Recherche sur l'opinion publique – Appui à l'aide juridique
et confiance du public dans le système de justice
Figure 1 : Confiance du
public dans le système de justice pénale pour adultes en 2011
Le diagramme à barres horizontales
illustre les degrés de confiance du public à l’égard du système de justice
pénale pour les adultes.
L’axe
des X fixe les pourcentages par intervalles de 10, de 0 à 70.
L’axe
des Y est divisé en 3 degrés de confiance, de haut en bas : faible, modéré
ou élevé.
Résultats
- 22 %
des répondants n’ont qu’un faible degré de confiance à l’égard du système
de justice pénale pour les adultes.
- 61 %
des répondants ont un degré de confiance modéré à l’égard du système de
justice pénale pour les adultes.
- 17 %
des répondants ont un degré de confiance élevé à l’égard du système de
justice pénale pour les adultes.
Figure 2 : Confiance du
public dans le système de justice pénale pour jeunes en 2011
Le diagramme à barres horizontales illustre
les degrés de confiance du public à l’égard du système de justice pénale pour
les jeunes.
L’axe
des X axis fixe les pourcentages par intervalle de 10, de 0 à 60.
L’axe
des Y est divisé en 3 degrés de confiance, de haut en bas : faible, modéré
ou élevé.
Résultats
- 30 %
des répondants ont un faible degré de confiance à l’égard du système de
justice pénale pour les jeunes.
- 56 %
des répondants ont un degré de confiance modéré à l’égard du système de
justice pénale pour les jeunes.
- 15 %
des répondants ont un degré de confiance élevé à l’égard du système de
justice pénale pour les jeunes.
Figure 3 : Mesure dans laquelle les répondants connaissent le
programme d’aide juridique de leur province
Le diagramme à barres verticales
illustre le degré de connaissance qu’ont les répondants du programme d’aide juridique
de leur province.
L’axe
des X est divisé en 4 degrés de connaissance, de gauche à droite : très
bien, plutôt bien, pas très bien, pas du tout.
L’axe
des Y fixe les pourcentages par intervalles de 10, de 0 à 50.
Résultats
- 17 %
des répondants connaissent très bien le programme d’aide juridique de leur
province.
- 41 %
des répondants connaissent plutôt bien le programme d’aide juridique de
leur province.
- 26 %
des répondants ne connaissent pas très bien le programme d’aide juridique
de leur province.
- 16 %
des répondants ne connaissent pas du tout le programme d’aide juridique de
leur province.
Figure 4 : Distribution des
dix principales façons dont les répondants ont entendu parler de l’aide
juridique
Le diagramme à barres verticales
illustre les dix principales façons dont les répondants ont dit avoir entendu
parler de l’aide juridique.
L’axe
des X est divisée en 10, de gauche à droite : bouche à oreille – membres de la
famille/amis, journaux, télévision, expérience personnelle/j’en ai bénéficié,
nouvelles/actualité, école/j’ai suivi un cours au collège, médias, fait connu
de tous/je suis au courant, je connais quelqu’un qui en a bénéficié, autre.
L’axe
des Y fixe les pourcentages par intervalles de 5, de 0 à 25.
Résultats
- 21 %
des répondants ont entendu parler de l’aide juridique par des membres de
la famille ou des amis (bouche à oreille).
- 17 %
des répondants ont entendu parler de l’aide juridique dans les journaux.
- 12 %
des répondants ont entendu parler de l’aide juridique à la télévision.
- 11 %
des répondants ont découvert l’aide juridique par l’expérience
personnelle/parce qu’ils en ont bénéficié.
- 11 %
des répondants ont entendu parler de l’aide juridique aux nouvelles/dans
l’actualité.
- 10 %
des répondants ont entendu parler de l’aide juridique à l’école ou dans un
cours qu’ils ont suivi au collège.
- 10 %
des répondants ont entendu parler de l’aide juridique par les médias.
- 9 %
des répondants connaissent l’existence de l’aide juridique parce que c’est
de notoriété publique.
