSERVERS TO SEE IF THERE ARE LAST QUESTIONS.
Thank you very much for your time. This concludes the discussion group.
Introduction (5 minutes)
Contexte/renseignements généraux (15 minutes)
Le point que vous avez tous en commun, et qui est la raison pour laquelle vous êtes ici ce soir, c'est que chacun d'entre vous a participé à un programme d'études et/ou de travail à l'étranger par l'entremise de l'établissement d'enseignement postsecondaire que vous fréquentez. Nous allons discuter de plusieurs aspects liés à votre expérience, mais j'aimerais commencer par quelques questions générales.
1. Le programme auquel vous avez participé visait-il du travail ou des études à l'étranger? S'IL S'AGIT DE TRAVAIL, DEMANDER SI LE TRAVAIL ÉTAIT RÉMUNÉRÉ ET S'IL COMPTAIT POUR DES CRÉDITS (P. EX., PAR L'ENTREMISE DU PROGRAMME D'ÉTUDES POSTSECONDAIRES DES PARTICIPANTS).
2. Où êtes-vous allé(e) pour votre session d'études/de travail à l'étranger? Est-ce qu'il s'agissait de votre premier choix? Si ce n'est pas le cas, quel était votre premier choix et pourquoi est-ce que cela n'a pas fonctionné?
3. Pourquoi avez-vous choisi l'endroit où vous êtes allé(e)? Quels facteurs ont infuencé votre choix de pays?
4. Combien de temps avez-vous passé à l'étranger dans le cadre de votre programme d'études/de travail?
Processus décisionnel (40 minutes)
J'aimerais maintenant vous parler de votre expérience ayant mené à votre décision de présenter une demande pour participer à une session d'études/de travail à l'étranger. Tout d'abord…
5. Comment avez-vous su que cette occasion d'études/de travail à l'étranger existait? [ÉCOUTER POUR SAVOIR SI LES PARTICIPANTS ONT CHERCHÉ DE MANIÈRE PROACTIVE À OBTENIR DES RENSEIGNEMENTS OU ONT REÇU DE L'INFORMATION]
6. Pourquoi vouliez-vous participer à un tel programme? Quel(s) facteur(s) vous a/ont motivé(e) à vouloir étudier/travailler à l'étranger?
7. Quels sont les avantages, s'il y a lieu, que vous désiriez retirer de cette expérience ou auxquels vous vous attendiez?
8. Pouvez-vous décrire le processus de réflexion ayant mené à votre décision de présenter une demande dans le cadre du programme? Lorsque vous réfléchissiez à la possibilité d'étudier/de travailler à l'étranger, à quoi pensiez-vous? [UTILISER UN TABLEAU À FEUILLES MOBILES POUR INSCRIRE LES RÉPONSES]
Explorer :
Tout le monde—
Explorer :
Étudiants handicapés—
Explorer :
Étudiants autochtones—
9. [MODIFIER LA FORMULATION DE LA QUESTION SELON LES COMMENTAIRES EN RÉPONSE À LA QUESTION PRÉCÉDENTE] Aviez-vous des craintes ou des préoccupations concernant votre participation au programme? Si c'est le cas, quelles étaient-elles?
ALTERNER L'ORDRE DES DEUX PROCHAINES QUESTIONS:
10. Est-ce que certains facteurs ont facilité votre processus décisionnel ou vous ont rendu la tâche plus facile? Si c'est le cas, lequels?
11. Est-ce que certains obstacles, défis ou difficultés ont rendu votre processus décisionnel encore plus compliqué? Si c'est le cas, lesquels? [PORTER ATTENTION AUX DÉFIS SOULEVÉS PAR LES MEMBRES DE SOUS-GROUPES PARTICULIERS]
SI DES DÉFIS/OBSTACLES SONT SOULEVÉS:
12. Avez-vous été en mesure de surmonter ce(s) défi(s)? Si c'est le cas, comment? Si ce n'est pas le cas, pourquoi pas?
13. Quels sont les renseignements/outils/ressources que vous avez consultés ou auxquels vous avez eu accès pour prendre votre décision?
14. Selon vous, avez-vous reçu suffisamment d'information au sujet du programme d'études/de travail à l'étranger par l'entremise de votre établissement d'enseignement postsecondaire? Autrement dit, l'établissement a-t-il fourni ou mis à votre disposition suffisamment de renseignements/d'outils/de ressources au sujet du programme? Si c'est le cas, pourquoi? Si ce n'est pas le cas, pourquoi pas?
15. Saviez-vous que du soutien financier était offert pour la participation à des occasions d'études/de travail à l'étranger? [COMPTER LES MAINS LEVÉES]
SI LES PARTICIPANTS SAVAIENT QU'IL EXISTE DU SOUTIEN FINANCIER:
16. Dites-moi ce que vous savez à ce sujet.
17. Connaissiez-vous d'autres types de soutien offerts aux participants des programmes d'études/de travail à l'étranger? Si c'est le cas, lesquels?
