Agence de santé publique du Canada
ROP no 021-17
Contrat no HT372-173253/001/CY
Produit par Kantar TNS
Date d’attribution du contrat : 9 juillet 2017
Date du rapport : 22 janvier 2018
Les commotions cérébrales liées au sport constituent un enjeu de santé publique en raison de leur fréquence et de leurs conséquences potentielles à court et à long terme, y compris les symptômes cognitifs, émotionnels et physiques et, lorsqu’elles ne sont pas détectées, même la mort. Les enfants et les adolescents sont particulièrement à risque de subir des déficiences cognitives à long terme à la suite d’une lésion cérébrale traumatique liée au sport.
Actuellement, il n’existe pas de lignes directrices précises concernant les commotions, et il n’existe pas d’approche pancanadienne complète pour aborder le problème des commotions dans les secteurs du sport, de l’éducation et de la santé. Il s’agit d’une lacune critique, étant donné que les approches de prévention, de détection et de gestion varient d’un bout à l’autre du pays, augmentant potentiellement les risques pour la santé des participants à des activités sportives, récréatives et physiques.
La ministre de la Santé a été mandatée pour travailler avec la ministre des Sports et des Personnes handicapées dans le but d’appuyer une stratégie nationale visant à sensibiliser davantage les parents, les entraîneurs et les athlètes au traitement des commotions cérébrales.
Le budget de 2016 prévoyait 1,4 million de dollars sur deux ans pour permettre à l'aspc de travailler avec les provinces et les territoires à l'harmonisation des lignes directrices sur la gestion des commotions cérébrales au Canada, en mettant l'accent sur les protocoles de retour au jeu et de retour à l’apprentissage.
Objectifs de la recherche
Cette recherche est essentielle à la collecte d’informations en ce qui concerne la compréhension actuelle des Canadiens à l’égard des commotions cérébrales (et particulièrement les commotions chez les enfants et les adolescents) afin d’orienter l’élaboration d’une stratégie pancanadienne en matière de commotion cérébrale. Cette recherche aidera aussi à établir une base d’informations qui sera utilisée pour mesurer les progrès et rendre compte du rendement, à la suite de la mise en œuvre d’une ligne directrice canadienne sur les commotions liées au sport et les protocoles de retour au jeu et de retour à l’apprentissage.
L’étude ciblera deux grands segments : les professionnels de la santé et le public canadien (18 ans et plus) lesquels seront subdivisés entre la population en général, les professeurs, les parents et les entraîneurs/administrateurs sportifs.
Les objectifs précis de la recherche consistent à :
Sensibilisation aux commotions cérébrales dans l’ensemble
Aux fins de cette recherche, nous avons présumé que les professionnels de la santé étaient sensibilisés au problème des commotions. Cette présomption n’a pas été faite pour les non-professionnels de la santé et, par conséquent, les répondants qui n’étaient pas au courant du problème de santé que représentent les commotions cérébrales ont été exclus du sondage. En tout, 15 % des répondants n’étaient pas au courant des problèmes liés aux commotions cérébrales, les professeurs (9 %) et les entraîneurs (4 %) étant moins susceptibles de n’en être pas au courant.
Attitudes à l’égard des commotions cérébrales
Parmi ceux qui étaient au courant des problèmes liés aux commotions, presque tous les Canadiens (97 %) croient que les commotions représentent un important problème de santé; cependant, moins de répondants savent où trouver de l’information sur la prévention (51 %), ce qu’il faut faire si quelqu’un subit une commotion (46 %) ou peuvent reconnaître les signes et les symptômes (40 %).
Connaissances générales en matière de commotions cérébrales
De façon générale, la perception qu’ont les Canadiens de leurs connaissances au sujet des commotions cérébrales est faible. La moitié indiquent qu’ils ont peu ou pas de connaissances (55 %). La compréhension de base qu’ils ont est passablement grande; la plupart des Canadiens (88 %) savent qu’une commotion est « un coup à la tête qui cause une variété de symptômes tels que des maux de tête ou une vision trouble ». Moins, cependant, comprennent les aspects plus détaillés ou spécifiques des commotions, à savoir qu’une lésion cérébrale affecte la façon dont une personne pense (46 %) ou qu’une commotion ne peut être diagnostiquée à l’aide de tests d’imagerie (29 %).
Les Canadiens ont aussi une bonne compréhension de ce qui peut causer une commotion. La plupart comprennent (89 %) qu’un « coup à la tête » peut causer une commotion mais moins comprennent que la commotion peut aussi être le résultat d’un coup reçu n’importe où sur le corps causant un choc ou une secousse soudaine à la tête (79 %), un coup au visage (67 %) ou au cou (52 %).
Les Canadiens sont également bien outillés pour identifier un grand nombre de signes pouvant indiquer qu’une personne ait pu souffrir d’une commotion cérébrale ainsi que les symptômes qu’une personne ayant subi une commotion puisse ressentir. Les symptômes cognitifs ou moteurs tels que ne pas penser clairement ou avoir des étourdissements sont plus connus que les symptômes liés aux troubles de l’humeur tels que la nervosité ou l’anxiété.
Les Canadiens comprennent un peu quelles actions doivent être entreprises s’ils soupçonnent quelqu’un d’avoir subi une commotion cérébrale. La plupart (88 %) comprennent qu’un professionnel de la santé devrait évaluer la personne, vérifier s’il y a des symptômes de commotion (78 %), de perte de mémoire (70 %) ou des signaux d’alarme (69 %). Plus de la moitié, cependant, continuent de croire qu’il faut surveiller le sommeil de la personne (56 %).
Bien que les résultats précédents indiquent que les Canadiens ont un niveau de connaissances de modéré â élevé au sujet des commotions cérébrales, il ne faut pas oublier que les réponses ont été fournies à partir de listes suggérées. Cela signifie que bon nombre de Canadiens, lorsqu’ils sont confrontés à diverses options, sont en mesure d’identifier la bonne réponse. Cela ne signifie pas qu’ils ont les connaissances requises pour traiter une commotion cérébrale, le cas échéant.
Afin de mieux comprendre les connaissances des Canadiens à l’égard des commotions, nous avons utilisé un certain nombre d’énoncés vrais et faux dans le sondage afin de mieux comprendre les niveaux de connaissances. Lorsque des énoncés vrais et faux sont utilisés, un répondant peut correctement deviner la réponse la moitié du temps. Par conséquent, afin de s’assurer que les Canadiens ont correctement identifié l’énoncé comme étant vrai ou faux, les résultats doivent être supérieurs à 50 pour cent.
Les résultats de cette analyse ont démontré qu’il y a certains mythes au sujet des commotions cérébrales auxquels les Canadiens continuent de croire et qu’il y a aussi un certain nombre de faits que les gens connaissent ou ne comprennent tout simplement pas. Plus spécifiquement, la plupart des Canadiens comprennent que les symptômes d’une commotion peuvent durer pendant plusieurs semaines (96 %) et qu’ils peuvent varier d’une personne à une autre (95 %), qu’une personne n’a PAS besoin de perdre conscience pour subir une commotion cérébrale (92 %) et qu’il n’est pas nécessairement sécuritaire de retourner à des activités sportives dès que les symptômes disparaissent (90 %). Bon nombre aussi comprennent qu’un coup direct à la tête ne provoque pas nécessairement une commotion (70 %) et que les IRM ou CT scans ne constituent pas la façon de diagnostiquer une commotion (68 %).
Il est intéressant de noter, toutefois, qu’il y a un certain nombre de mythes et de faits qui demeurent flous dans la tête des Canadiens; les résultats montrent des bonnes réponses au même rythme que si on les avait devinées. Les énoncés suivants ont été identifiés correctement environ la moitié du temps seulement, ce qui semble suggérer que les Canadiens n’ont pas les connaissances requises dans ces domaines.
Connaissances en matière de commotions cérébrales liées au sport
Bon nombre de Canadiens comprennent qu'il y a de nombreuses façons de prévenir les commotions cérébrales liées au sport, notamment d’éviter tout contact avec la tête (85 %), de donner aux athlètes une formation sur les commotions cérébrales (79 %) et de s’assurer que les athlètes respectent les règles et règlements de leur sport (78 %) et respectent les autres joueurs (62 %). Il y a, cependant, des perceptions erronées comme croire que porter un casque (92 %), éviter les sports de contact (56 %) et porter un protecteur buccal (44 %) sont des moyens efficaces de prévenir les commotions cérébrales liées au sport.
La plupart des Canadiens comprennent que, lorsqu’on soupçonne qu’une personne a subi une commotion cérébrale pendant la pratique d’un sport, on devrait faire évaluer cette personne par un fournisseur de soins de santé (92 %). Bon nombre comprennent également que la personne devrait être immédiatement retirée du jeu (87 %) et qu’elle devrait obtenir une autorisation médicale avant de retourner au sport (82%). Cependant, un peu moins de répondants reconnaissent que la personne ne devrait pas être autorisée à retourner au même match ou à la même pratique (69 %).
Connaissances générales au sujet des traitements
Les connaissances des Canadiens en matière de traitement des commotions cérébrales sont faibles. Le quart (25 %) des Canadiens ne savent pas comment on traite une commotion cérébrale et seulement 15 % peuvent identifier correctement « le repos pendant 24 à 48 heures, suivi d'un retour graduel à l'activité cognitive et physique sous la supervision d'un professionnel de la santé » comme étant le meilleur moyen de traiter une commotion cérébrale.
Presque tous les Canadiens (97 %) comprennent qu'une légère activité physique ne devrait pas être permise immédiatement après une commotion cérébrale et qu'il devrait y avoir une période de repos (24 %). Toutefois, la période de repos prévue varie; 13 % croient qu'elle devrait être de 24 à 48 heures alors que
11 % pensent qu'elle devrait être de 10 à 14 jours.
De même, presque tous les Canadiens (99 %) comprennent qu’une commotion cérébrale a des répercussions sur les études et le travail. Il est intéressant de noter, toutefois, que bon nombre de Canadiens (63 %) croient qu’un retour au travail ne devrait être permis que si on a obtenu une autorisation médicale.
Les perspectives de retour au jeu comparativement aux perspectives de retour au travail ou aux activités physiques légères sont légèrement différentes pour les Canadiens. Trois quarts (75 %) croient que les athlètes ne devraient pas retourner au jeu avant d’avoir reçu une autorisation médicale d’un professionnel de la santé. Certains croient qu’il devrait y avoir une période de repos (10 %) de 24 à 48 heures (2 %) ou de 10 à 14 jours (8 %) alors que d’autres croient que tous les symptômes d’une commotion (7 %) devraient avoir disparu avant de retourner au jeu.
Informations sur les commotions cérébrales
Peu de Canadiens (7 %) ont cherché de l’information au sujet de la prévention, du diagnostic ou de la guérison d’une commotion cérébrale au cours des 12 derniers mois. Les Canadiens cherchent ou ont l’intention de chercher de l’information au sujet de la prévention, du diagnostic ou de la guérison d’une commotion cérébrale principalement en ligne, en consultant divers sites Web, à l’aide d’un moteur de recherche ou en cherchant un site Web spécifique tels que Santé Canada, Agence de la santé publique du Canada ou d’autres sites Web liés à la santé.
De plus, les Canadiens ne sont pas particulièrement sensibilisés aux ressources ou outils liés aux commotions cérébrales. Quatre sur dix (40 %) ne connaissaient aucun des outils et/ou ressources mis à la disposition du public. L’autre 60 pour cent connaissait au moins un outil mais aucun outil en particulier est largement connu et moins d’un quart des Canadiens connaissait une des ressources mentionnées.
Différences entre les parents, les professeurs et les entraîneurs
Cette recherche explore en détail les différences qui peuvent exister entre la population en général et les parents d’enfants de 5 à 17 ans (ci-après les parents), les professeurs et les entraîneurs (ci-après les entraîneurs) d’enfants de 5 à 17 ans.
Règle générale, les parents ont des attitudes et des niveaux de connaissance similaires à ceux de la population générale, à quelques exceptions près :
Les professeurs sont mieux informés que la population générale dans certains domaines :
Lorsqu’il s’agit de sensibilisation et de connaissances au sujet des commotions cérébrales, les entraîneurs ont tendance à être plus sensibilisés et à avoir un plus grand niveau de connaissance autodéclaré dans la plupart des domaines. Les entraîneurs déclarent non seulement un niveau de sensibilisation et de connaissance de base mais ils sont également plus susceptibles de comprendre les aspects les plus pointus ou spécifiques des commotions. Plus précisément, les entraîneurs :
Processus et procédures mises en place pour gérer les commotions cérébrales
Bon nombre d’écoles et de ligues ont des processus et procédures en place pour gérer les commotions. Plus de la moitié (56 %) de tous les professeurs ont rapporté que leur école a mis en place des processus et procédures alors que trois quarts (75 %) des entraîneurs indiquent que leur équipe ou ligue a mis en place des processus ou procédures pour gérer les commotions cérébrales.
Formation concernant la gestion des commotions au niveau des professeurs et entraîneurs
La formation des professeurs et entraîneurs en matière de commotions est quelque peu limitée. Seulement la moitié (48 %) des professeurs ont reçu une formation ou une éducation de la part de leur école ou conseil d’administration au sujet des commotions. Le nombre d’entraîneurs ayant reçu une formation est un peu plus élevé, 62 % d’entre eux ayant reçu une formation ou une éducation de la part de leur organisation ou ligue au sujet des commotions cérébrales.
Professionnels de la santé
Presque tous les fournisseurs de soins de santé (97 %) croient que les commotions représentent un important problème de santé. Toutefois, ce ne sont pas tous les fournisseurs de soins de santé qui savent où aller pour obtenir des renseignements fiables au sujet d’un diagnostic de commotion (85 %) ou sur le traitement et la guérison d’une commotion (82 %). Il n’est pas surprenant de constater que les fournisseurs de soins de santé sont plutôt bien informés sur les commotions. Seulement dix pour cent croient qu’ils ont peu (9 %) ou pas
(1 %) de connaissances en ce qui a trait aux commotions cérébrales.
