Partage et sécurité des données
financières
RECHERCHE QUALITATIVE
RAPPORT FINAL
Préparé pour :
Nom du
fournisseur : Numéro de contrat de Pollara
Strategic Insights : 60074-200895/001/CY
Valeur du
contrat : 33 302,28 $
Date d’attribution :
2020-11-06
Numéro d’enregistrement de la
ROP : 060-20
3 mars 2021
Pour
de plus amples informations sur ce rapport, veuillez communiquer avec :
por-rop@fin.gc.ca
This report is also available in English
Soumis
par :
Lesli Martin Vice-président leslimartin@pollara.com 416 921-0090 poste 2207
1255, rue
Bay, bureau 900, Toronto (Ontario) M5R 2A9
Attestation De Neutralité Politique
Utilisation
Des Services Financiers Numériques
Utilisation
Des Services Basés Sur Les Données
Connaissance
Et Perception Des Services Bancaires Ouverts
Résultats
Des Services Bancaires Ouverts Pour Les Consommateurs
Adhésion
À Un Système Bancaire Ouvert
Annexe A: Critères De Filtrage
Des Candidats
RECHERCHE
QUALITATIVE SUR LE PARTAGE ET LA SÉCURITÉ DES DONNÉES FINANCIÈRES - DROITS
D’AUTEUR
Numéro de catalogue : F2-282/2021F-PDF
978-0-660-37665-3
Numéro
international normalisé du livre (ISBN) : F2-282/2021F
978-0-660-37667-7
La
présente recherche sur l’opinion publique présente les résultats d’une série de
discussions de groupe cible qualitatives effectuées par
Pollara Strategic Insights pour le compte du ministère des Finances.
Cette étude a consisté en cinq groupes de discussion virtuels avec des
adultes canadiens provenant de tous les coins du pays et de tous les âges,
sexes, niveaux de revenu, de toutes les provinces de résidence ainsi que de
tous les milieux (ville et campagne). L’objectif de l’étude était de comprendre
les perceptions actuelles du partage et de la sécurité des données financières,
ainsi que les opinions sur le concept de services bancaires ouverts.
This publication is also available in English with the title -
Qualitative research on financial data sharing and security - Final report
Cette
publication peut être reproduite à des fins non commerciales uniquement. Une
permission écrite doit être obtenue au préalable auprès du : Recherche
qualitative sur le partage et la sécurité des données financières — Rapport
final
Ministère des
Finances
90, rue Elgin
Ottawa,
Ontario
K1A 0G5
3 mars 2021
Numéro de
contrat : 60074-200895/001/CY
Numéro
d’enregistrement de la ROP : 060-20
Je
certifie par la présente, en tant que cadre dirigeant de
Pollara Strategic Insights, que les livrables respectent complètement
les exigences du gouvernement du Canada en matière de neutralité politique
énumérées dans la Politique sur les communications et l’image de marque et la
Directive sur la gestion des communications.
Plus
particulièrement, les livrables n’incluent pas de renseignements sur les
intentions de vote, les préférences pour un parti politique précis, les
classements au sein de l’électorat ou l’évaluation de la performance d’un parti
politique ou de ses chefs.
Signé :
Lesli
Martin Vice-président
Pollara
Strategic Insights
Dans le cadre
du budget 2018, le gouvernement a annoncé son intention de mener une étude
sur les mérites des services bancaires ouverts.
Cette étude est menée par un comité consultatif sur les services
bancaires ouverts, avec l’appui d’un secrétariat du ministère des Finances.
Pour appuyer
cette démarche, à l’hiver 2019, le ministère des Finances a chargé Pollara
de mener des consultations et des groupes de discussion sur les avantages des
services bancaires ouverts, en mettant l’accent sur la protection de la vie
privée des consommateurs, la sécurité des transactions financières et la
stabilité du secteur financier. En janvier 2020, le Ministère a annoncé
qu’il lancerait la deuxième phase de l’étude sur les avantages des
services bancaires ouverts, qui serait menée par le comité consultatif.
Dans le cadre
de cette deuxième phase de l’étude, des recherches ont été jugées
nécessaires. De manière générale, cela
permettra de dresser un tableau complet des opinions et des attentes des
Canadiens concernant leur capacité à utiliser et à transférer leurs informations
financières, en accordant une attention particulière à la confidentialité et à
la sécurité. Plus précisément, cette
recherche permettra au Comité consultatif de se faire une idée sur les points
suivants :
·
Les avis concernant la capacité des consommateurs à transférer,
utiliser et contrôler leurs données;
·
Les comportements actuels en matière de confidentialité et de
sécurité liés aux services financiers, y compris les avis sur la
connaissance/compréhension des mesures actuelles de sécurité/confidentialité;
·
L’utilisation des services basés sur les données, y compris ceux
de nature financière;
·
Les avis sur la possibilité d’utiliser les données financières
pour accéder à des services nouveaux et innovants; et
·
Les attentes quant à la manière dont les données personnelles
doivent être traitées dans un système de partage sécurisé des données
financières, ainsi que les rôles et responsabilités des différents acteurs pour
assurer la sécurité et la protection de la confidentialité.
Les résultats
de cette recherche permettront de documenter la deuxième phase de l’étude menée
par le gouvernement sur les avantages des services bancaires ouverts. De plus, les résultats pourront être utilisés
pour aider le Ministère à élaborer des stratégies et des produits de communication
qui permettront de communiquer efficacement aux Canadiens les différents
aspects de cette initiative.
En raison de
la nature qualitative de cette étude, les résultats ne peuvent pas être
extrapolés pour être appliqués à un plus grand échantillon, et devraient être
considérés comme indicatifs plutôt que définitifs.
Valeur du
contrat pour cette étude : 33 302,28 $
Pollara a
recruté des participants pour les groupes de discussion suivants. Les participants ont été choisis parmi un
échantillon de plus de 100 000 Canadiens et Canadiennes (comme les
membres d’Aéroplan ou de PC Optimum) qui se sont
portés volontaires et se sont inscrits à des sondages et/ou des groupes de
discussion. Tous les participants
devaient détenir au moins un compte bancaire, dans n’importe quelle institution
financière canadienne, avec une proportion des participants dans chaque groupe
en détenant plus d’un. Pollara a animé
un total de cinq groupes de discussion virtuels. Chaque groupe était composé de personnes de
sexe, d’âge et de revenu différents. Les
participants ont été recrutés parmi les habitants des régions suivantes :
·
Prairies (Saskatchewan et Manitoba)
·
Ontario et Canada atlantique
·
Ouest du Canada (Colombie-Britannique et Alberta)
·
Québec et Nouveau-Brunswick (en français)
·
Nord du Canada (TNO, YK, NUN)
En tout,
45 candidats ont participé à cette étude. Les discussions de groupe cible
duraient entre 90 minutes et deux heures chacune. Les participants ont
reçu une compensation de 100 $ pour leur temps. L’étude a été menée entre
le 8 et le 11 février 2021.
La pandémie de COVID-19 n’a eu
qu’un impact limité sur le comportement des banques ou l’utilisation des
services généraux basés sur les données.
L’utilisation de ces services soulève peu d’inquiétudes quant à la
sécurité des données.
La plupart des participants ne
pensent pas que la pandémie de COVID-19 ait eu un impact majeur sur leur
comportement bancaire. Tous les participants
utilisaient des outils numériques (banque en ligne, applications ou guichets
automatiques) pour effectuer la plupart de leurs transactions avant la COVID et
continuent de le faire maintenant. Il
était rare de se rendre dans une agence avant la pandémie, et seuls
quelques-uns ont opté pour une autre méthode (généralement le téléphone) plutôt
que de se rendre dans une agence maintenant.
L’utilisation des services
généraux basés sur les données est mitigée et dépend de la perception de la
commodité de ces services. Ceux qui les
utilisent en apprécient la commodité, tandis que ceux qui ne les utilisent pas
n’en voient pas l’utilité. La sécurité
des données n’est pas un facteur déterminant dans cette décision.
Les services financiers innovants
sont peu connus et peu utilisés, la décision de les utiliser étant basée sur la
perception des commodités plutôt que sur le niveau de sécurité des données.
En général, les services
financiers innovants testés sont moyennement connus et peu utilisés. Si la moitié environ des participants
utilisent des portefeuilles numériques et des systèmes de paiement en ligne,
les conseillers personnels, les systèmes de gestion financière personnelle ou
les logiciels de comptabilité et de gestion des petites entreprises sont en
revanche moins connus. Certains pensent
utiliser des banques numériques, mais bien souvent, ils utilisent une filiale
en ligne d’une banque traditionnelle.
Les entreprises de technologie financière qui proposent des produits
similaires à ceux des institutions financières traditionnelles, tels que les
prêts aux entreprises ou les prêts aux consommateurs, sont très peu connues et
très peu utilisées.
Comme pour les autres services
basés sur les données, l’utilisation de ces services financiers dépend du niveau
de commodité perçu. Ceux qui les
utilisent apprécient le service offert.
Ceux qui ne les utilisent pas ne les connaissent pas ou n’en voient pas
la nécessité. La sécurité des données a
peu d’impact sur leur décision d’utiliser ou non ces services.
