Préparé pour Affaires mondiales Canada
Nom du fournisseur : Les Associés de recherche Ekos
No du contrat : 08873–190541/001/CY
Date d'attribution du contrat : 21 janvier 2020
Date de livraison : 12 mars 2020
No d'inscription : 072-19
Pour obtenir de plus amples renseignements sur le présent rapport, veuillez communiquer avec Affaires mondiales Canada à :
Kristin.Plater@international.gc.ca
This report is also available in English
Attitudes des Canadiens à l'égard du commerce international
Rapport final
Préparé pour Affaires mondiales Canada
Nom du fournisseur : Les Associés de recherche Ekos
Mars 2020
Le présent rapport fait la synthèse des résultats d'un sondage mené auprès de 2 089 Canadiens.
This report is also available in English under the title: Canadian Attitudes towards International Trade
Cette publication ne peut être reproduite qu'à des fins non commerciales. Une autorisation écrite préalable doit d'abord être obtenue auprès d'Affaires mondiales Canada. Pour obtenir de plus amples renseignements sur le présent rapport, veuillez communiquer avec Affaires mondiales Canada à : Kristin.Plater@international.gc.ca
Numéro de catalogue :
FR5-174/2020F-PDF
Numéro international normalisé du livre (ISBN) :
978-0-660-35883-3
Publications connexes (numéro d'enregistrement : ROP 072-19) :
Numéro de catalogue : FR5-174/2020E-PDF (Rapport final, anglais)
ISBN : 978-0-660-35882-6
© Sa Majesté la Reine du chef du Canada
Cette recherche a eu lieu entre le 6 et le 19 février 2020, avant l'annonce de la majorité des mesures prises par le Canada pour prévenir la propagation de la COVID-19. Les efforts déployés par le Canada pour contrôler et pour atténuer la propagation du virus ont entraîné des restrictions de voyage et des restrictions frontalières temporaires, et ils pourraient avoir d'autres répercussions sur les activités internationales de développement des affaires, mais il est aussi possible qu'ils aient une incidence sur l'attitude du public envers le commerce. Les résultats doivent donc être examinés en tenant compte de ces facteurs. Nous proposons une recherche sur l'opinion publique continue pour évaluer de façon continue les attitudes du public au fil du temps.
En conformité avec la Stratégie de diversification du commerce, Affaires mondiales Canada (GAC) s'efforce d'aider le Canada à diversifier son commerce à l'étranger. Cette stratégie comprend des efforts visant à promouvoir une approche inclusive au commerce afin de veiller à ce que les avantages et les possibilités du commerce soient partagés davantage entre tous les Canadiens. En appui à ces initiatives, une enquête initiale a été menée auprès de Canadiens dans le but de donner aux communicateurs commerciaux une vision claire des attitudes du public envers le commerce, ce qui les aidera dans la transmission de messages et de communications (discours, notes d'entrevue, communiqués de presse, publications dans des médias sociaux, etc.).
Cette étude a été menée auprès de 2 089 Canadiens et Canadiennes âgés de 18 ans ou plus. Le travail sur le terrain a eu lieu du 6 au 19 février 2020. Le sondage a été réalisé principalement en ligne à l'aide de notre panel probabiliste Probit. Cependant, pour inclure les Canadiens qui n'ont pas accès à Internet, certaines entrevues ont été effectuées au téléphone. En tout, 1 588 cas ont été recueillis en ligne et 501 l'ont été au téléphone. Les résultats du sondage ont été pondérés en fonction des données de Statistique Canada sur l'âge, le sexe et la région de résidence afin de rendre l'échantillon représentatif de l'ensemble de la population canadienne âgée de 18 ans ou plus. La marge d'erreur associée à l'échantillon total est de +/- 2,1 points de pourcentage, 19 fois sur 20.
Les principales constatations de cette étude sont exposées ci-dessous. Le reste du rapport décrit plus en détail les résultats du sondage.
Les résultats démontrent que le commerce international est un sujet populaire dans les médias. Les trois quarts des répondants (75 %) se rappellent avoir entendu des nouvelles au sujet du commerce international, une augmentation de 11 points par rapport à la version de 2001 du sondage. Une majorité relative de ces répondants se souvient de nouvelles concernant l'Accord Canada-États-Unis-Mexique (ACEUM).
Pour ce qui est de l'importance des divers objectifs de l'approche qu'adopte le Canada en matière de commerce international, les répondants mentionnent principalement des questions économiques, neuf répondants sur dix considérant la création d'emplois (93 %), le soutien aux entreprises canadiennes (90 %) et l'innovation (90 %) comme des priorités clés. Cependant, les Canadiens accordent également une grande importance à d'autres objectifs commerciaux. En effet, plus de huit personnes sur dix sont d'avis qu'il est très important d'assurer le respect des normes canadiennes liées à la santé et à l'environnement (88 %), de soutenir le secteur agricole du Canada (85 %), de protéger la propriété intellectuelle canadienne (85 %), de veiller à ce que le commerce profite à tout le monde (82 %) et de diversifier les marchés d'exportation du Canada (82 %). Les Canadiens attachent moins d'importance au fait de promouvoir l'égalité des sexes (64 %), d'offrir aux consommateurs le plus grand choix de produits et de services aux prix les plus bas (62 %) et d'augmenter les investissements directs étrangers au Canada (55 %).
Les résultats suggèrent que les Canadiens connaissent généralement bien les principaux partenaires commerciaux du Canada. Lorsqu'invités à identifier les cinq principaux marchés d'exportation du Canada, la grande majorité des répondants (86 %) reconnaissent les États-Unis comme le plus grand marché, alors que les trois quarts (75 %) considèrent la Chine comme un marché important. Un peu plus de quatre répondants sur dix citent le Mexique (45 %) et l'Europe (42 %) comme des marchés d'exportation importants du Canada. Le tiers (32 %) des répondants mentionnent le Royaume-Uni, tandis que le quart (26 %) évoque le Japon.
En ce qui concerne les deux plus grands secteurs d'exportation du Canada, sept répondants sur dix (70 %) citent les ressources naturelles et l'énergie, alors que la moitié (50 %) mentionne les produits agricoles.
Les résultats donnent à penser que les Canadiens croient que le commerce a grandi en importance au cours des dix dernières années. Environ huit répondants sur dix (83 %) affirment que le commerce est de plus en plus important, alors que seulement trois pour cent croient qu'il perd de l'importance.
Cependant, les résultats révèlent également que les Canadiens sont divisés lorsque vient le temps d'identifier les principaux bénéficiaires du commerce international. Un peu plus de la moitié des répondants (54 %) croient que le commerce profite à la plupart des Canadiens sous la forme d'emplois, de revenus fiscaux et d'une meilleure offre de produits et de services. Toutefois, quatre personnes sur dix (42 %) ont un point de vue plus négatif et sont d'avis que le commerce international profite presque exclusivement aux grandes sociétés et aux investisseurs riches.
Cela dit, lors de l'évaluation de la mesure dans laquelle divers groupes tirent profit du commerce international, les Canadiens ont beaucoup plus tendance à indiquer que les sociétés d'envergure sont les grandes gagnantes. En effet, neuf Canadiens sur dix (91 %) affirment que les grandes sociétés profitent grandement du commerce international, alors que près de la moitié estime que les petites et moyennes entreprises, tout comme les entreprises communautaires, en profitent dans la même mesure (47 % et 46 %, respectivement). Quatre personnes sur dix (38 %) disent tirer personnellement profit du commerce international et le tiers seulement croit que les femmes ou les jeunes en profitent (32 % chacun). Une proportion encore moins élevée croit que les membres de la communauté LGBTQ2 ou les Autochtones profitent du commerce international (18 % chacun).
En ce qui concerne les principales raisons pour lesquelles les produits canadiens sont connus à l'échelle internationale, les deux tiers (68 %) des répondants affirment que nos produits sont reconnus pour leur qualité supérieure. Un peu plus de la moitié (55 %) mentionne le traitement équitable réservé aux travailleurs au Canada, tandis qu'un peu plus de quatre personnes sur dix (44 %) déclarent que le respect des normes environnementales du pays est à la base de la réputation du Canada. Seul un répondant sur huit (13 %) croit que les produits canadiens sont reconnus pour leurs bas prix.
Pour environ les deux tiers des Canadiens (64 %), le pays d'origine est un facteur important dans la décision d'acheter un produit en particulier, tandis qu'une personne sur cinq (19 %) dit que ce facteur a une incidence modérée sur ses décisions. Une personne sur sept (15 %) ne croit pas être influencée par le pays d'origine d'un produit.
Les résultats suggèrent que les répondants ne s'inquiètent que dans une certaine mesure de l'impact du commerce sur les normes environnementales internationales. Seule la moitié (51 %) d'entre eux convient que l'augmentation du commerce international est susceptible de faire en sorte que les pays baissent leurs normes environnementales pour être plus concurrentiels, tandis que le quart (25 %) n'est pas d'accord. Le suivi révèle une baisse constante de la proportion des répondants qui est d'accord avec cet énoncé au cours des vingt dernières années (51 %, contre 62 % en 1999).
Les résultats montrent également que le commerce international est en grande partie considéré comme une occasion de promouvoir certains objectifs sociaux pour le Canada. Environ les deux tiers des Canadiens considèrent le commerce comme une bonne façon de promouvoir la responsabilité environnementale (65 %) et le respect des droits des travailleurs (64 %). Plus de six personnes sur dix disent que le commerce est un moyen efficace de favoriser le respect des droits de la personne (62 %) et de promouvoir des débouchés commerciaux pour tous (60 %).
À la question à savoir si le libre-échange est une bonne ou une mauvaise chose pour le Canada, six répondants sur dix (61 %) disent que c'est une bonne chose, alors qu'un Canadien sur dix (10 %) pense que c'est une mauvaise chose. Le suivi révèle une augmentation de 13 points du soutien au libre-échange au cours des trois dernières années.
Les répondants ont été interrogés, sans recevoir de pistes de réponse, sur le pays avec qui, selon eux, le Canada devrait essayer de tisser le plus de liens. Le quart des répondants (24 %) croient que le Canada devrait tisser davantage de liens avec l'Europe, alors qu'une moindre proportion (22 %) mentionne les États-Unis. Environ un Canadien sur six croit que le Canada devrait accroître ses relations commerciales avec la Chine et avec le Royaume-Uni (16 % chacun), alors qu'une moindre proportion (12 %) mentionne l'Inde.
Les répondants ont aussi été interrogés sur les répercussions qu'aura l'Accord Canada-États-Unis-Mexique (ACEUM) sur les Canadiens et les Canadiennes. Les réponses varient et ne s'articulent pas autour d'un seul thème, ce qui suggère une compréhension limitée de l'accord. Une personne sur sept (15 %) affirme qu'il n'aura pas une incidence importante, alors qu'une personne sur dix (10 %) croit que l'économie (en général) en profitera. Un peu moins d'une personne sur dix prévoit des répercussions négatives sur le secteur agricole, une plus grande dépendance aux États-Unis ou des impacts positifs non précisés (7 % chacun). Une grande proportion de répondants (30 %) ne donne pas de réponse, ce qui laisse entendre encore une fois un manque de compréhension de l'accord.
Les Canadiens ont également été interrogés sur leur connaissance et sur leurs points de vue concernant deux accords commerciaux récemment signés : l'Accord de partenariat transpacifique global et progressiste (PTPGP) et l'Accord économique et commercial global entre le Canada et l'Union européenne (AECG). Les résultats démontrent que les répondants ne connaissent pas bien ces deux accords, mais ceux qui les connaissent expriment des points de vue positifs à leur égard.
Lorsqu'invités à indiquer à quel point ils connaissent bien le PTPGP, la plupart des répondants disent ne pas le connaître très bien (40 %) ou ne pas le connaître du tout (30 %). Le quart seulement (26 %) déclare le connaître assez bien, et une proportion encore moins importante (2 %) croit le connaître très bien. Malgré une connaissance limitée du PTPGP, les répondants qui le connaissent en ont des opinions favorables : plus de la moitié (51 %) croit qu'il a un impact plutôt positif sur le Canada et une personne sur cinq (22 %) est d'avis que son impact est très positif.
Les résultats révèlent que la connaissance de l'AECG est elle aussi plutôt limitée. La plupart des répondants ne le connaissent pas très bien (39 %) ou ne le connaissent pas du tout (28 %). Environ le quart (28 %) dit le connaître assez bien alors que seuls quatre pour cent le connaissent très bien. Comme pour le PTPGP, malgré une faible connaissance, les personnes qui connaissent l'accord ont des opinions très favorables à son sujet : plus de la moitié (54 %) déclare que l'impact de l'AECG sur le Canada est assez positif, et trois répondants sur dix (30 pour cent) affirment que son impact est très positif. Un répondant sur dix (11 %) affirme que l'impact est négatif.
En harmonie avec les autres constatations, les résultats révèlent des impressions positives de l'impact du commerce international, tant au Canada qu'à l'étranger. Dans une grande mesure, les trois quarts (75 %) des répondants croient que les activités de commerce international du Canada ont un impact positif sur le développement de la technologie et de l'innovation au Canada, et six personnes sur dix (60 %) affirment qu'il a un impact positif sur le nombre d'emplois au Canada. Un peu plus de la moitié (54 %) des Canadiens estime que la qualité de vie des Canadiens s'est améliorée grâce au commerce international, tandis qu'un peu moins de la moitié (46 %) déclare que les normes environnementales au Canada et à l'étranger se sont améliorées en raison du commerce. Quatre personnes sur dix (40 %) croient que le commerce international du Canada a un impact positif sur l'amélioration des conditions de travail à l'étranger.
