Sondage auprès des décideurs Américains - Rapport final

ROP 087-16
Contrat numéro 08112-160461/001/CY
Date d’adjudication : 22 décembre 2016
Date d’exécution : 7 décembre 2017

Fournisseur des services de recherche : The Foreign Policy Group
Ministère : Affaires mondiales Canada
Personne-ressource de Foreign Policy Group : Duc.Luu@foreignpolicy.com
Chargée de projet : Kristin.plater@international.gc.ca

Attestation de neutralité politique

J’atteste, par les présentes, à titre d’agent principal de Inscrivez le nom du fournisseur, que les produits livrables se conforment entièrement aux exigences en matière de neutralité politique du gouvernement du Canada énoncées dans la Politique de communication du gouvernement du Canada et dans la Directive sur la gestion des communications - Annexe C (Annexe C : Procédure obligatoire relative à la recherche sur l’opinion publique).

Plus précisément, les produits livrables ne comprennent pas d’information sur les intentions de vote électoral, les préférences quant aux partis politiques, les positions des partis ou l’évaluation de la performance d’un parti politique ou de ses dirigeants.

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Table des matières

Liste des tableaux

Résumé des conclusions

La recherche avait comme principaux objectifs de mieux comprendre la mesure dans laquelle les stratégies et leurs messages connexes de la Direction de l’Amérique du Nord trouvaient écho au sein de l’auditoire cible, d’établir une référence sur la perception de l’auditoire cible sur les politiques canadiennes en matière d’environnement, de commerce et de sécurité, et d’obtenir des données pour appuyer les nouveaux processus des campagnes de défense des intérêts aux États-Unis.

Les décideurs des États-Unis ont des opinions très favorables sur le commerce entre le Canada et leur pays, alors que la quasi-totalité des répondants au sondage a affirmé avoir une vision positive du commerce entre le Canada et les États-Unis, tandis que près des trois quarts des répondants ont affirmé avoir une vision très positive du commerce entre les deux pays.

Dans le cadre du sondage, les répondants ont ensuite été appelés à classer en ordre de priorité trois choix de domaines de coopération entre le Canada et les États-Unis. L’environnement est le domaine de coopération ayant obtenu la plus haute priorité. Dans une proportion de deux pour un, les répondants ont choisi le changement climatique et l’environnement avant la deuxième priorité qui s’est révélée être la coopération en matière de sécurité et de lutte contre le terrorisme, suivie de la coopération en matière d’accords commerciaux et du flux transfrontalier des marchandises.

La deuxième priorité retenue demeure l’environnement, statistiquement liée à l’énergie et aux accords commerciaux. Ce n’est qu’au niveau de la troisième priorité que l’environnement cède la première place à la sécurité et à la lutte contre le terrorisme ainsi qu’à l’énergie, suivie par les accords commerciaux.

Invités à indiquer leur accord avec des énoncés sur le Canada, les répondants ont donné des réponses extrêmement positives à la majorité des énoncés. Presque tous les répondants sont d’accord avec le fait que « le Canada est un partenaire commercial vital pour les États-Unis », alors que huit répondants sur dix se disent tout à fait d’accord avec l’énoncé. De même, presque tous les répondants sont d’accord avec l’énoncé selon lequel « le Canada est un partenaire fiable des États-Unis en matière de sécurité et de défense », énoncé avec lequel neuf répondants sur dix sont fortement en accord.

Si près de neuf répondants sur dix sont d’accord avec l’énoncé selon lequel « les règles régissant le commerce entre les États-Unis et le Canada sont équitables », la proportion de ceux qui sont tout à fait d’accord accuse une baisse de trente et un points par rapport aux énoncés antérieurs. De la même façon, si huit répondants sur dix sont d’accord avec l’énoncé selon lequel « la frontière nord entre les États-Unis et le Canada est sécuritaire », à peine un peu plus de la moitié des répondants se dit tout à fait d’accord avec l’énoncé.

