Environnement et Changement climatique Canada
Campagne publicitaire sur le patrimoine naturel
Pré et post OECP et test de concept
Sommaire exécutif
Juillet 2019
Préparé pour :
Environnement et Changement climatique Canada
Fournisseur : Le groupe-conseil Quorus Inc.
Date d’octroi du contrat : 21 décembre 2018
Date de livraison : juillet 2019
Valeur du contrat (TVH incluse) : 77 519,70 $
Numéro de contrat : K0A34-190909/001/CY
Numéro de ROP : 098-18
Pour de plus amples renseignements,
communiquer avec :
ec.rop-por.ec@canada.ca
Attestation de neutralité politique
J’atteste, par les présentes, à titre de
cadre dirigeant du groupe-conseil Quorus Inc., que les produits livrables sont
entièrement conformes aux exigences en matière de neutralité politique du
gouvernement du Canada énoncées dans la Politique sur les communications et l’image de marque et la Directive sur la gestion des communications – Annexe C.
Plus précisément, les produits livrables ne
comprennent pas d’information sur les intentions de vote électoral, les
préférences quant aux partis politiques, les positions des partis ou
l’évaluation de la performance d’un parti politique ou de ses dirigeants.
Signé :
Rick Nadeau, président
Le groupe-conseil Quorus Inc.
Table des matières
Le Canada s’est engagé, d’ici 2020, à conserver
au moins 17 % de ses terres et de ses eaux intérieures et 10 % de ses
zones côtières et marines au moyen de réseaux d’aires protégées et d’autres
mesures efficaces de conservation par zone. Comme décrit dans le budget de
2018, le programme Patrimoine naturel permettra au Canada d’atteindre
l’objectif de 17 %. Assortie
de 18 cibles, cette initiative a pour objectif fondamental la protection et
l’utilisation durable de la biodiversité. Elle veut notamment inciter les
Canadiens à agir pour la protection de la nature, et renforcer la durabilité
des ressources naturelles dans les secteurs de la foresterie, de la pêche, de
l’agriculture et de l’aquaculture. Tous les travaux de recherche associés au Patrimoine naturel
profiteront aux Canadiens en favorisant de meilleures communications.
Quorus a mené une recherche qualitative au
moyen de groupes de discussion afin de recueillir les commentaires de certains auditoires
cibles sur plusieurs concepts et messages envisagés pour divers formats,
plateformes et canaux de publicité. L’étude comportait également un sondage en
ligne qui avait pour but d’évaluer la campagne publicitaire, avant et après son
lancement.
La recherche comportait deux volets
qualitatifs – l’un tenu avant la campagne (phase 1), l’autre, après
(phase 2) – qui couvraient deux séries de publicités distinctes. La
phase 1 a servi à tester les publicités associées à la campagne, tandis
que la phase 2 concernait les publicités axées sur l’engagement du public
et invitant sa participation dans les médias sociaux. Au début de chaque
séance, les participants ont été informés du but de la recherche, du nombre de
concepts qui seraient examinés, ainsi que des médias utilisés pour chaque concept.
Voici les commentaires généraux recueillis sur les concepts A, B et C
pré-campagne :
- Les participants ont apprécié les images
d’animaux, dont plusieurs sont une représentation évidente du Canada (ours
polaires, orignal/caribou, saumon) et d’autres qui pourraient devenir des
espèces en péril. Selon eux, les images de la faune canadienne sont
représentatives de la nature.
- Aucun des concepts n’illustre la
condition actuelle de l’environnement au Canada ou son état de
détérioration. De façon générale, la campagne est perçue comme
« jouant de prudence ».
- La majorité des
participants ont trouvé que le message ou l’appel à l’action n’étaient pas
toujours clairs, puisqu’ils ignoraient parfois
ce qu’ils devaient faire après avoir vu les publicités. Bon nombre d’entre
eux ont cru comprendre qu’il fallait protéger l’environnement, mais
plusieurs ignoraient quels étaient les gestes à poser, autre que ramasser
les déchets ou au-delà de ce qu’ils font déjà pour protéger
l’environnement.
