ENQUÊTE DE RÉFÉRENCE SUR LA PRESTATION DENTAIRE CANADIENNE

Numéro d’enregistrement de SPAC : POR-126-22

Sommaire

SC POR – 22-32

Rédigé pour le compte de Santé Canada

Fournisseur : The Strategic Counsel

Numéro de contrat : CW2271909

Valeur du contrat : 198 398,62 $

Date d’octroi du contrat : 7 février 2023

Date de livraison : 31 mars 2023

Numéro d’enregistrement : POR 126-22

Pour de plus amples renseignements sur ce rapport, veuillez communiquer avec Santé Canada à :

hc.cpab.por-rop.dgcap.sc@canada.ca

This report is also available in English.

Enquête de référence sur la prestation dentaire canadienne

Sommaire

Rédigé pour le compte de : Santé Canada

Fournisseur : The Strategic Counsel

Mars 2023

Ce rapport de recherche sur l’opinion publique présente les résultats d’un sondage en ligne réalisé par The Strategic Counsel pour le compte de Santé Canada. L’étude a été menée du 3 au mars 2023 auprès de 2 200 parents d’enfants de moins de 12 ans dont le revenu du ménage est inférieur à 90 000 $.

This publication is also available in English under the title: Canada Dental Benefit Baseline Survey – Executive Summary

Cette publication ne peut être reproduite qu’à des fins non commerciales. Une autorisation écrite préalable doit être obtenue auprès de Santé Canada. Pour obtenir de plus amples renseignements sur ce rapport, veuillez vous adresser à Santé Canada à hc.cpab.por-rop.dgcap.sc@canada.ca ou par la poste à l’adresse suivante :

Direction générale des communications et des affaires publiques
Santé Canada
200, promenade Eglantine, pré Tunney
Édifice Jeanne-Mance, indice de l’adresse : 1915C
Ottawa (Ontario)  K1A 0K9

Numéro de catalogue :
H14-442/2023F-PDF

Numéro international normalisé du livre (ISBN) :
978-0-660-49336-7

Publications connexes (numéro d’enregistrement : POR-126-22)

Numéro de catalogue : H14-442/2023E-PDF (rapport final, anglais)
Numéro international normalisé du livre (ISBN) : 978-0-660-49335-0

© Sa Majesté le Roi du Chef du Canada, représenté par le ministre de la Santé, 2023

Sommaire

A.  Contexte

Dans le cadre du plan du gouvernement du Canada visant à améliorer les soins dentaires pour les Canadiens, le gouvernement fédéral a adopté un projet de loi en novembre 2022 touchant la mise en œuvre d’une nouvelle prestation dentaire canadienne provisoire. Cette prestation a pour but d’aider à réduire les coûts des soins dentaires pour les familles admissibles qui gagnent moins de 90 000 $ par année et de permettre aux enfants de moins de 12 ans, qui n’ont pas accès à une assurance privée pour soins dentaires, d’obtenir les soins dentaires dont ils ont besoin pendant que le gouvernement du Canada élabore un programme national complet de soins dentaires à long terme.

Il est possible de faire une demande de prestation dentaire canadienne depuis le 1er décembre 2022. Pendant la première étape, les parents et les tuteurs peuvent demander la prestation si l’enfant qui reçoit des soins dentaires a moins de 12 ans et n’a pas accès à un régime privé d’assurance dentaire. Selon le revenu familial net rajusté, un paiement non imposable de 260 $, 390 $ ou 650 $ est disponible pour chaque enfant admissible. Chaque famille peut recevoir un maximum de deux paiements pour chaque enfant admissible. La première période de prestation vise les enfants qui ont moins 12 ans en date du 1er décembre 2022 qui reçoivent des soins dentaires entre le 1er octobre 2022 et le 30 juin 2023.