Les résultats révèlent également que les Canadiens croient profiter personnellement du commerce international. Lorsqu'on leur demande s'ils croient tirer profit du commerce international à l'heure actuelle, environ six répondants sur dix (63 %) répondent à l'affirmative, alors que seul le quart (26 %) affirme le contraire. Parmi ceux qui croient en profiter, huit personnes sur dix (81 %) sont d'avis qu'il y a une plus vaste sélection de biens et de services, tandis que plus de la moitié évoque la création d'emplois (58 %), les avantages économiques (56 %) et des prix plus bas (51 %). Parmi ceux qui ne croient pas profiter du commerce international, environ quatre personnes sur dix citent la qualité inférieure des produits fabriqués à l'étranger (41 %), les prix relativement plus élevés des produits importés (39 %), des inquiétudes environnementales (37 %) et des craintes liées aux pertes d'emploi au Canada (36 %)[1].
La plupart des Canadiens (61 %) disent connaître les programmes qu'offre le gouvernement fédéral pour aider les entreprises à faire des affaires à l'étranger. Cependant, lorsqu'on leur demande d'expliquer leur réponse, la plupart de ces répondants (61 %) ne peuvent pas nommer un programme en particulier. Exportation et développement Canada (12 %) et la Banque de développement du Canada (8 %) sont les programmes qui font le plus souvent objet d'une mention chez les répondants aptes à donner une réponse.
Les Canadiens ont généralement une vision positive du commerce international. Dans la plupart des indicateurs testés, les répondants considèrent que le commerce est avantageux pour le Canada, particulièrement lorsqu'il s'agit de favoriser l'innovation et de stimuler l'augmentation du nombre d'emplois. En effet, les trois quarts (75 %) des répondants croient que le commerce international du Canada a un impact positif sur le développement de la technologie et de l'innovation au Canada. De plus, la vaste majorité des Canadiens croient que le commerce est devenu plus important au cours des dernières années et sont en faveur de son accroissement. La plupart des Canadiens pensent profiter personnellement du commerce, les avantages perçus étant un plus grand choix pour les consommateurs, la baisse des prix et la création d'emplois.
Une des questions qui pose problème, cependant, est la perception voulant que le commerce international profite beaucoup plus aux grandes sociétés et aux riches. Les Canadiens sont divisés quant à savoir si les avantages du commerce international percolent dans l'économie, et ils doutent que les communautés les plus marginalisées du Canada, en particulier les Autochtones et les membres de la communauté LGBTQ2, tirent profit du commerce international. Néanmoins, la plupart des Canadiens considèrent le commerce comme un moyen de promouvoir des débouchés commerciaux pour ces groupes et d'autres objectifs sociaux.
En ce qui concerne l'approche qu'adopte le Canada en matière de commerce international, les répondants mentionnent plusieurs considérations importantes, particulièrement des questions économiques, comme la création d'emplois, le soutien aux entreprises canadiennes et l'innovation. Toutefois, le respect des normes liées à la santé et à l'environnement, la protection de la propriété intellectuelle, le partage plus équitable des avantages du commerce et la diversification des marchés d'exportation du Canada sont aussi des priorités de premier plan.
Compte tenu du niveau d'attention médiatique accordé à la renégociation de l'ALENA, il n'est pas surprenant que le rappel des nouvelles liées au commerce international soit en hausse depuis 2001, l'ACEUM faisant l'objet de la plus grande attention. La connaissance des autres accords commerciaux qu'a récemment conclus le Canada (l'AECG et le PTPGP) est relativement faible, mais la plupart des gens qui connaissent bien ces accords sont optimistes quant à leur impact.
La conclusion la plus intéressante des résultats est peut-être le fait que les Canadiens demeurent unis et optimistes face au commerce international. Il y a une stabilité remarquable dans les attitudes positives liées au commerce et à la mondialisation. Ces attitudes se sont même légèrement améliorées au cours des dernières années. Si le protectionnisme et le mouvement antimondialisation font actuellement partie intégrante du monde occidental, ils ne semblent pas gagner du terrain au Canada et il n'y a aucun signe que l'enthousiasme diminue à l'égard du commerce international.
Les Canadiens aiment surtout le commerce international en raison des avantages économiques qu'il présente. Ils reconnaissent également d'autres avantages et aimeraient que d'autres objectifs soient associés au commerce, notamment en ce qui concerne l'environnement, le travail et divers enjeux touchant les femmes. Toutefois, il ne fait pas de doute que ces objectifs sont subordonnés à des questions économiques.
Les perceptions sur le commerce sont principalement liées à l'ACEUM. Les Canadiens appuient largement cet accord et, bien qu'ils ne semblent pas croire que les avantages qui y sont associés ne seront pas différents de ceux de l'ALENA, ils n'y voient pas de grands inconvénients. Autrement dit, ils semblent satisfaits de la façon dont l'entente a été négociée.
Les connaissances en matière de commerce international sont limitées. Les Canadiens reconnaissent le rôle que jouent les États-Unis, mais semblent surestimer la demande en exportations canadiennes de la Chine en comparaison avec des marchés comme l'Europe et le Royaume-Uni.
Les Canadiens considèrent que le commerce international profite principalement aux grandes sociétés (en effet, il y a une diminution importante du nombre de répondants qui croient que le commerce international a un impact positif lorsque la question se concentre sur les petites entreprises). Il est intéressant de noter que les Canadiens ne semblent pas trop importunés par ce manque apparent d'équité. Ils semblent reconnaître que la croissance économique du pays est inextricablement liée au rendement de nos grandes sociétés, bien qu'ils manifestent certaines inquiétudes par rapport au fait que ce ne sont pas tous les Canadiens qui profitent des avantages du commerce international.
En conformité avec la Stratégie de diversification du commerce, Affaires mondiales Canada (GAC) s'efforce d'aider le Canada à diversifier son commerce à l'étranger. Cette stratégie comprend des efforts visant à promouvoir une approche inclusive au commerce afin de veiller à ce que les avantages et les possibilités du commerce soient partagés davantage entre tous les Canadiens.
Bien qu'Affaires mondiales Canada ait mené une recherche sur l'opinion publique auprès des principaux intervenants par le passé, ces études ont été principalement réalisées pour informer les petites et moyennes entreprises de la mise en œuvre de programmes. Seule une série d'études de petite envergure et intermittentes a été menée auprès de la population générale.
Une enquête initiale a eu lieu dans le but de donner aux communicateurs commerciaux une vision claire des attitudes du public envers le commerce et de la compréhension des questions qui y sont associées, ce qui les aidera dans la transmission de messages et de communications (discours, notes d'entrevue, communiqués de presse, publications dans des médias sociaux, etc.).
Les objectifs de la recherche sont les suivants :
Cette étude a été menée auprès de 2 089 Canadiens et Canadiennes âgés de 18 ans ou plus. Le travail sur le terrain a eu lieu du 6 au 19 février 2020. Le sondage a été réalisé principalement en ligne à l'aide de notre panel probabiliste Probit. Cependant, pour inclure les Canadiens qui n'ont pas accès à Internet, certaines entrevues ont été effectuées au téléphone. En tout, 1 588 cas ont été recueillis en ligne et 501 l'ont été au téléphone. Les résultats du sondage ont été pondérés en fonction des données de Statistique Canada sur l'âge, le sexe et la région de résidence afin de rendre l'échantillon représentatif de l'ensemble de la population canadienne âgée de 18 ans ou plus. La marge d'erreur associée à l'échantillon total est de +/- 2,1 points de pourcentage, 19 fois sur 20.
Plus de détails sont disponibles ci-dessous sur la méthodologie utilisée dans les volets en ligne et au téléphone de la recherche.
Nous avons eu recours à notre panel probabiliste Probit pour le volet du sondage effectué en ligne. Probit est un panel de recherche qu'a mis sur pied Ekos pour collecter des données statistiquement représentatives en ligne. Le panel couvre la totalité de la population canadienne (Internet, téléphone, cellulaire), fait du recrutement aléatoire (les participants sont recrutés de façon aléatoire et ne choisissent pas eux-mêmes de faire partie du panel) et offre de l'échantillonnage avec probabilités égales. Tous les répondants sont recrutés au téléphone à l'aide d'un système d'appel aléatoire, et leurs renseignements démographiques sont confirmés par des enquêteurs.
La distribution du processus de recrutement de notre panel reflète la population réelle du Canada (comme définie par Statistique Canada). À ce titre, le panel peut être considéré comme représentatif du grand public (les résultats des sondages de notre panel en ligne tiennent compte des intervalles de confiance et des estimations de la marge d'erreur, une caractéristique unique au Canada). La taille globale du panel est de quelque 90 000 ménages canadiens. Des échantillons aléatoires stratifiés sont prélevés de la base de données du panel pour les répartitions de la recherche personnelle.
Ekos a recours à un échantillon de l'enquête pour respecter les exigences d'échantillonnage de ses sondages téléphoniques. Le logiciel utilise les annuaires les plus à jour à mesure qu'ils deviennent disponibles et il les actualise tous les trimestres. Il crée des échantillons en ayant recours à la méthodologie de composition aléatoire et vérifie les échantillons en les comparant à des répertoires téléphoniques publiés afin de séparer l'échantillon en éléments « figurant dans un annuaire » et « ne figurant pas dans un annuaire ». La souplesse du logiciel permet la création d'échantillons se fondant sur des villes ou des régions en particulier. Il est possible de créer un échantillon en fonction de la représentativité d'une population ou de prévoir des paramètres de stratification, suivant les besoins. Une fois qu'un échantillon est créé pour un sondage précis, les numéros sont importés dans notre système d'interview téléphonique assistée par ordinateur (ITAO) et des quotas sont établis selon des caractéristiques individuelles.
Nous avons effectué 501 entretiens téléphoniques et 1 588 sondages ont été remplis en ligne. Les résultats ont été pondérés en fonction de la région, du sexe et de l'âge pour veiller à ce que l'échantillon soit représentatif de la population canadienne âgée de 18 ans et plus. Vous trouverez ci-dessous la répartition de l'échantillon et la marge d'erreur associée à la province ou au territoire, à l'âge, au sexe, au revenu, au niveau de scolarité et aux groupes minoritaires.
Province/Territoire | Taille de l'échantillon | Marge d'erreur (+/-, 19 fois sur 20) |
---|---|---|
Global | n=2 089 | 2,1 % |
Colombie-Britannique | n=261 | 6,1 % |
Alberta | n=237 | 6,4 % |
Saskatchewan | n=61 | 12,7 % |
Manitoba | n=71 | 11,7 % |
Ontario | n=829 | 3,4 % |
Québec | n=480 | 4,5 % |
Nouveau-Brunswick | n=39 | 15,9 % |
Nouvelle-Écosse | n=57 | 13,1 % |
Île-du-Prince-Édouard | n=12 | 29,5 % |
Terre-Neuve-et-Labrador | n=26 | 19,6 % |
Territoires | n=8 | 37,0 % |
Âge | Taille de l'échantillon | Marge d'erreur (+/-, 19 fois sur 20) |
---|---|---|
Global | n=2,089 | 2,1 % |
Entre 18 et 34 ans | n=409 | 4,9 % |
Entre 35 et 49 ans | n=573 | 4,1 % |
Entre 50 et 64 ans | n=586 | 4,1 % |
65 ans ou plus | n=493 | 4,4 % |
Sexe | Taille de l'échantillon | Marge d'erreur (+/-, 19 fois sur 20) |
---|---|---|
Global | n=2,089 | 2,1 % |
Homme | n=1003 | 3,1 % |
Femme | n=1057 | 3,0 % |
Autre | n=10 | 32,7 % |
Revenu | Taille de l'échantillon | Marge d'erreur (+/-, 19 fois sur 20) |
---|---|---|
Global | n=2,089 | 2,1 % |
Moins de 20 000 $ | n=95 | 10,1 % |
Entre 20 000 $ et 39 999 $ | n=221 | 6,6 % |
Entre 40 000 $ et 59 999 $ | n=284 | 5,8 % |
Entre 60 000 $ et 79 999 $ | n=251 | 6,2 % |
Entre 80 000 $ et 99 999 $ | n=264 | 6,0 % |
Entre 100 000 $ et 149 999 $ | n=381 | 5,0 % |
150 000 $ ou plus | n=308 | 5,6 % |
Niveau de scolarité | Taille de l'échantillon | Marge d'erreur (+/-, 19 fois sur 20) |
---|---|---|
Global | n=2,089 | 2,1 % |
8e année ou moins | n=8 | 37,0 % |
Un peu d'école secondaire | n=54 | 13,5 % |
Diplôme d'études secondaires ou l'équivalent | n=328 | 5,4 % |
Apprentissage enregistré ou tout autre certificat ou diplôme d'une école de métiers | n=100 | 9,8 % |
Certificat ou diplôme d'un collège, du CÉGEP ou de tout autre établissement non universitaire | n=452 | 4,6 % |
Certificat ou diplôme universitaire inférieur au baccalauréat | n=176 | 7,4 % |
Baccalauréat | n=566 | 4,1 % |
Études supérieures | n=382 | 5,0 % |
Minority group | Taille de l'échantillon | Marge d'erreur (+/-, 19 fois sur 20) |
---|---|---|
Global | n=2,089 | 2,1 % |
Personne handicapée | n=214 | 6,7 % |
Membre d'une minorité visible | n=164 | 7,7 % |
Personne autochtone | n=46 | 14,6 % |
Membre de la communauté des LGBTQ2 | n=133 | 8,5 % |
Aucune de ces réponses | n=1521 | 2,5 % |
Le taux de participation pour le sondage téléphonique était de 7,1 pour cent. Le taux de réponse se calcule en divisant les personnes admissibles à l'intérieur du champ qui répondent (713) par la totalité de l'échantillon (fonctionnel) (9 987) - voir le tableau ci-dessous.