Les services bancaires ouverts
sont très peu connus. Même après une
présentation de ces services, les participants ne sont pas sûrs de ce que cela
leur apportera, et certains s’inquiètent davantage de la sécurité de leurs
données. Toutefois, le fait que ce soit
contrôlé par le gouvernement renforce la confiance.
Un seul participant avait entendu
parler des services bancaires ouverts.
Un seul participant avait entendu parler des services bancaires ouverts.
Les autres trouvent le nom un peu inquiétant, car ils ont l’impression que cela
signifie que leurs informations financières seront ouvertes et accessibles à
tous. Lorsqu’on leur en donne une
description, les consommateurs se posent encore plus de questions. Comme ils ne se préoccupent pas de la sécurité
des données à l’heure actuelle, ils ne sont pas certains de ce que ce système
va leur offrir. Pour certains, ce
concept augmente, et non diminue, leur inquiétude, car ils ne savent pas
comment il fonctionnera ni qui le contrôlera.
Le fait que ce soit contrôlé par
le gouvernement renforce la confiance dans le système. Les participants connaissent et apprécient
les protections de la SADC et s’attendent à ce que le gouvernement leur offre
le même niveau de sécurité dans ce système.
Bien que les participants
n’arrivent pas à se faire une idée précise des avantages des services bancaires
ouverts, ils estiment que les recours des consommateurs, ainsi que la
protection et le contrôle des données, sont les plus utiles.
Bien que les participants ne
puissent pas citer eux-mêmes les avantages du programme, ils voient les
avantages des résultats pour les consommateurs testés. L’avantage le plus important est celui du
recours en cas de problème. Les
participants estiment également que la protection des données et le contrôle
des données par les consommateurs sont des avantages majeurs du système. Ils ont tendance à penser qu’il est inutile
d’élargir la gamme de services financiers utiles, compétitifs et faciles à
utiliser pour les consommateurs, car ils estiment qu’il y en a déjà beaucoup
qu’ils n’utilisent pas. Ils ne voient
pas non plus l’avantage d’un accès fiable et cohérent aux services, car ils
pensent avoir déjà ce type d’accès.
Les avis en faveur d’un système
bancaire ouvert varient entre adhésion et indifférence.
Lorsqu’on leur demande ce qu’ils
penseraient si le gouvernement canadien adoptait un système bancaire ouvert,
les avis vont de l’adhésion à l’indifférence.
Certains sont en faveur d’un contrôle gouvernemental et d’une plus
grande sécurité, bien qu’ils ne pensent pas que cela ait un impact sur leur
utilisation des services basés sur les données.
D’autres pensent qu’ils n’utiliseront pas le système et ne s’y
intéressent donc pas particulièrement.
Personne n’a dit qu’il s’opposerait à l’adoption de ce système.
Même
avant la pandémie de COVID-19, la grande majorité des participants effectuaient
leurs opérations bancaires habituelles de manière virtuelle, soit en ligne ou en
utilisant l’application mobile de leur institution financière, soit en retirant
de l’argent à un guichet automatique. Si
la plupart des participants ont déclaré qu’ils se rendaient parfois dans une
agence pour une opération spécifique, comme l’encaissement de chèques (en
particulier pour les comptes professionnels) ou l’obtention de conseils
financiers, tous ont indiqué que cela restait rare.
La
plupart estiment que la pandémie n’a pas eu d’influence majeure sur leurs
comportements bancaires. Certains disent
utiliser moins souvent l’argent liquide, car certains magasins demandent
l’utilisation de cartes de débit ou de crédit à la place. Certains préfèrent appeler leur agence pour
demander des conseils en cas de besoin, mais d’autres, en particulier dans les
zones rurales, continuent à se rendre en personne à l’agence, le cas échéant.
Il
n’y a pas vraiment eu de problèmes dans les processus bancaires, que ce soit
avant ou après la pandémie. Quelques
participants ont mentionné de longs délais d’attente lorsqu’ils appellent une
agence, mais il s’agit d’un inconvénient mineur qui n’a été signalé que par un
petit nombre d’entre eux. Dans
l’ensemble, les personnes sondées n’ont aucune inquiétude quant à leur capacité
à effectuer des opérations bancaires en ligne, ni à la sécurité liée à ces
opérations.
Actuellement,
la plupart des participants connaissent au moins un certain type de services
basés sur les données. L’utilisation de
ces services est variable, certains participants les utilisant et d’autres
pas. Mais le choix de les utiliser est
basé sur la commodité offerte par le service, plutôt que sur un niveau de
confort avec la technologie. Lorsqu’on leur demande quelles sont leurs
préoccupations, les participants qui choisissent d’utiliser ces services ont
peu ou pas de justifications à donner sur les raisons pour lesquelles les
avantages l’emportent sur ces préoccupations.
Pour ceux qui n’y ont pas recours, la raison principale est simplement l’absence
de besoin. Ils n’ont pas l’impression
d’avoir besoin de ces services et se passent volontiers de les utiliser. Bien
que certains craignent que leurs informations ne soient pas en sécurité, car
elles pourraient être piratées ou utilisées à des fins malveillantes par les
entreprises qui les collectent, il s’agit d’une déclaration faite après coup
comme raison secondaire de leur choix.
Les
participants considèrent les portefeuilles numériques et les systèmes de
paiement en ligne de la même manière qu’ils considèrent les autres services
basés sur les données. Ceux qui les
utilisent apprécient la commodité de pouvoir payer avec leur téléphone, qu’ils
ont de toute façon toujours sur eux.
Ceux qui ne l’utilisent pas disent qu’ils n’en ont pas besoin et qu’ils
sont satisfaits d’utiliser des cartes de crédit ou de débit pour faire leurs
achats. Quelques-uns pensent que ce type
de produit rendrait les dépenses trop faciles, ce qui pourrait affecter leur
budget personnel. Cette technologie suscite quelques inquiétudes, mais elles
concernent principalement les éventuelles conséquences de la perte du
téléphone. Beaucoup de ceux qui
l’utilisent ont mis en place une authentification en deux étapes pour assurer
leur sécurité et estiment que c’est moins problématique que de perdre leur
carte de crédit. Cela dit, certains se
sentent rassurés de savoir que si leur carte de crédit est utilisée de manière
frauduleuse, leur institution financière couvrira les frais.
Lorsqu’on
leur pose des questions sur les banques numériques, les participants
pensent en premier lieu à des banques telles que Simplii
et Tangerine. Même lorsqu’on leur
explique que ces banques sont légèrement différentes, puisqu’elles sont une
filiale d’une autre banque, les participants ont tendance à ne pas vraiment
comprendre la différence. Pour eux, dans
la mesure où les fonctions qu’ils utilisent sont « en ligne », il
s’agit d’une banque numérique. Ceux qui
utilisent principalement l’application numérique de leur banque traditionnelle
estiment que leurs activités ne sont pas différentes de celles d’une banque
numérique. Certains participants
seraient réticents à utiliser une banque numérique. Ces personnes veulent avoir la garantie qu’il
y a un endroit où elles peuvent aller pour régler leurs problèmes; l’idée de
voir quelqu’un en personne leur donne un sentiment de sécurité. Ces participants n’ont pas de problème avec
la technologie utilisée pour traiter avec une banque numérique et n’ont aucune
inquiétude quant à l’exécution de leurs opérations bancaires par voie
numérique, ils ont simplement besoin de ce niveau de sécurité supplémentaire,
au cas où quelque chose se produirait.
Les
participants sont plus préoccupés par le recours aux technologies
financières qui offrent des services de type bancaire aux consommateurs ou aux
petites entreprises. Si certains
participants sont familiers avec ce type de services, la plupart ne le sont
pas. Parce que ces entreprises ne sont
pas bien connues de ces participants, ils hésitent à leur confier leurs
finances. Ils ont également du mal à comprendre l’avantage d’utiliser ces
services. Certains participants qui les
connaissent ont parlé d’offres de produits avec de bons taux d’intérêt. Mais pour la plupart, ils ne prendraient pas
le risque de faire confiance à cette entité inconnue pour obtenir un meilleur
taux. Dans ce cas, la crainte que leurs
informations puissent être piratées est moins préoccupante que l’appréhension
que l’entreprise puisse volontairement les spolier de leur argent.
Les robots-conseillers ou les entreprises de technologie de
gestion financière personnelle sont relativement peu connus ou
utilisés. Comme pour les autres services basés sur les données, ceux qui les
utilisent apprécient le service et la commodité qu’ils offrent, notamment en
termes de budgétisation et, pour certains, de réduction des frais
d’investissement. Ceux qui ne les
utilisent pas n’en voient tout simplement pas l’utilité et se préoccupent peu
de la sécurité. Un participant s’est dit
légèrement préoccupé par le fait de fournir ses informations de connexion
bancaire à l’entreprise de technologie de gestion financière personnelle, et a
exprimé le souhait d’avoir une connexion en « lecture seule » qui
permettrait à l’entreprise de voir ses finances mais de ne pas effectuer de
transactions. Cependant, bien que cela
l’ait mis mal à l’aise, cette crainte ne l’a pas empêché d’utiliser le service.
