Préparé à l'intention du ministère de la Sécurité publique et de la Protection civile Canada
Nom de la firme de recherche : Les Associés de recherche Ekos inc.
Numéro de contrat : 0D160-204960/001/CY
Valeur du contrat : 76 188,60 $
Date d'attribution des services : 7 janvier 2020
Date de livraison des services : 24 février 2020
Numéro d'enregistrement : POR 062-19
Pour obtenir de plus amples renseignements sur ce rapport, veuillez communiquer avec
ps.communications-communications.sp@canada.ca
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Recherche sur l'opinion publique au sujet de la conduite avec les facultés affaiblies par la drogue
Rapport sur les résultats du sondage
Préparé pour le ministère de la Sécurité publique et de la Protection civile Canada
Nom du fournisseur : Les Associés de recherche Ekos inc.
Date : Mars 2020
Cette recherche sur l'opinion publique présente les résultats d'un sondage en ligne mené par Les Associés de recherche Ekos inc. pour le compte du ministère de la Sécurité publique et de la Protection civile Canada. Cette étude a été menée auprès de 2?000 Canadiens en janvier et février 2020.
This publication is also available in English under the title: Public Opinion Research on Drug Impaired Driving
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Direction générale des Communications
Services publics et Approvisionnement Canada
Portage III Tour A
16A1-11 rue Laurier
Gatineau QC K1A 0S5
Numéro de catalogue :
PS4-264/2020F-PDF
Numéro international normalisé du livre (ISBN) :
978-0-660-35224-4
Publications connexes (numéro d'enregistrement : POR 062-19) :
Numéro de catalogue PS4-264/2020E-PDF (rapport final, anglais)
ISBN 978-0-660-35223-7
© Sa Majesté la reine du chef du Canada, représentée par la ministre des Travaux publics et des Services gouvernementaux, 2020
La sécurité des Canadiens est une priorité pour le gouvernement du Canada. La conduite avec facultés affaiblies par la drogue est un facteur important des accidents mortels sur la route. Les jeunes continuent d'être le groupe de conducteurs qui perd le plus souvent la vie dans des accidents et qui obtient le plus souvent un résultat positif lors de tests de dépistage de drogues. Pour remédier à cette situation, Sécurité publique Canada a mis sur pied une campagne de marketing et de publicité multimédia à l'échelle nationale en 2017 afin d'informer les Canadiens, en particulier les jeunes âgés de 16 à 24 ans, des dangers et des risques associés à la conduite avec les facultés affaiblies par la drogue. La campagne comprend des partenariats avec des intervenants clés (MADD, CAA, ACCP et Jeunes Conducteurs du Canada), des communications et des activités de sensibilisation du public, ainsi que des publicités payées.
La finalité de la recherche est d'examiner les connaissances, les attitudes et les comportements actuels liés aux dangers et aux risques de la conduite avec facultés affaiblies par la drogue, ainsi que les incidences juridiques, puis de les comparer aux résultats du sondage initial de 2017. L'accent est mis principalement sur les jeunes et les parents de jeunes, car les jeunes constituent le public cible de la campagne. Plus précisément, les mesures de la recherche sont les suivantes :
Les résultats permettront d'orienter les futures activités de communication et mettront en évidence les changements qui se sont produits au sein du groupe cible et du grand public canadien depuis le début de la campagne de 2017.
Le sondage a mené à l'achèvement de 2?024 questionnaires, dont 401 auprès de jeunes âgés de 16 à 24 ans et 404 auprès de parents de jeunes âgés de 16 à 24 ans. Cet échantillon probabiliste, dont les participants ont été recrutés de façon aléatoire, présente une marge d'erreur de +/- 2,18 pour cent. La marge d'erreur associée à chacun des groupes cibles est de +/- 4,8 pour cent. La source de l'échantillon est le panel interne Probit, qui se compose de Canadiens et Canadiennes recrutés au hasard. Dix pour cent des réponses de l'échantillon ont été recueillis avec des téléphones cellulaires seulement. Quinze pour cent des réponses de l'échantillon ont été recueillis par des enquêteurs bilingues formés. La majorité des résultats a été obtenue par le biais d'un questionnaire en ligne autoadministré. L'annexe A présente d'autres détails sur la méthodologie de l'enquête.
La grande majorité des Canadiens (84 p. cent) connaissent une personne qui a consommé du cannabis et trois Canadiens sur cinq (60 p. cent) ont consommé du cannabis à un moment ou un autre de leur vie (les deux indicateurs présentent une légère augmentation par rapport aux résultats de 81 et 56 p. cent respectivement de 2017). Parmi les répondants qui disent avoir déjà consommé du cannabis, près de trois personnes sur cinq (58 p. cent, une hausse notable par rapport aux 39 p. cent de 2017) affirment être de récents consommateurs de cannabis et en avoir consommé au cours des douze derniers mois.
À l'instar des résultats de 2017, plus du quart (26 p. cent) des utilisateurs de cannabis déclare avoir conduit un véhicule avec les facultés affaiblies. De plus, près d'un Canadien sur trois dit avoir déjà monté à bord d'un véhicule dont le conducteur était sous l'effet du cannabis.