ID | Description | Resultat | Total |
---|---|---|---|
Nombre total de tentatives d'appel | 14 215 | ||
Numéros invalides | 4 228 | ||
Bloqués | 91 | ||
À des fins professionnelles | 183 | ||
Répétitions | 3 | ||
Invalides | 3 951 | ||
NR | Non résolus | 6 031 | |
Pas de réponse | 0 | ||
Rappels | 6 031 | ||
IC | À l'intérieur du champ - Pas de réponse | 3 243 | |
Refus du ménage | 0 | ||
Refus du répondant | 3 243 | ||
Répondant choisi non disponible | 0 | ||
Répondant admissible a raccroché | 0 | ||
R | À l'intérieur du champ - Réponse | 713 | |
Problème de langue | 130 | ||
Quota atteint | 39 | ||
Autre inadmissibilité | 16 | ||
Entrevues achevées | 528 | ||
Total (NR + IC + R) | 9,987 | ||
Taux de réponse (R divisé par le total) | 7,1% |
Le taux de réponse au sondage en ligne était de 24,8 pour cent. Le taux de réponse en ligne est calculé comme suit : en tout, 6 329 invitations par courriel ont été envoyées; 23 nous sont revenues, pour un total de 6 306 courriels valides. En tout, 1 561 sondages ont été achevés. Ainsi, si l'on divise 1 561 par 6 306, on obtient un taux de réponse de 24,8 pour cent.
Les résultats démontrent que le commerce international est un sujet populaire dans les médias. Les trois quarts des répondants (75 %) se rappellent avoir entendu des nouvelles au sujet du commerce international, alors qu'un répondant sur cinq (20 %) ne se rappelle aucune nouvelle. Le suivi révèle une augmentation de 11 points du rappel de nouvelles liées au commerce international par rapport à la version de 2001 du sondage.
Parmi les gens qui se rappellent avoir entendu parler de commerce international dans des nouvelles, près de la moitié (46 %) se souviennent de nouvelles concernant l'Accord Canada-États-Unis-Mexique (ACEUM). Parmi les autres réponses communes figurent des nouvelles sur la Chine (8 %) et des nouvelles traitant des relations Chine–États-Unis (6 %).
Ce graphique, composé de 2 barres horizontales, est basé sur l'échelle : NSP/PDR, non, et oui.
On a demandé aux répondants : Vous souvenez-vous d'une nouvelle qui traitait de questions liées au commerce international au cours des derniers mois? Les répondants ont sélectionné :
Février 2020 :
Base : Canadiens; 6-19 Février 2020, n=2 089, marge d'erreur de +/- 2,1 %, 19 fois sur 20
Avril 2001 :
Base : Canadiens; 6-19 Février 2020, n=2 089, marge d'erreur de +/- 2,1 %, 19 fois sur 20
Ce graphique est composé de dix barres. On a demandé aux répondants : [Si oui] Le cas échéant, quel était le sujet du reportage? [Ouverte] Les répondants ont sélectionné :
Note : Seules les réponses choisies par au moins 3 % des répondants sont affichées ci-dessus.
Base : Actualités entendues traitant de commerce; 6-19 Février 2020, n=1 591, marge d'erreur de +/- 2,5 %, 19 fois sur 20
Après l'examen d'une liste d'objectifs potentiels de l'approche que devrait adopter le Canada en matière de commerce international, les répondants étaient invités à évaluer l'importance de chacun d'eux. Les enjeux économiques figurent en tête de liste, neuf répondants sur dix considérant la création d'emplois (93 %), le soutien aux entreprises canadiennes (90 %) et l'innovation (90 %) comme des priorités clés. Plus de huit personnes sur dix sont également d'avis qu'il est très important d'assurer le respect des normes canadiennes liées à la santé et à l'environnement (88 %), de soutenir le secteur agricole du Canada (85 %), de protéger la propriété intellectuelle canadienne (85 %), de veiller à ce que le commerce profite à tout le monde (82 %) et de diversifier les marchés d'exportation du Canada (82 %).
Les Canadiens attachent moins d'importance au fait de promouvoir l'égalité des sexes (64 %), d'offrir aux consommateurs le plus grand choix de produits et de services aux prix les plus bas (62 %) et d'augmenter les investissements directs étrangers au Canada (55 %).
Ce graphique, composé de onze barres horizontales, est basé sur une échelle de 7 points ou 1-3 signifie pas important, 4 signifie moyennement important, et 5-7 signifie important, avec un point additionnel pour NSP/PDR.
On a demandé aux répondants s'ils étaient en accord ou en désaccord avec les énoncés suivants : Selon vous, à quel point les objectifs suivants sont-ils importants lors de l'examen de l'approche canadienne en matière de commerce international? Les répondants ont sélectionné :
Base : Canadiens; 6-19 Février 2020, n=2 089, marge d'erreur de +/- 2,1 %, 19 fois sur 20
Les résultats suggèrent que les Canadiens connaissent généralement bien les principaux partenaires commerciaux du Canada. Lorsqu'invités à identifier les cinq principaux marchés d'exportation du Canada, la grande majorité des répondants (86 %) reconnaissent les États-Unis comme le plus grand marché, alors que les trois quarts (75 %) considèrent la Chine comme un marché important. Un peu plus de quatre répondants sur dix citent le Mexique (45 %) et l'Europe (42 %) comme des marchés d'exportation importants du Canada. Le tiers (32 %) des répondants mentionnent le Royaume-Uni, tandis que le quart (26 %) évoque le Japon.
Ce graphique est composé de douze barres. On a demandé aux répondants : Quels sont les cinq principaux marchés et pays pour les exportations canadiennes au cours des dernières années? [Ouverte /maximum de cinq réponses acceptées] Les répondants ont sélectionné :
Note : Seules les réponses choisies par au moins 5 % des répondants sont affichées ci-dessus.
Base : Canadiens; 6-19 Février 2020, n=2 089, marge d'erreur de +/- 2,1 %, 19 fois sur 20
En ce qui concerne les deux plus grands secteurs d'exportation du Canada, sept personnes sur dix citent les ressources naturelles et l'énergie (70 %), alors que la moitié (50 %) mentionne les produits agricoles. Parmi les autres réponses communes figurent l'industrie automobile (9 %) et le secteur de la fabrication (7 %).
Ce graphique est composé de six barres. On a demandé aux répondants : Selon vous, quels secteurs représentent la plus grande part des exportations canadiennes? [OUVERTE/MAXIMUM DE DEUX RÉPONSES ACCEPTÉES] Les répondants ont sélectionné :
Note : Seules les réponses choisies par au moins 5 % des répondants sont affichées ci-dessus.
Base : Canadiens; 6-19 Février 2020, n=2 089, marge d'erreur de +/- 2,1 %, 19 fois sur 20
Les résultats donnent à penser que les Canadiens croient que le commerce a grandi en importance au cours des dix dernières années. Environ huit répondants sur dix (83 %) affirment que le commerce est de plus en plus important, alors que seulement trois pour cent croient qu'il perd de l'importance. Dix pour cent disent que le commerce n'est ni plus important ni moins important qu'il y a dix ans. Le suivi révèle que ces résultats sont en grande partie demeurés les mêmes au cours des vingt dernières années.
Les gens qui croient que le commerce a grandi en importance au cours des dix dernières années ont été invités à expliquer leur réponse. Ces répondants proposent diverses raisons, notamment une mondialisation accrue (13 %), une interdépendance croissante entre les pays (11 %), les avantages économiques du commerce (8 %), le besoin de marchés plus diversifiés (7 %) et notre dépendance économique au commerce (7 %).
Ce graphique, composé de trois lignes montrant les résultats pour les années 1999, 2000, 2001, 2002, 2003, 2004, et 2020 (ligne bleue : moins important – ligne grise : ni l'un ni l'autre – ligne verte : plus important), et d'un graphique composé d'une barre horizontale basé sur une échelle de 7 points ou 1-3 signifie moins important, 4 signifie ni l'un ni l'autre, et 5-7 signifie plus important, avec un point additionnel pour NSP/PDR.
On a demandé aux répondants : Diriez-vous qu'au cours des 10 dernières années, le commerce international est devenu moins important ou plus important en ce qui concerne sa contribution à l'économie canadienne? Les répondants ont sélectionné :
Base : Canadiens; 6-19 Février 2020, n=2 089, marge d'erreur de +/- 2,1 %, 19 fois sur 20
Ce graphique est composé de six barres. On a demandé aux répondants : [Si plus important] Pourquoi croyez-vous cela? [Ouverte] Les répondants ont sélectionné :
Note : Seules les réponses choisies par au moins 7 % des répondants sont affichées ci-dessus.
Base : Affirme que le commerce est plus important; 6-19 Février 2020, n=1 742, marge d'erreur de +/- 2,4 %, 19 fois sur 20
Les résultats révèlent que les Canadiens sont divisés lorsque vient le temps d'identifier les principaux bénéficiaires du commerce international. Un peu plus de la moitié des répondants (54 %) croient que le commerce profite à la plupart des Canadiens sous la forme d'emplois, de revenus fiscaux et d'une meilleure offre de produits et de services. Toutefois, quatre personnes sur dix (42 %) ont un point de vue plus négatif et sont d'avis que le commerce international profite presque exclusivement aux grandes sociétés et aux investisseurs riches. Ces constatations sont inchangées depuis 2001.
Ce graphique, composé de deux barres horizontales, est basé sur l'échelle : NSP/PDR (blanc), le commerce international profite principalement aux grandes entreprises et aux investisseurs riches, et il en reste peu pour les Canadiens moyens (bleu), et les avantages du commerce international percolent dans l'économie et la plupart des Canadiens en profitent par le biais d'emplois, des impôts que paient les sociétés et d'un meilleur choix de biens qui sont offerts aux consommateurs (vert).
On a demandé aux répondants : Lequel des deux énoncés suivants se rapproche le plus de votre point de vue? Les répondants ont sélectionné :
Février 2020 :
Le commerce international profite principalement aux grandes entreprises et aux investisseurs riches, et il en reste peu pour les Canadiens moyens (42 pour cent); et
Les avantages du commerce international percolent dans l'économie et la plupart des Canadiens en profitent par le biais d'emplois, des impôts que paient les sociétés et d'un meilleur choix de biens qui sont offerts aux consommateurs (54 pour cent).
Base : Canadiens; 6-19 Février 2020, n=2 089, marge d'erreur de +/- 2,1 %, 19 fois sur 20
Avril 2001 :
Le commerce international profite principalement aux grandes entreprises et aux investisseurs riches, et il en reste peu pour les Canadiens moyens (44 pour cent); et
Les avantages du commerce international percolent dans l'économie et la plupart des Canadiens en profitent par le biais d'emplois, des impôts que paient les sociétés et d'un meilleur choix de biens qui sont offerts aux consommateurs (54 pour cent).
Base : Canadiens; 6-19 Février 2020, n=2 089, marge d'erreur de +/- 2,1 %, 19 fois sur 20
Les résultats donnent également à penser que les Canadiens estiment que le commerce profite principalement aux grandes entreprises, mais qu'il offre beaucoup moins d'avantages aux communautés plus marginalisées du Canada. Lorsqu'interrogés sur la mesure dans laquelle divers groupes profitent du commerce international, neuf répondants sur dix (91 %) affirment que les grandes sociétés en profitent beaucoup. Un peu moins de la moitié des répondants estime que les petites et moyennes entreprises et les entreprises communautaires en profitent dans la même mesure (47 % et 46 %, respectivement). Quatre personnes sur dix (38 %) croient profiter personnellement du commerce international, et un tiers seulement croient que les femmes ou les jeunes en profitent (32 % chacun). Très peu de gens sont d'avis que les membres de la communauté LGBTQ2 ou les Autochtones profitent du commerce (18 % chacun).
Le suivi révèle une augmentation de six points depuis 2004 dans la proportion des Canadiens qui croient que les grandes sociétés tirent de nombreux avantages du commerce international.
Ce graphique, composé de huit barres horizontales, est basé sur une échelle de 7 points ou 1-3 signifie pas du tout, 4 signifie moyennement, et 5-7 signifie énormément, avec un point additionnel pour NSP/PDR
On a demandé aux répondants : D'après vous, à quel point le commerce international est-il avantageux pour chacun des aspects suivants au sein du Canada? Les répondants ont sélectionné :
Base : Canadiens; 6-19 Février 2020, n=2 089, marge d'erreur de +/- 2,1 %, 19 fois sur 20
Ce graphique, composé de trois lignes montrant les résultats pour les années 1999, 2000, 2001, 2002, 2003, 2004, et 2020 (ligne bleue : pas du tout – ligne grise : moyennement – ligne verte : énormément) et un graphique d'une barre horizontale basé sur une échelle de 7 points ou 1-3 signifie pas du tout, 4 signifie moyennement, et 5-7 signifie énormément, avec un point additionnel pour NSP/PDR.
On a demandé aux répondants : D'après vous, à quel point le commerce international est-il avantageux pour chacun des aspects suivants au sein du Canada? Grandes sociétés. Les répondants ont sélectionné :
Base : Canadiens; 6-19 Février 2020, n=2 089, marge d'erreur de +/- 2,1 %, 19 fois sur 20
Ce graphique, composé de trois lignes montrant les résultats pour les années 1999, 2000, 2001, 2002, 2003, 2004, et 2020 (ligne bleue : pas du tout – ligne grise : moyennement – ligne verte : énormément) et un graphique d'une barre horizontale basé sur une échelle de 7 points ou 1-3 signifie pas du tout, 4 signifie moyennement, et 5-7 signifie énormément, avec un point additionnel pour NSP/PDR.
On a demandé aux répondants : D'après vous, à quel point le commerce international est-il avantageux pour chacun des aspects suivants au sein du Canada? Petites et moyennes entreprises (PME). Les répondants ont sélectionné :
Base : Canadiens; 6-19 Février 2020, n=2 089, marge d'erreur de +/- 2,1 %, 19 fois sur 20
Ce graphique, composé de trois lignes montrant les résultats pour les années 1999, 2000, 2001, 2002, 2003, 2004, et 2020 (ligne bleue : pas du tout – ligne grise : moyennement – ligne verte : énormément) et un graphique d'une barre horizontale basé sur une échelle de 7 points ou 1-3 signifie pas du tout, 4 signifie moyennement, et 5-7 signifie énormément, avec un point additionnel pour NSP/PDR.