Les
logiciels de comptabilité et de gestion des petites entreprises sont
connus, mais peu utilisés. En général,
ils ne sont pas utilisés car la plupart des participants ne sont pas
propriétaires de petites entreprises.
Certains, cependant, ont une expérience de ce type de logiciel dans le
cadre de leur travail et quelques-uns dans le cadre de leur propre petite entreprise. Comme pour les autres services basés sur les
données, la raison d’utiliser ce type de logiciel est la commodité et la raison
de ne pas l’utiliser est l’absence de besoin, aucune préoccupation concernant la
sécurité n’étant mentionnée.
Les
entreprises de technologie financière qui proposent des prêts aux
entreprises sont peu connues et peu utilisées. Les participants qui les connaissent trouvent
le concept douteux. Pour cette raison,
ils ne sont pas intéressés par l’utilisation de ce produit, et ne manifestent
aucune inquiétude quant à la sécurité des données.
Les
entreprises de technologie financière qui proposent des prêts aux
entreprises sont connues, mais peu utilisées. Ceux qui en ont entendu parler en ont vu la
publicité lors de leurs achats en ligne (en particulier lors de l’achat de
produits de beauté). Ces participants hésitent à les utiliser car ils ne
veulent pas contracter ce type de dette.
Certains pensent que s’ils n’ont pas l’argent ou une marge suffisante
sur leur carte de crédit pour l’acheter, ils ne devraient pas l’acheter. Encore une fois, le manque d’intérêt concerne
le service lui-même, et non les problèmes de sécurité.
Un
seul participant dans tous les groupes connaissait les services bancaires
ouverts. Tous les autres participants
n’en ont jamais entendu parler et ont juste fait des suppositions sur la nature
de ces services. Bien qu’ils ne soient
pas certains de ce que cela signifie, l’idée d’une banque « ouverte »
n’est pas très bien perçue. Pour les
participants, cela signifie que leurs informations sont accessibles à
tous. Même s’ils ne sont pas particulièrement
inquiets au sujet de la sécurité des données, le terme « services
bancaires ouverts » les inquiète quelque peu.
Voici
la définition qui a été donnée aux participants :
En termes simples, les services bancaires ouverts sont un
outil qui permet aux consommateurs de transférer leurs données de manière plus
sûre et plus efficace vers des offres de services financiers basées sur
l’accès, comme celles mentionnées ci-dessus.
Par exemple, certains ménages peuvent choisir d’utiliser une application
de budgétisation qui aura accès à leurs informations financières pour établir
un budget détaillé. D’autres peuvent
choisir de recourir à un robot-conseiller, qui examinera leurs objectifs et
leurs finances et leur offrira des conseils en matière d’investissement, sans
faire appel à un conseiller. Les services bancaires ouverts permettront
également aux personnes ayant un historique limité ou inexistant en termes de
crédit d’utiliser les données de leurs transactions pour évaluer leur
solvabilité. Les services bancaires ouverts sont le système qui permet à ces
services d’accéder à vos données en toute sécurité. C’est l’infrastructure qui permet aux données
de circuler en toute sécurité. C’est une
sorte d’autoroute qui permet aux données de circuler entre votre institution
financière et le service que vous souhaitez utiliser. Actuellement, ces
services obtiennent vos données par d’autres moyens qui ne sont pas aussi sûrs
que les services bancaires ouverts.
Dans
l’ensemble, la plupart des participants se sentent un peu perdus face à cette
définition et se posent de nombreuses questions. Comme la sécurité n’est pas considérée comme
un problème par la plupart des participants, ils ne comprennent pas la
nécessité d’une sécurité « améliorée ». Loin d’y voir un avantage,
ils doutent que ce changement apporte une quelconque amélioration. Certains pensent que ce processus impliquera
la mise en place d’un nouveau système, qui sera utilisé par toutes les
institutions financières. Et ils voient
cette idée d’un mauvais œil, car ils ne savent pas qui mettra en place le
système et si l’entité qui le fera sera digne de confiance. Dans l’ensemble, bien que la sécurité des
données ne soit pas une préoccupation pour la plupart des participants, à
première vue, ce système les inquiète davantage, au lieu de les rassurer.
Certains
s’inquiètent également de ne pas pouvoir contrôler comment et quelles
informations sont transférées. Ils
craignent qu’en optant pour ce système, toutes leurs informations financières
soient accessibles à toute personne voulant les consulter, d’où le terme de
services bancaires « ouverts ».
Même après avoir été rassurés sur le fait que ce ne serait pas le cas,
certains restent sceptiques. Ils
craignent que le contrôle de leurs informations soit compliqué, le principe par
défaut étant qu’elles soient accessibles à tous ceux qui le souhaitent. Certains pensent également que le fait de
dire que les informations ne seront pas disponibles à tous ne suffit pas à les
convaincre.
On
a proposé à un groupe le nom potentiel de « financement dirigé par le
consommateur ». Les participants de
ce groupe ont apprécié davantage ce nom que celui de services bancaires
ouverts, car ils le trouvent plus descriptif de ce que promet le système et
moins susceptible de leur faire croire que toutes leurs informations seront
exposées au grand jour.
De
nombreux participants se demandent qui va gérer ou mettre en place ce
système. Beaucoup pensent que le
gouvernement y participera, d’une manière ou d’une autre. Quelques-uns expriment des inquiétudes
concernant la mise en place de ce système par le gouvernement, car ils doutent
de sa capacité à le faire. La plupart,
cependant, sont rassurés par le fait que le gouvernement participe au contrôle
de ce système. Ils connaissent bien la
SADC et estiment que cet organisme gouvernemental les aide à se sentir en
sécurité quand il s’agit d’utiliser le système bancaire canadien. Par conséquent, le fait que le gouvernement
participe au contrôle de ce système procure également un sentiment de sécurité.
Voici
la description des avantages de l’ouverture des services bancaires qui a été
donnée aux participants :
Concrètement, les services bancaires
ouverts permettent aux consommateurs d’avoir un meilleur aperçu de leurs habitudes
de consommation, d’obtenir des conseils personnalisés en matière
d’investissement, d’aider les petites entreprises à accéder au capital, de
permettre aux personnes ayant peu ou pas de références en matière de crédit
d’accéder aux produits de prêt et aux petites entreprises d’obtenir des prêts.
La
plupart des participants comprennent que ces services pourraient être
intéressants pour certains Canadiens, mais ils ne sont pas personnellement
intéressés, soit parce que ces services sont déjà disponibles, soit parce
qu’ils n’en ont pas besoin. Certains participants du nord du Canada sont
favorables à l’idée de permettre à ceux qui n’ont pas de références en matière
de crédit d’avoir accès à des produits de prêt.
Pour ces participants, c’est le problème des jeunes dans les
territoires, et cette solution pourrait aider à résoudre un problème
précis. Cependant, pour tous les autres
participants, cette solution ne leur offre rien qui ne soit déjà disponible. De plus, comme la sécurité des données n’est
pas perçue comme un problème, les services bancaires ouverts n’apportent pas de
solution. Même les quelques personnes
qui ont exprimé quelques inquiétudes quant à la sécurité des produits
financiers basés sur les données ne perçoivent aucun avantage à ce système.
Bien
que les participants ne soient pas en mesure de citer eux-mêmes les avantages
du système, lorsqu’on leur présente les résultats potentiels pour les
consommateurs, tous pensent qu’ils sont avantageux. Parmi ceux qui ont été présentés, l’avantage
le plus important est celui du recours en cas de problème. Plus précisément :
·
Les consommateurs disposent d’un
recours en cas de problème lorsque la procédure est simple
et que la responsabilité des acteurs du marché est clairement et correctement
attribuée.
Quelle
que soit la solidité de la sécurité du système, nous savons tous que tous les
systèmes peuvent être piratés. Les
participants apprécient grandement de savoir qu’ils seront couverts, de la même
manière qu’ils sont couverts par la SADC actuellement, en cas de perte de fonds
liée à une fraude. Quelques-uns
aimeraient que ce recours couvre également l’utilisation frauduleuse de leurs
informations. Si le système est piraté
et que leurs renseignements personnels sont utilisés, ils aimeraient que
l’entreprise concernée soit pénalisée pour cette utilisation abusive de leurs
renseignements.
Les
deuxièmes résultats les plus importants pour les consommateurs sont les
suivants :
·
Les données des consommateurs sont protégées par des normes ou des règles de données sécurisées englobant une
majorité d’acteurs du marché, ce qui renforcera la confiance dans le système
financier.
·
Les consommateurs ont le contrôle de leurs données d’une manière qui est conforme aux principes énoncés dans la
charte numérique.
Pour
les participants, ces résultats vont de pair et sont d’égale importance. Ils estiment que leurs données ne peuvent
être véritablement protégées que s’ils en ont le contrôle. Si le système bancaire ouvert leur permet
d’avoir un niveau élevé de contrôle sur leurs données et empêche les
entreprises d’utiliser leurs données à des fins de marketing, cela pourrait
être considéré comme un avantage important du système par un grand nombre de
personnes.
Deux résultats
testés auprès des consommateurs sont considérés comme moins importants par les
participants :
·
Les consommateurs reçoivent l’accès à un plus large éventail de
services financiers utiles, compétitifs et faciles à utiliser grâce à un marché qui encourage les produits compétitifs et
innovants.