Plus d'un parent sur trois (38 p. cent) d'enfants âgés de 16 à 24 ans déclare que son enfant a consommé du cannabis. La plupart des parents (81 p. cent) affirment que leur enfant âgé de 16 à 24 ans n'a pas conduit un véhicule avec les facultés affaiblies par le cannabis. Près de six personnes sur dix, soit 58 pour cent, croient que leur enfant âgé de 16 à 24 ans n'a pas accepté de monter à bord d'un véhicule dont le conducteur était sous l'effet du cannabis, mais 33 pour cent en sont incertains. Huit parents sur dix disent avoir eu des discussions sur la conduite avec facultés affaiblies par le cannabis avec leur enfant âgé de 16 à 24 ans, mais seulement 32 pour cent des jeunes âgés de 16 à 24 ans déclarent en avoir fait autant.
La plupart des Canadiens perçoivent les conséquences néfastes des facultés affaiblies sur la conduite et comprennent de plus en plus que le cannabis nuit à la capacité de conduite. Près de neuf personnes sur dix (86 p. cent, une hausse par rapport aux 81 p. cent de 2017) sont d'accord pour dire que la consommation de cannabis nuit à la capacité de conduite. Quatre répondants sur cinq affirment que le cannabis nuit à la vitesse de réaction et à la concentration, et deux personnes sur trois (66 p. cent) estiment que le cannabis fait du consommateur un moins bon conducteur. L'alcool demeure une plus grande source d'inquiétude, 94 pour cent des répondants convenant que l'alcool nuit à la conduite. Près d'une personne sur quatre (23 p. cent) continue de croire qu'il est moins dangereux de conduire sous l'effet du cannabis que sous l'effet de l'alcool.
La moitié des Canadiens (49 p. cent) est d'avis que le taux de conduite sous l'effet du cannabis a augmenté depuis la légalisation, et la plupart sont préoccupés (46 p. cent) ou moyennement préoccupés (29 p. cent) par les autres personnes qui conduisent sous l'effet du cannabis. Les plus grandes préoccupations concernant la conduite sous l'effet du cannabis comprennent le fait de blesser quelqu'un (70 p. cent), d'avoir un accident en général (46 p. cent) ou d'avoir un casier judiciaire permanent (38 p. cent, une hausse par rapport aux 29 p. cent de 2017).
Plus de huit Canadiens sur dix (83 p. cent) croient qu'il n'est pas acceptable que les gens qu'ils connaissent conduisent lorsqu'ils sont sous l'effet du cannabis, alors que seulement six pour cent affirment que c'est acceptable. D'autre part, les Canadiens sont divisés quant à l'acceptabilité sociale de la conduite avec les facultés affaiblies par l'alcool, 42 pour cent affirmant qu'il est socialement plus acceptable de conduire sous l'effet du cannabis que sous l'effet de l'alcool. Dix pour cent disent ne pas savoir.
Dans la même mesure qu'en 2017, plus de la moitié des répondants indique que les gens sont rarement conscients du fait qu'ils conduisent avec les facultés affaiblies, même si 14 pour cent affirment que cela est courant. Plus d'une personne sur trois (37 p. cent) déclare qu'elle serait à l'aise de signaler à la police que quelqu'un conduit avec des facultés affaiblies à la suite de la consommation de cannabis.
L'incidence des démarches de recherche d'information au sujet des effets des drogues sur la capacité de conduite est relativement modeste. En effet, seuls trois répondants sur dix indiquent qu'ils ont déjà recherché de tels renseignements. Par une marge confortable, les professionnels de la santé, choisis par plus de la moitié des répondants (58 p. cent), constituent la source d'information qui inspire le plus confiance aux gens pour obtenir des renseignements au sujet des effets du cannabis sur les facultés de conduite, suivi par le service de police (30 p. cent).
Deux Canadiens sur trois souhaitent en apprendre davantage au sujet des effets du cannabis sur la capacité de conduite, suivi par la période d'attente requise pour pouvoir conduire en toute sécurité après avoir consommé de la drogue. Les Canadiens souhaitent également en apprendre sur les effets des différentes formes de consommation de cannabis (54 p. cent; cette question n'était pas posée en 2017). Moins de la moitié des répondants (44 p. cent) aimeraient aussi obtenir de plus amples renseignements sur la façon dont les policiers font des tests de dépistage de drogues ou sur les lois et sanctions liées à la conduite avec les facultés affaiblies (44 p. cent). Le tiers des répondants souhaitent apprendre leurs droits en tant que conducteur s'ils se font appréhender.
Neuf Canadiens sur dix (91 p. cent) reconnaissent qu'il est illégal de conduire un véhicule avec les facultés affaiblies, contre 83 pour cent en 2017. Quatre pour cent continuent de croire que cela est légal, mais moins de Canadiens sont incertains (5 p. cent) qu'en 2017 (11 p. cent).
Certains Canadiens sont incertains du temps qu'il faut attendre pour prendre le volant après avoir consommé du cannabis. En fait, le tiers des répondants dit ne pas savoir (34 p. cent, une baisse par rapport aux 43 p. cent de 2017). En tout, 44 pour cent des personnes interrogées croient qu'il faut attendre trois heures ou plus (jusqu'à une nuit complète de sommeil), une hausse comparativement aux 31 pour cent de 2017. Néanmoins, la même proportion qu'en 2017 croit toujours qu'il faut moins de trois heures (14 p. cent; 15 p. cent en 2017).
De plus en plus de Canadiens savent que la police est capable de dépister si les conducteurs qu'elle appréhende sur la route ont les facultés affaiblies par le cannabis, près de deux personnes sur trois (63 p. cent) ayant cette croyance, une augmentation par rapport aux 45 pour cent de 2017.
