Sondage sur la Stratégie quantique
nationale du Canada
Résumé exécutif
Préparé pour Innovation, Sciences et Développement économique Canada
(ISDE)
Nom du fournisseur : Nanos
Research
Numéro de
contrat : CW2343345
Valeur du
contrat :
73 746,31 $ (incluant la TVH)
Date
d'attribution des services : 2023-12-20
Date de
livraison : 2024-03-18
Numéro
d'enregistrement: POR 110-23
Pour plus
d'informations sur ce rapport, veuillez contacter Innovation, Sciences et Développement
économique Canada à l'adresse: publicopinionresearch-recherchesurlopinionpublique@ised-isde.gc.ca
This report is also
available in English.
Sondage sur la Stratégie
quantique nationale du Canada
Sommaire
Préparé à l’intention d’Innovation, Sciences et Développement économique Canada (ISDE) par Nanos
Research
Mars 2024
La présente
publication peut être reproduite à des fins non commerciales seulement. Il faut
avoir obtenu au préalable l’autorisation écrite d’Innovation, Sciences
et Développement économique Canada. Pour de plus amples renseignements sur ce
rapport, veuillez communiquer avec ISDE à l’adresse:
publicopinionresearch-recherchesurlopinionpublique@ised-isde.gc.ca
© Sa
Majesté le Roi du Canada, représenté par le ministre des Services publics et
Approvisionnement Canada,
2024.
Numéro de catalogue : IU4-434/2024F-PDF
Numéro
international normalisé du livre (ISBN) : 978-0-660-71028-0
Also
available in English under the title Canada’s National Quantum Strategy
Survey.
Catalogue Number:
IU4-434/2024E-PDF
International
Standard Book Number (ISBN): 978-0-660-71027-3
La science quantique, un domaine émergent à la
pointe de la recherche et de l'innovation, recèle un immense potentiel pour
révolutionner diverses industries. Qu'il s'agisse de mettre au point des
médicaments vitaux ou de créer des batteries de nouvelle génération, les
technologies quantiques sont sur le point de remodeler la façon dont nous
concevons et développons tout. Les scientifiques et les entrepreneurs canadiens
sont prêts à tirer parti de ces possibilités et à devenir des chefs de file
dans ce domaine en plein essor.
La Stratégie quantique nationale (SQN) est une
initiative visant à renforcer le secteur quantique du Canada et à lui assurer
une place de choix parmi les leaders mondiaux. La SQN s'articule autour de
trois piliers : la recherche, les talents et la commercialisation. Grâce à des
investissements stratégiques et à un soutien ciblé, la SQN s'efforce de
réaliser des missions clés dans les domaines du matériel et des logiciels
d'ordinateurs, des communications et des capteurs.
Lancée le 13 janvier 2023, la SQN vise à
catalyser la croissance du secteur quantique du Canada et à consolider son
leadership dans ce domaine transformateur. Plus précisément, la SQN vise à
amplifier les forces existantes du Canada en matière de recherche quantique, à
favoriser la croissance des technologies quantiques et à faire du Canada un
chef de file mondial dans ce domaine.
Pour assumer ses responsabilités et garantir
l'efficacité de la stratégie, le secrétariat de la SQN s'est engagé à combler
les lacunes en matière de données et à suivre les progrès. Conformément à cet
engagement, le secrétariat de la SQN a engagé Nanos Research pour mener un
sondage quantitatif auprès des entreprises canadiennes actives dans le domaine
quantique et des universitaires spécialisés dans le domaine quantique.
L'objectif premier de cette recherche est de mieux comprendre
l'écosystème quantique canadien.
Objectifs
· Combler les lacunes identifiées en matière de
données et suivre les indicateurs de performance clés;
· Évaluer les aspects essentiels de l'écosystème
quantique, tels que la collaboration intersectorielle, l'adoption de produits
et de services quantiques, l'évolution du marché de l'emploi quantique et la sensibilisation
de la communauté quantique à la programmation de la SQN ; et,
· Fournir une compréhension complète et axée sur
les données du paysage quantique au Canada.