Expérience du programme (40 minutes)
J'aimerais maintenant aborder un autre aspect et discuter de votre expérience d'études et/ou de travail à l'étranger.
18. De manière générale, comment décririez-vous votre expérience d'études/de travail à l'étranger? Pourquoi dites-vous cela?
19. POSEZ SI LE TEMPS LE PERMET OU SI NON COUVERT À LA Q.18 Qu'avez-vous aimé de l'expérience?
20. POSEZ SI LE TEMPS LE PERMET OU SI NON COUVERT À LA Q.18 Y a-t-il quelque chose que vous n'avez pas aimé?
21. Avez-vous fait face à des défis, des difficultés ou des obstacles pendant vos études/votre travail à l'étranger? Si c'est le cas, quels étaient-ils? [PORTER ATTENTION AUX DÉFIS SOULEVÉS PAR LES MEMBRES DE SOUS-GROUPES PARTICULIERS] Avez-vous été en mesure de surmonter adéquatement ce(s) défi(s)? Pourquoi/pourquoi pas?
22. [MODIFIER LA FORMULATION DE LA QUESTION SELON LES COMMENTAIRES REÇUS] J'ai demandé tout à l'heure si vous saviez que du soutien financier était offert pour des occasions d'études et/ou de travail à l'étranger. Est-ce que certains d'entre vous ont reçu du soutien financier dans le cadre de leur programme d'études/de travail à l'étranger? [COMPTER LES MAINS LEVÉES]
23. Si vous avez reçu du soutien financier, quel impact, s'il y a lieu, ce soutien a-t-il eu sur votre expérience? Auriez-vous participé si vous n'aviez pas obtenu de soutien financier? Pourquoi/pourquoi pas?
24. Si vous n'avez pas reçu de soutien financier, quel impact, s'il y a lieu, ce soutien aurait-il eu, selon vous, sur votre expérience?
25. Quels autres types de soutien/d'outils, s'il y a lieu, vous ont été offerts dans le cadre de votre expérience à l'étranger?
26. Avez-vous utilisé l'un ou l'autre de ces types de soutien/d'outils pendant votre séjour à l'étranger? [COMPTER LES MAINS LEVÉES]
Pour les personnes ayant répondu oui:
27. Qu'avez-vous utilisé et pourquoi?
28. Quelle est votre impression des types de soutien que vous avez utilisés?
Pour les personnes ayant répondu non:
29. Y a-t-il une raison particulière pour laquelle vous n'avez pas utilisé l'un ou l'autre des types de soutien/d'outils offerts?
En réfléchissant au programme en général…
30. Selon votre expérience, que manquait-il, s'il y a lieu, à ce programme? Par exemple, aviez-vous des besoins, des attentes ou des exigences auxquels il n'a pas répondu? [PORTER ATTENTION AUX DIFFÉRENCES ENTRES LES SOUS-GROUPES]
31. POSER SI LE TEMPS LE PERMET Y a-t-il quelque chose que vous avez appris de votre expérience et que vous auriez aimé savoir avant d'aller à l'étranger? Si c'est le cas, qu'est-ce que c'est?
32. Si vous aviez la chance de participer de nouveau au programme, que feriez-vous de différent, s'il y a lieu? Pourquoi?
33. Quels conseils, s'il y a lieu, donneriez-vous à quelqu'un qui envisage de participer à un tel programme?
34. Selon vous, quels sont les plus importants obstacles possibles pour une personne qui participe à un programme d'études/de travail à l'étranger comme celui auquel vous avez pris part? [PORTER ATTENTION AUX DIFFÉRENCES ENTRE LES SOUS-GROUPES]
[MODIFIER LA FORMULATION DE LA QUESTION SELON LA MESURE DANS LAQUELLE DES OBSTACLES FINANCIERS ONT DÉJÀ ÉTÉ SOULEVÉS]
Revenons à la question des finances...
35. POSEZ SEULEMENT SI NON IDENTIFIÉ À LA Q.34 À quel point la situation financière d'une personne est-elle importante lorsque vient le temps de participer ou non à un tel programme? Les questions financières sont-elles plus ou moins importantes que certains autres obstacles dont nous avons parlé? Pourquoi dites-vous cela?
36. Quels sont certains des obstacles financiers auxquels une personne peut être confrontée lorsqu'il s'agit de prendre part à un tel programme? PORTER ATTENTION AUX OBSTACLES FINANCIERS LIÉS À LA COVID-19 (P. EX., COÛTS PLUS ÉLEVÉS POUR VOYAGER/BILLET D'AVION PLUS CHER, DIFFICULTÉS FINANCIÈRES EN RAISON D'UNE PERTE DE REVENUS/AIDE FINANCIÈRE INSUFFISANTE, ETC.)
[MODIFIER LA FORMULATION SELON LA MESURE DANS LAQUELLE LA COVID-19/PANDÉMIE A ÉTÉ MENTIONNÉE]
[Revenons à/parlons de] la question de la COVID-19/pandémie…
37. Quels sont certains des obstacles auxquels une personne qui désire participer à un tel programme pourrait être confrontée en raison de la pandémie?