La connaissance des sanctions pénales est modérée, plus d'un Canadien sur quatre (27 p. cent) affirmant savoir que la conduite avec facultés affaiblies par le cannabis peut entraîner une amende, une perte de permis du permis de conduire, ou emprisonnement et un casier judiciaire. Trente-deux pour cent des répondants affirment connaître ces sanctions dans une certaine mesure, quoique 40 p. cent déclarent posséder des connaissances insuffisantes à cet égard. Un Canadien sur cinq (19 p. cent) estime être au courant des lois générales entourant le cannabis et connaître les conséquences juridiques de la violation de ces lois, alors que 36 pour cent d'entre eux déclarent être plus ou moins au courant.
Deux Canadiens sur trois (65 p. cent) croient que les facultés affaiblies par le cannabis et l'alcool sont passibles des mêmes sanctions, tandis que cette proportion était d'à peine la moitié des répondants (47 p. cent) en 2017. Le quart des gens dit ne pas savoir.
Moins de la moitié des Canadiens (43 p. cent) croit que les sanctions sont assez sévères pour empêcher les gens de conduire sous l'effet du cannabis, bien que cette proportion soit plus élevée chez les jeunes âgés de 16 à 24 ans (55 p. cent).
Les résultats détaillés de l'étude sont présentés dans les sections ci-dessous. Les résultats globaux sont présentés dans la section principale du rapport et sont normalement appuyés par un graphique ou une présentation tabulaire. Des textes à puces sont également utilisés pour mettre en évidence des différences statistiques importantes entre des sous-groupes de répondants. Si aucune différence n'est soulignée dans le rapport, cela signifie que la différence n'est pas statistiquement significative[1] par rapport aux résultats globaux ou encore que cette différence est considérée comme beaucoup trop faible pour être digne de mention. L'instrument de sondage programmé se trouve à l'annexe A.
Il convient de souligner que le sondage aborde de nombreuses questions au sujet de comportements qui sont susceptibles de susciter des pressions de désirabilité sociale chez les répondants, lesquels peuvent tendre à sous-déclarer leur consommation de cannabis et les comportements de conduite avec les facultés affaiblies, tant chez eux-mêmes que chez leurs adolescents ou jeunes adultes[2]. Le principal objectif du sondage est de fournir un point de comparaison permettant de mesurer les futurs changements dans les efforts de sensibilisation, les connaissances, les attitudes, les croyances et les comportements.
Les résultats de la tranche des répondants de l'échantillon qui ont répondu « je ne sais pas » ou qui n'ont pas fourni une réponse ne sont pas indiqués dans la représentation graphique des résultats, particulièrement lorsqu'ils ne sont pas appréciables (p. ex., dix pour cent ou plus). Aussi, il est possible que les résultats ne donnent pas 100 pour cent en raison des arrondissements.
La valeur du contrat du projet de sondage d'opinion publique est de 76?188,60 dollars (TVH incluse).
Nom du fournisseur : Les Associés de recherche Ekos
No de contrat avec TPSGC : 0D160-204960/001/CY
Date du contrat : 7 janvier 2020
Pour obtenir de plus amples renseignements sur cette étude, veuillez envoyer un courriel à
ps.communications-communications.sp@canada.ca
La présente certification s'appliquera au rapport définitif envoyé au chargé de projet.
À titre de cadre supérieur des Associés de recherche Ekos Inc., j'atteste par la présente que les documents remis sont entièrement conformes aux exigences de neutralité politique du gouvernement du Canada exposées dans la Politique de communication du gouvernement du Canada et dans la Procédure de planification et d'attribution de marchés de services de recherche sur l'opinion publique.
En particulier, les documents remis ne contiennent pas de renseignements sur les intentions de vote électoral, les préférences quant aux partis politiques, les positions des partis ou l'évaluation de la performance d'un parti politique ou de ses dirigeants.
Signé par :
Susan Galley (Vice-présidente)
Une forte majorité de Canadiens connaissent une personne qui a consommé du cannabis, ce qui est en harmonie avec les résultats de 2017. Plus de huit personnes sur dix (84 p. cent; 81 p. cent en 2017) déclarent que quelqu'un de leur entourage a consommé du cannabis à un moment ou un autre de sa vie. Seuls 11 pour cent des personnes interrogées ne croient pas connaître un consommateur de cannabis et cinq pour cent sont incertains.
Q11 : La section suivante traite de l'utilisation du cannabis. L'utilisation fait allusion au fait de fumer, inhaler, ingérer ou appliquer des produits contenant du cannabis, également appelé marijuana, mari ou pot.
« Selon ce que vous savez, est-ce que des gens de votre entourage (p. ex., amis ou famille) ont déjà utilisé du cannabis? »
Base: n=2024
2020 2017
Total: 2024 2132
Oui 84% 81%
Non 11% 12%
Ne sait pas 5% 6%
Lorsqu'interrogés sur leur consommation personnelle, trois Canadiens sur cinq (60 p. cent) déclarent avoir consommé du cannabis à un moment ou un autre de leur vie, une légère hausse par rapport aux 56 pour cent de 2017.