L'enquête a été menée en ligne et a été
déployée à partir d’une liste fournie par ISDE et un total de 112 personnes ont
participé. L'échantillon comprenait 66 personnes travaillant dans des
entreprises / organismes à but non lucratif du secteur quantique (46
entreprises uniques) et 46 universitaires (23 universités / instituts uniques)
du secteur quantique. Pour les entreprises et les organisations à but non
lucratif, une seule réponse par organisation a été prise en compte. Le taux de
réponse à l'enquête a été de 26 %.
L'enquête
comportait deux volets : Volet 1 : Industrie/associations à but non lucratif et
Volet 2 : Académique. Le questionnaire comprenait des modules distincts pour
chaque volet, avec des questions pertinentes pour chacun d'entre eux, ainsi que
plusieurs questions de base qui étaient les mêmes pour les deux volets.
Le
travail de terrain a été réalisé entre le 21 février et le 1er mars 2024. Les
détails sur le taux de participation se trouvent à l'annexe A et le
questionnaire est fourni à l'annexe B.
La valeur du contrat était de 73 746,31 $ (TVH
incluse).
Nom du fournisseur : Nanos Research
Numéro de contrat de TPSGC : CW2343345
Date du contrat d’origine : 2024-12-20
Pour de plus amples informations, veuillez contacter ISDE à l'adresse
publicopinionresearch-recherchesurlopinionpublique@ised-isde.gc.ca
Je certifie, en tant que représentant de
Nanos Research, que les produits livrables sont entièrement conformes aux
exigences de neutralité politique du gouvernement du Canada énoncées dans la
Politique sur les communications et l’identité fédérale et la Directive sur la
gestion des communications du gouvernement du Canada. Plus précisément, les
éléments livrables n’incluent pas d’informations sur les intentions de vote,
les préférences des partis politiques, la position des partis auprès de
l’électorat ou les évaluations de la performance d’un parti politique ou de ses
dirigeants.
Nik
Nanos
Scientifique
en chef des données et Président
Nanos Research
(613) 234-4666 x237
Le sondage comportait deux volets : Volet 1 :
Industrie/associations sans but lucratif et Volet 2 : Académique. Les
principales conclusions et le rapport qui suivent reprennent les résultats des
deux volets, en précisant tout au long du rapport à quel des deux volets les conclusions se rapportent.
Les répondants des
secteurs industriel et académique indiquent le plus souvent que leur
organisation ou eux-mêmes mènent des activités de recherche et de développement
dans tous les domaines quantiques, dans des proportions similaires. Les
capteurs quantiques ont été identifiés comme un domaine de R&D pour 48 %
des universitaires et 39 % des industriels, les communications et la
cryptographie quantique pour 44 % des universitaires et des industriels, le
matériel d’informatique quantique pour 41 % des universitaires et 46 % des
industriels et les matériaux quantiques pour 37 % de l’échantillon total.
Presque tous les
répondants de l'industrie (95 %) et du milieu universitaire (96 %) déclarent
collaborer avec d'autres participants de l'écosystème. Les répondants du
secteur académique déclarent le plus souvent collaborer avec des universités et
collèges au Canada (87 %), suivis par des universités et collèges dans d'autres
pays (78 %), des entreprises situées au Canada (67 %) et des instituts de
recherche canadiens (61 %). Seuls quatre pour cent des universitaires déclarent
ne collaborer avec aucune de ces entités. De même, les répondants de
l'industrie déclarent le plus souvent collaborer avec des universités et des
collèges au Canada (85 %), ainsi qu'avec des entreprises situées au Canada (77
%), des entreprises situées à l'étranger (71 %) et des laboratoires du
gouvernement fédéral canadien (64 %). Seulement 5 % des répondants de
l'industrie déclarent que leur organisation ne collabore avec aucune de ces
entités.
Les répondants de
l'industrie et du milieu académique considèrent que les collaborations avec les
universités et les collèges au Canada sont importantes (universitaires : note
moyenne de 8,5 sur 10 ; industrie : note moyenne de 7,9), mais les répondants
de l'industrie considèrent également que les entreprises à l'intérieur (moyenne
de 8,2) et à l'extérieur du Canada (moyenne de 8,1) sont les plus importantes.