·
Les
consommateurs ont un accès fiable et cohérent aux services
grâce à un système normalisé, facile à utiliser et accessible à tous.
Dans
l’ensemble, bien que les participants considèrent que ces services pourraient
être avantageux pour « certains », ils n’en ont pas personnellement
besoin. Ils n’ont pas de
« problèmes » en ce qui concerne leurs finances, et il existe déjà un
certain nombre de services financiers qu’ils choisissent de ne pas utiliser
parce qu’ils n’en ont pas besoin. Par
conséquent, ils ne pensent pas avoir besoin de plus de services. De même, ils n’ont aucun problème pour
accéder aux services financiers numériques qu’ils utilisent actuellement, et ne
voient donc pas la nécessité d’une amélioration dans ce domaine.
Une
fois que l’idée d’un système bancaire ouvert a été explorée, on a demandé aux
participants s’ils appuieraient l’adoption de ce système par le gouvernement du
Canada. Les opinions vont du soutien à
l’indifférence. Certains apprécient la
sécurité accrue et les possibilités de recours.
Bien qu’ils ne croient pas nécessairement que ce système soit nécessaire
et qu’il ne changera en rien leur utilisation des services financiers axés sur
les données, ils sont en faveur de sa mise en place parce que « ça ne peut
pas faire de mal ».
Un
grand nombre d’entre eux ne se sentent tout simplement pas concernés. Ils ne pensent pas non plus que le système
soit vraiment nécessaire, et ils ne pensent pas être amenés à l’utiliser. En revanche, ils ne s’opposent pas au système
et acceptent qu’il soit mis en place si d’autres personnes acceptent de
l’utiliser.
La sécurité des données n’est pas
une préoccupation majeure pour les participants et n’a qu’un impact très limité
sur leur utilisation des services basés sur les données, financiers ou
autres. Ceux qui choisissent d’utiliser
des services financiers innovants le font pour des raisons de commodité et ceux
qui choisissent de ne pas le faire n’en ont pas besoin. La sécurité des données est, tout au plus,
une considération secondaire.
Les services bancaires ouverts
sont très peu connus. En raison de
l’absence de besoin perçu d’une plus grande sécurité des données, il n’y a pas
une idée claire de ce que cela apporterait.
Même ceux qui utilisent actuellement des services qui dépendent du
partage des données et qui seraient considérés comme des « services
bancaires ouverts » ne voient pas ces services sous cet angle et ne voient
pas bien ce que les services bancaires ouverts pourraient offrir ou comment ils
pourraient être utilisés. Cela dit, le contrôle gouvernemental rassure certains
participants. L’idée d’avoir des recours
en cas de problèmes est l’avantage le plus apprécié de ce programme, suivi par
la protection et la sécurité des données.
Malgré les questions et la
confusion autour des services bancaires ouverts, si on leur explique en quoi consiste
ce système, la plupart des participants soutiennent l’option de ce système par
le gouvernement ou y sont indifférents.
Department of Finance – Open Banking
Virtual Focus Group Screener
Focus
Group Schedule
Monday February
8th
|
||
6:30pm – 8:30pm EST |
Prairies (Saskatchewan and Manitoba) |
|
Wednesday February 10th |
||
5:30pm – 7:30pm EST |
Ontario and Atlantic Canada |
|
8:00pm–10:00pm EST |
Western Canada (British Columbia and Alberta) |
|
Thursday February 11th |
|
|
5:30pm-7:30pm EST |
Quebec and New Brunswick (in French) |
|
8:00pm-10:00pm EST |
Northern Canada (NWT, YK,
NUN) |
|
·
See quotas in screener.
·
RECRUIT 10
FOR 9-10 TO SHOW
·
INCENTIVE: $115
Sélectionnez la langue dans laquelle vous souhaitez répondre à ce
sondage.
Anglais
Français
Les groupes de discussion seront tenus en début de soirée Insérer
date, via Zoom. Chaque groupe de
discussion durera environ 2 heures.
Chacun des groupes de
discussion se réunira pendant environ deux heures.
Plusieurs autres personnes comme vous se joindront à ce groupe de
discussion, où il vous sera demandé de donner votre opinion sur diverses
questions d’actualité. Si vous répondez aux conditions de participation et que
vous vous joignez à ce groupe, vous recevrez une compensation financière pour
votre participation. Cette recherche est
menée pour le compte du ministère des Finances du Gouvernement du Canada. Votre participation contribuera à élaborer
des politiques. Votre participation à
cette étude est volontaire. Vos
renseignements seront gardés en toute confidentialité et nous ne tenterons en
aucun cas de vous vendre ou de vous proposer quoique ce soit.
Un groupe de discussion
est constitué de huit à dix participants et d’un modérateur. Durant une séance
de deux heures, les participants devront discuter de diverses questions en lien
avec le thème.
La
participation est volontaire. Nous voulons avoir votre opinion et ne tenterons
pas de vous vendre quoique ce soit ni d’influencer
votre point de vue. Les sessions seront enregistrées, mais toutes les opinions
exprimées resteront confidentielles et seront regroupées afin d’éviter toute
possibilité d’identification individuelle.
Un
enregistrement audio et(ou) vidéo de la session sera produit à des fins de
recherche. Les enregistrements seront
utilisés uniquement par les professionnels attitrés à la recherche afin de
préparer un rapport de résultats de la recherche; ces enregistrements seront
détruits une fois le rapport complété.
Acceptez-vous
d’être enregistré(e) ou filmé(e) uniquement à des fins de recherche?
Ou
Non
(THANK AND TERMINATE)
1. Acceptez-vous
de participer à cette discussion d’après cette description?
Oui
Non
IF YES:
2. Avez-vous
participé à un groupe de discussion au cours des six derniers mois?
Ou
(THANK & TERMINATE)
Non
Je ne sais pas (THANK
& TERMINATE)
3. À
combien de groupes de discussion avez-vous participé au cours des cinq
dernières années?
Aucun
1-2
3-4
5
ou plus (THANK & TERMINATE)
Nous allons maintenant vous poser quelques courtes questions pour
déterminer si vous répondez aux conditions requises pour participer au sondage.
Vos réponses demeureront confidentielles.
4. Êtes-vous..
Une femme
Un homme
MIX OF
GENDERS IN EACH GROUP
5. Est-ce que
vous ou un membre de votre ménage avez déjà travaillé ou fait du bénévolat pour
l’une des organisations suivantes : (READ LIST, - IF YES TO ANY, THANK AND TERMINATE)
Les médias
Une
entreprise spécialisée dans les études de marché, dans les relations publiques
ou dans la publicité
Un parti
politique
Un organisme
gouvernemental fédéral, provincial ou local
Une
institution financière
Une compagnie
de technologie financière
6. Ce groupe de
discussion se tiendra en Anglais/Français et les participants devront regarder
des vidéos et des images, partager verbalement leur opinion, et peut-être aussi
entrer leurs commentaires par écrit dans cette langue.
Y a-t-il des
problèmes susceptibles de vous empêcher de faire l’une ou l’autre des actions
demandées?
Oui (THANK AND TERMINATE)
Non
7. Dans quelle
province vivez-vous?
Alberta
Colombie-Britannique
Manitoba
Nouveau-Brunswick
Terre-Neuve-et-Labrador
Territoires
du Nord-Ouest
Nouvelle-Écosse
Nunavut
Ontario
Île-du-Prince-Édouard
Québec
Saskatchewan
Yukon
Hors du Canada (THANK AND TERMINATE)
8.
Quel est
votre code postal?
______
9.
IF DO NOT WANT TO PROVIDE
POSTAL CODE ASK Si vous préférer ne pas indiquer votre code
postale : pouvons-nous
avoir les 3 premiers caractères de votre code postale?
_______
Préfere ne
pas répondre (THANK & TERMINATE)
10.
Comment
décririez-vous votre communauté?
Une ville
Une banlieue
Une petite
communauté, un village ou une petite agglomération
Une communauté rurale
Une région éloignée
QUOTAS:
OBTAIN A MIX OF CITY/SUBURB AND SMALL/RURAL/REMOTE COMMUNITY
Moins de 18
ans (THANK &
TERMINATE)
18-24
25-29
30-34
35-39
40-44
45-49
50-54
55-59
60-64
65-69
70 ans ou
plus
Refus (THANK & TERMINATE)
OBTAIN MIX OF UNDER 35, 35 TO 54
AND OVER 54 WITHIN ALL GROUPS
12. Dans quelle mesure êtes-vous à l'aise d'utiliser la
technologie pour des choses telles que les services bancaires en ligne, les achats,
la communication avec les autres, etc.
Très comfortable
comfortable
Pas très comfortable
Pas du tout comfortable
13. Quels des types de comptes bancaires suivants possédez-vous
personnellement, que ce soit vôtre seul compte ou un compte conjoint avec une autre
personne?
compte chèques
compte d'épargne
Je n'ai pas de compte bancaire
14. Quel autre
produit financier détenez-vous personnellement, que ce soit seul(e) ou avec une
autre personne?
