Sondage auprès des Canadiens sur la prévention de la démence

RAPPORT FINAL

Préparé pour l'Agence de la santé publique du Canada.

Fournisseur : LES ASSOCIÉS DE RECHERCHE EKOS INC.
No du contrat : 6D016-215153/001/CY
Valeur du contrat : 99 981,78 $ (TVH incluse)
Date du contrat : 20 janvier 2022
Date de livraison : 7 septembre 2022
No d'inscription : POR-104-21

Pour obtenir de plus amples renseignements sur le présent rapport, veuillez communiquer avec l'Agence de la santé publique du Canada à hc.cpab.por-rop.dgcap.sc@canada.ca.

This report is also available in English

Sondage auprès des Canadiens sur la prévention de la démence

Rapport final

Préparé pour l'Agence de la santé publique du Canada.
Nom du fournisseur : LES ASSOCIÉS DE RECHERCHE EKOS INC.
Date : Septembre 2022

Ce rapport de recherche sur l'opinion publique présente les résultats d'un sondage en ligne mené par les Associés de recherche EKOS Inc. pour le compte de l'Agence de la santé publique du Canada. L'étude de recherche a été menée auprès de 2 050 Canadiens et Canadiennes âgés de 18 à 74 ans pendant les mois de février et de mars 2022.

This report is also available in English under the title: Survey of Canadians Regarding Dementia Prevention

Cette publication ne peut être reproduite qu'à des fins non commerciales. Une autorisation écrite préalable doit d'abord être obtenue de Services publics et Approvisionnement Canada. Pour obtenir de plus amples renseignements sur ce rapport, veuillez communiquer avec Santé Canada à hc.cpab.por-rop.dgcap.sc@canada.ca ou à l'adresse suivante :

Ministère de la Santé
200, promenade Églantine
A.L. 1915C
Ottawa, Ontario
K1A 0K9

Numéro de catalogue : HP14-414/2022F-PDF

Numéro international normalisé du livre (ISBN) : 978-0-660-45400-9

Publications connexes (numéro d'enregistrement : POR-104-21)

Numéro de catalogue : HP14-414/2022E-PDF (Final English Report)
ISBN 978-0-660-45399-6 (Final English Report)

© Sa Majesté le Roi du chef du Canada, représenté par le ministre de la Santé, 2022

Tables des matières

Liste des tableaux

Liste des graphiques

Sommaire

A. Contexte et objectifs

La démence est un terme générique utilisé pour décrire un ensemble de symptômes affectant la fonction cérébrale qui sont causés par des maladies ou des blessures neurodégénératives et vasculaires. Elle se caractérise par un déclin des capacités cognitives, notamment de la mémoire, de la conscience de soi, du lieu et du temps, du langage, des compétences de base en mathématiques, du discernement et de la planification. La démence peut également affecter l'humeur et le comportement. De plus en plus de preuves et des directives récentes donnent à penser qu'environ 40 % des cas de démence dans le monde pourraient être évités en traitant douze facteurs de risque : niveaux inférieurs d'éducation à la petite enfance, perte auditive, lésion cérébrale traumatique, hypertension artérielle, consommation excessive d'alcool, obésité, tabagisme, dépression, isolement social, inactivité physique, diabète et pollution de l'air[i]. Avec une population croissante et vieillissante, le nombre de Canadiens aux prises avec la démence devrait augmenter au cours des prochaines décennies[ii].

La première stratégie nationale du Canada sur la démence, Une stratégie sur la démence pour le Canada : Ensemble, nous y aspirons, publiée en juin 2019, cerne trois objectifs nationaux : prévenir la démence; faire progresser les thérapies et trouver un remède, et améliorer la qualité de vie des personnes atteintes de démence et des aidants naturels. Afin d'appuyer l'objectif national de la stratégie de prévention de la démence au Canada et d'appuyer les rapports annuels au Parlement concernant la stratégie nationale sur la démence, une recherche sur l'opinion publique (ROP) a recueilli de l'information sur la sensibilisation et les connaissances des Canadiens à l'égard de la démence en se concentrant sur les expériences et attitudes liées à la réduction des risques. L'objectif principal de la recherche consistait à explorer la sensibilisation aux facteurs de risque modifiables, aux défis, aux obstacles, aux catalyseurs et aux facteurs d'influence qui ont un impact sur l'adoption de comportements sains prévenant le développement de la démence.

B. Méthodologie

Dans le cadre du sondage, 2 050 Canadiens et Canadiennes âgés de 18 à 74 ans ont répondu au questionnaire, y compris des sur échantillons de Canadiens qui s'identifient comme des Noirs (139), des Asiatiques du sud (135), des personnes 2ELGBTQI+ (370) ainsi que des résidents du Canada atlantique (211) ou des territoires (107).

L'échantillon du sondage est issu du panel Probit des Associés de recherche EKOS, assemblé au moyen de la composition aléatoire pour échantillonnage à partir d'une base composée de personnes dotées d'un téléphone cellulaire ou filaire, ce qui offre un recoupement de l'ensemble des Canadiens munis d'un accès téléphonique. Le processus de recrutement était réparti de manière à refléter fidèlement la population du Canada (selon la définition de Statistique Canada). Ainsi, avec plus de 120 000 membres actifs, le panel Probit peut être considéré comme représentatif de la population canadienne (c'est-à-dire qu'une population cible donnée comprise dans notre panel correspond de près à l'ensemble de la population), et il est donc possible de lui attribuer une marge d'erreur. Une majorité de l'échantillon a été recueillie par le biais d'un questionnaire en ligne autoadministré, alors que le quart de l'échantillon a été recueilli au téléphone par des enquêteurs bilingues formés.

La durée moyenne des entretiens était de 15 minutes en ligne et de 23 minutes au téléphone, et les résultats ont été recueillis entre le 25 février et le 12 mars 2022, à la suite d'une période d'essais (51 cas en tout : 33 en anglais, 18 en français, 37 en ligne et 25 au téléphone). Le taux de participation a été de 19 % (22 % en ligne et 13 % au téléphone). Des détails sur le taux de participation sont disponibles à l'annexe A. Le questionnaire est fourni à l'annexe B.

Cet échantillon probabiliste recruté de façon aléatoire a une marge d'erreur de +/- 2,1 % à un intervalle de confiance de 95 %. La marge d'erreur de chacun des groupes cibles oscille entre 3,5 et 7,0 %. Les résultats sont pondérés en fonction des proportions de populations selon la région, l'âge, le genre et le niveau de scolarité, ainsi qu'en tenant compte des répondants qui s'identifient comme des Noirs, des Asiatiques du sud et des personnes 2ELGBTQI+. Un test du chi carré a été utilisé pour comparer les sous-groupes du reste de l'échantillon (p. ex., Ontario par rapport au reste du Canada, groupe des 65 ans à 74 ans par rapport au reste du Canada, femmes par rapport aux hommes) et des données pondérées ont été utilisées lorsqu'il était pertinent de le faire.

C. Principales constatations

Connaissances

Environ trois Canadiens sur quatre connaissent quelqu'un qui est atteint ou a été atteint de démence. Pour près de la moitié (48 %), cela comprend un membre de la famille élargie. D'autres évoquent un parent (19 %), un voisin, un collègue au travail ou un client (19 %), un ami (16 %), un conjoint ou un partenaire (1 %), ou eux-mêmes (1 %).

Huit répondants sur dix (79 %) croient que la démence a un impact modéré ou important au Canada en ce moment. À l'instar des résultats obtenus en 2020, plus d'un Canadien sur cinq (28 %) estime être très bien informé sur la démence. Environ la moitié d'entre eux croit être moyennement informé et un peu plus d'un sur quatre considère ne pas être très bien informé. La vaste majorité des répondants (entre 85 et 90 %) est capable de nommer correctement les signes et les symptômes communs de la démence, y compris le jugement amoindri, les changements d'humeur, de comportement ou de personnalité, le rangement inapproprié d'objets et la difficulté à exécuter des tâches de tous les jours.

Près de trois personnes sur cinq (58 %) croient à tort qu'il existe des traitements efficaces qui peuvent retarder l'apparition de symptômes et ralentir la progression de la démence. Il s'agit d'une diminution par rapport à 2020, alors que 67 % affirmaient que des traitements efficaces existaient.

La moitié des Canadiens (50 %) estime à juste raison que le risque de développer la démence est lié à des problèmes de santé chroniques, comme l'hypertension, les maladies du cœur et le diabète. La sensibilisation a augmenté dans ce domaine depuis 2020, alors que 37 % des répondants avaient identifié ces problèmes de santé comme des facteurs de risque. Près d'un répondant sur trois sait que certains groupes ethniques ou culturels présentent un risque plus élevé de développer la démence (comme le suggèrent certaines données disponibles), même si, à peu de choses près, la même proportion ne pense pas que ce soit le cas, et une proportion plus élevée est incertaine (40 %). Assez peu de répondants (19 %) croient à tort que la démence est une conséquence inévitable du vieillissement.

Attitudes et perceptions

Un peu plus de la moitié des Canadiens (51 %) affirme craindre d'être un jour atteint de démence. Ce pourcentage est en baisse par rapport aux 64 % obtenus dans le sondage de 2020. La plupart des Canadiens croient présenter un risque modéré ou faible de développer la démence. Avant de consulter une liste de facteurs de risque dans le cadre du sondage, 15 % des Canadiens considéraient comme élevé leur risque personnel de développer la démence. Une personne sur trois (32 %) estime que son risque est faible et une proportion un peu plus élevée (37 %) croit présenter un risque modéré.

Bien que les données actuelles suggèrent que le risque génétique ne détermine pas tout à fait si une personne va développer la démence dans la plupart des cas, trois Canadiens sur cinq qui considèrent que leur risque de développer la démence est modéré ou élevé (61 %) affirment croire cela parce que des membres de leur famille sont atteints ou ont été atteints de démence. Quatre répondants sur dix (41 %) perçoivent leur risque comme modéré ou élevé parce qu'ils ne font pas assez d'exercice. Environ trois personnes sur dix (34 %) disent que c'est parce qu'elles ont au moins un problème de santé chronique ou parce qu'elles ont du mal à maintenir une saine alimentation (28 %). Parmi les Canadiens qui estiment que leur risque de développer la démence est faible, 72 % croient que c'est parce qu'ils mettent régulièrement leur cerveau au défi. Près de deux personnes sur trois (64 %) disent que c'est parce que personne dans leur famille n'a été atteint de démence.

Seul un Canadien sur cinq (20 %) croit avoir une capacité élevée de réduire son risque personnel de développer la démence à l'avenir, et près de la moitié (47 %) estime que sa capacité de réduire le risque est modérée.

Deux Canadiens sur trois (66 %, comparativement à 71 % en 2020) se sentent à l'aise de discuter avec un fournisseur de soins de leur risque personnel de développer la démence et plus de quatre répondants sur dix (42 %, en baisse par rapport aux 50 % de 2020) se sentiraient à l'aise de parler d'un diagnostic de démence à des amis. Un peu moins de la moitié des Canadiens (47 %, comparativement à 51 % en 2020) se sentiraient à l'aise d'interagir avec une personne atteinte de démence.