L’accord avec l’énoncé selon lequel « le Canada offre des possibilités alléchantes d’investissement » (76 % d’avis favorables en moyenne) et très mitigé puisque moins de trois répondants sur dix sont tout à fait d’accord avec lui. Cette proportion est nettement inférieure à celles applicables à tous les autres énoncés. Seuls les répondants qui sont tout à fait d’accord envisageraient sérieusement d’investir personnellement ou recommanderaient à d’autres le Canada comme bon endroit où investir.

Les trois quarts des répondants estiment que les considérations pour l’environnement sont prises en compte par les décideurs politiques canadiens, bien que seulement le tiers des répondants soit tout à fait d’accord avec l’énoncé.

Le sondage a coûté au total 24 998 $ CA. La division prévue en deux volets visait à mesurer l’efficacité d’une campagne de défense des intérêts sur l’environnement, le commerce et la sécurité auprès du principal partenaire commercial du Canada. De plus, elle aurait permis d’établir des rapports entre la campagne de défense des intérêts et les changements de perceptions publiques des décideurs des États-Unis. 

Les résultats du premier volet révèlent une attitude tout à fait positive envers le commerce et certains des aspects progressistes que le Canada a récemment proposés dans le cadre de la renégociation de l’Accord de libre-échange nord-américain. Ce fait laisse entendre que l’échantillon du sondage (l’auditoire cible) n’était pas constitué de personnes neutres ou plus ou moins opposées au libre-échange, comme le stipulait le contrat. Par conséquent, le contrat a été résilié avant le début du deuxième volet. Les conclusions du présent rapport portent uniquement sur le premier volet du sondage, ce qui rend impossible toute évaluation de l’efficacité de la campagne de défense des intérêts.

Méthodologie

Affaires mondiales Canada a donné au magazine Foreign Policy (FP) le mandat de mener un sondage en ligne auprès de ses lecteurs, parmi lesquels figurent des hauts décideurs politiques, des dirigeants des médias, des chercheurs, des directeurs de groupes de réflexion et d’autres personnalités importantes des États-Unis. Le lectorat total (l’univers) est constitué de 1,2 million de personnes. Une série de questions de sélection étaient posées avant le début du sondage pour s’assurer que l’échantillon correspondait à l’auditoire cible.

FP a obtenu 1 039 réponses au sondage de ses lecteurs inscrits, annoncé par une fenêtre contextuelle entre le 7 février et le 8 mars 2017. L’échantillon n’a pas été pondéré parce qu’il correspondait étroitement aux lecteurs auxquels s’intéressait le Ministère. L’échantillon était également non probabiliste et les résultats ne peuvent pas être extrapolés à une population plus vaste.

Détail des conclusions

Commerce Canada–É.-U.

Si 95 % des répondants estiment que le commerce entre les États-Unis et le Canada est positif, près des trois quarts des répondants (73 %) estiment que les relations commerciales sont très positives.

Les répondants qui travaillent dans des universités, dans l’industrie, des organisations non gouvernementales (ONG) et des médias (75 %) sont plus enclins à dire que le libre-échange entre le Canada et les États-Unis a eu des effets très positifs que ceux du secteur de la publicité et de la commercialisation (62 %) et du service public (fonctionnaires) [67 %]. Les répondants ayant fait des études postuniversitaires (76 %) sont également plus enclins que ceux qui ont fait des études universitaires ou moins (69 %) à considérer le libre-échange comme très positif.

Les répondants qui viennent au Canada tous les ans (76 %) tendent à considérer comme très positif le libre-échange Canada–États-Unis. Les citoyens des États-Unis (73 %) tendent plus à avoir une opinion très positive du commerce entre les deux pays que les non-citoyens (64 %).

Tableau 1 - À votre avis, le libre-échange entre les États-Unis et le Canada a-t-il eu des répercussions positives ou négatives sur les États-Unis?

Version texte

Domaines de coopération entre le Canada et les États-Unis (trois principaux domaines)

Première priorité

Interrogés sur le principal domaine de coopération, les répondants sont beaucoup plus susceptibles de citer l’environnement (42 %), suivi de la sécurité et la lutte contre le terrorisme (16 %), des accords commerciaux (14 %), du flux transfrontalier des marchandises (13 %) et de l’énergie (10 %).