Q12 : « Avez-vous déjà utilisé du cannabis? »
Base : n=2024
2020 2017
Total: 2024 2132
Oui 60% 56%
Non 39% 42%
Ne sait pas 1% 2%
Parmi les personnes qui déclarent consommer du cannabis, 58 pour cent indiquent en avoir consommé au cours des douze derniers mois, ce qui représente une augmentation considérable par rapport aux 39 pour cent de 2017. En croisant les résultats globaux de la consommation récente, les résultats indiquent que 35 pour cent des Canadiens ont consommé du cannabis au cours des douze derniers mois, une hausse par rapport aux 13 pour cent enregistrés en 2017. Toutefois, il est intéressant de noter que la hausse est attribuable en grande partie à d'anciens consommateurs de cannabis qui sont devenus des consommateurs récents (douze derniers mois) puisqu'il n'y a pas une hausse considérable chez ceux qui l'avaient déjà essayé, même si cette proportion est passée de 56 à 60 pour cent.
Q13 : « Avez-vous utilisé du cannabis au cours des douze derniers mois? »
Base : n=1208 (Déjà consommé du cannabis)
2020 2017
Total: (Déjà consommé du cannabis) 1208 1205
Oui 58% 39%
Non 41% 61%
Dans une nouvelle question de la version 2020 du sondage, le tiers (31 p. cent) des Canadiens qui ont consommé du cannabis au cours des douze derniers mois déclare qu'ils se procurent généralement du cannabis dans un magasin légal. Moins d'une personne sur cinq affirme en acheter à partir d'une source légale en ligne (17 p. cent) ou par le biais d'un ami (15 p. cent). Moins d'une personne sur dix obtient du cannabis lors d'activités avec des amis (8 p. cent), par le biais d'un vendeur (6 p. cent), à partir de ses propres plants (6 p. cent), ou encore par l'entremise de membres de sa famille (5 p. cent) ou d'une connaissance (3 p. cent). Seuls trois pour cent des répondants disent obtenir du cannabis dans un magasin illégal ou sur un site Web illégal.
Q13b : « Vous avez indiqué plus tôt que vous avez consommé du cannabis au cours des 12 derniers mois. De qui avez-vous habituellement acheté ou reçu le cannabis »
Base : n= 685
2020
Total: 685
Magasin légal 31%
Source légale en ligne 17%
Ami(e) 15%
Partagé dans un groupe d'amis 8%
Vendeur 6%
Cultivé mon propre cannabis 6%
Membre de ma famille 5%
Magasin illégal 3%
Source illégale en ligne 3%
Connaissance 3%
Autre 3%
Seules les réponses de 2% et plus sont montrées.
Selon 38 pour cent des répondants, l'aspect le plus susceptible d'influencer leur décision quant à l'endroit où ils se procurent du cannabis est la qualité ainsi que la sécurité du produit. Moins d'une personne sur cinq (15 p. cent) déclare que le prix est un facteur clé et une proportion semblable (13 p. cent) base sa décision sur la légalité de la source. Environ une personne sur dix est motivée par la commodité (9 p. cent) et la disponibilité de produits en particulier, comme des produits comestibles (7 p. cent).
Q13c : « Quel facteur vous influence le plus concernant la façon dont vous obtenez votre cannabis »
Base : n=685
2020
Total: 685
Sécurité/qualité de l'approvisionnement 38%
Prix 15%
Possibilité d'acheter auprès d'une source légale 13%
Commodité 9%
Disponibilité d'un type de produit précis 7%
Accès à une variété particulière 4%
Usage ponctuel/avec des amis 3%
Proximité du magasin 2%
Anonymat, la confidentialité 2%
Autre raison 2%
NSP/PDR 5%
Les personnes indiquant avoir déjà consommé du cannabis (à n'importe quel moment de leur vie) devaient indiquer si elles avaient déjà conduit un véhicule sous l'effet de cette drogue. En harmonie avec les résultats de 2017, 26 pour cent des répondants affirment avoir conduit un véhicule sous l'effet du cannabis.
Q16 : « Avez-vous déjà conduit un véhicule lorsque vous étiez sous l'effet du cannabis? »
Base : n=1208 (Déjà consommé du cannabis)
2020 2017
Total: (Déjà consommé du cannabis) 1208 1205
Oui 26% 28%
Non 73% 71%
Pas de réponse 1% 1%
Parmi les personnes qui conduisent un véhicule sous l'effet du cannabis, la plupart disent ne pas considérer leur comportement comme risqué, deux personnes sur cinq (39 p. cent) signalant qu'elles ne sentaient pas que leurs facultés étaient affaiblies et une personne sur cinq (22 p. cent) croyant pouvoir conduire prudemment. Moins d'une personne sur dix indique qu'elle ne devait pas aller loin (9 p. cent), qu'elle ne savait pas mieux à ce moment (7 p. cent) ou qu'elle n'avait pas d'autre moyen de transport (6 p. cent).
Q17 : « Qu'est-ce qui vous a amené à prendre cette décision »
Base : n=341 (a conduit avec facultés affaiblies)
2020
Total: (a conduit avec facultés affaiblies) 341
Je ne sentais pas que mes facultés étaient affaiblies 39%
Je pensais pouvoir conduire prudemment 22%
Je ne devais pas conduire très loin 9%
Jeune, ne savait pas mieux 7%
Je n'avais pas d'autre moyen de transport 6%
Assez de temps écoulé, attendu jusqu'à me sentir à l'aise 4%
Je ne pensais pas me faire prendre par les services policiers 1%
Autre 11%
NSP/PDR 2%
Lorsqu'interrogés sur le fait d'avoir monté à bord d'un véhicule dont le chauffeur était sous l'effet du cannabis, 30 pour cent déclarent l'avoir fait, ce qui correspond à peu de choses près aux 33 pour cent enregistrés en 2017.