- La plupart avaient l’impression qu’ils
devaient consulter le site Web pour obtenir plus d’informations sur les
moyens à prendre pour protéger l’environnement. Bien que bon nombre
d’entre eux s’entendaient pour dire que c’était une bonne idée de
sensibiliser la population à l’importance de protéger l’environnement,
plusieurs auraient préféré que les publicités soient plus explicites quant
aux moyens à prendre pour ce faire.
- Personne n’a aimé que le texte soit
imprimé à la verticale sur les colonnes promotionnelles. On a jugé que la
plupart des colonnes contenaient trop de texte, que les caractères étaient
trop gros et que le contenu présenté dans les deux langues officielles recouvrait
en grande partie les images. Certains ont ajouté que la concision du texte
rend le message encore plus flou.
- Bien qu’aucun participant ne se
souviendrait de ces vidéos si elles étaient présentées dans une
bande-annonce au cinéma, quelques-uns ont affirmé que s’ils les voyaient
dans des salles de cinéma ou d’autres lieux publics, cela piquerait leur
curiosité et les inciterait à vouloir en apprendre davantage ou à chercher
le lien.
- La majorité des participants ont dit
qu’ils choisiraient d’ignorer ces vidéos si elles étaient présentées avant
celles qu’ils désirent voir sur YouTube, comme ils le font déjà pour
toutes les autres publicités.
- Le mot-symbole du gouvernement du Canada
a rassuré les participants quant à la légitimité de l’initiative faisant
l’objet de la publicité. Bon nombre d’entre eux avaient le sentiment que
le gouvernement était le seul à pouvoir faire une différence pour protéger
l’environnement ou qu’il avait un rôle plus important à jouer.
- À
l’unanimité, les participants n’ont pas compris la signification de «
17 % du Canada » ou de « doubler la protection ». Au final, ils
n’ont pas compris ce que fait exactement le gouvernement, si ce n’est que
« quelque chose ».
- À la fin, les participants devaient
évaluer chacun des concepts pour son contenu et la présentation générale
des éléments, et choisir celui qui réussit le mieux à communiquer les
objectifs suivants : 1) Les encourager à
participer aux activités visant à protéger nos terres, nos océans et nos
espèces; 2) Les encourager à vivre l’expérience de la nature en
s’informant et en participant aux efforts de conservation, grâce aux
activités et aux outils d’apprentissage à leur disposition, comme visiter
le site Web, une réserve nationale de faune ouverte au public ou un parc
national. Le concept A s’est avéré le favori des
participants des groupes de discussion et a été perçu comme communiquant
le mieux les objectifs de la campagne.
- Les slogans qui devaient être utilisés
pour les mots-clics de la campagne ont également été testés avec tous les
groupes de discussion. « Notre nature » et « Protéger la
nature » se sont classés ex aequo au premier rang, alors que « Le
patrimoine naturel du Canada » était le dernier choix.
Évaluation du concept A
De façon générale, le concept A a suscité
des réactions très favorables de la part des participants. Selon eux, le
message était clair et les images, appropriées. Ils ont trouvé le concept
intéressant et convaincant en ce qui concerne le besoin de protéger
l’environnement.
Il semble que les participants aient retenu
deux messages en regardant tous les éléments de ce concept :
- Nous (les Canadiens) devons protéger
l’environnement.
- Le gouvernement fait quelque chose pour protéger
l’environnement.
Plusieurs aspects de cette campagne ont plu
aux participants :
- Dans l’ensemble, les images étaient
belles et claires, ce qui les rend attrayantes et accrocheuses.
Plusieurs participants les ont qualifiées d’intelligentes et positives.
- Les ours polaires ont été
considérés comme représentant bien la faune canadienne.
- Le texte était simple et transmettait un message, sans qu’il soit nécessaire
d’encombrer l’espace restreint, en particulier sur les affiches, où les
mots clés étaient mis en évidence et en plus gros caractères,
comparativement aux autres concepts.
- Les mentions « C’est dans notre nature
» et #NotreNature (comme illustré dans les concepts ci-dessous) ont
suscité des réactions favorables puisqu’elles attribuent aux Canadiens la
responsabilité de protéger la nature.
- De nombreux participants se voyaient
prendre une photo ou une vidéo d’eux-mêmes avec comme toile de fond le
paysage qui s’offre à eux lors d’une excursion ou d’un voyage, pour
l’afficher dans les médias sociaux. Dans ce contexte, la majorité a aimé
l’image de l’homme qui se filmait devant les montagnes.