La forte majorité des fournisseurs de soins de santé (84 %) ont déjà diagnostiqué une commotion cérébrale et les symptômes chez le patient sont utilisés pour diagnostiquer une commotion par presque tous (98 %) les fournisseurs de soins de santé, suivis de l’historique du patient (95 %), d’un examen neurologique (86 %), d’une observation (79 %), d’un test cognitif (63 %) ou autres (17 %). Il est intéressant de constater qu’une faible proportion de fournisseurs de soins de santé utilise les tests d’imagerie pour diagnostiquer une commotion même si on ne peut pas habituellement diagnostiquer une commotion cérébrale de cette façon. Pour diagnostiquer et évaluer la gravité d’une commotion, les fournisseurs de soins de santé sont plus susceptibles d’utiliser :
Les fournisseurs de soins de santé ont une connaissance variée des outils ou ressources en matière de commotion cérébrale et bon nombre d’entre eux connaissent les outils et ressources suivants :
Parmi les fournisseurs de soins de santé qui ont utilisé les lignes directrices en matière de commotion cérébrale liée au sport, ils ont des perceptions très positives à ce sujet. De fait, la vaste majorité croient (fortement d’accord ou d’accord) que les lignes directrices :
(85 %); et
Un sondage en ligne a été mené auprès de 1 895 Canadiens âgés de 18 ans et plus et auprès de 391 fournisseurs de soins de santé. Un prétest composé de 10 entrevues complétées en anglais et de 10 entrevues complétées en français a été effectué le 20 novembre 2017 avant le lancement du sondage. Le sondage a été mené du 20 novembre au 19 décembre 2017. Les répondants ont été sélectionnés principalement à partir du panel en ligne de Kantar TNS, des membres de l'Association canadienne des entraîneurs et des partenaires de Parachute. Les résultats des sondages auprès du panel et des membres ne peuvent être décrits comme statistiquement représentatifs de la population canadienne. Là où les données nationales étaient disponibles, les données étaient pondérées pour refléter la composition démographique de la population canadienne. Comme il s'agissait d'un échantillon non probabiliste, la marge d'erreur ne s'applique pas et les conclusions tirées de ces résultats ne peuvent être généralisées pour aucune population. Le sondage a été effectué dans la langue officielle de choix du répondant et il a fallu en moyenne 15 minutes pour l'effectuer. Une méthodologie détaillée est présentée au chapitre 4.
La valeur totale du contrat pour ce projet est de 94 920 $, y compris la TVH.
Par la présente, je certifie qu’à titre de directrice principale de la recherche et chef des pratiques du secteur public chez Kantar TNS que les produits finaux sont pleinement conformes aux exigences de neutralité politique du gouvernement du Canada établies dans la Politique de communication du gouvernement du Canada et dans la Procédure de planification et d’attribution de marchés de services de recherche sur l’opinion publique. Plus particulièrement, les produits finaux ne comprennent pas de renseignements sur les intentions de vote aux élections, sur les préférences de partis politiques, sur les positions vis-à-vis de l’électorat ou sur l’évaluation de la performance d’un parti politique ou de ses dirigeants.
Tanya Whitehead
Kantar TNS
Directrice principale de la recherche et chef des pratiques du secteur public
Les commotions cérébrales liées au sport constituent une question de santé publique reconnue en raison de leur fréquence et de leurs conséquences potentielles à court et à long terme, y compris les symptômes cognitifs, émotionnels et physiques et, si elles ne sont pas détectées, même la mort. Les enfants et les jeunes sont particulièrement à risque de déficits cognitifs à long terme par suite d’un traumatisme crânien lié au sport.
Actuellement, il n’y a pas de lignes directives prédéfinies au sujet des commotions cérébrales et il n’y a pas d’approche pancanadienne complète pour aborder les problèmes de commotions dans les secteurs du sport, de l’éducation et de la santé. Il s’agit d’une grave lacune compte tenu du fait que les approches en ce qui a trait à la prévention, la détection et la gestion varient d’un bout à l’autre du pays, augmentant potentiellement les risques pour la santé des participants aux sports, aux loisirs et aux activités physiques.
Le ministre de la Santé a été mandaté pour travailler avec le ministre des Sports et des Personnes handicapées afin de soutenir une stratégie à l’échelle nationale visant à sensibiliser davantage les parents, entraîneurs et athlètes quant au traitement des commotions cérébrales.
Le budget de 2016 prévoyait 1,4 million de dollars sur deux ans pour permettre à l’aspc de travailler avec les provinces et les territoires à l’harmonisation des lignes directrices sur la gestion des commotions cérébrales partout au Canada, en mettant l’accent sur les protocoles de retour au jeu et de retour à l’apprentissage.
Objectifs de la recherche
Cette recherche est essentielle à la collecte d’informations concernant la compréhension actuelle des Canadiens au sujet des commotions cérébrales (et particulièrement des commotions chez les enfants et les jeunes) afin de contribuer à l’élaboration d’une stratégie pancanadienne sur les commotions cérébrales. Cette recherche aidera également à établir une base de renseignements qui servira à mesurer les progrès et à rendre compte du rendement par suite de la mise en œuvre des lignes directrices canadiennes sur les commotions cérébrales et les protocoles sur le retour au jeu et le retour à l’apprentissage.
L’étude ciblera deux grands segments : les professionnels de la santé et le public canadien (18 ans et plus) segmenté à son tour en population générale, professeurs, parents et entraîneurs/administrateurs sportifs.
Les objectifs précis de la recherche sont :
Un sondage en ligne a été mené auprès de 1 895 Canadiens âgés de 18 ans et plus et auprès de 391 fournisseurs de soins de santé. Un prétest composé de 10 entrevues complétées en anglais et de 10 entrevues complétées en français a été effectué le 20 novembre 2017 avant le lancement du sondage. Le sondage a été mené du 20 novembre au 19 décembre 2017. Les répondants ont été sélectionnés principalement à partir du panel en ligne de Kantar TNS, des membres de l'Association canadienne des entraîneurs et des partenaires de Parachute. Les résultats des sondages auprès du panel et des membres ne peuvent être décrits comme statistiquement représentatifs de la population canadienne. Là où les données nationales étaient disponibles, les données étaient pondérées pour refléter la composition démographique de la population canadienne. Comme il s'agissait d'un échantillon non probabiliste, la marge d'erreur ne s'applique pas et les conclusions tirées de ces résultats ne peuvent être généralisées pour aucune population. Le sondage a été effectué dans la langue officielle de choix du répondant et il a fallu en moyenne 15 minutes pour l'effectuer. Une méthodologie détaillée est présentée au chapitre 4.
Analyses, signification statistique et arrondissement des sous-groupes
Une analyse a été entreprise afin d’établir les différences entre la population générale, les parents, les professeurs et les entraîneurs ainsi qu’un certain nombre de données démographiques au sein de ces groupes. Il convient de noter que, pour cette recherche, un échantillon de la population générale a d'abord été établi, puis un suréchantillon de parents, de professeurs et d'entraîneurs a été obtenu. De plus, il se peut qu’un répondant se situe dans plus d'une catégorie puisqu’il peut faire partie de l'échantillon de la population générale tout en étant parent, entraîneur ou professeur. Seules les différences significatives au niveau de confiance de 95 % sont présentées dans ce rapport. Toutes les différences statistiquement significatives entre ces sous-groupes sont indiquées en précisant la lettre de la colonne dans les tableaux tout au long du rapport. Par exemple, dans le tableau ci-dessous, les parents, les professeurs et les entraîneurs sont significativement plus susceptibles de déclarer être capables de reconnaître les signes et les symptômes d'une commotion cérébrale liée au sport comparativement à la population générale.
Top 2 |
Population générale |
Parents |
Professeurs |
Entraîneurs |
---|---|---|---|---|
Base = réelle |
(1000) |
(764) |
(295) |
(261) |
Je peux reconnaître les signes et les symptômes d'une commotion cérébrale liée au sport |
40 |
63 B |
69 B |
84 BCD |
Les nombres présentés dans ce rapport sont arrondis au nombre entier le plus près. En raison de cet arrondissement, il se peut que, dans certains cas, les évaluations regroupées diffèrent d’un point de pourcentage lorsqu’elles sont présentées individuellement et il se peut que les chiffres ne totalisent pas
100 %.
Aux fins de ce sondage, les répondants qui n’étaient pas au courant des problèmes liés aux commotions cérébrales ont été exclus du sondage. En tout, 15 % des répondants qui n’étaient pas des professionnels de la santé n’étaient pas au courant des problèmes liés aux commotions. Les professeurs et les entraîneurs étaient plus susceptibles d’être au courant, seulement neuf et quatre pour cent respectivement n’étant pas au courant des problèmes liés aux commotions cérébrales.
Presque tous les Canadiens (97 %) croient que les commotions représentent un important problème de santé cependant seulement la moitié (51 %) savent où aller pour trouver de l’information sur la prévention et moins encore (46 %) savent ce qu’il faut faire si quelqu’un subit une commotion ou peuvent reconnaître les signes et les symptômes d’une commotion liée au sport (40%).
Les parents d’enfants de 5 à 17 ans, les professeurs et les entraîneurs sont tous plus susceptibles que les Canadiens en général de savoir où aller pour trouver de l’information fiable sur la prévention des commotions cérébrales (67 %, 68 % et 82 % respectivement), de savoir ce qu’il faut faire si quelqu’un subit une commotion (63 %, 64 % et 86 % respectivement) et ils sont plus susceptibles de reconnaître les signes et les symptômes d’une commotion cérébrale liée au sport (63 %, 69 % et 84 % respectivement).
Top 2 |
Population |
Parents |
Professeurs |
Entraîneurs |
---|---|---|---|---|
Base = réelle |
(1000) |
(764) |
(295) |
(261) |
La commotion cérébrale est un important problème de santé |
97 |
97 |
99 |
99 C |
Je peux reconnaître les signes et les symptômes d’une commotion cérébrale liée au sport |
40 |
63 B |
69 B |
84 BCD |
Je sais où aller pour obtenir des informations fiables sur la prévention des commotions cérébrales |
51 |
67 B |
68 B |
82 BCD |
Je sais ce qu’il faut faire si quelqu’un que je connais subit une commotion cérébrale |
46 |
63 B |
64 B |
86 BCD |
Q16. Veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d’accord ou en désaccord avec chacun des énoncés suivants. |
Le niveau de connaissances autodéclaré au sujet des commotions est faible parmi les Canadiens. Plus de la moitié des Canadiens indiquent qu’ils ont peu (49 %) ou aucune (6 %) connaissance au sujet des commotions cérébrales alors que légèrement plus d’un tiers (38 %) se considèrent comme ayant une connaissance modérée des commotions. Moins d’un pour cent de la population se considèrent comme étant des experts en matière de commotions cérébrales. Les parents, les professeurs et les entraîneurs évaluent tous leurs connaissances comme étant supérieures comparativement à la population générale. Les détails sont présentés dans le tableau ci-dessous.
Population |
Parents |
Professeurs |
Entraîneurs |
|
---|---|---|---|---|
Base = réelle |
(1000) |
(764) |
(295) |
(261) |
Je suis un(e) expert(e) en matière de commotion cérébrale |
<0,5 % |
1 |
<0,5 % |
1 |
Je connais beaucoup de choses au sujet des commotions cérébrales |
7 |
17 B |
23 BC |
38 BCD |
Je connais passablement de choses au sujet des commotions cérébrales |
38 |
42 |
44 |
47 B |
Je connais un peu de choses au sujet des commotions cérébrales |
49 CDE |
38 E |
32 E |
15 |
Je ne sais rien au sujet des commotions cérébrales |
6 CDE |
2 E |
<0,5 % |
0 |
Q17. À l’aide de l’échelle ci-dessous, comment évalueriez-vous votre niveau de connaissance actuel au sujet des commotions cérébrales? |
Note : Les lettres majuscules dénotent une différence statistiquement significative. Par exemple, s’il y a un B, le résultat est sensiblement plus élevé que le résultat correspondant dans la colonne B
La plupart des Canadiens (88 %) croient qu’une commotion se définit comme étant « un coup à la tête qui cause une variété de symptômes tels que des maux de tête ou une vision trouble »; cependant, moins de Canadiens (46 %) comprennent que c’est une lésion cérébrale « qui affecte la façon dont une personne
pense » ou « qui n’est pas apparente sur des rayons X, un CT Scan ou un IRM (29 %). Près de la moitié des Canadiens pensent, à tort, qu’une commotion est une lésion cérébrale qui « affecte la façon dont une personne marche et parle » (46 %) ou qu’elle peut être décrite comme une « meurtrissure au cerveau »
(48 %). Peu de Canadiens (7 %) croient qu’une commotion cérébrale est une blessure à la moelle épinière qui affecte la façon dont une personne pense.
Les entraîneurs sont plus susceptibles de comprendre qu’une commotion cérébrale n’est pas apparente sur des rayons X, un CT Scan ou un IRM (44 %) mais ils sont aussi plus susceptibles de faire l’erreur de penser qu’une commotion peut être décrite comme une lésion cérébrale qui « affecte la façon dont une personne marche et parle » (51 %).
Population générale |
Parents |
Professeurs |
Entraîneurs |
|
---|---|---|---|---|
Base = réelle |
(982) |
(755) |
(290) |
(248) |
Un coup à la tête qui cause une variété de symptômes tels que des maux de tête ou une vision trouble |
88 |
89 |
93 E |
88 |
Une meurtrissure au cerveau |
48 |
46 |
42 |
50 |
Une lésion cérébrale qui affecte la façon dont une personne pense |
47 |
46 |
45 |
55 BCD |
Une lésion cérébrale qui affecte la façon dont une personne marche et parle |
46 |
43 |
42 |
51 CD |
Une lésion cérébrale qui n’est pas apparente sur des rayons X, un CT Scan ou un IRM |
29 |
33 |
30 |
44 BCD |
Une lésion de la moelle épinière qui affecte la façon dont une personne pense |
7 |
7 |
7 |
9 |
Je ne sais pas |
3 E |
2 |
2 |
0 |
Q18. Lequel des énoncés suivants décrit en quoi consiste une commotion cérébrale, selon vous? Sélectionnez toutes les réponses qui s’appliquent. |
Note : Les lettres majuscules dénotent une différence statistiquement significative. Par exemple, s’il y a un B, le résultat est sensiblement plus élevé que le résultat correspondant dans la colonne B
Les entraîneurs sont plus susceptibles de savoir que les commotions peuvent être causées par un coup ou une secousse n’importe où sur le corps qui causerait un choc ou une secousse soudaine à la tête (95 %), par un coup au visage (81%) ou au cou (73 %).