- 7 %
des répondants ont entendu parler de l’aide juridique parce qu’ils
connaissaient quelqu’un qui en avait bénéficié.
- 6 %
des répondants ont entendu parler de l’aide juridique d’autres façons.
Figure 5 : Importance des
différents postes de dépenses publiques
Le diagramme à barres verticales
illustre la mesure dans laquelle les répondants considèrent les différents
postes de dépenses publiques comme importants.
L’axe
des X est divisé en 3 degrés d’importance, de gauche à droite : très important,
plutôt important, pas très important/pas du tout important.
L’axe
des Y fixe les pourcentages par intervalles de 20, de 0 à 100.
Une
légende se trouve dans le coin supérieur du diagramme à barres verticales.
Différentes couleurs représentent chacun des postes de dépense : noir pour
l’éducation, blanc pour les soins de santé, gris clair pour les services de
police et gris foncé pour les services d’aide juridique aux personnes à faible
revenu.
Résultats
- 88 %
des répondants considèrent que les dépenses publiques consacrées à
l’éducation sont très importantes; 92 % des répondants considèrent
que les dépenses publiques consacrées aux soins de santé sont très
importantes; 72 % des répondants considèrent que les dépenses
publiques consacrées aux services de police sont très importantes et 47 %
des répondants considèrent que les dépenses publiques consacrées aux
services d’aide juridique sont très importantes.
- 11 %
des répondants considèrent que les dépenses publiques consacrées à l’éducation
sont plutôt importantes; 7 % des répondants considèrent que les
dépenses publiques consacrées aux soins de santé sont plutôt importantes;
25 % des répondants considèrent que les dépenses publiques consacrées
aux services de police sont plutôt importantes et 44 % des répondants
considèrent que les dépenses publiques consacrées aux services d’aide
juridique aux personnes à faible revenu sont plutôt importantes.
- 1 %
des répondants considèrent que les dépenses publiques consacrées à l’éducation
ne sont pas très/pas du tout importantes; 1 % des répondants considèrent
que les dépenses publiques consacrées aux soins de santé ne sont pas
très/pas du tout importantes; 3 % des répondants considèrent que les
dépenses publiques consacrées aux services de police ne sont pas très/pas
du tout importantes et 9 % des répondants considèrent que les dépenses
publiques consacrées aux services d’aide juridique aux personnes à faible
revenu ne sont pas très/pas du tout importantes.
Figure 6 : Mesure dans
laquelle les répondants sont d’accord pour dire que, dans la société
canadienne, les lois et le système judiciaire sont justes
Le digramme à barres verticales
illustre la mesure dans laquelle les répondants sont d’accord pour dire que,
dans la société canadienne, les lois et le système judiciaire sont justes.
L’axe
des X est divisé en 4 degrés d’accord, de gauche à droite : fortement
d’accord, plutôt d’accord, plutôt en désaccord, fortement en désaccord.
L’axe
des Y fixe les pourcentages par intervalles de 10, de 0 à 60.
Résultats
- 20 %
des répondants sont fortement d’accord pour dire que les lois et le
système judiciaire canadiens sont justes.
- 53 %
des répondants sont plutôt d’accord pour dire que les lois et le système
judiciaire canadiens sont justes.
- 18 %
des répondants sont plutôt en désaccord pour dire que les lois et le
système judiciaire canadiens sont justes.
- 9 %
des répondants sont fortement en désaccord pour dire que les lois et le
système judiciaire canadiens sont justes.
Figure 7 : Mesure dans
laquelle les répondants sont d’accord pour dire que l’existence de l’aide
juridique donne davantage confiance dans le caractère juste du système
judiciaire canadien
Le
diagramme à barres verticales illustre la mesure dans laquelle les répondants considèrent
que l’aide juridique donne davantage confiance dans le caractère équitable du
système judiciaire canadien.
L’axe
des X est divisé en 4 degrés d’accord, de gauche à droite : fortement
d’accord, plutôt d’accord, plutôt en désaccord, fortement en désaccord.
L’axe
des Y fixe les pourcentages par intervalles de 10, de 0 à 50.