On a demandé aux répondants : D'après vous, à quel point le commerce international est-il avantageux pour chacun des aspects suivants au sein du Canada? Entreprises de votre collectivité. Les répondants ont sélectionné :
Base : Canadiens; 6-19 Février 2020, n=2 089, marge d'erreur de +/- 2,1 %, 19 fois sur 20
Ce graphique, composé de trois lignes montrant les résultats pour les années 1999, 2000, 2001, 2002, 2003, 2004, et 2020 (ligne bleue : pas du tout – ligne grise : moyennement – ligne verte : énormément) et un graphique d'une barre horizontale basé sur une échelle de 7 points ou 1-3 signifie pas du tout, 4 signifie moyennement, et 5-7 signifie énormément, avec un point additionnel pour NSP/PDR.
On a demandé aux répondants : D'après vous, à quel point le commerce international est-il avantageux pour chacun des aspects suivants au sein du Canada? Vous et votre famille. Les répondants ont sélectionné :
Base : Canadiens; 6-19 Février 2020, n=2 089, marge d'erreur de +/- 2,1 %, 19 fois sur 20
Les répondants étaient invités à mentionner les avantages des investissements canadiens dans d'autres pays et les répercussions des investissements étrangers au Canada. Plus de la moitié des répondants (52 %) affirment que les Canadiens profitent considérablement d'investissements à l'étranger, tandis que le quart (23 %) affirment que le pays en profite dans une certaine mesure. Un Canadien sur cinq (19 %) affirme que les Canadiens en profitent peu, si c'est le cas, grâce aux investissements d'entreprises canadiennes dans d'autres pays.
Les investissements étrangers au Canada suscitent des réactions encore plus favorables. Sept personnes sur dix (72 %) estiment que le pays profite grandement de ces investissements, et seulement dix pour cent déclarent que les investissements étrangers ont peu ou pas de conséquence.
Ce graphique, composé de deux barres horizontales, est basé sur l'échelle : NSP/PDR, pas du tout (1-3), moyennement (4), et énormément (5-7).
On a demandé aux répondants : À quel point croyez-vous que les entreprises canadiennes qui investissent dans d'autres pays profitent au Canada? Les répondants ont sélectionné :
Investissements canadiens à l'étranger
On a demandé aux répondants : En utilisant la même échelle, dans quelle mesure croyez-vous que les entreprises internationales qui investissent au Canada profitent à l'économie canadienne? Les répondants ont sélectionné :
Investissements étrangers au Canada
Base : Canadiens; 6-19 Février 2020, n=2 089, marge d'erreur de +/- 2,1 %, 19 fois sur 20
En ce qui concerne les principales raisons pour lesquelles les produits canadiens sont connus à l'échelle internationale, les deux tiers (68 %) des répondants affirment que nos produits sont reconnus pour leur qualité supérieure. Un peu plus de la moitié (55 %) mentionne le traitement équitable réservé aux travailleurs au Canada, tandis qu'un peu plus de quatre personnes sur dix (44 %) déclarent que le respect des normes environnementales du pays est à la base de la réputation du Canada. Seul un répondant sur huit (13 %) croit que les produits canadiens sont reconnus pour leurs bas prix. Neuf pour cent ne donnent pas de réponse.
Ce graphique est composé de cinq barres. On a demandé aux répondants : Selon vous, pour quelle raison les produits canadiens sont-ils les plus connus à l'échelle internationale? [PLUSIEURS RÉPONSES ACCEPTÉES] Les répondants ont sélectionné :
Note : Seules les réponses choisies par au moins 5 % des répondants sont affichées ci-dessus.
Base : Canadiens; 6-19 Février 2020, n=2 089, marge d'erreur de +/- 2,1 %, 19 fois sur 20
Les résultats suggèrent que le pays dans lequel un produit est produit est un facteur important dans les décisions d'achat des consommateurs. Pour environ les deux tiers des Canadiens (64 %), le pays d'origine est un facteur important dans la décision d'acheter un produit en particulier, tandis qu'une personne sur cinq (19 %) dit que ce facteur a une incidence modérée sur ses décisions. Une personne sur sept (15 %) ne croit pas être influencée par le pays d'origine d'un produit.
Ce graphique en forme de tarte est basé sur une échelle de 7 points ou 5-7 signifie énormément, 4 signifie moyennement, et 1-3 signifie pas du tout, avec un point additionnel pour NSP/PDR.
On a demandé aux répondants : Dans quelle mesure l'origine du pays qui produit ou fabrique un produit influence-t-elle votre décision d'acheter le produit? Les répondants ont sélectionné :
Base : Canadiens; 6-19 Février 2020, n=2 089, marge d'erreur de +/- 2,1 %, 19 fois sur 20
Les répondants, après avoir lu une brève description du protectionnisme, étaient invités à indiquer s'ils considèrent la montée du protectionnisme comme une bonne chose ou une mauvaise chose pour le Canada. Les résultats révèlent que la plupart des Canadiens (62 %) sont d'avis que le protectionnisme est une mauvaise chose. Une personne sur sept (14 %) croit que le protectionnisme est une bonne chose et à peu près la même proportion (16 %) croit que ce n'est ni une bonne chose ni une mauvaise chose.
Ce graphique en forme de tarte est Base sur l'échelle : bonne chose, ni bonne ni mauvaise, mauvaise chose, et NSP/PDR.
On a demandé aux répondants : Beaucoup de gens parlent de l'augmentation du protectionnisme aux États-Unis et en Europe, ce qui comprend notamment l'opposition grandissante au commerce et à la mondialisation. En général, croyez-vous que la hausse du protectionnisme est une bonne chose ou une mauvaise chose pour le Canada? Les répondants ont sélectionné :
Base : Canadiens; 6-19 Février 2020, n=2 089, marge d'erreur de +/- 2,1 %, 19 fois sur 20
Les résultats suggèrent que les répondants ne s'inquiètent que dans une certaine mesure de l'impact du commerce sur les normes environnementales internationales. Seule la moitié (51 %) d'entre eux convient que l'augmentation du commerce international est susceptible de faire en sorte que les pays baissent leurs normes environnementales pour être plus concurrentiels, tandis que le quart (25 %) n'est pas d'accord. Le suivi révèle une baisse constante de la proportion des répondants qui est d'accord avec cet énoncé au cours des vingt dernières années (51 %, contre 62 % en 1999).
Ce graphique, composé de trois lignes montrant les résultats pour les années 1999, 2000, 2001, et 2020 (ligne bleue : en désaccord – ligne grise : ni l'un ni l'autre – ligne verte : d'accord) et un graphique d'une barre horizontale basé sur une échelle de 7 points ou 1-3 signifie en désaccord, 4 signifie ni l'un ni l'autre, et 5-7 signifie d'accord, avec un point additionnel pour NSP/PDR.
On a demandé aux répondants : Veuillez me dire la mesure dans laquelle vous êtes d'accord ou en désaccord avec chacun des énoncés suivants : Je crains que l'augmentation du commerce international puisse entraîner les pays à baisser leurs normes environnementales pour être plus concurrentiels. Les répondants ont sélectionné :
Base : Canadiens; 6-19 Février 2020, n=2 089, marge d'erreur de +/- 2,1 %, 19 fois sur 20
Sans surprise, les répondants estiment que le Canada devrait protéger ses intérêts en matière de commerce international. Lorsqu'on leur demande s'ils sont d'accord ou en désaccord avec le fait que le Canada devrait tenir compte des intérêts des Canadiens dans l'approche qu'elle adopte en matière de commerce international, une majorité écrasante (92 %) se dit d'accord, alors que le désaccord est pratiquement inexistant (2 %).
Ce graphique en forme de tarte est basé sur une échelle de 7 points ou 5-7 signifie d'accord, 4 signifie ni d'accord ni en désaccord, 1-3 signifie en désaccord, avec un point additionnel pour NSP/PDR.
On a demandé aux répondants Veuillez me dire la mesure dans laquelle vous êtes d'accord ou en désaccord avec chacun des énoncés suivants : Le Canada devrait tenir compte des intérêts des Canadiens dans son approche en matière de commerce international. Les répondants ont sélectionné :
Base : Canadiens; 6-19 Février 2020, n=2 089, marge d'erreur de +/- 2,1 %, 19 fois sur 20
Les résultats montrent que le commerce international est en grande partie considéré comme une occasion de promouvoir certains objectifs sociaux pour le Canada. Environ les deux tiers des Canadiens considèrent le commerce comme une bonne façon de promouvoir la responsabilité environnementale (65 %) et le respect des droits des travailleurs (64 %). Plus de six personnes sur dix disent que le commerce est un moyen efficace de favoriser le respect des droits de la personne (62 %) et de promouvoir des débouchés commerciaux pour tous (60 %).
Ce graphique, composé de quatre barres horizontales, est basé sur une échelle de 7 points ou 1-3 signifie en désaccord, 4 signifie ni d'accord ni en désaccord, et 5-7 signifie d'accord, avec un point additionnel pour NSP/PDR.
On a demandé aux répondants : Veuillez me dire la mesure dans laquelle vous êtes d'accord ou en désaccord avec chacun des énoncés suivants : Le commerce international est un bon moyen pour le Canada de promouvoir… Les répondants ont sélectionné :
Base : Canadiens; 6-19 Février 2020, n=2 089, marge d'erreur de +/- 2,1 %, 19 fois sur 20
Les résultats suggèrent que les Canadiens appuient généralement le libre-échange. À la question à savoir si le libre-échange est une bonne ou une mauvaise chose pour le Canada, six répondants sur dix (61 %) disent que c'est une bonne chose, alors qu'un Canadien sur dix (10 %) pense que c'est une mauvaise chose. Le suivi révèle une augmentation de 13 points du soutien au libre-échange au cours des trois dernières années.
Ce graphique, composé de trois lignes montrant les résultats pour les années 2012, 2017, et 2020 (ligne bleue : mauvaise chose – ligne grise : ni l'un ni l'autre – ligne verte : bonne chose) et un graphique d'une barre horizontale basé sur une échelle de 7 points ou 1-3 signifie mauvaise chose, 4 signifie ni bonne ni mauvaise, et 5-7 signifie bonne chose, avec un point additionnel pour NSP/PDR (white).
On a demandé aux répondants : Davantage de libre-échange serait-il une bonne chose ou une mauvaise chose pour le Canada? Les répondants ont sélectionné :
Base : Canadiens; 6-19 Février 2020, n=2 089, marge d'erreur de +/- 2,1 %, 19 fois sur 20
Les répondants ont été interrogés, sans recevoir de pistes de réponse, sur le pays avec qui, selon eux, le Canada devrait essayer de tisser le plus de liens. Le quart des répondants (24 %) croient que le Canada devrait tisser davantage de liens avec l'Europe, alors qu'une moindre proportion (22 %) mentionne les États-Unis. Environ un Canadien sur six croit que le Canada devrait accroître ses relations commerciales avec la Chine et avec le Royaume-Uni (16 % chacun), alors qu'une moindre proportion (12 %) mentionne l'Inde. Parmi les autres réponses fréquentes figurent le Mexique (9 %), le Japon (8 %) et l'Allemagne (5 %).
Ce graphique est composé de neuf barres. On a demandé aux répondants : Au cours des dernières décennies, le Canada a ouvert son commerce à de nombreux pays. Selon vous, avec quels pays le Canada devrait-il essayer de tisser le plus de liens? [Ouverte/maximum de deux réponses acceptées]. Les répondants ont sélectionné :
Note : Seules les réponses choisies par au moins 5 % des répondants sont affichées ci-dessus.
Base : Canadiens; 6-19 Février 2020, n=2 089, marge d'erreur de +/- 2,1 %, 19 fois sur 20
Les répondants ont été interrogés, toujours sans recevoir de pistes de réponse, sur les répercussions qu'aura l'Accord Canada-États-Unis-Mexique (ACEUM) sur les Canadiens et les Canadiennes. Les réponses varient et ne s'articulent pas autour d'un seul thème, ce qui suggère une compréhension limitée de l'accord. Une personne sur sept (15 %) affirme qu'il n'aura pas une incidence importante, alors qu'une personne sur dix (10 %) croit que l'économie (en général) en profitera. Un peu moins d'une personne sur dix prévoit des répercussions négatives sur le secteur agricole, une plus grande dépendance aux États-Unis ou des impacts positifs non précisés (7 % chacun). Une grande proportion de répondants (30 %) ne donne pas de réponse, ce qui laisse entendre encore une fois un manque de compréhension de l'accord.
Ce graphique est composé de huit barres. On a demandé aux répondants : Comme vous le savez peut-être, le Canada, les États-Unis et le Mexique ont récemment conclu l'Accord Canada–États-Unis–Mexique de libre-échange, qui vise à remplacer l'ALENA. Selon vous, quelles seront les répercussions de ce nouvel ALENA pour les Canadiens? [Ouverte/maximum de deux réponses acceptées] Les répondants ont sélectionné :
Note : Seules les réponses choisies par au moins 5 % des répondants sont affichées ci-dessus.
Base : Canadiens; 6-19 Février 2020, n=2 089, marge d'erreur de +/- 2,1 %, 19 fois sur 20
Les Canadiens ont également été interrogés sur leur connaissance et sur leurs points de vue concernant deux accords commerciaux récemment signés : l'Accord de partenariat transpacifique global et progressiste (PTPGP) et l'Accord économique et commercial global entre le Canada et l'Union européenne (AECG).
Les résultats démontrent que les répondants ne connaissent pas bien ces deux accords, mais ceux qui les connaissent expriment des points de vue positifs à leur égard.
Lorsqu'invités à indiquer à quel point ils connaissent bien le PTPGP, la plupart des répondants disent ne pas le connaître très bien (40 %) ou ne pas le connaître du tout (30 %). Le quart seulement (26 %) déclare le connaître assez bien, et une proportion encore moins importante (2 %) croit le connaître très bien.