Les universitaires sont plus susceptibles de penser que les collaborations avec
les universités et les collèges à l'extérieur du Canada sont importantes
(moyenne de 7,9) que les répondants de l'industrie (moyenne de 6,1).
En ce qui
concerne les principaux avantages de ces collaborations, les répondants des
secteurs académique et industriel mentionnent souvent l'innovation,
l'avancement des connaissances et le partage de nouvelles idées comme étant les
principaux avantages (35 % des universitaires et 37 % des industriels). De
plus, les deux groupes affirment que le principal résultat de ces
collaborations est une collaboration de recherche continue ou une simple
collaboration continue (93 % des universitaires et 79 % des industriels).
Talent
Cinquante-sept
pour cent des répondants du milieu académique sur cinq indiquent que leur
département a tenté d'embaucher un nouveau membre du corps professoral en
sciences quantiques au cours des six derniers mois, tandis que plus de deux
répondants industriels ou à but non lucratif sur trois indiquent que leur organisation
a tenté de pourvoir des postes au cours des six derniers mois pour lesquels une
expérience en sciences et technologies quantiques est importante (69 %). Les
répondants de l'industrie indiquent que la recherche a eu lieu principalement
au Canada (89 %), puis aux États-Unis (44 %) ou en Europe (40 %), et près de
huit répondants sur dix affirment qu’il est probable (61 %) ou plutôt probable
(18 %) que leur organisation embauche des candidats au cours des six prochains
mois.
Soixante et un
pour cent des répondants de l'industrie sur cinq indiquent que leur
organisation a trouvé des candidats canadiens qualifiés qui répondaient à leurs
besoins (61 %), et 64 pour cent indiquent que leur organisation a comblé une
partie (42 %) ou la totalité (22 %) des postes pour lesquels ils embauchaient.
Les répondants de l'industrie ont indiqué que les outils de recrutement les
plus efficaces étaient les réseaux sociaux (y compris LinkedIn) (64 %), les
sites Web d'affichage de postes (c.-à-d. monster.ca, Indeed) (38 %) et une
agence de recrutement (27 %).
Lorsqu'on a
demandé aux répondants de l'industrie quels étaient les plus grands obstacles à
l'embauche pour leur organisation, les principales réponses comprenaient le
manque de candidats qualifiés (36 %), les attentes des candidats (c.-à-d. le
salaire et les avantages sociaux) (27 %) et les barrières à l'immigration (22
%). Les répondants de l'industrie estiment que les plus grandes pénuries de
candidats qualifiés dans le secteur concernent le matériel d'informatique
quantique (49 %), les communications quantiques et la cryptographie (47 %), les
logiciels quantiques (46 %) et les capteurs quantiques (44 %).
Les femmes sont
le groupe sous-représenté le plus souvent cité au sein de l'effectif de leur
organisation (86 %), suivi des personnes racialisées (72 %) et de la communauté
2SLGBTQIA+ (49 %). Lorsqu'on leur a demandé quels étaient les plus grands défis
à relever pour disposer d'une main-d'œuvre diversifiée, les répondants ont le
plus souvent mentionné qu'il y avait peu de candidats divers disponibles pour
occuper les postes et un manque de candidats qualifiés dans un domaine qui
n'est déjà pas diversifié (43 %) et que les compétences et le talent étaient
plus importants (19 %).
Neuf répondants universitaires
sur dix déclarent qu'il est probable (80 %) ou plutôt probable (11 %) qu'ils
resteront au Canada au cours des cinq prochaines années pour poursuivre leurs
recherches et affirment que les possibilités de financement (note moyenne de
8,9 sur 10) et la qualité de vie (moyenne de 8,8) sont les facteurs les plus
importants lorsqu'ils choisissent l'endroit où ils mèneront leurs recherches. De
même, une majorité de répondants du secteur industriel disent qu’il est
probable (71% ou plutôt probable (14%) que leur entreprise ou organisation reste
au Canada au cours des cinq prochaines années.