38. Et qu'en est-il des préoccupations…? Quelles préoccupations pourrait-on avoir relativement à la participation à un tel programme dans un contexte post-pandémie?
Explorer :
En général—
Pendant une deuxième vague—
39. Tout compte fait, quel était le principal avantage de votre participation à ce programme? EXPLORER LE DÉVELOPPEMENT DE COMPÉTENCES SI NON MENTIONNÉ
40. Quelles seraient vos suggestions afin de faciliter et d'accroître la participation des étudiants aux occasions d'études/de travail à l'étranger? Veuillez penser de manière générale à ce tout ce qui pourrait aider à mieux faire connaître ces possibilités et à y accéder. [PORTER ATTENTION AUX DIFFÉRENCES ENTRE LES SOUS-GROUPES]
41. [MODIFIER LA FORMULATION DE LA QUESTION SELON L'ENDROIT OÙ LES PARTICIPANTS ONT ÉTUDIÉ/TRAVAILLÉ À L'ÉTRANGER] Pouvez-vous penser à des façons de motiver ou d'encourager les étudiants à étudier ou à travailler dans des pays non traditionnels (p. ex., pays autres que les États-Unis, le Royaume-Uni, l'Australie, la France et l'Allemagne)? Croyez-vous que la COVID-19 aura une incidence sur la décision des étudiants d'étudier dans des pays non traditionnels, qui pourraient être perçus comme étant moins sécuritaires?
Revenons encore une fois à la COVID-19…
42. Pouvez-vous penser à des avantages que de tels programmes pourraient offrir dans un contexte post-pandémie? [ATTENDRE D'OBTENIR DES RÉPONSES SPONTANÉES AVANT DE FAIRE MENTION DE POSSIBILITÉS] Autrement dit, comment de tels programmes pourraient-ils contribuer à un rétablissement à l'échelle internationale?
Communications (10 minutes)
Les dernières questions ont trait aux enjeux liés à la communication.
43. À votre avis, dans quelle mesure sont connus les programmes comme celui auquel vous avez participé?
SI LE TEMPS NE PERMET PAS LES DEUX QUESTIONS, POSEZ LA Q. 45
44. Quelle serait la meilleure façon de s'assurer que les étudiants connaissent les occasions d'étudier/de travailler à l'étranger offertes par leurs établissements d'enseignement postsecondaire?
45. Et quelle serait la meilleure façon de fournir aux étudiants de l'information au sujet de ces programmes ou de mettre ces renseignements à leur disposition? Autrement dit, une fois qu'ils savent que de tels programmes existent, quelles seraient les meilleures façons de leur communiquer de l'information?
Conclusion (5 minutes)
Nous avons parlé de plusieurs sujets ce soir et j'apprécie vraiment que vous ayez pris le temps de participer et de nous faire part de vos opinions. Je vais maintenant quitter la pièce pour voir si les observateurs ont d'autres questions à vous poser. À mon retour, je vous demanderai de nous faire part des dernières réflexions que vous aimeriez communiquer au gouvernement du Canada au sujet des thèmes abordés, si vous en avez.
LE MODÉRATEUR QUITTERA LA PIÈCE ET IRA VOIR SI LES OBSERVATEURS ONT D'AUTRES QUESTIONS.
Nous vous remercions pour votre temps. Le groupe de discussion est maintenant terminé.
Introduction (5 minutes)
Context/background (15 minutes)
When we recruited you for this research, you indicated that you have not participated in a study and/or work abroad program through the post-secondary institution you attend, despite having interest in doing
1. How interested are you in an opportunity to participate in a study/work abroad program as part of your post-secondary studies? NOTE TO MODERATOR: THE FOCUS HERE IS ON 'INTEREST' REGARDLESS OF CHALLENGES, BARRIERS, OBSTACLES. CLARIFY THIS IF AND AS NEEDED. IF COVID-19/THE PANDEMIC IS MENTIONED, ACKNOWLEDGE THIS AND ASK PARTICIPANTS TO SET THIS ASIDE BECAUSE WE WILL COME TO IT LATER IN THE DISCUSSION.
2. Why are you interested in participating in such a program? What factor(s) motivate you to want to study/work abroad and what benefits, if any, would you hope or expect to derive from that experience?
3. Given the opportunity, where would you choose to go for a study/work term abroad? Why is that?
4. Does your post-secondary institution offer students the opportunity to study/work abroad?
IF YES:
5. How familiar are you with the study/work abroad program offered through your post-secondary institution? What do you know about it?
