Préparé pour Affaires mondiales Canada
Pour obtenir de plus amples renseignements sur le présent rapport, veuillez communiquer avec Affaires mondiales Canada à POR-ROP@international.gc.ca.
Ce rapport de recherche présente les résultats d'un sondage en ligne mené par Les Associés de recherche Ekos inc. pour le compte d'Affaires mondiales Canada. La recherche comprenait un coup de sonde en ligne à l'endroit de 3 059 Canadiens et Canadiennes. Le sondage a été effectué dans les deux langues officielles partout au Canada. Les données du sondage ont été recueillies du 16 janvier au 5 février 2023.
This report is also available in English under the title: Canadian Views on International Assistance Tracking Study.
Cette publication ne peut être reproduite qu'à des fins non commerciales. Une autorisation écrite préalable doit d'abord être obtenue auprès d'Affaires mondiales Canada.
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© Sa Majesté le Roi du chef du Canada, représenté par la ministre des Affaires mondiales Canada, 2023.
L'aide internationale est un élément clé de la politique étrangère du Canada, mais le travail qu'accomplit le Canada pour soutenir les pays en développement peut donner l'impression qu'il n'entretient aucun lien avec la vie quotidienne de la population ici au Canada. Pour combler efficacement l'écart entre les expériences de la population canadienne et des enjeux abordés à des milliers de kilomètres, Affaires mondiales Canada a besoin d'une solide compréhension de la façon dont le public canadien perçoit l'aide internationale et les enjeux mondiaux, ce qui lui permettra de prendre des décisions fondées sur des preuves quant à la façon d'encadrer ses messages de communication, ses annonces, ses programmes et ses politiques.
Affaires mondiales Canada a mené ses propres recherches sur l'opinion publique en février 2020 et en février 2021 pour en apprendre davantage sur les attitudes de la population canadienne à l'égard de l'aide internationale. Ces sondages ont révélé que, bien que la plupart des Canadiens et Canadiennes ne soient pas au courant des efforts déployés en matière d'aide, leur connaissance en ce domaine a légèrement augmenté. Le public canadien déclare être fier des activités d'aide internationale du Canada et croit qu'elles sont importantes. Toutefois, le public est d'avis que le gouvernement du Canada a un faible rendement dans ses communications sur l'aide internationale et qu'il y a un manque de confiance à l'égard de l'information que transmet le gouvernement du Canada.
En février 2022, Affaires mondiales Canada a collaboré avec le Development Engagement Lab (DEL), qui réunit des chercheurs de l'University College London. Le DEL organise des panels sur l'opinion publique en ligne auprès de populations de la Grande-Bretagne, des États-Unis, de la France et de l'Allemagne. Avec l'autorisation du DEL, l'étude de février 2022 utilisait une méthodologie et un questionnaire semblables, ce qui a permis une analyse approfondie des points de vue du public sur l'aide internationale et sur divers enjeux mondiaux, ainsi que sur la manière dont ces attitudes changent lorsqu'elles sont confrontées à des circonstances fluctuantes, comme une pandémie. L'étude a également fourni de précieux renseignements sur ce qui différencie les points de vue de la population canadienne à ceux de citoyens d'autres pays, et sur les types de messages qui représentent le mieux différentes populations sur divers sujets de développement international.
Au cours du dernier exercice, Affaires mondiales Canada a cherché à mener de nouveau cette étude afin d'effectuer un suivi et de comparer les attitudes de la population canadienne envers l'aide internationale. Affaires mondiales Canada a confié aux Associés de recherche Ekos le mandat de mener un sondage de suivi en ligne au Canada qui reflète les questions et la méthodologie du groupe d'experts de suivi du DEL.
L'étude vise à mesurer et à mieux comprendre les points de vue du grand public envers divers enjeux d'aide internationale, pourquoi et comment les gens décident d'y participer. Les données recueillies serviront à définir l'approche d'Affaires mondiales Canada pour communiquer avec le public l'importance de l'aide internationale, la pertinence et l'incidence de projets individuels, de même que les annonces de financement liées à ces thèmes.
La recherche comprenait un sondage en ligne auprès de 3 059 adultes canadiens. Les résultats peuvent être considérés comme représentatifs du grand public canadien, sont valides et présentent une marge d'erreur de +/- 1,8 point de pourcentage, 19 fois sur 20. Le sondage a été réalisé dans les deux langues officielles partout au Canada. Les données du sondage ont été recueillies du 16 janvier au 5 février 2023.
L'annexe A présente une description détaillée de la méthodologie utilisée dans cette étude.
L'annexe B contient le questionnaire complet.
L'annexe C présente les tableaux de données.
Les principales constatations de l'étude sont exposées ci-dessous. Le reste du rapport décrit plus en détail les résultats du sondage. Ces résultats révèlent que les attitudes de la population canadienne à l'égard des enjeux d'aide internationale sont restées en grande partie stables au cours de la dernière année.
Les résultats se déclinent autour de six grands thèmes :
Les résultats révèlent que la population canadienne ressent toujours un fort sentiment de citoyenneté mondiale. Les trois quarts des répondants (77 %) disent aimer visiter d'autres pays et apprendre à connaître d'autres cultures, et à peu près la même proportion (75 %) estime avoir le devoir de s'assurer que leurs actions ne nuisent pas à des personnes vivant dans d'autres pays. Environ la moitié (52 %) croit que ce qui arrive aux gens d'autres pays a une influence dans leur propre vie, et seuls 11 % pensent avoir très peu en commun avec des gens vivant dans d'autres pays. Ces résultats sont en grande partie semblables à ceux obtenus l'an passé.
Les résultats révèlent également qu'au Canada, on a toujours de solides points de vue sur l'égalité et la compassion dans le monde. Plus de huit personnes sur dix (85 %) croient qu'il est bien d'aider les personnes dans le besoin et les trois quarts (75 %) conviennent que tous les êtres humains devraient être traités de façon équitable. La moitié des répondants (50 %) se sentirait très coupable d'ignorer les besoins des gens pauvres dans les pays en voie de développement, alors que quatre personnes sur dix (44 %, en baisse par rapport aux 48 % de 2022) sont d'avis que les pays comme le Canada devraient consacrer plus d'argent à l'aide internationale parce que c'est moralement la bonne chose à faire.
Lorsqu'on les interroge sur la façon de garantir la prospérité et la sécurité du Canada, la plupart des répondants (64 %, proportion identique à celle de l'an passé) croient qu'il est préférable de collaborer avec d'autres pays pour y arriver. Très peu de répondants (17 %) pensent qu'il est préférable de garantir la sécurité et la prospérité de notre pays par nous-mêmes.
Lorsqu'on aborde les points de vue sur la pauvreté dans le monde, les deux tiers des répondants (65 %) ne croient pas que « ce qui se passe dans les pays en voie de développement les concerne rarement »; seule une personne sur six (17 %) est d'accord avec cette affirmation. Ces résultats sont presque identiques à ceux de l'an dernier.
En accord avec les résultats de 2022, la plupart des répondants (62 %) s'inquiètent du niveau de pauvreté dans les pays en voie de développement, tandis que seuls 12 % disent ne pas s'en soucier.
Lorsqu'il est question de la mesure dans laquelle diverses organisations sont en mesure de contribuer à la réduction de la pauvreté dans les pays en voie de développement, les résultats révèlent que la population estime que bon nombre de ces organisations peuvent avoir une influence dans la réduction de la pauvreté dans le monde, mais est moins confiante lorsqu'il est question de la capacité du gouvernement du Canada et de sa propre capacité d'exercer une incidence dans ce domaine. La majorité de la population canadienne (62 %) croit que les entreprises peuvent contribuer à la réduction de la pauvreté dans les pays en voie de développement, suivies de près par les Nations Unies et d'autres organisations internationales (60 %), ainsi que par les ONG et les organismes de bienfaisance œuvrant dans le domaine du développement international (54 %). Il est intéressant de noter que moins de la moitié des répondants (42 %, une baisse de trois points de pourcentage par rapport à l'an passé) croit que le gouvernement du Canada peut contribuer à la réduction de la pauvreté dans le monde, et que seulement 12 % pensent qu'ils peuvent personnellement y contribuer.
Pour ce qui est des points de vue sur l'aide internationale, les résultats suggèrent un appui plutôt solide à la prestation d'aide aux pays en voie de développement. Un peu plus de la moitié des répondants (54 %) pensent que le gouvernement du Canada devrait accorder une aide internationale aux pays en voie de développement, tandis que seuls trois répondants sur dix (28 %) sont d'avis que le gouvernement ne devrait pas fournir ce type d'aide. Ces résultats sont à peu de choses près identiques à ceux obtenus l'an passé.
Les résultats révèlent en outre que 70 % des personnes interrogées conviennent que l'aide internationale améliore la vie des populations en leur offrant un accès à l'éducation, aux soins de santé, à l'eau potable et aux installations sanitaires.
Les résultats révèlent des points de vue plus mitigés sur la question de savoir si le gouvernement du Canada devrait augmenter ou diminuer le budget qu'il consacre à l'aide internationale pour les pays en voie de développement. Une personne sur trois (33 %, en baisse par rapport aux 37 % enregistrés en 2022) déclare que le gouvernement devrait augmenter ce budget, mais une personne sur quatre (25 %) est d'avis qu'il devrait le diminuer. Un répondant sur trois (33 %) estime que le budget devrait rester le même.
En ce qui concerne l'objectif prioritaire de l'aide que consacre le Canada aux pays en voie de développement, les résultats révèlent que la plupart des répondants (59 %) estiment que l'objectif premier du budget consacré à l'aide internationale devrait être de réduire la pauvreté dans les pays en voie de développement, alors que seuls 14 % estiment qu'il devrait être de favoriser les intérêts du Canada. Ces résultats demeurent en grande partie inchangés depuis 2022.
Pour ce qui est des principales priorités de l'aide internationale accordée par le gouvernement du Canada aux pays en voie de développement, les répondants mentionnent l'accès à l'eau potable (44 %) comme priorité absolue, suivie par l'éducation (39 %) puis par l'accès aux soins de santé (37 %). Ces résultats sont en grande partie les mêmes que ceux de l'an passé.
Malgré des points de vue généralement positifs sur l'aide internationale, la population canadienne conserve des points de vue assez négatifs sur certains aspects. Plus de la moitié estime qu'une grande partie de l'aide internationale du Canada finit dans les poches de responsables politiques corrompus des pays qui la reçoivent (56 %) et que la plus grande part de l'aide internationale ne parvient pas aux destinataires voulus (54 %).
Les résultats révèlent également que près de trois personnes sur dix (29 %, soit trois points de pourcentage de plus qu'en 2022) croient que les dépenses gouvernementales consacrées à l'aide internationale sont efficaces, alors qu'une plus grande proportion (42 %) pense toujours qu'elles sont inefficaces.
Malgré des points de vue mitigés sur l'efficacité de l'aide internationale, la moitié de la population canadienne (50 %) croit que l'aide internationale aide les pays à devenir autosuffisants, 27 % croient que l'aide internationale les rend plutôt trop dépendants de la charité publique et seule une personne sur quatre (23 %) estime que le Canada ne peut se permettre d'avoir des programmes d'aide internationale.
Les résultats suggèrent que la population canadienne s'intéresse dans une assez grande mesure à la pauvreté mondiale et aux enjeux de développement international. Au cours de la dernière année, 80 % des répondants disent avoir lu, regardé ou écouté un article de presse sur la pauvreté et sur le développement dans le monde, et les deux tiers (64 %) déclarent avoir discuté de la pauvreté dans le monde avec leurs amis, leur famille ou d'autres personnes. Une minorité considérable (30 %) dit avoir diffusé ou envoyé des informations à ce sujet au cours de la dernière année. Ces résultats sont pratiquement identiques à ceux de l'an passé.