Population |
Parents |
Professeurs |
Entraîneurs |
|
---|---|---|---|---|
Base = réelle |
(982) |
(755) |
(290) |
(248) |
Se frapper ou recevoir un coup à la tête |
89 |
87 |
84 |
86 |
Se frapper ou recevoir un coup n’importe où sur le corps qui causerait un choc ou une secousse soudaine à la tête (ex. Un accident de voiture, une mise en échec lors d’un match sportif) |
79 |
81 |
84 |
95 BCD |
Se frapper ou recevoir un coup au visage |
67 |
66 |
70 |
81 BCD |
Se frapper ou recevoir un coup au cou |
52 |
55 |
54 |
73 BCD |
Je ne sais pas |
1 |
1 |
<0,5 % |
0 |
Q19. Selon vous, lesquels des coups suivants pourraient causer une commotion cérébrale? Sélectionnez toutes les réponses qui s’appliquent |
Note : Les lettres majuscules dénotent une différence statistiquement significative. Par exemple, s’il y a un B, le résultat est sensiblement plus élevé que le résultat correspondant dans la colonne B
Les entraîneurs sont plus susceptibles de pouvoir correctement identifier tous les signes qui indiquent qu’une personne peut avoir subi une commotion cérébrale liée au sport comparativement à la population générale, et les professeurs sont plus susceptibles d’identifier certains signes comme un regard vide, sans expression
(84 %), une personne qui se tient la tête (77 %) et des nausées et vomissements (95 %) comparativement à la population générale.
Population |
Parents |
Professeurs |
Entraîneurs |
|
---|---|---|---|---|
Base = réelle |
(982) |
(755) |
(290) |
(248) |
Une désorientation, confusion ou incapacité à répondre adéquatement aux questions |
92 |
92 |
95 |
99 BCD |
De la difficulté à garder l’équilibre, à marcher ou à coordonner ses mouvements |
88 |
89 |
92 |
98 BCD |
Des nausées ou vomissements |
82 |
86 |
93 BC |
95 BC |
Un regard vide, sans expression |
75 |
77 |
84 BC |
94 BCD |
La personne est lente à se relever |
70 |
73 |
77 |
83 BC |
La personne reste allongée immobile au sol |
70 |
72 |
77 |
79 BC |
La personne se tient la tête |
65 |
67 |
77 BC |
85 BCD |
Une blessure au visage |
35 |
36 |
41 |
54 BCD |
De la difficulté à respirer |
30 |
30 |
30 |
31 |
De la difficulté à manger |
29 |
33 |
38 B |
47 BCD |
La personne boite |
19 |
19 |
18 |
21 |
Je ne sais pas |
2 |
2 E |
<0,5 % |
0 |
Q20. Selon vous, lesquels des signes suivants pourraient porter à croire qu’une personne a subi une commotion cérébrale liée au sport? Sélectionnez toutes les réponses qui s’appliquent. |
Note : Les lettres majuscules dénotent une différence statistiquement significative. Par exemple, s’il y a un B, le résultat est sensiblement plus élevé que le résultat correspondant dans la colonne B
Les Canadiens peuvent identifier une vaste gamme de symptômes liés aux commotions cérébrales; cependant, les symptômes cognitifs ou ceux liés aux habiletés motrices sont plus connus des Canadiens. En particulier, environ trois quarts ou plus des Canadiens peuvent identifier les symptômes suivants comme étant liés aux commotions cérébrales :
Les symptômes émotifs sont beaucoup moins susceptibles d’être associés aux commotions cérébrales :
De plus, d’autres expériences sont identifiées, à tort, comme étant des symptômes d’une commotion cérébrale tels que des tremblements ou secousses (43 %), de la difficulté à respirer (23 %), une augmentation du rythme cardiaque (22 %) et/ou une transpiration excessive (20 %).
Comme pour les signes présageant une commotion cérébrale, les entraîneurs et les professeurs sont plus susceptibles d’identifier la plupart des symptômes comparativement à la population générale, alors que les parents sont plus susceptibles d’identifier la tristesse (33 %) et les nausées et vomissements (80 %).
Population |
Parents |
Professeurs |
Entraîneurs |
|
---|---|---|---|---|
Base = réelle |
(982) |
(755) |
(290) |
(248) |
Mal de tête ou sensation de pression dans la tête |
86 |
85 |
92 C |
98 BCD |
Étourdissements |
84 |
84 |
90 |
96 BCD |
Vision embrouillée ou floue |
84 |
86 |
91 B |
96 BCD |
Problèmes d’équilibre |
80 |
79 |
84 |
91 BCD |
Ne pas penser clairement |
76 |
76 |
86 BC |
92 BCD |
Nausées et vomissements |
75 |
80 B |
88 BC |
93 BC |
Ne se sent pas bien |
75 |
75 |
85 BC |
92 BCD |
Sensation de lenteur ou d’être dans un brouillard |
73 |
75 |
82 BC |
92 BCD |
Difficulté à se souvenir |
73 |
74 |
84 BC |
91 BCD |
Sensibilité à la lumière ou au son |
65 |
67 |
78 BC |
94 BCD |
Sentiment de fatigue ou de manquer d’énergie |
60 |
64 |
72 BC |
77 BC |
Difficulté à lire |
59 |
61 |
73 BC |
84 BCD |
Dormir plus ou dormir moins |
56 |
62 |
75 BC |
80 BC |
Difficulté à apprendre de nouvelles informations |
55 |
58 |
71 BC |
80 BCD |
Difficulté à travailler à l’ordinateur |
48 |
54 |
73 BC |
85 BCD |
Facilement contrarié ou en colère |
43 |
42 |
54 BC |
64 BCD |
Tremblements ou secousses |
43 |
42 |
44 |
46 |
Difficulté à s’endormir |
39 |
42 |
46 |
66 BCD |
Nervosité ou anxiété |
38 |
42 |
52 BC |
61 BCD |
Se sentir plus émotif |
33 |
37 |
48 BC |
62 BCD |
Tristesse |
26 |
33 B |
43 BC |
55 BCD |
Difficulté à respirer |
23 |
25 |
27 |
28 |
Augmentation du rythme cardiaque |
22 |
23 |
24 |
29 B |
Transpiration excessive |
20 |
21 |
21 |
25 |
Je ne connais pas les symptômes d’une commotion cérébrale |
2 |
2 |
1 |
<0,5 % |
Aucune de ces réponses |
1 |
1 |
<0,5 % |
0 |
Q21. Quels sont les symptômes ou choses qu’une personne ayant subi une commotion cérébrale pourrait ressentir? Sélectionnez toutes les réponses qui s’appliquent. |
Note : Les lettres majuscules dénotent une différence statistiquement significative. Par exemple, s’il y a un B, le résultat est sensiblement plus élevé que le résultat correspondant dans la colonne B
La vaste majorité des Canadiens comprennent que s’ils soupçonnent qu’une personne a subi une commotion cérébrale ils devraient demander à un professionnel de la santé d’évaluer cette personne (88 %). La plupart aussi comprennent qu’ils devraient vérifier s’il y a des symptômes (78 %), vérifier les signes visuels d’une commotion (72 %), vérifier s’il y a perte de mémoire (70 %) et vérifier s’il y a des signaux d’alarme (69%). Environ la moitié, cependant, croient aussi qu’on devrait surveiller le sommeil de la personne (56 %) ou vérifier les signes vitaux (48 %).
Les entraîneurs sont plus susceptibles de correctement identifier quelles actions doivent être entreprises si l’on soupçonne qu’une personne a subi une commotion.
Population |
Parents |
Professeurs |
Entraîneurs |
|
---|---|---|---|---|
Base = réelle |
(982) |
(755) |
(290) |
(248) |
Demander à un professionnel de la santé de l’évaluer |
88 |
90 |
93 B |
95 BC |
Vérifier s’il y a des symptômes de commotion cérébrale (ex. Étourdissements, mal de tête, sensibilité à la lumière ou au bruit, somnolence, etc.) |
78 |
77 |
87 BC |
93 BCD |
Vérifier les signes visuels d’une commotion cérébrale (ex. Allongée immobile sur le sol, lente à se lever après une chute, regard vide ou flou, etc.) |
72 |
74 |
79 |
88 BCD |
Vérifier s’il y a perte de mémoire en posant des questions telles que : « Où êtes-vous? », « Votre équipe a-t-elle remporté son dernier match? » |
70 |
70 |
76 |
84 BCD |
Vérifier s’il y a des signaux d’alarme tels que douleur au cou, perte de conscience, vomissements à répétition, agitation ou comportement combatif |
69 |
70 |
80 BC |
85 BC |
Surveiller son sommeil (ex. Réveiller la personne toutes les 2-3 heures) |
56 |
58 |
58 |
56 |
Vérifier les signes vitaux (ex. Fièvre, rythme cardiaque, pouls, rythme respiratoire) |
48 |
49 |
56 B |
50 |
Je ne sais pas |
4 E |
3 |
2 |
1 |
Q24. Que devriez-vous faire si vous soupçonnez qu’une personne a subi une commotion cérébrale? Sélectionnez toutes les réponses qui s’appliquent. |
Note : Les lettres majuscules dénotent une différence statistiquement significative. Par exemple, s’il y a un B, le résultat est sensiblement plus élevé que le résultat correspondant dans la colonne B
Il y a un certain nombre de mythes au sujet des commotions cérébrales auxquels les Canadiens continuent de croire ainsi que quelques faits que les Canadiens ignorent. Plus précisément, la plupart des Canadiens comprennent que les symptômes d’une commotion peuvent durer pendant plusieurs semaines
(96 %) et qu’ils peuvent varier d’une personne à une autre (95 %), qu’une personne ne perd PAS nécessairement conscience si elle subit une commotion (92 %) et qu’il n’est pas nécessairement sécuritaire de retourner au sport dès que les symptômes disparaissent (90 %). Bon nombre aussi comprennent qu’un coup direct à la tête n’est pas nécessairement synonyme de commotion (70 %) et qu’un CT Scan ou un IRM n’est pas la façon de diagnostiquer une commotion cérébrale (68 %).
Fait plutôt intéressant, cependant, il y a un certain nombre de mythes et de faits qui ne sont pas très clairs pour les Canadiens, les résultats indiquant de bonnes réponses au même rythme que si les personnes les choisissaient aléatoirement, c.-à-d. 50 pour cent. Les énoncés suivants ont été correctement identifiés environ la moitié du temps seulement, soit ce à quoi l’on pourrait s’attendre si le répondant ne faisait que deviner. Cela indique que les Canadiens n’ont pas les connaissances requises dans ces domaines.
Les entraîneurs et les professeurs sont plus susceptibles que la population générale de correctement déterminer si l’énoncé est vrai ou faux au sujet de certains mythes et faits. Des détails complets sont présentés dans le tableau suivant.
% correctement identifiés comme Vrais ou Faux |
Population |
Parents |
Professeurs |
Entraîneurs |
---|---|---|---|---|
Base = réelle |
(982) |
(755) |
(290) |
(248) |
Faux énoncés |
|
|
|
|
Une personne doit forcément perdre conscience pour être considérée comme ayant subi une commotion cérébrale |
92 |
89 |
96 C |
98 BC |
Une personne peut retourner à ses activités sportives en toute sécurité après avoir subi une commotion dès que les symptômes disparaissent |
90 |
87 |
89 |
92 C |
Les commotions cérébrales sont provoquées par un coup direct à la tête |
70 |
73 |
77 |
93 BCD |
Une commotion cérébrale ne peut être diagnostiquée que par IRM ou CT scan |
68 |
74 B |
74 |
90 BCD |
Les vomissements sont un signe indéniable d’une commotion cérébrale |
54 |
52 |
60 C |
70 BCD |
Les garçons subissent plus de commotions cérébrales que les filles |
50 |
55 |
59 B |
73 BCD |
Plus le coup est dur, plus la commotion cérébrale est grave |
44 |
48 |
55 B |
67 BCD |
Le port d’un casque protecteur ajusté correctement prévient les commotions cérébrales |
42 |
42 |
42 |
65 BCD |
Une personne qui a subi une commotion cérébrale ne devrait pas dormir après l’incident |
25 |
25 |
32 BC |
39 BC |
Vrais énoncés |
|
|
|
|
Les symptômes d’une commotion peuvent durer plusieurs semaines |
96 |
96 |
97 |
99 BC |
Les symptômes d’une commotion peuvent varier d’une personne à une autre |
95 |
95 |
95 |
98 |
Les enfants sont plus susceptibles que les adultes de souffrir d’une commotion |
45 |
47 |
46 |
43 |
Les enfants et les adolescents prennent souvent plus de temps que les adultes à se remettre d’une commotion |
41 |
46 D |
38 |
41 |
Q30. Veuillez indiquer si vous pensez que chacun des énoncés suivants est vrai ou faux |
Note : Les lettres majuscules dénotent une différence statistiquement significative. Par exemple, s’il y a un B, le résultat est sensiblement plus élevé que le résultat correspondant dans la colonne B
Bon nombre de Canadiens comprennent qu’il y a une variété de façons de prévenir une commotion cérébrale liée au sport, y compris d’éviter les contacts de tête (85 %), donner aux athlètes une formation sur les commotions cérébrales (79 %), s’assurer que les athlètes suivent les règles et règlementations propres à leur sport (78 %) et de respecter les autres joueurs (62 %). La plupart, cependant, croient également, à tort, que le port d’un casque protecteur est un moyen efficace de prévenir les commotions liées au sport (92 %). Les autres croyances erronées quant à la façon de prévenir les commotions liées au sport comprennent d’éviter les sports de contact (56 %) et de porter un protecteur buccal (44 %).
Les entraîneurs et les professeurs sont plus susceptibles de comprendre qu’une prévention efficace consiste à s’assurer que les athlètes suivent les règles (89 % pour les deux), qu’ils respectent les autres joueurs (79 % et 75 % respectivement) et qu’ils donnent aux athlètes une formation sur les commotions cérébrales (91 % et 86 % respectivement).
Population |
Parents |
Professeurs |
Entraîneurs |
|
---|---|---|---|---|
Base = réelle |
(982) |
(755) |
(290) |
(248) |
Le port d’un casque |
92 E |
92 E |
93 E |
86 |
Éviter les contacts de tête |
85 |
82 |
89 C |
85 |
Donner aux athlètes une formation sur les commotions cérébrales |
79 |
74 |
86 BC |
91 BC |
S’assurer que les athlètes suivent les règles et règlementations propres à leur sport |
78 |
77 |
89 BC |
89 BC |
Respecter les autres joueurs |
62 |
70 B |
75 B |
79 BC |
Éviter les sports de contact |
56 |
53 |
58 E |
49 |
Porter un protecteur buccal |
44 |
44 |
46 |
60 BCD |
Je ne sais pas |
2 |
2 |
1 |
<0,5 % |
Q22. Selon vous, lesquelles des façons suivantes sont des façons efficaces de prévenir des commotions cérébrales dans le sport? Sélectionnez toutes les réponses qui s’appliquent. |
Note : Les lettres majuscules dénotent une différence statistiquement significative. Par exemple, s’il y a un B, le résultat est sensiblement plus élevé que le résultat correspondant dans la colonne B
Les Canadiens croient que certaines personnes ont la responsabilité de dire aux parents qu’ils soupçonnent que leur enfant a subi une commotion cérébrale liée au sport. Pratiquement tous les Canadiens croient que l’entraîneur ou un superviseur adulte en a la responsabilité (97 %) suivi d’un dirigeant sportif (73 %), d’un professionnel de la santé (70 %), de l’arbitre (68 %) et par la suite des membres de l’équipe (53 %) et de l’enfant (46 %).