- Bien que l’appel à l’action reste ambigu
pour l’ensemble des concepts, il semble que ce soit le message du
concept A qui est le plus simple et le plus direct. De l’avis de la
majorité, c’est ce texte qui les inciterait le plus à agir pour protéger
la nature.
- Même si certains les ont jugées
excessives, la plupart ont semblé apprécier l’énergie et le rythme de
la musique dans la vidéo.
Comparativement aux concepts B et C, les suggestions
d’améliorations étaient moins nombreuses pour le concept A. Les suggestions les
plus courantes étaient les suivantes :
- Les participants ont jugé important
d’inclure plus de personnes dans ces publicités pour éviter de confondre
celles-ci avec les publicités destinées aux touristes, et pour présenter
des gens qui posent des gestes pour protéger la nature.
- En ce qui concerne la version anglaise de
l’affiche murale numérique et de la vidéo, l’expression « We’re doubling the protection of Canada’s lands and oceans » a semé la confusion parmi
les participants. Pour clarifier le message et atténuer les
préoccupations, un point de référence est nécessaire.
- Les dessins blancs (icônes) sont passés
inaperçus ou n’ont guère ajouté de valeur.
Évaluation du concept B
Loin de faire l’unanimité, le concept B a
suscité des réactions mixtes. Pour ce concept en particulier, l’expression « 17 %
du Canada » a semé la confusion. En considérant tous les éléments du concept B,
les participants ont relevé un message principal, c’est-à-dire que le
gouvernement fédéral souhaite sensibiliser la population à ses efforts de
protection de l’environnement.
Bien que ce ne soit pas le favori parmi
tous les groupes, le concept B a plu aux participants pour les raisons
suivantes :
- La présence de jeunes enfants sur les
images. La photo de la fillette qui touche l’arbre a
particulièrement attiré l’attention, nombre de participants ayant compris
qu’il s’agissait de protéger la fillette, qui représente les générations
futures et qui semble vouloir s’occuper de l’arbre et le protéger.
- Les participants avaient souvent l’impression
qu’on leur demandait de protéger la nature, sans toutefois leur
expliquer comment faire.
- Les participants ont aimé que l’hiver ne
soit pas sur toutes les images et suggéré de mieux représenter les
différentes saisons au Canada.
Les participants avaient toutefois l’impression
que certains éléments pouvaient être améliorés :
- Certains n’ont pas aimé le panneau bleu
semi-transparent sur le côté de chaque affiche, parce qu’il atténue
l’effet visuel et symbolique de l’image.
- Les participants ont également émis des
réserves sur d’autres images qui n’illustraient pas clairement ce que les
gens faisaient, par exemple la colonne promotionnelle montrant deux
personnes qui regardent ce qui semble être un téléphone intelligent.
- Le texte « Faites-en partie Canada.ca/patrimoine-naturel
» n’a pas trouvé écho chez les participants.
- La mention « 17 % du
Canada » ne voulait rien dire et portait à confusion :
- Pratiquement tous
les participants avaient besoin d’un point de référence, c’est-à-dire une indication quant à
ce qui était auparavant protégé, un pourcentage initial.
- Bon nombre d’entre eux ont mis en doute
le 17 % et n’ont pas compris quelle superficie de terres cela
représentait.
- Certains se sont demandé où étaient ces
terres – parce que s’il s’agit uniquement de déplacer la « ligne de
démarcation » sur les terres protégées qui sont éloignées et
inaccessibles, alors cela ne signifie pas grand-chose.
- À Montréal, quelques participants
estimaient que 17 %, c’était insuffisant – et que nous devions viser
plus haut.
Évaluation du concept C
Loin d’être le favori, le concept C a
suscité des réactions mixtes. Plus particulièrement, l’expression « 17 %
du Canada » a semé la confusion parmi les participants.
Les participants ont relevé trois
principaux messages pour le concept C :
- Nous dépendons de l’environnement.
- Le gouvernement fédéral souhaite
sensibiliser la population à ses efforts visant à protéger
l’environnement.
- Nous devons agir pour protéger
l’environnement.