Lorsqu'on leur demande si les nouvelles qu'ils ont lues, entendues, vues ou envoyées sur la pauvreté dans le monde sont en général positives ou négatives, seulement 14 % des répondants affirment que les nouvelles auxquelles ils sont exposés sur la pauvreté dans le monde sont plus positives que négatives, alors que les deux tiers (67 %) disent qu'elles sont plus négatives que positives.
En ce qui a trait à la participation de la population canadienne à des organismes de bienfaisance œuvrant dans le domaine du développement, les répondants devaient indiquer s'ils avaient fait don d'argent à une ONG internationale ou à un organisme de bienfaisance qui travaille dans le domaine de la pauvreté et du développement dans le monde au cours des douze derniers mois. Un répondant sur trois (32 %) déclare avoir fait un don d'argent à une ONG internationale ou à un organisme de bienfaisance. Toutefois, la majorité des répondants (65 %) s'en est abstenu.
Les répondants devaient aussi préciser s'ils ont été actifs au sein d'un organisme de bienfaisance ou d'un groupe œuvrant dans le domaine du développement au cours de la dernière année. Les résultats révèlent une participation limitée. Seule une personne sur cinq (19 %) dit être devenue membre d'un organisme de bienfaisance ou d'un groupe œuvrant dans le domaine du développement au cours de la dernière année ou s'être abonnée à leur bulletin d'information. Une moindre proportion (10 %) déclare avoir fait du bénévolat au sein d'un organisme de bienfaisance œuvrant dans le domaine de la pauvreté dans le monde au cours de la même période. Ces résultats sont presque identiques à ceux de l'an dernier.
Les répondants devaient indiquer les actions qu'ils ont réalisées pour soutenir des mesures visant à résoudre la pauvreté dans le monde ou pour s'y opposer. La plupart disent n'avoir pris aucune des mesures mentionnées dans le sondage. Un peu plus d'une personne sur trois (35 %, en baisse par rapport aux 39 % obtenus en 2022) affirme avoir acheté ou boycotté des produits ou services pour soutenir les efforts visant à réduire la pauvreté dans le monde. Un peu plus d'un répondant sur cinq (22 %, soit une baisse de trois points de pourcentage par rapport à 2022) déclare avoir pris des mesures comme signer une pétition ou rédiger un billet de blogue pour soutenir les efforts visant à lutter contre la pauvreté dans le monde. Très peu de personnes (9 %) affirment avoir communiqué avec un député ou avec un autre représentant élu, ou avoir participé à une marche, à un rassemblement, à une manifestation ou à un autre événement important (4 %) pour soutenir les efforts de lutte contre la pauvreté dans le monde. Presque personne n'a réalisé l'une ou l'autre de ces actions pour s'opposer aux efforts visant à lutter contre la pauvreté dans le monde.
La population canadienne était également invitée à évaluer son niveau de confiance à l'égard des ONG et organismes de bienfaisance œuvrant dans le domaine du développement international. Les résultats révèlent des points de vue mitigés sur cette question. Un peu plus de quatre personnes sur dix (41 %) disent se fier à ces types d'organisations, mais à peu près la même proportion (40 %) déclare leur faire peu confiance. Ces résultats sont en grande partie semblables à ceux de l'an passé.
Quant aux points de vue sur les partenariats entre des entreprises du secteur privé et des organismes de bienfaisance, les résultats révèlent à nouveau des points de vue mitigés. Un peu plus de la moitié des répondants (53 %) convient que les partenariats avec des entreprises du secteur privé sont un moyen intelligent pour les organismes de bienfaisance d'accroître leurs ressources et leur influence. Cependant, à peu près la même proportion (52 %) est d'accord pour dire que les entreprises du secteur privé qui travaillent en partenariat avec des organismes de bienfaisance essaient simplement de redorer leur réputation et d'améliorer leur marque. Un peu plus de quatre personnes sur dix (41 %) estiment que les partenariats entre les entreprises et les organismes de bienfaisance exploitent efficacement le pouvoir des entreprises afin d'atteindre des objectifs sociaux plus larges, et près d'une personne sur quatre (24 %) convient que les organismes de bienfaisance qui s'associent à des entreprises du secteur privé se mettent dans une situation compromettante et sont moins dignes de confiance. Encore une fois, ces résultats sont en grande partie inchangés depuis 2022.
Les résultats démontrent également que la plupart des répondants (61 %) estiment qu'il est important que les grandes ONG de développement international collaborent avec des ONG locales afin d'offrir des programmes d'aide et du financement. Seuls 9 % sont d'avis que ce n'est pas important.
Les résultats de l'enquête révèlent que la population du Canada a généralement des attitudes positives et stables à l'égard de l'aide internationale et de son rôle dans la lutte contre la pauvreté dans le monde. Elle soutient l'aide du gouvernement fédéral aux pays en voie de développement et pense en majorité que cette aide devrait au moins rester à son niveau actuel. La population comprend que l'aide internationale permet à d'autres pays de devenir autosuffisants et que cette aide devrait être motivée par des raisons altruistes de réduction de la pauvreté, et non par des fins pragmatiques comme la promotion des intérêts nationaux du Canada à l'étranger.
La population canadienne croit aussi que l'aide internationale comporte de nombreux avantages. Plus précisément, elle estime qu'une telle aide peut améliorer la vie des gens en leur donnant accès à de l'éducation, à des soins de santé et à de l'eau potable. De plus, le public canadien juge toujours que le gouvernement fédéral peut se permettre de continuer à fournir de l'aide internationale.
Ce portrait global positif n'est cependant pas exempt de certaines mises en garde. Plusieurs répondants sont d'avis que l'aide internationale est inefficace et que les entreprises, les Nations Unies et les ONG internationales peuvent en faire plus que le gouvernement canadien afin de réduire la pauvreté, ou que l'aide étrangère du Canada ne parvient pas toujours aux destinataires voulus et se retrouve souvent dans les poches de politiciens corrompus.
Dans l'ensemble, cependant, le public canadien considère toujours la pauvreté dans le monde comme un problème grave et est largement en faveur de l'envoi d'aide internationale dans des pays en voie de développement. De plus, il pense généralement qu'il y a un lien entre la population du Canada et le reste du monde. Le public croit en la coopération internationale et rejette l'isolationnisme. Il considère faire partie d'une communauté mondiale où il est possible d'obtenir la prospérité en collaborant avec d'autres pays, et croit que la pauvreté dans d'autres pays est une question qui a aussi des répercussions négatives dans sa vie.
Pour toutes les questions du sondage, les femmes sont plus susceptibles que les hommes d'exprimer des points de vue positifs sur l'aide internationale et sur son objectif de lutte contre la pauvreté mondiale. Les femmes sont également plus susceptibles d'appuyer la coopération internationale et le multilatéralisme. Elles ne sont pas aussi pessimistes quant à la possibilité que l'aide internationale tombe entre les mains de politiciens corrompus et elles sont plus enclines à être des activistes luttant contre la pauvreté dans le monde, notamment en signant une pétition ou en boycottant des produits ou des services.
Les résultats révèlent également des différences importantes entre les répondants ayant fait des études universitaires et ceux dont le niveau de scolarité est inférieur. Comme dans le cas des réponses des femmes, les titulaires d'un diplôme universitaire ont des impressions plus positives de l'aide internationale et sont moins cyniques quant aux objectifs qui y sont liés. Ils sont plus susceptibles de penser qu'il est important pour le Canada de continuer d'accorder de l'aide étrangère et que l'objectif devrait être de réduire la pauvreté dans le monde et non de favoriser les intérêts nationaux du Canada. En outre, les gens qui ont une formation universitaire ont plus tendance que les personnes sans diplôme universitaire à s'engager dans l'activisme contre la pauvreté dans le monde.
Il y a également des différences importantes entre les groupes d'âge, plus particulièrement entre les jeunes (de 18 à 34 ans) et les plus âgés (65 ans et plus). Les répondants plus âgés ont une vision un peu plus positive de l'aide internationale et sont plus susceptibles de penser que ce qui se passe à l'étranger à des répercussions sur leur propre vie. Ils sont constamment plus enclins à exprimer leur soutien à l'augmentation de l'aide internationale. Notons que les jeunes sont beaucoup moins enclins à croire que l'objectif principal de l'aide est de réduire la pauvreté dans les pays en voie de développement. Au contraire, ils sont plus enclins à considérer l'aide internationale comme un moyen de renforcer l'influence politique du Canada et la sécurité nationale.
Le sondage révèle également certaines différences régionales. Les résidents du Québec expriment les points de vue les plus positifs sur l'aide internationale et ses objectifs, et ont les opinions les plus altruistes et les plus internationalistes. À l'inverse, les habitants des provinces des Prairies, c'est-à-dire l'Alberta, la Saskatchewan et le Manitoba, sont les plus susceptibles d'être négatifs quant aux objectifs et aux résultats de l'aide internationale et ont plus tendance à exprimer des points de vue isolationnistes.
La valeur du contrat de ce projet de recherche sur l'opinion publique (ROP) est de 76 670,50 $ (TVH incluse).
Pour obtenir de plus amples renseignements sur le présent rapport, veuillez communiquer avec Affaires mondiales Canada à POR-ROP@international.gc.ca.
La présente certification s'appliquera au rapport définitif envoyé au chargé de projet.
À titre de cadre supérieur des Associés de recherche Ekos Inc., j'atteste par la présente que les documents remis sont entièrement conformes aux exigences de neutralité politique du gouvernement du Canada exposées dans la Politique de communication du gouvernement du Canada et dans la Procédure de planification et d'attribution de marchés de services de recherche sur l'opinion publique.
En particulier, les documents remis ne contiennent pas de renseignements sur les intentions de vote électoral, les préférences quant aux partis politiques, les positions des partis ou l'évaluation de la performance d'un parti politique ou de ses dirigeants.
Signé par Derek Jansen (vice-président)
Les répondants du sondage devaient d'abord choisir dans une liste les trois principaux enjeux mondiaux qui les préoccupent personnellement. Les résultats révèlent que les changements climatiques et l'environnement représentent l'enjeu le plus souvent mentionné (51 %), suivi par les crises économiques, la sécurité de l'emploi et les salaires (46 %), et par les inégalités entre les riches et les pauvres (41 %). Le populisme (33 %), les fausses nouvelles (31 %), la guerre (29 %) et des enjeux sociaux comme l'éducation, les soins de santé, l'eau potable et la faim dans les pays en voie de développement (27 %) sont considérés comme des questions de deuxième plan par la population canadienne. L'immigration et les réfugiés (16 %), les pandémies (14 %) et les nouvelles technologies et l'intelligence artificielle (12 %) sont considérées comme les préoccupations les moins importantes parmi les enjeux examinés.
Le suivi effectué par rapport à 2022 donne à penser que la population canadienne est plus préoccupée par l'économie (46 %, en hausse par rapport aux 40 % obtenus en 2022) et par la guerre, les conflits et le terrorisme (29 %, alors que cette proportion était de 18 % l'an passé). En revanche, les pandémies (14 %, en baisse par rapport aux 24 % enregistrés en 2022) et les fausses nouvelles (31 %, en baisse par rapport à 38 % en 2022) ont diminué en importance.
