Attitudes des Canadiens à l'égard du commerce international

Rapport final

Préparé pour Affaires mondiales Canada

Nom du fournisseur : Les Associés de recherche Ekos

No du contrat : 08C91-200510/001/CY

Date d'attribution du contrat : le 20 janvier 2021

Valeur du contrat : 74 788,09 $ (TVH comprise)

Date de livraison : 17 mars 2021

No d'inscription : 106-20

Pour obtenir de plus amples renseignements sur le présent rapport, veuillez communiquer avec Affaires mondiales Canada à POR-ROP@international.gc.ca.

Le présent rapport fait la synthèse des résultats d'un sondage mené auprès de 2 043 Canadiens.

This report is also available in English under the title: Canadian Attitudes towards International Trade

Cette publication ne peut être reproduite qu'à des fins non commerciales. Une autorisation écrite préalable doit être obtenue auprès d'Affaires mondiales Canada. Pour obtenir de plus amples renseignements sur le présent rapport, veuillez communiquer avec Affaires mondiales Canada à POR-ROP@international.gc.ca.

Numéro de catalogue : 978-0-660-38198-5

Numéro international normalisé du livre (ISBN) : FR5-174/2021F-PDF

© Sa Majesté la Reine du chef du Canada

Tables des matières

Sommaire

Contexte et méthodologie

En conformité avec la Stratégie de diversification du commerce, Affaires mondiales Canada (GAC) s'efforce d'aider le Canada à diversifier son commerce à l'étranger. Cette stratégie comprend des efforts visant à promouvoir une approche inclusive au commerce dont l'objectif est de veiller à ce que les avantages et les possibilités du commerce soient davantage partagés entre tous les Canadiens. En appui à ces efforts, un sondage initial a été mené auprès de Canadiens en février 2020 afin de fournir aux communicateurs commerciaux une vision claire des attitudes du public envers le commerce, et de les aider à informer leurs messages et leurs communications (y compris les discours, les notes d'entrevue, les communiqués de presse et les publications dans des médias sociaux).

Reconnaissant que les efforts visant à enrayer la propagation de la COVID-19 – y compris les restrictions aux frontières et les perturbations au sein des chaînes d'approvisionnement mondiales de matériel médical et de fournitures médicales – pourraient avoir eu une incidence sur les attitudes du public à l'égard du commerce, une étude de suivi a été menée en février 2021.

Les objectifs de l'étude sont les suivants :

Les résultats de cette étude seront utilisés pour aider AMC dans le cadre de ses futures initiatives de communication avec le public.

L'étude de 2021 a été menée par l'entremise d'un sondage auprès de 2 043 Canadiens et Canadiennes âgés de 18 ans ou plus. Le travail sur le terrain a eu lieu du 8 au 25 février 2021. Le sondage a été mené principalement en ligne à l'aide de Probit, le panel en ligne probabiliste des Associés de recherche Ekos, qui compte un bassin d'environ 90 000 ménages canadiens. Cependant, pour pouvoir mieux inclure les Canadiens qui n'ont pas accès à Internet, certaines entrevues ont été effectuées au téléphone. En tout, 1 538 cas ont été recueillis en ligne et 505 l'ont été au téléphone. Les résultats du sondage ont été pondérés en fonction de données de Statistique Canada concernant l'âge, le sexe et la région afin de rendre l'échantillon représentatif de l'ensemble de la population canadienne âgée de 18 ans ou plus. La marge d'erreur associée à l'échantillon total est de +/- 2,2 points de pourcentage, 19 fois sur 20.

Résultats du sondage

Les principales constatations de cette étude sont exposées ci-dessous. Le reste du rapport décrit plus en détail les résultats du sondage. Dans la mesure du possible, un suivi est effectué par rapport aux résultats obtenus dans le cadre du sondage de février 2020.

Questions générales sur le commerce

Le commerce international demeure un sujet populaire dans les médias. Lorsqu'on leur demande s'ils se rappellent avoir entendu des nouvelles sur le commerce international, six répondants sur dix (61 %) répondent par l'affirmative, alors qu'un répondant sur trois (33 %) répond par la négative. Toutefois, le suivi révèle une baisse de 14 points dans ce domaine depuis 2020. Cela est sans doute dû à l'accent mis sur la pandémie de COVID-19 au cours de la dernière année, ainsi qu'à la diminution de la couverture sur l'Accord Canada–États-Unis–Mexique (ACEUM), maintenant qu'il est en vigueur.

Conformément aux résultats de 2020, lorsqu'invités à évaluer l'importance de divers objectifs de l'approche canadienne en matière de commerce international, les répondants mentionnent principalement des questions économiques, neuf répondants sur dix considérant la création d'emplois (93 %) et le soutien aux entreprises canadiennes (91 %) comme des priorités clés. Plus de huit répondants sur dix accordent aussi beaucoup d'importance à l'amélioration du niveau de vie des Canadiens (88 %), au respect des normes canadiennes liées à la santé et à l'environnement (87 %), au soutien du secteur agricole du Canada (86 %), à la protection de la propriété intellectuelle canadienne (86 %), à la diversification des marchés d'exportation du Canada (81 %) et au fait de veiller à ce que le commerce profite à tout le monde (80 %). Les Canadiens attachent comparativement moins d'importance à la réduction des coûts de la production nationale (69 %), à la promotion de l'égalité des sexes (66 %) et au fait d'offrir aux consommateurs le plus grand choix possible de produits et de services aux prix les plus bas (58 %). Seuls 47 % des répondants estiment que l'augmentation des investissements directs étrangers au Canada devrait être une priorité de premier plan, ce qui représente une baisse de huit points de pourcentage par rapport à 2020. Les femmes sont plus susceptibles d'accorder de l'importance au respect des normes canadiennes liées à la santé et à l'environnement, de même qu'à la promotion de l'égalité des sexes.

Lorsqu'invités à identifier les cinq principaux marchés d'exportation du Canada, la grande majorité des répondants (87 %) croient que les États-Unis constituent le plus grand marché, alors que les deux tiers (67 %) considèrent la Chine comme un marché important. Environ quatre répondants sur dix nomment le Royaume-Uni (43 %), le Mexique (40 %) et l'Europe (37 %) parmi les principaux marchés des exportations canadiennes.

Les résultats révèlent que huit Canadiens sur dix (80 %) estiment qu'il faudra veiller à ce que le Canada soit un acteur important de l'industrie des technologies de la santé lors de l'élaboration de futures politiques commerciales, alors qu'un peu moins de répondants (76 %) sont d'avis que les technologies vertes devraient être une préoccupation majeure. L'intelligence artificielle se classe plus bas, six répondants sur dix (63 %) affirmant que les politiques commerciales qui y sont associées devraient assurer la compétitivité mondiale du Canada.

Les résultats indiquent aussi que la plupart des Canadiens croient que la préparation à de futures pandémies devrait être un élément clé de l'élaboration de politiques de commerce international et d'investissement. En effet, environ huit répondants sur dix (83 %) considèrent comme important que nos politiques commerciales assurent une grande capacité de préparation à de futures pandémies, tandis qu'un répondant sur dix (9 %) croit que cela est moyennement important. Seuls 6 % des répondants estiment que les questions liées aux pandémies ne devraient en général pas être prises en compte dans les politiques de commerce international et d'investissement.

Avantages du commerce international

Les résultats donnent à penser que le commerce est devenu plus important pour les Canadiens au cours des dix dernières années. Conformément aux résultats du sondage précédent, huit répondants sur dix (81 %) affirment que le commerce a pris de l'importance au cours des dix dernières années, alors que seulement 4 % jugent qu'il est de moins en moins important.

Toutefois, les résultats indiquent également que les Canadiens continuent de croire que le commerce profite surtout aux grandes sociétés et qu'il offre peu d'avantages aux groupes les plus marginalisés du Canada. Lorsqu'interrogés sur la mesure dans laquelle divers groupes tirent profit du commerce international, neuf Canadiens sur dix (88 %) affirment que les grandes sociétés en profitent énormément, alors que près de la moitié est d'avis que les petites et moyennes entreprises (PME) et les entreprises de leur collectivité en profitent autant (50 % et 48 %, respectivement). Un peu plus de quatre répondants sur dix (44 %) ont l'impression de profiter personnellement du commerce international, alors qu'une proportion semblable (42 %) considère les immigrants comme des bénéficiaires. Seul un peu plus du tiers des répondants pense que les femmes ou les jeunes profitent du commerce international (36 % pour chacun des groupes) et peu estiment que c'est le cas pour les groupes racisés (26 %), pour les Autochtones (23 %) ou pour les membres de la communauté LGBTQ2 (21 %). Ces résultats sont demeurés en grande partie stables au cours de la dernière année.

Marque du Canada

Lorsqu'invités à nommer les raisons pour lesquelles ils estiment que les produits canadiens sont les plus reconnus à l'échelle internationale, les deux tiers (65 %) des répondants affirment que nos produits sont reconnus pour leur qualité supérieure. Un peu plus de la moitié (55 %) des répondants affirment que les produits canadiens sont définis par le traitement équitable des travailleurs au Canada, tandis qu'un peu plus de quatre répondants sur dix (45 %) déclarent que le respect des normes environnementales du pays est à la base de la réputation du Canada. Seul un répondant sur huit (13 %) croit que les produits canadiens sont reconnus pour leurs prix peu élevés.

Débouchés commerciaux durables et inclusifs

Les résultats suggèrent que les Canadiens s'inquiètent moyennement de l'impact du commerce sur les normes environnementales internationales. Lorsqu'on leur demande s'ils sont d'accord ou non avec le fait qu'un commerce international accru est susceptible d'amener les pays à baisser leurs normes environnementales pour être plus concurrentiels, les répondants conviennent dans une proportion de six sur dix (57 %) que c'est le cas, alors que le quart (23 %) n'est pas d'accord. Le suivi révèle une hausse de six points, depuis 2020, dans la proportion de répondants qui sont d'accord avec cette déclaration.

Toutefois, les résultats donnent également à penser que le commerce international est en grande partie considéré comme une occasion pour le Canada de promouvoir certains objectifs sociaux. Environ six Canadiens sur dix considèrent le commerce comme une bonne façon de promouvoir la responsabilité environnementale (63 %), le respect des droits des travailleurs (62 %) et le respect des droits de la personne (60 %). Une proportion un peu moins élevée d'entre eux (57 %) affirme que le commerce est un moyen efficace de favoriser des débouchés commerciaux pour tous. Ces résultats demeurent essentiellement inchangés depuis 2020.

Connaissance du commerce et des accords commerciaux du Canada

Lorsqu'on leur demande si un commerce international accru est une bonne chose ou une mauvaise chose pour le Canada, les deux tiers (61 %) des répondants disent que c'est une bonne chose, alors qu'un répondant sur dix (10 %) pense que c'est une mauvaise chose. Le suivi suggère une augmentation constante de l'appui au commerce international au cours des quatre dernières années (de 48 % en 2017 à 67 % aujourd'hui).

Les résultats du sondage montrent que le public a une connaissance limitée des accords commerciaux. Les Canadiens déclarent ne pas bien connaître de façon générale l'Accord de Partenariat transpacifique global et progressiste (PTPGP) ni l'Accord économique et commercial global (AECG) entre le Canada et l'Union européenne, et disent connaître moyennement l'Accord Canada–États-Unis–Mexique (ACEUM). Toutefois, le point de vue des répondants qui connaissent bien les accords commerciaux est positif. Environ la moitié des Canadiens juge connaître très bien (7 %) ou assez bien (45 %) l'ACEUM. Parmi ceux qui connaissent au moins un peu l'accord, la plupart en ont une opinion très positive (9 %) ou plutôt positive (53 %).

Lorsqu'invités à indiquer à quel point ils connaissent bien le PTPGP, la plupart des répondants disent ne pas le connaître très bien (42 %) ou ne pas le connaître du tout (29 %). Le quart seulement (25 %) déclare le connaître assez bien, et une proportion encore moins importante (3 %) a l'impression de très bien le connaître. Toutefois, parmi les répondants qui affirment le connaître, la moitié (52 %) croit que cet accord a des répercussions plutôt positives sur le Canada, et un sur cinq (21 %) est d'avis qu'il a des répercussions très positives.

De même, la plupart des Canadiens ne connaissent pas très bien l'AECG (39 %) ou ne le connaissent pas du tout (28 %). Environ trois répondants sur dix (30 %) disent le connaître alors que seulement 3 % des répondants le connaissent très bien. Cependant, parmi ceux qui connaissent l'entente, plus de la moitié (59 %) pensent que les répercussions de l'AECG sur le Canada sont plutôt positives, et le quart (27 %) croient qu'elles sont très positives.

Connaissance des programmes gouvernementaux

Un peu plus de la moitié des répondants (54 %) disent savoir que le gouvernement fédéral a des programmes dont l'objectif est d'aider des entreprises à faire des affaires à l'étranger. Quatre répondants sur dix (40 %) affirment ne pas le savoir. Néanmoins, lorsqu'on leur demande d'expliquer leur réponse, la plupart des répondants qui déclarent connaître ces programmes (64 %) ne sont pas en mesure de nommer un programme en particulier.

Impact direct sur les Canadiens

Conformément aux résultats obtenus en 2020, les Canadiens ont généralement une impression positive des répercussions du commerce international, tant au Canada qu'à l'étranger. Sept répondants sur dix (71 %) croient que le commerce international du Canada a eu des répercussions positives sur le développement de la technologie et de l'innovation au Canada. Environ six répondants sur dix disent que cela a eu un impact positif sur le nombre d'emplois au Canada (58 %) et sont d'avis que leur qualité de vie s'est améliorée grâce au commerce international (57 %). Environ la moitié (47 %) des répondants ont la même impression lorsqu'il est question de normes environnementales au Canada et à l'étranger. Quatre répondants sur dix (37 %) croient que le commerce international du Canada a eu un impact positif sur l'amélioration des conditions de travail à l'étranger. Moins d'un répondant sur cinq affirme que le commerce international a eu des répercussions négatives dans l'un de ces domaines.

Lorsqu'on leur demande s'ils croient qu'ils profitent actuellement du commerce, environ les deux tiers des répondants (65 %) déclarent que c'est le cas, alors que seul le quart (23 %) affirme le contraire (ces résultats demeurent en grande partie inchangés depuis l'an passé). Environ huit répondants sur dix (83 %) qui croient tirer profit du commerce affirment avoir une plus vaste sélection de biens et de services, et plus de la moitié des répondants citent la création d'emplois (57 %), les avantages économiques (54 %), et des prix moins élevés (53 %) comme des avantages personnels du commerce international. Parmi ceux qui ne pensent pas profiter du commerce international, un peu moins de la moitié (46 %) citent la qualité inférieure des produits fabriqués à l'étranger, tandis qu'une proportion légèrement inférieure (41 %) de répondants attribue sa désapprobation aux craintes de pertes d'emplois au Canada. Le tiers fait part de préoccupations à l'égard des répercussions sur l'économie canadienne (35 %), des répercussions sur l'environnement (35 %) et des prix plus élevés des produits importés (33 %).

Conclusions et conséquences

La pandémie de COVID-19 semble avoir peu atténué l'enthousiasme des Canadiens à l'égard du commerce international. Conformément aux résultats de 2020, les répondants considèrent que le commerce est avantageux pour le Canada pour la plupart des indicateurs testés, particulièrement lorsqu'il s'agit de favoriser l'innovation et de stimuler la création d'emplois. De plus, la vaste majorité des Canadiens croient que le commerce est devenu plus important au cours des dernières années et ils sont prêts à le voir se développer davantage. La plupart des Canadiens estiment profiter personnellement du commerce, les avantages perçus étant un plus grand choix pour les consommateurs, une baisse des prix des produits et la création d'emplois.

Une des questions qui pose problème, cependant, est la perception constante que le commerce international profite beaucoup plus aux grandes sociétés. Les répondants expriment de sérieux doutes quant à savoir si le commerce profite aux groupes les plus marginalisés du Canada, en particulier les Canadiens racisés, les Autochtones et les membres de la communauté LGBTQ2. Néanmoins, la plupart des Canadiens considèrent le commerce comme un moyen de promouvoir des débouchés commerciaux pour ces groupes et d'atteindre d'autres objectifs sociaux.

Lorsqu'il est question de l'approche qu'adopte le Canada en matière de commerce international, les répondants mentionnent plusieurs considérations importantes, particulièrement des questions économiques, comme la création d'emplois, le soutien aux entreprises canadiennes et l'innovation. Toutefois, l'amélioration du niveau de vie, le respect des normes liées à la santé et à l'environnement, la protection de la propriété intellectuelle, la diversification des marchés du Canada et la répartition plus équitable des avantages du commerce sont également des priorités de premier plan. La grande majorité des Canadiens croient aussi que la préparation à d'autres pandémies devrait être un élément clé des futures politiques commerciales.

La mesure dans laquelle les répondants disent bien connaître l'ACEUM est moyennement élevée, et les Canadiens sont dans l'ensemble enthousiastes par rapport aux avantages de cet accord. La connaissance des autres accords commerciaux qu'a récemment conclus le Canada – l'AECG et le PTPGP – est relativement faible; mais parmi ceux qui connaissent bien les accords, la majorité est optimiste quant à leurs répercussions.

Conséquences

Les Canadiens demeurent optimistes face au commerce international, et la pandémie de COVID-19 n'a pas beaucoup refroidi leur enthousiasme. La stabilité dans les attitudes positives à l'égard du commerce et de la mondialisation est de fait remarquable.

Les Canadiens aiment surtout le commerce international en raison des avantages économiques qu'il présente. Ils reconnaissent également d'autres avantages et aimeraient que le commerce ait d'autres objectifs, notamment en ce qui concerne l'environnement, le travail et diverses questions touchant aux femmes. Toutefois, ces objectifs sont en définitive subordonnés aux questions économiques.

Comme nous l'avons constaté l'année dernière, le niveau de connaissance du commerce international est mitigé. Les Canadiens reconnaissent le rôle que jouent les États-Unis, mais semblent surestimer la demande en exportations canadiennes de la part de la Chine par rapport à celle de marchés comme l'Europe et le Royaume-Uni.

