Étude sur Expérience internationale Canada (EIC) 2023

Résumé du rapport

Préparé pour Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada
Fournisseur : Environics Research

Numéro d’enregistrement : POR 092-22
Numéro du contrat : CW2252958
Valeur du contrat : 199 405,45 $ (TVH incluse)
Date d’attribution du contrat : 9 décembre 2022
Date de livraison des services : 31 mars 2023

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IRCC.COMMPOR-ROPCOMM.IRCC@cic.gc.ca

This report is also available in English.

Droit d’auteur

Le présent rapport de recherche sur l’opinion publique présente les résultats d’un sondage quantitatif et d’un forum qualitatif en ligne réalisés par Environics Research pour le compte d’Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada. Le sondage quantitatif a été mené auprès de 2 560 jeunes Canadiens et Canadiennes, tandis que les séances de discussion en ligne ont été menées auprès de 120 jeunes en mars 2023.

This publication is also available in English under the title: 2023 International Experience Canada (IEC) Study - Executive Summary

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Direction générale des communications
Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada
Tour Jean-Edmonds Sud
365, avenue Laurier Ouest
Ottawa (Ontario) K1A 1L1

No de catalogue : Ci4-194/2023F-PDF
Numéro international normalisé du livre (ISBN) : 978-0-660-67701-9

Publications connexes (numéro d’enregistrement : POR 092-22) :
Nº de catalogue : Ci4-194/2023E-PDF (rapport final, en anglais)
ISBN 978-0-660-67700-2

Droit d’auteur : Sa Majesté le Roi du chef du Canada, représenté par le ministre d’Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada, 2023.

Résumé du rapport

Contexte et objectifs

Expérience internationale Canada (EIC) est un programme géré par Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC) qui permet aux jeunes Canadiens et Canadiennes de voyager et de travailler à l’étranger. EIC offre aux citoyens et citoyennes du Canada âgés de 18 à 35 ans la possibilité d’explorer et de travailler dans l’un des plus de 30 pays et territoires partenaires en leur facilitant l’obtention d’un permis de travail ou d’un visa. Comme il s’agit d’un programme réciproque, les jeunes citoyens et citoyennes d’autres pays ont aussi l’occasion de voyager et de travailler au Canada. L’âge limite et les types de permis de travail dépendent de l’entente sur la mobilité des jeunes conclue avec chaque pays partenaire. Le programme comprend des options pour les permis de travail ouverts (c’est-à-dire les permis Vacances-travail), qui ne nécessitent pas d’offre d’emploi, ainsi que les permis spécifiques à l’employeur, accordés seulement en présence d’une offre d’emploi valide.

Le programme EIC cherche à maximiser la réciprocité entre la participation des jeunes de l’étranger et celle des jeunes du Canada. Par conséquent, l’étude a comme principal objectif de recueillir de l’information et de s’appuyer sur les études antérieures pour aider EIC à accroître la participation des jeunes Canadiens et Canadiennes au programme.

L’étude 2022-2023 sur Expérience internationale Canada (EIC) a été conçue de façon à recueillir de l’information auprès de jeunes ayant déjà ou non participé au programme (y compris dans des communautés d’intérêt, comme les Autochtones et les membres de la communauté 2SLGBTQI+) afin d’orienter l’élaboration de politiques et les communications, y compris la création de nouveaux produits ciblés de promotion et de communication, et de cerner les obstacles auxquels EIC pourrait s’attaquer. Pour ce faire, il a fallu évaluer la connaissance du programme EIC auprès du public cible. L’étude avait plus précisément pour objectif d’évaluer :

Méthodologie

Pour atteindre les objectifs de l’étude, des méthodes quantitative et qualitative ont été utilisées. La phase quantitative consistait en un sondage en ligne auprès de jeunes Canadiens et Canadiennes de 16 à 35 ans. La phase qualitative a quant à elle pris la forme de séances virtuelles de discussion en groupe. Les deux phases de la recherche ont inclus des communautés d’intérêt précises : des élèves du secondaire, des membres de la communauté 2SLGBTQI+, des jeunes transgenres et des jeunes défavorisés.