Les parents mettent davantage le fardeau sur l’enfant (52 % vs. 40-45 % sur les professeurs, entraîneurs), les membres de l’équipe (51 % vs. 39 %) et les arbitres (62 % vs. 49-52 %) que sur les professeurs et entraîneurs.
Population |
Parents |
Professeurs |
Entraîneurs |
|
---|---|---|---|---|
Base = réelle |
(982) |
(755) |
(290) |
(248) |
L’entraîneur ou le superviseur adulte du sport |
97 |
96 |
99 |
99 C |
Le dirigeant sportif |
73 CDE |
65 |
63 |
60 |
Le professionnel de la santé |
70 |
65 |
67 |
65 |
Les arbitres |
68 CDE |
62 DE |
52 |
49 |
Les membres de l’équipe |
53 DE |
51 DE |
39 |
39 |
L’enfant |
46 |
52 BDE |
40 |
45 |
Aucune de ces réponses |
1 |
1 |
<0,5 % |
0 |
Q23. Selon vous, qui a la responsabilité de rapporter aux parents un incident où l’on soupçonne un enfant d’avoir subi une commotion cérébrale liée au sport? Sélectionnez toutes les réponses qui s’appliquent |
Note : Les lettres majuscules dénotent une différence statistiquement significative. Par exemple, s’il y a un B, le résultat est sensiblement plus élevé que le résultat correspondant dans la colonne B
La plupart des Canadiens comprennent que si l’on soupçonne qu’une personne a subi une commotion cérébrale lors de la pratique d’un sport, cette personne devrait être envoyée à un professionnel de la santé pour évaluation (92 %). Bon nombre comprennent aussi que la personne devrait être immédiatement retirée du jeu (87 %) et devrait obtenir un certificat de santé avant de reprendre le sport (82 %). Moins de Canadiens, cependant, reconnaissent qu’on devrait empêcher la personne de retourner au même match ou à la même pratique (69 %). Aussi, très peu de Canadiens croient, à tort, qu’on devrait envoyer la personne se reposer à la maison (20 %) ou qu’elle devrait prendre une pause et retourner au jeu lorsqu’elle se sent mieux (13 %).
Les entraîneurs sont plus susceptibles de comprendre que la personne devrait consulter un professionnel de la santé (97 %) et être immédiatement retirée du jeu (91 %) comparativement à la population générale, les parents et les professeurs. Ils sont aussi plus susceptibles de comprendre que la personne ne devrait pas retourner au même match ou à la même pratique (85 %) et qu’elle devrait recevoir un certificat de santé avant de retourner au jeu (94 %).
Population |
Parents |
Professeurs |
Entraîneurs |
|
---|---|---|---|---|
Base = réelle |
(982) |
(755) |
(290) |
(248) |
Envoyer la personne consulter un professionnel de la santé afin d’être évaluée pour une commotion cérébrale |
92 |
89 |
94 C |
97 BC |
La retirer immédiatement du jeu |
87 |
86 |
91 |
96 BCD |
Obtenir un certificat de santé d’un professionnel de la santé (médecin ou infirmière praticienne) avant de reprendre des activités sportives |
82 |
80 |
84 |
94 BCD |
Lui interdire de retourner au même match ou à la même pratique |
69 |
67 |
75 C |
85 BCD |
Envoyer la personne se reposer à la maison |
20 |
23 |
22 |
20 |
Prendre une pause jusqu’à ce qu’elle se sente mieux avant de lui permettre de retourner au jeu |
13 E |
13 E |
13 E |
7 |
Je ne sais pas |
3 |
2 |
1 |
<0,5 % |
Q25. Lesquelles des actions suivantes devraient être entreprises si on soupçonne une personne d’avoir subi une commotion cérébrale en pratiquant un sport? Sélectionnez toutes les réponses qui s’appliquent. |
Note : Les lettres majuscules dénotent une différence statistiquement significative. Par exemple, s’il y a un B, le résultat est sensiblement plus élevé que le résultat correspondant dans la colonne B
Un quart (25 %) des Canadiens ne savent pas comment on traite les commotions cérébrales et seulement 15 pour cent pourraient correctement identifier « En se reposant 24-48 heures, et en reprenant graduellement l’activité cognitive (raisonnement) et l’activité physique sous la supervision d’un professionnel de la santé ».
Un tiers croient qu’on devrait « se reposer et éviter toute activité physique et cognitive (raisonnement) pendant 10 à 14 jours, en reprenant graduellement l’activité cognitive et physique sous la supervision d’un professionnel de la santé » alors qu’environ un Canadien sur sept croit que la personne devrait « se reposer et éviter toute activité physique et cognitive (raisonnement) jusqu’à ce que tous les symptômes de la commotion aient disparu » (13 %) ou « se reposer et éviter toute activité physique et cognitive (raisonnement) pendant 10 à 14 jours, en reprenant graduellement l’activité cognitive et physique sous la supervision d’un professionnel de la santé » (14 %).
Les professeurs et les entraîneurs sont plus susceptibles de correctement identifier le meilleur traitement.
Population |
Parents |
Professeurs |
Entraîneurs |
|
---|---|---|---|---|
Base = réelle |
(982) |
(755) |
(290) |
(248) |
En se reposant et en évitant toute activité physique et cognitive (raisonnement) pendant 10 à 14 jours et en reprenant graduellement l’activité cognitive et physique sous la supervision d’un professionnel de la santé |
32 |
38 |
35 |
41 B |
En se reposant 24-48 heures, et en reprenant graduellement l’activité cognitive (raisonnement) et l’activité physique sous la supervision d’un professionnel de la santé |
15 |
19 |
22 B |
28 BC |
En se reposant et en évitant toute activité physique et cognitive (raisonnement) pendant 10-14 jours et en reprenant graduellement l’activité physique ou cognitive sous la supervision d’un professionnel de la santé |
14 E |
13 E |
10 |
7 |
En se reposant et en évitant toute activité physique et cognitive (raisonnement) jusqu’à ce que tous les symptômes de commotion cérébrale aient disparu |
13 |
13 |
21 BC |
20 BC |
Je ne sais pas |
25 CDE |
17 E |
12 E |
4 |
Q26. Comment traite-t-on une commotion cérébrale? Sélectionnez la meilleure réponse. |
Note : Les lettres majuscules dénotent une différence statistiquement significative. Par exemple, s’il y a un B, le résultat est sensiblement plus élevé que le résultat correspondant dans la colonne B
Près d’un Canadien sur sept (13 %) ne sait pas quel est le moment où on peut introduire une activité physique légère pour un enfant ou un athlète qui a reçu un diagnostic de commotion cérébrale. La plupart des Canadiens, cependant, comprennent que si un enfant ou un athlète a reçu un diagnostic de commotion cérébrale il ne devrait pas faire immédiatement une activité physique légère (97 %).
Près d’un quart des Canadiens croient qu’il devrait y avoir une période de repos (24 %) avant d’introduire une activité physique légère (pourvu qu’elle soit tolérée). La période de repos prévue cependant, varie : 13 pour cent croient qu’elle devrait être de 24 à 48 heures alors que 11 pour cent croient qu’elle devrait être de 10 à 14 jours. La moitié (50 %) de tous les Canadiens croient qu’une activité physique légère ne devrait pas être introduite avant que la personne ait reçu l’autorisation d’un professionnel de la santé.
Les entraîneurs sont plus susceptibles de croire qu’une activité physique légère ne devrait pas être introduite avant qu’un professionnel de la santé n’ait donné son autorisation (57 %).
Population |
Parents |
Professeurs |
Entraîneurs |
|
---|---|---|---|---|
Base = réelle |
(982) |
(755) |
(290) |
(248) |
Immédiatement, s’il n’y a pas de symptômes – pourvu que l’activité soit tolérée par la personne |
1 |
3 BE |
3 E |
<0,5 % |
Immédiatement – une commotion cérébrale liée au sport n’empêche pas une activité physique légère |
2 |
1 |
<0,5 % |
0 |
Lorsque tous les symptômes de la commotion cérébrale ont disparu |
10 |
10 |
11 |
15 C |
Après 10-14 jours de repos – pourvu que l’activité soit tolérée par la personne |
11 |
12 |
10 |
8 |
Après 24-48 heures de repos – pourvu que l’activité soit tolérée par la personne |
13 |
17 |
17 |
18 |
Lorsqu’un professionnel de la santé a fourni un certificat de santé |
50 |
45 |
48 |
57 CD |
Je ne sais pas |
13 E |
12 E |
10 E |
2 |
Q27. Si un enfant ou un athlète reçoit un diagnostic de commotion cérébrale, quand devrait-on lui permettre de faire une activité physique légère (ex. 10 – 15 minutes de marche ou de vélo stationnaire)? Sélectionnez la meilleure réponse. |
Note : Les lettres majuscules dénotent une différence statistiquement significative. Par exemple, s’il y a un B, le résultat est sensiblement plus élevé que le résultat correspondant dans la colonne B
Comme pour l’activité physique légère, certains Canadiens (10 %) ne savent pas quand un athlète peut retourner à l’école ou au travail à temps plein après avoir souffert d’une commotion cérébrale. Presque tous les Canadiens (99 %) comprennent qu’une commotion a un impact sur l’école et le travail.
Bon nombre (63 %) de Canadiens croient que la personne ne devrait pas retourner à l’école ou au travail à temps plein avant d’avoir obtenu une autorisation médicale, alors que les autres (10 %) croient que tous les symptômes de commotion devraient avoir disparu avant le retour à l’école ou au travail.
Quelques Canadiens croient qu’il devrait y avoir une période de repos (16 %) avant le retour au travail – pourvu que la personne puisse le tolérer. La période de repos prévue cependant, varie : 11 pour cent croient qu’elle devrait être de 24 à 48 heures alors que 5 pour cent croient qu’elle devrait être de 10 à 14 jours.
Population |
Parents |
Professeurs |
Entraîneurs |
|
---|---|---|---|---|
Base = réelle |
(982) |
(755) |
(290) |
(248) |
Lorsqu’un professionnel de la santé a fourni un certificat de santé |
63 C |
56 |
61 |
64 C |
Après 24-48 heures de repos - pourvu que l’activité soit tolérée par la personne |
11 |
18 B |
17 B |
22 B |
Lorsque tous les symptômes de la commotion cérébrale ont disparu |
10 |
9 |
9 |
8 |
Après 10-14 jours de repos - pourvu que l’activité soit tolérée par la personne |
5 |
7 |
6 |
4 |
Immédiatement – une commotion cérébrale liée au sport n’empêche pas les études ou le travail |
1 |
1 |
1 |
0 |
Je ne sais pas |
10 E |
9 E |
6 E |
2 |
Q28. Si un athlète subit une commotion cérébrale, quand peut-il retourner à l’école ou au travail à temps plein? Sélectionnez la meilleure réponse. |
Note : Les lettres majuscules dénotent une différence statistiquement significative. Par exemple, s’il y a un B, le résultat est sensiblement plus élevé que le résultat correspondant dans la colonne B
Les perspectives de retour au jeu sont bien différentes parmi les Canadiens comparativement au retour au travail ou à une activité physique légère. Les trois quarts (75 %) croient que les athlètes ne devraient pas retourner au jeu avant d’avoir reçu un certificat de santé d’un professionnel de la santé. Certains croient qu’il devrait y avoir une période de repos (10 %) soit de 24-48 heures (2 %) ou de 10-14 jours (8 %) alors que d’autres croient que tous les symptômes de commotion devraient avoir disparu (7 %) avant de retourner au jeu. Une petite proportion (7 %) ne sait tout simplement pas alors qu’une encore plus petite proportion (1 %) croit qu’ils peuvent retourner immédiatement s’il n’y a pas de symptômes.
Les entraîneurs sont plus susceptibles de croire qu’une autorisation médicale est requise pour un retour au sport (83 %).
Population |
Parents |
Professeurs |
Entraîneurs |
|
---|---|---|---|---|
Base = réelle |
(982) |
(755) |
(290) |
(248) |
Lorsqu’un professionnel de la santé a fourni un certificat de santé |
75 |
71 |
76 |
83 BCD |
Après 10-14 jours de repos - pourvu que l’activité soit tolérée par la personne |
8 E |
8 E |
5 |
2 |
Lorsque tous les symptômes de la commotion cérébrale ont disparu |
7 |
9 |
9 |
12 B |
Après 24-48 heures de repos pourvu que l’activité soit tolérée par la personne |
2 |
3 E |
2 |
1 |
Immédiatement s’il n’y a pas de symptômes |
1 |
1 |
1 |
0 |
Je ne sais pas |
7 E |
7 E |
7 E |
2 |
Q29. Si un athlète subit une commotion cérébrale, quand peut-il retourner à la pratique de sports? |
Note : Les lettres majuscules dénotent une différence statistiquement significative. Par exemple, s’il y a un B, le résultat est sensiblement plus élevé que le résultat correspondant dans la colonne B
Peu de Canadiens (7 %) ont cherché de l’information sur la prévention, le diagnostic ou la guérison d’une commotion cérébrale au cours des 12 derniers mois. Les parents, les professeurs et les entraîneurs sont tous plus susceptibles d’avoir cherché de l’information (18 %, 25 % et 56 % respectivement).