Conformément aux résultats de 2020, les Canadiens considèrent le commerce comme avantageux avant tout pour les grandes sociétés (lorsqu'interrogés sur les avantages du commerce international, il y a en effet une diminution importante de l'appui lorsque la question porte sur les petites entreprises). Toutefois, les Canadiens ne semblent pas trop importunés par ce manque apparent d'équité. Ils semblent reconnaître que la croissance économique du pays est inextricablement liée au rendement de nos grandes entreprises, bien qu'ils continuent de manifester certaines inquiétudes par rapport au fait que ce ne sont pas tous les Canadiens qui profitent des avantages du commerce international.

Sommaire des changements depuis 2020

Le suivi des résultats de 2020 donne à penser que les attitudes du public à l'égard du commerce ont quelque peu changé au cours de la dernière année pour ce qui est de certaines des questions abordées. Veuillez trouver ci-dessous un sommaire des changements les plus importants par rapport au sondage de 2020.

Il y a une baisse de 14 points de pourcentage dans le rappel des nouvelles liées au commerce international depuis 2020 (probablement en raison de l'accent mis sur la pandémie de COVID-19 au cours de la dernière année, ainsi que sur l'ACEUM, qui est maintenant en vigueur).

Le suivi des résultats de 2020 révèle une diminution de la proportion de Canadiens qui considèrent la Chine comme un partenaire commercial clé (67 %, comparativement à 75 % en 2020). À l'inverse, la proportion de répondants qui considèrent le Royaume-Uni comme l'un des marchés d'exportation le plus important du Canada est passée de 32 % à 43 %.

Il y a une augmentation de six points de pourcentage dans la proportion de Canadiens qui pensent profiter personnellement du commerce international, et une augmentation semblable en ce qui concerne l'appui au commerce international en général au cours de la dernière année (61 % en 2020 par rapport à 67 % aujourd'hui).

Cependant, nous constatons aussi une augmentation des préoccupations concernant certaines des répercussions du commerce international : il y a une hausse de six points de pourcentage en ce qui a trait au fait que le commerce international est susceptible d'entraîner certains pays à baisser leurs normes environnementales pour être plus concurrentiels.

Le suivi révèle également que l'autoévaluation de la connaissance des programmes offerts par le gouvernement fédéral pour aider les entreprises à faire des affaires à l'étranger a diminué de sept points de pourcentage depuis 2020.

Valeur du contrat et déclaration de neutralité politique

Valeur du contrat : 74 788,09 $ (TVH incluse)

Certification de neutralité politique : À titre de cadre supérieur des Associés de recherche Ekos, j'atteste par la présente que les documents remis sont entièrement conformes aux exigences de neutralité politique du gouvernement du Canada exposées dans la Politique de communication du gouvernement du Canada et dans la Procédure de planification et d'attribution de marchés de services de recherche sur l'opinion publique. En particulier, les documents remis ne contiennent pas de référence à des intentions de vote électoral, à des préférences de partis politiques, à des prises de position par rapport à des partis politiques ou à l'évaluation du rendement d'un parti politique ou de son chef.

Derek Jansen

Vice-président

Les Associés de recherche Ekos inc.

1. Contexte et méthodologie

1.1 Contexte et objectifs

En conformité avec la Stratégie de diversification du commerce, Affaires mondiales Canada (GAC) s'efforce d'aider le Canada à diversifier son commerce à l'étranger. Cette stratégie comprend des efforts visant à promouvoir une approche commerciale inclusive dont l'objectif est de veiller à ce que les avantages et les possibilités du commerce soient partagés davantage entre tous les Canadiens. En appui à ces initiatives, un sondage initial a été mené auprès de Canadiens en février 2020 afin de fournir aux communicateurs commerciaux une image claire des attitudes du public envers le commerce, et de contribuer à informer leurs messages et leurs communications (y compris les discours, les notes d'entrevue, les communiqués de presse et les publications dans les médias sociaux).

Reconnaissant que les efforts visant à enrayer la propagation de la COVID-19 – y compris les restrictions de voyage et aux frontières –pourraient avoir eu une incidence sur les attitudes du public à l'égard du commerce, une étude de suivi a été menée en février 2021.

À l'instar du sondage de 2020, cette étude a été menée pour fournir aux communicateurs commerciaux une vision claire de la compréhension et de l'attitude des Canadiens à l'égard du commerce.

Les objectifs de l'étude sont les suivants :

Les résultats de cette étude seront utilisés pour aider AMC dans le cadre de ses futures initiatives de communication avec le public.

1.2 Méthodologie

Cette étude a été menée par l'entremise d'un sondage auprès de 2 043 Canadiens et Canadiennes âgés de 18 ans ou plus. Le travail sur le terrain a eu lieu du 8 au 25 février 2021. Le sondage a été mené principalement en ligne à l'aide de Probit, notre panel probabiliste. Cependant, pour pouvoir mieux inclure les Canadiens qui n'ont pas accès à Internet, certaines entrevues ont été effectuées au téléphone. En tout, 1 538 cas ont été recueillis en ligne et 505 l'ont été au téléphone. Les résultats du sondage ont été pondérés en fonction de données de Statistique Canada concernant l'âge, le sexe et la région afin de rendre l'échantillon représentatif de l'ensemble de la population canadienne âgée de 18 ans ou plus. La marge d'erreur associée à l'échantillon total est de +/- 2,2 points de pourcentage, 19 fois sur 20.

Des détails sur la méthodologie associée aux volets en ligne et au téléphone de la recherche sont présentés ci-dessous.

Panel Probit (échantillon en ligne)

Nous avons eu recours à Probit, notre panel probabiliste en ligne, pour le volet du sondage effectué en ligne. Probit est un panel de recherche qu'a mis sur pied Ekos pour recueillir des données statistiquement représentatives. Notre panel couvre la totalité de la population canadienne (Internet, téléphone, cellulaire), fait du recrutement aléatoire (les participants ne choisissent pas eux-mêmes de faire partie de notre panel) et offre de l'échantillonnage avec probabilités égales. Tous les répondants de notre panel sont recrutés par téléphone à l'aide d'un système d'appel aléatoire, et leurs renseignements démographiques sont confirmés par des enquêteurs en direct.

La distribution du processus de recrutement de notre panel reflète la population courante du Canada (telle que définie par Statistique Canada). À ce titre, notre panel peut être considéré comme représentatif du grand public (les résultats des sondages de notre panel en ligne tient compte des intervalles de confiance et des estimations de la marge d'erreur, une caractéristique unique au Canada). La taille globale du panel est d'environ 90 000 ménages canadiens. Pour les attributions de recherche personnelle, des échantillons aléatoires stratifiés sont prélevés dans la base de données du panel.

Échantillon téléphonique

Ekos a recours à un échantillonneur pour répondre aux exigences relatives aux échantillons de ses sondages téléphoniques. Le logiciel utilise les annuaires les plus à jour, à mesure qu'ils deviennent disponibles, et est actualisé tous les trimestres. Il crée des échantillons en ayant recours à la méthodologie de composition aléatoire et vérifie les échantillons en les comparant à des répertoires téléphoniques publiés afin de séparer l'échantillon en éléments « figurant dans un annuaire » et « ne figurant pas dans un annuaire ». La souplesse du logiciel permet de créer des échantillons selon des villes ou régions en particulier. Il est possible de créer un échantillon en fonction de la représentativité d'une population ou de prévoir des paramètres de stratification, selon les besoins. Une fois qu'un échantillon est créé pour un sondage précis, les numéros sont importés dans notre système d'interview téléphonique assistée par ordinateur (ITAO), et des quotas sont établis pour des caractéristiques individuelles.

Nous avons effectué 505 entretiens téléphoniques, et 1538 répondants ont participé au sondage en ligne. Les résultats ont été pondérés en fonction de la région, du sexe et de l'âge pour s'assurer que l'échantillon est représentatif de la population canadienne âgée de 18 ans ou plus. La ventilation de l'échantillon et la marge d'erreur associée à la province ou au territoire, à l'âge, au sexe, au revenu, au niveau de scolarité et aux groupes minoritaires.

Marge d'erreur par province ou territoire
Province ou territoire Taille de l'échantillon Marge d'erreur (+/-, 19 fois sur 20)
Global 2 043 2,2 %
Colombie-Britannique 269 6,0 %
Alberta 231 6,5 %
Saskatchewan 56 13,1 %
Manitoba 85 10,6 %
Ontario 769 3,5 %
Québec 465 4,5 %
Nouveau-Brunswick 44 14,8 %
Nouvelle-Écosse 62 12,5 %
Île-du-Prince-Édouard 11 29,6 %
Terre-Neuve-et-Labrador 29 18,2 %
Territoires 16 24,5 %

Marge d'erreur par âge
Âge Taille de l'échantillon Marge d'erreur (+/-, 19 fois sur 20)
Global 2 043 2,2 %
Entre 18 et 34 ans 382 5,0 %
Entre 35 et 49 ans 517 4,3 %
Entre 50 et 64 ans 606 4,0 %
65 ans ou plus 504 4,4 %

Marge d'erreur par sexe
Sexe Taille de l'échantillon Marge d'erreur (+/-, 19 fois sur 20)
Global 2 043 2,2 %
Homme 1 010 3,1 %
Femme 996 3,1 %
Autre identité sexuelle 19 22,5 %

Marge d'erreur par revenu
Revenu Taille de l'échantillon Marge d'erreur (+/-, 19 fois sur 20)
Global 2 043 2,2 %
Moins de 20 000 $ 83 10,8 %
Entre 20 000 $ et 39 999 $ 199 7,0 %
Entre 40 000 $ et 59 999 $ 245 6,3 %
Entre 60 000 $ et 79 999 $ 252 6,2 %
Entre 80 000 $ et 99 999 $ 241 6,3 %
Entre 100 000 $ et 149 999 $ 357 5,2 %
150 000 $ ou plus 358 5,2 %

Marge d'erreur par niveau de scolarité
Niveau de scolarité Taille de l'échantillon Marge d'erreur (+/-, 19 fois sur 20)
Global 2 043 2,2 %
Études secondaires non terminées 45 14,6 %
Diplôme d'études secondaires ou l'équivalent 334 5,4 %
Apprentissage enregistré ou tout autre certificat ou diplôme d'une école de métiers 103 9,7 %
Certificat ou diplôme d'un collège, du CÉGEP ou de tout autre établissement non universitaire 414 4,8 %
Certificat ou diplôme universitaire inférieur au baccalauréat 154 7,9 %
Baccalauréat 564 4,1 %
Études supérieures 404 4,9 %

Marge d'erreur par groupe minoritaire
Groupe minoritaire Taille de l'échantillon Marge d'erreur (+/-, 19 fois sur 20)
Global 2 043 2,2 %
Personne handicapée 195 7,0 %
Membre d'une minorité visible 208 6,8 %
Autochtone 37 16,1 %
Membre de la communauté LGBTQ2 126 8,7 %
Aucune de ces réponses 1 506 2,5 %

Taux de réponse

Le taux de participation au sondage téléphonique est de 7,8 %. Le taux de réponse se calcule en divisant les personnes admissibles à l'intérieur du champ qui répondent à l'appel (711) par la totalité de l'échantillon (fonctionnel) (9 067). Veuillez consulter le tableau ci-dessous.

Taux de réponse
Description Résultat Total
Nombre total de tentatives d'appel 11 687
Numéros invalides 2 620
Bloqués 125
Affaires 178
Répétitions 7
Invalides 2 310
Non résolus (NR) 4 812
Pas de réponse 0
Rappels 4 812
À l'intérieur du champ – Pas de réponse (IC) 3 544
Refus du ménage 0
Refus du répondant 3 544
Répondant choisi non disponible 0
Répondant qualifié a raccroché 0
À l'intérieur du champ – Réponse (R) 711
Problème de langue 126
Quota atteint 72
Autre inadmissibilité 8
Entrevues achevées 505
Total (NR + IC + R) 9 067
Taux de Réponse (R divisé par le total) 7,8%

Le taux de réponse au sondage en ligne est de 13,7 %. Le taux de réponse en ligne est calculé comme suit : en tout, 11 282 invitations par courriel ont été envoyées; 52 nous sont revenues, pour un total de 11 230 courriels valides. En tout, 1 538 sondages ont été achevés. Ainsi, si l'on divise 1 538 par 11 230, on obtient un taux de réponse de 13,7 %.

2. Questions générales sur le commerce

2.1 Rappel des nouvelles traitant de commerce international

Les résultats donnent à penser que le commerce international est un sujet populaire dans les médias. Lorsqu'on leur demande s'ils se souviennent d'avoir entendu des nouvelles sur le commerce international, six répondants sur dix (61 %) répondent par l'affirmative, alors qu'un répondant sur trois (33 %) répond par la négative. Toutefois, le suivi révèle une baisse de 14 points de pourcentage dans ce domaine depuis 2020. Cela est sans doute dû à l'accent mis sur la pandémie de COVID-19 au cours de la dernière année, ainsi qu'à la diminution de la couverture de l'Accord Canada–États-Unis–Mexique (ACEUM), maintenant qu'il est en vigueur. Cependant, les résultats sont cohérents avec ceux de 2001.

Les Canadiens se souvenant d'avoir entendu parler du commerce international dans les nouvelles ont été invités à expliquer ce qu'ils avaient entendu. Les réponses varient grandement et ne se concentrent sur aucun thème en particulier. Une personne sur six (16 %) se rappelle explicitement des nouvelles sur les relations commerciales entre le Canada et les États-Unis, notamment les répercussions de l'élection présidentielle de 2020. Un répondant sur dix mentionne des questions relatives aux vaccins et à l'équipement de protection individuelle (ÉPI) (11 %) ou des enjeux touchant le pétrole et les oléoducs (11 %), alors qu'une moindre proportion fait allusion de façon générale à la Chine (10 %) ou aux États-Unis (8 %). Parmi les autres réponses fréquentes figurent le Brexit (7 %) et l'ACEUM (6 %).

Graphique 1 : Rappel de nouvelles liées au commerce

Graphique 1 : Rappel de nouvelles liées au commerce

Graphique 1 : Rappel de nouvelles liées au commerce - Version textuelle

Ce graphique, composé de 2 lignes, montre les résultats pour la période entre 2001 et 2021 (ligne bleue : non – ligne verte : oui), ainsi qu'une barre horizontale basée sur la même échelle : non et oui.

On a demandé aux répondants : Vous souvenez-vous d'une nouvelle qui traitait de questions liées au commerce international au cours des derniers mois?

Les répondants ont sélectionné :

Non : 2001 (35 pour cent); 2020 (20 pour cent); et 2021 (33 pour cent);

Oui : 2001 (64 pour cent); 2020 (75 pour cent); et 2021 (61 pour cent);

Barre horizontale : NSP/PDR (6 pour cent); non (33 pour cent); et oui (61 pour cent);

Base : Canadiens; 8-28 février 2021, n=2 043, marge d'erreur +/- 2,2 %, 19 fois sur 20

Graphique 2 : Sujet de la nouvelle faisant l'objet du rappel

Graphique 2 : Sujet de la nouvelle faisant l'objet du rappel

Graphique 2 : Sujet de la nouvelle faisant l'objet du rappel - Version textuelle

Ce graphique est composé de huit barres simples.

On a demandé aux répondants : [Si oui] Si oui, quel était le sujet du reportage? [Ouvert]"

Les répondants ont sélectionné :

Relations commerciales Canada-É.U. (16 pour cent);

Questions concernant les vaccins et ÉPI (11 pour cent);

Questions concernant le pétrole/pipelines (11 pour cent);

Chine (général) (10 pour cent);

États-Unis (général) (8 pour cent);

Brexit (7 pour cent);

ACEUM (6 pour cent);

Ne sais pas/pas de réponse (14 pour cent).

Note : Seules les réponses de 6 % et plus sont montrées

Base : Se souvient; 8-28 février 2021, n=1 256, marge d'erreur +/- 2,8 %, 19 fois sur 20

2.2 Importance des principaux objectifs du commerce international

Après avoir reçu une liste d'objectifs potentiels de l'approche que devrait adopter le Canada en matière de commerce international, les répondants devaient évaluer l'importance de chacun d'eux. Ces résultats sont essentiellement similaires à ceux de l'an dernier. Les enjeux économiques figurent en tête de liste, neuf répondants sur dix considérant la création d'emplois (93 %), le fait d'encourager l'innovation au Canada (92 %) et le soutien aux entreprises canadiennes (91 %) comme des priorités clés. Plus de huit répondants sur dix accordent également un haut degré d'importance à l'amélioration du niveau de vie des Canadiens (88 %), au respect des normes canadiennes en matière d'environnement et de santé (87 %), au soutien du secteur agricole du Canada (86 %), à la protection de la propriété intellectuelle canadienne (86 %), à la diversification des marchés d'exportation du Canada (82 %) et au fait de veiller à ce que le commerce profite à tout le monde (80 %).

Les Canadiens attachent comparativement moins d'importance à la réduction des coûts de la production nationale (69 %), à la promotion de l'égalité des sexes (66 %) et au fait d'offrir aux consommateurs le plus grand choix possible de produits et de services aux prix les plus bas (58 %). Seuls 47 % des répondants estiment que l'augmentation des investissements directs étrangers au Canada devrait être une priorité de premier plan, soit une baisse de huit points de pourcentage par rapport à 2020.

Graphique 3 : Importance d'objectifs commerciaux clés (i)

Graphique 3 : Importance d'objectifs commerciaux clés (i)

Graphique 3 : Importance d'objectifs commerciaux clés (i) - Version textuelle

Ce graphique, composé de sept barres horizontales, montre les résultats sur la base d'une échelle de 7 points ou 1-3 signifie pas important, 4 signifie moyennement important, et 5-7 signifie important, avec un point additionnel pour NSP/PDR.

On a demandé aux répondants : Selon vous, à quel point les objectifs suivants sont-ils importants lors de l'examen de l'approche qu'adopte le Canada en matière de commerce international?

Les répondants ont sélectionné :

Créer des emplois au Canada : NSP/PDR (4 pour cent); pas important (26 pour cent); moyennement important (23 pour cent); et important (47 pour cent);

Encourager l'innovation au Canada : NSP/PDR (1 pour cent); pas important (17 pour cent); moyennement important (24 pour cent); et important (58 pour cent);

Soutenir les sociétés canadiennes : NSP/PDR (1 pour cent); pas important (18 pour cent); moyennement important (15 pour cent); et important (66 pour cent);

Améliorer le niveau de vie des Canadiens : NSP/PDR (3 pour cent); pas important (11 pour cent); moyennement important (17 pour cent); et important (69 pour cent);

Assurer le respect des normes canadiennes liées à la santé et à l'environnement : NSP/PDR (2 pour cent); pas important (6 pour cent); moyennement important (13 pour cent); et important (80 pour cent);

Soutenir les agriculteurs et le secteur agricole : NSP/PDR (2 pour cent); pas important (6 pour cent); moyennement important (11 pour cent); et important (81 pour cent);

Protéger la propriété intellectuelle canadienne : NSP/PDR (2 pour cent); pas important (5 pour cent); moyennement important (8 pour cent); et important (86 pour cent).