  1. Un sondage quantitatif en ligne a été réalisé du 15 février au 5 mars 2023 auprès de 2 560 jeunes Canadiens et Canadiennes de 16 à 35 ans. Le recrutement s’est fait à partir d’un panel en ligne, et les moins de 18 ans devaient obtenir le consentement d’un parent pour pouvoir répondre au sondage. Le sondage d’une dizaine de minutes s’est penché sur les comportements et les attitudes à l’égard des voyages à l’étranger, les avantages et obstacles perçus d’une expérience internationale, la connaissance et les perceptions du programme EIC ainsi que l’incidence de la pandémie de COVID-19 sur les attitudes à l’égard des voyages.
  2. Seize séances virtuelles de discussion en groupe ont été menées auprès de jeunes Canadiens et Canadiennes. Chaque groupe était composé de six à huit personnes, pour un total de 120 participants et participantes. Le recrutement de la phase qualitative a été effectué par téléphone et par courriel par Trend Research, par l’entremise d’organisations au service des jeunes Autochtones et d’organisations partenaires d’EIC.

La méthodologie utilisée est décrite de façon plus détaillée à l’annexe A du présent rapport.

Limites : L’étude qualitative jette un regard sur la diversité des opinions présentes au sein d’une population, plutôt que sur la pondération de ces opinions, ce que mesurerait un sondage quantitatif. Les résultats d’une recherche de ce type doivent être considérés comme des indications, mais ils ne peuvent pas être extrapolés à l’ensemble de la population.

Puisque les sondages par panel en ligne ne font pas appel à des échantillons probabilistes tirés au hasard, il est impossible de calculer une estimation formelle de l’erreur d’échantillonnage. Même s’ils n’utilisent pas d’échantillons probabilistes tirés au hasard, les sondages en ligne peuvent tout de même être utilisés auprès de la population générale, pour autant qu’ils soient conçus adéquatement et qu’ils fassent appel à un panel bien géré comptant un grand nombre de personnes.

Valeur du contrat

La valeur de ce contrat s’élève à 199 405,45 $ (TVH incluse).

Principales constatations

Phase qualitative

Les jeunes ayant participé aux séances de discussion se sont en général montrés enthousiastes à l’idée de discuter de leurs expériences de voyage antérieures. La plupart avaient fait au moins un voyage à l’étranger au cours des cinq années précédentes, et presque la totalité détenait un passeport valide. Les destinations les plus courantes étaient les États-Unis, l’Europe, l’Asie et l’Australie. La découverte et l’exploration ont été nommées spontanément comme motivations ou avantages de voyager, en particulier chez les voyageurs et voyageuses les plus passionnés. Pour plusieurs, les voyages permettent de découvrir de nouvelles choses et de faire l’expérience d’autres lieux et façons d’être, mais il s’agit aussi d’une occasion de découverte de soi et d’introspection.

Certaines personnes ont connu des expériences légèrement négatives au cours de leurs voyages. Elles ont souvent évoqué les dépenses associées, et plusieurs ont rencontré des désagréments en raison de la pandémie de COVID-19. Dans l’ensemble, toutefois, les voyages à l’étranger étaient perçus comme des expériences fortement positives et formatrices. Ces opinions des voyages en général ont été reprises par les participants et participantes au programme EIC au moment de discuter de leurs expériences à cet égard.

Une faible minorité au sein des groupes de discussion n’avait pas du tout voyagé au cours des dernières années. Cela s’expliquait souvent par un manque d’intérêt ou la présence d’autres priorités, mais certaines personnes ont rencontré d’autres obstacles les empêchant de voyager en dehors du Canada, y compris le coût, les responsabilités à la maison, la peur ou le malaise à l’idée de voyager ou encore des préoccupations liées à la pandémie. Il convient de souligner que les soins de santé ou le soutien médical inquiétaient grandement les jeunes présentant une déficience de même que les Autochtones.