Mesures pour réduire le risque de développer la démence

Plus de la moitié des Canadiens croit qu'il est important de commencer à prendre des mesures pour réduire le risque de développer la démence entre 35 et 54 ans (31 %) ou « à tout âge » (25 %). Seule une personne sur quatre (25 %) est d'avis qu'il faut commencer à 55 ans ou plus.

Seuls 27 % des Canadiens déclarent avoir intentionnellement pris des mesures pour réduire leur risque de développer la démence au cours des douze derniers mois. Parmi ceux qui prennent intentionnellement des mesures, la mesure la plus courante consiste à mettre son cerveau au défi pour qu'il reste actif (74 %), à avoir une saine alimentation (68 %) et à faire régulièrement des activités physiques (65 %). Le fait de socialiser souvent (41 %) ainsi que la surveillance et la gestion de tout problème de santé chronique (39 %) sont également des mesures populaires. La plupart des répondants (83 %) prévoient de continuer à prendre toutes mes mesures préventives. Parmi les 69 % de Canadiens qui déclarent ne pas prendre de mesures intentionnelles visant spécifiquement à réduire leur risque de développer la démence, plusieurs participent néanmoins à des activités liées à un risque réduit de démence, y compris des défis pour stimuler leur cerveau (68 %), d'avoir une saine alimentation (62 %) et de faire régulièrement des activités physiques (54 %). Sept répondants sur dix (72 %) prévoient de continuer à prendre ces mesures.

Parmi ceux qui prennent intentionnellement des mesures pour réduire leur risque de développer la démence, le facteur de motivation le plus souvent mentionné est le fait de connaître quelqu'un qui est atteint de démence (50 %). Ce facteur est suivi de loin par des preuves scientifiques crédibles (28 %) et un changement de l'état de santé (28 %). Les médias ainsi que les conseils d'amis proches et de membres de la famille jouent également un rôle pour environ un Canadien sur sept (15 % et 14 %, respectivement). Parmi tous les répondants, 60 % disent souhaiter en faire plus pour réduire leur risque de développer la démence. Parmi les autres répondants, un peu plus du quart (27 %) déclare ne pas s'en sentir capables ou ne pas avoir besoin d'en faire plus pour réduire leur risque, la raison la plus souvent mentionnée étant de ne pas en savoir assez sur les mesures qu'ils devraient prendre (33 %). Un peu plus d'une personne sur dix (14 %) affirme en faire déjà assez, et une proportion semblable croit ne pas avoir le temps (12 %), est d'avis que cela ne changera rien (13 %) ou dit avoir des problèmes de santé qui l'empêchent d'en faire plus (11 %). Six répondants sur dix qui déclarent ne pas prendre de mesures disent ne pas souhaiter en faire plus pour réduire leur risque de développer la démence. Cependant, une personne sur trois croit ne pas connaître assez de mesures à prendre. Même s'ils déclarent ne pas prendre intentionnellement des mesures pour réduire leur risque de développer la démence, de nombreux Canadiens prennent des mesures liées à la réduction du risque de démence, comme stimuler leur cerveau (68 %), avoir une saine alimentation (62 %) et faire régulièrement des activités physiques (54 %).

D. Note aux lecteurs

Les résultats détaillés de l'étude sont présentés dans les sections ci-dessous. Les résultats globaux sont présentés dans la section principale du rapport et sont normalement appuyés par un graphique ou une présentation tabulaire. Les résultats pour la proportion de répondants de l'échantillon qui ont répondu « je ne sais pas » ou qui n'ont pas fourni une réponse peuvent ne pas être indiqués dans la représentation graphique des résultats dans tous les cas, particulièrement lorsqu'ils ne sont pas appréciables (p. ex., 10 % ou moins). Aussi, il est possible que les résultats ne donnent pas 100 % en raison des arrondissements. Pour une douzaine de questions posées en 2022, les résultats sont comparés à ceux du sondage sur la démence de 2020, mené auprès de 4 200 Canadiens. Aux fins d'une comparaison plus directe, les résultats de 2020 présentés dans le présent rapport excluent 7 % des répondants qui étaient âgés de 75 ans ou plus au moment de répondre au sondage. Il peut également y avoir une plus grande concentration d'aidants naturels dans l'échantillon du sondage de 2020, bien que cela soit difficile à établir puisque ce sondage établissait une distinction entre la prestation de soins rémunérés et de soins non rémunérés, ce qui n'est pas le cas dans la version actuelle du sondage[iii].

Des textes à puces sont également utilisés pour mettre en évidence des différences statistiques importantes[iv] entre des sous-groupes de répondants. Les principaux profils démographiques d'intérêt sont décrits dans le rapport, suivant un ordre précis sous des rubriques particulières (genre, âge, région et groupes présentant un risque plus élevé de développer la démence). Cette dernière catégorie comprend les personnes qui s'identifient comme des Noirs, des Asiatiques du sud ou des Autochtones et des personnes 2ELGBTQI+, ainsi que celles qui ont reçu un diagnostic d'un problème de santé chronique. D'autres modèles démographiques, comme le niveau de scolarité ou le revenu annuel du ménage, sont également présentés lorsqu'ils sont particulièrement pertinents. Seules les différences qui sont statistiquement et considérablement différentes (p. ex., au moins cinq points de pourcentage de différence avec la moyenne globale) sont présentées.

Les différences statistiques entre les sous-groupes et le reste des Canadiens sont analysées dans les groupes démographiques (p. ex., les moins de 35 ans par rapport aux Canadiens âgés, l'Ontario par rapport au reste du Canada). Les groupes de populations susceptibles de présenter un risque plus élevé de développer la démence sont également soumis à des analyses afin de trouver des différences entre ces groupes et les autres répondants. Par exemple, les répondants qui s'identifient comme des Noirs sont comparés à tous les autres répondants qui ne s'identifient pas comme tels, et ceux qui ont un problème de santé chronique sont comparés aux répondants qui n'en ont pas. Dans la plupart des cas, les résultats sont décrits pour le sous-groupe par rapport à tous les autres, généralement appelés « les autres répondants ». Lorsque cela est pertinent, les résultats de sous-groupes clés sont décrits pour obtenir une comparaison plus éclairante.

Des détails sur la méthodologie et les caractéristiques de l'échantillon sont disponibles à l'annexe A. Le questionnaire du sondage se trouve à l'annexe B.

E. Certification de neutralité politique

À titre de cadre supérieur des Associés de recherche EKOS Inc., j'atteste par la présente que les documents remis sont entièrement conformes aux exigences de neutralité politique du gouvernement du Canada exposées dans la Politique de communication du gouvernement du Canada et dans la Procédure de planification et d'attribution de marchés de services de recherche sur l'opinion publique. En particulier, les documents remis ne contiennent pas de renseignements sur les intentions de vote électoral, les préférences quant aux partis politiques, les positions des partis ou l'évaluation de la performance d'un parti politique ou de ses dirigeants.

Signé par :

Susan Galley (vice-présidente)

F. Valeur de l'entente

Valeur de l'entente : 99 981,78 $ (TVH incluse)

Résultats détaillés du sondage

A. Caractéristiques personnelles

Environ trois Canadiens sur quatre (74 %) connaissent quelqu'un qui est atteint ou a été atteint de démence. Cela comprend un membre de la famille élargie (48 %), un parent (19 %), un voisin ou un collègue au travail (19 %), un ami (16 %), un conjoint ou un partenaire (1 %) ou eux-mêmes (1 %). Ces résultats ressemblent beaucoup à ceux obtenus dans le sondage sur la démence de 2020 où la moitié des répondants (50 %) avaient un membre de la famille élargie qui était atteint ou avait été atteint de démence. En 2020, un répondant sur cinq connaissait un parent (20 %) ou un ami (18 %) atteint de démence, alors qu'environ un Canadien sur cinq (19 %) ne connaissait personne qui était atteint ou avait été atteint de démence.

Plus d'un Canadien sur dix (12 %) fournit des soins ou apporte du soutien à un membre de sa famille ou à un ami qui est atteint de démence.

Tableau 1 : Lien personnel avec une personne atteinte de démence
Comparaison entre les résultats de 2022 et 2020 pour ceux âgés de moins de 75 ans TOTAL 2022 TOTAL 2020
Q11. S'il y a lieu, qui connaissez-vous ou avez-vous connu qui est atteint ou était atteint de démence? n=2050 n=3910
Un membre de ma parenté étendue 48 % 50 %
Un parent 19 % 20 %
Un(e) voisin(e), un(e) collègue de travail, un(e) client(e) 19 % 15 %
Un(e) ami(e) 19 % 18 %
Mon époux (épouse) ou conjoint(e) 1 % 1 %
Moi-même 1 % 1 %
Personne 22 % 19 %
Autre 1 % --
Ne sais pas/préfère ne pas répondre 4 % 4 %
Qcare. Offrez-vous des soins ou du soutien à un membre de la famille ou à un ami atteinte de démence? n=2039  
Oui 12 %  
Non 86 %  
Préfère ne pas répondre 1 %  

Genre

Âge

Niveau de scolarité et revenu

Région

Populations identifiées comme étant plus susceptibles de présenter un risque plus élevé de développer la démence (comme indiqué dans la partie D : Note aux lecteurs)

Autres segments

Participation dans la collectivité

Sept Canadiens sur dix (71 %) participent à des activités communautaires, en ligne ou en personne, comme du bénévolat, des rencontres sociales et l'organisation ou la participation à des activités communautaires. Plusieurs d'entre eux ne sont actifs qu'à l'occasion (25 %) ou de façon passive (14 %). Cependant, quatre sur dix sont actifs la plupart des jours de la semaine (13 %) ou toutes les semaines ou deux semaines (18 %).

Graphique 1 : Participation dans la collectivité

Graphique ;1 : Participation dans la collectivité

Q9. À quelle fréquence participez-vous à des activités communautaires, en ligne ou en personne, comme le bénévolat, la socialisation et l'organisation ou la participation à des activités communautaires?
Base: Tous les répondants n=2050

DESCRIPTION :

Ce graphique, composé de barres simples, montre le pourcentage des résultats pour les réponses de six énoncés.

On a demandé aux répondants : « À quelle fréquence participez-vous à des activités communautaires, en ligne ou en personne, comme le bénévolat, la socialisation et l'organisation ou la participation à des activités communautaires? »

Les répondants ont sélectionné :

Base : Tous les répondants n=2050

Genre

Âge

Niveau de scolarité et revenu

Région

Populations identifiées comme étant plus susceptibles de présenter un risque plus élevé de développer la démence

Autres segments

Niveau d'activité physique

Les Canadiens font état d'un large éventail de temps qu'ils consacrent toutes les semaines à des activités physiques : marche, vélo, sports, conditionnement physique et tâches ménagères. Environ une personne sur quatre est active, en moyenne, pendant environ une heure ou moins par semaine (15 %) ou entre une et trois heures par semaine (13 %). Un répondant sur quatre consacre de trois à cinq heures (13 %) ou de cinq à sept heures (15 %) par semaine à des activités physiques. Près d'un Canadien sur cinq affirme consacrer de sept à douze heures par semaine (17 %) ou 12 heures ou plus par semaine (20 %) à l'activité physique.