Ce graphique, composé de barres simples, montre le pourcentage des résultats pour les réponses de dix énoncés. Une colonne sur le côté montre le pourcentage des résultats pour 2022.
On a demandé aux répondants : « Dans la liste des enjeux ci-dessous, quels sont les trois principaux enjeux qui vous préoccupent personnellement? »
Les répondants ont sélectionné :
Q1A. Dans la liste des enjeux ci-dessous, quels sont les trois principaux enjeux qui vous préoccupent personnellement?
Base : répondants canadiens; n=3 059
Des questions traitant des opinions à l'égard d'autres pays étaient aussi posées aux répondants. Les résultats révèlent que le public canadien a un fort sentiment de citoyenneté mondiale. Un peu plus des trois quarts des répondants (77 %) disent aimer visiter d'autres pays et apprendre à connaître d'autres cultures, et à peu près la même proportion (75 %) estime avoir le devoir de s'assurer que leurs actions ne nuisent pas à des personnes vivant dans d'autres pays. Un peu plus de la moitié de la population canadienne (52 %) croit que ce qui arrive aux gens d'autres pays a une influence dans sa propre vie, alors que seuls 11 % croient avoir très peu en commun avec des gens vivant dans d'autres pays. Le suivi des données du sondage de 2022 indique que les attitudes de la population canadienne envers les autres pays sont demeurées stables au cours de la dernière année.
Ce graphique, composé de barres horizontales, montre le pourcentage des résultats de quatre énoncés dans quatre catégories : NSP/PDR, en désaccord, ni l'un ni l'autre, et d'accord. Une colonne sur le côté montre le pourcentage des résultats (d'accord) pour 2022.
On a demandé aux répondants : « Dans quelle mesure êtes-vous d'accord ou en désaccord avec l'affirmation suivante? »
Les répondants ont sélectionné :
Base : Répondants canadiens; n=3 059
Q30a-d. Veuillez indiquer si vous êtes en accord ou en désaccord avec les affirmations suivantes :
Base : répondants canadiens; n=3 059
Des questions traitant d'égalité et de compassion à l'échelle mondiale étaient posées au public canadien. Les résultats révèlent que plus de huit personnes sur dix (85 %) croient qu'il est bien d'aider les personnes dans le besoin et les trois quarts (75 %) conviennent que tous les êtres humains devraient être traités de façon équitable. La moitié des répondants (50 %) se sentirait très coupables d'ignorer les besoins des pauvres dans les pays en voie de développement, alors qu'un peu plus de quatre personnes sur dix (44 %) sont d'avis que les pays comme le Canada devraient consacrer plus d'argent à l'aide internationale parce que c'est moralement la bonne chose à faire.
Le suivi révèle une baisse de quatre points de pourcentage dans la proportion de personnes qui croient que le Canada devrait consacrer plus d'argent à l'aide internationale.
Ce graphique, composé de barres horizontales, montre le pourcentage des résultats de quatre énoncés dans quatre catégories : NSP/PDR, en désaccord, ni l'un ni l'autre, et d'accord. Une colonne sur le côté montre le pourcentage des résultats (d'accord) pour 2022.
On a demandé aux répondants : « Dans quelle mesure êtes-vous en accord ou en désaccord avec les affirmations suivantes? »
Les répondants ont sélectionné :
Base : Répondants canadiens; n=3 059
Q21A-d. Dans quelle mesure êtes-vous en accord ou en désaccord avec les affirmations suivantes?
Base : répondants canadiens; n=3 059
Lorsqu'on les interroge sur la façon de garantir la prospérité et la sécurité du Canada, la plupart des répondants (64 %, proportion identique à celle de l'an passé) croient qu'il est préférable de collaborer avec d'autres pays pour y arriver. Très peu de répondants (17 %) pensent qu'il est préférable de garantir la sécurité et la prospérité de notre pays par nous-mêmes.
Ce graphique, composé de barres horizontales, montre le pourcentage des résultats de sept groupes dans quatre catégories : NSP/PDR, par nous-mêmes, ni l'un ni l'autre, et avec d'autres pays. Une colonne sur le côté montre le pourcentage des résultats (avec d'autres pays) pour 2022.
On a demandé aux répondants : « Laquelle des affirmations suivantes reflète le mieux votre opinion concernant la manière de garantir la sécurité et la prospérité du Canada? Veuillez répondre en utilisant une échelle de 0 à 10 où 0 signifie « Il est préférable de garantir la sécurité et la prospérité du Canada par nous-mêmes » et 10 « Il est préférable de collaborer avec d'autres pays pour garantir la sécurité et la prospérité du Canada. »
Les répondants ont sélectionné :
Base : Répondants canadiens; n=3 059
Q23. Laquelle des affirmations suivantes reflète le mieux votre opinion concernant la manière de garantir la sécurité et la prospérité du Canada? Veuillez répondre en utilisant une échelle de 0 à 10 où 0 signifie « Il est préférable de garantir la sécurité et la prospérité du Canada par nous-mêmes » et 10 « Il est préférable de collaborer avec d'autres pays pour garantir la sécurité et la prospérité du Canada ».
Base : répondants canadiens; n=3 059
Pour ce qui est des points de vue sur la coexistence avec les autres êtres humains dans le monde, les deux tiers des répondants (67 %) sont d'accord pour dire que le monde est beau et grand, principalement constitué de bonnes personnes, et que nous devons éviter de nous isoler, bien que cette proportion ait diminué de quatre points de pourcentage par rapport à 2022. Seuls 16 % croient que nos vies sont menacées par les terroristes, les criminels et les immigrants, et que notre priorité devrait être de nous protéger.
Ce graphique, composé de barres horizontales, montre le pourcentage des résultats de six groupes dans trois catégories : NSP/PDR, nos vies sont menacées par les terroristes, les criminels et les immigrants, et notre priorité devrait être de nous protéger et le monde est beau et grand, principalement constitué de bonnes personnes, et nous devons trouver un moyen de nous accepter les uns les autres et éviter de nous isoler. Une colonne sur le côté montre le pourcentage des résultats (le monde est grand et beau) pour 2022.
On a demandé aux répondants : « Laquelle des deux affirmations suivantes reflète le mieux votre opinion? »
Les répondants ont sélectionné :
Base : Répondants canadiens; n=3 059
Q25. Laquelle des deux affirmations suivantes reflète le mieux votre opinion?
Base : répondants canadiens; n=3 059
Malgré une vision du monde généralement positive, lorsqu'on lui demande s'ils pensent que le monde s'améliore, empire, ou qu'il n'y a pas de changement, le public canadien démontre un certain pessimisme, 76 % étant d'accord pour dire que le monde empire et seulement 9 % estimant qu'il s'améliore. Ces résultats sont inchangés par rapport à 2022.
Ce graphique, composé de barres horizontales, montre le pourcentage des résultats de sept groupes dans quatre catégories : NSP/PDR, empire, ne change pas, et s'améliore. Deux colonnes sur le côté montrent le pourcentage des résultats (empire et s'améliore) pour 2022.
On a demandé aux répondants : « Globalement, pensez-vous que le monde s'améliore, empire, ou qu'il n'y a pas de changement? »
Les répondants ont sélectionné :
Base : Répondants canadiens; n=3 059
Q2. Tout bien considéré, pensez-vous que le monde s'améliore ou empire, ou qu'il n'y a pas de changement?
Base : répondants canadiens; n=3 059
Le public canadien était interrogé pour savoir s'il priorise un environnement durable et la lutte contre les changements climatiques, ou les besoins des populations en matière d'alimentation, de logement et de soins de santé. Les résultats sont divisés, bien qu'une plus forte proportion accorde la priorité à l'alimentation, au logement et aux soins de santé (39 %). Une moindre proportion accorde la priorité à un environnement durable et aux changements climatiques (30 %). Il est intéressant de noter qu'une proportion assez importante de répondants (28 %) n'indiquent ni l'un ni l'autre, ce qui suggère qu'ils pensent que ces deux enjeux devraient être prioritaires. Ces résultats sont en grande partie inchangés par rapport à 2022.
Ce graphique, composé de barres horizontales, montre le pourcentage des résultats de sept groupes dans quatre catégories : NSP/PDR, prioriser les besoins des populations (alimentation, logement et soins de santé), ni l'un ni l'autre, et prioriser un environnement durable et le climat. Une colonne sur le côté montre le pourcentage des résultats (environnement durable/climat) pour 2022.
On a demandé aux répondants : « Pour la question suivante, veuillez penser au monde dans son ensemble et non à des pays en particulier. Certaines personnes disent qu'il faut faire un compromis entre deux priorités, d'une part soutenir la croissance économique pour répondre aux besoins des populations en matière d'alimentation, de logement et de soins de santé et d'autre part protéger l'environnement, le climat et la fertilité des sols. À l'aide d'une échelle de 0 à 10 où 0 signifie « Prioriser les besoins des populations en matière d'alimentation, de logement et de soins de santé » et 10 « Prioriser un environnement durable et le climat », veuillez indiquer l'énoncé qui reflète le mieux votre opinion. »
Les répondants ont sélectionné :
Base : Répondants canadiens; n=3 059
Q27. À l'aide d'une échelle de 0 à 10 où 0 signifie « Prioriser les besoins des populations en matière d'alimentation, de logement et de soins de santé » et 10 « Prioriser un environnement durable et le climat », veuillez indiquer l'énoncé qui reflète le mieux votre opinion.
Base : répondants canadiens; n=3 059
Lorsqu'on leur demande la mesure dans laquelle ils croient exercer une influence sur la politique et les affaires publiques, la plupart des répondants disent avoir l'impression d'exercer peu d'influence. Seuls 15 % pensent exercer une certaine influence dans les affaires publiques, tandis qu'un peu plus de sept personnes sur dix (72 %) estiment avoir peu d'influence dans ce domaine. Le suivi suggère que les points de vue du public sur l'influence dans la politique et les affaires publiques sont restés stables au cours de la dernière année.
Ce graphique, composé de barres horizontales, montre le pourcentage des résultats de sept groupes dans quatre catégories : NSP/PDR, peu d'influence, ni l'un ni l'autre, et de l'influence. Deux colonnes sur le côté montrent le pourcentage des résultats (peu et de l'influence) pour 2022.
On a demandé aux répondants : « Sur une échelle de 0 à 10, où 0 signifie « Aucune influence » et 10 « Une très grande influence », quelle influence pensez-vous avoir sur la politique et les affaires publiques, le cas échéant? »
Les répondants ont sélectionné :
Base : Répondants canadiens; n=3 059
Q22. Sur une échelle de 0 à 10, où 0 signifie « Aucune influence » et 10 « Une très grande influence », quelle influence pensez-vous avoir sur la politique et les affaires publiques, le cas échéant?
Base : répondants canadiens; n=3 059
Les résultats du sondage indiquent que le public canadien croit fermement que le but de la démocratie est de trouver un compromis entre des points de vue divergents. Pas moins de 72 % des répondants sont d'accord avec cette affirmation, alors que seuls 10 % sont en désaccord. Ces résultats sont en grande partie semblables à ceux de 2022.
Ce graphique, composé de barres horizontales, montre le pourcentage des résultats de cinq groupes dans quatre catégories : NSP/PDR, en désaccord, ni l'un ni l'autre, et d'accord. Une colonne sur le côté montre le pourcentage des résultats (d'accord) pour 2022.