6. Given your interest, have you taken any kind of action? What action(s), if any, have you taken in this regard? NOTE TO MODERATOR: THE FOCUS AT THIS POINT IS ON THINGS THEY HAVE DONE, NOT FACTORS THEY CONSIDERED SUCH AS THE PROS AND CONS OF STUDYING/WORKING ABROAD
Considerations and challenges related to study/work abroad (50 minutes)
I would like to discuss issues related to accessing study and work abroad opportunities. To begin with …
7. Can you describe or walk me through your thought process regarding the possibility of taking part in a study/work abroad program? What did you consider when thinking about the possibility of studying/working abroad? Were certain considerations more important than others? If so, which one(s) and why? NOTE TO MODERATOR: THE FOCUS AT THIS POINT IS ON WHAT PARTICIPANTS CONSIDERED AS PART OF THEIR DECISION-MAKING PROCESS, NOT THE REASONS WHY THEY DID NOT TAKE PART/APPLYING. CLARIFY IF/AS NEEDED
8. What information/tools/resources did you access/consult as part of this process?
IF CONSULTED/HAD DISCUSSIONS WITH ANYONE:
9. Who did you have discussions with? PROBE: parent/family member, friend, partner, advisor/counsellor, classmate/colleague, former participant? What did you discuss? Were the discussions ongoing or one time-only?
10. Do you feel you are sufficiently informed about the study/work abroad program offered through your post-secondary institution? In other words, do you have enough information/tools/resources to make an informed decision? If so why? If not, why not?
I'd like to ask you more specifically about the pros and cons you considered.
ROTATE NEXT 2 QUESTIONS:
Given your circumstances, and setting aside the pandemic,
11. What considerations or factors, if any, have been most influential in terms of encouraging you to consider applying?
IF COVID-19 IS RAISED, REMIND PARTICIPANTS THAT THIS WILL BE DISCUSSED SHORTLY.
12. What considerations or factors, if any, have been most influential in terms of discouraging you or dissuading you from applying? BE ATTENTIVE TO DIFFERENCES BETWEEN MEMBERS OF SUBGROUPS AND BETWEEN UNIVERSITY AND COLLEGE STUDENTS, AS WELL AS DIFFERENCES BETWEEN DOMESTIC FACTORS (E.G., NOT WANTING TO DELAY GRADUATION) AND FACTORS RELATED TO BEING ABROAD (E.G., FEAR OF NOT BEING SUFFICIENTLY ACCOMMODATED IN ANOTHER COUNTRY)
13. All things considered, what factor(s) was/were most important or influential in your decision not to participate in a study/work abroad program? BE ATTENTIVE TO DIFFERENCES BETWEEN MEMBERS OF SPECIFIC SUBGROUPS AND BETWEEN UNIVERSITY AND COLLEGE STUDENTS. ALSO BE ATTENTIVE TO FACTORS IDENTIFIED BY ANY PARTICIPANTS WHO ACTUALLY APPLIED FOR A STUDY/WORK ABROAD PROGRAM BUT WHO CHANGED THEIR MIND
14. How would you characterize the impact or influence of this/these factor(s)? For example, do you see them as complications/inconveniences you were unprepared/unwilling to deal with, challenges/problems that were difficult to address/resolve?, or barriers/obstacles making participation impossible/impractical/unrealistic?
15. Did you make any inquiries about supports or resources available to address this/these challenge(s)? If so, what did you find? If not, why not?
16. Are you aware that financial support is available for study/work abroad opportunities? [HAND COUNT]
IF AWARE OF FINANCIAL SUPPORT:
17. Tell me what you know about it.
18. Did you apply for financial assistance? If yes, what happened? If not, why not?
19. Are you aware of any other types of supports/resources available to people considering study/work abroad programs? If so, what?
IF AWARE OF OTHER KINDS OF SUPPORT:
20. Did you try to access/look into accessing any of these? If yes, what happened? If not, why not?
21. What, if anything, would have to be in place or available to you in terms of supports, resources or tools that would realistically allow you to take part in such a program?
22. All things considered, what would you identify as the most important potential barrier(s) to someone taking part in a study/work abroad program? BE ATTENTIVE TO BARRIERS IDENTIFIED BY MEMBERS OF SPECIFIC SUBGROUPS
[ADJUST WORDING BASED ON EXTENT TO WHICH FINANCIAL BARRIERS HAVE ALREADY BEEN IDENTIFIED]
Coming back to the issue of finances…
23. How important a factor is a person's financial situation when it comes to whether or not they take part in such a program? Are financial issues more or less important than some of the other barriers we've discussed? Why do you say that?
24. What are some of the financial barriers or obstacles someone might face when it comes to taking part in such a program?
[ADJUST WORDING BASED ON EXTENT TO WHICH COVID-19/THE PANDEMIC HAS ALREADY BEEN IDENTIFIED]
Coming back to COVID-19/the pandemic …
25. What are some of the barriers or obstacles resulting from the pandemic that someone might face when it comes to taking part in such a program?
26. And, what about concerns…? What concerns might someone have about taking part in such a program in the post-pandemic environment?
Probe:
In general—
During a 2nd wave—
27. To what extent, if at all, has COVID-19 and the current environment affected your interest in the possibility of taking part in a study/work abroad program Why is that?
Feedback on program and suggestions for improvement (25 minutes)
28. Do you know anyone in circumstances similar to your own that has participated in a study/work abroad program? NOTE TO MODERATOR: IF PARTICIPANTS KNOW NO ONE IN CIRCUMSTANCES SIMILAR TO THEIR OWN, ASK IF THEY KNOW ANYONE WHO HAS TAKEN PART. IF SO, ASK NEXT 2 QUESTIONS
IF YES:
29. Have you spoken to them about their experience studying/working abroad? If so, what did they say about it? Did they enjoy the experience?