Graphique 2 : Temps consacré à des activités physiques

Graphique 2 : Temps consacré à des activités physiques

Q21gx. Combien de temps par semaine consacrez-vous à une activité physique (par exemple, marcher ou faire du vélo, faire du sport ou des activités physiques, porter de lourdes charges ou effectuer des tâches ménagères qui nécessitent un effort physique)?
Base: Tous les répondants n=2050

DESCRIPTION :

Ce graphique, composé de barres simples, montre le pourcentage des résultats pour les réponses de sept énoncés.

On a demandé aux répondants : « Combien de temps par semaine consacrez-vous à une activité physique (par exemple, marcher ou faire du vélo, faire du sport ou des activités physiques, porter de lourdes charges ou effectuer des tâches ménagères qui nécessitent un effort physique)? »

Les répondants ont sélectionné :

Base : Tous les répondants n=2050

Genre

Âge

Niveau de scolarité et revenu

Région

Populations identifiées comme étant plus susceptibles de présenter un risque plus élevé de développer la démence

Autres segments

Problème de santé chronique

Près de quatre Canadiens sur dix (39 %) déclarent avoir reçu un diagnostic d'un problème de santé chronique. Les plus répandus sont l'hypertension artérielle (27 %), la dépression (26 %), l'arthrite (22 %), le diabète (18 %), un taux élevé de cholestérol (18 %), l'obésité (16 %) et l'asthme (13 %).

Tableau 2 : Problème de santé chronique
  TOTAL
Q21. Avez-vous reçu un diagnostic de maladie chronique? n=2050
Oui 39 %
Non 59 %
Préfère ne pas répondre 2 %
Q21b. Parmi les problèmes de santé chroniques suivants, pour lesquels avez-vous reçu un diagnostic? n=817
Hypertension 27 %
Dépression 26 %
Arthrite 22 %
Diabète 18 %
Haut cholestérol 18 %
Obésité 16 %
Asthme 13 %
Perte auditive 7 %
Maladie cardiaque 7 %
Traumatisme cérébral 5 %
Problèmes digestifs (par ex. SCI) 4 %
Cancer 3 %
Maladie pulmonaire obstructive chronique 3 %
Apnée du sommeil 3 %
Thyroïde 3 %
Douleurs chroniques 3 %
Trouble anxieux 3 %
Sclérose en plaques 2 %
Accident vasculaire cérébral 2 %
Conditions auto-immunes 2 %
Troubles/conditions rénaux 2 %
Migraines chroniques 2 %
Fibromyalgie 2 %
Autre 15 %
Préfère ne pas répondre 2 %

Genre

Âge

Niveau de scolarité et revenu

Région

Populations identifiées comme étant plus susceptibles de présenter un risque plus élevé de développer la démence

Autres segments

B. Connaissances sur la démence

Plus d'un Canadien sur cinq (22 %) estime être bien informé sur la démence, tandis qu'environ la moitié (49 %) dit être moyennement informée et 28 % croient ne pas être informés. Même si les fournisseurs de soins constituaient une plus grande proportion de répondants du sondage sur la démence de 2020, les résultats sont semblables à ceux obtenus en 2020, 25 % d'entre eux croyant être bien informés et 25 % affirmant ne pas l'être du tout[v].

Graphique 3 : Autoévaluation des connaissances sur la démence

Graphique 3 : Autoévaluation des connaissances sur la démence

Q1. À quel point croyez-vous être bien informé(e) sur la démence?
Base : 2022 : Tous les répondants n=2050; 2020 : n=3910 (Ceux âgés de moins de 75 ans)

DESCRIPTION :

Ce graphique, composé de barres simples, montre le pourcentage des résultats pour les réponses de trois énoncés ainsi qu'une colonne pour les résultats de 2020.

On a demandé aux répondants : « À quel point croyez-vous être bien informé(e) sur la démence? »

Les répondants ont sélectionné :

Base : 2022 : Tous les répondants n=2050; 2020 : n=3910 (Ceux âgés de moins de 75 ans)

Genre

Âge

Niveau de scolarité et revenu

Région

Populations identifiées comme étant plus susceptibles de présenter un risque plus élevé de développer la démence

Autres segments

Répercussions perçues de la démence

Près de deux personnes sur cinq (38 %) croient que la démence a des répercussions importantes au Canada en ce moment, tandis que 41 % estiment que son impact est modéré. Environ seulement un Canadien sur sept (13 %) est d'avis que la démence n'a pas d'impact. Comparativement, les résultats sont semblables à ceux obtenus en 2020[vi], en particulier pour les gens qui disent que la démence n'a pas du tout d'impact (14 %) ou a un impact très important (35 % en 2020).

Graphique 4 : Répercussions perçues de la démence

Graphique 4 : Répercussions perçues de la démence

Q2. De façon générale, à quel point croyez-vous que la démence a des répercussions importantes au Canada en ce moment?
Base: 2022 : Tous les répondants n=2050; 2020 : n=3910 (Ceux âgés de moins de 75 ans)

DESCRIPTION :

Ce graphique, composé de barres simples, montre le pourcentage des résultats pour les réponses de trois énoncés ainsi qu'une colonne pour les résultats de 2020.

On a demandé aux répondants : « De façon générale, à quel point croyez-vous que la démence a des répercussions importantes au Canada en ce moment? »

Les répondants ont sélectionné :

Base : 2022 : Tous les répondants n=2050; 2020 : n=3910 (Ceux âgés de moins de 75 ans)

Genre

Âge

Niveau de scolarité et revenu

Région

Populations identifiées comme étant plus susceptibles de présenter un risque plus élevé de développer la démence

Autres segments

Signes et symptômes communs

La plupart des Canadiens nomment correctement des signes et des symptômes communs de la démence, notamment le jugement amoindri (89 %), le rangement inapproprié d'objets (89 %), les changements d'humeur, de comportement ou de personnalité (87 %) et la difficulté à exécuter des tâches quotidiennes (86 %). Certains signes et symptômes identifiés par les Canadiens qui sont moins souvent associés à la démence comprennent l'incontinence urinaire (29 %) et les tremblements (27 %). Même si le sondage de 2020 comptait possiblement une proportion plus élevée de fournisseurs de soins, ces résultats sont semblables à ceux obtenus en 2020.

Tableau 3 : Connaissance des signes et symptômes communs
Comparaison entre les résultats de 2022 et 2020 pour ceux âgés de moins de 75 ans TOTAL 2022 TOTAL 2020
Q4. Selon ce que vous savez, quels sont les signes et symptômes de la démence? n=2050 n=3910
COMMUN    
Perte ou réduction du jugement (reconnaissance du danger, règles de conduite, gestion financière) 89 % 89 %
Égarement de choses 89 % 89 %
Changements d'humeur, de comportement ou de personnalité 87 % 89 %
Difficulté à gérer les tâches quotidiennes 86 % 86 %
Perte de mémoire, distrait, perte de souvenirs (mention générale) (spontané) 9 % 7 %
Généralement confus/désorienté (spontané) 2 % 1 %
Perte de mobilité/condition physique (spontané) 1 % --
MOINS COMMUN    
Incontinence urinaire 29 % 31 %
Tremblements 27 % 28 %
Essoufflement 6 % 7 %
Autre 11 % 1 %
Ne sais pas 1 % 2 %

Genre

Âge

Niveau de scolarité et revenu

Région

Populations identifiées comme étant plus susceptibles de présenter un risque plus élevé de développer la démence

Autres segments

Risques perçus et traitements

Les répondants devaient répondre à une question ouverte sur les facteurs de risque qui augmentent la probabilité de développer la démence en nommant les trois premiers facteurs qui leur venaient à l'esprit. Environ une personne sur quatre ou sur cinq nomme correctement les facteurs de risque du manque d'activité physique (25 %), d'une stimulation cognitive insuffisante (24 %), d'un régime alimentaire malsain (21 %), ainsi que de la solitude ou de l'isolement social (18 %). Toutefois, le facteur de risque le plus souvent mentionné est la génétique (34 %), bien que la recherche suggère qu'il ne s'agit probablement pas d'un facteur important dans la plupart des cas de démence. Parmi les autres facteurs de risque que relèvent les répondants, mentionnons les problèmes liés à la santé mentale ou au stress (10 %), le tabagisme (8 %) et à d'autres problèmes de santé comme le diabète, les maladies du cœur ou les accidents vasculaires cérébraux (8 %), ainsi que le vieillissement (9 %).

Tableau 4 : Connaissance des facteurs de risque
TOTAL
Q2in. Quels sont les trois premiers facteurs de risque qui vous viennent à l'esprit lorsque vous pensez à ce qui augmente la probabilité de développer la démence? (SPONTANÉ) n=2050
Génétiques[vii] 34 %
Manque d'activité physique 25 %
Manque de stimulation cognitive 24 %
Régime alimentaire malsain 21 %
Solitude ou isolement social 18 %
Santé mentale/stress 10 %
Vieillir 9 %
Autres problèmes de santé (par ex. : le diabète, les maladies du cœur ou les accidents vasculaires cérébraux) 8 %
Abus d'alcool 8 %
Traumatisme cérébral 5 %
Usage chronique de drogues 5 %
Style de vie (général) 5 %
Exposition à des produits chimiques dangereux 4 %
Perturbation du sommeil 3 %
Santé générale 3 %
Conditions environnementales 2 %
Tabagisme 2 %
Obésité 1 %
Haute pression artérielle 1 %
Autre 2 %
Ne sais pas/pas de réponse 28 %

Genre

Âge

Niveau de scolarité et revenu

Région

Populations identifiées comme étant plus susceptibles de présenter un risque plus élevé de développer la démence

Autres segments

Efficacité perçue des traitements

Les répondants étaient ensuite invités à indiquer si des énoncés étaient vrais ou faux. Près de six répondants sur dix (58 %) sont d'avis qu'il existe des traitements efficaces qui peuvent généralement retarder l'apparition de symptômes et ralentir la progression de la démence. Cette proportion est à la baisse par rapport aux résultats obtenus en 2020, alors que 67 % indiquaient qu'il existe des traitements efficaces, et une proportion notable de répondants (20 %) affirmaient ne pas savoir[viii].

Graphique 5 : Efficacité perçue des traitements

Graphique 5 : Efficacité perçue des traitements

Q5h. Au meilleur de vos connaissances, veuillez indiquer si vous croyez que l'énoncé suivant est vrai ou faux : Il existe des traitements efficaces qui peuvent retarder le début des symptômes et ralentir la progression de la démence.
Base: 2022 : Tous les répondants n=2050; 2020 : n=3910 (Ceux âgés de moins de 75 ans)

DESCRIPTION :

Ce graphique, composé de barres simples, montre le pourcentage des résultats pour les réponses de trois énoncés ainsi qu'une colonne pour les résultats de 2020.