Malgré une connaissance limitée du PTPGP, les répondants qui le connaissent en ont des opinions favorables : plus de la moitié (51 %) croit qu'il a un impact plutôt positif sur le Canada et une personne sur cinq (22 %) est d'avis que son impact est très positif.
Ce graphique est composé de cinq barres. On a demandé aux répondants : Comme vous le savez peut-être, le Canada a récemment signé l'Accord de partenariat transpacifique global et progressiste (PTPGP), un accord de libre-échange entre le Canada et dix autres pays de la région Asie-Pacifique. À quel point connaissez-vous bien cet accord? Les répondants ont sélectionné :
Base : Canadiens; 6-19 Février 2020, n=2 089, marge d'erreur de +/- 2,1 %, 19 fois sur 20
Ce graphique est composé de cinq barres. On a demandé aux répondants : [S'il le connaît assez bien ou très bien] Selon ce que vous savez, diriez-vous que les répercussions du PTPGP sur le Canada sont positives ou négatives? Les répondants ont sélectionné :
Base : Connaît le PTPGP; 6-19 Février 2020, n=603, marge d'erreur de +/- 4,0 %, 19 fois sur 20
Les résultats révèlent que la connaissance de l'AECG est elle aussi plutôt limitée. La plupart des répondants ne le connaissent pas très bien (39 %) ou ne le connaissent pas du tout (28 %). Environ le quart (28 %) dit le connaître assez bien alors que seuls quatre pour cent le connaissent très bien.
Comme pour le PTPGP, malgré une faible connaissance, les personnes qui connaissent l'accord ont des opinions très favorables à son sujet : plus de la moitié (54 %) déclare que l'impact de l'AECG sur le Canada est assez positif, et trois répondants sur dix (30 pour cent) affirment que son impact est très positif. Un répondant sur dix (11 %) affirme que l'impact est négatif.
Ce graphique est composé de cinq barres. On a demandé aux répondants : Comme vous le savez peut-être, le Canada a récemment signé l'Accord économique et commercial global entre le Canada et l'Union européenne (AECG), un accord de libre-échange entre le Canada, l'Union européenne et ses États membres. À quel point connaissez-vous bien cet accord? Les répondants ont sélectionné :
Base : Canadiens; 6-19 Février 2020, n=2 089, marge d'erreur de +/- 2,1 %, 19 fois sur 20
Ce graphique est composé de cinq barres. On a demandé aux répondants : [S'il le connaît assez bien ou très bien] D'après ce que vous savez, diriez-vous que les répercussions de l'AECG sur le Canada sont positives ou négatives? Les répondants ont sélectionné :
Base : Connaît bien l'AECG; 6-19 Février 2020, n=676, marge d'erreur de +/- 3,8 %, 19 fois sur 20
Les résultats révèlent que les Canadiens connaissent assez bien les programmes qu'offre le gouvernement fédéral pour aider les entreprises à faire des affaires à l'étranger. Six répondants sur dix (61 %) affirment connaître ces programmes, alors que le tiers (33 %) déclare le contraire.
Cependant, lorsqu'on leur demande d'expliquer leur réponse, la plupart de ces répondants (61 %) ne peuvent pas nommer un programme en particulier. Exportation et développement Canada (12 %) et la Banque de développement du Canada (8 %) sont les programmes qui font le plus souvent objet d'une mention chez les répondants aptes à donner une réponse.
Ce graphique en forme de tarte est basé sur : oui, non, et NSP/PDR.
On a demandé aux répondants : Savez-vous que le gouvernement du Canada a des programmes dont l'objectif est d'aider des entreprises à faire des affaires à l'étranger? Les répondants ont sélectionné :
Base : Canadiens; 6-19 Février 2020, n=2 089, marge d'erreur de +/- 2,1 %, 19 fois sur 20
En harmonie avec les autres constatations, les résultats révèlent des impressions positives de l'impact du commerce international. Dans une grande mesure, les trois quarts (75 %) des répondants croient que les activités de commerce international du Canada ont un impact positif sur le développement de la technologie et de l'innovation au Canada, et six personnes sur dix (60 %) affirment qu'il a un impact positif sur le nombre d'emplois au Canada. Un peu plus de la moitié (54 %) des Canadiens estime que la qualité de vie des Canadiens s'est améliorée grâce au commerce international, tandis qu'un peu moins de la moitié (46 %) déclare que les normes environnementales au Canada et à l'étranger se sont améliorées en raison du commerce. Quatre personnes sur dix (40 %) croient que le commerce international du Canada a un impact positif sur l'amélioration des conditions de travail à l'étranger. Moins d'un répondant sur cinq affirme que le commerce international a un impact négatif dans l'un ou l'autre de ces domaines.
Le suivi révèle que les impressions relatives à l'impact qu'a le commerce international sur le développement de la technologie et de l'innovation au Canada ainsi que sur le nombre d'emplois au Canada sont demeurées stables au cours des vingt dernières années.
Ce graphique, composé de cinq barres horizontales, est basé sur une échelle de 7 points ou 1-3 signifie négatif, 4 signifie ni l'un ni l'autre, et 5-7 signifie positif, avec un point additionnel pour NSP/PDR
On a demandé aux répondants : D'après vous, quel impact le commerce international du Canada a-t-il dans chacun des domaines suivants? Les répondants ont sélectionné :
Base : Canadiens; 6-19 Février 2020, n=2 089, marge d'erreur de +/- 2,1 %, 19 fois sur 20
Ce graphique est composé de trois lignes montrant les résultats pour les années 2000, 2001, et 2020 (ligne bleue : négatif – ligne grise : ni l'un ni l'autre – ligne verte : positif) et une barre horizontale sur une échelle de 7 points ou 1-3 signifie négatif, 4 signifie ni l'un ni l'autre, et 5-7 signifie positif, avec un point additionnel pour NSP/PDR (white).
On a demandé aux répondants : D'après vous, quel impact le commerce international du Canada a-t-il dans chacun des domaines suivants? Développement de la technologie et de l'innovation au Canada. Les répondants ont sélectionné :
Base : Canadiens; 6-19 Février 2020, n=2 089, marge d'erreur de +/- 2,1 %, 19 fois sur 20
Ce graphique est composé de trois lignes montrant les résultats pour les années 2000, 2001, et 2020 (ligne bleue : négatif – ligne grise : ni l'un ni l'autre – ligne verte : positif) et une barre horizontale sur une échelle de 7 points ou 1-3 signifie négatif, 4 signifie ni l'un ni l'autre, et 5-7 signifie positif, avec un point additionnel pour NSP/PDR (white).
On a demandé aux répondants : D'après vous, quel impact le commerce international du Canada a-t-il dans chacun des domaines suivants? Nombre d'emplois au Canada. Les répondants ont sélectionné :
Base : Canadiens; 6-19 Février 2020, n=2 089, marge d'erreur de +/- 2,1 %, 19 fois sur 20
Les résultats révèlent également que les Canadiens croient profiter personnellement du commerce international. Lorsqu'on leur demande s'ils croient tirer profit du commerce international à l'heure actuelle, environ six répondants sur dix (63 %) répondent à l'affirmative, alors que seul le quart (26 %) affirme le contraire.
Parmi ceux qui croient en profiter, huit personnes sur dix (81 %) sont d'avis qu'il y a une plus vaste sélection de biens et de services, tandis que plus de la moitié évoque la création d'emplois (58 %), les avantages économiques (56 %) et des prix plus bas (51 %).
Parmi ceux qui ne croient pas profiter du commerce international, environ quatre personnes sur dix citent la qualité inférieure des produits fabriqués à l'étranger (41 %), les prix relativement plus élevés des produits importés (39 %), des inquiétudes environnementales (37 %) et des craintes liées aux pertes d'emploi au Canada (36 %). Trois personnes sur dix (28 %) affirment que le commerce international est mauvais pour l'économie canadienne en général.
Ce graphique en forme de tarte est basé sur : oui, non, et NSP/PDR.
On a demandé aux répondants : Pensez-vous que vous profitez actuellement du commerce international? Les répondants ont sélectionné :
Base : Canadiens; 6-19 Février 2020, n=2 089, marge d'erreur de +/- 2,1 %, 19 fois sur 20
Ce graphique est composé de sept barres. On a demandé aux répondants : [Le cas échéant] Pourquoi pensez-vous que vous tirez profit du commerce international? [PLUSIEURS RÉPONSES ACCEPTÉES]. Les répondants ont sélectionné :
Note : Seules les réponses choisies par au moins 5 % des répondants sont affichées ci-dessus.
Base : Voit des avantages au commerce; 6-19 Février 2020, n=1 299, marge d'erreur de +/- 2,7 %, 19 fois sur 20
Ce graphique est composé de six barres. On a demandé aux répondants : [Si ce n'est pas le cas] Pourquoi pensez-vous que vous ne tirez PAS profit du commerce international? [Plusieurs réponses acceptées] Les répondants ont sélectionné :
Note : Seules les réponses choisies par au moins 5 % des répondants sont affichées ci-dessus.
Base : Ne voit pas d'avantages au commerce; 6-19 Février 2020, n=1 299, marge d'erreur de +/- 2,7 %, 19 fois sur 20
Les Canadiens ont généralement une vision positive du commerce international. Dans la plupart des indicateurs testés, les répondants considèrent que le commerce est avantageux pour le Canada, particulièrement lorsqu'il s'agit de favoriser l'innovation et de stimuler l'augmentation du nombre d'emplois. En effet, les trois quarts (75 %) des répondants croient que le commerce international du Canada a un impact positif sur le développement de la technologie et de l'innovation au Canada. De plus, la vaste majorité des Canadiens croient que le commerce est devenu plus important au cours des dernières années et sont en faveur de son accroissement. La plupart des Canadiens pensent profiter personnellement du commerce, les avantages perçus étant un plus grand choix pour les consommateurs, la baisse des prix et la création d'emplois.
Une des questions qui pose problème, cependant, est la perception voulant que le commerce international profite beaucoup plus aux grandes sociétés et aux riches. Les Canadiens sont divisés quant à savoir si les avantages du commerce international percolent dans l'économie, et ils doutent que les communautés les plus marginalisées du Canada, en particulier les Autochtones et les membres de la communauté LGBTQ2, tirent profit du commerce international. Néanmoins, la plupart des Canadiens considèrent le commerce comme un moyen de promouvoir des débouchés commerciaux pour ces groupes et d'autres objectifs sociaux.
En ce qui concerne l'approche qu'adopte le Canada en matière de commerce international, les répondants mentionnent plusieurs considérations importantes, particulièrement des questions économiques, comme la création d'emplois, le soutien aux entreprises canadiennes et l'innovation. Toutefois, le respect des normes liées à la santé et à l'environnement, la protection de la propriété intellectuelle, le partage plus équitable des avantages du commerce et la diversification des marchés d'exportation du Canada sont aussi des priorités de premier plan.
Compte tenu du niveau d'attention médiatique accordé à la renégociation de l'ALENA, il n'est pas surprenant de constater que le rappel des nouvelles liées au commerce international soit en hausse depuis 2001, l'ACEUM faisant l'objet de la plus grande attention. La connaissance des autres accords commerciaux qu'a récemment conclus le Canada (l'AECG et le PTPGP) est relativement faible, mais la plupart des gens qui connaissent bien ces accords sont optimistes quant à leur impact.
Partout au pays, les Canadiens ont une impression très positive du commerce international et il n'y a pas de région où le commerce est perçu de façon négative. Les différences régionales, relativement peu importantes, suggèrent que les Albertains sont plus susceptibles d'y voir des avantages, tandis que les résidents du Québec sont un peu plus sceptiques. Par exemple, 72 pour cent des résidents de l'Alberta affirment que le libre-échange est une bonne chose, comparativement à 56 pour cent pour les résidents du Québec. Il est particulièrement important de noter que 52 pour cent des Québécois estiment que le commerce profite principalement aux riches, un sentiment qu'ont seulement 33 pour cent des Albertains. Les résidents du Québec sont également moins susceptibles de bien connaître les enjeux commerciaux actuels.
Tout au long du sondage, les hommes obtiennent constamment des notes plus élevées que les femmes en ce qui a trait à leur connaissance personnelle des questions liées au commerce international. Par exemple, 43 pour cent disent connaître l'AECG, comparativement à seulement 21 pour cent des femmes. Néanmoins, les hommes et les femmes expriment des points de vue généralement comparables en ce qui concerne le commerce. Cependant, il y a des différences par rapport aux avantages du commerce, les hommes ayant systématiquement une vision un peu plus positive à cet égard. Par exemple, 59 pour cent affirment que leur qualité de vie s'est améliorée grâce au commerce international, comparativement à 49 pour cent des femmes. Les femmes sont plus susceptibles de percevoir le commerce comme un moyen de promouvoir les droits des travailleurs et les droits de la personne. Elles ont aussi plus tendance à mentionner le soutien au secteur agricole, les normes environnementales et l'égalité des sexes comme des objectifs importants de futures négociations commerciales.
En général, les Canadiens plus âgés, en particulier les personnes de 65 ans et plus, ont des points de vue quelque peu plus positifs sur le commerce international, notamment en ce qui concerne ses répercussions sur l'emploi et sur l'économie. Par exemple, 69 pour cent des 65 personnes et plus affirment que le commerce a un impact positif sur le nombre d'emplois au Canada, comparativement à 60 pour cent en moyenne. Les Canadiens plus âgés sont également plus susceptibles de voir le commerce comme un moyen de promouvoir un éventail d'objectifs sociaux et économiques et ils accordent une importance particulière à la diversification des marchés d'exportation du Canada. Ils sont plus susceptibles de rejeter la notion selon laquelle le commerce profite exclusivement aux riches et sont plus susceptibles de considérer la montée du protectionnisme comme une mauvaise chose. Les Canadiens plus âgés sont plus susceptibles de tenir compte du pays d'origine dans leurs décisions d'achat, et ils sont plus enclins à considérer que les produits fabriqués au Canada sont reconnus pour leur qualité supérieure. La connaissance des enjeux liés au commerce augmente constamment avec l'âge.