Tableau 2 - Quels sont les trois domaines de coopération auxquels, selon vous, les États-Unis et le Canada devraient accorder la plus grande priorité en 2017?

Version texte

Première priorité :

Les universitaires, les représentants des médias, de la publicité et de la commercialisation ont plus tendance à voir dans l’environnement la plus haute priorité (51 %), alors que les fonctionnaires ou les industriels (35 %) font preuve d’un enthousiasme moindre. Le niveau d’instruction n’a pas d’influence d’un groupe à l’autre, mais ceux qui ne font pas des affaires au Canada sont plus intéressés, à hauteur de 44 % des répondants, par l’environnement que ceux qui font des affaires au Canada (34 %).

Les fonctionnaires et les représentants de l’industrie sont plus enclins à accorder la plus haute priorité à la coopération dans le domaine de la sécurité et de la lutte contre le terrorisme que les universitaires, les représentants des médias, de la publicité et de la commercialisation ou des ONG. Les représentants des médias sont les moins susceptibles (5 %) à percevoir le flux transfrontalier des marchandises comme la plus grande priorité alors que les autres groupes professionnels sont plus susceptibles de lui accorder une grande importance (14 %).

Deuxième priorité

Comme deuxième priorité, l’énergie et les accords commerciaux se partagent le plus haut rang (21 % dans chaque cas), suivis de l’environnement (20 %); la sécurité et la lutte contre le terrorisme ainsi que le flux transfrontalier des marchandises se partagent le troisième rang à 14 % chacun, tandis que l’agriculture arrive au dernier rang, à 4 %.

Tableau 3 - Quels sont les trois domaines de coopération auxquels, selon vous, les États-Unis et le Canada devraient accorder la plus grande priorité en 2017?

Version texte

Deuxième priorité :

Les répondants au sondage issus du secteur de la publicité et de la commercialisation sont plus susceptibles, à 26 %, de classer l’énergie en deuxième position prioritaire; pour leur part, les fonctionnaires sont les moins susceptibles de classer l’énergie à cette place (19 %).

Alors que l’on constate peu de variation entre les sous-groupes professionnels sur l’importance des accords commerciaux, ceux qui viennent au Canada fréquemment (entre une fois tous les jours et une fois tous les six mois) [13 %] sont considérablement moins enclins à classer les accords commerciaux au deuxième rang des priorités que ceux qui ont déclaré n’avoir jamais voyagé au Canada (25 %).

Le changement climatique et l’environnement est la principale deuxième priorité selon le sous-groupe des ONG alors que ce domaine n’est classé en deuxième position que par 19 % des autres sous-groupes professionnels.

Troisième priorité

Un répondant sur cinq (21 %) a désigné la sécurité et la lutte contre le terrorisme comme troisième priorité. Ce domaine est suivi de près par l’énergie (20 %) et les accords commerciaux (18 %). Le flux transfrontalier des marchandises est choisi par 12 % des répondants, suivi de l’environnement à 11 % et l’agriculture à 7 %.

Tableau 4 - Quels sont les trois domaines de coopération auxquels, selon vous, les États-Unis et le Canada devraient accorder la plus grande priorité en 2017?

Version texte

Troisième priorité :

Les non-citoyens sont beaucoup plus enclins à choisir l’énergie comme troisième priorité (36 %) que les citoyens des États-Unis (20 %).

Les répondants du secteur de la publicité et de la commercialisation sont sensiblement moins enclins (8 %) que les autres sous-groupes professionnels (20 %) à désigner les accords commerciaux comme troisième priorité.