Hypothèque
Carte de crédit
Marge de crédit
Prêt d’une institution financière
Compte d’épargne libre d'impôt
(CELI)
Compte de placement enregistré,
comme un REER ou un REEE
Aucun de ces produits
OBTAIN MIX OF PRODUCTS.
NO MORE THAN THREE PER GROUP TO
SAY NONE OF THE ABOVE
15. Parmi les
institutions suivantes, laquelle considérez-vous être votre principale
institution financière, c’est-à-dire la banque ou l’institution financière avec
laquelle vous faites affaire le plus souvent?
Banque Royale
Banque de Montréal/BMO
Desjardins
Banque TD Canada Trust / Toronto Dominion
Banque de Nouvelle-Écosse / Banque Scotia
CIBC/Banque Canadienne Impériale Commerce
Banque Canadienne de l’Ouest (CWB)
Banque Nationale du Canada
Banque Laurentienne
Banque HSBC du Canada
Banque Tangerine
Autre coopérative de crédit (précisez)
Autre (précisez)
Je ne sais pas / Je préfère ne pas répondre
RECRUIT MIX OF PRIMARY FINANCIAL
INSTITUTIONS
16. Et avec quelle
autre banque ou institution financière faites-vous affaire à l’occasion?
Banque Royale
Banque de Montréal/BMO
Desjardins
Banque TD Canada Trust / Toronto Dominion
Banque de Nouvelle-Écosse / Banque Scotia
CIBC/Banque Canadienne Impériale Commerce
Banque Canadienne de l’Ouest (CWB)
Banque Nationale du Canada
Banque Laurentienne
Banque HSBC du Canada
Banque Tangerine
Autre coopérative de crédit (précisez)
Autre (précisez)
Je ne sais pas / Je préfère ne pas répondre
OBTAIN MIX – AT LEAST HALF IN
EACH GROUP TO USE MORE THAN ONE FI
17. Laquelle des
catégories suivantes décrit le mieux votre situation d'emploi actuelle?
Travail à temps plein, soit 35 heures ou plus par semaine
Travail à temps partiel, soit moins de 35 heures par semaine
Travailleur autonome
Chômeur, mais à la recherche d'un travail
Étudiant à temps plein
Retraité
N’est pas sur le marché du travail actuellement [Femme au foyer, sans emploi, ne
cherche pas de travail]
Autre
OBTAIN MIX
18. Et quel est
le revenu annuel de votre ménage avant impôts?
$20,000 et
moins
Entre $20,000
et $40,000
Entre $40,000
et $60,000
Entre $60,000
et $80,000
Entre $80,000
et $100,000
Entre
$100,000 et $150,000
Plus de $150,000
Refused
Obternir un mix
19. Quel est le
plus haut niveau de scolarité que vous avez complété?
École
secondaire non-completer
diplôme d’étude
secondaire
DEP
Collège,
CEGEP ou autre diplôme non-universitaire
Certificat
Universitaire ou diplôme sous bachelier
Baccalauréat
Maîtrise ou
Doctorat
Prefere ne pas
répondre
OBTAIN MIX IN EACH GROUP
20. Depuis
combien d’années vivez-vous au Canada?
Je
suis né(e) au Canada
Moins
de 5 ans
De
cinq ans à moins de dix ans
De
dix ans à moins de vingt ans
20 ans
ou plus
OBTAIN MIX
21.
Do you
consider yourself as an Indigenous person, that is, First Nations (North
American Indian), Métis or Inuk (Inuit)?
Oui
Non
OBTAIN SOME MEMBERS
OF THE ABORIGINAL COMMUNITY
22. Pour aider
notre client à comprendre les données démographiques des participants de chacun
des groupes, il pourrait être nécessaire de partager certaines réponses aux
questions que nous venons de vous poser.
Toutefois, cette information ne sera pas jointe à votre nom
complet ni à vos coordonnées.
Acceptez-vous que des réponses soient partagées? (RECRUIT ONLY IF THEY AGREE)
Je voudrais
vous inviter à assister à la session le : [voir dispo au début du document]
DATE at Temps (LOCATION)
Ministère
des Finances
Guide
du modérateur
2 heures
►
Présentation du modérateur et de I' entreprise — Pollara Strategic
Insights, une société indépendante d’études de marché.
►
Explication des groupes de discussion : Aujourd’hui, nous
sommes ici pour le compte du gouvernement du Canada afin de recueillir vos
opinions sur certains sujets d’actualité. Vos commentaires contribueront à
informer les politiques futures. La discussion durera deux heures.
►
Explication du processus :
Les séances sont enregistrées uniquement pour les besoins de cette recherche.
Elles sont strictement confidentielles. Elles ne seront pas utilisées en ligne
ni dans aucune communication ou publicité. Elles ne servent que pour me
rappeler de ce qui a été dit dans ce groupe. Une fois que nous aurons rédigé le
rapport, les enregistrements seront supprimés. Il y a aussi des personnes qui
sont ici, hors caméra, pour observer le groupe. Ce sont les personnes qui m’ont
demandé de vous inviter à cette discussion. Elles ne sont là que parce qu’elles
sont intéressées à vos opinions. Mais vos identités resteront confidentielles.
►
Mon travail : Modérer la
participation et poser des questions
►
Votre travail consiste à
participer. Il est très important que nous entendions vos véritables opinions.
Il n’y a pas de bonnes ni de mauvaises réponses. Nous sommes toutes et tous des
personnes différentes, venant de milieux différents et ayant des expériences
différentes. Je m’attends à ce que nous ayons des opinions différentes. Il est
important que je les entende toutes et que chacun dans cette salle respecte les
opinions des autres. Même si tout le monde semble d’accord sur un point et que
l’un d’entre vous n’est pas d’accord, il est important que j’entende cette
personne. Même si vous êtes la seule personne dans cette salle, il y aura
d’autres personnes dans la collectivité qui partageront votre avis. Alors, s’il
vous plaît, assurez-vous me donner votre opinion. Toutefois, je vais vous
demander de ne pas parler en même temps, car avec cette plateforme personne ne
pourra entendre quoi que ce soit. Donc si vous avez quelque chose à dire et que
je parle à quelqu’un d’autre, retenez-le, mais assurez-vous que je vous
revienne parce que je veux entendre votre opinion. Vous pouvez toujours appuyer
sur le bouton « main levée » en bas ou sur votre écran, ou
simplement me faire signe à la caméra et je vous verrai.
►
Introduction : Maintenant, je
vais vous demander de vous présenter. Je vais faire le tour de la salle et vous
pourrez me dire votre prénom, à quel endroit vous habitez (en ville ou à
l’extérieur), ce que vous faites si vous travaillez, et qui habite avec vous,
le cas échéant.
▲
Je voudrais vous parler de la
façon dont vous accédez aux services financiers. Tout d’abord, revenons à la
période avant que nous ayons à affronter la pandémie de COVID-19, comment
faisiez-vous la plupart de vos opérations bancaires ? En personne dans
une succursale ? Par téléphone ? En ligne ? Au moyen d’une
application ? Pourquoi avez-vous choisi cette méthode ?
►
SI PAS EN SUCCURSALE : Votre
institution financière, a-t-elle une succursale physique ? Est-elle
située près de vous ? Pouvez-vous y accéder facilement ?
► SI
OUI : Encore une fois, avant la COVID-19, alliez-vous
à cette succursale ? Pourquoi ou pourquoi pas ?
▲
En réfléchissant à la façon dont
vous faisiez vos opérations bancaires avant la COVID, y avait-il des
« points irritants » — c’est-à-dire certaines difficultés que vous
éprouviez à faire vos opérations bancaires ? Des processus que vous
trouviez difficiles ou que vous pensiez pourraient être plus simples ?
Quels sont-ils ? Comment avez-vous fait pour y remédier, le cas
échéant ?
►
SI CE N’EST PAS MENTIONNÉ,
DEMANDER : En pensant à la technologie que vous utilisez lorsque vous
effectuez des opérations bancaires en ligne ou au moyen d’une application, y
a-t-il des « points irritants » auxquels vous êtes confrontés liés
à cette technologie ?
Depuis l’éclosion de COVID-19 au Canada, avez-vous changé votre
façon d’effectuer vos opérations bancaires ? Comment ?
►
Comment vous sentez-vous à l’idée
d’entrer dans une succursale maintenant ? Si, pour une raison quelconque
vous deviez le faire, vous sentiriez-vous à l’aise ? Pourquoi ou pourquoi
pas ? Une fois la pandémie terminée, pensez-vous que vous allez retourner
à la succursale ? Pourquoi ou pourquoi pas ?
►
Avez-vous des préoccupations quant
à effectuer vos opérations bancaires par des méthodes en ligne ?
Lesquelles ? Que faites-vous pour atténuer ces préoccupations ?
►
Lorsque la pandémie sera terminée,
pensez-vous que vous continuerez à utiliser la technologie que vous utilisez
actuellement ? Pourquoi ou pourquoi pas ?
▲
Et si vous avez besoin de conseils
de votre institution financière — sur un investissement ou peut-être un prêt ou
une hypothèque… Avant d’avoir à composer avec la pandémie de COVID-19, de
quelle façon obteniez-vous des conseils de votre banque ?
► Et
maintenant ? Avez-vous eu à parler à votre banque de quoi que ce soit
depuis la COVID ? Comment avez-vous fait ça ?