Au moment de réfléchir aux futurs voyages, la plupart des jeunes des groupes de discussion avaient certains projets ou certaines idées de voyages à l’étranger, nommant diverses possibilités de destinations et d’activités. En général, les jeunes étaient tous motivés à voyager, cherchant des expériences nouvelles et différentes, un sens de l’accomplissement personnel, ou simplement un moyen d’évasion. Chez les Autochtones, les projets de voyage étaient aussi souvent motivés par le désir d’aller à la rencontre de cultures autochtones dans d’autres parties du monde.

Alors que les destinations et activités étaient habituellement choisies en fonction des préférences personnelles, les facteurs qui dissuaderaient de visiter certaines régions étaient semblables d’un groupe à l’autre. Les jeunes ont souvent indiqué qu’ils éviteraient les pays touchés par des conflits actifs ou des préoccupations en matière de droits de la personne, et plusieurs ont aussi dit que des conditions climatiques défavorables pourraient être un facteur de dissuasion. Certains obstacles étaient davantage associés à des caractéristiques démographiques précises. Par exemple, les femmes dans tous les groupes et celles au sein des groupes de la communauté 2SLGBTQI+ s’inquiétaient davantage de leur sécurité personnelle, tandis que les Autochtones et les personnes présentant une déficience se préoccupaient plus fortement de l’accessibilité à des soins de santé dans d’autres pays. Les jeunes autochtones ont aussi abordé les relents de colonialisme dans certains pays, qui pourraient être dissuasifs.

Même si les voyages d’agrément interpellaient la majorité des jeunes au sein des groupes de discussion, peu considéraient réaliste de passer plus d’un mois à l’extérieur du Canada. Plusieurs jeunes semblaient hésiter à partir travailler ou étudier à l’étranger pour de longues périodes en raison d’autres priorités ou de leur lien avec la maison, au Canada. Les rares personnes qui ont exprimé le désir de vivre à l’étranger étaient souvent motivées par une envie de faire carrière ailleurs qu’au Canada ou de s’immerger plus profondément dans la culture d’un autre pays, ou encore par des raisons personnelles, par exemple pour vivre avec un ou une partenaire. Ces motivations étaient partagées au sein du groupe ayant participé au programme EIC au moment de discuter des raisons d’entreprendre une expérience internationale.

Peu de jeunes avaient déjà entendu parler d’EIC; cependant, après avoir pris connaissance de la définition du programme et de certains détails au sujet des types de visas offerts, la majorité en avait une impression positive, et on a immédiatement posé des questions sur les pays participants, le fonctionnement du programme et les commentaires des personnes y ayant déjà pris part. Très peu de jeunes ont dit souhaiter participer au programme EIC, ce qui cadre avec la faible envie de vivre à l’étranger en général. La majorité s’est toutefois dite susceptible de recommander ce programme à d’autres, et plusieurs auraient souhaité c EIC à un plus jeune âge.

Au moment de discuter de l’écart dans le niveau de participation des Canadiens et Canadiennes et celui des personnes de l’étranger au programme EIC, les jeunes ont souvent avancé qu’au Canada, les gens pourraient être moins portés à rechercher des expériences internationales en raison de leurs finances et d’une indifférence culturelle à l’égard des voyages, tandis que les jeunes de l’étranger sont probablement attirés par le Canada pour ses emplois, ses universités de premier plan et ses magnifiques paysages. On s’entendait en général pour dire que, même si EIC pouvait profiter d’efforts de marketing et de davantage de soutien, il faudrait, pour véritablement encourager un plus grand nombre de jeunes du Canada à participer au programme, trouver de réelles solutions aux difficultés économiques qui leur laissent croire qu’ils et elles ne peuvent tout simplement pas se permettre de quitter le Canada pour saisir des occasions à l’étranger. En ce qui concerne les Autochtones, il faut souligner la nécessité d’éliminer les obstacles à l’accès à EIC et à d’autres programmes pour favoriser l’égalité des chances, mais il est tout aussi important de respecter le fait que plusieurs raisons de ne pas voyager sont ancrées dans la culture et les traumatismes intergénérationnels. Ce groupe se distingue également par le désir de voyager avec d’autres jeunes Autochtones, ou d’avoir l’option d’être en contact étroit avec d’autres Autochtones pendant leur séjour à l’étranger.