On a demandé aux répondants : « Dans quelle mesure êtes-vous en accord ou en désaccord avec l'affirmation suivante : Le but de la démocratie est de trouver un compromis entre des points de vue divergents? »
Les répondants ont sélectionné :
Base : Répondants canadiens; n=3 059
Q24. À quel point êtes-vous d'accord ou en désaccord avec l'affirmation suivante : Le but de la démocratie est de trouver un compromis entre des points de vue divergents.
Base : répondants canadiens; n=3 059
Les résultats révèlent aussi que la plupart des répondants (64 %) sont en désaccord avec l'affirmation selon laquelle les gens ont généralement ce qu'ils méritent. Seule un peu plus d'une personne sur dix (11 %) est d'accord avec cette affirmation. Les points de vue sur la question de savoir si les gens obtiennent ce qu'ils méritent sont restés stables au cours de la dernière année.
Ce graphique, composé de barres horizontales, montre le pourcentage des résultats de sept groupes dans quatre catégories : NSP/PDR, en désaccord, ni l'un ni l'autre, et d'accord. Deux colonnes sur le côté montrent le pourcentage des résultats (en désaccord et d'accord) pour 2022.
On a demandé aux répondants : « Veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes en accord ou en désaccord avec les affirmations suivante : Les gens ont généralement ce qu'ils méritent? »
Les répondants ont sélectionné :
Base : Répondants canadiens; n=3 059
Q29. Dans quelle mesure êtes-vous en accord ou en désaccord avec l'affirmation suivante : Les gens ont généralement ce qu'ils méritent.
Base : répondants canadiens; n=3 059
Les résultats du sondage révèlent un fort désaccord avec l'affirmation selon laquelle ce qui se passe dans les pays en développement a rarement une incidence sur les personnes vivant au Canada. Seul un répondant canadien sur six (17 %) est d'accord avec cette affirmation, alors que les deux tiers (65 %) sont en désaccord. Ces résultats sont semblables à ceux de 2022.
Graphique 11 : Points de vue sur les pays en développement
Ce graphique, composé de barres horizontales, montre le pourcentage des résultats de sept groupes dans quatre catégories : NSP/PDR, en désaccord, ni l'un ni l'autre, et d'accord. Deux colonnes sur le côté montrent le pourcentage des résultats (en désaccord et d'accord) pour 2022.
On a demandé aux répondants : « Dans quelle mesure êtes-vous d'accord ou en désaccord avec l'affirmation suivante : Ce qui se passe dans les pays en voie de développement a rarement des répercussions sur les gens comme moi vivant au Canada? »
Les répondants ont sélectionné :
Base : Répondants canadiens; n=3 059
Q3. À quel point êtes-vous d'accord ou en désaccord avec l'énoncé suivant : ce qui se passe dans les pays en développement touche rarement les gens comme moi qui vivent au Canada.
Base : répondants canadiens; n=3 059
La majorité des Canadiens (62 %) se dit préoccupée par l'ampleur de la pauvreté dans les pays en voie de développement, alors que seuls 12 % affirment ne pas être préoccupés par la pauvreté dans les pays pauvres. Ces résultats sont stables par rapport à 2022.
Ce graphique, composé de barres horizontales, montre le pourcentage des résultats de sept groupes dans quatre catégories : NSP/PDR, pas préoccupé, pas d'opinion tranchée, et préoccupé. Une colonne sur le côté montre le pourcentage des résultats (préoccupé) pour 2022.
On a demandé aux répondants : « Lequel des énoncés suivants décrit le mieux votre sentiment vis-à-vis de la pauvreté dans les pays en voie de développement? »
Les répondants ont sélectionné :
Base : Répondants canadiens; n=3 059
Q5. Lequel des énoncés suivants décrit le mieux votre sentiment vis-à-vis de la pauvreté dans les pays en voie de développement?
Base : répondants canadiens; n=3 059
Lorsqu'on leur demande la mesure dans laquelle diverses organisations sont capables de contribuer à la réduction de la pauvreté dans les pays en voie de développement, le public canadien estime que bon nombre de ces organisations peuvent contribuer à la réduction de la pauvreté dans le monde, mais il est moins confiant quant à la capacité du gouvernement du Canada et à sa propre capacité d'avoir une influence dans ce domaine. La majorité des répondants (62 %) croient que les entreprises peuvent contribuer à la réduction de la pauvreté dans les pays en voie de développement, suivies de près par les Nations Unies et d'autres organisations internationales (60 %), ainsi que par les ONG et les organismes de bienfaisance œuvrant dans le domaine du développement (54 %). Quelque quatre Canadiens sur dix (42 %, soit trois points de pourcentage de moins que l'an dernier) croient que le gouvernement du Canada peut contribuer à la réduction de la pauvreté dans le monde. Seuls 12 % croient qu'ils peuvent personnellement apporter leur contribution pour réduire la pauvreté dans les pays en voie de développement.
Ce graphique, composé de barres horizontales, montre le pourcentage des résultats de cinq énoncés dans quatre catégories : NSP/PDR, pas de différence, ni l'un ni l'autre, et grande différence. Une colonne sur le côté montre le pourcentage des résultats (grande différence) pour 2022.
On a demandé aux répondants : « Selon vous, quelle différence chacune des entités suivantes peut-elle faire dans la réduction de la pauvreté dans les pays en voie de développement, le cas échéant? »
Les répondants ont sélectionné :
Base : Répondants canadiens; n=3 059
Q8a-e. Selon vous, quelle différence chacune des entités suivantes peut-elle faire dans la réduction de la pauvreté dans les pays en voie de développement, le cas échéant?
Base : répondants canadiens; n=3 059
Malgré la croyance selon laquelle de nombreuses organisations peuvent contribuer à la réduction de la pauvreté dans les pays en voie de développement, les résultats révèlent un certain pessimisme quant à la possibilité de mettre fin à la pauvreté dans le monde dans un avenir proche. Lorsqu'il est question de la possibilité que l'extrême pauvreté soit éradiquée d'ici l'an 2030, une nette majorité de répondants (83 %) n'est pas d'accord avec cette affirmation, alors que seuls 4 % sont d'accord. Ce pessimisme est resté très stable par rapport à l'an passé.
Ce graphique, composé de barres horizontales, montre le pourcentage des résultats de sept groupes dans quatre catégories : NSP/PDR, d'accord, ni l'un ni l'autre, et en désaccord. Une colonne sur le côté montre le pourcentage des résultats (en désaccord) pour 2022.
On a demandé aux répondants : « Veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes en accord ou en désaccord avec les affirmations suivante. »
Les répondants ont sélectionné :
Base : Répondants canadiens; n=3 059
Q28. Dans quelle mesure êtes-vous en accord ou en désaccord avec l'affirmation suivante : L'extrême pauvreté sera éradiquée dans le monde d'ici 2030.
Base : répondants canadiens; n=3 059
Les résultats suggèrent des niveaux assez forts de soutien pour la prestation d'une aide internationale aux pays pauvres. Un peu plus de la moitié des répondants (54 %) pensent que le gouvernement du Canada devrait accorder une aide internationale aux pays en voie de développement, tandis que seuls trois sur dix (28 %) croient que le gouvernement ne devrait pas fournir ce type d'aide. Ces résultats sont semblables à ceux de 2022.
Ce graphique, composé de barres horizontales, montre le pourcentage des résultats de six groupes dans quatre catégories : NSP/PDR, pas d'aide, ni l'un ni l'autre, et aide généreuse. Deux colonnes sur le côté montrent le pourcentage des résultats (pas d'aide et aide généreuse) pour 2022.
On a demandé aux répondants : « Concernant l'aide internationale accordée aux pays en voie de développement, sur une échelle de 0 à 10, veuillez indiquer dans quelle mesure vous pensez que le gouvernement du Canada devrait contribuer à l'aide internationale, où 0 signifie que le Canada « ne devrait pas du tout contribuer » et 10 signifie que le Canada « devrait contribuer très généreusement. » »
Les répondants ont sélectionné :
Base : Répondants canadiens; n=3 059
Q6. Concernant l'aide internationale accordée aux pays en voie de développement, sur une échelle de 0 à 10, veuillez indiquer dans quelle mesure vous pensez que le gouvernement du Canada devrait contribuer à l'aide internationale, où 0 signifie que le Canada « ne devrait pas du tout contribuer » et 10 signifie que le Canada « devrait contribuer très généreusement ».
Base : répondants canadiens; n=3 059
Les répondants canadiens devaient indiquer s'ils pensent que le gouvernement du Canada devrait augmenter ou diminuer le budget qu'il consacre à l'aide internationale aux pays en voie de développement. Les résultats révèlent des points de vue mitigés sur cette question. La plupart (33 %) déclarent que le gouvernement devrait augmenter le budget consacré à l'aide internationale, mais une personne sur quatre (25 %) est d'avis qu'il faudrait le diminuer. Un répondant sur trois (33 %) estime que le montant devrait rester le même. Le suivi révèle que la proportion de répondants qui croient que le Canada devrait augmenter ses dépenses en aide internationale a diminué de quatre points de pourcentage par rapport à 2022.
Ce graphique, composé de barres horizontales, montre le pourcentage des résultats de sept groupes dans quatre catégories : NSP/PDR, diminution, resté pareil, et augmentation. Deux colonnes sur le côté montrent le pourcentage des résultats (diminution et augmentation) pour 2022.
On a demandé aux répondants : « Sur les 628,9 milliards de dollars canadiens de son budget total pour l'exercice 2020-2021, le gouvernement du Canada a consacré environ 1,3 % (soit 8,2 milliards de dollars canadiens) à l'aide internationale fédérale pour les pays pauvres. Pensez-vous que le gouvernement devrait augmenter ou diminuer le budget qu'il consacre à l'aide internationale pour les pays pauvres? »
Les répondants ont sélectionné :
Base : Répondants canadiens; n=3 059
Q7. Sur les 362,9 milliards de $ de son budget total, le gouvernement du Canada consacre environ 1,8 % (soit 6,6 milliards de $) à l'aide internationale fédérale pour les pays pauvres. Pensez-vous que le gouvernement devrait augmenter ou diminuer le budget qu'il consacre à l'aide internationale pour les pays pauvres?
Base : répondants canadiens; n=3 059
Les répondants devaient ensuite donner leur avis sur le principal objectif de l'aide internationale envoyée aux pays en voie de développement : réduire la pauvreté ou favoriser les intérêts du Canada. Une majorité claire de répondants (59 %) disent que le but premier du budget d'aide internationale du Canada devrait être de réduire la pauvreté dans les pays en voie de développement, alors que seuls 14 % croient que l'objectif principal devrait être de favoriser les intérêts nationaux du Canada. Ces résultats sont en grande partie stables par rapport à 2022.
Ce graphique, composé de barres horizontales, montre le pourcentage des résultats de six groupes dans quatre catégories : NSP/PDR, l'objectif prioritaire de l'aide financière du gouvernement du Canada devrait être de favoriser les intérêts du Canada, l'objectif prioritaire de l'aide financière du gouvernement du Canada devrait être de réduire la pauvreté dans les pays en voie de développement et de favoriser les intérêts du Canada, et l'objectif prioritaire de l'aide financière du gouvernement du Canada devrait être de réduire la pauvreté dans les pays en voie de développement. Une colonne sur le côté montre le pourcentage des résultats (réduire la pauvreté) pour 2022.
On a demandé aux répondants : « Le gouvernement du Canada donne de l'argent aux pays en voie de développement. Veuillez utiliser l'échelle ci-dessous pour indiquer quelle devrait être, selon vous, l'objectif prioritaire de cette aide. »
Les répondants ont sélectionné :
Base : Répondants canadiens; n=3 059
Q16. Le gouvernement du Canada donne de l'argent aux pays en voie de développement. Veuillez utiliser l'échelle ci-dessous pour indiquer quelle devrait être, selon vous, l'objectif prioritaire de cette aide.