30. What challenges, if any, did they face? How did they deal with the challenges they faced/experienced?
31. What suggestions would you make in order to facilitate and increase the participation of students in study/work abroad opportunities? Please think broadly in terms of anything that could help improve awareness of and access to such opportunities. BE ATTENTIVE TO SUBGROUP DIFFERENCES AND DIFFERENCES BETWEEN COLLEGE AND UNIVERSITY STUDENTS
32. Can you think of ways to motivate or encourage students to study or work in non-traditional countries (e.g., countries other than the United States, United Kingdom, Australia, France, Germany)?
33. Why do you think students are more likely to be attracted to countries like the United States, United Kingdom, Australia, France, and Germany in terms of study/work abroad opportunities?
Coming back to COVID-19 again…
34. Do you think COVID-19 will affect your decision (or other students' decisions) to study in non-traditional countries, as they may be perceived to be less safe?
35. Can you think of any advantages programs such as these might bring in a post-pandemic environment? [WAIT FOR TOP-OF-MIND RESPONSES BEFORE USING THE PROMPT] Put another way, how might programs such as these contribute to international recovery?
Communications (15 minutes)
The last few questions have to do with communications issues.
36. In your opinion, how widespread is awareness of study/work abroad programs? Why do you say that?
37. What would be the best way to ensure that students are aware about study/work abroad opportunities offered through their post-secondary institutions?
38. And what would be the best way to provide or make available information about such programs to students? In other words, once they are aware that such programs exist what would be the most effective way(s) to communicate information to them?
Conclusion (5 minutes)
We've covered a lot tonight and I really appreciate you taking the time to come and share your opinions. I'm going to check with the observers to see if there are any last questions for you and then I'm going to ask whether any of you has last thoughts that you want to give the Government of Canada about this topic.
Thank you very much for your time. This concludes the discussion group.
Introduction (5 minutes)
Contexte/renseignements généraux (15 minutes)
Lorsque nous vous avons recrutés pour les fins de cette recherche, vous avez indiqué que vous n'aviez pas participé à un programme d'études et/ou de travail à l'étranger par l'entremise de l'établissement d'enseignement que vous fréquentiez, et ce, même si vous en aviez manifesté l'intérêt.
1. Dans quelle mesure êtes-vous intéressé(e) à participer à un programme d'études/de travail à l'étranger dans le cadre de vos études postsecondaires? NOTE À L'INTENTION DU MODÉRATEUR : ON VISE ICI À OBTENIR DES RENSEIGNEMENTS SUR L'« INTÉRÊT », PEU IMPORTE LES DÉFIS, LES DIFFICULTÉS ET LES OBSTACLES. LE PRÉCISER, AU BESOIN. SI UN PARTICIPANT FAIT MENTION DE LA COVID-19/PANDÉMIE, RECONNAÎTRE QU'IL S'AGIT D'UN ENJEU ET DEMANDER AUX PARTICIPANTS DE LE METTRE DE CÔTÉ PARCE QUE CE SERA ABORDÉ PLUS TARD DANS LA DISCUSSION.
2. Pourquoi êtes-vous intéressé(e) à participer à un tel programme? Quel(s) facteur(s) vous motive(nt) à vouloir étudier/travailler à l'étranger et quels sont les avantages, s'il y a lieu, que vous espérez retirer de cette expérience ou auxquels vous vous attendez?
3. Si vous aviez l'occasion d'étudier ou de travailler à l'étranger, où choisiriez-vous d'aller? Pourquoi?
4. Votre établissement d'enseignement postsecondaire offre-t-il aux étudiants l'occasion d'étudier/de travailler à l'étranger?
SI LA RÉPONSE EST OUI:
5. Dans quelle mesure connaissez-vous le programme d'études/de travail à l'étranger offert par votre établissement d'enseignement postsecondaire? Que savez-vous à ce sujet?
6. Étant donné votre intérêt, avez-vous effectué certaines démarches? Quelle(s) démarche(s), s'il y a lieu, avez-vous entreprise(s) à cet égard? NOTE À L'INTENTION DU MODÉRATEUR: ON MET L'ACCENT ICI SUR LES GESTES POSÉS ET NON SUR LES FACTEURS PRIS EN CONSIDÉRATION, NOTAMMENT LES AVANTAGES ET LES DÉSAVANTAGES D'ÉTUDIER/DE TRAVAILLER À L'ÉTRANGER
Considérations et défis liés à un programme d'études/de travail à l'étranger (50 minutes)
J'aimerais maintenant discuter des enjeux liés à l'accès aux occasions d'études et de travail à l'étranger. Pour commencer…
7. Pouvez-vous décrire ou m'expliquer le processus de réflexion concernant la possibilité d'étudier/de travailler à l'étranger? Lorsque vous réfléchissiez à la possibilité d'étudier/de travailler à l'étranger, à quoi pensiez-vous? Certaines considérations étaient-elles plus importantes que d'autres? Si c'est le cas, quelles étaient-elles et pourquoi? NOTE À L'INTENTION DU MODÉRATEUR: ON MET L'ACCENT ICI SUR LES CONSIDÉRATIONS DES PARTICIPANTS LORS DU PROCESSUS DÉCISIONNEL ET NON SUR LES RAISONS POUR LESQUELLES ILS N'ONT PAS PARTICIPÉ/PRÉSENTÉ UNE DEMANDE. LE PRÉCISER, AU BESOIN.