► Y
a-t-il des points irritants auxquels vous êtes confrontés lorsque vous avez à
obtenir des conseils ? Lesquels ?
► De
quelle façon aimeriez-vous obtenir des conseils maintenant ? Que
devraient vous offrir les banques ?
▲
Avez-vous des préoccupations quant
à effectuer vos opérations bancaires par des méthodes en ligne ? Quelles
sont vos préoccupations ?
►
Faites-vous quoi que ce soit pour
atténuer ces préoccupations ? Y a-t-il quelque chose que vous pourriez
faire pour que vous vous sentiez moins préoccupé(e)s ?
►
Si vous pensez à la période qui a
précédé la COVID, dans quelle mesure est-ce que ces préoccupations affectaient
votre façon d’effectuer vos opérations bancaires ? Avez-vous expressément
évité certaines façons d’effectuer vos opérations bancaires en raison de ces
préoccupations ? Ou bien les aviez-vous à l’esprit, mais vous les avez
quand même effectuées ?
►
Maintenant, avec la COVID, est-ce
que ces préoccupations ont un effet sur la manière dont vous effectuez vos opérations
bancaires ? Est-ce que vous continuez de ne pas utiliser certaines façons
d’effectuer vos opérations bancaires en raison de ces préoccupations, ou
êtes-vous plus susceptible d’en faire abstraction en raison de la
pandémie ?
▲
J’aimerais maintenant vous
interroger sur les « services fondés sur les données ». Il s’agit
de services qui utilisent les données qui leur sont fournies automatiquement
par un appareil. Par exemple, comment Uber sait-il où
vous êtes sans que vous ayez à entrer une adresse, FitBit
surveille automatiquement votre activité, les mouchards d’assurance surveillent
vos habitudes de conduite pour calculer les tarifs d’assurance, Alexa et Google
Home offrent une assistance automatisée... Tout d’abord, lorsque vous les
utilisez, les considérez-vous comme étant « fondés sur des
données » ? Est-ce que vous vous interrogez quant à la source des
informations ? Y en a-t-il que vous ne considérez pas comme
« fondées sur des données » ?
►
Utilisez-vous l’un quelconque de
ces services ? Pourquoi ou pourquoi pas ?
►
SI OUI : Quels sont ceux que
vous utilisez ? Qu’est-ce qui vous plaît de ces services ? SI CE
N’EST PAS MENTIONNÉ, SONDER : Aimez-vous pouvoir utiliser ces services
sans avoir à saisir de données personnelles ? Y trouvez-vous un avantage
dans le fait qu’ils effectuent pour vous le suivi de vos informations ?
Cela a-t-il changé depuis la pandémie ?
►
Y a-t-il des services qui
dépassent les limites — que vous n’utiliseriez pas ? Pourquoi ?
►
SI CES SERVICES NE SONT PAS
UTILISÉS : Pourquoi n’utilisez-vous pas ces services ?
►
Avez-vous des préoccupations par
rapport à l’utilisation de vos données avec ces services ? Si tel est le cas, quelles sont vos
préoccupations ? Est-ce que l’entreprise a fait quoi que ce soit pour
vous rassurer quant à vos préoccupations ? Devrait-elle en faire
davantage ? Que devrait-elle faire ?
▲
J’aimerais maintenant vous poser
quelques questions sur certains des services offerts par les technologies
financières modernes… NE PAS RANDOMISER L’ORDRE DE PRÉSENTATION :
▲
Parlons des portefeuilles
numériques et des systèmes de paiement en ligne. Ces services offrent aux consommateurs de
nouvelles possibilités de paiement numérique et mobile, souvent par
l’intermédiaire de leur téléphone intelligent ou de leur appareil mobile.
Avez-vous entendu parler de ces services ? Qu’en savez-vous, le cas
échéant ?
►
Avez-vous déjà utilisé ces
systèmes ? Lequel ou lesquels ? Les utilisez-vous toujours
aujourd’hui ?
►
SI ON LES A DÉJÀ UTILISÉS,
DEMANDER : Pourquoi avez-vous commencé à les utiliser ? Qu’est-ce
que cela vous apportait ? Quand avez-vous commencé à les utiliser ?
Depuis la pandémie ou avant ?
►
Est-ce que ces systèmes vous
offrent quelque chose que vous n’obtenez pas par d’autres canaux ? De
quoi s’agit-il ?
►
SI L’ON A CESSÉ DES UTILISER,
DEMANDER : Pourquoi avez-vous cessé d’utiliser ces systèmes ?
Qu’est-ce que vous utilisez dans ce cas ?
►
SI L’ON N’UTILISE PAS CES
SERVICES : Pourquoi n’utilisez-vous pas ces systèmes ?
►
Avez-vous des préoccupations par
rapport à ces systèmes ? Lesquelles ? SI ON LES UTILISE :
Pourquoi les utilisez-vous toujours en dépit de ces préoccupations ?
Est-ce que les entreprises qui les proposent contribuent à apaiser ces
préoccupations ? De quoi s’agit-il ?
►
SI CE N’EST PAS MENTIONNÉ,
DEMANDER : Avez-vous des préoccupations par rapport à l’utilisation de vos
données avec ces services ? Si
tel est le cas, quelles sont vos préoccupations ? Est-ce que l’entreprise
a fait quoi que ce soit pour vous rassurer quant à vos préoccupations ?
Devrait-elle en faire davantage ? Que devrait-elle faire ?
▲
Parlons des banques
numériques. Elles ressemblent aux banques traditionnelles dans la
mesure où elles sont souvent titulaires d’une licence bancaire et offrent aux
consommateurs des services bancaires traditionnels. Toutefois, ces services
sont offerts entièrement par le biais d’une expérience numérique, sans aucun
lieu physique. Avez-vous entendu parler des banques
numériques ? Qu’en savez-vous, le cas échéant ?
►
Avez-vous déjà utilisé les
banques numériques ? Lequel ou lesquels ? Les utilisez-vous
toujours aujourd’hui ?
►
SI ON LES A DÉJÀ UTILISÉES,
DEMANDER : Pourquoi avez-vous commencé à utiliser une banque numérique
plutôt qu’une banque traditionnelle ? Qu’est-ce que cela vous
apportait ? Quand avez-vous commencé à les utiliser ? Depuis la
pandémie ou avant ?
►
Est-ce que ces banques vous
offrent quelque chose que vous n’obtenez pas des banques
traditionnelles ? De quoi s’agit-il ?
►
SI L’ON A CESSÉ DES UTILISER,
DEMANDER : Pourquoi avez-vous cessé d’utiliser la banque
numérique ? Où avez-vous transféré vos activités bancaires (une
banque traditionnelle ou une autre banque numérique) ?
►
SI L’ON N’UTILISE PAS CES
SERVICES : Pourquoi n’utilisez-vous pas ces services ?
►
Avez-vous des préoccupations par
rapport à ces services ? Lesquelles ? SI ON LES UTILISE :
Pourquoi les utilisez-vous toujours en dépit de ces préoccupations ?
Est-ce que les entreprises qui les proposent contribuent à apaiser ces
préoccupations ? Que font-elles ?
►
SI CE N’EST PAS MENTIONNÉ,
DEMANDER : Avez-vous des préoccupations par rapport à l’utilisation de vos
données avec ces services ? Si
tel est le cas, quelles sont vos préoccupations ? Est-ce que l’entreprise
a fait quoi que ce soit pour vous rassurer quant à vos préoccupations ?
Devrait-elle en faire davantage ? Que devrait-elle faire ?
▲
Parlons des entreprises de
technologie financière qui offrent des services de type bancaire aux
consommateurs ou aux petites entreprises. Ces entreprises de
technologie financière ne fonctionnent pas comme des banques, mais s’associent
généralement à une institution financière réglementée pour fournir des produits
similaires à ceux des banques (c’est-à-dire des produits d’épargne et de
dépense). Avez-vous entendu parler de ces entreprises de technologie
financière ? Qu’en savez-vous, le cas échéant ?
o
Avez-vous déjà utilisé ces entreprises
de technologie financière ? Lequel ou lesquels ? Les utilisez-vous
toujours aujourd’hui ?
o
SI ON LES A DÉJÀ UTILISÉES,
DEMANDER : Pourquoi avez-vous commencé à les utiliser ? Qu’est-ce
que cela vous apportait ? Quand avez-vous commencé à les utiliser ?
Depuis la pandémie ou avant ?
o
Est-ce que ces entreprises de
technologie financière vous offrent quelque chose que vous n’obtenez pas des
banques traditionnelles ? De quoi s’agit-il ?
o
SI L’ON A CESSÉ DES UTILISER,
DEMANDER : Pourquoi avez-vous cessé d’utiliser ces entreprises de
technologie financière ? Qu’est-ce que vous utilisez dans ce cas ?
o
SI L’ON N’UTILISE PAS CES
SERVICES : Pourquoi n’utilisez-vous pas ces services ?
o
Avez-vous des préoccupations par
rapport à ces services ? Lesquelles ? SI ON LES UTILISE :
Pourquoi les utilisez-vous toujours en dépit de ces préoccupations ?