Base : répondants canadiens; n=3 059
Quelques questions traitaient des attitudes des répondants à l'égard de l'aide internationale. Les résultats révèlent que pas moins de 70 % des personnes interrogées conviennent que l'aide internationale améliore la vie de populations en offrant un accès à de l'éducation, à des soins de santé, à de l'eau potable et à des installations sanitaires. Cependant, moins de la moitié convient que l'aide internationale renforce l'influence du Canada sur la scène politique internationale (47 %) ou qu'elle améliore la croissance économique de pays en voie de développement (45 %). Seule une personne sur trois (33 %) est d'avis que l'aide internationale contribue à promouvoir la sécurité nationale du Canada. Ces résultats sont semblables à ceux de 2022.
Ce graphique, composé de barres horizontales, montre le pourcentage des résultats de quatre énoncés dans quatre catégories : NSP/PDR, en désaccord, ni l'un ni l'autre, et d'accord. Une colonne sur le côté montre le pourcentage des résultats (d'accord) pour 2022.
On a demandé aux répondants : « Dans quelle mesure êtes-vous en accord ou en désaccord avec les affirmations suivantes à propos de l'aide fournie par le Canada aux pays en voie de développement? »
Les répondants ont sélectionné :
Base : Répondants canadiens; n=3 059
Q18a-d. Dans quelle mesure êtes-vous en accord ou en désaccord avec les affirmations suivantes à propos de l'aide fournie par le Canada aux pays en voie de développement?
Base : répondants canadiens; n=3 059
Les résultats du sondage révèlent des points de vue assez négatifs sur certains aspects de l'aide internationale. Plus de la moitié des répondants affirme qu'une grande partie de l'aide internationale du Canada finit dans les poches de responsables politiques corrompus dans les pays en voie de développement (56 %) et croit que la majorité de l'aide internationale ne parvient pas aux destinataires voulus (54 %). En outre, un peu plus de quatre personnes sur dix (41 %) pensent que la majorité de l'aide internationale sert à financer des programmes qui ne contribuent pas à réduire la pauvreté. Toutefois, en dépit de points de vue mitigés sur l'aide internationale, seule un peu moins d'une personne sur quatre (23 %) estime que le Canada ne peut pas se permettre d'avoir des programmes d'aide internationale. Encore une fois, ces résultats demeurent en grande partie inchangés par rapport à 2022.
Ce graphique, composé de barres horizontales, montre le pourcentage des résultats de quatre énoncés dans quatre catégories : NSP/PDR, en désaccord, ni l'un ni l'autre, et d'accord. Une colonne sur le côté montre le pourcentage des résultats (d'accord) pour 2022.
On a demandé aux répondants : « Dans quelle mesure êtes-vous en accord ou en désaccord avec les affirmations suivantes à propos de l'aide fournie par le Canada aux pays en voie de développement? »
Les répondants ont sélectionné :
Base : Répondants canadiens; n=3 059
Q19a-d. Dans quelle mesure êtes-vous en accord ou en désaccord avec les affirmations suivantes relatives à l'aide fournie par le gouvernement du Canada aux pays en développement?
Base : répondants canadiens; n=3 059
Les personnes sondées devaient répondre à des questions sur l'efficacité des dépenses du gouvernement consacrées à l'aide internationale. Près de trois répondants sur dix (29 %, en hausse de trois points de pourcentage par rapport aux résultats de 2022) affirment que les dépenses du gouvernement consacrées à l'aide internationale sont efficaces, tandis qu'une plus grande proportion (42 %) estime toujours qu'elles sont inefficaces.
Ce graphique, composé de barres horizontales, montre le pourcentage des résultats de sept groupes dans quatre catégories : NSP/PDR, inefficace, ni l'un ni l'autre, et efficace. Deux colonnes sur le côté montrent le pourcentage des résultats (inefficace et efficace) pour 2022.
On a demandé aux répondants : « Globalement, sur une échelle de 0 à 10 où 0 signifie « très inefficace » et 10 signifie « très efficace », comment évaluez-vous l'efficacité de l'aide internationale apportée par le gouvernement du Canada.? »
Les répondants ont sélectionné :
Base : Répondants canadiens; n=3 059
Q9. Globalement, sur une échelle de 0 à 10 où 0 signifie « très inefficace » et 10 signifie « très efficace », comment évaluez-vous l'efficacité de l'aide internationale apportée par le gouvernement du Canada?
Base : répondants canadiens; n=3 059
Les répondants devaient ensuite classer les priorités les plus importantes des dépenses gouvernementales en matière d'aide internationale aux pays en voie de développement. L'accès à l'eau potable est considéré comme la priorité absolue (44 %), suivi par l'éducation (39 %) et par l'accès aux soins de santé (37 %). Ces résultats sont demeurés en grande partie stables au cours de la dernière année.
Ce graphique, composé de barres simples, montre le pourcentage des résultats pour les réponses de huit énoncés. Une colonne sur le côté montre le pourcentage des résultats pour 2022.
On a demandé aux répondants : « En lien avec l'aide internationale accordée par le gouvernement du Canada aux pays en voie de développement, veuillez indiquer quelles sont les première, deuxième et troisième priorités, selon vous. »
Les répondants ont sélectionné :
Base : Répondants canadiens; n=3 059
Q17. En lien avec l'aide internationale accordée par le gouvernement du Canada aux pays en voie de développement, veuillez indiquer quelles sont les première, deuxième et troisième priorités, selon vous.
Base : répondants canadiens; n=3 059
Ce graphique, composé de barres simples, montre le pourcentage des résultats pour les réponses de sept énoncés. Une colonne sur le côté montre le pourcentage des résultats pour 2022.
On a demandé aux répondants : « En lien avec l'aide internationale accordée par le gouvernement du Canada aux pays en voie de développement, veuillez indiquer quelles sont les première, deuxième et troisième priorités, selon vous. »
Les répondants ont sélectionné :
Base : Répondants canadiens; n=3 059
Q17. En lien avec l'aide internationale accordée par le gouvernement du Canada aux pays en voie de développement, veuillez indiquer quelles sont les première, deuxième et troisième priorités, selon vous.
Base : répondants canadiens; n=3 059
Les répondants devaient décrire leur sentiment vis-à-vis du budget que le gouvernement du Canada consacre à l'aide aux populations des pays en voie de développement. Les résultats révèlent des sentiments mitigés, sans qu'aucun sentiment dominant ne soit exprimé. Près d'une personne sur quatre affirme se sentir pleine d'espoir, enthousiaste, optimiste (24 %), tandis qu'une proportion semblable se sent indifférente, réservée ou calme en la matière (23 %). Une proportion assez importante se sent exaspérée, lasse ou fatiguée (19 %), ou encore anxieuse, malheureuse ou insatisfaite (16 %). Toutefois, une proportion semblable exprime des sentiments plus positifs à l'égard de la question de l'aide du gouvernement du Canada aux pays en voie de développement : fière, encouragée, stimulée (16 %) et contente, satisfaite, ravie (16 %). Ces résultats sont en grande partie inchangés par rapport à 2022.
Ce graphique, composé de barres simples, montre le pourcentage des résultats pour les réponses de quatorze énoncés. Une colonne sur le côté montre le pourcentage des résultats pour 2022.
On a demandé aux répondants : « Lesquels des mots suivants, le cas échéant, décrivent de façon générale vos sentiments vis-à-vis de l'aide financière apportée par le gouvernement du Canada aux populations des pays en voie de développement? [Cochez quatre options maximum] »
Les répondants ont sélectionné :
Base : Répondants canadiens; n=3 059
Q15. Lesquels des mots suivants, le cas échéant, décrivent de façon générale vos sentiments vis-à-vis de l'aide financière apportée par le gouvernement du Canada aux populations des pays en voie de développement? [Veuillez cocher quatre options maximum]
Base : répondants canadiens; n=3 059
Malgré des points de vue mitigés sur l'aide internationale, la moitié des répondants (50 %) croit que l'aide internationale aide les pays à devenir autosuffisants plutôt que de les rendre trop dépendants de la charité publique (27 %). Ces résultats sont semblables à ceux obtenus l'an passé.
Ce graphique, composé de barres horizontales, montre le pourcentage des résultats de sept groupes dans quatre catégories : NSP/PDR, l'aide internationale rend les pays trop dépendants de la charité publique, ni l'un ni l'autre, et l'aide internationale aide les pays à devenir autosuffisants. Une colonne sur le côté montre le pourcentage des résultats (devenir autosuffisants) pour 2022.
On a demandé aux répondants : « Veuillez indiquer laquelle des affirmations suivantes se rapproche le plus de votre opinion à l'aide d'une échelle de 0 à 10 où 0 signifie que « l'aide internationale rend les pays trop dépendants de la charité publique » et 10 signifie que « l'aide internationale aide les pays à devenir autosuffisants ».
Les répondants ont sélectionné :
Base : Répondants canadiens; n=3 059
Q20. Veuillez indiquer laquelle des affirmations suivantes se rapproche le plus de votre opinion à l'aide d'une échelle de 0 à 10 où 0 signifie que « l'aide internationale rend les pays trop dépendants de la charité publique » et 10 signifie que « l'aide internationale aide les pays à devenir autosuffisants ».
Base : répondants canadiens; n=3 059
Les personnes interrogées devaient ensuite répondre à des questions au sujet de leur intérêt envers les enjeux de la pauvreté dans le monde et du développement. Les résultats suggèrent que le public canadien s'intéresse dans une grande mesure à ce domaine. Au cours de la dernière année, 80 % des répondants disent avoir lu, regardé ou écouté un article de presse sur la pauvreté et sur le développement dans le monde, et près des deux tiers (64 %) déclarent avoir discuté de la pauvreté dans le monde avec leurs amis, leur famille ou d'autres personnes. Une minorité considérable (30 %) dit avoir diffusé ou envoyé un article ou des informations à ce sujet au cours de la dernière année. Ces résultats sont en grande partie semblables à ceux de 2022.
Ce graphique, composé de barres horizontales, montre le pourcentage des résultats de trois énoncés dans trois catégories : NSP/PDR, je ne l'ai pas fait, et je l'ai fait. Une colonne sur le côté montre le pourcentage des résultats (a fait) pour 2022.
On a demandé aux répondants : « En matière de lutte contre la pauvreté et du développement international, lesquelles des mesures suivantes avez-vous prises, au cours des douze derniers mois, le cas échéant? »
Les répondants ont sélectionné :
Base : Répondants canadiens; n=3 059
Q11A-c. En matière de lutte contre la pauvreté et du développement international, lesquelles des mesures suivantes avez-vous prises, au cours des douze derniers mois, le cas échéant?
Base : répondants canadiens; n=3 059
Lorsqu'on leur demande si les nouvelles qu'ils ont lues, entendues, vues ou diffusées sur la pauvreté dans le monde sont en général positives ou négatives, la plupart des répondants mentionnent qu'elles sont négatives. Les deux tiers (67 %) disent que les nouvelles auxquelles ils ont été exposés sur la pauvreté dans le monde sont plus négatives que positives, tandis que seuls 14 % affirment le contraire. Ces résultats demeurent en grande partie inchangés par rapport à 2022.
Ce graphique, composé de barres horizontales, montre le pourcentage des résultats de six groupes dans quatre catégories : NSP/PDR, plus positif que négatif, et plus négatif que positif. Une colonne sur le côté montre le pourcentage des résultats (plus négatif que positif) pour 2022.
