Étude sur les jeunes d’Expérience internationale Canada (EIC) 2022

Sommaire

Préparé pour Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada
Nom du fournisseur : Environics Research

Numéro d’enregistrement : POR # 078-21
Numéro du contrat : B8815-220311/002/CY
Valeur du contrat : 199 494,60 $ (y compris la TVH)
Date d’attribution : 2021-12-22
Date de livraison : 2022-03-18

Pour obtenir plus de renseignements sur ce rapport, communiquez avec IRCC par courriel à : IRCC.COMMPOR-ROPCOMM.IRCC@cic.gc.ca

This report is also available in English.

Droit d’auteur

Ce rapport de recherche sur l’opinion publique présente les résultats d’un sondage quantitatif en ligne et d’un babillard qualitatif réalisés par Environics Research pour le compte d’Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada. 2 504 jeunes Canadiens et 1 050 parents de jeunes Canadiens ont participé au sondage quantitatif, et 108 jeunes Canadiens et 39 parents de jeunes Canadiens ont participé au babillard en mars 2022.

This publication is also available in English under the title : 2022 International Experience Canada (IEC) youth study

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Direction générale des communications
Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada
Tour Jean 2011Edmonds
Sud 365, avenue Laurier Ouest
Ottawa (Ontario) K1A 1L1

No de catalogue : Ci4-194/2022F-PDF
Numéro international normalisé du livre (ISBN) : 978-0-660-45091-9

Publications connexes (numéro d’enregistrement : POR 078-21) :
Numéro de catalogue Ci4-194/2022E-PDF (Rapport final, anglais)
ISBN 978-0-660-45090-2

Droit d’auteur: Sa Majesté la Reine du chef du Canada, représentée par le ministre d’Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada, 2022

Sommaire

Contexte et objectifs

Expérience internationale Canada (EIC) est un programme géré par Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC) qui permet aux jeunes Canadiens de travailler et de voyager à l’étranger. Pour les citoyens canadiens âgés de 18 à 35  ans, EIC ouvre l’accès vers un permis de travail ou un visa, ce qui leur donne l’occasion de travailler et d’explorer l’un de plus de 30 pays et territoires. Comme il s’agit d’un programme réciproque, les jeunes étrangers provenant de pays ou de territoires partenaires peuvent faire de même au Canada. Le programme comprend des possibilités d’obtenir des permis de travail ouverts (c.-à-d. les permis Vacances-travail) qui ne nécessitent pas d’offre d’emploi et des permis spécifiques à l’employeur qui sont liés à l’obtention d’une offre d’emploi valide.

Le programme EIC vise à maximiser la réciprocité entre la participation des jeunes étrangers et celle des jeunes Canadiens. Par conséquent, l’objectif principal de cette recherche est de fournir des renseignements qui aideront EIC à accroître la participation des jeunes Canadiens au programme. La recherche consiste à évaluer les connaissances du programme EIC auprès de ses publics cibles. Plus précisément, elle avait pour objectif d’évaluer les éléments suivants :

Les renseignements sur les obstacles perçus et les facteurs qui motivent une personne à poursuivre des expériences de travail à l’étranger se fondent sur les connaissances antérieures tirées de recherches sur l’opinion publique réalisées auprès de jeunes Canadiens et d’anciens participants à EIC. Ces données éclaireront les politiques et permettront de cibler la participation à EIC et la promotion d’EIC.

Méthode

Pour atteindre les objectifs de l’étude, des recherches quantitatives et qualitatives ont été réalisées. La phase quantitative comprenait un sondage en ligne réalisé auprès de jeunes Canadiens âgés de 18 à 35  ans et de parents de jeunes Canadiens qui poursuivent des études secondaires ou postsecondaires. Les participants de la phase qualitative étaient choisis à partir de l’échantillon final de jeunes et de parents, ainsi que de recommandations d’organismes qui travaillent auprès de jeunes Autochtones.