Est-ce que les entreprises qui les proposent contribuent à apaiser ces
préoccupations ? Que font-elles ?
o
SI CE N’EST PAS MENTIONNÉ,
DEMANDER : Avez-vous des préoccupations par rapport à l’utilisation de vos
données avec ces services ? Si
tel est le cas, quelles sont vos préoccupations ? Est-ce que l’entreprise
a fait quoi que ce soit pour vous rassurer quant à vos préoccupations ?
Devrait-elle en faire davantage ? Que devrait-elle faire ?
▲
Parlons de conseillers-robots ou de gestion de finances
personnelles. Les entreprises de technologie financière qui offrent des
services de gestion de finances personnelles ou des conseillers-robots
utilisent des logiciels pour fournir des conseils financiers numériques et
aider les consommateurs à mieux gérer leur argent, à comprendre leur situation
financière et à entreprendre une planification financière sur mesure. Avez-vous
entendu parler des conseillers-robots ? Qu’en savez-vous, le cas
échéant ?
►
Avez-vous déjà utilisé des conseillers-robots ?
Lequel ou lesquels ? Les utilisez-vous toujours aujourd’hui ?
►
SI ON LES A DÉJÀ UTILISÉS,
DEMANDER : Pourquoi avez-vous commencé à les utiliser ? Qu’est-ce
que cela vous apportait ? Quand avez-vous commencé à les utiliser ?
Depuis la pandémie ou avant ?
►
Est-ce que ces conseillers-robots
vous offrent quelque chose que vous n’obtenez pas par d’autres canaux ?
De quoi s’agit-il ?
►
SI L’ON A CESSÉ DES UTILISER,
DEMANDER : Pourquoi avez-vous cessé d’utiliser des
conseillers-robots ? Qu’est-ce que vous utilisez dans ce cas ?
►
SI L’ON N’UTILISE PAS CES
SERVICES : Pourquoi n’utilisez-vous pas ces services ?
►
Avez-vous des préoccupations par
rapport à ces services ? Lesquelles ? SI ON LES UTILISE :
Pourquoi les utilisez-vous toujours en dépit de ces préoccupations ?
Est-ce que les entreprises qui les proposent contribuent à apaiser ces
préoccupations ? Que font-elles ?
►
SI CE N’EST PAS MENTIONNÉ,
DEMANDER : Avez-vous des préoccupations par rapport à l’utilisation de vos
données avec ces services ? Si
tel est le cas, quelles sont vos préoccupations ? Est-ce que l’entreprise
a fait quoi que ce soit pour vous rassurer quant à vos préoccupations ?
Devrait-elle en faire davantage ? Que devrait-elle faire ?
▲
Parlons de gestion de
petites entreprises — logiciels comptables. Ceci vise à rationaliser
les processus internes d’entreprise en facilitant le suivi des factures, des
paiements et des achats d’entreprise. Ces services s’appuient souvent sur la
technologie numérique pour se connecter au compte bancaire d’une entreprise et
permettre d’effectuer ou de recevoir des paiements. Êtes-vous au courant de ces
services ? Qu’en savez-vous, le cas échéant ?
►
Avez-vous déjà utilisé ces types
de logiciels comptables ? Lequel ou lesquels ? Les utilisez-vous
toujours aujourd’hui ?
►
SI ON LES A DÉJÀ UTILISÉS,
DEMANDER : Pourquoi avez-vous commencé à les utiliser ? Qu’est-ce
que cela vous apportait ? Quand avez-vous commencé à les utiliser ?
Depuis la pandémie ou avant ?
►
Est-ce que ces types de logiciels
comptables vous offrent quelque chose que vous n’obtenez pas par d’autres
canaux ? De quoi s’agit-il ?
►
SI L’ON A CESSÉ DES UTILISER,
DEMANDER : Pourquoi avez-vous cessé d’utiliser ces logiciels
comptables ? Qu’est-ce que vous utilisez dans ce cas ?
►
SI L’ON N’UTILISE PAS CES
SERVICES : Pourquoi n’utilisez-vous pas ces services ?
►
Avez-vous des préoccupations par
rapport à ces services ? Lesquelles ? SI ON LES UTILISE :
Pourquoi les utilisez-vous toujours en dépit de ces préoccupations ?
Est-ce que les entreprises qui les proposent contribuent à apaiser ces
préoccupations ? Que font-elles ?
►
SI CE N’EST PAS MENTIONNÉ,
DEMANDER : Avez-vous des préoccupations par rapport à l’utilisation de vos
données avec ces services ? Si
tel est le cas, quelles sont vos préoccupations ? Est-ce que l’entreprise
a fait quoi que ce soit pour vous rassurer quant à vos préoccupations ?
Devrait-elle en faire davantage ? Que devrait-elle faire ?
▲
Parlons de prêts pour entreprises.
Ce type d’entreprise de technologie financière exploite la technologie
numérique et souvent les plateformes de prêts entre pairs pour offrir du
financement ou des prêts aux petites entreprises. Connaissez-vous cela ?
Qu’en savez-vous, le cas échéant ?
►
Avez-vous déjà utilisé ces
entreprises de technologie financière ? Lequel ou lesquels ? Les
utilisez-vous toujours aujourd’hui ?
►
SI ON LES A DÉJÀ UTILISÉES,
DEMANDER : Pourquoi avez-vous commencé à les utiliser ? Qu’est-ce
que cela vous apportait ? Quand avez-vous commencé à les utiliser ?
Depuis la pandémie ou avant ?
►
Est-ce que ces entreprises de
technologie financière vous offrent quelque chose que vous n’obtenez pas des
banques traditionnelles ? De quoi s’agit-il ?
►
SI L’ON A CESSÉ DES UTILISER,
DEMANDER : Pourquoi avez-vous cessé d’utiliser ces entreprises de
technologie financière ? Qu’est-ce que vous utilisez dans ce cas ?
►
SI L’ON N’UTILISE PAS CES
SERVICES : Pourquoi n’utilisez-vous pas ces services ?
►
Avez-vous des préoccupations par
rapport à ces services ? Lesquelles ? SI ON LES UTILISE :
Pourquoi les utilisez-vous toujours en dépit de ces préoccupations ?
Est-ce que les entreprises qui les proposent contribuent à apaiser ces
préoccupations ? Que font-elles ?
►
SI CE N’EST PAS MENTIONNÉ, DEMANDER :
Avez-vous des préoccupations par rapport à l’utilisation de vos données avec
ces services ? Si tel est le cas,
quelles sont vos préoccupations ? Est-ce que l’entreprise a fait quoi que
ce soit pour vous rassurer quant à vos préoccupations ? Devrait-elle en
faire davantage ? Que devrait-elle faire ?
▲
Parlons de prêts à la
consommation. Ce type d’entreprise de technologie financière offre des
produits ou des services de prêts aux consommateurs. Ces entreprises de
technologie financière vont typiquement proposer un modèle du genre
« achetez maintenant et payez plus tard ». Connaissez-vous
cela ? Qu’en savez-vous, le cas échéant ?
►
Avez-vous déjà utilisé ces
entreprises de technologie financière ? Lequel ou lesquels ? Les
utilisez-vous toujours aujourd’hui ?
►
SI ON LES A DÉJÀ UTILISÉES,
DEMANDER : Pourquoi avez-vous commencé à les utiliser ? Qu’est-ce
que cela vous apportait ? Quand avez-vous commencé à les utiliser ?
Depuis la pandémie ou avant ?
►
Est-ce que ces entreprises de
technologie financière vous offrent quelque chose que vous n’obtenez pas par
d’autres canaux ? De quoi s’agit-il ?
►
SI L’ON A CESSÉ DES UTILISER,
DEMANDER : Pourquoi avez-vous cessé d’utiliser ces entreprises de
technologie financière ? Qu’est-ce que vous utilisez dans ce cas ?
►
SI L’ON N’UTILISE PAS CES
SERVICES : Pourquoi n’utilisez-vous pas ces services ?
►
Avez-vous des préoccupations par
rapport à ces services ? Lesquelles ? SI ON LES UTILISE :
Pourquoi les utilisez-vous toujours en dépit de ces préoccupations ?
Est-ce que les entreprises qui les proposent contribuent à apaiser ces
préoccupations ? Que font-elles ?
►
SI CE N’EST PAS MENTIONNÉ,
DEMANDER : Avez-vous des préoccupations par rapport à l’utilisation de vos
données avec ces services ? Si
tel est le cas, quelles sont vos préoccupations ? Est-ce que l’entreprise
a fait quoi que ce soit pour vous rassurer quant à vos préoccupations ?
Devrait-elle en faire davantage ? Que devrait-elle faire ?
▲
Je voudrais maintenant vous parler
du système bancaire ouvert. Tout d’abord, je veux savoir ce que chaque personne
pense du système bancaire ouvert, de ce que c’est ou de ce que ça offre.
Veuillez donc prendre une minute pour réfléchir à votre réponse. Je vais faire
le tour de la salle et dites-moi ce que vous en pensez, si vous en avez même
déjà entendu parler. Une fois que j’aurai entendu la réponse de tout un chacun,
nous en discuterons. PERMETTRE À CHAQUE PERSONNE DE RÉPONDRE.