La connaissance des enjeux liés au commerce augmente avec le niveau de scolarité, les diplômés universitaires affirmant constamment mieux connaître les divers accords commerciaux que conclut le Canada. Les Canadiens de tous les niveaux d'éducation ont des points de vue similaires sur le commerce, bien que les étudiants universitaires soient plus susceptibles de dire qu'ils profitent personnellement du commerce et que le protectionnisme est une mauvaise chose. Les gens qui n'ont fait que des études secondaires sont beaucoup plus susceptibles de considérer la baisse des prix et l'élargissement du choix des consommateurs comme une priorité clé.
La conclusion la plus intéressante des résultats est peut-être le fait que les Canadiens demeurent unis et optimistes face au commerce international. Il y a une stabilité remarquable dans les attitudes positives liées au commerce et à la mondialisation. Ces attitudes se sont même légèrement améliorées au cours des dernières années. Si le protectionnisme et le mouvement antimondialisation font actuellement partie intégrante du monde occidental, ils ne semblent pas gagner du terrain au Canada et il n'y a aucun signe que l'enthousiasme diminue à l'égard du commerce international.
Les Canadiens aiment surtout le commerce international en raison des avantages économiques qu'il présente. Ils reconnaissent également d'autres avantages et aimeraient que d'autres objectifs soient associés au commerce, notamment en ce qui concerne l'environnement, le travail et divers enjeux touchant les femmes. Toutefois, il ne fait pas de doute que ces objectifs sont subordonnés à des questions économiques.
Les perceptions sur le commerce sont principalement liées à l'ACEUM. Les Canadiens appuient largement cet accord et, bien qu'ils ne semblent pas croire que les avantages qui y sont associés ne seront pas différents de ceux de l'ALENA, ils n'y voient pas de grands inconvénients. Autrement dit, ils semblent satisfaits de la façon dont l'entente a été négociée.
Les connaissances en matière de commerce international sont limitées. Les Canadiens reconnaissent le rôle que jouent les États-Unis, mais semblent surestimer la demande en exportations canadiennes de la Chine en comparaison avec des marchés comme l'Europe et le Royaume-Uni.
Les Canadiens considèrent que le commerce international profite principalement aux grandes sociétés (en effet, il y a une diminution importante du nombre de répondants qui croient que le commerce international a un impact positif lorsque la question se concentre sur les petites entreprises). Il est intéressant de noter que les Canadiens ne semblent pas trop importunés par ce manque apparent d'équité. Ils semblent reconnaître que la croissance économique du pays est inextricablement liée au rendement de nos grandes sociétés, bien qu'ils manifestent certaines inquiétudes par rapport au fait que ce ne sont pas tous les Canadiens qui profitent des avantages du commerce international.
WINTRO
Web intro
We are conducting a study on behalf of the Government of Canada to obtain the views of Canadians on a range of important issues. Please be assured that we are not selling or soliciting anything. The survey is voluntary and your responses will be kept entirely confidential and anonymous. The survey should take about 15 minutes to complete.
A few reminders before beginning:
Q1A
Do you recall any news in recent months on issues related to international trade
Yes 1 ->Q1B
No 2
Don't know/No response 99
Q1B
If... Q1A = 1
If yes, what was the topic of the report
Please specify: 77
Don't know/No response 99
PQ2
In your opinion, how important are the following goals when considering Canada's approach to international trade Please use a 7-point scale where 1 is not at all important, 7 is very important and the mid-point 4 is somewhat important.
Q2A
Creating jobs in Canada
Not at all important 1 1
2 2
3 3
Somewhat important 4 4
5 5
6 6
Very important 7 7
Don't know/ No response 99 S
Q2B
Promoting gender equality
Not at all important 1 1
2 2
3 3
Somewhat important 4 4
5 5
6 6
Very important 7 7
Don't know/ No response 99 S
Q2C
Ensuring Canadian environmental and health standards are respected
Not at all important 1 1
2 2
3 3
Somewhat important 4 4
5 5
6 6
Very important 7 7
Don't know/ No response 99 S
Q2D
Ensuring that trade benefits everyone
Not at all important 1 1
2 2
3 3
Somewhat important 4 4
5 5
6 6
Very important 7 7
Don't know/ No response 99 S
Q2E
Offering consumers the widest choice of products and services at the lowest prices
Not at all important 1 1
2 2
3 3
Somewhat important 4 4
5 5
6 6
Very important 7 7
Don't know/ No response 99 S
Q2F
Supporting Canadian businesses
Not at all important 1 1
2 2
3 3
Somewhat important 4 4
5 5
6 6
Very important 7 7
Don't know/ No response 99 S
Q2G
Encouraging innovation in Canada
Not at all important 1 1
2 2
3 3
Somewhat important 4 4
5 5
6 6
Very important 7 7
Don't know/ No response 99 S
Q2H
Protecting Canadian Intellectual property
Not at all important 1 1
2 2
3 3
Somewhat important 4 4
5 5
6 6
Very important 7 7
Don't know/ No response 99 S
Q2I
Diversifying Canada's export markets
Not at all important 1 1
2 2
3 3
Somewhat important 4 4
5 5
6 6
Very important 7 7
Don't know/ No response 99 S
Q2J
Supporting farmers/agricultural sector
Not at all important 1 1
2 2
3 3
Somewhat important 4 4
5 5
6 6
Very important 7 7
Don't know/ No response 99 S
Q2K
Increasing foreign direct investment in Canada
Not at all important 1 1
2 2
3 3
Somewhat important 4 4
5 5
6 6
Very important 7 7
Don't know/ No response 99 S
PQ3
Please tell me the top five most important markets/countries for Canadian exports over the last few years
Q3
First
United States 1 I
United Kingdom 2 I
China 3 I
Japan 4 I
Mexico 5 I
India 6 I
Germany 7 I
Other (Please specify) 77
Don't know/ No response 99 X
Q3A [0,1]
Second
United States 1 I
United Kingdom 2 I
China 3 I
Japan 4 I
Mexico 5 I
India 6 I
Germany 7 I
Other (Please specify) 77
Don't know/ No response 99 X
Q3B [0,1]
Third
United States 1 I
United Kingdom 2 I
China 3 I
Japan 4 I
Mexico 5 I
India 6 I
Germany 7 I
Other (Please specify) 77
Don't know/ No response 99 X
Q3C [0,1]
Fourth
United States 1 I
United Kingdom 2 I
China 3 I
Japan 4 I
Mexico 5 I
India 6 I
Germany 7 I
Other (Please specify) 77
Don't know/ No response 99 X
Q3D [0,1]
Fifth
United States 1 I
United Kingdom 2 I
China 3 I
Japan 4 I
Mexico 5 I
India 6 I
Germany 7 I
Other (Please specify) 77
Don't know/ No response 99 X
PQ4
Which sectors do you think make up the largest part of Canada's exports
Q4
Largest
Natural Resources/Energy 1 I
Manufacturing 2 I
Agricultural Products 3 I
Automobiles and car parts 4 I
Hi-tech 5 I
Education 6 I
Clean/environmental technology 7 I
Other (Please specify) 77
Don't know/ No response 99 X
Q4A [0,1]
Second largest
Natural Resources/Energy 1 I
Manufacturing 2 I
Agricultural Products 3 I
Automobiles and car parts 4 I
Hi-tech 5 I
Education 6 I
Clean/environmental technology 7 I
Other (Please specify) 77
Don't know/ No response 99 X
Q5
Over the past 10 years, do you think international trade has become less important or more important in terms of its contribution to the Canadian economy Please use a 7-point scale where 1 is much less important, 7 is much more important and the mid-point 4 is neither.
Much less important 1 1
2 2
3 3
Neither 4 4
5 5
6 6
Much more important 7 7
Don't know/ No response 99
Q6
Why do you feel this way
Please specify: 77
Don't know/No response 99
Q7
Which of the following two statements is closest to your point of view
The benefits from international trade filter down through the economy and most Canadians benefit through jobs, taxes companies pay, and a better selection of goods available to consumers 1
OR 2 N
The benefits from international trade go mostly to large corporations and wealthy investors, with little left over for average Canadians. 3
Don't know/No response 99
PQ8
To what extent would you say that international trade benefits each of the following within Canada Please use a 7-point scale where 1 is to no extent whatsoever, 7 is to a great extent and the mid-point 4 is to a moderate extent.
Q8A
Large businesses
No extent whatsoever 1 1
2 2
3 3
Moderate extent 4 4
5 5
6 6
Great extent 7 7
Don't know/ No response 99 S
Q8B
Businesses in your community
No extent whatsoever 1 1
2 2
3 3
Moderate extent 4 4
5 5
6 6
Great extent 7 7
Don't know/ No response 99 S
Q8C
Small and medium-sized enterprises (SMEs)
No extent whatsoever 1 1
2 2
3 3
Moderate extent 4 4
5 5
6 6
Great extent 7 7
Don't know/ No response 99 S
Q8D
You and your family
No extent whatsoever 1 1
2 2
3 3
Moderate extent 4 4
5 5
6 6
Great extent 7 7
Don't know/ No response 99 S
Q8E
Women
No extent whatsoever 1 1
2 2
3 3
Moderate extent 4 4
5 5
6 6
Great extent 7 7
Don't know/ No response 99 S
Q8F
Indigenous people
No extent whatsoever 1 1
2 2
3 3
Moderate extent 4 4
5 5
6 6
Great extent 7 7
Don't know/ No response 99 S
Q8G
LGBTQ2 communities
No extent whatsoever 1 1
2 2
3 3
Moderate extent 4 4
5 5
6 6
Great extent 7 7
Don't know/ No response 99 S
Q8H
Youth
No extent whatsoever 1 1
2 2
3 3
Moderate extent 4 4
5 5
6 6
Great extent 7 7
Don't know/ No response 99 S
Q9
To what extent do you think Canadian businesses investing in other countries benefits Canada Please use a 7-point scale where 1 is to no extent whatsoever, 7 is to a great extent and the mid-point 4 is to a moderate extent.
No extent whatsoever 1 1
2 2
3 3
Moderate extent 4 4
5 5
6 6
Great extent 7 7
Don't know/ No response 99
Q10
Using the same scale to what extent do you think international businesses investing in Canada benefits the Canadian economy
No extent whatsoever 1 1
2 2
3 3
Moderate extent 4 4
5 5
6 6
Great extent 7 7
Don't know/ No response 99
Q11 [1,5]
In your opinion, what are Canadian products best known for internationally
Select all that apply
High quality 1
Adhering to environmental standards 2
Treating workers fairly during production 3
Low price 4
Other (Please specify) 77
Don't know/No response 99 X
Q12
To what extent does the origin of the country which produces or manufactures a product affect your decision to purchase the product Please use a 7-point scale where 1 is to no extent whatsoever, 7 is to a great extent and the mid-point 4 is to a moderate extent.
No extent whatsoever 1 1
2 2
3 3
Moderate extent 4 4
5 5
6 6
Great extent 7 7
Don't know/ No response 99
Q13
Many people talk about the rise of protectionism in the United States and Europe which, among other things, includes growing opposition to trade and globalization. Overall, do you think this rise of protectionism is a good thing or a bad thing for Canada
Bad thing 1
Neither good nor bad 2
Good thing 3
Don't know/No response 99
PQ14
Please tell me the extent to which you agree or disagree with each of the following statements using a 7-point scale where 7 means strongly agree, 1 means strongly disagree and the mid-point 4 means neither.
Q14A
I worry increased international trade is likely to result in countries lowering their environmental standards to be more competitive
Strongly disagree 1 1
2 2
3 3
Neither 4 4
5 5
6 6
Strongly agree 7 7
Don't know/ No response 99 S
Q14B
Canada should consider the interests of Canadians in its approach to international trade
Strongly disagree 1 1
2 2
3 3
Neither 4 4
5 5
6 6
Strongly agree 7 7
Don't know/ No response 99 S
Q14C
International trade is a good way for Canada to promote trade opportunities for all (notably women, indigenous, Small and medium-sized enterprises (SMEs))
Strongly disagree 1 1
2 2
3 3
Neither 4 4
5 5
6 6
Strongly agree 7 7
Don't know/ No response 99 S
Q14D
International trade is a good way for Canada to promote environmental responsibility
Strongly disagree 1 1
2 2
3 3
Neither 4 4
5 5
6 6
Strongly agree 7 7
Don't know/ No response 99 S
Q14E
International trade is a good way for Canada to promote respect for labour rights
Strongly disagree 1 1
2 2
3 3
Neither 4 4
5 5
6 6
Strongly agree 7 7
Don't know/ No response 99 S
Q14F
International trade is a good way for Canada to promote respect for human rights
Strongly disagree 1 1
2 2
3 3
Neither 4 4
5 5
6 6
Strongly agree 7 7
Don't know/ No response 99 S
Q16
Is more free trade a good thing or a bad thing for Canada
Bad thing 1
Neither good nor bad 2
Good thing 3
Don't know/No response 99
PQ17
Over the last few decades, Canada has been opening up trade with many countries. Which countries do you believe Canada should be trying to tie itself to more
Q17
First selection:
United States 1 I
United Kingdom 2 I
China 3 I
Japan 4 I
Mexico 5 I
India 6 I
Germany 7 I
Other (Please specify) 77
Don't know/ No response 99 X
Q17A [0,1]
Second selection:
United States 1 I
United Kingdom 2 I
China 3 I
Japan 4 I
Mexico 5 I
India 6 I
Germany 7 I
Other (Please specify) 77
Don't know/ No response 99 X
PQ18
As you may know, Canada, the United States, and Mexico recently signed the Canada-US-Mexico agreement on free trade, which is intended to replace NAFTA. What do you think will be the impact of this new NAFTA on Canadians
Q18
Answer 1:
77 77
Don't know/ No response 99 X
Q18A [0,1]
Answer 2:
77 77
Don't know/ No response 99 X
Q19
As you may know, Canada recently signed the Comprehensive and Progressive Agreement for Trans-Pacific Partnership (CPTPP), a free trade agreement between Canada and 10 other countries in the Asia-Pacific region. How familiar are you with this agreement
Very familiar 1 ->Q20
Somewhat familiar 2 ->Q20
Not very familiar 3
Not at all familiar 4
Don't know/No response 99
Q20
If... Q19 = 1 or Q19 = 2
Based on what you know, would you say the CPTPP's impact on Canada is positive or negative
Very positive 1
Somewhat positive 2
Somewhat negative 3
Very negative 4
Don't know/No response 99
Q21
As you may know, Canada recently signed the Comprehensive Economic and Trade Agreement (CETA), a free trade agreement between Canada, the European Union and its members states. How familiar are you with this agreement
Very familiar 1 ->Q22
Somewhat familiar 2 ->Q22
Not very familiar 3
Not at all familiar 4
Don't know/No response 99
Q22
If... Q21 = 1 or Q21 = 2
Based on what you know, would you say CETA's impact on Canada is positive or negative
Very positive 1
Somewhat positive 2
Somewhat negative 3
Very negative 4
Don't know/No response 99
Q23A
Are you aware that the Government of Canada has programs available to help companies do business abroad
Yes 1 ->Q23B
No 2
Don't know/No response 99
Q23B
If... Q23A = 1
If yes, which programs are you aware of
Please specify: 77
Don't know/No response 99
PQ24
What impact do you think Canada's international trade has had on each of the following Please use a 7-point scale where 1 is an extremely negative impact, 7 is an extremely positive impact and the mid-point 4 means neither.