  1. Un sondage quantitatif en ligne a été réalisé du 3 février au 4 mars 2022 auprès de 2 504 jeunes Canadiens âgés de 18 à 35 ans et 1 050 parents de jeunes Canadiens qui poursuivent actuellement des études secondaires ou postsecondaires. Les deux groupes ont été recrutés à partir d’un panel en ligne. Le sondage d’une dizaine de minutes a exploré les comportements et les attitudes à l’égard des voyages internationaux, les avantages perçus et les obstacles d’une expérience internationale, la sensibilisation à EIC et les perceptions à l’égard de ce programme ainsi que l’incidence de la pandémie de COVID-19 sur les attitudes à l’égard des voyages.
  2. La phase qualitative a permis d’obtenir des renseignements au moyen de deux approches distinctes :
    1. Certains participants au sondage quantitatif ont été sélectionnés et invités à participer à un babillard qualitatif de deux jours. Les babillards sollicitaient l’avis des participants lors de deux jours distincts et l’événement s’est déroulé sur une période totale de trois jours, du 2 au 4 mars 2022. Au total, 147 personnes (39 parents et 108 jeunes âgés de 18 à 35 ans) à travers le pays ont participé et chacun a reçu une rétribution de 100 $. Afin d’obtenir les commentaires de certains groupes d’intérêt pour IRCC, des jeunes de chacun des groupes suivants ont également été inclus : Population générale, jeunes LGBTQ2+, jeunes Autochtones, jeunes femmes dans les STIM et jeunes à mobilité réduite ou déficience auditive.
    2. Environics a mené 30  entrevues individuelles; 21 entrevues auprès de jeunes Canadiens (âgés de 35 ans ou moins) qui s’identifient comme Autochtones et 9 parents de jeunes Canadiens qui s’identifient comme Autochtones et qui suivent actuellement des études secondaires ou postsecondaires. Ces entrevues ont été menées entre le 7 février et le 1er mars 2022, par vidéoconférence sur Zoom ou par téléphone, selon le choix de la personne interviewée, et duraient une soixantaine de minutes; une rétribution de 150 $ a été versée à chaque participant ayant complété l’entrevue. Les participants ont été recrutés de deux façons : premièrement, grâce à une démarche de réseautage et d’aiguillage commençant par les organismes qui travaillent avec les jeunes Autochtones, et deuxièmement, par le biais d’un recrutement parmi les répondants qualifiés dans le sondage quantitatif en ligne. Les participants à l’entrevue comprenaient des membres des Premières Nations, des Métis et des Inuits et un éventail d’identités et d’antécédents.

Une méthodologie plus détaillée est présentée à l’annexe A du présent rapport.

Énoncé des limites : Les études qualitatives offrent un aperçu de la diversité des opinions entretenues au sein d’une population, plutôt que du poids des opinions entretenues, comme le mesurerait un sondage quantitatif. Les résultats de la recherche qualitative peuvent donner des indications, mais ne devraient pas être extrapolés à l’ensemble de la population.

Comme les sondages en ligne ne sont pas des échantillons probabilistes, il est impossible de calculer des estimations structurées de l’erreur d’échantillonnage. Même s’ils n’utilisent pas un échantillon probabiliste, les sondages en ligne peuvent servir pour les enquêtes réalisées auprès de la population générale à condition qu’ils soient bien conçus et qu’ils fassent appel à un large panel bien tenu.

Valeur du contrat

La valeur du contrat était de 199 494,60 $ (TVH incluse).

Principales constatations

Phase qualitative

Après avoir réfléchi aux deux  ans de vie dans un contexte de pandémie, les jeunes et les parents ont pour la plupart décrit leur adaptation en équilibrant les aspects négatifs et les aspects positifs. Au fil du temps, beaucoup ont appris à composer avec la déception et l’isolement en appréciant certains avantages comme un rythme de vie plus lent et la prolifération d’options virtuelles pour l’école et le travail. À ce stade de la pandémie (la recherche a été menée au début de 2022), plusieurs commençaient aussi à faire la transition vers des routines plus normales, un changement qui apportait son lot de hauts et de bas. Certains jeunes et parents ont exprimé des préoccupations constantes au sujet des répercussions de la pandémie sur la santé mentale et les conséquences scolaires, et la plupart des participants s’inquiétaient toujours plus ou moins des risques de la COVID-19 pour eux-mêmes, leur famille et leur communauté.