B.  Objectifs de la recherche

1.  But

Afin de soutenir la promotion de cette prestation, Santé Canada s’engage à diffuser une campagne publicitaire s’adressant aux parents d’enfants de 12 ans et moins ayant un revenu familial inférieur au seuil de revenu fixé pour recevoir cette prestation. Pour évaluer l’efficacité et la portée des activités de marketing et de publicité relatives à la prestation dentaire canadienne, il est nécessaire de recueillir des renseignements supplémentaires dans le but de comprendre les niveaux actuels de connaissance chez les bénéficiaires cibles, leur intention de recourir au programme et les obstacles possibles quant à l’accès à la prestation et aux soins dentaires. Aux fins d’amélioration des efforts à venir, Santé Canada utilise également un sous-ensemble de l’Outil d’évaluation de campagnes publicitaires (OECP) afin d’évaluer et d’améliorer les communications employées pour promouvoir la prestation.

L’OECP a été mis au point en 2002 à la suite d’une directive du Cabinet identifiant la nécessité d’adopter une approche d’évaluation des publicités standard à l’échelle des ministères. Les principaux objectifs consistaient à apporter une rigueur et une uniformité dans l’évaluation des campagnes publicitaires et à élaborer des normes sur les données permettant d’évaluer les campagnes. Les campagnes publicitaires dont les placements dans les médias sont inférieurs à 1 million de dollars n’ont pas à être évaluées au moyen de l’OECP, mais une évaluation après la compagne est souhaitée pour orienter les prochaines étapes de cette initiative.

2.  Utilisation des résultats de la recherche

Les résultats de la recherche serviront à informer et à améliorer les prochaines activités de communications, de publicité et de marketing touchant la prestation dentaire canadienne, pour qu’elles puissent mieux rejoindre et interpeller le public cible. Les résultats aideront aussi à élaborer les messages au sujet du programme national complet de soins dentaires à long terme. Enfin, ils seront utiles pour déterminer les moyens d’améliorer le recours à la prestation et d'identifier les obstacles en ce qui concerne l’accès à la prestation et aux soins dentaires, de manière à les aborder dans les communications.

3.  Objectifs et principales questions de recherche

La présente recherche avait pour principal objectif d’établir un niveau de référence de la connaissance et d’évaluer les obstacles à l’accès chez les personnes admissibles à la prestation dentaire canadienne. Elle visait plus précisément à :

C.  Résumé de la méthodologie

Un sondage en ligne de 15 minutes a été réalisé auprès de 2 200 adultes canadiens âgés de 18 ans ou plus qui répondaient aux critères d’admissibilité à la prestation dentaire canadienne provisoire. Les répondants admissibles se limitaient aux personnes faisant partie d’un ménage comptant au moins un enfant de moins de 12 ans et dont le revenu était inférieur à 90 000 $ par année.

Sur l’échantillon total de n=2 200 parents canadiens ayant répondu au sondage, 2 000 ont composé l’échantillon de base. Un quota strict a été fixé pour cette partie de l’échantillon afin qu’il comprenne environ 70 % de répondants qui n’avaient pas accès à une assurance privée pour soins dentaires (qui est un autre critère d’admissibilité à la prestation dentaire canadienne). Les répondants qui avaient une assurance dentaire formaient le reste de l’échantillon (30 %). L’échantillon avait cette structure pour permettre de comparer les attitudes et les comportements des répondants qui ont une assurance et de ceux qui n’en ont pas.

De plus, des quotas régionaux ont été appliqués à l’échantillon de base et le sondage a fait l’objet d’une surveillance sur le terrain afin d’avoir une bonne représentation de toutes les régions du Canada. Un plan d’échantillonnage non-probabiliste a été utilisé, y compris un suréchantillonnage au Canada atlantique, dans les Prairies et en Colombie-Britannique, afin que les échantillons dans ces régions soient suffisamment robustes pour permettre une analyse intrarégionale et interrégionale des résultats. Un barème de pondération a été appliqué pour que l’échantillon final soit représentatif de la répartition de la population canadienne par région1. Puisque ce sondage s’adressait à un public très ciblé, aucun autre quota n’a été fixé pour le genre ou l’âge.

Nous avons employé deux « échantillons d’appoint » de n=100 chacun pour accroître la représentation des groupes ethniques et des résidents de régions rurales et éloignées au Canada, en partant du principe que le nombre de sondages remplis par le panel en ligne national utilisé pour créer l’échantillon de base pourrait être insuffisant pour obtenir assez de renseignements sur ces deux segments de la population.