Les séances se sont terminées par une discussion et des commentaires sur des stratégies et du matériel promotionnel précis utilisés par IRCC pour faire la promotion du programme EIC auprès des jeunes Canadiens et Canadiennes. Après avoir examiné une brochure comprenant des détails sur le programme, les participants et participantes ont trouvé celle-ci informative, mais pas accrocheuse, et ont parfois mis en doute l’efficacité de ce support pour attirer les jeunes. Une vidéo publiée sur Instagram présentant le témoignage d’une véritable participante au programme EIC a suscité des opinions partagées. En effet, la vidéo a été jugée attrayante sur le plan visuel, mais les jeunes ont trouvé difficile de s’identifier aux détails précis relatés par la narratrice et son travail d’instructrice de sports de neige. En revanche, les jeunes Autochtones avaient une opinion plus positive d’une vidéo semblable mettant en vedette une femme autochtone racontant sa propre expérience du programme EIC, s’identifiant à son histoire et la trouvant inspirante. Lorsqu’on a demandé aux jeunes de fournir des conseils généraux sur le marketing s’adressant à leur groupe d’âge, tous et toutes se sont entendus pour dire qu’il serait plus efficace de rejoindre les jeunes sur les réseaux sociaux, en particulier TikTok et Instagram. Les membres des groupes de discussion avaient tendance à préférer les images authentiques de véritables participants et participantes, appuyées par de l’information claire sur le programme (son fonctionnement, les critères d’admissibilité, etc.), bien que certaines personnes aient jugé qu’il était acceptable de puiser dans des banques d’images pour appuyer les renseignements écrits. Enfin, les gens ont trouvé qu’il était important de transmettre de l’information sur le programme EIC aux jeunes pendant leurs études secondaires ou postsecondaires afin de leur donner suffisamment de temps pour réfléchir à cette occasion et l’intégrer à leur plan de vie.

Phase quantitative

Comme c’était le cas en 2022, les voyages à l’étranger sont courants chez les jeunes Canadiens et Canadiennes de 18 à 35 ans; la plupart d’entre eux (85 %) voyagent pour le plaisir ou pour affaires, indiquant avoir fait au moins un voyage international pour cette raison au cours de leur vie. La moitié (51 %) des jeunes ont voyagé précisément pour le travail, les études, ou pour faire du bénévolat, un résultat en hausse par rapport à l’année dernière. De ceux-là, les deux tiers (63 %) affirment avoir obtenu un visa à cette fin, un pourcentage aussi en hausse depuis 2022. Les hausses d’une année à l’autre peuvent probablement être attribuées à l’accès élargi aux voyages internationaux, alors que les restrictions dues à la pandémie ont été assouplies tout au long de 2022. L’expérience internationale a le plus souvent été organisée par les jeunes mêmes (39 %) ou par l’intermédiaire de leur école (25 %).

Lorsqu’on leur demande de réfléchir à leurs expériences à l’international, les jeunes voyageurs et voyageuses accordent encore une fois une plus grande importance à la découverte de nouvelles cultures, à l’aventure et à l’épanouissement personnel, mentionnant moins souvent les autres avantages (comme l’apprentissage d’une deuxième langue ou l’acquisition de compétences professionnelles). Une majorité (65 %) a inclus son expérience à l’international dans son curriculum vitæ, ce qui marque une hausse par rapport à l’année dernière. Les jeunes qui ne l’ont pas fait expliquent que l’expérience n’était pas pertinente pour le poste auquel ils postulaient, comme c’était le cas en 2021 et en 2022. Sept jeunes sur dix (70 %) affirment ne pas hésiter à parler de leurs voyages à l’étranger à des employeurs potentiels, et six sur dix (62 %) ont le sentiment que leur expérience a élargi leurs perspectives d’emploi depuis leur retour au Canada.