Base : Canadiens; 8-28 février 2021, n=2 043, marge d'erreur +/- 2,2 %, 19 fois sur 20

Graphique 4 : Importance d'objectifs commerciaux clés (ii)

Graphique 4 : Importance d'objectifs commerciaux clés (ii)

Graphique 4 : Importance d'objectifs commerciaux clés (ii) - Version textuelle

Ce graphique, composé de six barres horizontales, montre les résultats sur la base d'une échelle de 7 points ou 1-3 signifie pas important, 4 signifie moyennement important, et 5-7 signifie important, avec un point additionnel pour NSP/PDR.

On a demandé aux répondants : Selon vous, à quel point les objectifs suivants sont-ils importants lors de l'examen de l'approche qu'adopte le Canada en matière de commerce international?

Les répondants ont sélectionné :

Diversifier les marchés d'exportation du Canada : NSP/PDR (1 pour cent); pas important (4 pour cent); moyennement important (9 pour cent); et important (86 pour cent).

Veiller à ce que le commerce profite à tout le monde : NSP/PDR (1 pour cent); pas important (5 pour cent); moyennement important (8 pour cent); et important (87 pour cent).

Réduire les coûts de la production nationale : NSP/PDR (1 pour cent); pas important (3 pour cent); moyennement important (8 pour cent); et important (88 pour cent).

Promouvoir l'égalité des sexes : NSP/PDR (1 pour cent); pas important (3 pour cent); moyennement important (6 pour cent); et important (91 pour cent).

Offrir aux consommateurs le plus grand choix de produits et de services aux prix les plus bas : NSP/PDR (1 pour cent); pas important (2 pour cent); moyennement important (5 pour cent); et important (92 pour cent).

Augmenter les investissements directs étrangers au Canada : NSP/PDR (1 pour cent); pas important (2 pour cent); moyennement important (5 pour cent); et important (93 pour cent).

Base : Canadiens; 8-28 février 2021, n=2 043, marge d'erreur +/- 2,2 %, 19 fois sur 20

Graphique 5 : Importance d'objectifs commerciaux clés : Créer des emplois au Canada

Graphique 5 : Importance d'objectifs commerciaux clés : Créer des emplois au Canada

Graphique 5 : Importance d'objectifs commerciaux clés : Créer des emplois au Canada - Version textuelle

Ce graphique, composé de deux barres horizontales, montre les résultats pour février 2021 et février 2020, sur la base d'une échelle de 7 points ou 1-3 signifie pas important, 4 signifie moyennement important, et 5-7 signifie important, avec un point additionnel pour NSP/PDR.

On a demandé aux répondants : Selon vous, à quel point les objectifs suivants sont-ils importants lors de l'examen de l'approche qu'adopte le Canada en matière de commerce international? Créer des emplois au Canada

Les répondants ont sélectionné :

Février 2021 : NSP/PDR (1 pour cent); pas important (2 pour cent); moyennement important (4 pour cent); et important (93 pour cent);

Base : Canadiens; 8-28 février 2021, n=2 043, marge d'erreur +/- 2,2 %, 19 fois sur 20

Février 2020 : NSP/PDR (1 pour cent); pas important (2 pour cent); moyennement important (4 pour cent); et important (93 pour cent);

Base : Canadiens; 6-19 février 2020, n=2 089, marge d'erreur +/- 2.1 %, 19 fois sur 20

Graphique 6 : Importance d'objectifs commerciaux clés : Encourager l'innovation au Canada

Graphique 6 : Importance d'objectifs commerciaux clés : Encourager l'innovation au Canada

Graphique 6 : Importance d'objectifs commerciaux clés : Encourager l'innovation au Canada - Version textuelle

Ce graphique, composé de deux barres horizontales, montre les résultats pour février 2021 et février 2020, sur la base d'une échelle de 7 points ou 1-3 signifie pas important, 4 signifie moyennement important, et 5-7 signifie important, avec un point additionnel pour NSP/PDR.

On a demandé aux répondants : Selon vous, à quel point les objectifs suivants sont-ils importants lors de l'examen de l'approche qu'adopte le Canada en matière de commerce international? Encourager l'innovation au Canada

Les répondants ont sélectionné :

Février 2021 : NSP/PDR (1 pour cent); pas important (2 pour cent); moyennement important (5 pour cent); et important (92 pour cent);

Base : Canadiens; 8-28 février 2021, n=2 043, marge d'erreur +/- 2,2 %, 19 fois sur 20

Février 2020 : NSP/PDR (1 pour cent); pas important (2 pour cent); moyennement important (6 pour cent); et important (90 pour cent);

Base : Canadiens; 6-19 février 2020, n=2 089, marge d'erreur +/- 2.1 %, 19 fois sur 20

Graphique 7 : Importance d'objectifs commerciaux clés : Soutenir les entreprises canadiennes

Graphique 7 : Importance d'objectifs commerciaux clés : Soutenir les entreprises canadiennes

Graphique 7 : Importance d'objectifs commerciaux clés : Soutenir les entreprises canadiennes - Version textuelle

Ce graphique, composé de deux barres horizontales, montre les résultats pour février 2021 et février 2020, sur la base d'une échelle de 7 points ou 1-3 signifie pas important, 4 signifie moyennement important, et 5-7 signifie important, avec un point additionnel pour NSP/PDR.

On a demandé aux répondants : Selon vous, à quel point les objectifs suivants sont-ils importants lors de l'examen de l'approche qu'adopte le Canada en matière de commerce international? Soutenir les entreprises canadiennes

Les répondants ont sélectionné :

Février 2021 : NSP/PDR (1 pour cent); pas important (3 pour cent); moyennement important (6 pour cent); et important (91 pour cent);

Base : Canadiens; 8-28 février 2021, n=2 043, marge d'erreur +/- 2,2 %, 19 fois sur 20

Février 2020 : NSP/PDR (1 pour cent); pas important (3 pour cent); moyennement important (6 pour cent); et important (90 pour cent);

Base : Canadiens; 6-19 février 2020, n=2 089, marge d'erreur +/- 2.1 %, 19 fois sur 20

Graphique 8 : Importance d'objectifs commerciaux clés : Assurer le respect des normes canadiennes liées à la santé et à l'environnement

Graphique 8 : Importance d'objectifs commerciaux clés : Assurer le respect des normes canadiennes liées à la santé et à l'environnement

Graphique 8 : Importance d'objectifs commerciaux clés : Assurer le respect des normes canadiennes liées à la santé et à l'environnement - Version textuelle

Ce graphique, composé de deux barres horizontales, montre les résultats pour février 2021 et février 2020, sur la base d'une échelle de 7 points ou 1-3 signifie pas important, 4 signifie moyennement important, et 5-7 signifie important, avec un point additionnel pour NSP/PDR.

On a demandé aux répondants : Selon vous, à quel point les objectifs suivants sont-ils importants lors de l'examen de l'approche qu'adopte le Canada en matière de commerce international? Assurer le respect des normes canadiennes liées à la santé et à l'environnement

Les répondants ont sélectionné :

Février 2021 : NSP/PDR (1 pour cent); pas important (5 pour cent); moyennement important (8 pour cent); et important (87 pour cent);

Base : Canadiens; 8-28 février 2021, n=2 043, marge d'erreur +/- 2,2 %, 19 fois sur 20

Février 2020 : NSP/PDR (1 pour cent); pas important (5 pour cent); moyennement important (7 pour cent); et important (88 pour cent);

Base : Canadiens; 6-19 février 2020, n=2 089, marge d'erreur +/- 2.1 %, 19 fois sur 20

Graphique 9 : Importance d'objectifs commerciaux clés : Soutenir les agriculteurs et le secteur agricole

Graphique 9 : Importance d'objectifs commerciaux clés : Soutenir les agriculteurs et le secteur agricole

Graphique 9 : Importance d'objectifs commerciaux clés : Soutenir les agriculteurs et le secteur agricole - Version textuelle

Ce graphique, composé de deux barres horizontales, montre les résultats pour février 2021 et février 2020, sur la base d'une échelle de 7 points ou 1-3 signifie pas important, 4 signifie moyennement important, et 5-7 signifie important, avec un point additionnel pour NSP/PDR.

On a demandé aux répondants : Selon vous, à quel point les objectifs suivants sont-ils importants lors de l'examen de l'approche qu'adopte le Canada en matière de commerce international? Soutenir les agriculteurs et le secteur agricole

Les répondants ont sélectionné :

Février 2021 : NSP/PDR (1 pour cent); pas important (4 pour cent); moyennement important (9 pour cent); et important (86 pour cent);

Base : Canadiens; 8-28 février 2021, n=2 043, marge d'erreur +/- 2,2 %, 19 fois sur 20

Février 2020 : NSP/PDR (1 pour cent); pas important (5 pour cent); moyennement important (9 pour cent); et important (85 pour cent);

Base : Canadiens; 6-19 février 2020, n=2 089, marge d'erreur +/- 2.1 %, 19 fois sur 20

Graphique 10 : Importance d'objectifs commerciaux clés : Protéger la propriété intellectuelle canadienne

Graphique 10 : Importance d'objectifs commerciaux clés : Protéger la propriété intellectuelle canadienne

Graphique 10 : Importance d'objectifs commerciaux clés : Protéger la propriété intellectuelle canadienne - Version textuelle

Ce graphique, composé de deux barres horizontales, montre les résultats pour février 2021 et février 2020, sur la base d'une échelle de 7 points ou 1-3 signifie pas important, 4 signifie moyennement important, et 5-7 signifie important, avec un point additionnel pour NSP/PDR.

On a demandé aux répondants : Selon vous, à quel point les objectifs suivants sont-ils importants lors de l'examen de l'approche qu'adopte le Canada en matière de commerce international? Protéger la propriété intellectuelle canadienne

Les répondants ont sélectionné :

Février 2021 : NSP/PDR (2 pour cent); pas important (5 pour cent); moyennement important (8 pour cent); et important (86 pour cent);

Base : Canadiens; 8-28 février 2021, n=2 043, marge d'erreur +/- 2,2 %, 19 fois sur 20

Février 2020 : NSP/PDR (1 pour cent); pas important (5 pour cent); moyennement important (12 pour cent); et important (82 pour cent);

Base : Canadiens; 6-19 février 2020, n=2 089, marge d'erreur +/- 2.1 %, 19 fois sur 20

Graphique 11 : Importance d'objectifs commerciaux clés : Diversifier les marchés d'exportation du Canada

Graphique 11 : Importance d'objectifs commerciaux clés : Diversifier les marchés d'exportation du Canada

Graphique 11 : Importance d'objectifs commerciaux clés : Diversifier les marchés d'exportation du Canada - Version textuelle

Ce graphique, composé de deux barres horizontales, montre les résultats pour février 2021 et février 2020, sur la base d'une échelle de 7 points ou 1-3 signifie pas important, 4 signifie moyennement important, et 5-7 signifie important, avec un point additionnel pour NSP/PDR.

On a demandé aux répondants : Selon vous, à quel point les objectifs suivants sont-ils importants lors de l'examen de l'approche qu'adopte le Canada en matière de commerce international? Diversifier les marchés d'exportation du Canada

Les répondants ont sélectionné :

Février 2021 : NSP/PDR (2 pour cent); pas important (6 pour cent); moyennement important (11 pour cent); et important (81 pour cent);

Base : Canadiens; 8-28 février 2021, n=2 043, marge d'erreur +/- 2,2 %, 19 fois sur 20

Février 2020 : NSP/PDR (2 pour cent); pas important (4 pour cent); moyennement important (12 pour cent); et important (82 pour cent);

Base : Canadiens; 6-19 février 2020, n=2 089, marge d'erreur +/- 2.1 %, 19 fois sur 20

Graphique 12 : Importance d'objectifs commerciaux clés : Veiller à ce que le commerce profite à tout le monde

Graphique 12 : Importance d'objectifs commerciaux clés : Veiller à ce que le commerce profite à tout le monde

Graphique 12 : Importance d'objectifs commerciaux clés : Veiller à ce que le commerce profite à tout le monde - Version textuelle

Ce graphique, composé de deux barres horizontales, montre les résultats pour février 2021 et février 2020, sur la base d'une échelle de 7 points ou 1-3 signifie pas important, 4 signifie moyennement important, et 5-7 signifie important, avec un point additionnel pour NSP/PDR.

On a demandé aux répondants : Selon vous, à quel point les objectifs suivants sont-ils importants lors de l'examen de l'approche qu'adopte le Canada en matière de commerce international? Veiller à ce que le commerce profite à tout le monde

Les répondants ont sélectionné :

Février 2021 : NSP/PDR (2 pour cent); pas important (6 pour cent); moyennement important (13 pour cent); et important (80 pour cent);

Base : Canadiens; 8-28 février 2021, n=2 043, marge d'erreur +/- 2,2 %, 19 fois sur 20

Février 2020 : NSP/PDR (1 pour cent); pas important (5 pour cent); moyennement important (12 pour cent); et important (82 pour cent);

Base : Canadiens; 6-19 février 2020, n=2 089, marge d'erreur +/- 2.1 %, 19 fois sur 20

Graphique 13 : Importance d'objectifs commerciaux clés : Promouvoir l'égalité des sexes

Graphique 13 : Importance d'objectifs commerciaux clés : Promouvoir l'égalité des sexes

Graphique 13 : Importance d'objectifs commerciaux clés : Promouvoir l'égalité des sexes - Version textuelle

Ce graphique, composé de deux barres horizontales, montre les résultats pour février 2021 et février 2020, sur la base d'une échelle de 7 points ou 1-3 signifie pas important, 4 signifie moyennement important, et 5-7 signifie important, avec un point additionnel pour NSP/PDR.

On a demandé aux répondants : Selon vous, à quel point les objectifs suivants sont-ils importants lors de l'examen de l'approche qu'adopte le Canada en matière de commerce international? Promouvoir l'égalité des sexes

Les répondants ont sélectionné :

Février 2021 : NSP/PDR (1 pour cent); pas important (18 pour cent); moyennement important (15 pour cent); et important (66 pour cent);

Base : Canadiens; 8-28 février 2021, n=2 043, marge d'erreur +/- 2,2 %, 19 fois sur 20

Février 2020 : NSP/PDR (1 pour cent); pas important (20 pour cent); moyennement important (14 pour cent); et important (64 pour cent);

Base : Canadiens; 6-19 février 2020, n=2 089, marge d'erreur +/- 2.1 %, 19 fois sur 20

Graphique 14 : Importance d'objectifs commerciaux clés : Offrir aux consommateurs le plus grand choix

Graphique 14 : Importance d'objectifs commerciaux clés : Offrir aux consommateurs le plus grand choix

Graphique 14 : Importance d'objectifs commerciaux clés : Offrir aux consommateurs le plus grand choix - Version textuelle

Ce graphique, composé de deux barres horizontales, montre les résultats pour février 2021 et février 2020, sur la base d'une échelle de 7 points ou 1-3 signifie pas important, 4 signifie moyennement important, et 5-7 signifie important, avec un point additionnel pour NSP/PDR.

On a demandé aux répondants : Selon vous, à quel point les objectifs suivants sont-ils importants lors de l'examen de l'approche qu'adopte le Canada en matière de commerce international? Offrir aux consommateurs le plus grand choix de produits et de services aux prix les plus bas

Les répondants ont sélectionné :

Février 2021 : NSP/PDR (1 pour cent); pas important (17 pour cent); moyennement important (24 pour cent); et important (58 pour cent);

Base : Canadiens; 8-28 février 2021, n=2 043, marge d'erreur +/- 2,2 %, 19 fois sur 20

Février 2020 : NSP/PDR (1 pour cent); pas important (17 pour cent); moyennement important (20 pour cent); et important (62 pour cent);

Base : Canadiens; 6-19 février 2020, n=2 089, marge d'erreur +/- 2.1 %, 19 fois sur 20

Graphique 15 : Importance d'objectifs commerciaux clés : Augmenter les investissements directs étrangers au Canada

Graphique 15 : Importance d'objectifs commerciaux clés : Augmenter les investissements directs étrangers au Canada

Graphique 15 : Importance d'objectifs commerciaux clés : Augmenter les investissements directs étrangers au Canada - Version textuelle

Ce graphique, composé de deux barres horizontales, montre les résultats pour février 2021 et février 2020, sur la base d'une échelle de 7 points ou 1-3 signifie pas important, 4 signifie moyennement important, et 5-7 signifie important, avec un point additionnel pour NSP/PDR.

On a demandé aux répondants : Selon vous, à quel point les objectifs suivants sont-ils importants lors de l'examen de l'approche qu'adopte le Canada en matière de commerce international? Augmenter les investissements directs étrangers au Canada

Les répondants ont sélectionné :

Février 2021 : NSP/PDR (4 pour cent); pas important (26 pour cent); moyennement important (23 pour cent); et important (47 pour cent);

Base : Canadiens; 8-28 février 2021, n=2 043, marge d'erreur +/- 2,2 %, 19 fois sur 20

Février 2020 : NSP/PDR (3 pour cent); pas important (19 pour cent); moyennement important (23 pour cent); et important (55 pour cent);

Base : Canadiens; 6-19 février 2020, n=2 089, marge d'erreur +/- 2.1 %, 19 fois sur 20

2.3 Marchés d'exportations les plus importants du Canada

Les résultats suggèrent que les Canadiens connaissent généralement bien les principaux partenaires commerciaux du Canada. Lorsqu'invités à identifier les cinq principaux marchés d'exportation du Canada, la grande majorité des répondants (87 %) indiquent que les États-Unis constituent le plus grand marché, alors que les deux tiers (67 %) considèrent la Chine comme un marché important. Environ quatre répondants sur dix citent le Royaume-Uni (43 %), le Mexique (40 %) et l'Europe (42 %) comme des marchés principaux pour les exportations canadiennes. Le cinquième des répondants (22 %) mentionne le Japon, tandis qu'environ une personne sur dix fait référence à l'Inde (14 %), à la France (13 %) ou à l'Allemagne (8 %).