La plupart des participants ont indiqué qu’ils (ou leurs enfants) avaient fait au moins un voyage à l’étranger avant la pandémie; les voyages pour les vacances étaient les plus fréquents. Ceux qui n’avaient pas voyagé évoquaient surtout des obstacles financiers. Bien que certains participants aient déclaré avoir déjà recommencé à voyager, la plupart ont indiqué vouloir attendre un peu plus longtemps pour s’assurer qu’il y a moins de risque lorsqu’ils décideront de partir. Si certains ont laissé entendre que la pandémie avait augmenté leur désir de voyager, ce sentiment de demande refoulée n’était pas universel et beaucoup ont exprimé avoir divers degrés d’appréhension à l’idée de faire un voyage international dans un avenir proche. Pour certains, d’autres inquiétudes, comme le conflit en Ukraine, ont exacerbé cette appréhension de se rendre dans d’autres pays pour l’instant. Parmi les participants de la phase qualitative, peu avaient une intention claire de se déplacer expressément pour le travail, les études ou le bénévolat.

En ce qui concerne les voyages futurs, la sécurité relative à la COVID-19 était une considération primordiale pour la plupart des participants, aussi bien celle des jeunes que des parents. Les jeunes ont également mentionné fréquemment que les responsabilités professionnelles, les finances et le coût des voyages représentaient des obstacles; les parents ont cité des facteurs similaires et ont souvent indiqué qu’un compagnon de voyage serait un moyen de rendre les voyages plus sécuritaires pour leurs enfants. Sur la question de savoir à quel moment les voyages internationaux redeviendront vraiment sécuritaires, les opinions étaient très variées, mais la plupart des jeunes et des parents considéraient que les vaccins et la vaccination obligatoire – à l’échelle nationale et internationale – sont le principal facteur qui garantira la sécurité des voyageurs. Plusieurs s’attendaient aussi au maintien de certaines mesures de santé publique, comme le port du masque, pendant un certain temps. En général, les mesures de santé publique étaient acceptées comme une réalité incontournable ou une nécessité pour voyager à l’étranger, bien que certains se soient montrés plus impatients de voir un retour à la normale. Dans l’ensemble, les jeunes et les parents avaient bon espoir que des conditions normales finiraient par revenir, et la plupart pouvaient décrire de futures visions de voyage avec optimisme et enthousiasme.

Dans les quatre groupes cibles définis pour cette étude (jeunes à mobilité réduite ou ayant une déficience auditive, jeunes LGBTQ2+, jeunes femmes dans les STIM et jeunes Autochtones), les attitudes et les perceptions étaient en grande partie conformes à celles exprimées par les jeunes dans leur ensemble. Toutefois, les jeunes ayant des déficiences se disaient parfois plus préoccupés par la COVID-19 et tenaient davantage au maintien de mesures comme les vaccins et le port du masque pour les voyageurs. Pour de nombreux jeunes Autochtones interrogés, la pandémie a eu des impacts considérables sur leurs communautés, car elle les a incités à se sentir obligés d’être plus prudents face aux risques des voyages et à la possibilité de ramener la COVID-19 dans leurs communautés. La distance était également un facteur important pour les jeunes Autochtones vivant dans des collectivités éloignées/nordiques, et pour certains d’entre eux, l’importance des liens familiaux/communautaires semblait être un autre obstacle aux voyages.

Phase quantitative

Jeunes Canadiens

Les voyages internationaux sont généralement fréquents chez les jeunes Canadiens âgés de 18 à 35  ans. La plupart du temps (86 %), ils voyagent pour les loisirs ou le travail, déclarant avoir fait au moins un voyage international pour ce motif au cours de leur vie. Environ quatre jeunes sur dix ont voyagé spécifiquement pour travailler, étudier ou faire du bénévolat. Parmi ceux qui ont voyagé pour le travail, les études ou le bénévolat, environ la moitié (49 %) disent avoir obtenu un visa à cette fin. L’expérience à l’étranger est le plus souvent gérée individuellement, contrairement aux voyages organisés par l’école, un employeur ou un autre moyen. Ces résultats concordent avec ceux qui ont été obtenus en 2021 suite à des questions similaires.