L’échantillon non probabiliste est issu principalement d’un panel en ligne commercial. Aucune marge d’erreur ne peut donc être appliquée à l’échantillon final et aucune inférence ne peut être établie entre celui-ci et la population cible plus large qu’il est censé représenter. Le travail sur le terrain a été effectué du 3 au 30 mars 2023.

D.        Valeur du contrat :

La valeur totale du contrat se chiffre à 198 398,62 $, TVH comprise.

E.         Principales constatations

Tous les répondants ont formulé d’importantes préoccupations concernant l’accès à des soins dentaires abordables au Canada et la capacité à obtenir les services d’un dentiste ou d’un professionnel de la santé buccodentaire.

En ce qui concerne les attitudes en matière de soins dentaires, les répondants accordent une grande importance aux visites régulières à un cabinet dentaire; il leur semble important d’y aller pour eux-mêmes ou pour leurs enfants dans des proportions respectives de 94 % et 97 %.

Des différences notables sont observées entre les répondants qui ont une assurance dentaire privée et ceux qui n’en ont pas quant à la fréquence des visites à un cabinet dentaire et les raisons d’y aller pour eux-mêmes et pour leurs enfants. Par exemple, les répondants disposant d’une assurance sont plus susceptibles d’avoir accès à des services dentaires pour toute la famille et d’aller plus régulièrement chez le dentiste que ceux qui n’ont pas d’assurance.

Un large éventail de facteurs constituent des obstacles à l’accès aux services dentaires, tant pour les adultes que pour les enfants. Le coût du service, suivi de l’absence d’assurance et du coût associé au déplacement chez le dentiste ou professionnel de la santé buccodentaire se classent en tête de ces facteurs. Malgré de nettes différences dans la fréquence des mentions selon que les répondants disposent ou non d’une assurance dentaire privée, les différences sont plus marquées en ce qui concerne les obstacles qui empêchent les parents d’amener leurs enfants chez un professionnel de la santé buccodentaire.

Bon nombre ont entendu parler de la prestation dentaire canadienne (64 % de tous les répondants), mais ils en savent relativement peu à ce sujet (22 %). Plus d’un tiers des répondants (36 %) n’ont rien entendu à propos de la prestation. Les répondants qui connaissent la prestation en ont surtout entendu parler aux nouvelles, mais près d’un quart à un tiers d’entre eux ont aussi mentionné comme source d’information les médias sociaux ainsi que les amis ou membres de la famille. L’annonce de la prestation a suscité un intérêt significatif au sein du public cible, 54 % des répondants sans assurance (au courant de la prestation) ayant déclaré avoir recherché des informations à ce sujet au cours des trois derniers mois. L’intérêt des répondants qui ont accès à une assurance dentaire privée était aussi assez élevé (40 %).  

La prestation dentaire canadienne a été bien accueillie dans l’ensemble avec 87 % des répondants disant soutenir ce programme; cet appui étant sensiblement le même chez les personnes qui ont une assurance et celles qui n’en ont pas. Près des deux tiers des répondants (64 %) sont tout à fait en accord avec l’introduction de la nouvelle prestation dentaire canadienne provisoire.

La campagne publicitaire du gouvernement du Canada portant sur la prestation dentaire canadienne semble avoir interpellé le public; ainsi, malgré la saturation du marché des médias, les répondants se sont assez bien souvenus des publicités spontanément ou avec assistance. Un peu plus d’un tiers de l’ensemble des répondants (35 %) a vu, entendu ou lu quelque chose à propos de la prestation dentaire canadienne au cours des trois derniers mois (rappel spontané), tandis qu’un peu plus d’un répondant sur cinq (22 %) se souvenait avoir vu, entendu ou lu les publicités, après avoir pris connaissance durant le sondage d’exemples de publicités de la campagne (rappel assisté). 