Q19 : « Avez-vous déjà occupé le siège de passager dans un véhicule où le conducteur était sous l'effet du cannabis? »
Base : n=2024
2020 2017
Total: 2024 2132
Oui 30% 33%
Non 58% 57%
Ne sait pas 12% 10%
Plus d'un parent sur trois (38 p. cent) de jeunes âgés de 13 à 24 ans indique que son enfant a déjà consommé du cannabis, contre 34 pour cent en 2017. Comparativement à la consommation signalée par les jeunes âgés de 16 à 19 ans (44 p. cent), les parents des 16 à 19 ans évaluent assez bien si leur enfant a déjà consommé du cannabis (38 p. cent dans ce segment de parents). Soixante-dix pour cent des jeunes âgés de 20 à 24 ans affirment personnellement avoir déjà consommé du cannabis. Cependant, 50 pour cent des parents des 20 à 24 ans déclarent que leur enfant a déjà consommé du cannabis, ce qui donne à penser que les parents sont beaucoup moins conscients de la consommation de cannabis par leur enfant majeur.
Q26 : « Selon ce que vous savez, votre adolescent(e) a-t-il(elle) déjà consommé du cannabis? »
Base : n=469 (parents)
2020 2017
Total: (parents) 469 513
Oui 38% 34%
Non 54% 56%
Ne sait pas 8% 9%
Comme en 2017, très peu de parents de jeunes âgés de 16 à 24 ans (6 p. cent) croient que leur enfant a déjà conduit un véhicule alors qu'il était sous l'effet du cannabis. Huit parents sur dix (81 p. cent) croient que leur enfant n'a jamais conduit un véhicule sous l'effet du cannabis, quoique 12 pour cent se disent incertains.
Q27 : « Selon ce que vous savez, votre adolescent(e) a-t-il(elle) déjà conduit un véhicule sous l'effet du cannabis? »
2020 2017
Total: (parents) 405 416
Oui 6% 4%
Non 81% 85%
Ne sait pas 12% 11%
Base : n=405 (parents)
En ce qui concerne le fait d'accepter de monter à bord d'un véhicule conduit par une personne sous l'effet du cannabis, les parents des jeunes âgés de 13 à 24 ans expriment beaucoup plus d'incertitude (33 p. cent). Seuls huit pour cent des personnes indiquent que leur enfant est déjà monté dans un véhicule dont le conducteur avait les facultés affaiblies, bien que 33 pour cent des jeunes déclarent la même chose (plus élevée chez les 20 à 24 ans, avec 41 p. cent). La tendance était semblable en 2017.
Q28 : « Selon ce que vous savez, votre adolescent(e) a-t-il(elle) déjà accepté de monter à bord d'un véhicule dont le conducteur était sous l'effet du cannabis? »
Base : n=469 (parents)
2020 2017
Total: (parents) 469 513
Oui 8% 10%
Non 58% 55%
Ne sait pas 33% 34%
Les résultats du sondage révèlent une grande divergence entre les parents et les jeunes lorsqu'il est question de se rappeler une discussion sur la conduite sous l'effet du cannabis. Le tiers des jeunes âgés de 16 à 24 ans (32 p. cent) affirme avoir discuté de cette question avec leurs parents, ce qui représente une augmentation par rapport à 2017 (25 p. cent). Offrant un contraste saisissant, huit parents sur dix de jeunes âgés de 16 à 24 (80 p. cent) disent avoir eu cette discussion avec leurs enfants, ce qui constitue une légère hausse par rapport aux 74 pour cent de 2017.
Q29 : « Avez-vous discuté de conduite sous l'effet du cannabis avec votre fils ou votre fille? »
Base : n=405 (parents)
2020 2017
Total: (parents) 405 416
Oui 80% 74%
Non 19% 25%
Ne sait pas 1% 1%
Les principaux sujets abordés, selon environ un parent sur quatre, sont les effets du cannabis sur la capacité de conduite (27 p. cent), les dangers associés à la conduite sous l'effet du cannabis (27 p. cent, une hausse par rapport aux 15 p. cent de 2017), les conséquences juridiques de la conduite avec facultés affaiblies (22 p. cent, une hausse par rapport aux 12 p. cent de 2017) ou le simple fait de demander à leurs enfants de ne pas le faire (22 p. cent, une légère hausse par rapport aux 18 p. cent de 2017). Moins d'une personne sur cinq a discuté des parallèles et des comparaisons entre la conduite sous l'effet du cannabis et l'alcool au volant (13 p. cent, contre 21 p. cent en 2017), ou des stratégies visant à éviter ces situations (13 p. cent). Les autres sujets comprennent notamment le fait de ne pas accepter de monter à bord d'un véhicule dont le conducteur a les facultés affaiblies (12 p. cent), ou encore les dangers et les risques pour soi-même et pour les autres (9 p. cent).