Q24A
Development of Canadian technology and innovation
Extremely negative impact 1 1
2 2
3 3
Neither 4 4
5 5
6 6
Extremely positive impact 7 7
Don't know/ No response 99 S
Q24B
The number of jobs in Canada
Extremely negative impact 1 1
2 2
3 3
Neither 4 4
5 5
6 6
Extremely positive impact 7 7
Don't know/ No response 99 S
Q24C
Environmental standards in Canada and abroad
Extremely negative impact 1 1
2 2
3 3
Neither 4 4
5 5
6 6
Extremely positive impact 7 7
Don't know/ No response 99 S
Q24D
Improving working conditions abroad
Extremely negative impact 1 1
2 2
3 3
Neither 4 4
5 5
6 6
Extremely positive impact 7 7
Don't know/ No response 99 S
Q24E
Your quality of life
Extremely negative impact 1 1
2 2
3 3
Neither 4 4
5 5
6 6
Extremely positive impact 7 7
Don't know/ No response 99 S
Q25A
Do you feel that you are currently benefitting from international trade
Yes 1 ->Q25B
No 2 ->Q25C
Don't know/No response 99
Q25B [1,7]
If... Q25A = 1
If yes, why do you think you are benefitting from international trade
Select all that apply
There is a wider choice for consumers 1
Imported products are cheaper 2
It is good for the Canadian economy 3
Trade with countries outside Canada can create jobs 4
Imported products are better quality 5
Your job depends on international trade 6
Other (Please specify) 77
Don't know/No response 99 X
Q25C [1,6]
If... Q25A = 2
If no, why do you think you are not benefitting from international trade
Select all that apply
The quality of imported products is poor 1
Prices for certain imported goods are higher 2
As a result of increased international trade unemployment is higher 3
It harms the environment 4
It is bad for the Canadian economy 5
Other (Please specify) 77
Don't know/No response 99 X
DEMIN
These last few questions will be used for statistical purposes only.
QGENDR
Are you...
Male 1
Female 2
Other 3
Prefer not to answer 99
QPROV
What province or territory do you live in
British Columbia 1
Alberta 2
Saskatchewan 3
Manitoba 4
Ontario 5
Quebec 6
New Brunswick 7
Nova Scotia 8
Prince Edward Island 9
Newfoundland 10
Yukon 11
Northwest Territories 12
Nunavut 13
Prefer not to say 99
QEDUC
What is the highest level of schooling that you have completed
Grade 8 or less 1
Some high school 2
High School diploma or equivalent 3
Registered Apprenticeship or other trades certificate or diploma 4
College, CEGEP or other non-university certificate or diploma 5
University certificate or diploma below Bachelor's level 6
Bachelor's degree 7
Post graduate degree above bachelor's level 8
Prefer not to answer 99
Q26
To the best of your knowledge, does anyone in your household work for a company that is involved in international trade
Yes 1
No 2
Don't know/No response 99
QAGE
In which of the following age categories do you belong
18-34 years 1
35-49 years 2
50-64 years 3
65 years or older 4
Prefer not to answer 99
QINC
What is your annual household income from all sources before taxes
Under $20,000 1
Between $20,000 and $39,999 2
Between $40,000 and $59,999 3
Between $60,000 and $79,999 4
Between $80,000 and $99,999 5
Between $100,000 and $149,999 6
$150,000 or above 7
Prefer not to answer 99
Q27 [1,4]
Do you consider yourself to be any of the following
Select all that apply
A person with a disability 1
A member of a visible minority group 2
An Indigenous person 3
A member of the LGBTQ2 community 4
None of the above 5 X
Don't know / Prefer not to answer 99 X
QBORN
In what country were you born
Canada 1
Outside Canada, please specify: 77
Refused 98
Don't know 99
THNK
Thank you very much for taking the time to complete this survey.
Visit ekos.com
WINTRO
Web intro
Nous menons une étude pour le compte du gouvernement du Canada afin de connaître les points de vue de Canadiens et de Canadiennes sur un éventail d'enjeux importants. Sachez que nous ne faisons pas de vente ni de sollicitation pour quoi que ce soit. Le sondage est effectué sur une base volontaire, et vos réponses demeureront entièrement anonymes et confidentielles. Il vous faudra environ 15 minutes pour y répondre.
Quelques rappels avant de commencer:
Q1A
Vous souvenez-vous d'une nouvelle qui traitait de questions liées au commerce international au cours des derniers mois
Oui 1 ->Q1B
Non 2
Je ne sais pas/Pas de réponse 99
Q1B
If... Q1A = 1
Si oui, quel était le sujet du reportage
Veuillez préciser : 77
Je ne sais pas/Pas de réponse 99
PQ2
Selon vous, à quel point les objectifs suivants sont-ils importants lors de l'examen de l'approche qu'adopte le Canada en matière de commerce international Veuillez utiliser une échelle de sept points où 1 signifie que cela n'est pas du tout important, 7 que cela est extrêmement important et le point milieu, 4, que cela est moyennement important.
Q2A
Créer des emplois au Canada
Pas du tout important 1 1
2 2
3 3
Moyennement important 4 4
5 5
6 6
Extrêmement important 7 7
Je ne sais pas/ Pas de réponse 99 S
Q2B
Promouvoir l'égalité des sexes
Pas du tout important 1 1
2 2
3 3
Moyennement important 4 4
5 5
6 6
Extrêmement important 7 7
Je ne sais pas/ Pas de réponse 99 S
Q2C
Assurer le respect des normes canadiennes liées à la santé et à l'environnement
Pas du tout important 1 1
2 2
3 3
Moyennement important 4 4
5 5
6 6
Extrêmement important 7 7
Je ne sais pas/ Pas de réponse 99 S
Q2D
Veiller à ce que le commerce profite à tout le monde
Pas du tout important 1 1
2 2
3 3
Moyennement important 4 4
5 5
6 6
Extrêmement important 7 7
Je ne sais pas/ Pas de réponse 99 S
Q2E
Offrir aux consommateurs le plus grand choix de produits et de services aux prix les plus bas
Pas du tout important 1 1
2 2
3 3
Moyennement important 4 4
5 5
6 6
Extrêmement important 7 7
Je ne sais pas/ Pas de réponse 99 S
Q2F
Soutenir les sociétés canadiennes
Pas du tout important 1 1
2 2
3 3
Moyennement important 4 4
5 5
6 6
Extrêmement important 7 7
Je ne sais pas/ Pas de réponse 99 S
Q2G
Encourager l'innovation au Canada
Pas du tout important 1 1
2 2
3 3
Moyennement important 4 4
5 5
6 6
Extrêmement important 7 7
Je ne sais pas/ Pas de réponse 99 S
Q2H
Protéger la propriété intellectuelle canadienne
Pas du tout important 1 1
2 2
3 3
Moyennement important 4 4
5 5
6 6
Extrêmement important 7 7
Je ne sais pas/ Pas de réponse 99 S
Q2I
Diversifier les marchés d'exportation du Canada
Pas du tout important 1 1
2 2
3 3
Moyennement important 4 4
5 5
6 6
Extrêmement important 7 7
Je ne sais pas/ Pas de réponse 99 S
Q2J
Soutenir les agriculteurs et le secteur agricole
Pas du tout important 1 1
2 2
3 3
Moyennement important 4 4
5 5
6 6
Extrêmement important 7 7
Je ne sais pas/ Pas de réponse 99 S
Q2K
Augmenter les investissements directs étrangers au Canada
Pas du tout important 1 1
2 2
3 3
Moyennement important 4 4
5 5
6 6
Extrêmement important 7 7
Je ne sais pas/ Pas de réponse 99 S
PQ3
Quels sont les cinq principaux marchés et pays pour les exportations canadiennes au cours des dernières années
Q3
Premier
États-Unis 1 I
Royaume-Uni 2 I
Chine 3 I
Japon 4 I
Mexique 5 I
Inde 6 I
Allemagne 7 I
Autre (Veuillez préciser) 77
Je ne sais pas/ Pas de réponse 99 X
Q3A [0,1]
Deuxième
États-Unis 1 I
Royaume-Uni 2 I
Chine 3 I
Japon 4 I
Mexique 5 I
Inde 6 I
Allemagne 7 I
Autre (Veuillez préciser) 77
Je ne sais pas/ Pas de réponse 99 X
Q3B [0,1]
Troisième
États-Unis 1 I
Royaume-Uni 2 I
Chine 3 I
Japon 4 I
Mexique 5 I
Inde 6 I
Allemagne 7 I
Autre (Veuillez préciser) 77
Je ne sais pas/ Pas de réponse 99 X
Q3C [0,1]
Quatrième
États-Unis 1 I
Royaume-Uni 2 I
Chine 3 I
Japon 4 I
Mexique 5 I
Inde 6 I
Allemagne 7 I
Autre (Veuillez préciser) 77
Je ne sais pas/ Pas de réponse 99 X
Q3D [0,1]
Cinquième
États-Unis 1 I
Royaume-Uni 2 I
Chine 3 I
Japon 4 I
Mexique 5 I
Inde 6 I
Allemagne 7 I
Autre (Veuillez préciser) 77
Je ne sais pas/ Pas de réponse 99 X
PQ4
Selon vous, quels secteurs représentent la plus grande part des exportations canadiennes
Q4
Plus grande part
Ressources naturelles et énergie 1 I
Fabrication 2 I
Produits agricoles 3 I
Automobiles et pièces automobiles 4 I
Hautes technologies 5 I
Éducation 6 I
Technologies environnementales/propres 7 I
Autre (Veuillez préciser) 77
Je ne sais pas/ Pas de réponse 99 X
Q4A [0,1]
Deuxième plus grande part
Ressources naturelles et énergie 1 I
Fabrication 2 I
Produits agricoles 3 I
Automobiles et pièces automobiles 4 I
Hautes technologies 5 I
Éducation 6 I
Technologies environnementales/propres 7 I
Autre (Veuillez préciser) 77
Je ne sais pas/ Pas de réponse 99 X
Q5
Diriez-vous qu'au cours des 10 dernières années, le commerce international est devenu moins important ou plus important en ce qui concerne sa contribution à l'économie canadienne Veuillez répondre selon une échelle de sept points où 1 signifie beaucoup moins important, 7, beaucoup plus important et le point milieu, 4, ni l'un ni l'autre.
Beaucoup moins important 1 1
2 2
3 3
Ni l'un ni l'autre 4 4
5 5
6 6
Beaucoup plus important 7 7
Je ne sais pas/ Pas de réponse 99
Q6
Pourquoi croyez-vous cela
Veuillez préciser : 77
Je ne sais pas/Pas de réponse 99
Q7
Lequel des deux énoncés suivants se rapproche le plus de votre point de vue
Les avantages du commerce international percolent dans l'économie et la plupart des Canadiens en profitent par le biais d'emplois, des impôts que paient les sociétés et d'un meilleur choix de biens qui sont offerts aux consommateurs 1
OU 2 N
Le commerce international profite principalement aux grandes entreprises et aux investisseurs riches, et il en reste peu pour les Canadiens moyens. 3
Je ne sais pas/Pas de réponse 99
PQ8
D'après vous, à quel point le commerce international est-il avantageux pour chacun des aspects suivants au sein du Canada Veuillez répondre en utilisant une échelle de sept points où 1 signifie pas du tout, 7 signifie énormément et le point milieu, 4 signifie moyennement.
Q8A
Les grandes sociétés
Pas du tout 1 1
2 2
3 3
Moyennement 4 4
5 5
6 6
Énormément 7 7
Je ne sais pas/ Pas de réponse 99 S
Q8B
Les entreprises de votre collectivité
Pas du tout 1 1
2 2
3 3
Moyennement 4 4
5 5
6 6
Énormément 7 7
Je ne sais pas/ Pas de réponse 99 S
Q8C
Les petites et moyennes entreprises (PME)
Pas du tout 1 1
2 2
3 3
Moyennement 4 4
5 5
6 6
Énormément 7 7
Je ne sais pas/ Pas de réponse 99 S
Q8D
Vous et votre famille
Pas du tout 1 1
2 2
3 3
Moyennement 4 4
5 5
6 6
Énormément 7 7
Je ne sais pas/ Pas de réponse 99 S
Q8E
Les femmes
Pas du tout 1 1
2 2
3 3
Moyennement 4 4
5 5
6 6
Énormément 7 7
Je ne sais pas/ Pas de réponse 99 S
Q8F
Les Autochtones
Pas du tout 1 1
2 2
3 3
Moyennement 4 4
5 5
6 6
Énormément 7 7
Je ne sais pas/ Pas de réponse 99 S
Q8G
La communauté LGBTQ
Pas du tout 1 1
2 2
3 3
Moyennement 4 4
5 5
6 6
Énormément 7 7
Je ne sais pas/ Pas de réponse 99 S
Q8H
Les jeunes
Pas du tout 1 1
2 2
3 3
Moyennement 4 4
5 5
6 6
Énormément 7 7
Je ne sais pas/ Pas de réponse 99 S
Q9
À quel point croyez-vous que les entreprises canadiennes qui investissent dans d'autres pays profitent au Canada Veuillez répondre en utilisant une échelle de sept points où 1 signifie pas du tout, 7 signifie énormément et le point milieu, 4 signifie moyennement.