▲
Passons maintenant à la
discussion : Avez-vous entendu le terme « système bancaire
ouvert » ? Savez-vous ce que c’est ?
►
Qu’est-ce qu’est le système
bancaire ouvert, selon vous ?
►
Qu’en avez-vous
entendu dire ?
►
Où avez-vous entendu cela ?
►
À votre avis, et sur la base de ce
que vous avez vu ou entendu, quelle est votre impression du concept du système
bancaire ouvert ? Qu’a-t-il de positif ? Qu’a-t-il de
négatif ?
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Est-ce que vous avez des
préoccupations concernant le système bancaire ouvert ?
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Dans sa forme la plus simple, le
système bancaire ouvert est un outil qui permet aux consommateurs de transférer
leurs données de manière plus sécurisée et plus efficiente vers des offres de
services financiers fondés sur l’accès, comme celles mentionnées ci-dessus.
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Avec cette description, que
pensez-vous du système bancaire ouvert ? Le comprenez-vous ?
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Par exemple, certains ménages
peuvent choisir d’utiliser une application de budgétisation qui accédera à vos
informations financières pour vous fournir un budget détaillé du ménage.
Certains peuvent aussi choisir de faire appel à un conseiller-robot, qui
examinera leurs objectifs et leurs finances et leur offrira des conseils en
matière d’investissement, sans avoir recours à un conseiller. Le système
bancaire ouvert pourrait également permettre à ceux qui ont peu ou pas
d’antécédents de crédit d’utiliser leurs données de transaction pour évaluer
leur solvabilité. Le système bancaire ouvert est le système qui permet à ces
services d’accéder à vos données de façon sécurisée. C’est l’infrastructure qui
permet aux données de circuler en toute sécurité. Ou, comme une autoroute qui
permet aux données de passer de votre institution financière au service que
vous voulez utiliser. Actuellement, ces services obtiennent vos données par
d’autres moyens qui ne sont pas aussi sûrs que le système bancaire ouvert.
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Avec cette description, que
pensez-vous du système bancaire ouvert ? Pensez-vous qu’il pourrait être
avantageux pour les consommateurs ? De quelle façon ?
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Est-ce que vous avez des
préoccupations concernant le système bancaire ouvert ?
Lesquelles ?
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Plus
précisément, le système bancaire ouvert pourrait offrir aux
consommateurs : la possibilité de mieux comprendre leurs habitudes de
dépenses, des conseils d’investissement personnalisés, soutenir les petites
entreprises dans l’accès au capital, et permettre à ceux qui ont des
antécédents de crédit limités ou inexistants d’accéder à des produits de prêt.
► En pensant à ce concept dans son ensemble, selon vous, qu’en
seraient les avantages ? DÉVELOPPER UNE LISTE.
► Pensez-vous qu’il y aurait des inconvénients ?
Lesquels ? DÉVELOPPER UNE LISTE.
► Maintenant, considérons ça pour vous personnellement. Est-ce que
vous y voyez une utilité particulière ? Pourquoi ou pourquoi pas ?
► Auriez-vous des préoccupations avec ceci ?
Lesquelles ? Qu’est-ce qui pourrait être fait, le cas échéant, pour que
vous soyez moins préoccupé ?
▲
Encore
une fois, en pensant à cela globalement, estimez-vous que les avantages
l’emportent sur vos préoccupations ou que vos préoccupations l’emportent sur
les avantages ?
► Y a-t-il un avantage précis qui vous fait croire que cela vous
serait particulièrement utile ? Y a-t-il quoi que ce soit qui doit vous
être proposé pour que vous vous y intéressiez ?
► Y a-t-il une préoccupation particulière que vous ne pouvez pas
surmonter ? Y a-t-il quoi que ce soit qui vous ferait dire, il en est
hors de question ? Pouvez-vous penser à quoi que ce soit qui pourrait
être proposé pour vous aider à surmonter cette préoccupation ? Quoi ?
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Dans quelle mesure vous
sentiriez-vous à l’aise si le Canada se dirigeait vers un système bancaire
ouvert ? Pourquoi vous sentiriez-vous ainsi ?
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Que faudrait-il faire, le cas
échéant, pour vous mettre plus à l’aise et vous donner confiance quant à utiliser
cette technologie ?
►
SI CE N’EST PAS MENTIONNÉ,
SONDER : Est-ce que des règles de sécurité et de protection de la vie
privée devraient être mises en place ? Que devraient-elles être ?
Comment voudriez-vous en être informé ?
►
Quels facteurs, estimez-vous,
pourraient vous rendre moins à l’aise quant à utiliser cette
technologie ?
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Lorsqu’il envisage le développement d’un système bancaire
ouvert, le gouvernement a des idées sur ce qu’il estime être important pour les
consommateurs et ce que doit leur apporter ce système. J’aimerais avoir votre
avis quant à celles-ci : ALTERNER L’ORDRE DE PRÉSENTATION.
► Les données des consommateurs sont protégées au moyen de normes et/ou
de règles de sécurité des données couvrant une majorité des acteurs du marché
et qui permettront de bâtir la confiance dans le système financier.
► Qu’en pensez-vous ? Est-ce important pour vous ?
Pourquoi ou pourquoi pas ?
► Croyez-vous que cela soit possible ? Pourquoi ou pourquoi
pas ?
► Les consommateurs ont le contrôle de leurs données de manière conforme aux
principes énoncés dans la Charte numérique.
► Qu’en pensez-vous ? Est-ce important pour vous ?
Pourquoi ou pourquoi pas ?
► Croyez-vous que cela soit possible ? Pourquoi ou pourquoi
pas ?
► Les consommateurs ont accès à une plus large gamme de services
financiers utiles, compétitifs et conviviaux grâce à un marché qui
encourage les produits compétitifs et novateurs.
► Qu’en pensez-vous ? Est-ce important pour vous ?
Pourquoi ou pourquoi pas ?
► Croyez-vous que cela soit possible ? Pourquoi ou pourquoi
pas ? Quels produits, selon vous, seraient utiles ?
►
Les consommateurs ont un accès fiable et uniforme aux services grâce à un système normalisé, convivial
et accessible à tous.
► Qu’en pensez-vous ? Est-ce important pour vous ?
Pourquoi ou pourquoi pas ?
► Croyez-vous que cela soit possible ? Pourquoi ou pourquoi
pas ?
►
Les
consommateurs ont un recours si des questions surgissent lorsque la procédure est simple et que la
responsabilité des acteurs du marché est clairement et correctement attribuée
► Qu’en pensez-vous ? Est-ce important pour vous ?
Pourquoi ou pourquoi pas ?
► Croyez-vous que cela soit possible ? Pourquoi ou pourquoi
pas ?
►
Y
a-t-il d’autres avantages que vous croyez que le système pourrait vous
offrir ?
► Qu’en pensez-vous ? Est-ce important pour vous ?
Pourquoi ou pourquoi pas ?
► Croyez-vous que cela soit possible ? Pourquoi ou pourquoi
pas ?
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Si le système gérait correctement
ces choses, que diriez-vous du système bancaire ouvert ? Est-ce que cela
répond à vos préoccupations ? Pourquoi ou pourquoi pas ?
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Y a-t-il d’autres sujets de
préoccupation qui doivent être abordés ? Lesquels ?
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Pensez-vous que la pandémie de
COVID-19 a eu un impact sur le système bancaire ouvert ? De quelle
façon ?
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SI CE N’EST PAS MENTIONNÉ :
Pensez-vous que plus de personnes utilisent ces systèmes bancaires ouverts
aujourd’hui qu’avant la pandémie ? Pourquoi ? Pensez-vous que cela
soit bon pour les consommateurs ? Pour les systèmes bancaires
ouverts ?
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SI CE N’EST PAS MENTIONNÉ :
Pensez-vous que la technologie entourant ces systèmes s’est développée plus
rapidement en raison de la pandémie ? Pourquoi ou pourquoi pas ?
Que pensez-vous de cela ? Est-ce bon pour le consommateur ? Pour
les systèmes bancaires ouverts ?
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Dans quelle mesure êtes-vous
susceptible d’utiliser ce type de services globalement ? Pourquoi ou
pourquoi pas ?
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Qu’en serait-il si ces services
vous permettaient d’obtenir de meilleurs revenus financiers ? Tout
d’abord, pensez-vous que cela soit possible ? Pourquoi ou pourquoi
pas ?
►
Est-ce que cela vous ferait
envisager d’utiliser ces services ?
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Pensez-vous que
« quelqu’un » devrait veiller sur ce système ? Qui, selon
vous, devrait le faire ? Pourquoi celles-ci ou ceux-ci ?
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Que doit-on surveiller ?
Autre chose ?
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Si ce groupe devait surveiller le
système bancaire ouvert, comment vous sentiriez-vous par rapport audit
système ?
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SI CE N’EST PAS MENTIONNÉ,
DEMANDER : Qu’en est-il si le gouvernement le surveillait ? Comment
vous sentiriez-vous dans ce cas ?
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C’est tout ce que nous avons
aujourd’hui/ce soir. Merci beaucoup pour votre participation. Je ferai savoir
au recruteur que vous étiez présent(e)s ce soir et avez participé de sorte que
vous recevrez votre paiement comme promis.