Population |
Parents |
Professeurs |
Entraîneurs |
|
---|---|---|---|---|
Base = réelle |
(982) |
(755) |
(290) |
(248) |
Oui |
7 |
18 B |
25 BC |
56 BCD |
Non |
91 CDE |
80 DE |
73 E |
41 |
Je ne sais pas |
2 |
2 |
3 |
3 |
Q31. Au cours des 12 derniers mois, avez-vous cherché de l’information au sujet de la prévention, du diagnostic ou de la guérison d’une commotion cérébrale? |
Note : Les lettres majuscules dénotent une différence statistiquement significative. Par exemple, s’il y a un B, le résultat est sensiblement plus élevé que le résultat correspondant dans la colonne B
Parmi ceux qui ont cherché de l’information sur la prévention, le diagnostic ou la guérison d’une commotion cérébrale au cours des 12 derniers mois, la plupart ont fait leurs recherches en ligne sur divers sites Web :
Bon nombre aussi se tournent vers un professionnel de la santé (45 %) alors que d’autres se tournent vers les amis et la famille (16 %), les entraîneurs sportifs (15 %), des magazines, revues ou livres sur la santé (12 %) ou les médias sociaux (11 %).
Il n’est pas surprenant de constater que les entraîneurs sont plus susceptibles de chercher de l’information auprès de l’Association canadienne des entraîneurs (53 %) ou auprès de sites Web d’associations athlétiques (36 %).
Population |
Parents |
Professeurs |
Entraîneurs |
|
---|---|---|---|---|
Base = réelle |
(48) |
(132) |
(69) |
(138) |
Moteur de recherche (Google, Yahoo, etc.) |
71 |
72 |
60 |
64 |
Site Web de Santé Canada |
63 |
29 |
28 |
19 |
Professionnel de la santé (médecin, infirmière, pharmacien) |
45 |
31 |
33 |
31 |
Site Web de l’Agence de la santé publique du Canada |
28 |
27 |
20 |
21 |
Site Web d’un professionnel de la santé |
26 |
22 E |
16 |
11 |
Clinique Mayo |
24 |
12 |
9 |
9 |
Site Web du gouvernement du Canada |
20 |
9 |
7 |
6 |
Webmd |
17 |
16 |
12 |
10 |
Famille ou amis |
16 |
11 |
3 |
9 |
Entraîneur sportif |
15 |
23 |
19 |
24 |
Magazine, revue, livre sur la santé |
12 |
6 |
7 |
5 |
Médias sociaux (Facebook, Twitter, Instagram) |
11 |
8 |
0 |
4 |
Association canadienne des entraîneurs |
9 |
28 |
31 |
53 CD |
Site Web d’une association athlétique |
3 |
15 |
22 |
36 CD |
Autre site Web du gouvernement |
1 |
5 |
5 |
4 |
Site Web de Parachute |
1 |
9 |
9 |
12 |
Autre |
4 |
14 |
10 |
15 |
Q33. Où avez-vous cherché ou qui avez-vous consulté pour obtenir de l’information au sujet de la prévention, du diagnostic ou de la guérison d’une commotion cérébrale? Sélectionnez toutes les réponses qui s’appliquent. |
Note : Les lettres majuscules dénotent une différence statistiquement significative. Par exemple, s’il y a un B, le résultat est sensiblement plus élevé que le résultat correspondant dans la colonne B
Ceux qui n’ont PAS cherché de l’information sur la prévention, le diagnostic ou la guérison au cours des 12 derniers mois ont l’intention de le faire auprès de sources similaires, différents sites étant privilégiés ainsi que les sites Web du gouvernement fédéral en particulier, suivis de ceux des professionnels de la santé :
Population |
Parents |
Professeurs |
Entraîneurs |
|
---|---|---|---|---|
Base = réelle |
(920) |
(605) |
(214) |
(102) |
Moteur de recherche (Google, Yahoo, etc.) |
72 |
72 |
75 |
77 |
Professionnel de la santé (médecin, infirmière, pharmacien) |
64 |
61 |
65 |
65 |
Site Web de Santé Canada |
64 C |
57 |
68 C |
63 |
Site Web de l’Agence de la santé publique du Canada |
51 |
49 |
53 |
57 |
Site Web d’un professionnel de la santé |
39 C |
32 |
34 |
44 C |
Webmd |
26 |
22 |
25 |
20 |
Clinique Mayo |
24 |
18 |
26 C |
22 |
Site Web d’une association athlétique |
19 |
15 |
21 |
29 BC |
Site Web du gouvernement du Canada |
16 |
16 |
18 |
19 |
Association canadienne des entraîneurs |
13 |
13 |
22 BC |
53 BCD |
Entraîneur sportif |
13 |
20 B |
14 |
30 BCD |
Famille ou amis |
11 |
15 |
13 |
14 |
Magazine, revue, livre sur la santé |
11 C |
6 |
10 |
13 C |
Autre site Web du gouvernement |
7 |
6 |
8 |
8 |
Médias sociaux (Facebook, Twitter, Instagram) |
2 |
4 |
2 |
3 |
Site Web de Parachute |
1 |
<0,5 % |
2 |
3 C |
Autre |
2 |
2 |
5 |
6 C |
Q32. Si vous vouliez obtenir de l’information au sujet de la prévention, du diagnostic ou de la guérison d’une commotion cérébrale, où la chercheriez-vous ou qui consulteriez-vous? Sélectionnez toutes les réponses qui s’appliquent. |
Note : Les lettres majuscules dénotent une différence statistiquement significative. Par exemple, s’il y a un B, le résultat est sensiblement plus élevé que le résultat correspondant dans la colonne B
La sensibilisation des Canadiens au sujet des ressources et outils d’information est quelque peu limitée. Quatre Canadiens sur dix (40 %) ne connaissaient aucun des outils et/ou ressources en information mis à la disposition de la population au sujet des commotions cérébrales, et moins d’un quart des Canadiens connaissaient l’une des ressources suivantes :
La sensibilisation est quelque peu meilleure au sujet des ressources qui sont ciblées vers les parents, les professeurs ou les entraîneurs. Près de la moitié de tous les entraîneurs (46 %) connaissaient le cours en ligne : Prendre une tête d’avance par l’Association canadienne des entraîneurs (46 %). Parmi les professeurs, un sur cinq (20 %) connaissait le cours en ligne : Sensibilisation aux commotions cérébrales de Parachute à l’intention des professeurs du primaire et du secondaire (20 %) et parmi les parents, 17 pour cent connaissaient le cours en ligne : Sensibilisation aux commotions cérébrales de Parachute à l’intention des parents et près d’un quart (23%) connaissait Le Guide des parents pour gérer les commotions cérébrales par Parachute Canada.
Population |
Parents |
Professeurs |
Entraîneurs |
|
---|---|---|---|---|
Base = réelle |
(48) |
(132) |
(69) |
(138) |
Lignes directrices canadiennes en matière de commotion cérébrale liée au sport |
26 |
41 |
35 |
39 |
« Concussion Management and Return to Learn » du Dr Mike Evans |
17 |
14 |
16 |
9 |
Le protocole de retour au sport de Parachute |
15 |
9 |
10 |
9 |
L’outil « The Concussion Awareness Training Tool (CATT) » par l’Unité de recherche et de prévention des blessures de la C.-B. |
14 |
12 |
21 |
17 |
La trousse pour commotions cérébrales destinées aux parents, joueurs et entraîneurs |
14 |
26 |
31 |
36 |
Le cours en ligne : Sensibilisation aux commotions cérébrales de Parachute à l’intention des parents |
11 |
17 DE |
0 |
5 |
L’outil de reconnaissance d’une commotion cérébrale/Outil de reconnaissance d’une commotion cérébrale liée au sport destiné aux parents, entraîneurs et professeurs |
11 |
23 |
26 |
32 |
Le Guide des parents pour gérer les commotions cérébrales par Parachute Canada |
10 |
23 DE |
1 |
9 D |
Le cours en ligne : Sensibilisation aux commotions cérébrales de Parachute à l’intention des joueurs |
8 |
13 |
16 |
21 |
Le cours en ligne : Prendre une tête d’avance par l’Association canadienne des entraîneurs |
3 |
12 |
29 C |
46 CD |
Le protocole de retour au sport de Parachute |
1 |
8 |
12 |
14 |
Le cours en ligne : Sensibilisation aux commotions cérébrales de Parachute à l’intention des professeurs du primaire et du secondaire |
0 |
2 |
20 CE |
7 |
Aucune de ces réponses |
40 |
25 |
24 |
16 |
Q34. Parmi les ressources ou outils suivants liés aux commotions cérébrales, quels sont ceux dont vous avez entendu parler? Sélectionnez toutes les réponses qui s’appliquent. |
Note : Les lettres majuscules dénotent une différence statistiquement significative. Par exemple, s’il y a un B, le résultat est sensiblement plus élevé que le résultat correspondant dans la colonne B
Vingt-cinq pour cent des parents ont indiqué que l’école de leur enfant avait mis en place des processus et procédures relativement à la gestion des commotions cérébrales, alors que près de la moitié (47 %) ont indiqué que l’équipe sportive de leur enfant l’avait fait. Il n’est pas surprenant de constater que bon nombre de parents n’étaient pas au courant que ces processus et procédures existaient. Plus précisément, plus de la moitié (55 %) n’étaient pas au courant que ces processus ou procédures avaient été mis en place à l’école de leur enfant alors que plus d’un tiers (39 %) ne savaient pas s’ils avaient été mis en place au sein de l’équipe sportive de leur enfant.
Comme nous l’avons mentionné précédemment, les répondants peuvent s’inscrire dans plus d’un groupe. Dans ce cas, les parents peuvent aussi être des professeurs ou des entraîneurs et, par conséquent, nous avons considéré ces groupes séparément afin de déterminer si leur double rôle les mettait dans une classe à part. Les parents qui étaient aussi des professeurs ou des entraîneurs étaient plus susceptibles de savoir si, oui ou non, ces processus ou procédures avaient été mis en place à leur école (55 % Je ne sais pas vs. 38 à
45 %), et les parents qui étaient aussi des entraîneurs étaient aussi plus susceptibles de savoir si ces processus ou procédures avaient été mis en place au sein de l’équipe sportive de leur enfant (13 % Je ne sais pas vs. 36 à 39 %).
Parents |
Professeurs |
Entraîneurs |
|
---|---|---|---|
Base = réelle |
(764) |
(54) |
(125) |
Oui |
25 |
39 C |
41 C |
Non |
20 |
23 |
14 |
Je ne sais pas |
55 DE |
38 |
45 |
Q35a. À votre connaissance, y a-t-il actuellement des processus ou procédures à suivre pour savoir quoi faire en cas de commotion cérébrale à l’école de votre enfant? |
Note : Les lettres majuscules dénotent une différence statistiquement significative. Par exemple, s’il y a un B, le résultat est sensiblement plus élevé que le résultat correspondant dans la colonne B
Parents |
Professeurs |
Entraîneurs |
|
---|---|---|---|
Base = réelle |
(624) |
(50) |
(125) |
Oui |
47 |
51 |
74 CD |
Non |
13 |
13 |
13 |
Je ne sais pas |
39 E |
36 E |
13 |
Q35b. À votre connaissance, y a-t-il actuellement des processus ou procédures à suivre pour savoir quoi faire en cas de commotion cérébrale au sein de l’équipe sportive de votre enfant (montrez seulement si l’enfant pratique un sport à Q14) |
Note : Les lettres majuscules dénotent une différence statistiquement significative. Par exemple, s’il y a un B, le résultat est sensiblement plus élevé que le résultat correspondant dans la colonne B
Peu de parents (21 %) rapportent qu’ils ont reçu des informations sur les commotions cérébrales de la part de l’équipe sportive de leur enfant. Les parents qui sont également des entraîneurs sont plus susceptibles de rapporter qu’ils ont reçu de telles informations (34 % vs. 21 %).
Parents |
Professeurs |
Entraîneurs |
|
---|---|---|---|
Base = réelle |
(624) |
(50) |
(125) |
Oui |
21 |
9 |
34 CD |
Non |
71 E |
80 E |
61 |
Je ne sais pas |
8 |
10 |
5 |
Q36. Avez-vous reçu de l’information au sujet des commotions, telle qu’un document ou une lettre d’information, de la part de l’équipe ou de la ligue sportive à laquelle votre enfant appartient, au cours de la dernière année? |
Note : Les lettres majuscules dénotent une différence statistiquement significative. Par exemple, s'il y a un B, le résultat est sensiblement plus élevé que le résultat correspondant dans la colonne B
Plusieurs types d’entraîneurs ont participé au sondage. La majorité étaient des entraîneurs bénévoles au niveau compétitif (33 %) ou récréatif (28 %). Certains étaient des entraîneurs dans une école primaire ou secondaire (18 %) et les autres étaient des entraîneurs professionnels (9 %), des administrateurs sportifs
(7 %) ou d’autres types d’entraîneurs (2 %).
Entraîneurs |
|
---|---|
Base = réelle |
(261) |
Entraîneur sportif bénévole au niveau compétitif |
33 |
Entraîneur sportif bénévole au niveau récréatif |
28 |
Entraîneur sportif dans une école primaire ou secondaire |
18 |
Entraîneur sportif professionnel |
9 |
Administrateur sportif |
7 |
Autre |
6 |
Q9. Lequel des rôles suivants décrit votre rôle à titre d’entraîneur sportif ou de directeur sportif? |
Trois quarts (73 %) des entraîneurs ont indiqué que leur équipe ou ligue avait mis en place des processus et procédures de gestion des commotions cérébrales. Les entraîneurs qui sont également des professeurs sont plus susceptibles d’indiquer que de telles procédures existent (85 %).
Entraîneurs |
Parents |
Professeurs |
|
---|---|---|---|
Base = réelle |
(261) |
(125) |
(68) |
Oui |
73 |
78 |
85 E |
Non |
14 |
13 |
8 |
Je ne sais pas |
13 |
9 |
7 |
Q37. Est-ce que votre équipe ou votre ligue a mis en place des processus ou procédures pour gérer les commotions cérébrales dans le sport? |
Note : Les lettres majuscules dénotent une différence statistiquement significative. Par exemple, s’il y a un B, le résultat est sensiblement plus élevé que le résultat correspondant dans la colonne B
La plupart des entraîneurs (62 %) ont reçu une formation ou un enseignement de la part de leur organisation ou de leur ligue au sujet des commotions cérébrales; cependant, pour bon nombre, la formation remonte à plus d’un an. Plus d’un tiers (36 %) des entraîneurs n’ont jamais reçu un enseignement/une formation formel(le). Un autre tiers (31 %) ont reçu une formation au cours de la dernière année alors que 18 pour cent ont reçu leur formation il y a de un à deux ans. L’autre 13 %des entraîneurs ont reçu leur formation il y a plus de trois ans.