Résultats
- 43 %
des répondants sont fortement d’accord pour dire que l’aide juridique
donne davantage confiance dans le caractère juste du système judiciaire
canadien.
- 43 %
des répondants sont plutôt d’accord pour dire que l’aide juridique donne
davantage confiance dans le caractère juste du système judiciaire canadien.
- 9 %
des répondants sont plutôt en désaccord que l’aide juridique donne
davantage confiance dans le caractère juste du système judiciaire canadien.
- 6 % des répondants sont
fortement en désaccord que l’aide juridique donne davantage confiance dans
le système judiciaire canadien.
-
Figure 8 : Mesure dans
laquelle les répondants estiment important d’être représenté par un avocat
Le
diagramme à barres verticales illustre la mesure dans laquelle les répondants estiment
important d’être représenté par un avocat.
L’axe
des X est divisé en 3 degrés d’importance, de gauche à droite : très important,
plutôt important, pas très important/pas du tout important.
L’axe
des Y fixe les pourcentages par intervalles de 10, de 0 à 80.
Résultats
:
- 72 %
des répondants estiment très important d’être
représenté par un avocat.
- 25 %
des répondants estimentplutôt important d’être représenté par un avocat.
- 3 %
des répondants estiment pas très
important/pas du tout important d’être
représenté par un avocat.
Figure 9 : Mesure dans
laquelle les répondants sont d’accord pour dire qu’un avocat devrait être mis à
la disposition de ceux qui n’ont pas les moyens d’en retenir les services
Le
digramme à barres verticales illustre la mesure dans laquelle les répondants étaient
d’accord pour dire qu’un avocat devrait être mis à la disposition de ceux qui
n’ont pas les moyens d’en retenir les services.
L’axe
des X est divisé en 3 degrés d’accord, de gauche à droite : fortement
d’accord, plutôt d’accord, plutôt en désaccord/ fortement en désaccord.
L’axe
des Y fixe les pourcentages par intervalles de 10, de 0 à 70.
Résultats
- 63 %
des répondants ont indiqué qu’ils étaient fortement d’accord pour dire
qu’un avocat devait être mis à la disposition de ceux qui n’ont pas les
moyens d’en retenir les services.
- 29 %
des répondants étaient plutôt d’accord pour dire qu’un avocat devait être
mis à la disposition de ceux qui n’ont pas les moyens d’en retenir les
services.
- 8 %
des répondants ont dit qu’ils étaient plutôt en désaccord/fortement en
désaccord qu’un avocat devait être mis à la disposition de ceux qui n’ont
pas les moyens d’en retenir les services.
Figure 10 : Importance des
programmes d’aide juridique dans le maintien du caractère juste du système de
justice pénale
Le
diagramme à barres verticales illustre l’importance que revêtent pour les
répondants les programmes d’aide juridique dans le maintien du caractère
équitable du système de justice pénale.
L’axe
des X est divisé en 3 degrés d’importance, de gauche à droite : très
important, plutôt important, pas très important/pas du tout important.
L’axe
des Y fixe les pourcentages par intervalles de 10, de 0 à 70.
Résultats
- 60 %
des répondants pensent que les programmes d’aide juridique sont très
importants pour maintenir le caractère juste du système de justice pénale.
- 35 %
des répondants pensent que les programmes d’aide juridique sont plutôt
importants pour maintenir le caractère juste du système de justice pénale.
- 5 %
des répondants pensent que les programmes d’aide juridique ne sont pas
très importants/pas du tout importants pour maintenir le caractère juste
du système de justice pénale.
Figure 11 : Mesure dans laquelle les
répondants sont d’accord pour dire que le gouvernement devrait allouer les ressources
nécessaires pour mettre les services d’un avocat à la disposition des personnes
à faible revenu
Le
diagramme à barres verticales illustre la mesure dans laquelle les répondants étaient
d’accord pour que le gouvernement alloue les ressources nécessaires pour mettre
les services d’un avocat à la disposition des personnes à faible revenu.
L’axe
des X est divisé en 4 degrés d’accord, de gauche à droite : fortement
d’accord, plutôt d’accord, plutôt en désaccord, fortement en désaccord.