Parmi les éléments positifs mentionnés pour
ce concept, notons ce qui suit :
- Dans les images utilisées pour ce
concept, il semble y avoir un meilleur équilibre entre les saisons (hiver et printemps/blanc et vert), de même qu’entre les éléments de la
nature et les gens.
- Sur les affiches, le texte en
surbrillance dans les blocs de couleur permet au lecteur de mieux
comprendre les images et ce qui est ou doit être protégé : l’eau, le
climat, la faune et les terres. En revanche, cet aspect ne semble pas
avoir fonctionné pour les colonnes promotionnelles.
- Parmi les images préférées des
participants, il y a celle de la femme qui forme un cœur avec ses mains devant un splendide paysage.
- Le dernier message, « Découvrez ce que
vous pouvez faire Canada.ca/protéger-la-nature » a été compris de tous comme étant
un appel à l’action.
Quelques éléments de ce concept n’ont pas
plu aux participants :
- Certains avaient le sentiment que la
publicité n’était qu’un simple rappel de l’importance de protéger
l’environnement, plutôt qu’une publicité qui incite les gens à poser des
gestes précis.
- Les participants sans enfants ne se sont
pas sentis interpellés par cette publicité qui faisait référence à « nos
enfants » ou « nos petits-enfants », et auraient préféré qu’on parle
plutôt des « générations futures ».
- Quelques participants ont trouvé la
publicité condescendante et un peu enfantine, en raison du langage utilisé
pour nous rappeler ce que représente l’environnement et son importance pour
nous; d’après certains, le message est superflu.
- Dans l’ensemble, les participants étaient
d’avis que les images représentaient plus souvent des gens pratiquant des
activités sans lien avec la protection de l’environnement.
En ce qui concerne les concepts testés
durant la phase 2, plusieurs thèmes communs aux campagnes A et B sont
ressortis des discussions :
- Il semblait évident pour les deux
concepts que le message était d’aller à l’extérieur et de protéger la
nature puisque, dans l’ensemble, les participants ont compris l’impact que
pouvait avoir le partage de photos dans les médias sociaux pour encourager
les gens à profiter du plein air et à protéger la nature. Dans ce
contexte, les participants s’attendaient à voir plus de magnifiques
paysages du Canada et des images de la faune canadienne, ainsi que des
gens qui interagissent avec la nature ou entre eux devant de superbes
paysages canadiens.
- Les directives pour participer au
concours étaient claires dans les deux concepts, mais les participants
auraient préféré moins de texte.
- Les participants se sont reconnus dans
les deux concepts et se sont entendus pour dire que les publicités
visaient tous les Canadiens. Ils ont fait valoir que les deux concepts
représentaient bien le multiculturalisme du Canada.
- Dans les deux concepts, seulement une
saison « verte » était représentée, et les participants
auraient aimé voir au moins une photo illustrant l’hiver canadien.
- Les participants étaient d’avis que le
mot-clic #NotreNature était une bonne façon de voir les photos d’autres
personnes qui protègent la nature, mais pas nécessairement de participer à
un concours de photos.
- En ce qui concerne le scénarimage animé, les
participants qui sont actifs sur les plateformes de médias sociaux se sont
vus en train de cliquer sur les messages pour regarder la vidéo ou en
apprendre davantage, surtout pour le concept B.
- Le concept B s’est révélé être le
favori parmi les deux présentés durant cette phase de la recherche. La combinaison d’images de gens qui interagissent avec la
nature, les paysages naturels et les actions visant à protéger
l’environnement ont attiré l’attention des participants. Selon eux,
certains correctifs doivent cependant être apportés pour améliorer la
publicité, par exemple l’ajout d’images de gens qui agissent pour protéger
l’environnement et l’utilisation d’images plus claires.
Méthodologie des groupes de discussion
Tous les travaux de
recherche ont été menés selon les normes professionnelles en matière de
recherche sur l’opinion publique établies par le gouvernement du Canada :
- La
première phase qualitative, qui avait pour but de tester des publicités du
Patrimoine naturel du Canada avant le lancement de la campagne, comptait
quatre groupes de discussion (en ligne et dans les installations de recherche). Des installations professionnelles ont été
utilisées dans trois villes : Halifax (Nouvelle-Écosse), Vancouver
(Colombie-Britannique) et Montréal (Québec); un groupe de discussion a eu lieu en ligne,
avec des participants de l’Alberta, de la Saskatchewan
et du Manitoba.