On a demandé aux répondants : « En lien avec les informations que vous avez lues/vues /partagées ou des discussions que vous avez eues à propos de la pauvreté dans le monde, diriez-vous que leur contenu était positif ou négatif? Dans l'ensemble, ce contenu était...? »
Les répondants ont sélectionné :
Base : Répondants canadiens; n=3 059
Q12. En lien avec les informations que vous avez lues/vues/partagées ou des discussions que vous avez eues à propos de la pauvreté dans le monde, diriez-vous que leur contenu était positif ou négatif? Dans l'ensemble, ce contenu était…
Base : répondants canadiens; n=3 059
Les personnes interrogées devaient indiquer si elles avaient fait un don en argent à une ONG internationale ou à un organisme de bienfaisance œuvrant dans le domaine de la pauvreté et du développement dans le monde au cours des douze derniers mois. Près d'un répondant sur trois (32 %) déclare avoir fait un don d'argent à une ONG internationale ou à un organisme de bienfaisance. Toutefois, la majorité des répondants (65 %) ne l'a pas fait. Le suivi suggère que les niveaux de dons sont restés en grande partie stables par rapport à 2022.
Ce graphique, composé de barres horizontales, montre le pourcentage des résultats de sept groupes dans trois catégories : NSP/PDR, oui, et non. Une colonne sur le côté montre le pourcentage des résultats (non) pour 2022.
On a demandé aux répondants : « En ce qui concerne la pauvreté et le développement dans le monde, avez-vous fait un don à une ONG ou un organisme de bienfaisance internationale qui œuvre dans ce domaine au cours des douze derniers mois? »
Les répondants ont sélectionné :
Base : Répondants canadiens; n=3 059
Q4. En ce qui concerne la pauvreté et le développement dans le monde, avez-vous fait don d'argent à une ONG ou à une association caritative internationale qui travaille dans ce domaine au cours des douze derniers mois?
Base : répondants canadiens; n=3 059
Les répondants devaient préciser s'ils ont été actifs au sein d'un organisme de bienfaisance ou d'un groupe œuvrant dans le domaine du développement au cours de la dernière année. Les résultats révèlent une participation limitée. Seule un peu moins d'une personne sur cinq (19 %) dit être devenu membre d'un organisme de bienfaisance ou d'un groupe œuvrant dans le domaine du développement au cours de la dernière année ou s'être abonné à leur bulletin d'information, alors qu'une personne sur dix (10 %) déclare avoir fait du bénévolat dans un organisme de bienfaisance œuvrant dans le domaine de la pauvreté dans le monde au cours de la même période. Ces résultats demeurent inchangés par rapport à 2022.
Ce graphique, composé de barres horizontales, montre le pourcentage des résultats de deux énoncés dans trois catégories : NSP/PDR, je ne l'ai pas fait, et je l'ai fait. Une colonne sur le côté montre le pourcentage des résultats (je l'ai fait) pour 2022.
On a demandé aux répondants : « Parmi les activités suivantes relatives à la pauvreté dans le monde et au développement des pays en voie de développement, lesquelles avez-vous, le cas échéant, effectuées au cours des douze derniers mois? »
Les répondants ont sélectionné :
Base : Répondants canadiens; n=3 059
Q13A-b. Parmi les activités suivantes relatives à la pauvreté dans le monde et au développement des pays en voie de développement, lesquelles avez-vous, le cas échéant, effectuées au cours des douze derniers mois?
Base : répondants canadiens; n=3 059
Les personnes sondées devaient indiquer les actions qu'elles ont réalisées pour soutenir des mesures visant à résoudre le problème de la pauvreté dans le monde ou pour s'y opposer. La plupart disent n'avoir pris aucune des mesures mentionnées dans le sondage. Un peu plus d'une personne sur trois (35 %, en baisse par rapport aux 39 % obtenus en 2022) affirme avoir acheté ou boycotté des produits ou services pour soutenir les efforts visant à réduire la pauvreté dans le monde. Un peu plus d'un répondant sur cinq (22 %, en baisse de trois points de pourcentage par rapport aux résultats de l'an passé) déclare avoir pris des mesures comme signer une pétition ou rédiger un billet de blogue pour soutenir les efforts de lutte contre la pauvreté dans le monde. Très peu affirment avoir communiqué avec un député ou avec un autre représentant élu (9 %), ou avoir participé à une marche, à un rassemblement, à une manifestation ou à un autre événement important (4 %) pour soutenir les efforts de lutte contre la pauvreté dans le monde. Très peu ont pris des mesures pour s'opposer aux efforts visant à lutter contre la pauvreté dans le monde.
Ce graphique, composé de barres horizontales, montre le pourcentage des résultats de quatre énoncés dans quatre catégories : NSP/PDR, je ne l'ai pas fait, je l'ai fait pour m'opposer aux efforts, et je l'ai fait pour soutenir les efforts. Une colonne sur le côté montre le pourcentage des résultats (je l'ai fait pour soutenir les efforts) pour 2022.
On a demandé aux répondants : « Parmi les actions suivantes, lesquelles avez-vous réalisées au cours des douze derniers mois pour soutenir ou vous opposer aux mesures visant à résoudre la pauvreté dans le monde? »
Les répondants ont sélectionné :
Base : Répondants canadiens; n=3 059
Q14a-d. Parmi les actions suivantes, lesquelles avez-vous réalisées au cours des douze derniers mois pour soutenir ou vous opposer aux mesures visant à résoudre la pauvreté dans le monde?
Base : répondants canadiens; n=3 059
Les répondants étaient invités à évaluer le niveau de confiance qu'ils ont envers les ONG et les organismes de bienfaisance œuvrant dans le domaine du développement international. Les résultats révèlent des points de vue mitigés sur cette question. Un peu plus de quatre personnes sur dix (41 %) disent se fier à ces types d'organisations, mais à peu près la même proportion (40 %) déclare leur faire peu confiance. Le suivi révèle que la confiance dans les ONG et les organismes de bienfaisance œuvrant dans le domaine du développement international est restée stable au cours de la dernière année.
Ce graphique, composé de barres horizontales, montre le pourcentage des résultats de six groupes dans quatre catégories : NSP/PDR, pas confiance, ni l'un ni l'autre, et confiance. Deux colonnes sur le côté montrent le pourcentage des résultats (pas confiance et confiance) pour 2022.
On a demandé aux répondants : « En règle générale, à quel point faites-vous confiance aux ONG et aux organismes de bienfaisance de développement international, le cas échéant? »
Les répondants ont sélectionné :
Base : Répondants canadiens; n=3 059
Q10. En règle générale, à quel point faites-vous confiance aux ONG et aux organismes de bienfaisance de développement international, le cas échéant?
Base : répondants canadiens; n=3 059
En ce qui concerne les points de vue sur les partenariats entre des entreprises du secteur privé et des organismes de bienfaisance, les résultats révèlent à nouveau des points de vue mitigés. Un peu plus de la moitié des répondants (53 %) est d'accord pour dire que les entreprises du secteur privé qui travaillent en partenariat avec des organismes de bienfaisance essaient simplement de redorer leur réputation et d'améliorer leur marque. Toutefois, à peu près la même proportion (52 %) pense que les partenariats avec des entreprises du secteur privé sont un moyen intelligent pour les organismes de bienfaisance d'accroître leurs ressources et leur influence. Un peu plus de quatre personnes sur dix (41 %) estiment que les partenariats entre les entreprises et les organismes de bienfaisance exploitent efficacement le pouvoir des entreprises pour atteindre des objectifs sociaux plus larges, et près d'une personne sur quatre (24 %) croit que les organismes de bienfaisance qui s'associent à des entreprises du secteur privé se mettent dans une situation compromettante et sont moins dignes de confiance. Ces résultats sont en grande partie inchangés par rapport à ceux de 2022.
Ce graphique, composé de barres horizontales, montre le pourcentage des résultats de quatre énoncés dans quatre catégories : NSP/PDR, en désaccord, ni l'un ni l'autre, et d'accord. Une colonne sur le côté montre le pourcentage des résultats (d'accord) pour 2022.
On a demandé aux répondants : « Voici des énoncés sur le partenariat entre des entreprises du secteur privé et des organismes de bienfaisance. Veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d'accord ou en désaccord avec chacune de ces affirmations. »
Les répondants ont sélectionné :
Base : Répondants canadiens; n=3 059
Q31a-d. Voici des énoncés sur le partenariat entre des entreprises du secteur privé et des organismes de bienfaisance. Veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d'accord ou en désaccord avec chacune de ces affirmations.
Base : répondants canadiens; n=3 059
Les résultats démontrent qu'une grande majorité de répondants (61 %) estime qu'il est important que les grandes ONG de développement international collaborent avec des ONG locales pour offrir des programmes d'aide et du financement, tandis que seuls 9 % sont d'avis que ce n'est pas important. Ces résultats sont semblables à ceux de 2022.
Ce graphique, composé de barres horizontales, montre le pourcentage des résultats de six groupes dans quatre catégories : NSP/PDR, pas important, ni l'un ni l'autre, et important. Une colonne sur le côté montre le pourcentage des résultats (important) pour 2022.
On a demandé aux répondants : « À quel point est-il important pour vous que les grandes ONG de développement international collaborent avec les ONG locales pour offrir des programmes d'aide et du financement? »
Les répondants ont sélectionné :
Base : Répondants canadiens; n=3 059
Q34. À quel point est-il important pour vous que les grandes ONG de développement international collaborent avec les ONG locales pour offrir des programmes d'aide et du financement?
Base : répondants canadiens; n=3 059
Les résultats suggèrent que les répondants ont une connaissance limitée des objectifs de développement durable des Nations Unies. Une personne sur cinq (20 %) dit les connaître, alors qu'un peu plus d'un répondant sur trois (34 %) affirme avoir entendu ou lu quelque chose à leur sujet, mais sans savoir vraiment de quoi il s'agit. Une plus grande proportion (43 %) affirme ne jamais avoir entendu parler de ces objectifs. Le suivi révèle que la connaissance des Objectifs de développement durable des Nations Unies est restée en grande partie stable au cours de la dernière année.
Ce graphique, composé de barres horizontales, montre le pourcentage des résultats de six groupes dans quatre catégories : NSP/PDR, non, oui mais je ne sais pas vraiment de quoi il s'agit, et oui et je sais de quoi il s'agit. Une colonne sur le côté montre le pourcentage des résultats (oui, je sais de quoi il s'agit) pour 2022.
On a demandé aux répondants : « Avez-vous déjà entendu parler des Objectifs de développement durable des Nations Unies ou lu quelque chose à ce sujet? »
Les répondants ont sélectionné :
Base : Répondants canadiens; n=3 059
Q26. Avez-vous déjà entendu parler des Objectifs de développement durable des Nations Unies ou lu quelque chose à ce sujet?
Base : répondants canadiens; n=3 059
La recherche consistait en un coup de sonde en ligne à l'endroit de 3 059 Canadiens et Canadiennes. Les résultats sont valides avec une marge d'erreur de +/- 1,8 point de pourcentage, 19 fois sur 20. Le sondage a été effectué dans les deux langues officielles partout au Canada. Les données du sondage ont été recueillies du 16 janvier au 5 février 2023.
Veuillez noter que les symboles figurant dans les tableaux de données (annexe C) représentent les niveaux de signification. Notre logiciel de recoupement effectue des tests de signification entre chaque colonne et le reste de l'échantillon. Si notre logiciel détecte une différence considérable entre ces deux éléments, des plus et des moins s'affichent en fonction de la légende ci-dessous.