Le suivi des résultats de 2020 révèle une légère diminution de la proportion de Canadiens qui considèrent la Chine comme un partenaire commercial clé (67 %, comparativement à 75 % en 2020). En revanche, la proportion qui accorde de l'importance au Royaume-Uni comme l'un des cinq marchés d'exportation les plus importants du Canada est passée de 32 % à 43 %.

Graphique 16 : Marchés d'exportations les plus importants pour le Canada

Graphique 16 : Marchés d'exportations les plus importants pour le Canada

Graphique 16 : Marchés d'exportations les plus importants pour le Canada - Version textuelle

Ce graphique est composé de onze barres simples avec une colonne sur le côté montrant les résultats pour 2020.

On a demandé aux répondants : Quels sont les cinq principaux marchés et pays pour les exportations canadiennes au cours des dernières années [Ouvert/maximum de 5 réponses acceptées]?

Les répondants ont sélectionné :

États-Unis (87 pour cent); 2020 (86 pour cent);

Chine (67 pour cent); 2020 (75 pour cent);

Royaume-Uni (43 pour cent); 2020 (32 pour cent);

Mexique (40 pour cent); 2020 (45 pour cent);

Europe/E.U. (général) (37 pour cent); 2020 (42 pour cent);

Japon (22 pour cent); 2020 (26 pour cent);

Inde (14 pour cent); 2020 (15 pour cent);

France (13 pour cent); 2020 (8 pour cent);

Allemagne (8 pour cent); 2020 (6 pour cent);

Asie (général) (5 pour cent); 2020 (5 pour cent);

Ne sais pas/pas de réponse (9 pour cent); 2020 (9 pour cent).

Note : Seules les réponses de 5 % et plus sont montrées

Base : Canadiens; 8-28 février 2021, n=2 043, marge d'erreur +/- 2,2 %, 19 fois sur 20

2.4 Principaux secteurs d'exportation du Canada

Les répondants devaient aussi nommer les deux plus grands secteurs d'exportation du Canada. Une importante proportion, soit 73 % des répondants, a choisi les ressources naturelles et l'énergie, tandis que quatre répondants sur dix (42 %) mentionnent les produits agricoles. Parmi les autres réponses fréquentes figurent l'industrie automobile (11 %) et le secteur de la fabrication (5 %). Le suivi des résultats de 2020 révèle une baisse de huit points de pourcentage en ce qui a trait à la proportion de Canadiens qui croient que l'agriculture est l'un des plus importants secteurs d'exportation du Canada.

Graphique 17 : Principaux secteurs d'exportations du Canada

Graphique 17 : Principaux secteurs d'exportations du Canada

Graphique 17 : Principaux secteurs d'exportations du Canada - Version textuelle

Ce graphique est composé de six barres simples avec une colonne sur le côté montrant les résultats pour 2020.

On a demandé aux répondants : Selon vous, quels secteurs représentent la plus grande part des exportations canadiennes? [Ouvert/maximum de deux réponses acceptées]?"

Les répondants ont sélectionné :

Ressources naturelles et énergie (73 pour cent); 2020 (70 pour cent);

Produits agricoles (42 pour cent); 2020 (50 pour cent);

Automobiles et pièces automobiles (11 pour cent); 2020 (9 pour cent);

Fabrication (8 pour cent); 2020 (7 pour cent);

Seulement nommés par pays/provinces (5 pour cent); 2020 (6 pour cent);

Ne sais pas/pas de réponse (11 pour cent); 2020 (10 pour cent).

Note : Seules les réponses de 5 % et plus sont montrées

Base : Canadiens; 8-28 février 2021, n=2 043, marge d'erreur +/- 2,2 %, 19 fois sur 20

2.5 Proportion relative des services par rapport aux produits

Les répondants devaient aussi indiquer si selon eux, les services représentent une part plus importante ou moins importante des exportations canadiennes par rapport à des produits comme les ressources naturelles et les produits manufacturés. La plupart des répondants (41 %) croient que les services représentent une part plus faible des exportations du Canada, alors que seul le quart d'entre eux (26 %) estime que les services représentent une part plus importante. Une personne sur cinq (21 %) croit que les produits et les services contribuent de façon égale aux exportations globales du Canada, alors qu'un répondant sur huit (13 %) n'est pas sûr.

Graphique 18 : Proportion des services par rapport aux produits

Graphique 18 : Proportion des services par rapport aux produits

Graphique 18 : Proportion des services par rapport aux produits - Version textuelle

Ce graphique, une tarte, est basé sur l'échelle : plus que les produits (5-7), à peu près pareil (4), et moins que les produits (1-3), avec un point additionnel pour NSP/PDR.

On a demandé aux répondants : En comparaison avec l'exportation de nos produits (comme des ressources naturelles et des produits manufacturés), dans quelle mesure croyez-vous que les services (comme les services financiers) contribuent aux exportations globales du Canada?

Les répondants ont sélectionné :

Plus que les produits (26 pour cent);

À peu près pareil (21 pour cent);

Moins que les produits (41 pour cent);

Ne sais pas/pas de réponse (13 pour cent).

Base : Canadiens; 8-28 février 2021, n=2 043, marge d'erreur +/- 2,2 %, 19 fois sur 20

2.6 Importance d'assurer la compétitivité mondiale dans des secteurs clés

Les répondants devaient évaluer, à partir d'une liste d'industries, la mesure dans laquelle ils croient que les politiques futures en matière de commerce et d'investissement devraient assurer la compétitivité du Canada dans divers domaines. Huit Canadiens sur dix (80 %) estiment qu'il faut assurer la compétitivité mondiale du Canada dans l'industrie des technologies de la santé, alors qu'une proportion légèrement inférieure (76 %) est d'avis que les technologies vertes devraient être une préoccupation majeure. L'intelligence artificielle se classe plus bas, six répondants sur dix (63 %) indiquant que les politiques commerciales devraient assurer la compétitivité mondiale du Canada dans ce domaine.

Graphique 19 : Importance d'assurer la compétitivité

Graphique 19 : Importance d'assurer la compétitivité

Graphique 19 : Importance d'assurer la compétitivité - Version textuelle

Ce graphique, composé de trois barres horizontales, est sur la base d'une échelle de 7 points ou 1-3 signifie peu, 4 signifie moyennement, et 5-7 signifie énormément, avec un point additionnel pour NSP/PDR.

On a demandé aux répondants : À quel point croyez-vous que nos politiques de commerce international et d'investissement devraient assurer la compétitivité mondiale du Canada dans chacun des domaines suivants?

Les répondants ont sélectionné :

Technologies de la santé : NSP/PDR (2 pour cent); peu (5 pour cent); moyennement (13 pour cent); et énormément (80 pour cent);

Technologies vertes/propres : NSP/PDR (2 pour cent); peu (9 pour cent); moyennement (13 pour cent); et énormément (76 pour cent);

Intelligence artificielle : NSP/PDR (4 pour cent); peu (12 pour cent); moyennement (21 pour cent); et énormément (63 pour cent).

Base : Canadiens; 8-28 février 2021, n=2 043, marge d'erreur +/- 2,2 %, 19 fois sur 20

2.7 Le commerce comme moyen de se préparer aux pandémies

Les résultats révèlent que les Canadiens croient en général que la préparation à de futures pandémies devrait être un facteur clé lors de l'élaboration de politiques internationales en matière de commerce et d'investissement. Environ huit répondants sur dix (83 %) considèrent comme très important que les politiques commerciales assurent la préparation à de futures pandémies, tandis qu'une personne sur dix (9 %) estime que cela est moyennement important. Seuls 6 % des répondants estiment que les questions liées aux pandémies devraient, pour la plupart, ne pas être prises en compte dans les politiques de commerce international et d'investissement.

Graphique 20 : Commerce pour la préparation à des pandémies

Graphique 20 : Commerce pour la préparation à des pandémies

Graphique 20 : Commerce pour la préparation à des pandémies - Version textuelle

Ce graphique, une tarte, est basé sur l'échelle : énormément (5-7), moyennement (4), et peu (1-3), avec un point additionnel pour NSP/PDR.

On a demandé aux répondants : À quel point croyez-vous que nos politiques de commerce international et d'investissement devraient assurer la préparation du Canada à de futures pandémies et à d'autres défis mondiaux?

Les répondants ont sélectionné :

Énormément (83 pour cent);

Moyennement (9 pour cent);

Peu (6 pour cent);

Ne sais pas/pas de réponse (2 pour cent).

Base : Canadiens; 8-28 février 2021, n=2 043, marge d'erreur +/- 2,2 %, 19 fois sur 20

3. Avantages du commerce international

3.1 Importance du commerce international

Les résultats donnent à penser que les Canadiens estiment que le commerce international a gagné en importance au cours des dix dernières années. Huit répondants sur dix (81 %) affirment que le commerce est de plus en plus important, alors que seuls 4 % croient qu'il perd en importance. Dix pour cent disent que le commerce n'est ni plus important ni moins important qu'il y a dix ans. Ces résultats sont essentiellement stables depuis 20 ans.

Les répondants qui croient que le commerce est devenu plus important au cours des dix dernières années ont été invités à expliquer leur réponse. Ils mentionnent diverses raisons, notamment une mondialisation accrue (12 %), une interdépendance croissante entre les pays (10 %), les avantages économiques du commerce (7 %) et le besoin de marchés plus diversifiés (6 %). Ces résultats sont généralement les mêmes qu'en 2020.

Graphique 21 : Importance du commerce international

Graphique 21 : Importance du commerce international

Graphique 21 : Importance du commerce international - Version textuelle

Graphique 21 : Importance du commerce international

Ce graphique, composé de 3 lignes, montre les résultats pour la période entre 1999 et 2021 (ligne bleue : moins important (1-3) – ligne grise : ni l'un ni l'autre (4), et ligne verte : plus important (5-7)), ainsi qu'une barre horizontale basée sur la même échelle : moins important, ni l'un ni l'autre, et plus important.

On a demandé aux répondants : Diriez-vous qu'au cours des 10 dernières années, le commerce international est devenu moins important ou plus important en ce qui concerne sa contribution à l'économie canadienne?

Les répondants ont sélectionné :

Moins important : 1999 (7 pour cent); 2000 (8 pour cent), 2001 (4 pour cent); 2002 (5 pour cent); 2003 (7 pour cent); 2004 (7 pour cent); 2020 (3 pour cent); et 2021 (4 pour cent);

Ni l'un ni l'autre : 1999 (9 pour cent); 2000 (12 pour cent), 2001 (8 pour cent); 2002 (10 pour cent); 2003 (11 pour cent); 2004 (11 pour cent); 2020 (10 pour cent); et 2021 (10 pour cent);

Plus important : 1999 (82 pour cent); 2000 (77 pour cent), 2001 (85 pour cent); 2002 (82 pour cent); 2003 (80 pour cent); 2004 (81 pour cent); 2020 (83 pour cent); et 2021 (81 pour cent).

Barre horizontale : NSP/PDR (5 pour cent); moins important (4 pour cent); ni l'un ni l'autre (10 pour cent); et plus important (81 pour cent).

Base : Canadiens; 8-28 février 2021, n=2 043, marge d'erreur +/- 2,2 %, 19 fois sur 20

Graphique 22 : Raisons de l'importance croissante du commerce

Graphique 22 : Raisons de l'importance croissante du commerce

Graphique 22 : Raisons de l'importance croissante du commerce - Version textuelle

Ce graphique est composé de cinq barres simples avec une colonne sur le côté montrant les résultats pour 2020.

On a demandé aux répondants : [Si plus important] Pourquoi croyez-vous cela? [Ouvert]

Les répondants ont sélectionné :

Montée du mondialisme (12 pour cent); 2020 (13 pour cent);

Interdépendance accrue des pays (10 pour cent); 2020 (11 pour cent);

Dépendance de l'économie aux exportations (7 pour cent); 2020 (7 pour cent);

Besoin de marchés plus diversifiés (6 pour cent); 2020 (7 pour cent);

Ne sais pas/pas de réponse (26 pour cent); 2020 (18 pour cent).

Note : Seules les réponses de 6 % et plus sont montrées

Base : Canadiens; 8-28 février 2021, n=2 043, marge d'erreur +/- 2,2 %, 19 fois sur 20

3.2 Répercussions du commerce international

Les résultats donnent à penser que les Canadiens estiment que le commerce profite aux grandes sociétés et qu'il offre moins d'avantages aux groupes plus marginalisés du Canada. Lorsqu'on leur demande d'évaluer la mesure dans laquelle divers groupes profitent du commerce international, neuf Canadiens sur dix (88 %) affirment que les grandes sociétés profitent dans une grande mesure du commerce international. Seule la moitié des répondants estime que les petites et moyennes entreprises (PME) et les entreprises de leur collectivité en profitent dans la même mesure (50 % et 48 %, respectivement). Un peu plus de quatre répondants sur dix (44 %) ont personnellement l'impression de profiter du commerce international, alors qu'une proportion semblable (42 %) considère les immigrants comme des bénéficiaires. Seul le tiers des répondants croit que les femmes ou les jeunes profitent du commerce international (36 % pour chaque catégorie) et peu estiment que c'est le cas pour les groupes racisés (26 %), pour les Autochtones (23 %) ou pour les membres de la communauté LGBTQ2 (21 %).

Ces résultats demeurés essentiellement stables au cours de la dernière année, bien qu'il y ait une augmentation de six points de pourcentage dans la proportion de Canadiens qui croient profiter personnellement du commerce international.

Graphique 23 : Répercussions du commerce international

Graphique 23 : Répercussions du commerce international

Graphique 23 : Répercussions du commerce international - Version textuelle

Ce graphique, composé de dix barres horizontales, montre les résultats sur la base d'une échelle de 7 points ou 1-3 signifie peu, 4 signifie moyennement, et 5-7 signifie énormément, avec un point additionnel pour NSP/PDR.

On a demandé aux répondants : D'après vous, à quel point le commerce international est-il avantageux pour chacun des aspects suivants au sein du Canada?

Les répondants ont sélectionné :

Les grandes sociétés : NSP/PDR (3 pour cent); peu (3 pour cent); moyennement (6 pour cent); et énormément (88 pour cent);

Les petites et moyennes entreprises : NSP/PDR (5 pour cent); peu (21 pour cent); moyennement (24 pour cent); et énormément (50 pour cent);

Les entreprises de votre collectivité : NSP/PDR (5 pour cent); peu (23 pour cent); moyennement (24 pour cent); et énormément (48 pour cent);

Vous et votre famille : NSP/PDR (5 pour cent); peu (25 pour cent); moyennement (27 pour cent); et énormément (44 pour cent);

Les immigrants : NSP/PDR (9 pour cent); peu (25 pour cent); moyennement (24 pour cent); et énormément (42 pour cent);

Les femmes : NSP/PDR (11 pour cent); peu (27 pour cent); moyennement (26 pour cent); et énormément (36 pour cent);

Les jeunes : NSP/PDR (9 pour cent); peu (32 pour cent); moyennement (23 pour cent); et énormément (36 pour cent);

Les groupes racialisés : NSP/PDR (16 pour cent); peu (38 pour cent); moyennement (21 pour cent); et énormément (26 pour cent);

Les Autochtones : NSP/PDR (12 pour cent); peu (49 pour cent); moyennement (17 pour cent); et énormément (23 pour cent);

La communauté LGBTQ : NSP/PDR (19 pour cent); peu (38 pour cent); moyennement (22 pour cent); et énormément (21 pour cent);

Base : Canadiens; 8-28 février 2021, n=2 043, marge d'erreur +/- 2,2 %, 19 fois sur 20

Graphique 24 : Répercussions du commerce international : Les grandes sociétés

Graphique 24 : Répercussions du commerce international : Les grandes sociétés

Graphique 24 : Répercussions du commerce international : Les grandes sociétés - Version textuelle

Ce graphique, composé de 3 lignes, montre les résultats pour la période entre 1999 et 2021 (ligne bleue : peu (1-3), ligne grise : moyennement (4), et ligne verte : énormément (5-7)), ainsi qu'une barre horizontale basée sur la même échelle : peu, moyennement, et énormément.

On a demandé aux répondants : D'après vous, à quel point le commerce international est-il avantageux pour chacun des aspects suivants au sein du Canada? Les grandes sociétés

Les répondants ont sélectionné :

Peu : 1999 (4 pour cent); 2000 (4 pour cent), 2001 (4 pour cent); 2002 (4 pour cent); 2003 (3 pour cent); 2004 (5 pour cent); 2020 (2 pour cent); et 2021 (3 pour cent);

Moyennement : 1999 (12 pour cent); 2000 (10 pour cent), 2001 (8 pour cent); 2002 (11 pour cent); 2003 (10 pour cent); 2004 (9 pour cent); 2020 (5 pour cent); et 2021 (6 pour cent);

Énormément : 1999 (81 pour cent); 2000 (83 pour cent), 2001 (86 pour cent); 2002 (83 pour cent); 2003 (85 pour cent); 2004 (85 pour cent); 2020 (91 pour cent); et 2021 (88 pour cent).

Barre horizontale : NSP/PDR (3 pour cent); peu (3 pour cent); moyennement (6 pour cent); et énormément (88 pour cent).

Base : Canadiens; 8-28 février 2021, n=2 043, marge d'erreur +/- 2,2 %, 19 fois sur 20

Graphique 25 : Répercussions du commerce international : Les PME

Graphique 25 : Répercussions du commerce international : Les PME

Graphique 25 : Répercussions du commerce international : Les PME - Version textuelle

Ce graphique, composé de 3 lignes, montre les résultats pour la période entre 1999 et 2021 (ligne bleue : peu (1-3), ligne grise : moyennement (4), et ligne verte : énormément (5-7)), ainsi qu'une barre horizontale basée sur la même échelle : peu, moyennement, et énormément.

On a demandé aux répondants : D'après vous, à quel point le commerce international est-il avantageux pour chacun des aspects suivants au sein du Canada? Les petites et moyennes entreprises (PMEs)

Les répondants ont sélectionné :

Peu : 1999 (28 pour cent); 2000 (29 pour cent), 2001 (21 pour cent); 2002 (22 pour cent); 2003 (25 pour cent); 2004 (24 pour cent); 2020 (23 pour cent); et 2021 (21 pour cent);

Moyennement : 1999 (29 pour cent); 2000 (31 pour cent), 2001 (27 pour cent); 2002 (32 pour cent); 2003 (31 pour cent); 2004 (29 pour cent); 2020 (26 pour cent); et 2021 (24 pour cent);

Énormément : 1999 (41 pour cent); 2000 (37 pour cent), 2001 (49 pour cent); 2002 (44 pour cent); 2003 (41 pour cent); 2004 (46 pour cent); 2020 (47 pour cent); et 2021 (50 pour cent).