F.          Conclusions et recommandations

Les résultats de l’étude démontrent que la prestation dentaire canadienne provisoire répond à un besoin évident chez la population sans assurance dentaire qui remplit les autres critères d’admissibilité à la prestation, tels que le revenu du ménage et l’âge des enfants. L’abordabilité des soins dentaires est un enjeu préoccupant pour les ménages, surtout lorsque plusieurs de leurs enfants en ont besoin. Si beaucoup de parents amènent régulièrement leurs enfants chez le dentiste (c.-à-d., au moins une fois par an), qu’ils aient ou non une assurance, ceux sans assurance sont plus susceptibles de citer comme obstacles l’absence d’assurance et le coût du service étant donné que plusieurs de leurs enfants nécessitent des soins dentaires. Même si de nombreux parents disent amener leurs enfants chez le dentiste pour les nettoyages dentaires réguliers et les examens dentaires préventifs, une proportion nettement plus élevée de répondants sans assurance vont à un cabinet dentaire que pour les besoins dentaires urgents de leur enfant ou leurs enfants ou prennent seulement des rendez-vous dentaires pour leurs enfants lorsque c’est absolument nécessaire. Ce constat vaut particulièrement pour le sous-ensemble du public cible dont le revenu annuel du ménage est inférieur à 40 000 $. Près de neuf répondants sans assurance sur dix indiquent qu’ils seraient plus susceptibles de prendre des rendez-vous dentaires plus réguliers pour leurs enfants s’ils avaient un peu plus d’argent, comparativement à sept répondants sur dix dans le groupe disposant d’une assurance. De plus, les répondants qui n’ont pas accès à une assurance dentaire ont plus tendance à payer les services dentaires comptant ou par carte de crédit. Ils sont également plus enclins à aller dans une clinique de soins dentaires gratuits ou à négocier des modalités de paiement flexibles auprès de leur fournisseur de soins dentaires.

Dans l’ensemble, le public cible est tout à fait favorable à la nouvelle prestation dentaire canadienne. La campagne semble avoir suscité l’intérêt des répondants ayant une assurance dentaire et de ceux qui n’en ont pas. Les taux de rappel spontané et de rappel assisté de la prestation au sein du public cible, bien que modestes, laissent supposer que les messages clés concernant l’objectif et la nature de la prestation et les critères d’admissibilité passent dans une certaine mesure. Par ailleurs, les publicités ont eu un impact, car elles ont incité une proportion considérable du public cible à réfléchir aux soins dentaires pour leurs enfants, à chercher d’autres renseignements sur la prestation et à visiter la page de renvoi ou le site Web de la prestation. Les publicités ont alimenté le bouche-à-oreille et selon les premières indications, le public cible a soit pris rendez-vous pour son enfant ou ses enfants afin qu’ils reçoivent des soins dentaires ou amené son ou ses enfants chez le dentiste grâce aux paiements de prestation.

Notamment, le soutien pour la prestation est plus élevé parmi les minorités visibles, un groupe qui a signalé des niveaux plus élevés de sensibilisation et de familiarité avec la prestation dentaire canadienne, ainsi que des taux de demande plus élevés. La prestation dentaire canadienne a suscité un intérêt particulièrement élevé chez les minorités visibles et les personnes qui se déclarent Autochtones, comme le démontre la plus grande proportion de ces groupes ayant indiqué avoir recherché des informations à ce sujet au cours des trois derniers mois. Par ailleurs, les minorités visibles et les répondants autochtones font partie des groupes qui ont, en général, réservé un accueil plus favorable aux publicités et ils sont plus nombreux au sein de ces groupes que dans les autres sous-groupes à avoir eu recours à la prestation dentaire canadienne après avoir vu une publicité à ce sujet. Cela dit, il importe d’ajouter que les répondants autochtones indiquent qu’eux et leur ou leurs enfants vont régulièrement chez le dentiste, même s’ils sont relativement peu nombreux (10 %) dans ce groupe à dire qu’ils ont une assurance dentaire privée. Il serait pertinent d’examiner d’autres enjeux liés à l’accès aux soins dentaires dans les collectivités des répondants autochtones, puisque ces derniers sont plus susceptibles de citer l’emplacement peu pratique du cabinet dentaire comme obstacle. 