Entraîneurs |
|
---|---|
Base = réelle |
(261) |
Au cours de la dernière année |
31 |
Il y a de 1 à 2 ans |
18 |
Il y a de 3 à 5 ans |
11 |
Il y a plus de 5 ans |
2 |
Je n’ai jamais reçu d’enseignement/formation formel(le) au sujet des commotions cérébrales de la part de mon organisation ou de ma ligue |
36 |
Je ne sais pas |
2 |
Q38.À quand remonte la dernière fois que vous avez reçu un enseignement formel/une formation formelle au sujet des commotions cérébrales de la part de votre organisation ou ligue? |
Plus de la moitié (52 %) de tous les entraîneurs ont indiqué que leur équipe ou ligue ne partage pas d’informations au sujet des commotions avec des parents, enfants ou athlètes. Dans les cas où cette information est partagée, la documentation est envoyée principalement aux parents (43 %) ou à des athlètes plus âgés (43 %) plutôt qu’à des enfants (27 %).
Entraîneurs |
|
---|---|
Base = réelle |
(261) |
Parents |
43 |
Athlètes |
39 |
Enfants |
27 |
Q39. Votre équipe ou ligue partage-t-elle de l’information documentée sur les commutions cérébrales sous forme de fiche ou de lettre d’information avec les |
Parmi les entraîneurs qui partagent des informations documentées au sujet des commotions, la plupart les donnent au début de chaque saison (69 %) et certains la donnent sur demande (29 %) ou lorsque quelqu’un subit une commotion (22 %).
Entraîneurs |
|
---|---|
Base = réelle |
(126) |
Au début de chaque saison |
69 |
Lorsque quelqu’un demande de l’information liée aux commotions cérébrales |
29 |
Lorsqu’un membre de l’équipe subit une commotion cérébrale |
22 |
Autre |
9 |
Q40. À quelle fréquence distribuez-vous des fiches ou lettres d’information sur les commotions cérébrales? |
Plus de la moitié des entraîneurs (53 %) ont entraîné un athlète qui a été diagnostiqué comme ayant subi une commotion au cours des quatre dernières années.
Entraîneurs |
|
---|---|
Base = réelle |
(261) |
Oui |
53 |
Non |
41 |
Je ne sais pas |
5 |
Q41. Au cours des 4 dernières années, est-ce qu’un des athlètes que vous avez entraînés a déjà reçu un diagnostic de commotion cérébrale d’un fournisseur de soins de santé? |
Seulement un quart des professeurs (23 %) ont indiqué que leur école n’a pas mis en place des processus ou procédures de gestion des commotions. Plus de la moitié (56 %) de tous les professeurs ont indiqué que leur école n’a pas mis en place des processus et procédures alors qu’un autre 22 pour cent ne le savaient pas.
Les professeurs au Québec sont plus susceptibles d’indiquer que leur école n’a pas mis en place des processus ou procédures comparativement à d’autres régions du Canada (43 % vs. 11 à 36 %).
Professeurs |
Atlantique |
Québec |
Ontario |
Prairies |
C.-B. |
|
---|---|---|---|---|---|---|
Base = réelle |
(295) |
(30) |
(68) |
(112) |
(46) |
(39) |
Oui |
56 |
38 |
47 |
67 H |
57 |
36 |
Non |
23 |
25 |
43 IJ |
11 |
15 |
36 |
Je ne sais pas |
22 |
37 |
10 |
22 |
28 |
28 |
Q44. A-t-on établi des processus et procédures à votre école pour gérer les commotions cérébrales? |
Note : Les lettres majuscules dénotent une différence statistiquement significative. Par exemple, s’il y a un B, le résultat est sensiblement plus élevé que le résultat correspondant dans la colonne B
Plus de la moitié (52 %) des professeurs n’ont pas reçu de formation ou d’enseignement de la part de leur école ou de leur commission scolaire au sujet des commotions. Un sur cinq (20 %) a reçu une formation au cours de la dernière année, alors que 14 pour cent ont reçu une formation il y a de un à deux ans. L’autre
14 % de professeurs ont reçu leur formation il y a plus de trois ans ou ne savent pas s’ils ont reçu une formation.
Professeurs |
|
---|---|
Base = réelle |
(295) |
Au cours de la dernière année |
20 |
Il y a de 1 à 2 ans |
14 |
Il y a de 3 à 5 ans |
5 |
Il y a plus de 5 ans |
3 |
Je n’ai jamais reçu d’enseignement/de formation formel(le) au sujet des commotions de la part de mon école ou de ma commission scolaire |
52 |
Je ne sais pas |
6 |
Q45. À quand remonte la dernière fois que vous avez reçu un enseignement formel/une formation formelle au sujet des commotions cérébrales de la part de votre école ou de votre commission scolaire? |
Près de la moitié de tous les professeurs (46 %) ont eu un étudiant qui a reçu un diagnostic de commotion cérébrale au cours des quatre dernières années.
Professeurs |
|
---|---|
Base = réelle |
(295) |
Oui |
46 |
Non |
40 |
Je ne sais pas |
14 |
Q46. Au cours des 4 dernières années, est-ce qu’un de vos étudiants a reçu un diagnostic de commotion cérébrale d’un fournisseur de soins de santé? |
Pour ce sondage, les répondants ont été recrutés à partir de deux sources distinctes : 1) le Panel sur la santé de Kantar (Fournisseurs de soins de santé – LSR) et 2) les répondants recrutés par le biais de Parachute. En tout, 391 fournisseurs de soins de santé ont répondu au sondage, dont :
Les répondants du Panel sur la santé étaient plus susceptibles d’être des médecins comparativement aux personnes recrutées par le biais de Parachute (89 % vs. 47 %).
Tous les fournisseurs de soins de santé |
FOURNISSEURS DE SOINS DE SANTÉ - LSR |
FOURNISSEURS DE SOINS DE SANTÉ - PARACHUTE |
|
---|---|---|---|
Base = réelle |
(391) |
(200) |
(153) |
Médecin de famille/Généraliste |
47 |
89 H |
2 |
Pédiatre |
0 |
0 |
0 |
Médecine sportive |
3 I |
0 |
8 |
Médecine interne |
<0,5 % |
1 |
0 |
Urgentologue |
2 |
3 |
1 |
Physiatre |
0 |
0 |
0 |
Neurologue |
0 |
0 |
0 |
Neurochirurgien |
1 |
0 |
1 |
Ergothérapeute |
<0,5 % |
0 |
0 |
Physiothérapeute |
12 I |
3 |
24 |
Infirmière |
3 I |
0 |
0 |
Infirmière praticienne |
1 |
1 |
0 |
Thérapeute sportif |
11 I |
0 |
28 |
Professionnels des soins d’urgence |
0 |
0 |
0 |
Autre |
10 I |
4 |
8 |
Q15. Lequel des types de fournisseurs de soins de santé décrit le mieux le vôtre? |
Note : Les lettres majuscules dénotent une différence statistiquement significative. Par exemple, s’il y a un B, le résultat est sensiblement plus élevé que le résultat correspondant dans la colonne B
Presque tous les fournisseurs de soins de santé (97 %) croient qu’une commotion cérébrale constitue un important problème de santé; cependant, les fournisseurs de soins de santé ne savent pas tous où aller pour obtenir des informations fiables en matière de diagnostic de commotion cérébrale (85 %) ou sur le traitement ou la guérison des commotions cérébrales (82 %). Il n’est pas surprenant de constater que les fournisseurs de soins de santé recrutés par le biais de Parachute sont plus susceptibles de savoir où aller pour obtenir des informations fiables en matière de diagnostic et/ou de traitement et de guérison (97 % et 93 % respectivement).
Tous les fournisseurs de soins de santé |
FOURNISSEURS DE SOINS DE SANTÉ - LSR |
FOURNISSEURS DE SOINS DE SANTÉ - PARACHUTE |
|
---|---|---|---|
Base = réelle |
(391) |
(200) |
(153) |
La commotion cérébrale est un important problème de santé |
97 |
96 |
98 |
Je sais où aller pour obtenir des informations fiables sur la prévention des commotions cérébrales |
85 I |
76 |
97 |
Je sais où aller pour obtenir des informations fiables sur le traitement et la guérison des commotions cérébrales |
82 I |
73 |
93 |
Q16. Veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d’accord ou en désaccord avec chacun des énoncés suivants. |
Note : Les lettres majuscules dénotent une différence statistiquement significative. Par exemple, s’il y a un B, le résultat est sensiblement plus élevé que le résultat correspondant dans la colonne B
Il n’est pas surprenant de constater que le niveau de connaissances parmi les fournisseurs de soins de santé est passablement élevé. Seulement dix pour cent croient qu’ils ont peu (9 %) ou pas de connaissances (1 %) au sujet des commotions. Les autres se considèrent comme ayant certaines connaissances (41 %), beaucoup de connaissances (42 %) ou considèrent qu’ils sont des experts (7 %) en matière de commotion cérébrale. Les fournisseurs de soins de santé recrutés par le biais de Parachute sont plus susceptibles d’évaluer leurs connaissances comme étant plus grandes que celles des fournisseurs de soins de santé provenant du panel.
Tous les fournisseurs de soins de santé |
FOURNISSEURS DE SOINS DE SANTÉ - LSR |
FOURNISSEURS DE SOINS DE SANTÉ - PARACHUTE |
|
---|---|---|---|
Base = réelle |
(391) |
(200) |
(153) |
Je suis un(e) expert(e) en matière de commotion cérébrale |
7 I |
0 |
18 |
Je connais beaucoup de choses au sujet des commotions cérébrales |
42 I |
27 |
66 |
Je connais passablement de choses au sujet des commotions cérébrales |
41 |
58 H |
16 |
Je connais un peu de choses au sujet des commotions cérébrales |
9 |
15 H |
0 |
Je ne sais rien au sujet des commotions cérébrales |
1 |
1 |
0 |
Q17.À l’aide de l’échelle ci-dessous, comment évalueriez-vous votre niveau de connaissance actuel au sujet des commotions cérébrales? |
Note : Les lettres majuscules dénotent une différence statistiquement significative. Par exemple, s’il y a un B, le résultat est sensiblement plus élevé que le résultat correspondant dans la colonne B
La vaste majorité des fournisseurs de soins de santé (84 %) ont diagnostiqué une commotion cérébrale. Parmi ceux-ci, il y a une vaste variabilité. En moyenne, chaque fournisseur de soins de santé a diagnostiqué 41 commotions cérébrales au cours des trois dernières années. Cependant, le nombre varie beaucoup parmi les fournisseurs de soins de santé (Écart type de 155 et médiane de 15).
Les fournisseurs de soins de santé en milieu urbain sont plus susceptibles d’avoir diagnostiqué une commotion comparativement à leurs homologues ruraux (86 % vs. 72 %) et, non étonnamment, compte tenu de leur plus forte incidence à titre de médecin, les fournisseurs de soins de santé du panel sont aussi plus susceptibles d’avoir diagnostiqué une commotion comparativement aux fournisseurs de soins de santé recrutés par le biais de Parachute (93 % vs. 84 %).
Note : Les lettres majuscules dénotent une différence statistiquement significative. Par exemple, s’il y a un B, le résultat est sensiblement plus élevé que le résultat correspondant dans la colonne B
Presque tous les fournisseurs de soins de santé (98 %) utilisent les symptômes des patients pour diagnostiquer une commotion cérébrale, suivis par l’historique du patient (95 %), un examen neurologique (86 %), l’observation (79 %), un test cognitif (63 %) ou autre (17 %). Il est intéressant de noter qu’une faible proportion de fournisseurs de soins de santé utilisent des tests d’imagerie tels que les rayons X, CT scan ou IRM (16 %) pour diagnostiquer une commotion même si les commotions ne peuvent pas habituellement être diagnostiquées de cette façon. Les fournisseurs de soins de santé sans protocoles en place sont plus susceptibles d’utiliser les tests d’imagerie (23 % vs. 13 %) que ceux qui ont des protocoles en place.
Tous les fournisseurs de soins de santé |
FOURNISSEURS DE SOINS DE SANTÉ - LSR |
FOURNISSEURS DE SOINS DE SANTÉ - PARACHUTE |
Rural |
Urbain |
|
---|---|---|---|---|---|
Base = réelle |
(391, 329) |
(200, 186) |
(153, 131) |
(39, 28) |
(352, 301) |
Oui |
84 |
93 HJYZ |
86 |
72 |
86 Y |
Non |
15 I |
6 |
14 I |
26 I |
14 I |
Je ne sais pas |
1 |
1 |
1 |
3 |
1 |
Moyenne |
41,1 |
30,8 |
59,5 |
24,1 |
42,7 |
Médiane |
15 |
15 |
20 |
15 |
15 |
Q47.Avez-vous déjà diagnostiqué une commotion cérébrale? Q.49. Environ combien de commotions avez-vous diagnostiquées au cours des 3 dernières années? |
Tous les fournisseurs de soins de santé |
Protocoles en place - Oui |
Protocoles en place - Non |
|
---|---|---|---|
Base = réelle |
(329) |
(198) |
(118) |
Symptômes du patient |
98 |
98 |
97 |
Historique du patient |
95 |
95 |
95 |
Examen neurologique |
86 |
90 b |
78 |
Observation |
79 |
86 b |
67 |
Tests cognitifs |
63 |
78 b |
41 |
Tests d’imagerie tels que les rayons X, CT scan ou IRM |
16 |
13 |
23 a |
Autre |
17 |
26 b |
3 |
Q51.Comment diagnostiquez-vous actuellement une commotion cérébrale? Sélectionnez toutes les réponses qui s’appliquent. |
Note : Les lettres majuscules dénotent une différence statistiquement significative. Par exemple, s’il y a un B, le résultat est sensiblement plus élevé que le résultat correspondant dans la colonne B
Pour diagnostiquer et évaluer la sévérité d’une commotion, les fournisseurs de soins de santé sont plus susceptibles d’utiliser :
Peu, cependant, utilisent l’outil 5 de reconnaissance d’une commotion cérébrale (CRT5) (9 %) ou Les lignes directrices canadiennes harmonisées sur les commotions cérébrales (4 %).
Il est intéressant de noter que 16 pour cent utilisent d’autres outils tels que les tests de référence, les signes visuels, les étourdissements ou les tests d’équilibre, les tests d’évaluation du système vestibulaire oculomoteur, etc., alors qu’un autre 16 pour cent n’utilisent aucun outil. Ceux sans protocoles en place sont plus susceptibles (36 % vs. 5 %) de ne pas utiliser un outil pour diagnostiquer ou évaluer la sévérité d’une commotion comparativement aux fournisseurs de soins de santé qui ont des protocoles en place.