On a demandé aux répondants : « Au meilleur de vos connaissances, veuillez indiquer si vous croyez que l'énoncé suivant est vrai ou faux : Il existe des traitements efficaces qui peuvent retarder le début des symptômes et ralentir la progression de la démence. »

Les répondants ont sélectionné :

Base : 2022 : Tous les répondants n=2050; 2020 : n=3910 (Ceux âgés de moins de 75 ans)

Genre

Âge

Niveau de scolarité et revenu

Région

Populations identifiées comme étant plus susceptibles de présenter un risque plus élevé de développer la démence

Autres segments

Variabilité perçue des risques

La moitié des Canadiens (50 %) estime à juste raison que le risque de développer la démence est probablement plus élevé chez les gens qui ont un problème de santé chronique, comme l'hypertension, les maladies du cœur et le diabète. Cependant, près d'un répondant sur trois est incertain (32 %). La sensibilisation a possiblement augmenté dans ce domaine depuis 2020, alors que 38 % des répondants avaient mentionné ces facteurs de risque[ix].

Près d'un répondant sur trois (31 %) sait que certains groupes ethniques ou culturels présentent un risque plus élevé de développer la démence (comme le suggèrent les données disponibles), même si la même proportion croit que c'est faux (29 %) et une proportion plus élevée est incertaine (40 %). Sept personnes sur dix (70 %) croient à juste raison que la démence n'est pas une conséquence normale ou inévitable du vieillissement. Les résultats dans ces deux domaines sont semblables à ceux obtenus en 2020, bien qu'un nombre légèrement plus élevé de répondants croie à juste raison que la démence n'est pas une conséquence inévitable du vieillissement en 2020 (76 %).

Graphique 6 : Variabilité perçue des risques

Graphique 6 : Variabilité perçue des risques

Q5deg. Au meilleur de vos connaissances, veuillez indiquer si vous croyez que chacun des énoncés suivants est vrai ou faux.
Base: 2022 : Tous les répondants n=4207; 2020 : n=3910 (Ceux âgés de moins de 75 ans)

DESCRIPTION :

Ce graphique, composé de barres horizontales, montre le pourcentage des résultats de trois énoncés dans trois catégories : ne sais pas, faux, et vrai ainsi qu'une colonne pour les résultats (vrai) de 2020.

On a demandé aux répondants : « Au meilleur de vos connaissances, veuillez indiquer si vous croyez que chacun des énoncés suivants est vrai ou faux. »

Les répondants ont sélectionné :

Base : 2022 : Tous les répondants n=4207; 2020 : n=3910 (Ceux âgés de moins de 75 ans)

Genre

Âge

Niveau de scolarité et revenu

Région

Populations identifiées comme étant plus susceptibles de présenter un risque plus élevé de développer la démence

Autres segments

Degré d'aisance à discuter de démence

Deux Canadiens sur trois (66 %) se sentent très à l'aise d'avoir une discussion avec un fournisseur de soins de santé au sujet de leur risque personnel de développer la démence. En comparaison, 71 % des Canadiens étaient très à l'aise d'avoir une telle discussion avec un fournisseur de soins en 2020.

Plus de quatre personnes sur dix (42 %) affirment qu'elles se sentiraient à l'aise de parler à des amis d'un diagnostic de démence, une diminution par rapport aux 50 % enregistrés en 2020.

Graphique 7 : Degré d'aisance à discuter d'un diagnostic de démence

Graphique 7 : Degré d'aisance à discuter d'un diagnostic de démence

Q16a, e. À quel point seriez-vous l'aise pour faire chacune des choses suivantes...?
Base: 2022 : Tous les répondants n=2050; 2020 : n=3910 (Ceux âgés de moins de 75 ans)

DESCRIPTION :

Ce graphique, composé de barres horizontales, montre le pourcentage des résultats de deux énoncés dans quatre catégories : ne sais pas, pas à l'aise, moyennement à l'aise, et à l'aise ainsi qu'une colonne pour les résultats (à l'aise) de 2020.

On a demandé aux répondants : « À quel point seriez-vous l'aise pour faire chacune des choses suivantes...? »

Les répondants ont sélectionné :

Base : 2022 : Tous les répondants n=2050; 2020 : n=3910 (Ceux âgés de moins de 75 ans)

Genre

Âge

Niveau de scolarité et revenu

Région

Populations identifiées comme étant plus susceptibles de présenter un risque plus élevé de développer la démence

Autres segments

Degré d'aisance à interagir avec des personnes de démence

Près de la moitié des Canadiens (47 %) se sentent à l'aise d'interagir avec une personne atteinte de démence, ce qui est semblable aux résultats de 2020 (51 %)[x]. Une personne sur cinq (20 %) déclare ne pas être à l'aise d'interagir avec une personne atteinte de démence, proportion un peu plus élevée que les 12 % enregistrés en 2020[xi].

Graphique 8 : Degré d'aisance à interagir avec des personnes atteintes de démence

Graphique 8 : Degré d'aisance à interagir avec des personnes atteintes de démence

Q10. À quel point seriez-vous l'aise avec l'énoncé suivant : Interagir avec quelqu'un atteint de démence?
Base: 2022 : Tous les répondants n=2050; 2020 : n=3910 (Ceux âgés de moins de 75 ans)

DESCRIPTION :

Ce graphique, composé de barres simples, montre le pourcentage des résultats pour les réponses de quatre énoncés ainsi qu'une colonne pour les résultats (à l'aise) de 2020.

On a demandé aux répondants : « À quel point seriez-vous l'aise pour faire la chose suivante : Interagir avec quelqu'un atteint de démence? »

Les répondants ont sélectionné :

Base : 2022 : Tous les répondants n=2050; 2020 : n=3910 (Ceux âgés de moins de 75 ans)

Genre

Âge

Niveau de scolarité et revenu

Région

Populations identifiées comme étant plus susceptibles de présenter un risque plus élevé de développer la démence

Autres segments

C. Risque personnel perçu

Préoccupation au sujet du développement de la démence

Un peu plus de la moitié des Canadiens (51 %) affirme craindre d'être un jour atteint de démence. Cette proportion est en harmonie avec les 49 % enregistrés en 2020 malgré une proportion potentiellement plus élevée de fournisseurs de soins dans l'échantillon du sondage de 2020.

Graphique 9 : Préoccupation au sujet du développement de la démence

Graphique 9 : Préoccupation au sujet du développement de la démence

Q7a. À quel point êtes-vous d'accord ou en désaccord avec l'énoncé suivant : La possibilité de développer la démence me préoccupe.
Base: 2022 : Tous les répondants n=2039: 2020 n=3910 (Ceux âgés de moins de 75 ans)

DESCRIPTION :

Ce graphique, composé de barres simples, montre le pourcentage des résultats pour les réponses de trois énoncés ainsi qu'une colonne pour les résultats de 2020.

On a demandé aux répondants : « À quel point êtes-vous d'accord ou en désaccord avec l'énoncé suivant : La possibilité de développer la démence me préoccupe. »

Les répondants ont sélectionné :

Base : 2022 : Tous les répondants n=2050; 2020 : n=3910 (Ceux âgés de moins de 75 ans)

Genre

Âge

Niveau de scolarité et revenu

Région

Populations identifiées comme étant plus susceptibles de présenter un risque plus élevé de développer la démence

Autres segments

Risque personnel perçu

La plupart des Canadiens croient présenter un risque modéré ou faible de développer la démence. De façon spontanée, 15 % des Canadiens considèrent risque personnel qu'ils ont de développer la démence comme élevé. Une personne sur trois (32 %) estime que son risque est faible et 37 % croient présenter un risque modéré.

Graphique 10 : Risque personnel de développer la démence

Graphique 10 : Risque personnel de développer la démence

NEWQ4. Comment évaluez-vous votre risque personnel de développer la démence?
Base: Tous les répondants n=2039

DESCRIPTION :

Ce graphique, composé de barres simples, montre le pourcentage des résultats pour les réponses de quatre énoncés.

On a demandé aux répondants : « Comment évaluez-vous votre risque personnel de développer la démence? »

Les répondants ont sélectionné :

Base : Tous les répondants n=2039

Genre

Âge

Niveau de scolarité et revenu

Région

Populations identifiées comme étant plus susceptibles de présenter un risque plus élevé de développer la démence

Autres segments

Raisons de la perception d'un risque personnel

Parmi les Canadiens qui estiment que leur risque de développer la démence est modéré ou élevé, six sur dix (61 %) disent que c'est parce que des membres de leur famille sont ou ont été atteints de démence, malgré le manque de preuves indiquant que le risque génétique est un facteur déterminant pour la plupart des cas de démence au Canada. Quatre répondants sur dix (41 %) perçoivent leur risque comme élevé parce qu'ils ne font pas assez d'exercice. Environ trois personnes sur dix disent avoir au moins un problème de santé chronique (34 %) ou avoir de la difficulté à maintenir une saine alimentation (28 %). Deux répondants sur dix sont d'avis que la démence est une conséquence inévitable du vieillissement (23 %), affirment se sentir souvent seuls ou isolés dans leur collectivité (21 %) ou croient qu'ils ne stimulent pas assez leur cerveau (19 %). Deux pour cent estiment que leur risque est plus élevé en raison de la consommation d'alcool, de drogues ou de médicaments sur ordonnance. Deux pour cent ont également le sentiment d'avoir un risque modéré ou élevé de développer la démence parce qu'ils sont conscients de leur propre perte de mémoire ou se rendent compte de leur détérioration cognitive.

Tableau 5 : Raisons de la perception d'un risque personnel plus élevé
  TOTAL
Q4b. Pourquoi pensez-vous que votre risque de développer la démence est modéré ou élevé? n=1070
Des membres de ma famille sont ou ont été atteints de démence 61 %
Je ne fais pas autant d'exercice que je devrais 41 %
J'ai au moins un problème de santé 34 %
J'ai de la difficulté à maintenir une saine alimentation 28 %
Je crois que la démence est inévitable à mesure que vous vieillissez 23 %
Je me sens souvent seul(e) et isolé(e) des autres et de ma communauté 21 %
Je n'en fais pas assez pour mettre mon cerveau au défi 19 %
Alcool/abus de drogues/consommation à long terme de médicaments sur ordonnance (spontané) 2 %
Se rend compte de la perte de mémoire/détérioration cognitive (spontané) 2 %
Autre 2%
Ne sais pas 3 %

Genre

Âge

Niveau de scolarité et revenu

Région

Populations identifiées comme étant plus susceptibles de présenter un risque plus élevé de développer la démence

Autres segments

Parmi les Canadiens qui estiment que leur risque de développer la démence est faible, 72 % croient que c'est parce qu'ils stimulent régulièrement leur cerveau. Près de deux personnes sur trois (64 %) disent que c'est parce que personne dans leur famille n'a été atteint de démence. Au moins la moitié des répondants ont l'impression que leur risque est faible parce qu'ils ont de saines habitudes alimentaires (58 %), parce qu'ils accordent la priorité à l'activité physique (53 %) ou parce qu'ils n'ont pas de problème de santé chronique (50 %). Deux Canadiens sur cinq (41 %) croient qu'ils sont à faible risque parce qu'ils sont activement impliqués au sein de leur collectivité et qu'ils socialisent souvent.