Invités à réfléchir à leurs expériences à l’étranger, les jeunes voyageurs continuent d’accorder la plus grande valeur à la possibilité de découvrir de nouvelles cultures, l’aventure et l’épanouissement personnel. Les avantages comme l’apprentissage d’une autre langue ou l’acquisition de compétences professionnelles sont mentionnés moins souvent. Un peu plus de la moitié des jeunes ayant voyagé à l’étranger disent inclure cette expérience dans un curriculum vitae; ceux qui l’omettent évoquent souvent le manque de pertinence d’un voyage pour un rôle précis. Alors que plus de six répondants sur dix (64 %) disent être impatients de mettre en valeur leur expérience internationale auprès d’employeurs potentiels, seulement la moitié (53 %) estime qu’une telle expérience a amélioré leurs perspectives d’emploi depuis leur retour au Canada.

Un peu moins d’un jeune Canadien sur dix affirme avoir participé au programme EIC; l’Australie, la France, l’Allemagne et le Royaume-Uni demeurent les pays partenaires d’EIC les plus visités. Chez les participants à EIC, la satisfaction totale (86 %) et la probabilité de recommander le programme (85 %) à la famille ou aux amis correspondent aux résultats de satisfaction obtenus en 2021. Par-dessus tout, les participants à EIC attribuent leur satisfaction à l’égard du programme à une excellente expérience globale et un épanouissement personnel (51 %).

Comme l’an dernier, la sensibilisation au programme EIC est généralement faible chez les jeunes Canadiens. Les personnes qui le connaissent sont susceptibles d’en avoir entendu parler par la famille ou les amis ou par des recherches générales sur Internet. Le désir d’en apprendre davantage demeure toutefois vif, le tiers (30 %) indiquant qu’ils aimeraient en savoir plus. La communication de tels renseignements serait surtout appréciée par le biais d’Internet, de l’école ou du bouche-à-oreille.

Lorsqu’ils envisagent leur avenir, les jeunes Canadiens ont généralement hâte de voyager une fois la pandémie terminée, les trois quarts (74 %) étant très ou plutôt susceptibles de poursuivre de telles expériences, particulièrement pour les loisirs ou les affaires. À cette fin, les jeunes Canadiens restent conscients des préoccupations de sécurité qui entourent les voyages et la COVID-19, plus de six sur dix étant plus susceptibles de voyager lorsque les restrictions permettront de le faire (64 %) et plus de la moitié (56 %) indiquant qu’ils se sentent plus à l’aise de voyager maintenant qu’ils sont vaccinés.

Malgré un intérêt généralisé pour les voyages, de nombreux jeunes Canadiens font face à des obstacles qui les empêchent de vivre des expériences internationales. Interrogés sur les obstacles potentiels aux voyages à l’étranger, la plupart mentionnent la langue, les problèmes financiers ou les obligations familiales. De plus, une proportion importante de jeunes exprime des préoccupations à long terme au sujet des voyages après la pandémie, sachant que quatre jeunes sur dix (39 %) affirment qu’il y a des endroits dans le monde où ils n’envisageraient plus de vivre. Toutefois, les jeunes Canadiens semblent moins inquiets des taux de COVID-19 s’approchant de zéro dans un autre pays et ce critère ne dicte plus leur degré de confort; cette inquiétude se situe à 34 pour cent cette année, une baisse appréciable par rapport à 2021 où elle se situait à 53 pour cent.

Bien que la probabilité de participer à un programme comme EIC soit relativement faible (30 %), la plupart des jeunes comptent voyager à l’étranger d’une façon ou d’une autre. Susceptibles d’être motivés par la découverte et l’aventure, ainsi que par la possibilité d’en apprendre davantage sur un nouveau pays, la plupart des jeunes (76 %) disent qu’ils voyageront probablement pour les loisirs ou les affaires avant d’avoir 35  ans. Près d’une personne sur trois (34 %) déclare qu’elle voyagera probablement pour le travail et une personne sur cinq entend voyager à l’étranger pour étudier (20 %) ou faire du bénévolat (20 %).