Barre horizontale : NSP/PDR (5 pour cent); peu (21 pour cent); moyennement (24 pour cent); et énormément (50 pour cent).

Base : Canadiens; 8-28 février 2021, n=2 043, marge d'erreur +/- 2,2 %, 19 fois sur 20

Graphique 26 : Répercussions du commerce international : Les entreprises locales

Graphique 26 : Répercussions du commerce international : Les entreprises locales

Graphique 26 : Répercussions du commerce international : Les entreprises locales - Version textuelle

Ce graphique, composé de 3 lignes, montre les résultats pour la période entre 1999 et 2021 (ligne bleue : peu (1-3), ligne grise : moyennement (4), et ligne verte : énormément (5-7)), ainsi qu'une barre horizontale basée sur la même échelle : peu, moyennement, et énormément.

On a demandé aux répondants : D'après vous, à quel point le commerce international est-il avantageux pour chacun des aspects suivants au sein du Canada? Les entreprises de votre collectivité

Les répondants ont sélectionné :

Peu : 1999 (30 pour cent); 2000 (27 pour cent), 2001 (20 pour cent); 2002 (22 pour cent); 2003 (26 pour cent); 2004 (25 pour cent); 2020 (25 pour cent); et 2021 (23 pour cent);

Moyennement : 1999 (27 pour cent); 2000 (27 pour cent), 2001 (25 pour cent); 2002 (27 pour cent); 2003 (29 pour cent); 2004 (23 pour cent); 2020 (24 pour cent); et 2021 (24 pour cent);

Énormément : 1999 (41 pour cent); 2000 (42 pour cent), 2001 (51 pour cent); 2002 (47 pour cent); 2003 (43 pour cent); 2004 (49 pour cent); 2020 (46 pour cent); et 2021 (48 pour cent).

Barre horizontale : NSP/PDR (5 pour cent); peu (23 pour cent); moyennement (24 pour cent); et énormément (48 pour cent).

Base : Canadiens; 8-28 février 2021, n=2 043, marge d'erreur +/- 2,2 %, 19 fois sur 20

Graphique 27 : Répercussions du commerce international : Particuliers canadiens

Graphique 27 : Répercussions du commerce international : Particuliers canadiens

Graphique 27 : Répercussions du commerce international : Particuliers canadiens - Version textuelle

Ce graphique, composé de 3 lignes, montre les résultats pour la période entre 1999 et 2021 (ligne bleue : peu (1-3), ligne grise : moyennement (4), et ligne verte : énormément (5-7)), ainsi qu'une barre horizontale basée sur la même échelle : peu, moyennement, et énormément.

On a demandé aux répondants : D'après vous, à quel point le commerce international est-il avantageux pour chacun des aspects suivants au sein du Canada? Vous et votre famille

Les répondants ont sélectionné :

Peu : 1999 (32 pour cent); 2000 (34 pour cent), 2001 (26 pour cent); 2002 (31 pour cent); 2003 (32 pour cent); 2004 (32 pour cent); 2020 (31 pour cent); et 2021 (25 pour cent);

Moyennement : 1999 (31 pour cent); 2000 (29 pour cent), 2001 (30 pour cent); 2002 (31 pour cent); 2003 (31 pour cent); 2004 (26 pour cent); 2020 (27 pour cent); et 2021 (27 pour cent);

Énormément : 1999 (35 pour cent); 2000 (35 pour cent), 2001 (42 pour cent); 2002 (35 pour cent); 2003 (35 pour cent); 2004 (40 pour cent); 2020 (38 pour cent); et 2021 (44 pour cent).

Barre horizontale : NSP/PDR (5 pour cent); peu (25 pour cent); moyennement (27 pour cent); et énormément (44 pour cent).

Base : Canadiens; 8-28 février 2021, n=2 043, marge d'erreur +/- 2,2 %, 19 fois sur 20

Graphique 28 : Répercussions du commerce international : Les femmes

Graphique 28 : Répercussions du commerce international : Les femmes

Graphique 28 : Répercussions du commerce international : Les femmes - Version textuelle

Ce graphique, composé de 3 lignes, montre les résultats pour la période entre février 2020 et février 2021 (ligne bleue : peu (1-3), ligne grise : moyennement (4), et ligne verte : énormément (5-7)), ainsi qu'une barre horizontale basée sur la même échelle : peu, moyennement, et énormément.

On a demandé aux répondants : D'après vous, à quel point le commerce international est-il avantageux pour chacun des aspects suivants au sein du Canada? Les femmes

Les répondants ont sélectionné :

Peu : février 2020 (31 pour cent); et février 2021 (27 pour cent);

Moyennement : février 2020 (28 pour cent); et février 2021 (26 pour cent);

Énormément : février 2020 (32 pour cent); et février 2021 (36 pour cent).

Barre horizontale : NSP/PDR (11 pour cent); peu (27 pour cent); moyennement (26 pour cent); et énormément (36 pour cent).

Base : Canadiens; 8-28 février 2021, n=2 043, marge d'erreur +/- 2,2 %, 19 fois sur 20

Graphique 29 : Répercussions du commerce international : Les jeunes

Graphique 29 : Répercussions du commerce international : Les jeunes

Graphique 29 : Répercussions du commerce international : Les jeunes - Version textuelle

Ce graphique, composé de 3 lignes, montre les résultats pour la période entre février 2020 et février 2021 (ligne bleue : peu (1-3), ligne grise : moyennement (4), et ligne verte : énormément (5-7)), ainsi qu'une barre horizontale basée sur la même échelle :p eu, moyennement, et énormément.

On a demandé aux répondants : D'après vous, à quel point le commerce international est-il avantageux pour chacun des aspects suivants au sein du Canada? Les jeunes

Les répondants ont sélectionné :

Peu : février 2020 (38 pour cent); et février 2021 (32 pour cent);

Moyennement : février 2020 (24 pour cent); et février 2021 (23 pour cent);

Énormément : février 2020 (32 pour cent); et février 2021 (36 pour cent).

Barre horizontale : NSP/PDR (9 pour cent); peu (32 pour cent); moyennement (23 pour cent); et énormément (36 pour cent).

Base : Canadiens; 8-28 février 2021, n=2 043, marge d'erreur +/- 2,2 %, 19 fois sur 20

Graphique 30 : Répercussions du commerce international : Les Autochtones

Graphique 30 : Répercussions du commerce international : Les Autochtones

Graphique 30 : Répercussions du commerce international : Les Autochtones - Version textuelle

Ce graphique, composé de 3 lignes, montre les résultats pour la période entre février 2020 et février 2021 (ligne bleue : peu (1-3), ligne grise : moyennement (4), et ligne verte : énormément (5-7)), ainsi qu'une barre horizontale basée sur la même échelle : peu, moyennement, et énormément.

On a demandé aux répondants : D'après vous, à quel point le commerce international est-il avantageux pour chacun des aspects suivants au sein du Canada? Les Autochtones

Les répondants ont sélectionné :

Peu : février 2020 (55 pour cent); et février 2021 (49 pour cent);

Moyennement : février 2020 (18 pour cent); et février 2021 (17 pour cent);

Énormément : février 2020 (18 pour cent); et février 2021 (23 pour cent).

Barre horizontale : NSP/PDR (12 pour cent); peu (49 pour cent); moyennement (17 pour cent); et énormément (23 pour cent).

Base : Canadiens; 8-28 février 2021, n=2 043, marge d'erreur +/- 2,2 %, 19 fois sur 20

Graphique 31 : Répercussions du commerce international : La communauté LGBTQ

Graphique 31 : Répercussions du commerce international : La communauté LGBTQ

Graphique 31 : Répercussions du commerce international : La communauté LGBTQ - Version textuelle

Ce graphique, composé de 3 lignes, montre les résultats pour la période entre février 2020 et février 2021 (ligne bleue : peu (1-3), ligne grise : moyennement (4), et ligne verte : énormément (5-7)), ainsi qu'une barre horizontale basée sur la même échelle : peu, moyennement, et énormément.

On a demandé aux répondants : D'après vous, à quel point le commerce international est-il avantageux pour chacun des aspects suivants au sein du Canada? La communauté LGBTQ2

Les répondants ont sélectionné :

Peu : février 2020 (46 pour cent); et février 2021 (38 pour cent);

Moyennement : février 2020 (19 pour cent); et février 2021 (22 pour cent);

Énormément : février 2020 (18 pour cent); et février 2021 (21 pour cent).

Barre horizontale : NSP/PDR (19 pour cent); peu (38 pour cent); moyennement (22 pour cent); et énormément (21 pour cent).

Base : Canadiens; 8-28 février 2021, n=2 043, marge d'erreur +/- 2,2 %, 19 fois sur 20

3.3 Répercussions sur les investissements internationaux

Les répondants étaient invités à mentionner les avantages perçus des investissements canadiens dans d'autres pays, ainsi que les répercussions des investissements étrangers au Canada. La moitié d'entre eux (52 %) affirment que les Canadiens profitent considérablement des investissements à l'étranger, tandis que 22 % déclarent que le pays en profite moyennement. Un répondant sur cinq (20 %) croit que les Canadiens profitent peu des investissements d'entreprises canadiennes à l'étranger ou n'en profitent pas du tout.

Les investissements étrangers au Canada suscitent des réactions encore plus favorables. Sept répondants sur dix (72 %) estiment que le pays profite grandement de ces investissements, alors que seulement un sur dix déclare que les investissements étrangers ont peu de répercussions ou n'en ont pas du tout.

Ces résultats demeurent en grande partie inchangés depuis 2020.

Graphique 32 : Répercussions des investissements internationaux

Graphique 32 : Répercussions des investissements internationaux

Graphique 32 : Répercussions des investissements internationaux - Version textuelle

Ce graphique, composé de quatre barres horizontales, montre les résultats de 2021 et 2020 pour deux énoncés différents, sur la base d'une échelle de 7 points ou 1-3 signifie peu, 4 signifie moyennement, et 5-7 signifie énormément, avec un point additionnel pour NSP/PDR.

On a pose deux questions aux répondants : À quel point croyez-vous que les entreprises canadiennes qui investissent dans d'autres pays profitent au Canada? Et En utilisant la même échelle, dans quelle mesure croyez-vous que les entreprises internationales qui investissent au Canada profitent à l'économie canadienne?

Les répondants ont sélectionné :

Investissements canadiens à l'étranger : 2021 : NSP/PDR (6 pour cent); peu (20 pour cent); moyennement (22 pour cent); et énormément (52 pour cent);

2020 : NSP/PDR (5 pour cent); peu (19 pour cent); moyennement (23 pour cent); et énormément (52 pour cent);

Investissements étrangers au Canada : 2021 : NSP/PDR (3 pour cent); peu (10 pour cent); moyennement (15 pour cent); et énormément (72 pour cent);

2020 : NSP/PDR (3 pour cent); peu (10 pour cent); moyennement (16 pour cent); et énormément (72 pour cent);

Base : Canadiens; 8-28 février 2021, n=2 043, marge d'erreur +/- 2,2 %, 19 fois sur 20

4. Marque du Canada

4.1 Réputation des produits canadiens

Les répondants étaient invités à mentionner les qualités pour lesquelles, selon eux, les produits canadiens sont le plus connus à l'échelle internationale. Les deux tiers d'entre eux (65 %) affirment qu'ils sont surtout connus pour leur qualité supérieure. Un peu plus de la moitié (55 %) affirme que les produits canadiens sont reconnus pour le traitement équitable des travailleurs au Canada, tandis qu'un peu plus de quatre répondants sur dix (45 %) déclarent que le respect des normes environnementales du pays est à la base de la réputation du Canada. Seul un répondant sur huit (13 %) croit que les produits canadiens sont reconnus pour leurs bas prix. Neuf pour cent ne donnent pas de réponse. Ces résultats demeurent en grande partie inchangés depuis 2020.

Graphique 33 : Réputation des produits canadiens

Graphique 33 : Réputation des produits canadiens

Graphique 33 : Réputation des produits canadiens - Version textuelle

Ce graphique, composé de cinq barres simples, montre les résultats pour 2021 et la colonne de droite ceux de 2020.

On a demandé aux répondants : Selon vous, pour quelle raison les produits canadiens sont-ils les plus connus à l'échelle internationale? [Plusieurs réponses acceptées]

Les répondants ont sélectionné :

Haute qualité (65 pour cent); 2020 (68 pour cent);

Traitement équitable des travailleurs pendant la production (55 pour cent); 2020 (55 pour cent);

Respect de normes environnementales (45 pour cent); 2020 (44 pour cent);

Bas prix (13 pour cent); 2020 (13 pour cent);

Ne sais pas/pas de réponse (10 pour cent); 2020 (9 pour cent).

Note : Seules les réponses de 5 % et plus sont montrées

Base : Canadiens; 8-28 février 2021, n=2 043, marge d'erreur +/- 2,2 %, 19 fois sur 20

4.2 Points de vue sur le protectionnisme

Après avoir reçu une brève description du protectionnisme, les répondants devaient indiquer s'ils considèrent la croissance du protectionnisme comme une bonne chose ou une mauvaise chose pour le Canada. Les résultats révèlent que la plupart des Canadiens (59 %) sont d'avis que le protectionnisme est une mauvaise chose. Seul un répondant sur cinq (18 %) estime que le protectionnisme est une bonne chose, et une proportion similaire (17 %) croit que ce n'est ni une bonne chose ni une mauvaise chose. Ces résultats sont semblables à ceux obtenus en 2020.

Graphique 34: Points de vue sur le protectionnisme

Graphique 34: Points de vue sur le protectionnisme

Graphique 34: Points de vue sur le protectionnisme - Version textuelle

Ce graphique, composé de deux barres horizontales, montre les résultats pour février 2021 et février 2020, sur la base de l'échelle : mauvaise chose, ni l'un ni l'autre, et bonne chose, avec un point additionnel pour NSP/PDR.

On a demandé aux répondants : Beaucoup de gens parlent de l'augmentation du protectionnisme aux États-Unis et en Europe, ce qui entraîne notamment une opposition grandissante à l'égard du commerce et de la mondialisation. En général, croyez-vous que la hausse du protectionnisme est une bonne chose ou une mauvaise chose pour le Canada?

Les répondants ont sélectionné :

Février 2021 : NSP/PDR (6 pour cent); mauvaise chose (59 pour cent); ni l'un ni l'autre (18 pour cent); et bonne chose (17 pour cent);

Base : Canadiens; 8-28 février 2021, n=2 043, marge d'erreur +/- 2,2 %, 19 fois sur 20

Février 2020 : NSP/PDR (8 pour cent); mauvaise chose (62 pour cent); ni l'un ni l'autre (16 pour cent); et bonne chose (14 pour cent);

Base : Canadiens; 6-19 février 2020, n=2 089, marge d'erreur +/- 2.1 %, 19 fois sur 20

5. Débouchés commerciaux durables et inclusifs

5.1 Impact du commerce sur les normes environnementales

Les résultats donnent à penser que les Canadiens s'inquiètent moyennement de l'impact du commerce sur les normes environnementales internationales. Lorsqu'on leur demande s'ils sont d'accord ou non avec le fait qu'un commerce international accru est susceptible d'amener les pays à baisser leurs normes environnementales pour être plus concurrentiels, les répondants conviennent dans une proportion de six sur dix (57 %) que c'est le cas, alors que le quart (23 %) est en désaccord. Le suivi révèle une augmentation de six points de pourcentage chez les répondants qui sont d'accord avec cet énoncé depuis 2020.

Graphique 35 : Répercussions du commerce sur les normes environnementales

Graphique 35 : Répercussions du commerce sur les normes environnementales

Graphique 35 : Répercussions du commerce sur les normes environnementales - Version textuelle

Ce graphique, composé de 3 lignes, montre les résultats pour la période entre 1999 et 2021 (ligne bleue : en désaccord (1-3), ligne grise : ni l'un ni l'autre (4), et ligne verte : d'accord (5-7)), ainsi qu'une barre horizontale basée sur la même échelle : en désaccord, ni l'un ni l'autre, et d'accord.

On a demandé aux répondants : Veuillez indiquer la mesure dans laquelle vous êtes d'accord ou en désaccord avec l'énoncé suivant : Je crains que l'augmentation du commerce international entraîne les pays à baisser leurs normes environnementales pour être plus concurrentiels

Les répondants ont sélectionné :

En désaccord : 1999 (18 pour cent); 2000 (21 pour cent), 2001 (18 pour cent); 2020 (25 pour cent); et 2021 (23 pour cent);

Ni l'un ni l'autre : 1999 (18 pour cent); 2000 (17 pour cent), 2001 (21 pour cent); 2020 (20 pour cent); et 2021 (17 pour cent);

D'accord : 1999 (62 pour cent); 2000 (59 pour cent), 2001 (58 pour cent); 2020 (51 pour cent); et 2021 (57 pour cent).

Barre horizontale : NSP/PDR (4 pour cent); en désaccord (23 pour cent); ni l'un ni l'autre (17 pour cent); et d'accord (57 pour cent).

Base : Canadiens; 8-28 février 2021, n=2 043, marge d'erreur +/- 2,2 %, 19 fois sur 20

5.2 Commerce international et enjeux sociaux

Les résultats donnent à penser que le commerce international est largement considéré comme une occasion pour le Canada de promouvoir un certain nombre d'objectifs sociaux. Environ six répondants sur dix voient le commerce comme une bonne façon de promouvoir la responsabilité environnementale (63 %), le respect des droits des travailleurs (62 %) et le respect des droits de la personne (60 %). Une proportion légèrement moins élevée d'entre eux (57 %) affirme que le commerce est un moyen efficace de favoriser des débouchés commerciaux pour tous. Ces résultats demeurent en grande partie inchangés depuis 2020.

Graphique 36 : Commerce international et enjeux sociaux

Graphique 36 : Commerce international et enjeux sociaux

Graphique 36 : Commerce international et enjeux sociaux - Version textuelle

Ce graphique, composé de quatre barres horizontales, montre les résultats sur la base d'une échelle de 7 points ou 1-3 signifie en désaccord, 4 signifie ni l'un ni l'autre, et 5-7 signifie d'accord, avec un point additionnel pour NSP/PDR.