En ce qui concerne les groupes sous-représentés au sein de leur
département, les répondants indiquent le plus souvent que les femmes sont
représentées dans leur département (58 %), suivies des personnes racialisées
(42 %), des membres de la communauté 2SLGBTQIA+ (33 %) et des personnes ayant
un handicap (22 %), tandis que 27 % indiquent qu'aucun de ces groupes n'est
représenté.
En ce qui
concerne les principaux défis liés à l'embauche d'une main-d'œuvre plus
diversifiée, la réponse la plus fréquente, tant dans l'industrie que dans les
universités, est qu'il y a peu de candidats diversifiés disponibles pour
occuper les postes et qu'il n'y a pas assez de candidatures (43 % des répondants
de l'industrie ; 41 % des universitaires).
Commercialisation de la recherche
Plus de la moitié
(55 %) des personnes interrogées, tant dans l'industrie que dans le volet académique,
déclarent avoir déposé un brevet lié à la technologie quantique. De plus, plus
de trois répondants sur quatre des secteurs industriel et académique déclarent
avoir engagé des utilisateurs finaux potentiels de leurs produits et/ou
services au cours de l'année dernière (78 %), les répondants du secteur
industriel étant plus susceptibles de déclarer l'avoir fait (88 %) que les
répondants du secteur académique (64 %).
Lorsqu'on leur
demande quel est le niveau d'intérêt des utilisateurs finaux potentiels pour
l'adoption des technologies quantiques, la quasi-totalité des répondants
industriels et universitaires déclarent que les utilisateurs finaux sont
intéressés (63 %) ou plutôt intéressés (34 %), mais ils sont moins enclins à
dire que les utilisateurs finaux sont à l'aise (20 %) ou plutôt à l'aise (49 %)
pour adopter des produits ou des services quantiques.
En
ce qui concerne les obstacles à l'adoption des solutions quantiques par les
utilisateurs finaux, les répondants de l'industrie ont le plus souvent déclaré
que les cas d'utilisation sont encore en cours d’être éprouvés et n'ont pas
encore été adoptés à grande échelle (21 %), qu'il est trop tôt pour l’adoption et
que leur travail ou leur technologie ne sont pas encore prêt (20 %) et qu'il y
a un manque de connaissance et de compréhension de la technologie de la part
des utilisateurs finaux (20 %). Lorsque les universitaires ont été interrogés
sur les obstacles à la commercialisation de leurs recherches, ils ont également
souvent répondu qu'il était trop tôt et que le travail ou la technologie n'étaient
pas encore prêtes (27 %), puis qu'ils n'étaient pas intéressés par la
commercialisation (18 %).
Connaissance et utilisation des programmes fédéraux
Dans
l'ensemble, les répondants industriels et universitaires estiment qu'ils sont
informés (71 %, note de 7 à 10) quant à la façon dont les programmes fédéraux
peuvent soutenir la recherche et le développement quantique (moyenne de 7,4 sur
10).
Les
répondants à l'enquête ont indiqué un niveau élevé de connaissance de nombreux
programmes fédéraux liés au domaine quantique qui soutiennent la
commercialisation. Par exemple, une majorité de répondants de l'industrie et du
milieu académique déclarent avoir entendu parler du Programme d'aide à la
recherche industrielle du CNRC (PARI) (87 %), suivi du Programme Défi du CNRC
(84 %) et du programme Innovation
pour la défense, l’excellence et la sécurité (IDEeS) (81 %). Les répondants industriels
et universitaires qui avaient entendu parler de ces programmes étaient les plus
susceptibles de déclarer avoir demandé et reçu des fonds du PARI (37 %), de Solutions
innovatrices Canada (ISC) (36 %) et de l’une des agences de développement
régional (30 %). Les répondants de l'industrie et du milieu académique ont
indiqué que le processus de demande ou d'approbation de ces programmes fédéraux
de soutien à la commercialisation est trop long ou complexe (20 %) et qu'il y a
trop d'exigences et qu'elles devraient être allégées (10 %).