Perceptions du Canada

Tableau 5 - Degré d’accord avec les énoncés sur le Canada

Version texte
Entièrement d'accord D'accord Pourcentage total de ceux qui sont d'accord
Le Canada est le principal fournisseur d'énergie des États-Unis. 34 34 68
Les décisions politiques du Canada tiennent compte de l'environnement 34 40 74
Le Canada offre des occasions alléchantes d'investissement 28 48 76
La frontière nord entre les États-Unis et le Canada est sécuritaire. 54 26 80
Les règles commerciales entre les États-Unis et le Canada sont équitables. 56 30 86
Le Canada est un partenaire fiable des État-Unis en matière de sécurité et de défense 87 8 95
Le Canada est un partenaire commercial vital pour les États-Unis. 85 12 97

Une série d’énoncés a été soumise aux répondants à qui l’on demandait dans quelle mesure ils étaient d’accord ou non avec chacun des énoncés.

Les résultats révèlent que 97 % des répondants estiment que le Canada est un partenaire commercial vital pour les États-Unis, dont 85 % se disent entièrement d’accord avec l’énoncé. Les répondants des secteurs de la publicité et de la commercialisation sont les plus enclins à être entièrement d’accord avec l’énoncé (92 %), suivi de ceux du secteur des médias (88 %), de l’université (87 %), de la fonction publique (85 %), des ONG et de l’industrie, à 83 % chacun. Ceux qui voyagent au Canada quotidiennement sont plus susceptibles d’être entièrement d’accord (93 %) sur le fait que le Canada est un partenaire commercial vital que ceux qui n’y viennent qu’une fois par année, qui n’y viennent jamais, ou pour qui la situation ne s’applique pas (84 %).

Quatre-vingt-quinze pour cent des répondants sont d’accord avec l’énoncé selon lequel le Canada est un partenaire fiable des États-Unis en matière de sécurité et de défense, dont 87 % sont entièrement d’accord. Les non-citoyens (à 93 %) sont également plus enclins que les citoyens des États-Unis (à 87 %) à être entièrement d’accord avec l’énoncé selon lequel le Canada est un partenaire fiable des États-Unis en matière de sécurité et de défense. Également, les répondants du secteur des médias (à 97 %) tendent à être entièrement d’accord avec cet énoncé dans une plus forte proportion que ceux des autres groupes professionnels (à 87 %).

Près de 9 répondants sur 10 (86 %), dont 56 % sont entièrement d’accord, sont d’accord avec l’énoncé selon lequel les règles commerciales entre les États-Unis et le Canada sont équitables. Les répondants des secteurs des médias et des ONG (à 63 %) sont plus enclins à se dire entièrement d’accord sur l’équité des règles commerciales que ceux des autres groupes professionnels (55 %).

Quatre répondants sur cinq (80 %) jugent que la frontière entre le Canada et les États-Unis est sûre : plus de la moitié (54 %) sont entièrement d’accord avec l’énoncé. Les répondants des secteurs universitaire et des ONG sont plus enclins (62 %) à être entièrement d’accord avec l’énoncé que les autres cohortes professionnelles (49 %).

Un peu plus que les trois quarts (76 %) des répondants sont d’accord avec l’énoncé selon lequel le Canada offre des occasions alléchantes d’investissement; cependant, une proportion beaucoup plus faible de répondants se dit entièrement d’accord avec l’énoncé (28 %). Les répondants des secteurs de l’industrie (25 %) et de la publicité et de la commercialisation (23 %) sont les moins susceptibles d’être entièrement d’accord avec l’énoncé selon lequel le Canada offre des occasions alléchantes d’investissement, comparativement aux autres sous‑groupes professionnels (31 %). À seulement 24 %, les répondants qui font actuellement des affaires avec le Canada sont moins susceptibles d’être entièrement d’accord avec l’énoncé selon lequel le Canada est une bonne cible pour l’investissement que ceux qui ne font pas des affaires avec nous (30 %).

Près des trois quarts des répondants (74 %) sont d’accord avec l’énoncé selon lequel les décisions politiques du Canada tiennent compte de l’environnement, dont 34 % sont entièrement d’accord. Les citoyens des États-Unis sont à 35 % plus susceptibles d’être entièrement d’accord avec cet énoncé que les non-citoyens (14 %). Également, les répondants du secteur de la publicité et de la commercialisation sont, à 26 %, beaucoup moins enclins à être entièrement d’accord que les répondants des autres sous-groupes professionnels (36 %).