Tableau 6 : Raisons de la perception d'un risque personnel inférieur
  TOTAL
Q4c. Pourquoi pensez-vous que votre risque de développer la démence est faible? n=649
Je mets régulièrement mon cerveau au défi 72 %
Personne dans ma famille n'a été atteint de démence 64 %
J'ai de saines habitudes alimentaires 58 %
J'accorde la priorité à l'activité physique 53 %
Je n'ai pas de problèmes de santé chroniques 50 %
Je suis activement impliqué(e) au sein de ma collectivité et je socialise souvent 41 %
Autre 7 %
Ne sais pas 3 %

Genre

Âge

Niveau de scolarité et revenu

Région

Populations identifiées comme étant plus susceptibles de présenter un risque plus élevé de développer la démence

Autres segments

Connaissance de facteurs qui augmentent le risque personnel

Les participants au sondage devaient ensuite choisir les facteurs de risque qui, selon eux, sont les plus susceptibles d'augmenter leur risque de développer la démence. Les facteurs communs les plus souvent choisis par plus de quatre participants sur dix sont le manque d'activité physique (46 %), la solitude ou l'isolement social (42 %), la perturbation du sommeil (41 %) et la dépression (41 %). Environ une personne sur trois mentionne un régime alimentaire malsain (34 %) ou un traumatisme cérébral (33 %). L'abus d'alcool est nommé par 28 % des répondants. Près d'un répondant sur cinq croit que l'hypertension artérielle (21 %) ou l'obésité (21 %) sont susceptibles d'augmenter leur risque. Moins de répondants choisissent la pollution de l'air (17 %), le tabagisme (17 %), le diabète (15 %), le taux élevé de cholestérol (13 %), la perte auditive (12 %) et moins d'années d'éducation classique (8 %).

Une partie des répondants devaient indiquer les trois facteurs de risque qui, selon eux, sont susceptibles d'avoir la plus grande incidence sur leur risque de développer la démence. La solitude ou l'isolement social demeurent un facteur de risque élevé (40 %), tout comme la perturbation du sommeil (34 %), la dépression (34 %) et le manque d'activité physique (33 %).

Tableau 7 : Facteurs qui augmentent le risque personnel
  TOTAL 2022 Le plus grand risque
NEWQ8. En ce qui concerne votre situation actuelle, quels sont les facteurs de risque de démence susceptibles, selon vous, d'augmenter votre risque de développer la démence? n=2039 n=907
Manque d'activité physique 46 % 33 %
Solitude ou isolement social 42 % 40 %
Perturbation du sommeil 41 % 34 %
Dépression 41 % 34 %
Régime alimentaire malsain 34 % 23 %
Traumatisme cérébral 33 % 29 %
Abus d'alcool 28 % 21 %
Haute pression artérielle 21 % 11 %
Obésité 21 % 10 %
Pollution de l'air 17 % 7 %
Tabagisme 17 % 8 %
Diabète 15 % 10 %
Haut cholestérol 13 % 5 %
Perte auditive 12 % 4 %
Moins d'années d'éducation classique 8 % 2 %
Autre 5 % 5 %
Génétiques (spontané) 4 % --
Rien de ce qui précède 1 % --
Ne sais pas/pas de réponse 13 % 3 %

* Comprend l'hypertension artérielle.

Genre

Âge

Niveau de scolarité et revenu

Région

Populations identifiées comme étant plus susceptibles de présenter un risque plus élevé de développer la démence

Autres segments

À la suite de l'affichage ou de la lecture des facteurs de risque, les répondants devaient mentionner les facteurs qu'ils ne connaissaient pas auparavant. Quatre personnes sur dix déclarent qu'elles ne savaient pas que la pollution de l'air (44 %), la perte auditive (43 %) ou moins d'années d'éducation classique (42 %) étaient des facteurs augmentant le risque. Le tiers ne savait pas qu'un taux élevé de cholestérol (34 %) était un facteur de risque. Trois personnes sur dix ignoraient que le diabète (30 %) était un facteur. Environ un répondant sur quatre ignorait que l'hypertension artérielle (28 %), l'obésité (27 %), le tabagisme (24 %) et la perturbation du sommeil étaient des facteurs de risque (22 %). Moins d'une personne sur cinq ignorait que la solitude ou l'isolement social (16 %), la dépression (16 %), un régime alimentaire malsain (15 %), le manque d'activité physique (15 %), l'abus d'alcool (14 %) ou le traumatisme cérébral (8 %) étaient des facteurs de risque. Environ un Canadien sur dix affirme qu'ils ne connaissaient pas l'un ou l'autre de ces facteurs de risque (11 %) ou tous ces facteurs de risque (10 %).

Tableau 8 : Facteurs d'influence moins connus sur le risque
  Ne connaissait pas
Q8b. En ce qui concerne ces facteurs de risque de démence, y en a-t-il que vous ne connaissiez pas avant? n=2039
Pollution de l'air 44 %
Perte auditive 43 %
Moins d'années d'éducation classique 42 %
Haut cholestérol 34 %
Diabète 30 %
Haute pression artérielle 28 %
Obésité 27 %
Tabagisme 24 %
Perturbation du sommeil 22 %
Solitude ou isolement social 16 %
Dépression 16 %
Régime alimentaire malsain 15 %
Manque d'activité physique 15 %
Abus d'alcool 14 %
Traumatisme cérébral 8 %
Je n'étais au courant d'aucun de ces facteurs de risqué 11 %
Je connais tous les facteurs de risque 10 %
Ne sais pas/pas de réponse 10 %

Genre

Âge

Niveau de scolarité et revenu

Région

Populations identifiées comme étant plus susceptibles de présenter un risque plus élevé de développer la démence

Autres segments

Capacité perçue à réduire le risque

Environ un Canadien sur cinq (20 %) croit pouvoir réduire son risque personnel de développer la démence à l'avenir, et près de la moitié (47 %) estime que sa capacité de réduire le risque est modérée. Un répondant sur cinq (21 %) estime que sa capacité à réduire le risque de développer la démence est faible.

Graphique 11 : Capacité perçue à réduire le risque

Graphique 11 : Capacité perçue à réduire le risque

NEWQ5. À quel point pensez-vous être en mesure de réduire votre risque personnel de développer la démence à l'avenir?
Base: Tous les répondants n=2039

DESCRIPTION :

Ce graphique, composé de barres simples, montre le pourcentage des résultats pour les réponses de quatre énoncés.

On a demandé aux répondants : « À quel point pensez-vous être en mesure de réduire votre risque personnel de développer la démence à l'avenir? »

Les répondants ont sélectionné :

Base : Tous les répondants n=2039

Genre

Âge

Niveau de scolarité et revenu

Région

Populations identifiées comme étant plus susceptibles de présenter un risque plus élevé de développer la démence

Autres segments

Mesures de réduction des risques

Lorsqu'interrogés sur l'âge auquel les gens devraient commencer à prendre des mesures pour réduire leur risque de développer la démence, les répondants, dans une proportion de seulement 13 %, disent moins de 35 ans, alors que 25 % disent « à tout âge ». Trois personnes sur dix (31 %) croient que la prise de mesures devrait commencer entre 35 et 54 ans. Moins d'un répondant sur quatre (23 %) pense qu'il faut avoir 55 ans ou plus et presque personne (2 %) ne croit qu'il vaut mieux commencer à 75 ans ou plus tard.

Graphique 12 : Âge pour prendre des mesures préventives

Graphique 12 : Âge pour prendre des mesures préventives

NEWQ6. À quel âge pensez-vous qu'il est important que les gens commencent à prendre des mesures pour réduire leur risque de démence?
Base: Tous les répondants n=2050

DESCRIPTION :

Ce graphique, composé de barres simples, montre le pourcentage des résultats pour les réponses de six énoncés.

On a demandé aux répondants : « À quel âge pensez-vous qu'il est important que les gens commencent à prendre des mesures pour réduire leur risque de démence? »

Les répondants ont sélectionné :

Base : Tous les répondants n=2050

Genre

Âge

Niveau de scolarité et revenu

Région

Populations identifiées comme étant plus susceptibles de présenter un risque plus élevé de développer la démence

Autres segments

Un peu plus d'un répondant sur quatre (27 %) déclare avoir pris intentionnellement des mesures pour réduire son risque de développer la démence, ce qui est en hausse par rapport aux 21 % enregistrés en 2020[xii].

Graphique 13 : Incidence de la prise de mesures préventives

Graphique 13 : Incidence de la prise de mesures préventives

Q8. Au cours des douze derniers mois, avez-vous pris des mesures précises pour réduire le risque que vous courez de développer la démence?
Base: 2022 : Tous les répondants n=2039; 2020 : n=3910 (Ceux âgés de moins de 75 ans)

DESCRIPTION :

Ce graphique, composé de barres simples, montre le pourcentage des résultats pour les réponses de trois énoncés ainsi qu'une colonne pour les résultats de 2020.

On a demandé aux répondants : « Au cours des douze derniers mois, avez-vous pris des mesures précises pour réduire le risque que vous courez de développer la démence? »

Les répondants ont sélectionné :

Base : 2022 : Tous les répondants n=2050; 2020 : n=3910 (Ceux âgés de moins de 75 ans)

Genre

Âge

Niveau de scolarité et revenu

Région

Populations identifiées comme étant plus susceptibles de présenter un risque plus élevé de développer la démence

Autres segments

Type de mesures prises pour réduire le risque

Lorsqu'interrogés sur les mesures qu'ils prennent intentionnellement pour réduire le risque de développer la démence, les répondants disent plus souvent mettre leur cerveau au défi pour qu'il reste actif (74 %), avoir une saine alimentation (68 %) et faire régulièrement des activités physiques (65 %). Environ quatre répondants sur dix disent participer à des activités sociales ou surveiller et gérer leurs problèmes de santé chroniques (41 % et 39 %, respectivement). Une personne sur trois (32 %) déclare avoir réduit ou éliminé sa consommation d'alcool et une personne sur cinq dit limiter son exposition à la pollution de l'air (20 %) ou utiliser du matériel sécuritaire pour protéger son ouïe et son cerveau (19 %). Onze pour cent des répondants affirment avoir réduit ou cesser leur consommation de tabac.