8. Quels sont les renseignements/outils/ressources que vous avez consultés ou auxquels vous avez eu accès pour prendre votre décision?
SI LES PARTICIPANTS ONT CONSULTÉ UNE PERSONNE/DISCUTÉ AVEC QUELQU'UN:
9. Avec qui avez-vous discuté? EXPLORER: parent/membre de la famille, ami, partenaire, conseiller, camarade de classe/collègue, ancien participant? De quoi avez-vous discuté? Avez-vous eu bon nombre de discussions ou en avez-vous parlé une seule fois?
10. Selon vous, recevez-vous suffisamment d'information au sujet du programme d'études/de travail à l'étranger par l'entremise de votre établissement d'enseignement postsecondaire? Autrement dit, avez-vous suffisamment de renseignements/d'outils/de ressources pour prendre une décision éclairée? Si c'est le cas, pourquoi? Si ce n'est pas le cas, pourquoi pas?
J'aimerais maintenant vous poser plus précisément des questions au sujet des avantages et des inconvénients auxquels vous avez pensé.
ALTERNER L'ORDRE DES DEUX PROCHAINES QUESTIONS:
Étant donné vos circonstances et sans tenir compte de la pandémie,
11. Quelles considérations ou quels facteurs, s'il y a lieu, vous ont le plus incité(e) à envisager de présenter une demande?
SI UN PARTICIPANT FAIT MENTION DE LA COVID-19, RAPPELER AUX PARTICIPANTS QUE CET ENJEU SERA ABORDÉ SOUS PEU.
12. Quelles considérations ou quels facteurs, s'il y a lieu, vous ont le plus découragé(e) ou dissuadé(e) de de présenter une demande? PORTER ATTENTION AUX DIFFÉRENCES ENTRE LES MEMBRES DES SOUS-GROUPES ET ENTRE LES ÉTUDIANTS DES UNIVERSITÉS ET DES COLLÈGES, AINSI QU'AUX DIFFÉRENCES ENTRE LES FACTEURS AU PAYS (P. EX., NE PAS VOULOIR RETARDER L'OBTENTION DU DIPLÔME) ET LES FACTEURS LIÉS AU SÉJOUR À L'ÉTRANGER (P. EX., CRAINTE DE NE PAS AVOIR SUFFISAMMENT DE MESURES D'ACCOMMODEMENT DANS UN AUTRE PAYS).
13. Tout compte fait, quel(s) facteur(s) a/ont été le(s) plus important(s) dans votre décision de ne pas participer à un programme d'études/de travail à l'étranger? PORTER ATTENTION AUX DIFFÉRENCES ENTRE LES MEMBRES DE SOUS-GROUPES PARTICULIERS ET ENTRE LES ÉTUDIANTS DES UNIVERSITÉS ET DES COLLÈGES. PORTER ÉGALEMENT ATTENTION AUX FACTEURS SOULEVÉS PAR DES PARTICIPANTS QUI ONT PRÉSENTÉ UNE DEMANDE POUR PARTICIPER À UN PROGRAMME D'ÉTUDES/DE TRAVAIL À L'ÉTRANGER, MAIS QUI ONT FINALEMENT CHANGÉ D'IDÉE.
14. Comment décririez-vous l'impact ou l'influence de ce(s) facteur(s)? Par exemple, estimez-vous qu'ils sont des complications/inconvénients que vous n'étiez pas prêt(e)/désireux(euse) d'affronter, des défis/problèmes qui étaient difficiles à surmonter/résoudre, ou des obstacles rendant la participation impossible/non pratique/irréaliste?
15. Vous êtes-vous renseigné(e) au sujet des types de soutien ou des ressources disponibles pour surmonter ce(s) défi(s)? Si c'est le cas, qu'avez-vous trouvé? Si ce n'est pas le cas, pourquoi pas?
16. Savez-vous que du soutien financier est offert pour la participation à des occasions d'étudier/de travailler à l'étranger? [COMPTER LES MAINS LEVÉES]
SI LES PARTICIPANTS SAVENT QU'IL EXISTE DU SOUTIEN FINANCIER:
17. Dites-moi ce que vous savez à ce sujet.
18. Avez-vous présenté une demande pour obtenir du soutien financier? Si c'est le cas, que s'est-il produit? Si ce n'est pas le cas, pourquoi pas?