Total | 2020 | 2017 |
---|---|---|
Q30. De quoi avez-vous parlé? | 310 | 295 |
Des effets sur la capacité de conduite | 27 % | 28 % |
Dangers/risques | 27 % | 15 % |
Des conséquences juridiques | 22 % | 12 % |
Ne pas le faire | 22 % | 18 % |
Parallèles et comparaisons avec l'alcool au volant | 13 % | 21 % |
Des solutions de rechange pour éviter ces situations | 13 % | 11 % |
De ne pas accepter de monter à bord du véhicule d'un ami qui est sous l'effet du cannabis | 12 % | 12 % |
Dangers et risques pour soi-même et autrui; peut entraîner une blessure, un accident ou la mort | 9 % | 14 % |
Dangers, risques et effets de la consommation de drogues en général; conséquences sur la vie et le milieu social; importance de ne pas consommer de drogues, de rester loin d'elles | 6 % | 11 % |
Ne devrait pas conduire indépendamment de la drogue consommée, pas seulement du cannabis; effets de drogues sur la capacité de conduite | 3 % | 5 % |
Pression de l'entourage ou situations où il vaut mieux ne pas conduire ou accepter de monter à bord d'un véhicule | 0 % | 1 % |
Autre | 5 % | 7 % |
Pas de réponse | 10 % | 14 % |
Selon les résultats obtenus, les Canadiens ont très peu de doutes par rapport au fait que l'alcool nuit à leur capacité de conduite. À l'instar de 2017, plus de neuf répondants sur dix (94 p. cent) sont d'accord pour dire que l'alcool nuit à la conduite alors que seulement cinq pour cent sont en désaccord. Les résultats du sondage révèlent également que les effets du cannabis chez les conducteurs sont bien connus. Près de neuf personnes sur dix (86 p. cent) sont d'accord pour dire que l'utilisation du cannabis nuit à la capacité de conduite, ce qui est supérieur aux 81 pour cent enregistrés en 2017.
Q2b/a : « À quel point êtes-vous d'accord ou en désaccord avec les énoncés suivants? »
Base : n=2024
2020 2017
Total: 2024 2132
En désaccord (1-2) 5%
Ni l'un ni l'autre (3) 1%
D'accord (4-5) 94% 94%
La consommation du cannabis nuit à la capacité de conduire un véhicule.
2020 2017
Total: 2024 2132
En désaccord (1-2) 9%
Ni l'un ni l'autre (3) 4%
D'accord (4-5) 86% 81%
NSP/PDR 1%
Les répondants devaient aussi choisir dans une liste fournie les effets néfastes de la consommation de cannabis sur la capacité de conduite. Les résultats montrent une sensibilisation accrue aux effets du cannabis sur la conduite. Huit personnes sur dix (80 p. cent, contre 74 p. cent en 2017) croient que le cannabis réduit le temps de réaction et la capacité de concentration, alors que près de deux personnes sur trois (66 p. cent; une augmentation par rapport aux 57 p. cent de 2017) estiment que le cannabis fait des consommateurs de pires conducteurs. Certaines personnes sont d'avis que le cannabis fait des consommateurs des conducteurs plus prudents (7 p. cent, une légère baisse par rapport aux 9 p. cent de 2017) et deux pour cent affirment que la consommation de cannabis ne nuit pas à la capacité de conduite (2 p. cent en 2017).
Q4 : « Selon ce que vous savez, de quelle(s) manière(s) le cannabis nuit-il à la capacité de conduite? »
Base : n=2024
2020 2017
Total: 2024 2132
Réduit le temps de réaction et la capacité de concentration 80% 74%
Fait de vous un pire conducteur 66% 57%
Fait de vous un conducteur plus prudent 7% 9%
Ne nuit pas du tout à la capacité de conduite 2% 3%
Diminue la perception/le jugement 2% 2%
Autre 3% --
Ne sait pas 6% 8%
Lorsqu'interrogés à savoir si la consommation de cannabis nuit moins que l'alcool à la capacité de conduite, les deux tiers des répondants (66 p. cent) affirment ne pas croire que c'est le cas, ce qui représente une augmentation par rapport aux 62 pour cent de 2017, bien qu'une proportion semblable à celle de 2017 (23 p. cent; 25 p. cent en 2017) croit toujours que c'est le cas. Dix pour cent sont incertains.
Q3a : « En vous basant sur vos connaissances, veuillez indiquer si l'énoncé suivant est vrai ou faux : Conduire sous l'effet du cannabis est moins dangereux que conduire sous l'effet de l'alcool. »
Base : n=2024
2020 2017
Total: 2024 2132
Vrai 23% 25%
Faux 66% 62%
Ne sait pas/Pas de réponse 10% 13%
Sept Canadiens sur dix (70 p. cent, comparativement à 65 p. cent en 2017) sont d'accord pour dire que les consommateurs de cannabis ne réalisent souvent pas qu'ils ont les facultés affaiblies après avoir consommé du cannabis, quoique 16 pour cent soient en désaccord avec cet énoncé et sept pour cent ne soient ni d'accord ni en désaccord.
Q2d : « À quel point êtes-vous d'accord ou en désaccord avec les énoncés suivants : Souvent, les gens ne se rendent pas compte qu'ils sont perturbés après avoir consommé du cannabis? »
Base : n=2024
2020 2017
Total: 2024 2132
En désaccord (1-2) 16% 20%
Ni l'un ni l'autre (3) 6% 8%
D'accord (4-5) 70% 65%
Ne sait pas/Pas de réponse 8% 7%
Dans une proportion relativement élevée, les Canadiens croient qu'il n'est pas toujours facile de déterminer qu'un consommateur de cannabis est trop intoxiqué pour conduire. Deux personnes sur trois (66 p. cent, une hausse notable par rapport aux 59 p. cent de 2017) croient que ce n'est pas facile à dire, alors que plus d'une personne sur cinq (22 p. cent) croit que c'est le cas (une baisse par rapport aux 27 p. cent de 2017).