On a demandé aux répondants : Veuillez indiquer la mesure dans laquelle vous êtes d'accord ou en désaccord avec l'énoncé suivant : Le commerce international est un bon moyen pour le Canada de promouvoir…?

Les répondants ont sélectionné :

La responsabilité environnementale : NSP/PDR (3 pour cent); en désaccord (17 pour cent); ni l'un ni l'autre (17 pour cent); et d'accord (63 pour cent);

Le respect des droits des travailleurs : NSP/PDR (4 pour cent); en désaccord (17 pour cent); ni l'un ni l'autre (17 pour cent); et d'accord (62 pour cent);

Le respect des droits de la personne : NSP/PDR (4 pour cent); en désaccord (17 pour cent); ni l'un ni l'autre (19 pour cent); et d'accord (60 pour cent);

Des débouchés commerciaux pour tous (notamment les femmes, les Autochtones, les PME) : NSP/PDR (5 pour cent); en désaccord (18 pour cent); ni l'un ni l'autre (20 pour cent); et d'accord (57 pour cent);

Base : Canadiens; 8-28 février 2021, n=2 043, marge d'erreur +/- 2,2 %, 19 fois sur 20

Graphique 37 : Commerce international et enjeux sociaux : La responsabilité environnementale

Graphique 37 : Commerce international et enjeux sociaux : La responsabilité environnementale

Graphique 37 : Commerce international et enjeux sociaux : La responsabilité environnementale - Version textuelle

Ce graphique, composé de 3 lignes, montre les résultats pour la période entre février 2020 et février 2021 (ligne bleue : en désaccord (1-3), ligne grise : ni l'un ni l'autre (4), et ligne verte : d'accord (5-7)), ainsi qu'une barre horizontale basée sur la même échelle : en désaccord, ni l'un ni l'autre, et d'accord.

On a demandé aux répondants : Veuillez indiquer la mesure dans laquelle vous êtes d'accord ou en désaccord avec l'énoncé suivant : Le commerce international est un bon moyen pour le Canada de promouvoir la responsabilité environnementale

Les répondants ont sélectionné :

En désaccord : février 2020 (16 pour cent); et février 2021 (17 pour cent);

Ni l'un ni l'autre : février 2020 (16 pour cent); et février 2021 (17 pour cent);

D'accord : février 2020 (65 pour cent); et février 2021 (63 pour cent);.

Barre horizontale : NSP/PDR (3 pour cent); en désaccord (17 pour cent); ni l'un ni l'autre (17 pour cent); et d'accord (63 pour cent).

Base : Canadiens; 8-28 février 2021, n=2 043, marge d'erreur +/- 2,2 %, 19 fois sur 20

Graphique 38 : Commerce international et enjeux sociaux : Les droits des travailleurs

Graphique 38 : Commerce international et enjeux sociaux : Les droits des travailleurs

Graphique 38 : Commerce international et enjeux sociaux : Les droits des travailleurs - Version textuelle

Ce graphique, composé de 3 lignes, montre les résultats pour la période entre février 2020 and February2021 (ligne bleue : en désaccord (1-3), ligne grise : ni l'un ni l'autre (4), et ligne verte : d'accord (5-7)), ainsi qu'une barre horizontale basée sur la même échelle : en désaccord, ni l'un ni l'autre, et d'accord.

On a demandé aux répondants : Veuillez indiquer la mesure dans laquelle vous êtes d'accord ou en désaccord avec l'énoncé suivant : Le commerce international est un bon moyen pour le Canada de promouvoir le respect des droits des travailleurs

Les répondants ont sélectionné :

En désaccord : février 2020 (16 pour cent); et février 2021 (17 pour cent);

Ni l'un ni l'autre : février 2020 (17 pour cent); et février 2021 (17 pour cent);

D'accord : février 2020 (64 pour cent); et février 2021 (62 pour cent);.

Barre horizontale : NSP/PDR (4 pour cent); en désaccord (17 pour cent); ni l'un ni l'autre (17 pour cent); et d'accord (62 pour cent).

Base : Canadiens; 8-28 février 2021, n=2 043, marge d'erreur +/- 2,2 %, 19 fois sur 20

Graphique 39: Commerce international et enjeux sociaux : Droits de la personne

Graphique 39: Commerce international et enjeux sociaux : Droits de la personne

Graphique 39: Commerce international et enjeux sociaux : Droits de la personne - Version textuelle

Ce graphique, composé de 3 lignes, montre les résultats pour la période entre février 2020 and February2021 (ligne bleue : en désaccord (1-3), ligne grise : ni l'un ni l'autre (4), et ligne verte : d'accord (5-7)), ainsi qu'une barre horizontale basée sur la même échelle : en désaccord, ni l'un ni l'autre, et d'accord.

On a demandé aux répondants : Veuillez indiquer la mesure dans laquelle vous êtes d'accord ou en désaccord avec l'énoncé suivant : Le commerce international est un bon moyen pour le Canada de promouvoir le respect des droits de la personne

Les répondants ont sélectionné :

En désaccord : février 2020 (18 pour cent); et février 2021 (17 pour cent);

Ni l'un ni l'autre : février 2020 (17 pour cent); et février 2021 (19 pour cent);

D'accord : février 2020 (62 pour cent); et février 2021 (60 pour cent);.

Barre horizontale : NSP/PDR (4 pour cent); en désaccord (17 pour cent); ni l'un ni l'autre (19 pour cent); et d'accord (60 pour cent).

Base : Canadiens; 8-28 février 2021, n=2 043, marge d'erreur +/- 2,2 %, 19 fois sur 20

Graphique 40 : Commerce international et enjeux sociaux : Débouchés commerciaux pour tous

Graphique 40 : Commerce international et enjeux sociaux : Débouchés commerciaux pour tous

Graphique 40 : Commerce international et enjeux sociaux : Débouchés commerciaux pour tous - Version textuelle

Ce graphique, composé de 3 lignes, montre les résultats pour la période entre février 2020 et février 2021 (ligne bleue : en désaccord (1-3), ligne grise : ni l'un ni l'autre (4), et ligne verte : d'accord (5-7)), ainsi qu'une barre horizontale basée sur la même échelle : en désaccord, ni l'un ni l'autre, et d'accord.

On a demandé aux répondants : Veuillez indiquer la mesure dans laquelle vous êtes d'accord ou en désaccord avec l'énoncé suivant : Le commerce international est un bon moyen pour le Canada de promouvoir des débouchés commerciaux pour tous (notamment les femmes, les Autochtones, les PME)

Les répondants ont sélectionné :

En désaccord : février 2020 (18 pour cent); et février 2021 (18 pour cent);

Ni l'un ni l'autre : février 2020 (17 pour cent); et février 2021 (20 pour cent);

D'accord : février 2020 (60 pour cent); et février 2021 (57 pour cent);.

Barre horizontale : NSP/PDR (5 pour cent); en désaccord (18 pour cent); ni l'un ni l'autre (20 pour cent); et d'accord (57 pour cent).

Base : Canadiens; 8-28 février 2021, n=2 043, marge d'erreur +/- 2,2 %, 19 fois sur 20

6. Connaissance du commerce et des accords de libre-échange du Canada

6.1 Soutien au commerce international

Les résultats donnent à penser que les Canadiens appuient généralement le commerce international. Lorsqu'on leur demande si un commerce international accru est une bonne chose ou une mauvaise chose pour le Canada, les deux tiers (67 %) des répondants disent que c'est une bonne chose, et seulement un répondant sur sept pense que c'est une mauvaise chose. Le suivi suggère une augmentation constante de l'appui au commerce international au cours des quatre dernières années (de 48 % en 2017 à 67 % aujourd'hui).

Graphique 41 : Soutien au commerce international

Graphique 41 : Soutien au commerce international

Graphique 41 : Soutien au commerce international - Version textuelle

Ce graphique, composé de 3 lignes, montre les résultats pour la période entre 2012 et 2021 (ligne bleue : mauvaise chose, ligne grise : ni l'un ni l'autre, et ligne verte : bonne chose), ainsi qu'une barre horizontale basée sur la même échelle : mauvaise chose, ni l'un ni l'autre, bonne chose.

On a demandé aux répondants : Davantage de commerce international est-il une bonne ou une mauvaise chose pour le Canada?

Les répondants ont sélectionné :

Mauvaise chose : 2012 (15 pour cent); 2017 (17 pour cent); 2020 (10 pour cent); et 2021 (7 pour cent);

Ni l'un ni l'autre : 2012 (22 pour cent); 2017 (25 pour cent); 2020 (20 pour cent); et 2021 (21 pour cent);

Bonne chose : 2012 (52 pour cent); 2017 (48 pour cent); 2020 (61 pour cent); et 2021 (67 pour cent).

Barre horizontale : NSP/PDR (5 pour cent); mauvaise chose (7 pour cent); ni l'un ni l'autre (21 pour cent); et bonne chose (67 pour cent).

Base : Canadiens; 8-28 février 2021, n=2 043, marge d'erreur +/- 2,2 %, 19 fois sur 20

6.2 Potentiel d'augmentation du commerce

Sans avoir accès à des pistes de réponse, les répondants devaient indiquer le pays avec qui, selon eux, le Canada devrait essayer de tisser le plus de liens. Le quart des répondants (24 %) croit que le Canada devrait tisser davantage de liens avec les États-Unis, alors qu'une proportion légèrement inférieure (22 %) mentionne l'Europe. Environ un répondant sur six (16 %) est d'avis que le Canada devrait accroître ses échanges commerciaux avec le Royaume-Uni, et une proportion un peu moins élevée juge qu'il devrait le faire avec l'Inde (12 %) ou la Chine (12 %). Les autres réponses fréquentes sont le Japon (8 %), l'Allemagne (7 %), le Mexique (7 %) et l'Australie (6 %). Le suivi révèle que ces résultats demeurent en grande partie inchangés depuis 2020.

Graphique 42 : Possibilité de liens commerciaux accrus

Graphique 42 : Possibilité de liens commerciaux accrus

Graphique 42 : Possibilité de liens commerciaux accrus - Version textuelle

Ce graphique, composé de dix barres simples, montre les résultats pour 2021 et la colonne de droite ceux de 2020.

On a demandé aux répondants : Au cours des dernières décennies, le Canada a ouvert son commerce à de nombreux pays. Selon vous, avec quels pays le Canada devrait-il essayer de tisser le plus de liens? [Ouvert/maximum de deux réponses acceptées]

Les répondants ont sélectionné :

États-Unis (24 pour cent); 2020 (22 pour cent);

Europe (général) (22 pour cent); 2020 (24 pour cent);

Royaume-Uni (16 pour cent); 2020 (16 pour cent);

Inde (12 pour cent); 2020 (12 pour cent);

Chine (12 pour cent); 2020 (16 pour cent);

Japon (8 pour cent); 2020 (8 pour cent);

Allemagne (7 pour cent); 2020 (5 pour cent);

Mexique (7 pour cent); 2020 (9 pour cent);

Australie (6 pour cent); 2020 (5 pour cent);

Ne sais pas/pas de réponse (21 pour cent) 2020; (20 pour cent.

Note : Seules les réponses de 5 % et plus sont montrées

Base : Canadiens; 8-28 février 2021, n=2 043, marge d'erreur +/- 2,2 %, 19 fois sur 20

6.3 Connaissance et point de vue à l'égard de l'ACEUM, du PTPGP et de l'AECG

Les Canadiens devaient aussi indiquer leur niveau de connaissance et donner leur point de vue sur trois accords commerciaux récemment signés : l'Accord Canada–États-Unis–Mexique (ACEUM), l'Accord de Partenariat transpacifique global et progressiste (PTPGP) et l'Accord économique et commercial global (AECG) entre le Canada et l'Union européenne.

Les résultats révèlent que le public connaît peu le PTPGP et l'AECG, et ne connaît que moyennement l'ACEUM. Toutefois, les répondants qui disent connaître les accords en ont un point de vue positif.

6.3.1 Connaissance de l'ACEUM et point de vue sur l'ACEUM

Les résultats indiquent une connaissance moyenne de l'ACEUM. Environ la moitié des répondants affirme le connaître très bien (7 %) ou assez bien (45 %). Un répondant sur trois (34 %) ne le connaît pas très bien et un sur huit (13 %) ne le connaît pas du tout.

Parmi les répondants qui connaissent au moins assez bien l'accord, les impressions sont généralement favorables. La plupart de ces répondants ont une opinion très positive (9 %) ou plutôt positive (53 %) de l'accord. Le quart (27 %) considère l'ACEUM de façon plutôt négative et seuls 5 % des répondants en ont une opinion très négative.

Graphique 43: Connaissance de l'ACEUM

Graphique 43: Connaissance de l'ACEUM

Graphique 43: Connaissance de l'ACEUM - Version textuelle

Ce graphique est composé de cinq barres simples.

On a demandé aux répondants : Comme vous le savez peut-être, le Canada, les États-Unis et le Mexique ont récemment conclu l'Accord Canada–États-Unis–Mexique de libre-échange, (également connu sous le nom ACEUM), qui vise à remplacer l'ALENA. À quel point connaissez-vous bien cet accord?

Les répondants ont sélectionné :

Très bien (7 pour cent);

Assez bien (45 pour cent);

Pas très bien (34 pour cent);

Pas du tout (13 pour cent);

Ne sais pas/pas de réponse (1 pour cent).

Base : Canadiens; 8-28 février 2021, n=2 043, marge d'erreur +/- 2,2 %, 19 fois sur 20

Graphique 44 : Points de vue sur l'ACEUM

Graphique 44 : Points de vue sur l'ACEUM

Graphique 44 : Points de vue sur l'ACEUM - Version textuelle

Ce graphique est composé de cinq barres simples.

On a demandé aux répondants : [Si connait très bien ou assez bien] Selon ce que vous savez, diriez-vous que les répercussions de l'ACEUM sur le Canada sont positives ou négatives?

Les répondants ont sélectionné :

Très positives (9 pour cent);

Plutôt positives (53 pour cent);

Plutôt négatives (27 pour cent);

Très négatives (5 pour cent);

Ne sais pas/pas de réponse (5 pour cent).

Base : Canadiens; 8-28 février 2021, n=2 043, marge d'erreur +/- 2,2 %, 19 fois sur 20

6.3.2 Connaissance du PTPGP et point de vue sur le PTPGP

Lorsqu'invités à indiquer la mesure dans laquelle ils connaissent bien le PTPGP, la plupart des répondants disent ne pas le connaître très bien (40 %) ou ne pas le connaître du tout (30 %). Le quart seulement (25 %) déclare le connaître assez bien, et une proportion encore moins élevée (3 %) croit le connaître très bien.

Malgré une connaissance limitée du PTPGP, les répondants qui le connaissent en ont une opinion favorable : plus de la moitié (52 %) croit que cet accord a des répercussions plutôt positives sur le Canada et une personne sur cinq (21 %) est d'avis que ses répercussions sont très positives.

Ces résultats demeurent en grande partie inchangés depuis 2020.

Graphique 45 : Connaissance du PTPGP

Graphique 45 : Connaissance du PTPGP

Graphique 45 : Connaissance du PTPGP - Version textuelle

Ce graphique est composé de cinq barres simples et une colonne avec les résultats de 2020.

On a demandé aux répondants : Comme vous le savez peut-être, le Canada a récemment signé l'Accord de partenariat transpacifique global et progressiste (PTPGP), un accord de libre-échange entre le Canada et dix pays de la région Asie-Pacifique. À quel point connaissez-vous bien cet accord?

Les répondants ont sélectionné :

Très bien (3 pour cent); 2020 (2 pour cent);

Assez bien (25 pour cent); 2020 (26 pour cent);

Pas très bien (42 pour cent); 2020 (40 pour cent);

Pas du tout (29 pour cent); 2020 (30 pour cent);

Ne sais pas/pas de réponse (1 pour cent); 2020 (20 pour cent;.

Base : Canadiens; 8-28 février 2021, n=2 043, marge d'erreur +/- 2,2 %, 19 fois sur 20

Graphique 46 : Point de vue sur le PTPGP

Graphique 46 : Point de vue sur le PTPGP

Graphique 46 : Point de vue sur le PTPGP - Version textuelle

Ce graphique est composé de cinq barres simples et une colonne avec les résultats de 2020.

On a demandé aux répondants : [Si connait très bien ou assez bien] Selon ce que vous savez, diriez-vous que les répercussions du PTPGP sur le Canada sont positives ou négatives?

Les répondants ont sélectionné :

Très positives (21 pour cent); 2020 (22 pour cent);

Plutôt positives (52 pour cent); 2020 (51 pour cent);

Plutôt négatives (13 pour cent); 2020 (13 pour cent);

Très négatives (10 pour cent); 2020 (7 pour cent);

Ne sais pas/pas de réponse (4 pour cent); 2020 (6 pour cent).

Base : Connait le PTPGP; 8-28 février 2021, n=2 043, marge d'erreur +/- 2.2 %, 19 fois sur 20

6.3.3 Connaissance de l'AECG et point de vue sur l'AECG

Les résultats révèlent que la connaissance de l'AECG est relativement limitée. La plupart des répondants ne le connaissent pas très bien (39 %) ou ne le connaissent pas du tout (28 %). Environ trois répondants sur dix (30 %) disent le connaître assez bien, alors que seuls 3 % le connaissent très bien.

Comme pour le PTPGP, malgré un niveau de connaissance peu élevé, les répondants qui connaissent bien l'accord en ont une opinion favorable : plus de la moitié (59 %) de ceux qui disent bien connaître l'accord déclare que les répercussions de l'AECG sur le Canada sont plutôt positives, alors que le quart (27 %) affirme que ses répercussions sont très positives. Un répondant sur dix (11 %) seulement affirme que son impact est négatif.

Ces résultats concordent avec ceux obtenus en 2020.

Graphique 47 : Connaissance de l'AECG

Graphique 47 : Connaissance de l'AECG

Graphique 47 : Connaissance de l'AECG - Version textuelle

Ce graphique est composé de cinq barres simples et une colonne avec les résultats de 2020.

On a demandé aux répondants : Comme vous le savez peut-être, le Canada a récemment signé l'Accord économique et commercial global entre le Canada et l'Union européenne (AECG), un accord de libre-échange entre le Canada, l'Union européenne et ses États membres. À quel point connaissez-vous bien cet accord?