Plus d’un jeune sur dix (16 %) dit avoir participé au programme Expérience internationale Canada (EIC); l’Australie, la France, l’Allemagne et le Royaume-Uni demeurent les pays partenaires les plus visités, comme c’était le cas au cours des deux dernières années. Chez les participants et participantes au programme EIC, les taux de satisfaction (88 %) et de probabilité de recommander le programme (89 %) à des membres de leur famille ou à des amis sont élevés, et semblables aux résultats de 2021 et de 2022. Les jeunes attribuent principalement leur satisfaction à l’excellente expérience dans l’ensemble et à l’occasion d’épanouissement personnel que procure le programme (39 %).

Comme dans les années passées, peu de gens avaient entendu parler du programme EIC. En effet, seules deux personnes sur dix (20 %) le connaissaient bien ou plutôt bien avant de répondre au sondage. Les jeunes qui avaient une certaine connaissance du programme en avaient entendu parler par des amis ou des membres de leur famille (34 %), directement d’une source d’IRCC (32 %) ou dans le cadre de recherches générales sur Internet (25 %). Ces résultats s’écartent de ceux de 2022, où les recherches en ligne occupaient la deuxième place. Le désir d’en savoir plus au sujet du programme EIC n’a pas changé depuis 2022; en effet, trois personnes sur dix (29 %) souhaitent recevoir de l’information à ce sujet. Comme en 2022, de tels renseignements seraient communiqués plus efficacement par Internet (46 %), par l’intermédiaire de l’école (27 %) ou par le bouche-à-oreille (26 %).

L’intérêt pour les voyages après la pandémie est élevé, plus des trois quarts (78 %) des jeunes indiquant qu’il est très ou plutôt probable qu’ils voyagent pour affaires, et quatre sur dix (42 %) qui sont susceptibles de voyager pour le travail. Les deux tiers des jeunes (64 %) se sentent à l’aise de voyager à l’étranger, tant qu’ils sont vaccinés, et plus de la moitié (57 %) croient qu’ils sont plus susceptibles de voyager lorsque possible, parce qu’il a été difficile de le faire pendant tellement longtemps en raison des restrictions.

Comme en 2022, la langue, les obligations à la maison et les aspects financiers sont les principaux obstacles empêchant les jeunes de rechercher des expériences de voyage. La COVID-19 constitue toujours un facteur important pour plusieurs. Le pourcentage de répondants et répondantes qui affirment ne plus envisager de vivre à certains endroits dans le monde en raison de la pandémie (45 %) a augmenté depuis 2022 (39 %). Cette année, 31 % des jeunes ne se sentiraient pas à l’aise de vivre dans un autre pays tant que les taux d’infection par la COVID-19 ne seront pas proches de zéro, alors que c’était le cas de 34 % en 2022 et de 53 % en 2021.

La probabilité de participer à un programme comme Expérience internationale Canada est de 39 %, ce qui marque une hausse par rapport aux 30 % de 2022. Trois pays anglophones, soit l’Australie, l’Angleterre et les États-Unis, sont à la tête des destinations de prédilection dans le cadre d’EIC ou d’un programme semblable, tandis que le Japon et la France arrivent en quatrième et en cinquième places. Les jeunes choisiraient le plus souvent leur destination en fonction de sa culture (24 %), du simple désir de visiter l’endroit (20 %) ou par intérêt général (20 %).

Énoncé de neutralité politique et coordonnées

Par la présente, je certifie, en tant que cadre supérieure d’Environics, que les produits livrables sont entièrement conformes aux exigences du gouvernement du Canada en matière de neutralité politique, comme elles sont définies dans la Politique sur les communications et l’image de marque et la Directive sur la gestion des communications. Plus particulièrement, les produits livrables ne font aucune mention des intentions de vote électoral, des préférences quant aux partis politiques, des positions des partis ou de l’évaluation de la performance d’un parti politique ou de son chef.

Stephanie Coulter
Associée principale en recherche – Affaires générales et publiques
Environics Research Group
stephanie.coulter@environics.ca
437 990-2393

Nom du fournisseur : Environics Research Group
Numéro de contrat de TPSGC : CW2252958

No de référence du client : B8815-2203110/002/CY
Date du contrat initial : 9 décembre 2022
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