Tous les fournisseurs de soins de santé |
Protocoles en place - Oui |
Protocoles en place - Non |
|
---|---|---|---|
Base = réelle |
(329) |
(198) |
(118) |
L’outil de reconnaissance 5 des commotions cérébrales (CRT5) |
9 |
11 |
5 |
L’outil d’évaluation 5 des commotions cérébrales dans le sport (SCAT5) |
51 |
70 b |
22 |
L’outil d’évaluation 5 des commotions cérébrales dans le sport chez les enfants (Child SCAT5) |
34 |
49 b |
10 |
Les lignes directrices canadiennes harmonisées sur les commotions cérébrales |
4 |
6 |
3 |
Les lignes directrices canadiennes en matière de commotion cérébrale liée au sport |
31 |
29 |
34 |
Autre |
16 |
25 b |
3 |
Aucun |
16 |
5 |
36 a |
Q53.Lequel ou lesquels des outils suivants utilisez-vous actuellement pour diagnostiquer une commotion cérébrale et évaluer sa sévérité? |
Note : Les lettres majuscules dénotent une différence statistiquement significative. Par exemple, s’il y a un B, le résultat est sensiblement plus élevé que le résultat correspondant dans la colonne B
Plus de la moitié des fournisseurs de soins de santé (57 %) ne savent pas quelle classification internationale des maladies et des problèmes de santé connexes ils utilisent (ICD9 ou ICD10). Près d’un quart (24 %) utilisent la classification ICD9 alors que 21 pour cent utilisent la classification ICD10. Les fournisseurs de soins de santé dans l’Ouest (Prairies et C.-B.) Sont plus susceptibles d’utiliser l’icd9 (33-37 % vs. 13-19 %) et ceux qui ont des protocoles en place sont plus susceptibles d’utiliser l’icd10 (29 % vs. 9 %).
Tous les fournis-seurs de soins de santé |
Atlan-tique |
Québec |
Ontario |
Prairies |
C.-B. |
Proto-coles en place - Oui |
Proto-coles en place - Non |
|
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Base = réelle |
(329) |
(16) |
(30) |
(166) |
(66) |
(51) |
(198) |
(118) |
ICD 9 |
24 |
13 |
13 |
19 |
33 I |
37 HI |
22 |
28 |
ICD 10 |
21 |
25 |
13 |
23 |
24 |
14 |
29 b |
9 |
Je ne sais pas |
57 |
63 |
73 J |
60 |
45 |
53 |
54 |
63 |
Q48.En pensant à vos procédures internes de signalement liées aux commotions cérébrales, quelle classification internationale des maladies et des problèmes de santé connexes (ICD – 9 ou 10) utilisez-vous pour diagnostiquer les commotions cérébrales? |
Note : Les lettres majuscules dénotent une différence statistiquement significative. Par exemple, s’il y a un B, le résultat est sensiblement plus élevé que le résultat correspondant dans la colonne B
Les fournisseurs de soins de santé ont divers niveaux de connaissances des outils ou ressources en matière de commotions cérébrales. Les professionnels de la santé sont les mieux informés au sujet des outils ou ressources suivants :
Et ont des connaissances limitées au sujet des outils ou ressources suivants :
Fait intéressant, quinze pour cent des fournisseurs de soins de santé ne connaissent aucun des outils ou des ressources mentionnées ci-dessus. Les fournisseurs de soins de santé qui ont des protocoles en place sont plus susceptibles de connaître l’ensemble de ces outils et ressources comparativement à ceux qui n’ont pas de protocoles en place.
Tous les fournisseurs de soins de santé |
Protocoles en place - Oui |
Protocoles en place - Non |
|
---|---|---|---|
Base = réelle |
(391) |
(231) |
(135) |
L’outil d’évaluation 5 des commotions cérébrales dans le sport (SCAT5) |
60 |
80 b |
33 |
Les lignes directrices canadiennes en matière de commotion cérébrale liée au sport |
57 |
66 b |
43 |
L’outil d’évaluation 5 des commotions cérébrales dans le sport chez les enfants (Child SCAT5) |
49 |
70 b |
19 |
Les tests de référence en matière de commotion cérébrale |
44 |
63 b |
16 |
Le protocole de retour au sport de Parachute |
29 |
42 b |
10 |
L’énoncé sur les tests de référence en matière de commotion au Canada |
27 |
41 b |
7 |
La Collaboration Canadienne sur les Commotions Cérébrales - Les 5 principaux messages du 5e consensus international sur les commotions cérébrales dans le sport |
27 |
41 b |
7 |
Le protocole de retour à l’apprentissage de Parachute |
26 |
39 b |
7 |
Le « Concussion Management and Return to |
23 |
29 b |
15 |
L’outil de reconnaissance 5 des commotions cérébrales (CRT5) |
22 |
29 b |
11 |
Le « Concussion Awareness Training Tool » par l’Unité de recherche et de prévention des blessures de la C.-B. |
21 |
26 b |
14 |
La Politique de l’Association médicale Canadienne sur les traumatismes crâniens et le sport |
19 |
23 |
14 |
La Société Canadienne de pédiatrie : Commotions cérébrales liées au sport : L’Évaluation et la prise en charge des commotions cérébrales liées au sport chez les enfants |
18 |
23 b |
10 |
Les lignes directrices pour le diagnostic des commotions cérébrales/traumatismes crâniens légers et symptômes persistants de la Fondation ontarienne de neurotraumatologie |
14 |
22 b |
3 |
Les lignes directrices pour le diagnostic et la gestion des commotions cérébrales pédiatriques de la Fondation ontarienne de neurotraumatologie |
12 |
19 b |
2 |
Les lignes directrices canadiennes harmonisées sur les commotions cérébrales |
11 |
16 b |
3 |
Ontario Neurotrauma Foundation Standards for Post-Concussion Care |
10 |
17 b |
1 |
La lettre d’évaluation médicale liée au sport |
9 |
13 b |
5 |
Le certificat de santé lié au sport |
7 |
10 b |
1 |
Collaboration Canadienne sur les Commotions Cérébrales - Les 5 principaux messages du 5ème consensus international sur les commotions cérébrales (CC) dans le sport (POSÉ SEULEMENT AUX RÉPONDANTS FRANÇAIS) |
3 |
5 |
1 |
Aucune de ces réponses |
15 |
2 |
30 a |
Q52. Lesquels des ressources ou outils suivants liés aux commotions cérébrale connaissez-vous? Sélectionnez toutes les réponses qui s’appliquent |
Note : Les lettres majuscules dénotent une différence statistiquement significative. Par exemple, s’il y a un B, le résultat est sensiblement plus élevé que le résultat correspondant dans la colonne B
Les fournisseurs de soins de santé qui ont utilisé les lignes directrices en matière de commotion cérébrale liée au sport en ont des perceptions très positives. Parmi les 26 pour cent des fournisseurs de soins de santé qui ont utilisé les lignes directrices canadiennes en matière de commotion cérébrale liée au sport, la vaste majorité croient (fortement d’accord ou d’accord) que les lignes directrices :
Tous les fournisseurs de soins de santé |
|
---|---|
Base = réelle |
(103) |
Les lignes directrices constituent un outil utile pour les fournisseurs de soins de santé |
94 |
Les lignes directrices amélioreront la gestion des commotions cérébrales au Canada |
87 |
Les lignes directrices ont permis de diagnostiquer une commotion cérébrale plus facilement |
86 |
Les lignes directrices amélioreront les diagnostics de commotions cérébrales au Canada |
85 |
Les lignes directrices ont facilité la gestion des commotions cérébrales |
82 |
Q54. Vous avez indiqué que vous aviez utilisé les nouvelles lignes directrices canadiennes relatives aux commotions cérébrales dans le sport. Veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d’accord ou en désaccord avec chacun des énoncés suivants au sujet des lignes directrices : |
Parmi les fournisseurs de soins de santé qui étaient au courant du Certificat de santé et de la lettre d’évaluation médicale lié(e) au sport, cinquante-neuf pour cent en ont rempli au moins un(e) au cours des trois dernières années. Un tiers (33 %) ont rempli la lettre d’évaluation médicale au cours des trois dernières années et près de la moitié (46 %) ont rempli le certificat de santé au cours des trois dernières années.
La plupart des fournisseurs de soins de santé (85 %) ont trouvé la Lettre d’évaluation médicale utile (4 ou 5 sur une échelle de 5 points) alors que moins (56 %) ont trouvé le Certificat de santé utile (4 ou 5 sur une échelle de 5 points).
|
Tous les fournisseurs de soins de santé |
---|---|
Base = réelle |
(39) |
Lettre d’évaluation médicale relative au sport |
33 |
Certificat de santé |
46 |
Ni l’un ni l’autre |
41 |
Q55. Vous avez indiqué que vous êtes au courant [de la lettre d’évaluation médicale et/ou du certificat de santé lié(e) au sport]. Lequel ou lesquels avez-vous rempli(s) au cours des trois dernières années : Sélectionnez toutes les réponses qui s’appliquent. |
TOP 2 |
Tous les fournisseurs de soins de santé |
---|---|
Base = réelle |
(13, 18) |
Lettre d’évaluation médicale relative au sport |
85 |
Certificat de santé |
56 |
Q56. Comment évalueriez-vous l’utilité des lettres/certificats dans la gestion des commotions cérébrales? |
Un certain nombre de lacunes ou obstacles au niveau des connaissances ont été identifiées. Ces lacunes empêchent les fournisseurs de soins de santé d’aborder la question de prévention. Elles comprennent un manque de connaissances ou de formation pour ce qui est de savoir diagnostiquer une commotion (17 %), un manque de sensibilisation ou de conformité de la part de l’entraîneur, de l’athlète ou du parent (12 %), un manque de compréhension à l’égard des lignes directrices ou de la modification des lignes directrices, un manque d’enseignement, de formation ou de connaissances par les fournisseurs de soins de santé (8 %) et un manque d’expérience (6 %).
Tous les fournisseurs de soins de santé |
|
---|---|
Base = réelle |
(391) |
Manque de connaissances ou de formation relativement au diagnostic |
17 |
Manque de sensibilisation ou de conformité de la part des entraîneurs, des athlètes ou des parents |
12 |
Manque de compréhension ou modification des lignes directrices |
11 |
Manque d’enseignement, de formation ou de connaissances de la part des fournisseurs de soins de santé |
8 |
Manque d’expérience ou d’occasions en matière de commotions cérébrales |
6 |
Difficulté à enseigner la prévention |
4 |
Manque de temps |
4 |
Manque de ressources |
2 |
Divers |
5 |
Aucun |
37 |
Q57. Y a-t-il des lacunes au niveau des connaissances ou des obstacles qui vous empêchent d’aborder la question de la prévention des commotions cérébrales? |
Un sondage en ligne a été mené à l’aide de la technologie d’entrevues Web assistées par ordinateur (CAWI). Cette méthode permettait de s’assurer que l’entrevue se déroulait tel que prévu et qu’elle comportait les sauts de questions préprogrammés. Elle contrôlait également les réponses afin de s’assurer que les échelles étaient appropriées et que les données étaient valides. Les sondages ont été menés en français ou en anglais, selon la langue choisie par le répondant. Tous les participants ont été informés du but général de la recherche, du commanditaire et du fournisseur, et ont également été informés que leurs réponses seraient confidentielles. De plus, le sondage a été enregistré auprès du système d’enregistrement des sondages de l’arim.
Le sondage en ligne a été mené du 20 novembre au 19 décembre 2017. En tout, 2 286 sondages ont été complétés. La durée moyenne du sondage était de 15 minutes, le plus court ayant été de 8 minutes et le plus long de 59 minutes (les valeurs aberrantes ayant été supprimées).
Un prétest a été mené le 16 novembre et a permis d’obtenir 10 complétés en anglais et 10 complétés en français, y compris les questions de clarification. Les résultats ont été vérifiés afin de s’assurer que le sondage fonctionnait tel que prévu et que les questions étaient interprétées tel que prévu. En se basant sur les résultats du prétest, aucun changement n’a été requis pour le sondage et, par conséquent, les résultats des 20 complétés ont été inclus dans l’ensemble final des données.
Un échantillon régionalement disproportionné de Canadiens a été tiré du panel exclusif de Kantar TNS afin de réaliser 1 000 sondages complétés auprès de la population en général. L'échantillon a été stratifié afin de s'assurer que les quotas régionaux étaient respectés. À la fin de la portion du sondage portant sur la population en général, un suréchantillon de parents d'enfants âgés de 5 à 17 ans et de professeurs a été fixé afin d’obtenir des complétés additionnels (n=200 professeurs et n=600 parents). Étant donné la faible incidence d’entraîneurs dans la population générale, une sélection naturelle a été obtenue pour un total de 48 complétés. Afin de suppléer à la faible incidence anticipée d’entraîneurs, le sondage a également été envoyé à des membres de l’Association canadienne des entraîneurs. De plus, afin d’augmenter l’échantillon auprès des professionnels de la santé, le sondage a également été envoyé à des partenaires sélects de Parachute – vous trouverez plus de détails ci-dessous.
Échantillon de l’Association canadienne des entraîneurs
L’Association canadienne des entraîneurs du Canada a invité les membres de l’Association qui entraînent des enfants et des jeunes à participer au sondage. Une approche de style recensement a été adoptée afin de déterminer l’échantillon et, par la suite, 154 373 invitations ont été envoyées aux entraîneurs qui ont ensuite été sélectionnés afin de déterminer s’ils travaillaient auprès d’enfants et de jeunes âgés de 5 à 17 ans. Seulement ceux qui travaillaient auprès d’enfants de 5 à 17 ans ont été interviewés.
Fournisseurs de soins de santé
L’échantillon composé des fournisseurs de soins de santé provenait de deux sources. La première provenait du Panel exclusif en matière de soins de santé de Kantar TNS. Un échantillon a été tiré afin d’être régionalement proportionnel et d’obtenir 200 complétés. Un échantillon supplémentaire a été obtenu par le biais de Parachute. Parachute a travaillé avec ses partenaires afin de mener le sondage auprès des membres des organisations suivantes :
Le tableau suivant présente les quotas qui ont été fixés au début de la recherche. Afin d’obtenir un échantillon plus large, les quotas ont été assouplis en ce qui concerne les membres de Parachute et les membres de l’Association canadienne des entraîneurs afin de permettre un nombre illimité de complétés à partir de ces sources.