Les répondants ont sélectionné :

Très bien (3 pour cent); 2020 (4 pour cent);

Assez bien (30 pour cent); 2020 (28 pour cent);

Pas très bien (39 pour cent); 2020 (39 pour cent);

Pas du tout (28 pour cent); 2020 (28 pour cent);

Ne sais pas/pas de réponse (1 pour cent); 2020 (2 pour cent).

Base : Canadiens; 8-28 février 2021, n=2 043, marge d'erreur +/- 2,2 %, 19 fois sur 20

Graphique 48 : Points de vue sur l'AECG

Graphique 48 : Points de vue sur l'AECG

Graphique 48 : Points de vue sur l'AECG - Version textuelle

Ce graphique est composé de cinq barres simples et une colonne avec les résultats de 2020.

On a demandé aux répondants : [SI CONNAIT TRÈS BIEN OU ASSEZ BIEN] D'après ce que vous savez, diriez-vous que les répercussions de l'AECG sur le Canada sont positives ou négatives?

Les répondants ont sélectionné :

Très positives (27 pour cent); 2020 (30 pour cent);

Plutôt positives (59 pour cent); 2020 (54 pour cent);

Plutôt négatives (8 pour cent); 2020 (8 pour cent);

Très négatives (3 pour cent); 2020 (3 pour cent);

Ne sais pas/pas de réponse (3 pour cent); 2020 (4 pour cent);.

Base : Connait l'AECG; 8-28 février 2021, n=2 043, marge d'erreur +/- 2.2 %, 19 fois sur 20

7. Connaissance des programmes gouvernementaux

7.1 Connaissance des programmes du gouvernement du canadA

Les résultats révèlent que les Canadiens connaissent relativement bien les programmes qu'offre le gouvernement fédéral pour aider les entreprises à faire des affaires à l'étranger. Un peu plus de la moitié des répondants (54 %) dit bien connaître ces programmes, alors que quatre répondants sur dix (40 %) déclarent le contraire. Le suivi révèle une diminution de sept points de pourcentage depuis 2020 de la mesure dans laquelle les répondants croient bien connaître ces programmes.

Néanmoins, lorsqu'on leur demande d'expliquer leur réponse, la plupart des répondants qui déclarent connaître ces programmes (64 %) ne peuvent pas nommer un programme en particulier. Parmi ceux qui peuvent fournir une réponse, les programmes qui font le plus souvent objet d'une mention sont Exportation et développement Canada (11 %) et la Banque de développement du Canada (7 %).

Graphique 49 : Connaissance des programmes du gouvernement du Canada

Graphique 49 : Connaissance des programmes du gouvernement du Canada

Graphique 49 : Connaissance des programmes du gouvernement du Canada - Version textuelle

Ce graphique, composé de deux barres horizontales, montre les résultats pour février 2021 et février 2020, sur l'échelle NSP/PDR, non, et oui.

On a demandé aux répondants : Savez-vous que le gouvernement du Canada a des programmes dont l'objectif est d'aider des entreprises à faire des affaires à l'étranger?

Les répondants ont sélectionné :

Février 2021 : NSP/PDR (6 pour cent); non (40 pour cent); et oui (54 pour cent);

Base : Canadiens; 8-28 février 2021, n=2 043, marge d'erreur +/- 2,2 %, 19 fois sur 20

Février 2020 : NSP/PDR (6 pour cent); non (33 pour cent); et oui (61 pour cent);

Base : Canadiens; 6-19 février 2020, n=2 089, marge d'erreur +/- 2.1 %, 19 fois sur 20

Graphique 50 : Programmes précis faisant l'objet du rappel

Graphique 50 : Programmes précis faisant l'objet du rappel

Graphique 50 : Programmes précis faisant l'objet du rappel - Version textuelle

Ce graphique est composé de six barres simples.

On a demandé aux répondants : [Si oui] Quels programmes connaissez-vous…?

Les répondants ont sélectionné :

Exportation et développement Canada (11 pour cent);

Banque de développement du Canada (7 pour cent);

Agence canadienne de développement international (2 pour cent);

Financement, fonds, subventions (général) (2 pour cent);

Autre (4 pour cent);

Ne sais pas/pas de réponse (64 pour cent).

Note : Seules les réponses de 2 % et plus sont montrées

Base : Connait les programmes du GduC; 8-28 février 2021, n=1 143, marge d'erreur +/- 2.9 %, 19 fois sur 20

8. Impact direct sur les Canadiens

8.1 Répercussions du commerce international

En harmonie avec les résultats obtenus en 2020, les Canadiens ont des points de vue généralement positifs sur les répercussions du commerce international. En effet, sept répondants sur dix (71 %) croient que le commerce international du Canada a des répercussions positives sur le développement de la technologie et de l'innovation au Canada. Environ six répondants sur dix disent que cela a un impact positif sur le nombre d'emplois au Canada (58 %) et sont d'avis que leur qualité de vie s'est améliorée grâce au commerce international (57 %). Environ la moitié (47 %) des Canadiens ont la même impression lorsqu'il est question de normes environnementales au Canada et à l'étranger. Quatre répondants sur dix (37 %) croient que le commerce international du Canada a un impact positif sur l'amélioration des conditions de travail à l'étranger. Moins d'un répondant sur cinq affirme que le commerce international a un impact négatif dans l'un ou l'autre de ces domaines.

Le suivi révèle que les impressions sur les répercussions du commerce international demeurent en grande partie stables depuis l'année dernière.

Graphique 51 : Répercussions du commerce international

Graphique 51 : Répercussions du commerce international

Graphique 51 : Répercussions du commerce international - Version textuelle

Ce graphique, composé de cinq barres horizontales, montre les résultats sur la base d'une échelle de 7 points ou 1-3 signifie impact négatif, 4 signifie ni l'un ni l'autre, et 5-7 signifie impact positif, avec un point additionnel pour NSP/PDR.

On a demandé aux répondants : D'après vous, quel impact le commerce international du Canada a-t-il dans chacun des domaines suivants?

Les répondants ont sélectionné :

Le développement de la technologie et de l'innovation au Canada : NSP/PDR (6 pour cent); impact négatif (10 pour cent); ni l'un ni l'autre (14 pour cent); et impact positif (71 pour cent);

Le nombre d'emplois au Canada : NSP/PDR (6 pour cent); impact négatif (20 pour cent); ni l'un ni l'autre (16 pour cent); et impact positif (58 pour cent);

Votre qualité de vie : NSP/PDR (5 pour cent); impact négatif (9 pour cent); ni l'un ni l'autre (29 pour cent); et impact positif (57 pour cent);

Les normes environnementales au Canada et à l'étranger : NSP/PDR (7 pour cent); impact négatif (17 pour cent); ni l'un ni l'autre (29 pour cent); et impact positif (47 pour cent);

L'amélioration des conditions de travail à l'étranger : NSP/PDR (8 pour cent); impact négatif (21 pour cent); ni l'un ni l'autre (34 pour cent); et impact positif (37 pour cent);

Base : Canadiens; 8-28 février 2021, n=2 043, marge d'erreur +/- 2,2 %, 19 fois sur 20

Graphique 52 : Répercussions du commerce international : Dév. de la technologie et de l'innovation au Canada

Graphique 52 : Répercussions du commerce international : Dév. de la technologie et de l'innovation au Canada

Graphique 52 : Répercussions du commerce international : Dév. de la technologie et de l'innovation au Canada - Version textuelle

Ce graphique, composé de 3 lignes, montre les résultats pour la période entre 2000 et 2021 (ligne bleue : impact négatif (1-3), ligne grise : ni l'un ni l'autre (4), et ligne verte : impact positif (5-7)), ainsi qu'une barre horizontale basée sur la même échelle : impact négatif, ni l'un ni l'autre, et impact positif.

On a demandé aux répondants : D'après vous, quel impact le commerce international du Canada a-t-il dans chacun des domaines suivants? Le développement de la technologie et de l'innovation au Canada

Les répondants ont sélectionné :

Impact négatif : 2000 (10 pour cent); 2001 (7 pour cent); 2020 (7 pour cent); et 2021 (10 pour cent);

Ni l'un ni l'autre : 2000 (17 pour cent); 2001 (17 pour cent); 2020 (13 pour cent); et 2021 (14 pour cent);

Impact positif : 2000 (70 pour cent); 2001 (72 pour cent); 2020 (75 pour cent); et 2021 (71 pour cent).

Barre horizontale : NSP/PDR (6 pour cent); impact négatif (10 pour cent); ni l'un ni l'autre (14 pour cent); et impact positif (71 pour cent).

Base : Canadiens; 8-28 février 2021, n=2 043, marge d'erreur +/- 2,2 %, 19 fois sur 20

Graphique 53 : Répercussions du commerce international : Le nombre d'emplois au Canada

Graphique 53 : Répercussions du commerce international : Le nombre d'emplois au Canada

Graphique 53 : Répercussions du commerce international : Le nombre d'emplois au Canada - Version textuelle

Ce graphique, composé de 3 lignes, montre les résultats pour la période entre 2000 et 2021 (ligne bleue : impact négatif (1-3), ligne grise : ni l'un ni l'autre (4), et ligne verte : impact positif (5-7)), ainsi qu'une barre horizontale basée sur la même échelle : impact négatif, ni l'un ni l'autre, et impact positif.

On a demandé aux répondants : D'après vous, quel impact le commerce international du Canada a-t-il dans chacun des domaines suivants? Le nombre d'emplois au Canada

Les répondants ont sélectionné :

Impact négatif : 2000 (25 pour cent); 2001 (20 pour cent); 2020 (17 pour cent); et 2021 (20 pour cent);

Ni l'un ni l'autre : 2000 (23 pour cent); 2001 (21 pour cent); 2020 (17 pour cent); et 2021 (16 pour cent);

Impact positif : 2000 (48 pour cent); 2001 (57 pour cent); 2020 (60 pour cent); et 2021 (58 pour cent).

Barre horizontale : NSP/PDR (6 pour cent); impact négatif (20 pour cent); ni l'un ni l'autre (16 pour cent); et impact positif (58 pour cent).

Base : Canadiens; 8-28 février 2021, n=2 043, marge d'erreur +/- 2,2 %, 19 fois sur 20

Graphique 54 : Répercussions du commerce international : Qualité de vie personnelle

Graphique 54 : Répercussions du commerce international : Qualité de vie personnelle

Graphique 54 : Répercussions du commerce international : Qualité de vie personnelle - Version textuelle

Ce graphique, composé de 3 lignes, montre les résultats pour la période entre 2000 et 2021 (ligne bleue : impact négatif (1-3), ligne grise : ni l'un ni l'autre (4), et ligne verte : impact positif (5-7)), ainsi qu'une barre horizontale basée sur la même échelle : impact négatif, ni l'un ni l'autre, et impact positif.

On a demandé aux répondants : D'après vous, quel impact le commerce international du Canada a-t-il dans chacun des domaines suivants? Votre qualité de vie

Les répondants ont sélectionné :

Impact négatif : Février 2000 (11 pour cent) and février 2021 (9 pour cent);

Ni l'un ni l'autre : Février 2000 (30 pour cent) and février 2021 (29 pour cent);

Impact positif : Février 2000 (54 pour cent) and février 2021 (57 pour cent).

Barre horizontale : NSP/PDR (5 pour cent); impact négatif (9 pour cent); ni l'un ni l'autre (29 pour cent); et impact positif (57 pour cent).

Base : Canadiens; 8-28 février 2021, n=2 043, marge d'erreur +/- 2,2 %, 19 fois sur 20

Graphique 55 : Répercussions du commerce international : Les normes environnementales

Graphique 55 : Répercussions du commerce international : Les normes environnementales

Graphique 55 : Répercussions du commerce international : Les normes environnementales - Version textuelle

Ce graphique, composé de 3 lignes, montre les résultats pour la période entre 2000 et 2021 (ligne bleue : impact négatif (1-3), ligne grise : ni l'un ni l'autre (4), et ligne verte : impact positif (5-7)), ainsi qu'une barre horizontale basée sur la même échelle : impact négatif, ni l'un ni l'autre, et impact positif.

On a demandé aux répondants : D'après vous, quel impact le commerce international du Canada a-t-il dans chacun des domaines suivants? Les normes environnementales au Canada et à l'étranger

Les répondants ont sélectionné :

Impact négatif : Février 2000 (18 pour cent) and février 2021 (17 pour cent);

Ni l'un ni l'autre : Février 2000 (30 pour cent) and février 2021 (29 pour cent);

Impact positif : Février 2000 (46 pour cent) and février 2021 (47 pour cent).

Barre horizontale : NSP/PDR (7 pour cent); impact négatif (17 pour cent); ni l'un ni l'autre (29 pour cent); et impact positif (47 pour cent).

Base : Canadiens; 8-28 février 2021, n=2 043, marge d'erreur +/- 2,2 %, 19 fois sur 20

Graphique 56 : Répercussions du commerce international : Conditions de travail

Graphique 56 : Répercussions du commerce international : Conditions de travail

Graphique 56 : Répercussions du commerce international : Conditions de travail - Version textuelle

Ce graphique, composé de 3 lignes, montre les résultats pour la période entre 2000 et 2021 (ligne bleue : impact négatif (1-3), ligne grise : ni l'un ni l'autre (4), et ligne verte : impact positif (5-7)), ainsi qu'une barre horizontale basée sur la même échelle : impact négatif, ni l'un ni l'autre, et impact positif.

On a demandé aux répondants : D'après vous, quel impact le commerce international du Canada a-t-il dans chacun des domaines suivants? L'amélioration des conditions de travail à l'étranger

Les répondants ont sélectionné :

Impact négatif : Février 2000 (19 pour cent) and février 2021 (21 pour cent);

Ni l'un ni l'autre : Février 2000 (33 pour cent) and février 2021 (34 pour cent);

Impact positif : Février 2000 (40 pour cent) and février 2021 (37 pour cent).

Barre horizontale : NSP/PDR (8 pour cent); impact négatif (21 pour cent); ni l'un ni l'autre (34 pour cent); et impact positif (37 pour cent).

Base : Canadiens; 8-28 février 2021, n=2 043, marge d'erreur +/- 2,2 %, 19 fois sur 20

8.2 Avantages personnels du commerce international

Les résultats révèlent également que les Canadiens ont l'impression de profiter personnellement du commerce international. Lorsqu'on leur demande s'ils croient profiter du commerce à l'heure actuelle, environ les deux tiers des répondants (65 %) déclarent que c'est le cas, alors que seul le quart (23 %) affirme le contraire (ces résultats demeurent en grande partie inchangés depuis 2020).

Environ huit répondants sur dix (83 %) qui croient tirer profit du commerce affirment avoir un choix plus vaste de produits et de services, alors que plus de la moitié cite la création d'emplois (57 %), les avantages économiques (54 %) et des prix plus bas (53 %) comme étant des avantages personnels du commerce international. Un répondant sur six (17 %) affirme que son travail est tributaire du commerce international, tandis qu'un répondant sur dix (10 %) estime que la qualité des produits importés est généralement supérieure à celle des produits fabriqués au pays. Ces résultats concordent avec ceux obtenus en 2020.

Parmi ceux qui ne pensent pas profiter du commerce international, un peu moins de la moitié (46 %) citent la qualité inférieure des produits fabriqués à l'étranger, tandis qu'une proportion légèrement inférieure (41 %) attribue sa désapprobation aux craintes de pertes d'emplois au Canada. Le tiers fait part de préoccupations au sujet des répercussions sur l'économie canadienne (35 %), des répercussions sur l'environnement (35 %) et des prix comparativement plus élevés des produits importés (33 %). Le suivi révèle une augmentation de sept points de pourcentage dans la proportion de répondants qui disent que le commerce international est mauvais pour l'économie en général.

Graphique 57 : Avantages personnels du commerce international

Graphique 57 : Avantages personnels du commerce international

Graphique 57 : Avantages personnels du commerce international - Version textuelle

Ce graphique, composé de deux barres horizontales, montre les résultats pour février 2021 et février 2020, sur la base de l'échelle NSP/PDR, non, et oui.

On a demandé aux répondants : Pensez-vous que vous profitez actuellement du commerce international?

Les répondants ont sélectionné :

Février 2021 : NSP/PDR (12 pour cent); non (23 pour cent); et oui (66 pour cent);

Base : Canadiens; 8-28 février 2021, n=2 043, marge d'erreur +/- 2,2 %, 19 fois sur 20

Février 2021 : NSP/PDR (11 pour cent); non (26 pour cent); et oui (63 pour cent);

Base : Canadiens; 6-19 février 2020, n=2 089, marge d'erreur +/- 2.1 %, 19 fois sur 20

Graphique 58 : Raisons de voir des avantages au commerce

Graphique 58 : Raisons de voir des avantages au commerce

Graphique 58 : Raisons de voir des avantages au commerce - Version textuelle

Ce graphique est composé de sept barres simples avec une colonne sur le côté montrant les résultats pour 2020.

On a demandé aux répondants : [Si oui] Pourquoi pensez-vous que vous tirez profit du commerce international? [Plusieurs réponses acceptées]

Les répondants ont sélectionné :

Il y a un plus grand choix pour les consommateurs (83 pour cent); 2020 (81 pour cent);

Le commerce avec des pays à l'extérieur du Canada peut créer des emplois (57 pour cent); 2020 (58 pour cent);

C'est bon pour l'économie canadienne (54 pour cent); 2020 (56 pour cent);

Les produits importés sont moins chers (53 pour cent); 2020 (51 pour cent);

Votre emploi dépend du commerce international (17 pour cent); 2020 (14 pour cent);

Les produits importés sont de meilleure qualité (10 pour cent); 2020 (10 pour cent);

Ne sais pas/pas de réponse (1 pour cent); 2020 (6 pour cent).

Note : Seules les réponses de 5 % et plus sont montrées

Base : Tire profit; 8-28 février 2021, n=1 309, marge d'erreur +/- 2.2 %, 19 fois sur 20

Graphique 59 : Raisons de ne pas voir d'avantages au commerce

Graphique 59 : Raisons de ne pas voir d'avantages au commerce

Graphique 59 : Raisons de ne pas voir d'avantages au commerce - Version textuelle

Ce graphique est composé de sept barres simples avec une colonne sur le côté montrant les résultats pour 2020.