Niveau de signification | Caractère(s) affiché(s) |
---|---|
0,999 | ++++ |
0,99 | +++ |
0,95 | ++ |
0,9 | + |
-0,999 | ---- |
-0,99 | --- |
-0,95 | -- |
-0,9 | - |
Vous trouverez ci-dessous plus de détails sur la méthodologie associée à cette recherche.
Nous avons eu recours à Probit, notre panel probabiliste en ligne, pour mener ce sondage. Probit est un panel de recherche en ligne qu'a mis sur pied Ekos pour collecter des données statistiquement représentatives. Le panel couvre la totalité de la population canadienne (Internet, téléphone, cellulaire), fait du recrutement aléatoire (les participants sont recrutés de façon aléatoire et ne choisissent pas eux-mêmes de faire partie de notre panel) et offre de l'échantillonnage avec probabilités égales. Tous les répondants de notre panel sont recrutés par téléphone à l'aide d'un système d'appel aléatoire et leurs renseignements démographiques sont confirmés par des enquêteurs de vive voix.
La distribution du processus de recrutement du panel reflète la population réelle du Canada (comme la définit Statistique Canada). À ce titre, le panel peut être considéré comme représentatif du grand public (les résultats des sondages menés auprès de notre panel en ligne tiennent compte des intervalles de confiance et présentent des estimations de la marge d'erreur). La taille globale du panel est d'environ 100 000 ménages canadiens. Pour les attributions de recherche personnelle, des échantillons aléatoires stratifiés sont prélevés de la base de données du panel.
Ekos a mené le sondage en utilisant un questionnaire sécurisé sur le Web. La durée moyenne pour répondre au sondage était de 20,2 minutes.
Tous les répondants avaient la possibilité de répondre au sondage dans la langue officielle de leur choix. Tous les travaux de recherche ont été effectués conformément aux normes pour la recherche sur l'opinion publique effectuée par le gouvernement du Canada – Sondages en ligne et à d'autres normes reconnues de l'industrie, ainsi qu'avec des lois fédérales en vigueur (Loi sur la protection des renseignements personnels, Loi sur la protection des renseignements personnels et les documents électroniques et Loi sur l'accès à l'information).
À la suite de leur collecte, les données ont été pondérées statistiquement par âge, par genre et par région afin d'assurer la représentativité de l'échantillon par rapport à la population canadienne selon les données du recensement de 2016.
Le taux de réponse au sondage est de 16,9 %. Le taux de réponse est calculé comme suit : en tout, 18 079 invitations par courriel ont été envoyées; 18 nous sont revenues, pour un total de 18 061 courriels valides. En tout, 3 059 sondages ont été achevés : si l'on divise 3 059 par 18 061, on obtient un taux de réponse de 16,9 %. Ce taux de réponse est semblable à celui des autres sondages en ligne que nous avons effectués avec un questionnaire d'une longueur semblable.
Le tableau ci-dessous présente un profil de l'échantillon final, comparativement à la population réelle du Canada (données du recensement de 2021). Comme c'est le cas pour la plupart des sondages, l'échantillon final sous-représente les gens qui n'ont fait que des études secondaires ou qui ont un niveau de scolarité inférieur, ce qui est une tendance typique des enquêtes d'opinion publique au Canada, c'est-à-dire que les gens qui ont un niveau de scolarité plus élevé sont plus susceptibles de répondre aux sondages.
Type d’échantillon | Échantillon* | Canada (recensement de 2021) |
---|---|---|
Sexe (18+) | ||
Homme | 49 % | 49 % |
Femme | 51 % | 51 % |
Âge | ||
18 à 34 ans | 22 % | 27 % |
35 à 54 ans | 37 % | 32 % |
55 ans et + | 41 % | 41 % |
Niveau de scolarité | ||
Diplôme d’études secondaires ou moins | 20 % | 35 % |
École de métiers, établissement collégial ou postsecondaire, sans diplôme | 36 % | 36 % |
Diplôme universitaire | 44 % | 29 % |
Merci pour votre participation à ce sondage. Ekos Research Associates, une société canadienne de recherche sur l'opinion publique, réalise le sondage au nom du gouvernement du Canada.
If you prefer to answer the survey in English, please click on English.
Votre participation est facultative et vos réponses demeureront confidentielles et anonymes. Il faut environ 15 minutes pour répondre au sondage, qui est géré par Les Associés de recherche Ekos en conformité avec à la Loi sur la protection des renseignements personnels. Pour consulter notre politique de confidentialité, cliquez ici.
Si vous avez besoin d'assistance technique, veuillez communiquer avec nous à online@ekos.com.
Dans la liste des enjeux ci-dessous, quels sont les trois principaux enjeux qui vous préoccupent personnellement ? (choisissez seulement trois dans la liste)
Dans la liste des enjeux ci-dessous, quels sont les trois principaux enjeux qui vous préoccupent personnellement ? (choisissez seulement trois dans la liste)
Dans la liste des enjeux ci-dessous, quels sont les trois principaux enjeux qui vous préoccupent personnellement ? (choisissez seulement trois dans la liste)
Globalement, pensez-vous que le monde s'améliore, empire, ou qu'il n'y a pas de changement?
Dans quelle mesure êtes-vous d'accord ou en désaccord avec l'affirmation suivante? Ce qui se passe dans les pays en voie de développement a rarement des répercussions sur les gens comme moi vivant au Canada.
En ce qui concerne la pauvreté et le développement dans le monde, avez-vous fait un don à une ONG ou un organisme de bienfaisance internationale qui œuvre dans ce domaine au cours des douze derniers mois?
Lequel des énoncés suivants décrit le mieux votre sentiment vis-à-vis de la pauvreté dans les pays en voie de développement?
Concernant l'aide internationale accordée aux pays en voie de développement, sur une échelle de 0 à 10, veuillez indiquer dans quelle mesure vous pensez que le gouvernement du Canada devrait contribuer à l'aide internationale, où 0 signifie que le Canada « ne devrait pas du tout contribuer » et 10 signifie que le Canada « devrait contribuer très généreusement ».
Sur les 628,9 milliards de dollars canadiens de son budget total pour l'exercice 2020-2021, le gouvernement du Canada a consacré environ 1,3 % (soit 8,2 milliards de dollars canadiens) à l'aide internationale fédérale pour les pays pauvres. Pensez-vous que le gouvernement devrait augmenter ou diminuer le budget qu'il consacre à l'aide internationale pour les pays pauvres?
Selon vous, quelle différence chacune des entités suivantes peut-elle faire dans la réduction de la pauvreté dans les pays en voie de développement, le cas échéant?
Vous personnellement
Selon vous, quelle différence chacune des entités suivantes peut-elle faire dans la réduction de la pauvreté dans les pays en voie de développement, le cas échéant?
Le gouvernement du Canada
Selon vous, quelle différence chacune des entités suivantes peut-elle faire dans la réduction de la pauvreté dans les pays en voie de développement, le cas échéant?
Les organismes de bienfaisance/ONG œuvrant dans le domaine du développement
Selon vous, quelle différence chacune des entités suivantes peut-elle faire dans la réduction de la pauvreté dans les pays en voie de développement, le cas échéant?
Les entreprises /grandes sociétés
Selon vous, quelle différence chacune des entités suivantes peut-elle faire dans la réduction de la pauvreté dans les pays en voie de développement, le cas échéant?
Les Nations Unies et les autres organisations internationales
Globalement, sur une échelle de 0 à 10 où 0 signifie « très inefficace » et 10 signifie « très efficace », comment évaluez-vous l'efficacité de l'aide internationale apportée par le gouvernement du Canada.
En règle générale, à quel point faites-vous confiance aux ONG et aux organismes de bienfaisance de développement international, le cas échéant?
La prochaine série de questions porte sur ce que vous avez fait, le cas échéant, en lien avec la pauvreté et le développement dans le monde.
En matière de lutte contre la pauvreté et du développement international, lesquelles des mesures suivantes avez-vous prises, au cours des douze derniers mois, le cas échéant?
Lire un article, regarder ou écouter un reportage à ce sujet (en ligne ou hors ligne)
En matière de lutte contre la pauvreté et du développement international, lesquelles des mesures suivantes avez-vous prises, au cours des douze derniers mois, le cas échéant?
Discuter de ce sujet avec des amis, des membres de votre famille ou d'autres personnes
En matière de lutte contre la pauvreté et du développement international, lesquelles des mesures suivantes avez-vous prises, au cours des douze derniers mois, le cas échéant?
Partager ou envoyer un article ou des informations à ce sujet (en ligne ou hors ligne)
En lien avec les informations que vous avez lues/vues/partagées ou des discussions que vous avez eues à propos de la pauvreté dans le monde, diriez-vous que leur contenu était positif ou négatif?
Dans l'ensemble, ce contenu était...
Parmi les activités suivantes relatives à la pauvreté dans le monde et au développement des pays en voie de développement, lesquelles avez-vous, le cas échéant, effectuées au cours des douze derniers mois?
Faire du bénévolat pour une organisation ou un organisme de bienfaisance travaillant dans ce domaine, au Canada ou à l'étranger
Parmi les activités suivantes relatives à la pauvreté dans le monde et au développement des pays en voie de développement, lesquelles avez-vous, le cas échéant, effectuées au cours des douze derniers mois?
Devenir membre, suivre, aimer ou vous abonner au bulletin d'information d'un organisme de bienfaisance ou d'une ONG internationale engagée sur ces questions
Parmi les actions suivantes, lesquelles avez-vous réalisées au cours des douze derniers mois pour soutenir ou vous opposer aux mesures visant à résoudre la pauvreté dans le monde?
Exprimer votre opinion pour exercer une influence sur cette question (p. ex., en signant une pétition, écrire un blog, etc.)
Parmi les actions suivantes, lesquelles avez-vous réalisées au cours des douze derniers mois pour soutenir ou vous opposer aux mesures visant à résoudre la pauvreté dans le monde?
Contacter un député ou un autre élu (en personne, au téléphone, par courrier ou par le biais de Twitter, Facebook ou d'un autre réseau social)
Parmi les actions suivantes, lesquelles avez-vous réalisées au cours des douze derniers mois pour soutenir ou vous opposer aux mesures visant à résoudre la pauvreté dans le monde?
Participer à une manifestation, un rassemblement, une marche ou à un autre événement sur cette question
Parmi les actions suivantes, lesquelles avez-vous réalisées au cours des douze derniers mois pour soutenir ou vous opposer aux mesures visant à résoudre la pauvreté dans le monde?
Acheter des produits ou boycotter des produits/services en rapport avec cette question (p. ex., en achetant des produits dans la boutique d'un organisme de bienfaisance)
Lesquels des mots suivants, le cas échéant, décrivent de façon générale vos sentiments vis-à-vis de l'aide financière apportée par le gouvernement du Canada aux populations des pays en voie de développement?
Veuillez cocher quatre options maximum
Le gouvernement du Canada donne de l'argent aux pays en voie de développement. Veuillez utiliser l'échelle ci-dessous pour indiquer quelle devrait être, selon vous, l'objectif prioritaire de cette aide.