Pas du tout 1 1
2 2
3 3
Moyennement 4 4
5 5
6 6
Énormément 7 7
Je ne sais pas/ Pas de réponse 99
Q10
En utilisant la même échelle, dans quelle mesure croyez-vous que les entreprises internationales qui investissent au Canada profitent à l'économie canadienne
Pas du tout 1 1
2 2
3 3
Moyennement 4 4
5 5
6 6
Énormément 7 7
Je ne sais pas/ Pas de réponse 99
Q11 [1,5]
Selon vous, pour quelle raison les produits canadiens sont-ils les plus connus à l'échelle internationale
Choisir tout ce qui s'applique
Haute qualité 1
Respect de normes environnementales 2
Traitement équitable des travailleurs pendant la production 3
Bas prix 4
Autre (Veuillez préciser) 77
Je ne sais pas/Pas de réponse 99 X
Q12
Dans quelle mesure l'origine du pays qui produit ou fabrique un produit influence-t-elle votre décision d'acheter le produit Veuillez répondre en utilisant une échelle de sept points où 1 signifie pas du tout, 7 signifie énormément et le point milieu, 4 signifie moyennement.
Pas du tout 1 1
2 2
3 3
Moyennement 4 4
5 5
6 6
Énormément 7 7
Je ne sais pas/ Pas de réponse 99
Q13
Beaucoup de gens parlent de l'augmentation du protectionnisme aux États-Unis et en Europe, ce qui entraîne notamment une opposition grandissante à l'égard du commerce et de la mondialisation. En général, croyez-vous que la hausse du protectionnisme est une bonne chose ou une mauvaise chose pour le Canada
Mauvaise chose 1
Ni bonne ni mauvaise 2
Bonne chose 3
Je ne sais pas/Pas de réponse 99
PQ14
Veuillez indiquer la mesure dans laquelle vous êtes d'accord ou en désaccord avec l'énoncé suivant. Veuillez répondre en utilisant une échelle de sept points où 7 signifie que vous êtes fermement d'accord, 1 signifie que vous êtes fermement en désaccord, et le point milieu, 4, signifie que vous n'êtes ni d'accord ni en désaccord.
Q14A
Je crains que l'augmentation du commerce international entraîne les pays à baisser leurs normes environnementales pour être plus concurrentiels
Fermement en désaccord 1 1
2 2
3 3
Ni d'accord ni en désaccord 4 4
5 5
6 6
Fermement d'accord 7 7
Je ne sais pas/ Pas de réponse 99 S
Q14B
Le Canada devrait tenir compte des intérêts des Canadiens dans son approche en matière de commerce international.
Fermement en désaccord 1 1
2 2
3 3
Ni d'accord ni en désaccord 4 4
5 5
6 6
Fermement d'accord 7 7
Je ne sais pas/ Pas de réponse 99 S
Q14C
Le commerce international est un bon moyen pour le Canada de promouvoir des débouchés commerciaux pour tous (notamment les femmes, les Autochtones, les petites et moyennes entreprises (PME))
Fermement en désaccord 1 1
2 2
3 3
Ni d'accord ni en désaccord 4 4
5 5
6 6
Fermement d'accord 7 7
Je ne sais pas/ Pas de réponse 99 S
Q14D
Le commerce international est un bon moyen pour le Canada de promouvoir la responsabilité environnementale
Fermement en désaccord 1 1
2 2
3 3
Ni d'accord ni en désaccord 4 4
5 5
6 6
Fermement d'accord 7 7
Je ne sais pas/ Pas de réponse 99 S
Q14E
Le commerce international est un bon moyen pour le Canada de promouvoir le respect des droits des travailleurs
Fermement en désaccord 1 1
2 2
3 3
Ni d'accord ni en désaccord 4 4
5 5
6 6
Fermement d'accord 7 7
Je ne sais pas/ Pas de réponse 99 S
Q14F
Le commerce international est un bon moyen pour le Canada de promouvoir le respect des droits de la personne
Fermement en désaccord 1 1
2 2
3 3
Ni d'accord ni en désaccord 4 4
5 5
6 6
Fermement d'accord 7 7
Je ne sais pas/ Pas de réponse 99 S
Q16
Davantage de libre échange serait-il une bonne chose ou une mauvaise chose pour le Canada
Mauvaise chose 1
Ni bonne ni mauvaise 2
Bonne chose 3
Je ne sais pas/Pas de réponse 99
PQ17
Au cours des dernières décennies, le Canada a ouvert son commerce à de nombreux pays. Selon vous, avec quels pays le Canada devrait-il essayer de tisser le plus de liens
Q17
Premier choix :
États-Unis 1 I
Royaume-Uni 2 I
Chine 3 I
Japon 4 I
Mexique 5 I
Inde 6 I
Allemagne 7 I
Autre (Veuillez préciser) 77
Je ne sais pas/ Pas de réponse 99 X
Q17A [0,1]
Deuxième choix :
États-Unis 1 I
Royaume-Uni 2 I
Chine 3 I
Japon 4 I
Mexique 5 I
Inde 6 I
Allemagne 7 I
Autre (Veuillez préciser) 77
Je ne sais pas/ Pas de réponse 99 X
PQ18
Comme vous le savez peut-être, le Canada, les États-Unis et le Mexique ont récemment conclu l'Accord Canada–États-Unis–Mexique de libre-échange, qui vise à remplacer l'ALENA. Selon vous, quelles seront les répercussions de ce nouvel ALENA pour les Canadiens
Q18
Réponse 1:
77 77
Je ne sais pas/ Pas de réponse 99 X
Q18A [0,1]
Réponse 2:
77 77
Je ne sais pas/ Pas de réponse 99 X
Q19
Comme vous le savez peut-être, le Canada a récemment signé l'Accord de partenariat transpacifique global et progressiste (PTPGP), un accord de libre-échange entre le Canada et dix pays de la région Asie-Pacifique. À quel point connaissez-vous bien cet accord
Très bien 1 ->Q20
Assez bien 2 ->Q20
Pas très bien 3
Pas du tout 4
Je ne sais pas/Pas de réponse 99
Q20
If... Q19 = 1 or Q19 = 2
Selon ce que vous savez, diriez-vous que les répercussions du PTPGP sur le Canada sont positives ou négatives
Très positives 1
Plutôt positives 2
Plutôt négatives 3
Très négatives 4
Je ne sais pas/Pas de réponse 99
Q21
Comme vous le savez peut-être, le Canada a récemment signé l'Accord économique et commercial global entre le Canada et l'Union européenne (AECG), un accord de libre-échange entre le Canada, l'Union européenne et ses États membres. À quel point connaissez-vous bien cet accord
Très bien 1 ->Q22
Assez bien 2 ->Q22
Pas très bien 3
Pas du tout 4
Je ne sais pas/Pas de réponse 99
Q22
If... Q21 = 1 or Q21 = 2
D'après ce que vous savez, diriez-vous que les répercussions de l'AECG sur le Canada sont positives ou négatives
Très positives 1
Plutôt positives 2
Plutôt négatives 3
Très négatives 4
Je ne sais pas/Pas de réponse 99
Q23A
Savez-vous que le gouvernement du Canada a des programmes dont l'objectif est d'aider des entreprises à faire des affaires à l'étranger
Oui 1 ->Q23B
Non 2
Je ne sais pas/Pas de réponse 99
Q23B
If... Q23A = 1
Le cas échéant, quels programmes connaissez-vous
Veuillez préciser : 77
Je ne sais pas/Pas de réponse 99
PQ24
D'après vous, quel impact le commerce international du Canada a-t-il dans chacun des domaines suivants Veuillez répondre en utilisant une échelle de sept points où 1 signifie un impact extrêmement négatif, 7 signifie un impact extrêmement positif et le point milieu, 4 signifie ni l'un ni l'autre.
Q24A
Le développement de la technologie et de l'innovation au Canada
Un impact extrêmement négatif 1 1
2 2
3 3
Ni l'un ni l'autre 4 4
5 5
6 6
Un impact extrêmement positif 7 7
Je ne sais pas/ Pas de réponse 99 S
Q24B
Le nombre d'emplois au Canada
Un impact extrêmement négatif 1 1
2 2
3 3
Ni l'un ni l'autre 4 4
5 5
6 6
Un impact extrêmement positif 7 7
Je ne sais pas/ Pas de réponse 99 S
Q24C
Les normes environnementales au Canada et à l'étranger
Un impact extrêmement négatif 1 1
2 2
3 3
Ni l'un ni l'autre 4 4
5 5
6 6
Un impact extrêmement positif 7 7
Je ne sais pas/ Pas de réponse 99 S
Q24D
L'amélioration des conditions de travail à l'étranger
Un impact extrêmement négatif 1 1
2 2
3 3
Ni l'un ni l'autre 4 4
5 5
6 6
Un impact extrêmement positif 7 7
Je ne sais pas/ Pas de réponse 99 S
Q24E
Votre qualité de vie
Un impact extrêmement négatif 1 1
2 2
3 3
Ni l'un ni l'autre 4 4
5 5
6 6
Un impact extrêmement positif 7 7
Je ne sais pas/ Pas de réponse 99 S
Q25A
Pensez-vous que vous profitez actuellement du commerce international
Oui 1 ->Q25B
Non 2 ->Q25C
Je ne sais pas/Pas de réponse 99
Q25B [1,7]
If... Q25A = 1
Le cas échéant, pourquoi pensez-vous que vous tirez profit du commerce international
Choisir tout ce qui s'applique
Il y a un plus grand choix pour les consommateurs 1
Les produits importés sont moins chers 2
C'est bon pour l'économie canadienne 3
Le commerce avec des pays à l'extérieur du Canada peut créer des emplois 4
Les produits importés sont de meilleure qualité 5
Votre emploi dépend du commerce international 6
Autre (Veuillez préciser) 77
Je ne sais pas/Pas de réponse 99 X
Q25C [1,6]
If... Q25A = 2
Si ce n'est pas le cas, pourquoi pensez-vous que vous ne tirez pas profit du commerce international
Choisir tout ce qui s'applique
La qualité des produits importés est médiocre 1
Les prix de certaines marchandises importées sont plus élevés 2
En raison de l'augmentation du commerce international, le taux de chômage est plus élevé 3
Cela nuit à l'environnement 4
C'est mauvais pour l'économie canadienne 5
Autre (Veuillez préciser) 77
Je ne sais pas/Pas de réponse 99 X
DEMIN
Les prochaines questions ne seront utilisées qu'à des fins statistiques.
QGENDR
Êtes-vous...
Homme 1
Femme 2
Autre 3
Préfère ne pas répondre 99
QPROV
Dans quelle province ou quel territoire demeurez-vous
Colombie-Britannique 1
Alberta 2
Saskatchewan 3
Manitoba 4
Ontario 5
Québec 6
Nouveau-Brunswick 7
Nouvelle-Écosse 8
Île-du-Prince-Édouard 9
Terre-Neuve 10
Yukon 11
Territoires du Nord-Ouest 12
Nunavut 13
Je préfère ne pas répondre 99
QEDUC
Quel est le niveau de scolarité le plus élevé que vous avez atteint
8e année ou moins 1
Études secondaires non terminées 2
Diplôme d'études secondaires ou l'équivalent 3
Apprenti inscrit ou autre certificat ou diplôme de formation professionnelle 4
Diplômes d'études collégiales, de cégep ou autre certificat ou diplôme non
universitaire 5
Certificat universitaire ou diplôme inférieur au baccalauréat 6
Baccalauréat 7
Grade universitaire supérieur au baccalauréat 8
Préfère ne pas répondre 99
Q26
À ce que vous sachiez, la compagnie pour laquelle vous travaillez fait-elle du commerce international
Oui 1
Non 2
Je ne sais pas/Pas de réponse 99
QAGE
Auquel des groupes d'âge suivants appartenez-vous
18 à 34 ans 1
35 à 49 ans 2
50 à 64 ans 3
65 ans ou plus 4
Préfère ne pas répondre 99
QINC
Quel est le revenu annuel de votre ménage de toutes sources avant impôts
Moins de 20 000 $ 1
Entre 20 000 $ et 39,999 $ 2
Entre 40 000 $ et 59,999 $ 3
Entre 60 000 $ et 79,999 $ 4
Entre 80 000 $ et 99,999 $ 5
Entre 100 000 $ et 149,999 $ 6
150 000 $ et plus 7
Préfère ne pas répondre 99
Q27 [1,4]
Vous considérez-vous comme l'un des suivants
Choisir tout ce qui s'applique
Une personne ayant un handicap 1
Un membre d'une minorité visible 2
Une personne autochtone 3
Un(e) membre de la communauté LGBTQ2 4
Aucune de ces réponses 5 X
Je ne sais pas / Préfère ne pas répondre 99 X
QBORN
Dans quel pays êtes-vous né(e)
Canada 1
Extérieur du Canada, veuillez préciser : 77
Je refuse de répondre 98
Je ne sais pas 99
THNK
Merci beaucoup d'avoir pris le temps de répondre à ce sondage.
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