19. Connaissez-vous d'autres types de soutien/ressources offerts aux personnes qui aimeraient étudier/travailler à l'étranger? Si c'est le cas, quels sont-ils?
SI LES PARTICIPANTS SAVENT QU'IL EXISTE D'AUTRES TYPES DE SOUTIEN:
20. Avez-vous essayé d'obtenir d'autres types de soutien ou vous êtes-vous renseigné(e) pour en obtenir? Si c'est le cas, que s'est-il produit? Si ce n'est pas le cas, pourquoi pas?
21. Pour que vous puissiez de manière réaliste envisager de prendre part à un tel programme, quels types de soutien, de ressources ou d'outils devraient être en place ou vous être offerts?
22. Tout compte fait, quel(s) est/sont, selon vous, le(s) plus important(s) obstacles à la participation à un programme d'études/de travail à l'étranger? PORTER ATTENTION AUX OBSTACLES SOULEVÉS PAR LES MEMBRES DE SOUS-GROUPES PARTICULIERS.
[MODIFIER LA FORMULATION SELON LA MESURE DANS LAQUELLE LES OBSTACLES FINANCIERS ONT ÉTÉ SOULEVÉS]
Revenons à la question des finances...
23. À quel point la situation financière d'une personne est-elle importante lorsque vient le temps de décider de participer ou non à un tel programme? Les questions financières sont-elles plus ou moins importantes que certains autres obstacles dont nous avons parlé? Pourquoi dites-vous cela?
24. Quels sont certains des obstacles financiers auxquels une personne peut être confrontée lorsqu'il s'agit de prendre part à un tel programme?
[MODIFIER LA FORMULATION SELON LA MESURE DANS LAQUELLE LA COVID-19/PANDÉMIE A ÉTÉ MENTIONNÉE]
Revenons à la question de la COVID-19/pandémie…
25. Quels sont certains des obstacles auxquels une personne qui désire participer à un tel programme pourrait être confrontée en raison de la pandémie?
26. Et qu'en est-il des préoccupations…? Quelles préoccupations pourrait-on avoir relativement à la participation à un tel programme dans un contexte post-pandémie?
Explorer :
En général—
Pendant une deuxième vague—
27. Dans quelle mesure, s'il y a lieu, la COVID-19 et le contexte actuel ont-ils eu une incidence sur votre intérêt à participer à un programme d'études/de travail à l'étranger? Pourquoi?
Commentaires sur le programme et suggestions aux fins d'amélioration (25 minutes)
28. Connaissez-vous quelqu'un dans des circonstances semblables aux vôtres qui a participé à un programme d'études/de travail à l'étranger? NOTE À L'INTENTION DU MODÉRATEUR: SI LES PARTICIPANTS NE CONNAISSENT PERSONNE DANS DES CIRCONSTANCES SEMBLABLES AUX LEURS, DEMANDER S'ILS CONNAISSENT QUELQU'UN AYANT PARTICIPÉ À UN TEL PROGRAMME. SI C'EST LE CAS, POSER LES DEUX PROCHAINES QUESTIONS.
SI C'EST LE CAS:
29. Lui avez-vous parlé de son expérience d'études/de travail à l'étranger? Si c'est le cas, qu'a dit la personne à ce sujet? A-t-elle aimé son expérience?
30. À quels défis, s'il y a lieu, a-t-elle été confrontée? Comment a-t-elle composé avec ces défis?
31. Quelles seraient vos suggestions afin de faciliter et d'accroître la participation des étudiants aux occasions d'études/de travail à l'étranger? Veuillez penser de manière générale à ce tout ce qui pourrait aider à mieux faire connaître ces possibilités et à y accéder. PORTER ATTENTION AUX DIFFÉRENCES ENTRE LES SOUS-GROUPES PARTICULIERS ET AUX DIFFÉRENCES ENTRE LES ÉTUDIANTS DES UNIVERSITÉS ET DES COLLÈGES.
32. Pouvez-vous penser à des façons de motiver ou d'encourager les étudiants à étudier ou à travailler dans des pays non traditionnels (p. ex., pays autres que les États-Unis, le Royaume-Uni, l'Australie, la France et l'Allemagne)?
33. Selon vous, pourquoi les étudiants sont-ils plus susceptibles d'être attirés par des pays comme les États-Unis, le Royaume-Uni, l'Australie, la France et l'Allemagne pour des occasions d'études/de travail à l'étranger? Croyez-vous que la COVID-19 aura une incidence sur votre décision (ou la décision d'autres étudiants) d'étudier dans des pays non traditionnels, qui pourraient être perçus comme étant moins sécuritaires?
Revenons encore une fois à la COVID-19…
34. Pouvez-vous penser à des avantages que de tels programmes pourraient offrir dans un contexte post-pandémie? [ATTENDRE D'OBTENIR DES RÉPONSES SPONTANÉES AVANT DE FAIRE MENTION DE POSSIBILITÉS] Autrement dit, comment de tels programmes pourraient-ils contribuer à un rétablissement à l'échelle internationale?
Communications (15 minutes)
Les dernières questions ont trait aux enjeux liés à la communication.