Les expériences et les attitudes des parents varient en fonction du revenu du ménage et le genre et il serait possible de s’en inspirer pour élaborer les prochaines communications sur la prestation dentaire canadienne actuelle ou sa version à portée élargie. Une plus forte proportion du sous-ensemble de répondants dont le revenu du ménage est faible (moins de 40 000 $ par année) n’a pas accès à un dentiste ou professionnel de la santé buccodentaire. De plus, ils sont moins susceptibles d’être allés pour la dernière fois à un cabinet dentaire ou chez un professionnel de la santé buccodentaire au cours des six derniers mois que les personnes dont le revenu annuel du ménage est supérieur à 40 000 $. Enfin, les répondants de ce sous-ensemble ont plus tendance à aller chez le dentiste seulement en cas d’urgence; en revanche, ils sont beaucoup moins susceptibles de déclarer amener leurs enfants chez le dentiste pour les examens dentaires préventifs. De plus, une proportion plus importante de répondants faisant partie d’un ménage à faible revenu que de répondants appartenant à la tranche de revenu supérieure (revenu annuel du ménage compris entre 60 000 $ et moins de 90 000 $) considèrent le coût des services dentaires comme un obstacle majeur. Notons toutefois qu’à la question portant sur la manière dont ils paient les services dentaires, les répondants dont le revenu annuel du ménage est inférieur à 20 000 $ sont plus enclins que les personnes des tranches de revenu supérieures à dire que les frais des services dentaires fournis à leur enfant ou leurs enfants sont couverts par une assurance. Cela suggère que les enfants de ménages qui se trouvent au bas de l’échelle de revenus donnant droit à la prestation dentaire canadienne sont peut-être admissibles à d’autres programmes offerts à l’échelle provinciale ou territoriale (comme Beaux sourires Ontario).

Pour améliorer le recours à la prestation dentaire canadienne provisoire, il importe notamment de rejoindre les femmes, car elles ont une meilleure connaissance de la prestation dentaire canadienne provisoire et sont plus susceptibles d’être les seules à s’occuper de prendre les rendez-vous dentaires pour l’unité familiale. Du point de vue des communications, les femmes sont plus encouragées à demander la prestation pour améliorer la santé de leur famille et de leurs enfants. Les autres efforts de communication devraient aussi s’adresser aux familles qui comptent de jeunes enfants et des enfants plus âgés (dans la tranche d’âge de 0 à 11 ans admissible à la prestation dentaire canadienne provisoire) et les personnes vivant dans un ménage de plus grande taille. Ainsi, une plus forte proportion des parents d’enfants plus âgés et des personnes qui vivent au sein d’un ménage de plus grande taille déclarent avoir demandé la prestation, tandis que les familles comptant plusieurs enfants considèrent le fait d’avoir plus d’un enfant admissible qui a besoin de soins dentaires à la fois comme un obstacle à l’accès et un facteur qui les encourage à demander la prestation. Si d’après les résultats de recherche, les parents semblent accorder la priorité aux soins dentaires des enfants plus âgés du ménage, ceux qui ont des enfants de 5 ans ou moins sont plus susceptibles d’avoir vu, lu ou entendu des publicités du gouvernement du Canada portant sur la prestation dentaire canadienne que ceux dont les enfants ont de 9 à 11 ans. Une autre campagne publicitaire s’adressant aux parents de jeunes enfants pourrait faire en sorte que les soins dentaires préventifs deviennent une habitude à un plus jeune âge. Enfin, des programmes éducatifs à l’intention des parents de jeunes enfants illustrant les avantages des soins dentaires réguliers pourraient être utiles.

Attestation de neutralité politique

À titre de cadre supérieure du cabinet The Strategic Counsel, j’atteste par la présente que les documents remis sont entièrement conformes aux exigences en matière de neutralité politique du gouvernement du Canada énoncées dans sa Politique sur les communications et l’image de marque et dans sa Directive sur la gestion des communications. Plus précisément, les documents remis ne contiennent pas d’information sur les intentions de vote électoral, les préférences quant aux partis politiques, les positions des partis ou l’évaluation de la performance d’un parti politique ou de ses dirigeants.

Signature :  

 Donna Nixon, associée


[1] Le barème de pondération a été mis au point afin que les données à l’échelle régionale soient conformes aux données du Recensement de 2021 de Statistique Canada.