Comme la plupart des jeunes Canadiens sont maintenant vaccinés contre la COVID-19 et qu’ils sont plus enclins à envisager de voyager à l’avenir, ils ont hâte que les restrictions s’assouplissent pour se sentir rassurés à l’idée de voyager. Les obstacles aux déplacements futurs pour le travail, le voyage ou le bénévolat sont généralement semblables aux autres raisons citées pour ne pas voyager en général (c.-à-d. la langue, les finances et les obligations personnelles). De plus, plus de la moitié des jeunes (56 %) estiment qu’ils ne connaissent tout simplement pas la marche à suivre pour travailler, faire du bénévolat ou étudier à l’extérieur du Canada. Une proportion similaire (49 %) estime qu’ils auraient de la difficulté à trouver du travail dans un autre pays.

Parents de jeunes Canadiens

Peu de parents (11 %) de jeunes Canadiens affirment que leur enfant a obtenu un visa pour des expériences de travail, d’études ou de bénévolat à l’étranger et 6 % affirment que leur enfant a participé à EIC. Parmi les parents eux-mêmes, moins d’un parent sur cinq (17 %) a obtenu un visa pour travailler, étudier ou faire du bénévolat à l’étranger, et 5 % sont d’anciens participants à EIC.

Comme en 2021, les parents et les jeunes connaissent peu EIC et apprennent le plus souvent l’existence du programme par le bouche-à-oreille. Malgré tout, près de la moitié (44 %) des parents déclarent qu’ils aimeraient en savoir plus sur le programme, de préférence par le biais d’Internet, des ressources scolaires ou des séances d’information sur EIC. Bien que les ressources scolaires soient encore appréciées par les parents, les recherches générales sur Internet ont gagné en importance depuis l’an dernier et ont stimulé la notoriété du programme.

Comme leurs homologues plus jeunes, les parents continuent d’avoir certaines préoccupations liées à la sécurité à l’extérieur du Canada en raison de la pandémie. Une de ces préoccupations, pour plus de six parents sur dix (63 %), est qu’il y a des endroits dans le monde où ils ne voudraient pas voir vivre leurs enfants (au cas où une autre pandémie se déclarait). Toutefois, en dépit de ces préoccupations, plus de la moitié (58 %) des parents disent qu’ils recommanderont probablement à leurs enfants de faire un voyage à l’étranger pour le travail ou le bénévolat une fois qu’il sera sécuritaire de le faire. En fait, les parents de jeunes Canadiens sont encore plus enclins à dire que leur enfant voyagera probablement pour étudier, travailler ou faire du bénévolat que les jeunes eux-mêmes.

Les parents ayant leur propre expérience à l’extérieur du Canada sont plus susceptibles de recommander une expérience internationale à leurs enfants en général (79 %) que les parents n’ayant aucune expérience internationale (53 %). Il n’y avait toutefois pas de différence significative entre ces groupes quant à la façon dont ils perçoivent les voyages dans certains pays à l’extérieur du Canada, en raison de la pandémie.

Énoncé de neutralité politique et personne-ressource

J’atteste par les présentes, à titre d’agent principal d’Environics, que les produits livrables respectent entièrement les exigences en matière de neutralité politique du gouvernement du Canada énoncées dans la Politique de communication du gouvernement du Canada et dans la Procédure de planification et d’attribution de marchés de services de recherche sur l’opinion publique. Plus précisément, les produits livrables ne comprennent pas d’information sur les intentions de vote électoral, les préférences quant aux partis politiques, les positions des partis ou l’évaluation de la performance d’un parti politique ou de ses dirigeants.

Tony Coulson
Vice-président général, Affaires internes et publiques
Environics Research Group tony.coulson@environics.ca
613-699-6882

Nom du fournisseur : Environics Research Group
Numéro du contrat de TPSGC : B8815-2203110/002/CY
Date initiale du contrat : 2021-12-22
Pour de plus amples renseignements, communiquez avec IRCC à IRCC.COMMPOR-ROPCOMM.IRCC@cic.gc.ca