- Après le lancement initial de la
campagne, une deuxième phase qualitative a eu lieu au moyen d’un groupe de
discussion en ligne réunissant des participants de plusieurs provinces
canadiennes pour tester une autre campagne publicitaire du Patrimoine
naturel, laquelle comprenait un concours de photos.
- Au total, 39 personnes ont participé aux
séances de discussion.
- D’une durée de deux heures chacune, les
séances étaient animées par des chercheurs chevronnés de Quorus.
- Pour le test de prélancement de la
campagne, les groupes de discussion ont examiné trois concepts
publicitaires pour Patrimoine naturel, chacun comportant plusieurs médias,
soit :
- Une publicité carrousel dans les médias sociaux
- Des affiches de grand format pour les navettes
maritimes (Seabus)
- Une publicité murale numérique
- Des colonnes promotionnelles pour une gare
- Une vidéo de 30 secondes
- Pour
cette vague de groupes de discussion, les concepts ont été randomisés et
présentés dans un ordre différent d’un groupe à l’autre.
- Durant la deuxième
phase d’essais, les groupes de discussion ont évalué deux concepts
accompagnés d’un concours de photos sur le thème du Patrimoine culturel, chacun comportant plusieurs médias, soit :
- Une publicité carrousel dans les médias sociaux
- Un message sur Twitter
- Un scénarimage animé
- Une affiche de grande
dimension pour les abribus
Mise en garde concernant la recherche qualitative
La recherche qualitative a pour but
d’acquérir une compréhension et d’établir une orientation, plutôt que des
mesures quantitativement extrapolables. Son objectif n’est pas de générer des «
statistiques », mais de recueillir un éventail complet d’opinions sur un sujet
donné, de comprendre le langage utilisé par les participants, de mesurer le
degré de passion et d’engagement, et de miser sur le pouvoir du groupe pour
inspirer des idées. Les participants sont encouragés à exprimer leurs opinions,
peu importe qu’elles soient partagées ou non par le reste du groupe.
Étant donné la taille de l’échantillon, les méthodes de recrutement
particulières utilisées et les objectifs de la recherche, il est clairement
entendu que les travaux sous discussion sont de nature exploratoire. Les
résultats ne doivent pas être extrapolés à une population plus vaste.
Plus précisément, il est inapproprié de suggérer ou de laisser entendre
que quelques (ou plusieurs) vrais utilisateurs agiraient d’une certaine façon
simplement parce que quelques (ou plusieurs) participants se sont comportés
ainsi durant les séances. Ce type de projection relève exclusivement de la
recherche quantitative.
Méthodologie de l’OECP
- Durant la phase quantitative, l’Outil
d’évaluation des campagnes publicitaires (OECP) a été utilisé pour mener
deux sondages sur l’initiative Patrimoine naturel ; le premier a eu
lieu avant le lancement de la campagne et l’autre, après. Les instruments d’enquête ont été conçus selon un ensemble de
questions standards pour l’évaluation des campagnes publicitaires (OECP)
fournies par l’équipe responsable du projet d’Environnement et Changement
climatique Canada.
- Avant la campagne, 1 005 sondages
ont été réalisés avec des Canadiens, du 22 février au 3 mars
2019. Au terme de la campagne, 1 037 sondages ont été réalisés avec
des Canadiens, du 20 au 28 juin 2019.
- En raison de l’échantillonnage non
probabiliste des panels en ligne, une marge d’erreur valable ne peut être
calculée. Les données obtenues ont été pondérées pour reproduire la
répartition réelle de la population par province, âge et sexe au Canada,
selon les données du dernier recensement.
Fournisseur : Le groupe-conseil Quorus Inc.
Numéro de contrat : K0A34-190909/001/CY
Date d’octroi du contrat : 21 décembre 2018
Valeur du contrat (TVH incluse) : 77 519,70 $
Pour obtenir de plus amples renseignements, veuillez communiquer avec
Environnement et Changement climatique Canada :
ec.rop-por.ec@canada.ca