En lien avec l'aide internationale accordée par le gouvernement du Canada aux pays en voie de développement, veuillez indiquer quelles sont les première, deuxième et troisième priorités, selon vous. (choisissez seulement trois dans la liste)
En lien avec l'aide internationale accordée par le gouvernement du Canada aux pays en voie de développement, veuillez indiquer quelles sont les première, deuxième et troisième priorités, selon vous. (choisissez seulement trois dans la liste)
En lien avec l'aide internationale accordée par le gouvernement du Canada aux pays en voie de développement, veuillez indiquer quelles sont les première, deuxième et troisième priorités, selon vous. (choisissez seulement trois dans la liste)
Dans quelle mesure êtes-vous en accord ou en désaccord avec les affirmations suivantes à propos de l'aide fournie par le Canada aux pays en voie de développement?
L'aide financière du Canada aux pays défavorisés renforce sa position sur la scène politique internationale.
Dans quelle mesure êtes-vous en accord ou en désaccord avec les affirmations suivantes à propos de l'aide fournie par le Canada aux pays en voie de développement?
L'aide internationale fournit par le Canada lui permet de promouvoir sa propre sécurité nationale.
Dans quelle mesure êtes-vous en accord ou en désaccord avec les affirmations suivantes à propos de l'aide fournie par le Canada aux pays en voie de développement?
L'aide internationale améliore la vie des populations leur permettant d'avoir accès à l'éducation, aux soins de santé, à l'eau potable et aux installations sanitaires.
Dans quelle mesure êtes-vous en accord ou en désaccord avec les affirmations suivantes à propos de l'aide fournie par le Canada aux pays en voie de développement?
L'aide internationale améliore la croissance économique dans des pays en voie de développement.
Dans quelle mesure êtes-vous en accord ou en désaccord avec les affirmations suivantes relatives à l'aide fournie par le gouvernement du Canada aux pays en développement?
La majorité de l'aide internationale ne parvient pas aux bons destinataires.
Dans quelle mesure êtes-vous en accord ou en désaccord avec les affirmations suivantes relatives à l'aide fournie par le gouvernement du Canada aux pays en développement?
Une grande partie de l'aide internationale du Canada finit dans les poches de responsables politiques corrompus des pays qui la reçoivent.
Dans quelle mesure êtes-vous en accord ou en désaccord avec les affirmations suivantes relatives à l'aide fournie par le gouvernement du Canada aux pays en développement?
La majorité de l'aide internationale sert à financer des programmes qui ne contribuent pas à réduire la pauvreté.
Dans quelle mesure êtes-vous en accord ou en désaccord avec les affirmations suivantes relatives à l'aide fournie par le gouvernement du Canada aux pays en développement?
Le Canada ne peut pas se permettre d'avoir des programmes d'aide internationale.
Veuillez indiquer laquelle des affirmations suivantes se rapproche le plus de votre opinion à l'aide d'une échelle de 0 à 10 où 0 signifie que « l'aide internationale rend les pays trop dépendants de la charité publique » et 10 signifie que « l'aide internationale aide les pays à devenir autosuffisants ».
Dans quelle mesure êtes-vous en accord ou en désaccord avec les affirmations suivantes?
Les pays comme le Canada devraient participer davantage à l'aide internationale, car c'est moralement la bonne chose à faire.
Dans quelle mesure êtes-vous en accord ou en désaccord avec les affirmations suivantes?
Je me sentirais très coupable si j'ignorais les besoins des gens pauvres dans les pays en voie de développement.
Dans quelle mesure êtes-vous en accord ou en désaccord avec les affirmations suivantes?
Aider les personnes dans le besoin est la bonne chose à faire.
Dans quelle mesure êtes-vous en accord ou en désaccord avec les affirmations suivantes?
Toutes les personnes dans le monde devraient être traitées de façon équitable.
Sur une échelle de 0 à 10, où 0 signifie « Aucune influence » et 10 « Une très grande influence », quelle influence pensez-vous avoir sur la politique et les affaires publiques, le cas échéant?
Laquelle des affirmations suivantes reflète le mieux votre opinion concernant la manière de garantir la sécurité et la prospérité du Canada? Veuillez répondre en utilisant une échelle de 0 à 10 où 0 signifie « Il est préférable de garantir la sécurité et la prospérité du Canada par nous-mêmes » et 10 « Il est préférable de collaborer avec d'autres pays pour garantir la sécurité et la prospérité du Canada ».
Dans quelle mesure êtes-vous en accord ou en désaccord avec l'affirmation suivante. Le but de la démocratie est de trouver un compromis entre des points de vue divergents.
Laquelle des deux affirmations suivantes reflète le mieux votre opinion ?
Avez-vous déjà entendu parler des Objectifs de développement durable des Nations Unies ou lu quelque chose à ce sujet?
Pour la question suivante, veuillez penser au monde dans son ensemble et non à des pays en particulier. Certaines personnes disent qu'il faut faire un compromis entre deux priorités, d'une part soutenir la croissance économique pour répondre aux besoins des populations en matière d'alimentation, de logement et de soins de santé et d'autre part protéger l'environnement, le climat et la fertilité des sols. À l'aide d'une échelle de 0 à 10 où 0 signifie « Prioriser les besoins des populations en matière d'alimentation, de logement et de soins de santé » et 10 « Prioriser un environnement durable et le climat », veuillez indiquer l'énoncé qui reflète le mieux votre opinion.
Veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes en accord ou en désaccord avec l'affirmation suivante.
L'extrême pauvreté sera éradiquée dans le monde d'ici 2030.
Dans quelle mesure êtes-vous en accord ou en désaccord avec l'affirmation suivante.
Les gens ont généralement ce qu'ils méritent.
Veuillez indiquer si vous êtes en accord ou en désaccord avec les affirmations suivantes :
La situation des personnes vivant dans d'autres pays a une influence sur ma propre vie.
Veuillez indiquer si vous êtes en accord ou en désaccord avec les affirmations suivantes :
Il est de mon devoir de m'assurer que mes actions ne nuisent pas aux personnes vivant dans d'autres pays.
Veuillez indiquer si vous êtes en accord ou en désaccord avec les affirmations suivantes :
J'aime visiter d'autres pays et découvrir d'autres cultures.
Veuillez indiquer si vous êtes en accord ou en désaccord avec les affirmations suivantes :
J'ai très peu en commun avec les personnes qui vivent dans d'autres pays.
Voici des énoncés sur le partenariat entre des entreprises du secteur privé et des organismes de bienfaisance. Veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d'accord ou en désaccord avec chacune de ces affirmations.
Les organismes de bienfaisance qui travaillent en partenariat avec des entreprises du secteur privé sont dans une situation de compromis et sont moins dignes de confiance.
Voici des énoncés sur le partenariat entre des entreprises du secteur privé et des organismes de bienfaisance. Veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d'accord ou en désaccord avec chacune de ces affirmations.
Les entreprises du secteur privé qui travaillent en partenariat avec des organismes de bienfaisance tentent simplement de renforcer leur réputation et à accroitre leur image de marque.
Voici des énoncés sur le partenariat entre des entreprises du secteur privé et des organismes de bienfaisance. Veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d'accord ou en désaccord avec chacune de ces affirmations.
Les partenariats avec des entreprises du secteur privé est un moyen intelligent pour les organismes de bienfaisance d'augmenter leurs ressources et de rehausser leur incidence.
Voici des énoncés sur le partenariat entre des entreprises du secteur privé et des organismes de bienfaisance. Veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d'accord ou en désaccord avec chacune de ces affirmations.
Les partenariats avec les organismes de bienfaisance exploitent efficacement la force des entreprises pour atteindre des objectifs sociaux plus vastes.
À quel point est-il important pour vous que les grandes ONG de développement international collaborent avec les ONG locales pour offrir des programmes d'aide et du financement?
Calculation, group selection
Group 1: 1
Group 2 (Q35A, Q35B) : 2
Group 3 (Q35A, Q35B, Q35C, Q35D) : 3
Group 4 (Q35A, Q35B, Q35E, Q35F) : 4
Partout au monde, le niveau de richesse des gens varie considérablement : certaines personnes sont plus riches, d'autres sont plus pauvres.
L'échelle ci-dessous montre la position économique relative des gens dans l'ensemble de la planète, les personnes les plus pauvres se situant au niveau 1, les plus riches se trouvant au niveau 100.
n réfléchissant à l'année 2019, où croyez-vous que vous vous trouviez sur cette échelle en 2019?
En regardant l'échelle ci-dessous, veuillez entrer n'importe quel nombre de 1 à 100 ci-dessous.
Maintenant, toujours selon vous, où croyez que vous vous situez sur cette échelle aujourd'hui?
En regardant l'échelle ci-dessous, veuillez entrer n'importe quel nombre de 1 à 100 ci-dessous.
Vous affirmez qu'en 2019 vous étiez au niveau Q35A.
Ensuite, pensez à un individu moyen de votre collectivité locale. En réfléchissant à l'année 2019, où croyez-vous que cette personne se situait sur cette échelle en 2019?
En regardant l'échelle ci-dessous, veuillez entrer n'importe quel nombre de 1 à 100 ci-dessous.
Vous affirmez qu'en 2019 vous étiez au niveau Q35A.
Où croyez-vous que cette personne se situe sur cette échelle aujourd'hui?
En regardant l'échelle ci-dessous, veuillez entrer n'importe quel nombre de 1 à 100 ci-dessous.
Vous affirmez qu'en 2019 vous étiez au niveau Q35A.
Vous affirmez qu'en 2022 vous étiez au niveau Q35B.
Vous affirmez qu'en 2019 l'individu moyen de votre collectivité était au niveau Q35C.
Ensuite, pensez à un individu moyen d'un pays pauvre. En réfléchissant à l'année 2019, où croyez-vous que cette personne se situait sur cette échelle en 2019?
En regardant l'échelle ci-dessous, veuillez entrer n'importe quel nombre de 1 à 100 ci-dessous.
Vous affirmez qu'en 2019 vous étiez au niveau Q35A.
Où croyez-vous que cette personne se situe sur cette échelle aujourd'hui?
En regardant l'échelle ci-dessous, veuillez entrer n'importe quel nombre de 1 à 100 ci-dessous.
Vous affirmez qu'en 2019 vous étiez au niveau Q35A.
Vous affirmez qu'en 2022 vous étiez au niveau Q35B.
Vous affirmez qu'en 2019 l'individu moyen d'un pays pauvre était au niveau Q35E.
Imaginez qu'on vous donne mille dollars canadiens sans que vous vous y attendiez. Vous pouvez séparer de quelque façon que ce soit entre vous, des gens de votre communauté et des habitants de pays pauvres.
Malheureusement, cet argent n'est pas réel, mais faites vos choix comme s'il l'était.
Veuillez indiquer la quantité que vous donneriez ... (Assurez-vous que le montant total correspond à mille dollars canadiens)
Les questions suivantes seront utilisées à des fins statistiques uniquement. Quel âge avez-vous ?
QAGEY
Hesitant, QAGEX
Pourrions-nous vous situer dans l'un des groupes d'âges suivants?
Êtes-vous...?
Dans quelle province ou quel territoire habitez-vous?
Quel est le plus haut niveau d'études que vous avez atteint?
Quel est le revenu brut de [hover="Le revenu brut du ménage est le revenu combiné de tous les salariés d'un ménage provenant de toutes les sources, y compris les salaires, les traitements ou les loyers et avant les déductions fiscales.">votre ménage] ?
Les personnes vivant au Canada proviennent de nombreux milieux ou pays ethnoculturels différents. Vous considérez-vous comme :
Le sondage est maintenant terminé. Au nom du gouvernement du Canada, nous vous remercions d'avoir pris le temps de nous fournir vos commentaires. Nous l'apprécions énormément.