Tableau 9 : Mesures prises pour réduire le risque de développer la démence
  TOTAL
Q8a. Au cours des douze derniers mois, quelles mesures avez-vous prises pour réduire votre risque de développer la démence? n=592
Mettre mon cerveau au défi en le maintenant actif 74 %
Avoir une saine alimentation 68 %
Faire régulièrement des activités physiques 65 %
Participer à des activités sociales 41 %
Surveiller et gérer mes problèmes de santé chroniques 39 %
Réduire ou éliminer ma consommation d'alcool 32 %
Limiter mon exposition à la pollution de l'air 20 %
Utiliser du matériel sécuritaire (p. ex., casque, écouteurs) pour protéger mon ouïe et mon cerveau 19 %
Réduire ou cesser ma consommation de tabac 11 %
Meilleur sommeil, meilleure surveillance du sommeil 2 %
Autre 5 %
Ne sais pas 1 %

Genre

Âge

Niveau de scolarité et revenu

Région

Populations identifiées comme étant plus susceptibles de présenter un risque plus élevé de développer la démence

Autres segments

Intention de continuer à prendre des mesures de réduction du risque

Parmi les 27 % qui prennent intentionnellement des mesures, la grande majorité (83 %) prévoit de continuer à le faire. Onze pour cent disent qu'ils continueront de prendre la plupart des mesures. Très peu disent qu'ils ne vont continuer à prendre que quelques-unes de ces mesures (4 %).

Graphique 14 : Intention concernant la continuité des mesures préventives

Graphique 14 : Intention concernant la continuité des mesures préventives

Q8b. Prévoyez-vous de continuer à prendre ces mesures?
Base: Tous les répondants n=587 (Ceux qui prennent des mesures pour réduire les risques de développer une démence)

DESCRIPTION :

Ce graphique, composé de barres simples, montre le pourcentage des résultats pour les réponses de cinq énoncés.

On a demandé aux répondants : « Prévoyez-vous de continuer à prendre ces mesures? »

Les répondants ont sélectionné :

Base : Tous les répondants n=587 (Ceux qui prennent des mesures pour réduire les risques de développer une démence)

Genre et âge

Niveau de scolarité et revenu

Région

Populations identifiées comme étant plus susceptibles de présenter un risque plus élevé de développer la démence

Raisons de prendre des mesures de réduction du risque

Pour la moitié des répondants, le fait de connaître une personne qui est atteinte ou a été atteinte de démence (50 %) les a incités à prendre des mesures pour réduire leur risque de développer la démence. Des preuves crédibles (28 %) et un changement dans leur propre état de santé qui accroît leur préoccupation (28 %) sont également des facteurs de motivation importants pour prendre des mesures afin de réduire le risque de développer la démence. Parmi les autres sources de motivation figurent les médias traditionnels (15 %) et les conseils d'amis et de membres de la famille (14 %). Treize pour cent des répondants disent être motivés par un mode de vie sain et 11 % disent que leur fournisseur de soins de santé leur a prodigué des conseils à cet égard.

Tableau 10 : Motivation pour prendre des mesures préventives
  TOTAL
NEWQ10b. Qu'est-ce qui vous a motivé à commencer à prendre des mesures pour réduire votre risque de développer la démence? n=592
Je connais ou j'ai connu une personne atteinte de démence 50 %
Preuves crédibles, comme des études scientifiques 28 %
Changement à mon état de santé qui a accru mon inquiétude 28 %
Médias, comme les journaux, la radio ou la télévision 15 %
Conseils de personnes proches de moi, comme des membres de ma famille et des amis 14 %
Motivation personnelle d'adopter un mode de vie sain (spontané) 13 %
Conseils d'un fournisseur de soins de santé 11 %
Publicité, médias sociaux, influenceurs 8 %
Autre 1 %
Ne sais pas 3 %
Préfère ne pas répondre 1 %

Genre

Âge

Niveau de scolarité et revenu

Région

Populations identifiées comme étant plus susceptibles de présenter un risque plus élevé de développer la démence

Autres segments

Obstacles à la prise de mesures de réduction du risque

Six Canadiens sur dix (60 %) âgés de moins de 75 ans affirment qu'ils aimeraient ou devraient en faire plus pour réduire leur risque de développer la démence, alors que 13 % disent qu'ils ne le savent pas. Seul un répondant sur quatre (27 %) dit ne pas se sentir ainsi. Parmi ceux-ci, un sur trois (33 %) dit ne pas en savoir assez sur les mesures qu'il peut prendre, 13 % estiment que cela ne fera pas assez de différence, 12 % pensent ne pas avoir le temps et 11 % ont des problèmes de santé qui les empêchent de prendre des mesures. Moins d'une personne sur dix (ou 2 % globalement) mentionne d'autres obstacles.

Tableau 11 : Perception à l'égard de l'incapacité à prendre des mesures et obstacles
  TOTAL
Q10c. Pensez-vous que vous aimeriez pouvoir ou devez faire plus pour réduire votre risque de développer une démence? n=2039
Oui 60 %
Non 27 %
Ne sais pas/Préfère ne pas répondre 13 %
Q10f. Veuillez indiquer les principales raisons pour lesquelles vous ne prendriez pas de mesures afin de réduire votre risque de développer la démence aussi souvent que vous le souhaitez? n=781
Je n'en sais pas assez sur les mesures que je devrais prendre 33 %
Je fais déjà ce que je peux/mon style de vie est sain (spontané) 14 %
Cela ne fera pas assez de différence 13 %
Manque de temps12 % 12%
Problèmes de santé 11 %
Il n'y a pas assez d'occasions d'activités sociales 8 %
C'est trop dispendieux 6 %
Il est trop tôt pour s'en préoccuper (spontané) 6 %
Je ne pense pas être à haut risque (spontané) 5 %
C'est difficile de prendre des mesures où je vis 5 %
Je pense qu'il est trop tard pour moi pour prendre des mesures 4 %
Je ne fais pas confiance aux données sur le risque de développer la démence 3 %
Il n'y a pas d'informations ou d'activités offertes dans la langue de mon choix 1 %
Autre 2 %
Ne sais pas 16 %
Préfère ne pas répondre 4 %

Genre

Âge

Niveau de scolarité et revenu

Région

Populations identifiées comme étant plus susceptibles de présenter un risque plus élevé de développer la démence

Autres segments

Aides pour éliminer les obstacles à la prise de mesures

Lorsqu'interrogés sur les trois principaux facteurs qui les aideraient à prendre des mesures pour réduire leur risque de développer la démence, les répondants du sondage mentionnent des facteurs de risque clés précédemment cernés. Les mesures les plus fréquemment mentionnées sont faire de l'exercice, être plus actif et faire régulièrement des activités physiques (23 %) et avoir une saine alimentation ou maintenir un poids santé (18 %). Onze pour cent des répondants affirment que socialiser davantage les aiderait et 10 % mentionnent le fait d'en savoir plus sur la façon de prendre des mesures pour réduire Tableau 12 : Atténuation d'obstacles à la préventionleur risque.

Tableau 12 : Atténuation d'obstacles à la prévention
  TOTAL
Q10d. Quels sont les trois principaux éléments qui vous aideraient à prendre des mesures pour réduire votre risque de développer la démence, mais que vous êtes incapable de prendre maintenant ou qui vous semble difficile à prendre? n=1517
Faire de l'exercice, être plus actif, maintenir une activité physique (spontané) 23 %
Manger sainement/régime équilibré, perdre du poids, maintenir son poids (spontané) 18 %
Socialiser plus souvent avec des amis/famille, sortir pour socialiser, se faire des amis (spontané) 11 %
Mieux savoir comment prendre des mesures pour réduire mes risques 10 %
Mieux gérer mon sommeil (spontané) 8 %
Stimulation du cerveau/cognitive, faire travailler le cerveau/garder son cerveau actif (spontané) 7 %
Gérer les problèmes de santé physique/accès aux soins pour gérer la maladie (spontané) 7 %
Avoir plus de temps pour mieux prendre soin de moi (spontané) 4 %
Gérer le niveau de stress, diminuer le stress (spontané) 4 %
Logement abordable, réduction du coût de la vie, revenu de soutien adéquat (spontané) 4 %
Gérer les problèmes de santé mentale/accès aux soins pour gérer les maladies mentales (spontané) 4 %
Réduire/arrêter la consommation d'alcool, réduire/arrêter la consommation de drogues (spontané) 4 %
Accès à un médecin pour un contrôle/évaluation, informations directement du médecin/opinion médicale de soins professionnelle (spontané) 3 %
Les préoccupations environnementales se sont améliorées (changement climatique, pollution, production agricole alimentaire plus saine...) (spontané) 3 %
Ne sais pas 38 %
Préfère ne pas répondre 4 %

Réponses de 3 % ou plus notées

Genre

Âge

Niveau de scolarité et revenu

Régions

Groupes cibles et autres segments

Autres segments

Les deux tiers des Canadiens (69 %) qui déclarent ne pas prendre de mesures visant précisément à réduire leur risque de développer la démence prennent néanmoins souvent des mesures liées à la réduction du risque de développer la démence. Ils prennent plus souvent des mesures, comme mettre leur cerveau au défi pour le garder actif (68 %), avoir une saine alimentation (62 %) et faire de l'activité physique (54 %). Comme dans le cas des 27 % qui déclarent prendre intentionnellement des mesures pour réduire le risque de développer la démence, quatre personnes sur dix qui disent ne pas prendre intentionnellement des mesures pour réduire le risque de démence indiquent être socialement actives, prendre qu'elles étaient en mesure ou surveiller et gérer leurs problèmes de santé chroniques (44 % et 39 %, respectivement). Un répondant sur trois (35 %) affirme utiliser du matériel sécuritaire pour protéger son ouïe ou son cerveau, proportion qui est plus élevée que chez les gens qui disent prendre des mesures (19 %). Aussi, une personne sur trois dit avoir réduit ou éliminé sa consommation d'alcool (34 %). Un répondant sur quatre (24 %) dit limiter son exposition à la pollution de l'air et 12 % affirment avoir réduit ou cessé sa consommation de tabac.

Tableau 13 : Mesures préventives prises involontairement réduisant le risque de démence
  TOTAL
NEWQ10e. Avez-vous pris l'une ou l'autre des mesures suivantes au cours de la dernière année? n=1458
Mettre mon cerveau au défi en le maintenant actif 68 %
Avoir une saine alimentation 62 %
Faire régulièrement des activités physiques 54 %
Participer à des activités sociales 44 %
Surveiller et gérer mes problèmes de santé chroniques 39 %
Utiliser du matériel sécuritaire (p. ex., casque, écouteurs) pour protéger mon ouïe et mon cerveau 35 %
Réduire ou éliminer ma consommation d'alcool 34 %
Limiter mon exposition à la pollution de l'air 24 %
Réduire ou cesser ma consommation de tabac 12 %
Autre 5 %
Ne sais pas 4 %
Préfère ne pas répondre 1 %

Genre

Âge

Niveau de scolarité et revenu

Région

Populations identifiées comme étant plus susceptibles de présenter un risque plus élevé de développer la démence

Autres segments

Sept répondants sur dix (72 %) parmi les 96 % qui prennent involontairement des mesures pour réduire leur risque de développer la démence prévoient de continuer à prendre toutes ces mesures. Dix-sept pour cent prévoient de continuer à prendre la plupart de ces mesures. Une très faible proportion à l'intention de continuer à prendre seulement quelques mesures (6 %), peu de mesures (2 %) ou aucune mesure (1 %).