Q3c : « En vous basant sur vos connaissances, veuillez indiquer si l'énoncé suivant est vrai ou faux : Il est facile et évident de voir si quelqu'un est trop intoxiqué pour conduire. »
Base : n=2024
2020 2017
Total: 2024 2132
Vrai 22% 27%
Faux 66% 59%
Ne sait pas/Pas de réponse 11% 15%
À cette nouvelle question, trois Canadiens sur quatre (75 p. cent) croient qu'il est plus dangereux de conduire sous l'effet combiné du cannabis et de l'alcool que seulement sous l'effet du cannabis ou de l'alcool. Moins d'une personne sur cinq (16 p. cent) croit que c'est faux, et neuf pour cent des répondants sont incertains.
Q3d : « Veuillez indiquer si cet énoncé est vrai ou faux : Conduire sous l'effet combiné du cannabis et d'alcool est plus dangereux que de conduire sous l'effet du cannabis ou de l'alcool seul. »
Base : n=2024
2020
Total: 2024
Vrai 75%
Faux 16%
Ne sait pas/Pas de réponse 9%
À cette nouvelle question du sondage de 2020, trois Canadiens sur cinq (59 p. cent) estiment que différentes formes de consommation de cannabis, notamment le fait de le fumer ou de l'ingérer, peuvent avoir une incidence différente sur la conduite automobile. Une personne sur cinq (21 p. cent) croit que ce n'est pas le cas, alors qu'une proportion semblable (19 p. cent) se dit incertaine.
Q3f : « Veuillez indiquer si cet énoncé est vrai ou faux : Différentes formes de consommation de cannabis (p. ex., fumer, manger) peuvent avoir différents effets sur la conduite. »
Base : n=2024
2020
Total: 2024
Vrai 59%
Faux 21%
Ne sait pas/Pas de réponse 19%
Les répondants ont été interrogés sur leurs trois plus grandes préoccupations en matière de sécurité du conducteur. La principale préoccupation formulée est liée aux distractions au volant (75 p. cent), suivie par la conduite avec les facultés affaiblies par l'alcool, le cannabis ou des médicaments d'ordonnance (67 p. cent), de même que la conduite agressive (63 p. cent). Les préoccupations liées à la conduite avec facultés affaiblies sont un peu moins omniprésentes qu'en 2017 (alors que la proportion était de 67 p. cent), mais pas autant que le changement dans les préoccupations liées aux distractions au volant (en baisse par rapport aux 84 p. cent de 2017).
Lors du sondage, nous avons divisé les répondants en trois groupes et nous leur avons présenté les préoccupations « conduite sous l'effet de l'alcool », « conduite sous l'effet du cannabis » et « conduite sous l'effet de médicaments sur ordonnance ». Les résultats révèlent que les effets de l'alcool sur la capacité de conduite soulèvent des préoccupations nettement plus vives chez la plupart des Canadiens (74 p. cent estiment qu'il s'agit de l'une de leurs trois principales préoccupations), suivi par les facultés affaiblies par le cannabis (44 p. cent) et les facultés affaiblies par les médicaments sur ordonnance (42 p. cent). En fait, dans le sous-échantillon qui s'est penché sur les facultés affaiblies par le cannabis, la conduite agressive constitue une préoccupation beaucoup plus susceptible d'arriver au deuxième rang (65 p. cent). Ces résultats ont peu changé depuis 2017 et suivent la même tendance.
Q1xTotal : « Quelles sont vos trois plus grandes préoccupations lorsqu'il est question de la sécurité du conducteur? »
Base : n=2024
2020 2017
Total: 2024 2132
Distraction lors de la conduite 75% 84%
Conduite l'effet de l'alcool, du cannabis ou des médicaments prescrits 63% 67%
Conduite agressive 61% 63%
Conduite sans permis ou sans avoir l'âge permis 15% 13%
Incompétence en conduite 4% 4%
Autre 6% 2%
Seules les réponses de 2% et plus sont montrées
Dans une nouvelle question de la version 2020 du sondage, les Canadiens mettent en évidence leur conviction voulant que la conduite avec facultés affaiblies par le cannabis soit en hausse depuis que la consommation récréative de cannabis est légale au Canada. En fait, la moitié d'entre eux (49 p. cent) estiment que l'incidence de la conduite avec les facultés affaiblies par le cannabis a augmenté (20 p. cent font état d'une augmentation importante et 29 p. cent mentionnent une légère hausse). Trente-trois pour cent estiment que l'incidence demeure la même qu'avant la légalisation, alors que presque personne ne croit que le taux a diminué.
Q5 : « Depuis la légalisation de la consommation de cannabis récréatif au Canada, pensez-vous que le taux de conduite sous l'effet du cannabis a baissé, a augmenté ou est demeuré le même? »
Base : n=2024
2020
Total: 2024
A baissé (1-2) 2%
Est demeuré le même (3) 33%
A augmenté (4-5) 49%
Ne sait pas/Pas de réponse 15%
En ce qui concerne les préoccupations au sujet des autres personnes qui sont susceptibles de conduire sous l'effet du cannabis, la plupart des répondants se disent à tout le moins moyennement préoccupés. Un peu moins de la moitié (46 p. cent) des répondants disent être préoccupés ou même très préoccupés, et 29 pour cent d'entre eux affirment être moyennement préoccupés. Seule une personne sur quatre déclare être peu ou pas préoccupée.