Plus des deux tiers des répondants (68 %) sont d’accord avec l’énoncé selon lequel le Canada est le principal fournisseur d’énergie des États-Unis. Trente-quatre pour cent des répondants sont entièrement d’accord avec l’énoncé. Les répondants des secteurs de la publicité et de la commercialisation et ceux des ONG sont moins susceptibles, à 29 %, d’être entièrement d’accord avec l’énoncé précédent que ceux des autres cohortes professionnelles (35 %).

Annexe 1

Questionnaire du sondage auprès des décideurs sur le Canada et les États-Unis

Introduction

  1. Êtes-vous citoyen des États-Unis d’Amérique?
    1. Oui, je suis citoyen des États-Unis et je réside actuellement aux États-Unis.
    2. Oui, je suis citoyen des États-Unis, mais je ne réside pas actuellement aux États-Unis.
    3. Non, je ne suis pas citoyen des États-Unis. - FIN
  2. Lequel des secteurs suivants décrit le mieux l’industrie pour laquelle vous travaillez ou à laquelle vous êtes affilié?
    1. Administration publique (tous ordres de gouvernement)
    2. Industrie (manufacturière, services, technologie, etc.)
    3. Université
    4. Médias
    5. Publicité ou commercialisation
    6. Organisation non gouvernementale (ONG)
    7. Autre - FIN
  3. Quel est votre plus haut degré de scolarité?
    1. Diplôme d’études secondaires
    2. Diplôme ou certificat d’études collégiales
    3. Diplôme d’études universitaires de premier cycle
    4. Diplôme d’études supérieures de deuxième cycle
    5. Diplôme d’études supérieures de troisième cycle
    6. Autre - FIN
  4. Faites-vous actuellement des affaires au Canada (p. ex. entreprise ou organisation au Canada)?
  5. À quelle fréquence voyagez-vous au Canada?
    1. Quotidiennement
    2. Hebdomadairement (au moins une fois par semaine)
    3. Mensuellement (au moins une fois par mois)
    4. Trimestriellement (au moins tous les trois mois)
    5. Semestriellement (au moins tous les six mois)
    6. Annuellement (au moins une fois par année)
    7. Jamais
    8. Ne s’applique pas
  6. À votre avis, le libre-échange entre les États-Unis et le Canada a-t-il eu des répercussions positives ou négatives sur les États-Unis? [sur une échelle de 10 points, où 1 représente des répercussions très négatives et 10, des répercussions très positives]
  7. Quels sont les trois principaux domaines auxquels, selon vous, les États-Unis et le Canada devraient accorder la plus haute priorité en 2017? Veuillez classer vos choix en ordre de priorité de 1 à 3, où 1 est la plus haute priorité, 2, la deuxième priorité et 3, la troisième priorité.
    1. Accords commerciaux
    2. Changement climatique et environnement
    3. Énergie
    4. Coopération en matière de sécurité et de lutte contre le terrorisme
    5. Agriculture
    6. Produits et services financiers
    7. Flux transfrontalier des marchandises
    8. Autre secteur de coopération (Veuillez préciser)
  8. De manière générale, dans quelle mesure êtes-vous d’accord ou en désaccord avec les énoncés suivants sur le Canada, sur une échelle de 1 à 10, où 1 signifie « En total désaccord » et 10 signifie « Entièrement d’accord »?
    1. Le Canada offre des occasions alléchantes d’investissement.
    2. Le Canada est un partenaire commercial vital pour les États-Unis.
    3. Le Canada est le principal fournisseur d’énergie des États-Unis.
    4. Les décisions politiques du Canada tiennent compte de l’environnement.
    5. La frontière nord entre les États-Unis et le Canada est sécuritaire.
    6. Le Canada est un partenaire fiable des États-Unis en matière de sécurité et de défense.
    7. Les règles régissant le commerce entre les États-Unis et le Canada sont équitables.