35. À votre avis, dans quelle mesure sont connus les programmes d'études/de travail à l'étranger? Pourquoi dites-vous cela?
36. Quelle serait la meilleure façon de s'assurer que les étudiants connaissent les occasions d'étudier/de travailler à l'étranger offertes par leurs établissements d'enseignement postsecondaire?
37. Et quelle serait la meilleure façon de fournir aux étudiants de l'information au sujet de ces programmes ou de mettre ces renseignements à leur disposition? Autrement dit, une fois qu'ils savent que de tels programmes existent, quelles seraient les meilleures façons de leur communiquer de l'information?
Conclusion (5 minutes)
Nous avons parlé de plusieurs sujets ce soir et j'apprécie vraiment que vous ayez pris le temps de participer et de nous faire part de vos opinions. Je vais maintenant quitter la pièce pour voir si les observateurs ont d'autres questions à vous poser. À mon retour, je vous demanderai de nous faire part des dernières réflexions que vous aimeriez communiquer au gouvernement du Canada au sujet des thèmes abordés, si vous en avez.
LE MODÉRATEUR QUITTERA LA PIÈCE ET IRA VOIR SI LES OBSERVATEURS ONT D'AUTRES QUESTIONS.
Nous vous remercions de votre temps. Le groupe de discussion est maintenant terminé.
Location | Visited (Participants) | Want to visit (Non-participants) | Total |
---|---|---|---|
Europe | 24 | 33 | 57 |
Europe (unspecified) | - | 7 | 7 |
Austria | - | 1 | 1 |
Belgium | 1 | 1 | 2 |
Denmark | 1 | - | 1 |
England | 7 | 3 | 10 |
Finland | 2 | 2 | 4 |
France | 2 | 5 | 7 |
Germany | 2 | 5 | 7 |
Ireland | 1 | 1 | 2 |
Italy | - | 1 | 1 |
Netherlands | 1 | 1 | 2 |
Norway | - | 4 | 4 |
Scotland | 2 | 1 | 3 |
Spain | 4 | 1 | 5 |
Sweden | 1 | - | 1 |
Asia | 6 | 9 | 15 |
China | 2 | 2 | 4 |
Hong Kong | 1 | 1 | |
Japan | 3 | 4 | 7 |
South Korea | 1 | 2 | 3 |
Australia | 8 | 4 | 12 |
New Zealand | 2 | 1 | 3 |
Africa | 1 | 4 | 5 |
Africa (unspecified) | - | 1 | 1 |
Kenya | 1 | - | 1 |
Rwanda | - | 1 | 1 |
Senegal | - | 1 | 1 |
South Africa | - | 1 | 1 |
U.S.A. | 1 | 3 | 4 |
Latin America | 1 | 3 | 4 |
Latin America (unspecified) | - | 3 | 3 |
Ecuador | 1 | - | 1 |
Par la présente, je certifie, à titre de cadre dirigeant de Phoenix Strategic Perspectives, que les produits livrables fournis sont en tous points conformes aux exigences en matière de neutralité politique formulées dans la Politique sur les communications et l’image de marque du gouvernement du Canada et dans la Procédure de planification et d’attribution de marchés de services de recherche sur l’opinion publique. Plus précisément, les produits livrables fournis ne contiennent aucune référence à des intentions de vote électoral, aux préférences quant aux partis politiques, aux positions des partis en ce qui a trait aux électeurs ou à l’évaluation de la performance d’un parti politique ou de son dirigeant.
Signed:
Alethea Woods
Président
Phoenix SPI
[1] Un entretien s’est tenu en mars (le 26 mars 2020), avant l’interruption des travaux liée à la COVID-19.
[2] Un entretien s’est tenu en mars (le 26 mars 2020), avant l’interruption des travaux liée à la COVID-19.
[3] Afin d’éviter les répétitions, les suggestions concernant les moyens de faire connaître le programme et les moyens de mettre les informations à la disposition des étudiants figurent dans la section sur les communications, où les étudiants ont été interrogés précisément sur ces deux questions.
[4] Les suggestions formulées spécifiquement ou principalement par des participants autochtones sont indiquées par un astérisque simple (*), et les suggestions faites spécifiquement ou principalement par des étudiants handicapés sont indiquées par un astérisque double (**).
[5] Un entretien s’est tenu en mars (le 26 mars 2020), avant l’interruption des travaux liée à la COVID-19.
[6] Le recrutement de la population cible était considéré comme un défi majeur au moment de la conception de cette recherche. Même si aucun taux d’incidence fiable n’était disponible pour éclairer la conception, il était entendu que cette population présentait une faible incidence. Les méthodes de recrutement utilisées traditionnellement pour les recherches qualitatives ne seraient pas suffisantes pour recruter cette population. Au lieu de cela, des intermédiaires tiers ont été engagés pour promouvoir l’étude.
[7] Ce chiffre est approximatif, car plusieurs groupes étaient mixtes, c’est-à-dire qu’ils se composaient à la fois d’étudiants des collèges et d’étudiants des universités.