On a demandé aux répondants : [Si non] Si ce n'est pas le cas, pourquoi pensez-vous que vous ne tirez pas profit du commerce international? [Plusieurs réponses acceptées]

Les répondants ont sélectionné :

La qualité des produits importés est médiocre (46 pour cent); 2020 (41 pour cent);

En raison de l'augmentation du commerce international, le taux de chômage est plus élevé (41 pour cent); 2020 (36 pour cent);

C'est mauvais pour l'économie canadienne (35 pour cent); 2020 (28 pour cent);

Cela nuit à l'environnement (35 pour cent); 2020 (37 pour cent);

Les prix de certaines marchandises importées sont plus élevés (33 pour cent); 2020 (39 pour cent);

Perte de souveraineté (5 pour cent); 2020 (2 pour cent);

Ne sais pas/pas de réponse (6 pour cent); 2020 (8 pour cent).

Note : Seules les réponses de 5 % et plus sont montrées

Base : Ne tire pas profit; 8-28 février 2021, n=490, marge d'erreur +/- 4.4 %, 19 fois sur 20

9. Conclusions et conséquences

La pandémie de COVID-19 semble avoir peu fait pour atténuer l'enthousiasme des Canadiens à l'égard du commerce international. Conformément aux résultats de 2020, les répondants considèrent que le commerce est avantageux pour le Canada selon la plupart des indicateurs testés, particulièrement lorsqu'il s'agit de favoriser l'innovation et de stimuler la création d'emplois. De plus, la vaste majorité des Canadiens croient que le commerce international est devenu plus important au cours des dernières années et sont prêts à le voir se développer davantage. La plupart des Canadiens estiment profiter personnellement du commerce, les avantages perçus étant un plus grand choix pour les consommateurs, la baisse des prix des produits et la création d'emplois.

Une des questions qui pourrait poser problème, cependant, est la perception constante que le commerce international profite nettement plus aux grandes sociétés. Les répondants expriment de sérieux doutes quant à savoir si le commerce profite aux groupes les plus marginalisés du Canada, en particulier les Canadiens racisés, les Autochtones et les membres de la communauté LGBTQ2. Néanmoins, la plupart des Canadiens considèrent le commerce international comme un moyen de promouvoir des débouchés commerciaux pour ces groupes et d'atteindre d'autres objectifs sociaux.

Lorsqu'il est question de l'approche qu'adopte le Canada en matière de commerce international, les répondants mentionnent plusieurs considérations importantes, particulièrement des questions économiques, comme la création d'emplois, le soutien aux entreprises canadiennes et l'innovation. Toutefois, l'amélioration du niveau de vie, le respect des normes liées à la santé et à l'environnement, la protection de la propriété intellectuelle, la diversification des marchés du Canada et la répartition plus équitable des avantages du commerce sont également des priorités de premier plan. La grande majorité des Canadiens croient aussi que la préparation à d'autres pandémies devrait être un élément clé des futures politiques commerciales.

La mesure dans laquelle les répondants disent bien connaître l'ACEUM est moyennement élevée, et les Canadiens font en général preuve d'enthousiasme à propos de ses avantages. La connaissance des autres accords commerciaux récemment conclus par le Canada – l'AECG et le PTPGP – est relativement faible; mais parmi ceux qui connaissent bien les accords, la majorité est optimiste quant à leurs répercussions.

Principales différences régionales et démographiques

Dans l'ensemble du pays, les Canadiens ont une impression généralement positive du commerce international, et il n'y a pas de région où le commerce est perçu de façon négative. Les quelques différences régionales donnent à penser que les résidents du Québec sont plus optimistes quant aux avantages économiques du commerce international, mais ils sont également plus sceptiques quant au fait que ces avantages vont au-delà des grandes sociétés. Les résidents du Québec sont également moins susceptibles de dire bien connaître les enjeux commerciaux actuels.

Tout au long du sondage, les hommes obtiennent constamment des notes plus élevées que les femmes en ce qui a trait à leur connaissance personnelle des questions liées au commerce international. Ainsi, 62 % disent connaître l'ACEUM, comparativement à seulement 42 % des femmes. Néanmoins, les hommes et les femmes ont des points de vue généralement comparables en ce qui concerne le commerce. Là où il y a des différences, ce sont systématiquement les hommes qui ont une vision un peu plus positive des avantages du commerce. Ainsi, 62 % affirment que leur qualité de vie s'est améliorée grâce au commerce international, comparativement à 52 % des femmes. Les femmes sont plus susceptibles de percevoir le commerce comme un moyen de promouvoir les droits de la personne. Elles ont aussi plus tendance à mentionner le soutien au secteur agricole, les normes environnementales et l'égalité des sexes comme des objectifs importants pour de futures négociations commerciales.

En général, les Canadiens plus âgés, en particulier ceux de 65 ans ou plus, ont un point de vue légèrement plus positif sur le commerce international, notamment en ce qui concerne ses répercussions sur l'emploi et sur l'économie. Les Canadiens plus âgés sont également plus susceptibles de voir le commerce comme un moyen de promouvoir un éventail d'objectifs sociaux et économiques, et ils ont plus tendance à considérer la montée du protectionnisme comme une mauvaise chose. La connaissance autoévaluée des enjeux liés au commerce augmente systématiquement avec l'âge.

La connaissance autoévaluée des enjeux liés au commerce augmente avec le niveau de scolarité, les répondants qui ont un diplôme universitaire affirmant systématiquement mieux connaître les divers accords commerciaux du Canada. Quel que soit leur niveau d'éducation, les Canadiens ont des points de vue similaires sur le commerce, bien que les étudiants universitaires soient plus susceptibles de dire qu'ils profitent personnellement du commerce et que le protectionnisme est une mauvaise chose. Les répondants qui ont une éducation secondaire sont beaucoup plus susceptibles de voir la baisse des prix et l'élargissement du choix des consommateurs comme des priorités clés.

Conséquences

Les Canadiens demeurent optimistes face au commerce international, et la pandémie de COVID-19 n'a pas vraiment refroidi leur enthousiasme. La stabilité dans les attitudes positives à l'égard du commerce et de la mondialisation est en fait remarquable.

Les Canadiens aiment surtout le commerce international en raison des avantages économiques qu'il présente. Ils reconnaissent également d'autres avantages et aimeraient que le commerce ait d'autres objectifs, notamment en ce qui concerne l'environnement, le travail et diverses questions touchant aux femmes. Toutefois, ces objectifs sont en définitive subordonnés à des questions économiques.

Comme nous l'avons constaté l'année dernière, le niveau de connaissance du commerce international est mitigé. Les Canadiens reconnaissent le rôle que jouent les États-Unis, mais semblent surestimer la demande en exportations canadiennes de la Chine par rapport à des marchés comme l'Europe et le Royaume-Uni.

Conformément aux résultats de 2020, les Canadiens considèrent le commerce comme avantageux principalement pour les grandes sociétés (lorsqu'interrogés sur les avantages du commerce international, il y a en effet une diminution importante de l'appui lorsque la question se concentre sur les petites entreprises). Les Canadiens ne semblent toutefois pas trop importunés par ce manque apparent d'équité. Ils semblent reconnaître que la croissance économique du pays est inextricablement liée au rendement de nos grandes entreprises, bien qu'ils manifestent certaines inquiétudes par rapport au fait que ce ne sont pas tous les Canadiens qui profitent des avantages du commerce international.

Annexe A : Questionnaire

Intro en ligne

Nous menons une étude pour le compte du gouvernement du Canada afin de connaître les points de vue de Canadiens et de Canadiennes sur un éventail d'enjeux importants. Sachez que nous ne faisons pas de vente ni de sollicitation pour quoi que ce soit. Le sondage est effectué sur une base volontaire, et vos réponses demeureront entièrement anonymes et confidentielles. Il vous faudra environ 15 minutes pour y répondre.

Quelques rappels avant de commencer:

Nous vous remercions à l'avance de votre participation.

Intro au téléphone

Bonjour/Bonsoir. Je m'appelle [nom de l'enquêteur] et je vous appelle des Associés de recherche Ekos, une entreprise de recherche sur l'opinion publique. [Panel] Pourrais-je parler à [nom du répondant]?

Confirmer si le répondant préfère l'anglais ou le français

Nous menons une étude pour le compte du gouvernement du Canada afin de connaître les points de vue de Canadiens et de Canadiennes sur un éventail d'enjeux importants. Sachez que nous ne faisons pas de vente ni de sollicitation pour quoi que ce soit. Le sondage est effectué sur une base volontaire, et vos réponses demeureront entièrement anonymes et confidentielles. Il vous faudra environ 15 minutes pour y répondre.

Pouvons-nous commencer avec le sondage?

PRIV

Si...Téléphone

Cet appel peut être enregistré pour contrôle de la qualité ou formation.

Q1A

Vous souvenez-vous d'une nouvelle qui traitait de questions liées au commerce international au cours des derniers mois?

Q1B [1,3]

Si... Q1A = 1

Si oui, quel était le sujet du reportage?

PQ2

Selon vous, à quel point les objectifs suivants sont-ils importants lors de l'examen de l'approche qu'adopte le Canada en matière de commerce international? Veuillez utiliser une échelle de sept points où 1 signifie que cela n'est pas du tout important, 7 que cela est extrêmement important et le point milieu, 4, que cela est moyennement important.

Q2A

Créer des emplois au Canada

Q2B

Promouvoir l'égalité des sexes

Q2C

Assurer le respect des normes canadiennes liées à la santé et à l'environnement

Q2D

Veiller à ce que le commerce profite à tout le monde

Q2E

Offrir aux consommateurs le plus grand choix de produits et de services aux prix les plus bas

Q2F

Soutenir les sociétés canadiennes

Q2G

Encourager l'innovation au Canada

Q2H

Protéger la propriété intellectuelle canadienne

Q2I

Diversifier les marchés d'exportation du Canada

Q2J

Soutenir les agriculteurs et le secteur agricole

Q2K

Augmenter les investissements directs étrangers au Canada

Q2L

Améliorer le niveau de vie des Canadiens

Q2M

Réduire les coûts de la production nationale

PQ3

Quels sont les cinq principaux marchés et pays pour les exportations canadiennes au cours des dernières années?

Q3

Premier

Q3A [0,1]

Deuxième

Q3B [0,1]

Troisième

Q3C [0,1]

Quatrième

Q3D [0,1]

Cinquième

PQ4

Selon vous, quels secteurs représentent la plus grande part des exportations canadiennes?

Q4

Plus grande part

Q4A [0,1]

Deuxième plus grande part

Q5

En comparaison avec l'exportation de nos produits (comme des ressources naturelles et des produits manufacturés), dans quelle mesure croyez-vous que les services (comme les services financiers) contribuent aux exportations globales du Canada? Veuillez répondre en utilisant une échelle de sept points où 1 signifie pas du tout, 7 signifie énormément et le point milieu 4 signifie moyennement.

PREQ6

À quel point croyez-vous que nos politiques de commerce international et d'investissement devraient assurer la concurrentialité mondiale du Canada dans chacun des domaines suivants? Veuillez répondre en utilisant une échelle de sept points où 1 signifie pas du tout, 7 signifie énormément et le point milieu 4 signifie moyennement.

Q6A

Technologies vertes/propres

Q6B

Technologies de la santé

Q6C

Intelligence artificielle

Q7

À quel point croyez-vous que nos politiques de commerce international et d'investissement devraient assurer la préparation du Canada à de futures pandémies et à d'autres défis mondiaux? Veuillez répondre en utilisant une échelle de sept points où 1 signifie pas du tout, 7 signifie énormément et le point milieu 4 signifie moyennement.

Q8

Diriez-vous qu'au cours des 10 dernières années, le commerce international est devenu moins important ou plus important en ce qui concerne sa contribution à l'économie canadienne? Veuillez répondre selon une échelle de sept points où 1 signifie beaucoup moins important, 7, beaucoup plus important et le point milieu, 4, ni l'un ni l'autre.

Q9 [1,3]

Pourquoi croyez-vous cela?

PQ10

D'après vous, à quel point le commerce international est-il avantageux pour chacun des aspects suivants au sein du Canada? Veuillez répondre en utilisant une échelle de sept points où 1 signifie pas du tout, 7 signifie énormément et le point milieu, 4 signifie moyennement.

Q10A

Les grandes sociétés

Q10B

Les entreprises de votre collectivité

Q10C

Les petites et moyennes entreprises (PME)

Q10D

Vous et votre famille

Q10E

Les femmes

Q10F

Les Autochtones

Q10G

La communauté LGBTQ

Q10H

Les jeunes

Q10I

Les immigrants

Q10J

Les groupes racialisés

Q11

À quel point croyez-vous que les entreprises canadiennes qui investissent dans d'autres pays profitent au Canada? Veuillez répondre en utilisant une échelle de sept points où 1 signifie pas du tout, 7 signifie énormément et le point milieu, 4 signifie moyennement.

Q12

En utilisant la même échelle, dans quelle mesure croyez-vous que les entreprises internationales qui investissent au Canada profitent à l'économie canadienne?

Q13 [1,5]

Selon vous, pour quelle raison les produits canadiens sont-ils les plus connus à l'échelle internationale?

Choisir tout ce qui s'applique

Q14

Beaucoup de gens parlent de l'augmentation du protectionnisme aux États-Unis et en Europe, ce qui entraîne notamment une opposition grandissante à l'égard du commerce et de la mondialisation. En général, croyez-vous que la hausse du protectionnisme est une bonne chose ou une mauvaise chose pour le Canada?

PQ15

Veuillez indiquer la mesure dans laquelle vous êtes d'accord ou en désaccord avec l'énoncé suivant. Veuillez répondre en utilisant une échelle de sept points où 7 signifie que vous êtes fermement d'accord, 1 signifie que vous êtes fermement en désaccord, et le point milieu, 4, signifie que vous n'êtes ni d'accord ni en désaccord.

Q15A

Je crains que l'augmentation du commerce international entraîne les pays à baisser leurs normes environnementales pour être plus concurrentiels

Q15B

Le commerce international est un bon moyen pour le Canada de promouvoir des débouchés commerciaux pour tous (notamment les femmes, les Autochtones, les petites et moyennes entreprises (PME))

Q15C

Le commerce international est un bon moyen pour le Canada de promouvoir la responsabilité environnementale

Q15D

Le commerce international est un bon moyen pour le Canada de promouvoir le respect des droits des travailleurs

Q15E

Le commerce international est un bon moyen pour le Canada de promouvoir le respect des droits de la personne

Q16

Davantage de commerce international est une bonne chose ou une mauvaise chose pour le Canada?

PQ17

Au cours des dernières décennies, le Canada a ouvert son commerce à de nombreux pays. Selon vous, avec quels pays le Canada devrait-il essayer de tisser le plus de liens?

Q17

Premier choix :

Q17A [0,1]

Deuxième choix :

Q18

Comme vous le savez peut-être, le Canada, les États-Unis et le Mexique ont récemment conclu l'Accord Canada–États-Unis–Mexique de libre-échange, (également connu sous le nom ACEUM), qui vise à remplacer l'ALENA. À quel point connaissez-vous bien cet accord?

Q19

Si... Q18 = 1,2

Selon ce que vous savez, diriez-vous que les répercussions de l'ACEUM sur le Canada sont positives ou négatives? Est-ce très ou plutôt? Est-ce une chose très positive/négative ou plutôt positive/négative?

Q20

Comme vous le savez peut-être, le Canada a récemment signé l'Accord de partenariat transpacifique global et progressiste (PTPGP), un accord de libre-échange entre le Canada et dix pays de la région Asie-Pacifique. À quel point connaissez-vous bien cet accord?

Q21

Si... Q20 = 1,2

Selon ce que vous savez, diriez-vous que les répercussions du PTPGP sur le Canada sont positives ou négatives? Est-ce une chose très positive/négative ou plutôt positive/négative?

Q22

Comme vous le savez peut-être, le Canada a récemment signé l'Accord économique et commercial global entre le Canada et l'Union européenne (AECG), un accord de libre-échange entre le Canada, l'Union européenne et ses États membres. À quel point connaissez-vous bien cet accord?

Q23

Si... Q22 = 1,2

D'après ce que vous savez, diriez-vous que les répercussions de l'AECG sur le Canada sont positives ou négatives? Est-ce une chose très positive/négative ou plutôt positive/négative?

Q24A

Savez-vous que le gouvernement du Canada a des programmes dont l'objectif est d'aider des entreprises à faire des affaires à l'étranger?

Q24B [1,3]

Si... Q24A = 1

Le cas échéant, quels programmes connaissez-vous?

PQ25

D'après vous, quel impact le commerce international du Canada a-t-il dans chacun des domaines suivants? Veuillez répondre en utilisant une échelle de sept points où 1 signifie un impact extrêmement négatif, 7 signifie un impact extrêmement positif et le point milieu, 4 signifie ni l'un ni l'autre.

Q25A

Le développement de la technologie et de l'innovation au Canada

Q25B

Le nombre d'emplois au Canada

Q25C

Les normes environnementales au Canada et à l'étranger

Q25D

L'amélioration des conditions de travail à l'étranger

Q25E

Votre qualité de vie

Q26A

Pensez-vous que vous profitez actuellement du commerce international?

Q26B [1,7]

Si... Q26A = 1

Le cas échéant, pourquoi pensez-vous que vous tirez profit du commerce international?

Choisir tout ce qui s'applique

Q26C [1,6]

Si... Q26A = 2

Si ce n'est pas le cas, pourquoi pensez-vous que vous ne tirez pas profit du commerce international?

Choisir tout ce qui s'applique

DEMIN

Les prochaines questions ne seront utilisées qu'à des fins statistiques.

QPROV

Dans quelle province ou quel territoire demeurez-vous?

QGENDR

Êtes-vous...?

QEDUC

Quel est le niveau de scolarité le plus élevé que vous avez atteint?

Q26

À ce que vous sachiez, la compagnie pour laquelle vous travaillez fait-elle du commerce international?

QAGE

Auquel des groupes d'âge suivants appartenez-vous?

QINC

Quel est le revenu annuel de votre ménage de toutes sources avant impôts?

Q27 [1,4]

Vous considérez-vous comme l'un des suivants?

Choisir tout ce qui s'applique

QBORN

Dans quel pays êtes-vous né(e)?

Merci

Voilà toutes les questions que nous avions à vous poser. Merci d'avoir pris le temps de répondre à notre sondage. Nous vous en sommes très reconnaissants. Vos réponses ont été enregistrées et vous pouvez maintenant fermer la fenêtre de votre navigateur.