Graphique 15 : Intention de continuer à prendre involontairement des mesures préventives réduisant le risque de démence

Graphique 15 : Intention de continuer à prendre involontairement des mesures préventives réduisant le risque de démence

Q10ea. Prévoyez-vous de continuer à prendre ces mesures dans lesquelles vous vous êtes engagé?
Base: n=1390 (Ceux qui prennent involontairement des mesures réduisant les risques de développer la démence)

DESCRIPTION :

Ce graphique, composé de barres simples, montre le pourcentage des résultats pour les réponses de six énoncés.

On a demandé aux répondants : « Prévoyez-vous de continuer à prendre ces mesures dans lesquelles vous vous êtes engagé? »

Les répondants ont sélectionné :

Base : Tous les répondants n=1390

Genre

Âge

Région

Niveau de scolarité et revenu

Populations identifiées comme étant plus susceptibles de présenter un risque plus élevé de développer la démence

Autres segments

Influence de la connaissance du risque perçu

Après avoir consulté une liste de facteurs de risque dans le sondage, les participants devaient à nouveau évaluer leur risque de développer la démence. Un moins grand nombre d'entre eux a répondu « ne sais pas » à la fin de l'entrevue (5 % contre 16 % lorsqu'on leur a posé cette même question plus tôt). Une proportion un peu plus élevée (18 % contre 15 % avant le sondage) considère son risque personnel de développer la démence comme élevé après avoir pris en compte les facteurs de risque et les mesures qu'ils prennent. Aussi, il y a aussi une augmentation de la proportion de répondants qui croient avoir un risque faible (36 % contre 32 % avant le sondage) ou modéré (40 % contre 37 %).

Graphique 16 : Influence de la connaissance du risque personnel perçu de développer la démence

Graphique 16 : Influence de la connaissance du risque personnel perçu de développer la démence

Q4. Comment évaluez-vous votre risque personnel de développer la démence?
Base: Tous les répondants n=2039

Q11b. Après avoir entendu/vu la liste des facteurs de risque du présent sondage, comment évaluez-vous maintenant votre risque de développer la démence?
Base: Tous les répondants n=2039

DESCRIPTION :

Ce graphique, composé de barres simples, montre le pourcentage des résultats pour les réponses de quatre énoncés et deux groupes : avant et après.

On a posé deux questions aux répondants : « Comment évaluez-vous votre risque personnel de développer la démence? » et « Après avoir entendu/vu la liste des facteurs de risque du présent sondage, comment évaluez-vous maintenant votre risque de développer la démence? »

Les répondants ont sélectionné :

Base : Tous les répondants n=2039

Genre

Âge

Niveau de scolarité et revenu

Région

Populations identifiées comme étant plus susceptibles de présenter un risque plus élevé de développer la démence

Autres segments

Annexes

A. Détails de la méthodologie

La section du sommaire du présent rapport (section B – Méthodologie) décrit la source du panel Probit utilisé pour l'échantillon. Dans le cadre du sondage, 2 050 Canadiens et Canadiennes âgés de 18 à 74 ans ont répondu au questionnaire, y compris des sur échantillons de Canadiens qui s'identifient comme des Noirs (139), des Asiatiques du sud (135), des personnes 2ELGBTQI+ (370) ainsi que des résidents du Canada atlantique (211) ou des territoires (107).

Comme nous l'avons souligné dans le sommaire, le sondage, d'une durée moyenne de 15 minutes en ligne et de 23 minutes par téléphone, a été mené du 25 février au 12 mars. En tout, 497 répondants ont participé au sondage au téléphone, dont la plupart étaient âgés de moins de 35 ans, habitaient le Canada atlantique ou les Territoires, ou s'identifiaient comme des personnes 2ELGBTQI+, des Noirs ou des Asiatiques du sud. Cet échantillon probabiliste recruté de façon aléatoire présente une marge d'erreur de +/ -2,1 % à un intervalle de confiance de 95 %. La marge d'erreur de chacun des groupes cibles oscille entre 3,5 et 7,0 %. Les résultats sont pondérés en fonction des proportions de populations selon la région, l'âge, le genre et le niveau de scolarité, ainsi qu'en tenant compte des répondants qui s'identifient comme des Noirs, des Asiatiques du sud et des personnes 2ELGBTQI+.

Comme indiqué ci-dessous, le taux de réponse global des 2;050 cas est de 19 %. Il est de 22 % parmi les membres du panel Probit qui ont répondu au sondage en ligne. En tout, 7 288 répondants potentiels ont été échantillonnés pour recevoir une invitation par courriel, dont 20 ont été retournés parce qu'ils n'ont pu être distribués, pour un échantillon valide de 7 268 répondants potentiels. À partir de ces répondants potentiels, 1 553 questionnaires ont été remplis et 4 ont été jugés inadmissibles. La combinaison de ces deux éléments (1 553 plus 4) est divisée par l'échantillon fonctionnel de 7 268 cas pour obtenir un taux de réponse de 21,4 %.

La majorité de l'échantillon a été recueillie par le biais d'un questionnaire en ligne autoadministré, alors que le quart de l'échantillon a été recueilli au téléphone par des enquêteurs bilingues formés. Le taux de réponse est de 13,3 % dans l'ensemble des sondages menés au téléphone, auxquels 497 personnes ont répondu et dont 42 ont été considérés comme hors de portée parmi les 4 046 cas. Veuillez trouver ci-dessous les résultats des sondages téléphoniques.

Résultat En ligne Téléphone Total
Total 7288 4796 12084
Invalides 20 750 770
Échantillon valide 7268 4046 11314
Non-réponse 5443 3067 8510
Refus 51 393 444
Partiellement rempli 217 47 264
Nombre total de non-réponse 5711 3507 9218
Inadmissible/Quota rempli 4 42 46
Sondage terminé 1553 497 2050
Taux de réponse 21.4 % 13.3 % 18.5 %

Le tableau ci-dessous présente la composition démographique des répondants du sondage. Comme pour les résultats du rapport, les résultats du tableau 15 sont pondérés. Les questions utilisées dans la composition de l'échantillon (âge, genre, région, niveau de scolarité, groupes ethniques cibles et personnes 2ELGBTQI+) sont également présentées sans pondération.

Tableau 15 : Tableau démographique
  TOTAL
Âge (non pondéré) n=2050
Moins de 35 ans 24 %
35-44 ans 20 %
45-54 ans 20 %
55-64 ans 20 %
65 ans et plus 18 %
Province/Territoires (non pondéré) n=2050
Colombie-Britannique 11 %
Alberta 10 %
Saskatchewan-Manitoba 6 %
Ontario 34 %
Québec 24 %
Atlantique 10 %
Territoires 5 %
Genre (non pondéré) n=2050
Homme 50 %
Femme 47 %
Non-binaire 2 %
Je préfère m'identifier comme… 1 %
Niveau de scolarité complété (non pondéré) n=2050
Diplôme d'études secondaires/équivalent ou moins 35%
Apprenti inscrit ou autre certificat ou diplôme de formation professionnelle 4 %
Collège, CÉGEP, autre certificat ou diplôme de formation professionnelle, autre certificat ou diplôme non universitaire 30 %
Baccalauréat / Grade universitaire supérieur 49 %
Préfère ne pas répondre 1 %
Revenu total du ménage de l'année dernière, avant les taxes n=2050
Moins de 20 000 $ 7 %
De 20 000 $ à moins de 40 000 $ 11 %
De 40 000 $ à moins de 60 000 $ 10 %
De 60 000 $ à moins de 80 000 $ 12%
De 80 000 $ à moins de 100 000 $ 13  %
De 100 000 $ à moins de 120 000 $ 12 %
De 120 000 $ à moins de 150 000 $ 9 %
150 000 $ et plus 15 %
Préfère ne pas répondre 11 %
Langue parlée à la maison n=2050
Anglais 76 %
Français 16 %
L'anglais autant que le français 3 %
Autre 4 %
Minorités n=2050
Membre d'une autre minorité visible ou communauté racialisée 9 %
Noir 7 %
Autochtone (Premières Nations, métis ou inuit) 5 %
Hispanique 3 %
Aucune de ces réponses 77 %
Ne sais pas 1 %
Préfère ne pas répondre 2 %
Groupes ethniques n=2050
Canadien 71 %
Britannique 20 %
Français 13 %
Autre européen de l'Ouest 9 %
Européen de l'Est 7 %
Asiatique du Sud 6 %
Autochtone 4 %
Scandinave 3 %
Européen du Sud 3 %
Asiatique du Sud-Est 3 %
Africain 2 %
Amérique latine 2 %
Américain (mention générale) 1 %
Arabe 1 %
Autre 6 %
Aucun 1 %
Préfère ne pas répondre 1 %
Orientation sexuelle n=2050
Hétérosexuel(le) 76 %
2ELGBTQI+ 18 %
Préfère ne pas répondre 6 %

En ce qui concerne le biais de non-réponse, une comparaison entre l'échantillon non pondéré avec les statistiques du recensement de 2016 de Statistique Canada pour les répondants âgés de moins de 75 ans démontre qu'il y a une sous-représentation des personnes de moins de 35 ans (24 %, alors que cette proportion est de 31 % au sein de la population). En ce qui concerne le niveau de scolarité, les membres de l'échantillon des sondages sont un peu plus scolarisés que l'ensemble de la population, car 49 % disent avoir un diplôme universitaire alors que cette proportion est de 34 % dans la population.

B. Questionnaire

WINTRO

Merci pour votre participation à ce sondage. If you prefer to answer the survey in English, please click on English. Votre participation est facultative et vos réponses demeureront confidentielles et anonymes. Il faut environ 15 minutes pour répondre au sondage, qui est géré par les Associés de recherche EKOS en conformité avec à la Loi sur la protection des renseignements personnels. Pour consulter notre politique de confidentialité, cliquez ici. Cette recherche est enregistrée auprès du service de vérification des recherches du Conseil de recherche et d'intelligence marketing canadien. Veuillez cliquer ici si vous souhaitez vérifier son authenticité (code du projet 20220222-EK421). Si vous avez besoin d'assistance technique, veuillez communiquer avec nous à online@ekos.com.

PINTRO

Bonjour/Bonsoir, pourrais-je parler à ______? Je m'appelle _____________________ et je représente les Associés de recherche EKOS, une entreprise de recherche sur l'opinion publique. Nous réalisons une étude pour le compte du gouvernement du Canada sur des questions relatives à la sensibilisation à la démence et aux connaissances sur la démence, y compris la réduction du risque de développer la démence. Je tiens à vous assurer que nous ne vendons ni ne sollicitons quoi que ce soit. Préférez-vous répondre aux questions du sondage en français ou en anglais?/Would you prefer to be interviewed in English or French? Vous êtes libre de participer ou non et toutes vos réponses demeureront confidentielles et anonymes. L'étude dure environ 15 minutes. Ce sondage est mené par les Associés de recherche Ekos et est géré en conformité avec les exigences de la Loi sur la protection des renseignements personnels. Les résultats ne seront pas communiqués de façon individuelle, mais pour des groupes de 20 personnes ou plus afin de protéger la confidentialité. Cette recherche est enregistrée auprès du service de vérification des recherches du Conseil de recherche et d'intelligence marketing canadien (SI ON DEMANDE : Visitez https://canadianresearchinsightscouncil.ca/rvs/home/?lang=fr si vous souhaitez vérifier son authenticité (code de projet 20220222-EK421)). Pouvons-nous commencer le sondage?