C.-B. Et Territoires |
Prairies |
Ontario |
Québec |
Atlantique |
TOTAL |
|
---|---|---|---|---|---|---|
Population générale, 18 ans et plus |
175 |
100 |
350 |
250 |
125 |
1 000 |
Parents d’enfants de 5 à 17 ans |
100 |
50 |
250 |
150 |
50 |
600 |
Sous-total |
275 |
150 |
600 |
400 |
175 |
1 600 |
Professeurs (sélection naturelle) |
N/a |
N/a |
N/a |
N/a |
N/a |
200 |
Professionnels de la santé (sélection naturelle) |
N/a |
N/a |
N/a |
N/a |
N/a |
200 |
Membres de Parachute Canada (sélection naturelle) |
N/a |
N/a |
N/a |
N/a |
N/a |
200 |
Membres de l’Association canadienne des entraîneurs (sélection naturelle) |
N/a |
N/a |
N/a |
N/a |
N/a |
200 |
Échantillon total |
|
|
|
|
|
2 400 |
Marge d’erreur
Comme nous l’avons mentionné précédemment, un échantillon du panel et un échantillon des membres ont été utilisés pour cette étude et, par conséquent, la marge d’erreur ne s’applique pas.
Des ajustements de pondération indépendants ont été apportés aux groupes clés du sondage là où les données nationales étaient disponibles. En particulier, les données nationales pour la population en général, les professeurs et les parents d’enfants de 5 à 17 ans étaient disponibles et, conséquemment, une pondération a été appliquée. Pour chaque groupe, là où les données nationales étaient disponibles, le groupe a été pondéré. Les autres groupes n’ont pas été pondérés en raison d’un manque de données nationales sur les entraîneurs et les professionnels de la santé.
Population en général
Les complétés auprès de la population en général ont été ont été pondérés afin de s’assurer que les données étaient représentatives régionalement de la population des 18 ans et plus au Canada, selon le recensement de 2016. Plus précisément, les données ont été pondérées par âge, par sexe et par région afin de correspondre à la population canadienne en utilisant les données du recensement de 2016. Le tableau suivant présente la répartition des complétés réels et pondérés.
Tableau 4.1.a. Données par région, âge et sexe selon le recensement de 2011 (non pondérées)
Cible |
Région |
|||||
---|---|---|---|---|---|---|
Total |
Atlantique |
Québec |
Ontario |
Prairies |
C.-B. Et Territoires |
|
Hommes de 18 à 34 ans |
33 |
3 |
7 |
13 |
6 |
4 |
Hommes de 35 à 64 ans |
103 |
14 |
23 |
37 |
10 |
19 |
Hommes de 55 ans et plus |
427 |
33 |
107 |
167 |
47 |
73 |
Femmes de 18 à 34 ans |
61 |
12 |
14 |
19 |
8 |
8 |
Femmes de 35 à 64 ans |
105 |
12 |
26 |
32 |
8 |
27 |
Femmes de 55 ans et plus |
271 |
49 |
73 |
82 |
22 |
45 |
Cible | Région |
|||||
---|---|---|---|---|---|---|
Total |
Atlantique |
Québec |
Ontario |
Prairies |
C.-B. Et Territoires |
|
Hommes de 18 à 34 ans |
137 |
8 |
30 |
53 |
28 |
18 |
Hommes de 35 à 64 ans |
167 |
11 |
39 |
64 |
31 |
22 |
Hommes de 55 ans et plus |
182 |
14 |
45 |
68 |
29 |
26 |
Femmes de 18 à 34 ans |
136 |
8 |
30 |
53 |
27 |
18 |
Femmes de 35 à 64 ans |
173 |
12 |
39 |
68 |
31 |
23 |
Femmes de 55 ans et plus |
205 |
16 |
51 |
78 |
31 |
29 |
Professeurs
Les complétés auprès des professeurs ont été pondérés afin de s’assurer que les données étaient représentatives régionalement de la population des professeurs au Canada, selon le recensement de 2016. Le tableau suivant présente la répartition des complétés réels et pondérés.
Cible |
Région | |||||
---|---|---|---|---|---|---|
Total |
Atlantique |
Québec |
Ontario |
Prairies |
C.-B. Et Territoires |
|
Hommes de 18 à 34 ans |
13 |
7 |
15 |
8 |
3 |
2 |
Hommes de 35 à 64 ans |
55 |
18 |
8 |
7 |
||
Hommes de 55 ans et plus |
33 |
3 |
6 |
9 |
7 |
8 |
Femmes de 18 à 34 ans |
30 |
1 |
7 |
16 |
4 |
2 |
Femmes de 35 à 64 ans |
104 |
13 |
27 |
42 |
12 |
10 |
Femmes de 55 ans et plus |
60 |
6 |
13 |
19 |
12 |
10 |
Cible |
Région | |||||
---|---|---|---|---|---|---|
Total |
Atlantique |
Québec |
Ontario |
Prairies |
C.-B. Et Territoires |
|
Hommes de 18 à 34 ans |
10 |
4 |
15 |
5 |
4 |
1 |
Hommes de 35 à 64 ans |
53 |
21 |
8 |
5 |
||
Hommes de 55 ans et plus |
13 |
1 |
3 |
4 |
3 |
2 |
Femmes de 18 à 34 ans |
61 |
4 |
16 |
25 |
12 |
4 |
Femmes de 35 à 64 ans |
132 |
9 |
32 |
59 |
21 |
11 |
Femmes de 55 ans et plus |
27 |
1 |
6 |
10 |
6 |
4 |
Parents
Les complétés auprès des parents ont été pondérés afin de s’assurer que les données étaient représentatives de la population des 18 ans et plus des Canadiens ayant des enfants de 5 à 17 ans, selon le recensement de 2016. Plus précisément, les données ont été pondérées par âge, par sexe et par région afin de correspondre à la population canadienne des parents d’enfants de 5 à 17 ans. Le tableau suivant présente la répartition des complétés réels et pondérés.
Cible | Région | |||||
---|---|---|---|---|---|---|
Total |
Atlantique |
Québec |
Ontario |
Prairies |
C.-B. Et Territoires |
|
Hommes de 18 à 34 ans |
24 |
3 |
5 |
12 |
3 |
1 |
Hommes de 35 à 64 ans |
282 |
26 |
71 |
105 |
37 |
43 |
Hommes de 55 ans et plus |
69 |
3 |
15 |
29 |
7 |
15 |
Femmes de 18 à 34 ans |
48 |
7 |
3 |
21 |
8 |
9 |
Femmes de 35 à 64 ans |
310 |
31 |
77 |
117 |
28 |
57 |
Femmes de 55 ans et plus |
31 |
0 |
4 |
17 |
6 |
4 |
Cible |
Région | |||||
---|---|---|---|---|---|---|
Total |
Atlantique |
Québec |
Ontario |
Prairies |
C.-B. Et Territoires |
|
Hommes de 18 à 34 ans |
49 |
3 |
12 |
16 |
12 |
6 |
Hommes de 35 à 64 ans |
212 |
13 |
48 |
85 |
40 |
27 |
Hommes de 55 ans et plus |
85 |
5 |
16 |
39 |
13 |
12 |
Femmes de 18 à 34 ans |
84 |
6 |
20 |
29 |
20 |
9 |
Femmes de 35 à 64 ans |
257 |
21 |
56 |
104 |
45 |
32 |
Femmes de 55 ans et plus |
77 |
0 |
16 |
38 |
12 |
11 |
Un total de 33 900 invitations a été envoyé aux panélistes, dont n=1 800 ont terminé le sondage. Le taux d’achèvement dans l’ensemble pour l’étude en ligne a été de 5,3 %. Le tableau suivant présente la disposition de l’échantillon et le taux de réponse selon les lignes directrices de l’arim.
|
|
---|---|
Total des invitations envoyées |
33900 |
Contacts |
3113 |
Complétés |
1800 |
Interruptions |
201 |
Hors quota |
92 |
Non admissibles |
1014 |
Taux d’achèvement |
5,3 % |
Taux d’incidence |
61,8 % |
Des tableaux détaillés sont inclus sous pli séparé.
Étude de référence sur les commotions cérébrales
Quotas
C.-B. Et Territoires |
Prairies |
Ontario |
Québec |
Atlantique |
Total |
|
---|---|---|---|---|---|---|
Population générale, 18 ans et plus |
175 |
100 |
350 |
250 |
125 |
1,000 |
Parents d’enfants de 5 à 17 ans |
100 |
50 |
250 |
150 |
50 |
600 |
Sous-total |
275 |
150 |
600 |
400 |
175 |
1 600 |
Professeurs (sélection naturelle) |
N/a |
N/a |
N/a |
N/a |
N/a |
200 |
Professionnels de la santé (sélection naturelle) |
N/a |
N/a |
N/a |
N/a |
N/a |
200 |
Membres de Parachute Canada |
N/a |
N/a |
N/a |
N/a |
N/a |
200 |
Membres de l’Association canadienne des entraîneurs |
N/a |
N/a |
N/a |
N/a |
N/a |
200 |
Échantillon Total |
|
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2 400 |
Notes :
Dans quelle langue aimeriez-vous être interviewé(e)?
Français / Anglais
Introduction
Merci d'avoir accepté de participer à notre sondage. Kantar TNS mène actuellement un sondage au nom de l'Agence de la santé publique du Canada sur les connaissances, les attitudes et les comportements des Canadiens et des fournisseurs de soins de santé au sujet des problèmes de santé. Les informations recueillies seront utilisées pour élaborer des politiques et mesurer les progrès liés à cette politique. Votre décision de participer ou non n'aura aucune incidence sur les transactions que vous pourriez avoir avec le gouvernement du Canada.
Ce sondage est enregistré auprès de l'Association de la recherche et de l'intelligence marketing (ARIM) (Insérer le numéro ici) et peut être vérifié ici : www.surveyverification.ca. Le sondage prendra environ 15 minutes à remplir.
Qu’en est-il de vos renseignements personnels?
Qu’arrive-t-il après le sondage en ligne?
Le rapport final écrit de Kantar TNS sera mis à la disposition du public par l’entremise de Bibliothèque et Archives Canada (http://www.bac-lac.gc.ca/).
Si vous avez des questions au sujet du sondage, vous pouvez communiquer avec Kantar TNS à carole.adam@tnsglobal.com
Votre aide est grandement appréciée, et nous sommes impatients de recevoir vos commentaires.
Hyperlien du système national d’enregistrement des sondages. Texte :
Le système d'enregistrement a été créé par l'industrie de la recherche par sondage afin de permettre au public de vérifier qu’un sondage est légitime, d'obtenir des informations au sujet de l'industrie des sondages ou de déposer une plainte. Le numéro de téléphone sans frais du système d'enregistrement est le 1-800-554-9996.
Les titres des sections ne devraient pas apparaître à l’écran pour les répondants.
Ne présentez pas les numéros des questions à l’écran aux répondants
Toutes les questions sont obligatoires, mais comprennent une option « je ne sais pas »
Instruction : pour les professionnels de la santé : remplacez canadiens par fournisseurs de soins de santé
Recrutement
Note : les démographiques sont posées au début afin de gérer les quotas ciblés
Instruction : ne posez pas aux professionnels de la santé
Je préfère ne pas répondre
Veuillez calculer l’âge de chaque personne en utilisant leur année de naissance
Veuillez utiliser la première lettre du code postal pour coder la province ou le territoire
Veuillez utiliser le deuxième caractère du code postal pour coder rural/urbain. Si le deuxième caractère est « 0 », codez « rural ». Tous les autres sont codés « urbain ».
Sélectionnez toutes les réponses qui s’appliquent.
Instruction: Ne demandez pas à HCP
Randomisez
Instruction: Passez aux démographiques si on ne sélectionne pas commotion cérébrale
Coach demos : Demandez si q7 = 1 ou 2
Parent demos : posez seulement aux parents
HCP demos – posez seulement aux professionnels de la santé
Questionnaire principal
Posez à tous
Nous aimerions maintenant vous poser quelques questions au sujet des commotions cérébrales dans le sport, c’est-à-dire les commotions cérébrales subies pendant la pratique d’un sport.
Attitudes à l’égard des commotions cérébrales
Échelle :
Liste de reponse HCP
Connaissance de la condition médicale
1 – Je suis un(e) expert(e) en matière de commotion cérébrale
2 – Je connais beaucoup de choses au sujet des commotions cérébrales
3 – Je connais passablement de choses au sujet des commotions cérébrales
4 - Je connais un peu de choses au sujet des commotions cérébrales
5 – Je ne sais rien au sujet des commotions cérébrales
ce bloc de questions est pour tous les répondants qui ne sont pas des professionnels de la santé
Randomisez
Randomisez
Randomisez
Randomisez
Randomisez
Randomisez
Randomisez
Instruction: Demandez q32 si q31 = non
Instruction: Demandez si q31 = Oui
Questions pour les parents
Les prochaines questions sont destinées aux parents.
A) À l’école de votre enfant
B) Au sein de l’équipe sportive de votre enfant (montrez seulement si l’enfant pratique un sport à
Q14)
Échelle
Instruction: Demandez si l’enfants jouer les sport (q14)
Les questions pour l’entraineurs ou les directeur sportif
Maintenant, nous aimerions vous poser quelques questions qui se rapportent à votre rôle à titre d’entraîneur ou de directeur sportif.
Parents
Enfants
Athlètes
Échelle
Demandez q40 si q39 = OUI
Échelle :
Instruction : demandez q43 si le répondent en désaccord ou fortement en désaccord avec violence ou de harcèlement à Q42
Les questions pour les professeurs
Maintenant, nous aimerions vous poser quelques questions au sujet de votre rôle à titre de professeur au primaire ou au secondaire.
Les questions pour les HCP
Instruction: Si OUI à q47 demandez q48
Instruction: Si OUI à q47 demandez q49
Instruction: Si OUI à q47 demandez q51
Instruction: Si OUI à q47 demandez q53
Demandez si le répondent utilisé les nouvelles lignes directrices canadiennes relatives aux commotions cérébrales dans le sport
Échelle :
Demandez si le répondent est au courant de la lettre d’évaluation médicale et/ou du certificat de santé lié(e) au sport (q52)
Instruction : posez la q56 seulement à ceux qui ont complété une lettre/un certificat à (q55). La liste de réponses est fondée sur ceux qui ont complété la lettre/le certificat
Échelle :
Données démographiques (non-professionnel des soins de santé)
Maintenant, nous aimerions vous poser quelques questions qui nous aideront à classifier vos réponses. Vos réponses à ces questions et à toutes les autres demeureront entièrement confidentielles.
Merci d’avoir pris le temps de répondre au sondage. Si vous souhaitez en savoir davantage sur les commotions cérébrales, veuillez consulter les sites Web suivants :