L’axe
des Y fixe les pourcentages par intervalles de 10, de 0 à 50.
Résultats
- 48 %
des répondants sont fortement d’accord pour que le gouvernement alloue les
ressources nécessaires pour fournir les services d’un avocat aux personnes
à faible revenu.
- 40 %
des répondants sont plutôt d’accord pour que le gouvernement alloue les
ressources nécessaires pour fournir les services d’un avocat aux personnes
à faible revenu.
- 8 %
des répondants sont plutôt en désaccord que le gouvernement alloue les ressources
nécessaires pour fournir les services d’un avocat aux personnes à faible
revenu.
- 5 %
des répondants sont fortement en désaccord que le gouvernement alloue les
ressources nécessaires pour fournir les services d’un avocat aux personnes
à faible revenu.
Figure 12 : Mesure dans
laquelle les répondants sont d’accord pour dire que la représentation par un
avocat n’est qu’un élément d’un procès juste
Le
diagramme à barres verticales illustre la mesure dans laquelle les répondants sont
d’accord pour dire que la représentation par un avocat n’est qu’un élément d’un
procès juste.
L’axe
des X est divisé en 3 degrés d’accord, de gauche à droite : fortement
d’accord, plutôt d’accord, plutôt en désaccord/fortement en désaccord.
L’axe
des Y fixe les pourcentages par intervalles de 10, de 0 à 60.
Résultats
- 55 %
des répondants sont fortement d’accord pour dire que la représentation par un avocat n’est qu’un élément d’un
procès juste.
- 37 %
des répondants sont plutôt d’accord pour dire que la représentation par un
avocat n’est qu’un élément d’un procès juste.
- 8 %
des répondants sont plutôt en désaccord/fortement en désaccord que la
représentation par un avocat n’est qu’un élément d’un procès juste.
Figure 13 : Mesure dans
laquelle les répondants sont d’accord pour dire qu’être représenté par un
avocat est essentiel à la tenue d’un procès juste
Le
diagramme à barres verticales illustre la mesure dans laquelle les répondants sont
d’accord pour dire qu’être représenté par un avocat est essentiel à la tenue
d’un procès juste.
L’axe
des X est divisé en 3 degrés d’accord, de gauche à droite : fortement
d’accord, plutôt d’accord, plutôt en désaccord/fortement en désaccord.
L’axe
des Y fixe les pourcentages par intervalles de 10, de 0 à 70.
Résultats
- 65 %
des répondants sont fortement d’accord pour dire qu’être représenté par un
avocat est essentiel à la tenue d’un procès juste.
- 27 %
des répondants sont plutôt d’accord pour dire qu’être représenté par un
avocat est essentiel à la tenue d’un procès juste.
- 8 %
des répondants sont plutôt en désaccord/fortement en désaccord qu’être
représenté par un avocat est essentiel à la tenue d’un procès juste.
Figure 14 : Distribution des
façons dont les répondants ont déjà eu affaire au système de justice pénale
Le diagramme à barres verticales
illustre les façons dont les répondants ont déjà eu affaire au système de
justice pénale.
L’axe
des X est divisé en 5 façons dont les répondants ont déjà eu affaire au
système de justice pénale, de gauche à droite : en tant que témoin, en tant que
victime d’un crime, en tant qu’accusé d’un crime, en tant que membre d’un jury,
en tant qu’employé du système judiciaire.
L’axe
des Y fixe les pourcentages par intervalles de 5, de 0 à 20.
Résultats
:
- 18 %
des répondants ont déjà eu affaire au système de justice pénale en tant
que témoin.
- 15 %
des répondants ont déjà eu affaire au système de justice pénale en tant
que victime d’un crime.
- 10 %
des répondants ont déjà eu affaire au système de justice pénale en tant
qu’accusé d’un crime.
- 7 %
des répondants ont déjà eu affaire au système de justice pénale en tant
que membre d’un jury.
- 5 %
des répondants ont déjà eu affaire au système de justice pénale en tant
qu’employé du système judiciaire.