Continuer   1

Refus (REMERCIER ET METTRE FIN)   9

PRIV

Cet appel peut être enregistré pour contrôle de la qualité ou formation.

QAGEX

Quelle est votre année de naissance?

QAGEXSKIP

 Calculation

QAGEA

Avez-vous au moins 18 ans?

QAGEY

Pouvons-nous classer votre âge dans l'une des catégories d'âge générales suivantes?

QGENDR

Quel est votre genre?

Q1

À quel point croyez-vous être bien informé(e) sur la démence?

Q4 [1,10]

Selon ce que vous savez, quels sont les signes et symptômes de la démence?

<[TÉLÉPHONE](Enquêteur : Veuillez lire chaque élément de la liste et choisir toute réponse pertinente.)>

Q2

De façon générale, à quel point croyez-vous que la démence a des répercussions importantes au Canada en ce moment?

Q5H

Au meilleur de vos connaissances, veuillez indiquer si vous croyez que l'énoncé suivant est vrai ou faux : Il existe des traitements efficaces qui peuvent retarder le début des symptômes et ralentir la progression de la démence

Q11 [1,11]

S'il y a lieu, qui connaissez-vous ou avez-vous connu qui est atteint ou était atteint de démence?

<[TÉLÉPHONE](Enquêteur : Veuillez lire la liste et demander au répondant de vous arrêter quand on arrive à la réponse.)>

QCARE

Offrez-vous des soins ou du soutien à un membre de la famille ou à un ami atteinte de démence <Hyperonyme utilisé pour décrire un ensemble de symptômes affectant des fonctions cérébrales, causés par une blessure ou une maladie neurodégénérative et vasculaire. Cela se caractérise par un déclin des capacités cognitives, comme la mémoire, le langage, le jugement, l'humeur et le comportement. En tant que problème de santé chronique et progressif, la démence peut grandement nuire à la capacité de réaliser des activités de la vie de tous les jours, comme manger, prendre un bain, faire sa toilette et se vêtir. La maladie d'Alzheimer et la maladie vasculaire sont les deux types de démence les plus fréquents.>?

NEWQ6

À quel âge pensez-vous qu'il est important que les gens commencent à prendre des mesures pour réduire leur risque de démence?

<[TÉLÉPHONE](Enquêteur : Lisez la liste - Acceptez une seule réponse.)>

Q7A

À quel point êtes-vous d'accord ou en désaccord avec l'énoncé suivant : La possibilité de développer la démence me préoccupe.

<[TÉLÉPHONE](Enquêteur : Lisez l'échelle.)>

NEWQ4

Comment évaluez-vous votre risque personnel de développer la démence?

<[TÉLÉPHONE](Enquêteur : Lisez l'échelle.)>

NEWQ4B [1,10]

Pourquoi pensez-vous que votre risque de développer la démence est modéré ou élevé?

<[TÉLÉPHONE](Enquêteur : Veuillez lire chaque élément de la liste et choisir toute réponse pertinente.)>

NEWQ4C [1,9]

Pourquoi pensez-vous que votre risque de développer la démence est faible?

<[TÉLÉPHONE](Enquêteur : Veuillez lire chaque élément de la liste et choisir toute réponse pertinente.)>

NEWQ5

À quel point pensez-vous être en mesure de réduire votre risque personnel de développer la démence à l'avenir?

<[TÉLÉPHONE](Enquêteur : Lisez l'échelle.)>

Q2IN [0,20]

Quels sont les trois premiers facteurs de risque qui vous viennent à l'esprit lorsque vous pensez à ce qui augmente la probabilité de développer la démence?

<[TÉLÉPHONE](Enquêteur : Acceptez jusqu'à trois réponses.)>

Q5D

Au meilleur de vos connaissances, veuillez indiquer si vous croyez que chacun des énoncés suivants est vrai ou faux :

Certains groupes ethniques ou culturels présentent un risque plus élevé de développer la démence

Q5E

Au meilleur de vos connaissances, veuillez indiquer si vous croyez que chacun des énoncés suivants est vrai ou faux :

Le risque de développer la démence est plus élevé chez les gens qui ont des problèmes de santé chroniques, comme l'hypertension, une maladie cardiaque ou le diabète

Q5G

Au meilleur de vos connaissances, veuillez indiquer si vous croyez que chacun des énoncés suivants est vrai ou faux :

La démence est une conséquence inévitable (c.-à-d., normale) du vieillissement

NEWQ8 [1,15]

En ce qui concerne votre situation actuelle, quels sont les facteurs de risque de démence susceptibles, selon vous, d'augmenter votre risque de développer la démence?

<[TÉLÉPHONE](Enquêteur : Lire la liste - Choisissez toutes les réponses pertinentes.)[AUTRE]Choisissez toutes les réponses pertinentes.>

NEWQ8A [1,3]

Veuillez sélectionner un maximum de trois facteurs de risque susceptibles d'avoir la plus grande incidence sur votre risque de développer la démence.

<[TÉLÉPHONE](Enquêteur : Lire la liste - Acceptez jusqu'à trois réponses.)[AUTRE]Sélectionnez jusqu'à trois réponses.>

NEWQ8B [1,15]

En ce qui concerne ces facteurs de risque de démence, y en a-t-il que vous ne connaissiez pas avant?

<[TÉLÉPHONE](Enquêteur : Lire la liste - demandez au répondant de vous arrêter pour tout ce qui s'applique.)[AUTRE]Choisissez toutes les réponses pertinentes.>

Q8

Au cours des douze derniers mois, avez-vous pris des mesures précises pour réduire le risque que vous courez de développer la démence?

NEWQ10B [1,10]

Qu'est-ce qui vous a motivé à commencer à prendre des mesures pour réduire votre risque de développer la démence?

<[TÉLÉPHONE](Enquêteur : Veuillez lire chaque élément de la liste et choisir toute réponse pertinente.)>

Q8A [1,12]

Au cours des douze derniers mois, quelles mesures avez-vous prises pour réduire votre risque de développer la démence?

Q8B

Prévoyez-vous de continuer à prendre ces mesures?

<[TÉLÉPHONE](Enquêteur : Lire la liste.)>

NEWQ10C

Pensez-vous que vous aimeriez pouvoir ou devez faire plus pour réduire votre risque de développer une démence?

NEWQ10F [1,13]

Veuillez indiquer les principales raisons pour lesquelles vous ne prendriez pas de mesures afin de réduire votre risque de développer la démence aussi souvent que vous le souhaitez?

<[TÉLÉPHONE](Enquêteur : Lire la liste - Choisissez toutes les réponses pertinentes.)[AUTRE]Choisissez toutes les réponses pertinentes.>

NEWQ10D [0,3]

Quels sont les trois principaux éléments qui vous aideraient à prendre des mesures pour réduire votre risque de développer la démence, mais que vous êtes incapable de prendre maintenant ou qui vous semble difficile à prendre?

<[TÉLÉPHONE](Enquêteur : Acceptez jusqu'à trois réponses.)>

NEWQ10E [1,12]

Avez-vous pris l'une ou l'autre des mesures suivantes au cours de la dernière année?

<[TÉLÉPHONE](Enquêteur : Lisez la liste - Choisissez toutes les réponses pertinentes.)[AUTRE]Veuillez lire chaque élément de la liste et choisir toute réponse pertinente.>

NEWQ10EA

Prévoyez-vous de continuer à prendre ces mesures dans lesquelles vous vous êtes engagé?

<TÉLÉ[PHONE](Enquêteur : Lire la liste.)>

Q16A

À quel point seriez-vous l'aise pour faire chacune des choses suivantes…?

Avoir une discussion avec un fournisseur de soins de santé sur les risques que vous courez de développer la démence

Q16E

À quel point seriez-vous l'aise pour faire chacune des choses suivantes…?

Parler à un(e) ami(e) d'un diagnostic de démence

Q10

À quel point seriez-vous l'aise pour faire chacune des choses suivantes…?

Interagir avec une personne atteinte de démence

NEWQ9

À quelle fréquence participez-vous à des activités communautaires, en ligne ou en personne, comme le bénévolat, la socialisation et l'organisation ou la participation à des activités communautaires?

<[TÉLÉPHONE](Enquêteur : Lire la liste.)>

NEWQ11B

Après avoir entendu/vu la liste des facteurs de risque du présent sondage, comment évaluez-vous maintenant votre risque de développer la démence?

<[TÉLÉPHONE](Enquêteur : Lisez l'échelle.)>

NEWQ21

Avez-vous reçu un diagnostic de maladie chronique?

NEWQ21B [1,16]

Parmi les problèmes de santé chroniques suivants, pour lesquels avez-vous reçu un diagnostic?

<[TÉLÉPHONE(Enquêteur : Ne lisez pas la liste, mais donnez des pistes de réponse au besoin.)>

NEWQ21G [0,2]

Combien de temps par semaine consacrez-vous à une activité physique (par exemple, marcher ou faire du vélo, faire du sport ou des activités physiques, porter de lourdes charges ou effectuer des tâches ménagères qui nécessitent un effort physique)? Veuillez inclure uniquement les activités qui durent au moins 10 minutes consécutives.

QEDUC

Quel est le niveau de scolarité le plus élevé que vous avez atteint?

QINC

Quel est le revenu annuel de votre ménage de toutes sources avant impôts?

<[TÉLÉPHONE](Enquêteur : Lire la liste.)>

QLANG

Quelle langue parlez-vous le plus souvent à la maison?

QMINOR [1,6]

Vous considérez-vous comme l'un des suivants?

<[PHONE](Enquêteur : Lire la liste - Choisissez toutes les réponses pertinentes.)[AUTRE]Choisissez toutes les réponses pertinentes.>

QETHN [1,16]

A quel(s) groupe(s) ethnique(s) ou culturel(s) considérez-vous appartenir?

<[PHONE](Enquêteur : Ne lisez pas la liste, mais donnez des pistes de réponse au besoin. Choisissez toutes les réponses pertinentes.)[AUTRE](Choisissez toutes les réponses pertinentes.)>

Q25

Êtes-vous un(e) membre des Premières nations, un(e) Métis(se) ou un(e) Inuit(e)?

Q26

Habitez-vous dans une communauté autochtone ou de Premières nations pendant au moins six mois de l'année?

Q27

Quelle est votre orientation sexuelle?

QPOST

Quels sont les trois premiers caractères de votre code postal?

QPROV

Dans quelle province ou quel territoire demeurez-vous?

THNK

Merci beaucoup d'avoir pris le temps de répondre à ce sondage.

THNK2

<[QAGEXSKIP = 1 or QAGEA = 2,99 or QAGEY = 1,8,99]Merci pour votre intérêt à participer au sondage, malheureusement vous ne correspondez pas aux critères d'admissibilité de l'étude.[AUTRE]Nous espérons travailler de nouveau avec vous dans le cadre de la prochaine étude.>