En
ce qui concerne les programmes fédéraux qui soutiennent la recherche, Les
répondants industriels et universitaires sont les plus susceptibles de déclarer
avoir entendu parler du programme fédéral Alliance du CRSNG (87 %), tandis que
deux sur trois déclarent avoir entendu parler de l'Institut canadien des
recherches avancées (CIFAR) (67 %) et qu'un peu plus d'un sur dix déclare
connaître le programme PIVOT de la Banque du Canada (12 %). Un répondant
industriel ou universitaire sur trois ayant entendu parler du programme
Alliance du CRSNG déclare avoir demandé et obtenu un financement (32 % ; 21 %
déclarent avoir fait une demande et que la décision est en attente), tandis que
deux sur dix déclarent la même chose pour l'Institut canadien des recherches
avancées (20 %). Lorsqu'on leur a demandé des commentaires sur leur
participation à ces programmes fédéraux, les répondants industriels et universitaires
ont mentionné que le programme Alliance ne finance pas les entreprises ou le
secteur privé (24 %) et neuf pour cent ont déclaré que CIFAR n'a pas d'appels
ouverts pour le financement et qu'il n'y a que des invitations.
Pour les programmes fédéraux qui visent à soutenir les
talents, presque tous les répondants de l'industrie et du milieu académique ont
déclaré avoir entendu parler du programme Mitacs (98 %), tandis que plus de
trois répondants sur quatre ont entendu parler du programme FONCER du CRSNG (77 %). Plus de
la moitié des répondants industriels et universitaires qui ont entendu parler
de Mitacs déclarent avoir demandé et reçu un financement (59 %), tandis que
trois répondants sur dix ont reçu un financement du programme FONCER du CRSNG
(31 % ; 11 % déclarent avoir fait une demande, mais n'ont pas reçu de financement).
Un répondant industriel et universitaire sur quatre a déclaré que les
programmes fédéraux de soutien des talents sont de bons programmes et qu'ils ont
présenté une demande avec succès (25 %), que les programmes sont difficiles à
appliquer ou qu'ils comportent trop d'exigences (25 %) et que les programmes ne
s'appliquent pas à l'industrie et qu'il faut passer par le milieu académique
pour présenter une demande (25 %).
Points de vue sur la Stratégie
quantique nationale (SQN)
Presque
tous les répondants de l'industrie et des universités (98 %) ont déclaré savoir
que le Canada a publié sa Stratégie quantique nationale (SQN) en janvier 2023,
et près d'un répondant sur deux s'est dit satisfait des trois principaux
aspects de la stratégie : faire du Canada un chef de file mondial dans le
développement, le déploiement et l'utilisation soutenue de matériel et de
logiciels d'informatique quantique (54 % de satisfaits, note de 7 à 10),
assurer la protection de la vie privée et la cybersécurité des Canadiens dans
un monde axé sur l'informatique quantique grâce à un réseau de communications
quantiques national sécurisé et à une initiative de cryptographie
post-quantique (51 % de satisfaits) et permettre au gouvernement du Canada et
aux industries clés de développer et d'adopter rapidement de nouvelles
technologies de détection quantique (47 % de satisfaits).
Plus
de deux répondants industriels et universitaires sur trois ayant entendu parler
de la SQN sont d'accord (22 %) ou plutôt d'accord (47 %) que les missions de la
stratégie créent des priorités claires pour le domaine quantique au Canada,
tandis qu'un répondant sur quatre est plutôt en désaccord (16 %) ou en
désaccord (10 %). Interrogés sur les raisons de cette opinion (positive
ou négative), les répondants de l'industrie et du monde académique ont
mentionné que les objectifs sont très généraux (26 %), le manque de financement
ou les problèmes de financement (13 %) et la lenteur de la mise en œuvre ou les
problèmes de mise en œuvre (12 %).
La
majorité des répondants industriels et universitaires qui connaissent la SQN
(86 %) déclarent avoir reçu des informations du gouvernement fédéral concernant
les événements liés à la SQN, y compris des ateliers, des tables rondes et des
missions.