Q6 : « À quel point êtes-vous préoccupé(e) par les personnes qui conduisent sous l'effet du cannabis? »
Base : n=2024
2020 2017
Total: 2024 2132
Pas préoccupé(e) (1-2) 25% 22%
Moyennement préoccupé(e) (3) 29% 24%
Préoccupé(e) (4-5) 46% 53%
Ne sait pas/ Pas de réponse 1% 2%
Lorsqu'interrogés sur leur plus grande préoccupation au sujet de la conduite sous l'effet du cannabis, 70 pour cent des répondants mentionnent la possibilité de blesser quelqu'un, de le laisser paralysé ou de le tuer. Dans un deuxième temps, 43 pour cent des personnes interrogées signalent la possibilité d'être elles-mêmes blessées ou tuées, ou de devenir paralysées à la suite d'un accident. Près de la moitié des répondants (46 p. cent) se préoccupent de la simple possibilité d'avoir un accident. Même si cette possibilité soulève moins d'inquiétudes que les trois principales sources de préoccupations susmentionnées, 38 pour cent des répondants affirment que la possibilité d'avoir un dossier criminel permanent qui pourrait avoir des conséquences sur leurs emplois ou sur leurs déplacements internationaux les préoccupe, ce qui représente une augmentation considérable par rapport aux 29 pour cent de 2017. Vingt-deux pour cent des répondants se disent préoccupés par la possibilité de se faire prendre par la police, aussi en hausse par rapport aux 14 pour cent de 2017. Les autres préoccupations, plus limitées, sont l'augmentation des primes d'assurance, le jugement de la famille ou des pairs, ou des dommages à des biens.
Les répondants étaient ensuite invités à consulter une liste dans laquelle les blessures, la paralysie et la mort étaient séparées dans des catégories distinctes. Parmi les trois catégories de cette liste, « mourir » est le choix le plus fréquent (21 p. cent), suivi par « être blessé » (19 p. cent) et par « être paralysé » (15 p. cent). Les réponses multiples étaient acceptées, de telle sorte que les répondants pouvaient choisir à l'unisson ces trois réponses, s'ils le souhaitaient.
Q15 : « Quelle serait votre plus grande préoccupation relativement à la conduite sous l'effet du cannabis? »
Base : n=2024, *en raison de la capacité des répondants de choisir plus d'une réponse, le pourcentage global n'est pas cumulatif.
2020 2017
Total: 2024 2132
Faire du mal à quelqu'un d'autre, le laisser paralysé/le tuer 70% 73%
Avoir un accident 46% 48%
Avoir un dossier criminel permanent, affectant ma recherche d'emplois ou lors de voyages internationaux 38% 29%
Me faire prendre par la police 22% 14%
Être tué dans un accident 21% )
Être blessé dans un accident 19% ) 43%* 50%
Devenir paralysé à cause d'un accident 15% )
Augmentation considérable de ma prime d'assurance 7% 6%
Jugement de ma famille ou de mon entourage 4% 4%
2020 2017
Dommage à la propriété 3% 5%
Pas de préoccupations 2% 2%
Ne sait pas/ Pas de réponse 5% 6%
Seules les réponses de 2% et plus sont montrées
*en raison de la capacité des répondants de choisir plus d'une réponse, le pourcentage global n'est pas cumulatif.
Lorsqu'interrogés sur la probabilité qu'ils montent dans le véhicule d'une personne sous l'effet du cannabis, plus de huit répondants sur dix (82 p. cent) affirment qu'ils ne le feraient pas, ce qui représente une légère hausse par rapport aux 78 pour cent de 2017. Neuf pour cent des gens indiquent qu'il est probable qu'ils le fassent et huit pour cent considèrent cette probabilité comme moyenne, ce qui est en harmonie avec les résultats obtenus en 2017.
Q20 : « À quel point est-il probable que vous acceptiez de monter dans le véhicule d'une personne si vous savez qu'elle est sous l'effet du cannabis? »
Base : n=2024
2020 2017
Total: 2024 2132
Pas probable (1-2) 82% 78%
Moyennement probable (3) 8% 9%
Probable (4-5) 9% 11%
Ne sait pas 1% 2%
L'étude abordait également les préoccupations des passagers montant à bord d'un véhicule conduit par une personne sous l'effet du cannabis. Comme en 2017, la principale préoccupation est de se blesser, d'être paralysé ou d'être tué dans un accident (85 p. cent). Bien qu'il s'agisse toujours d'une préoccupation importante, moins de répondants sont préoccupés par la perspective de blesser quelqu'un, de le laisser paralysé ou de le tuer (55 p. cent). Encore une fois, en tant que passager, les risques de se faire prendre par la police (10 p. cent) ou d'avoir un casier judiciaire permanent (10 p. cent) représentent un facteur de préoccupation beaucoup moins important. Quatre pour cent seulement des répondants affirment se préoccuper du risque de dommage à la propriété et, dans une proportion de trois pour cent, de s'attirer le jugement de membres de leur famille ou de leurs pairs. En règle générale, ces résultats sont en harmonie avec ceux de 2017.
À l'instar de la question posée aux conducteurs, nous avons présenté séparément aux répondants les risques d'être blessés, de mourir ou de devenir paralysés. Les résultats révèlent que, selon le point de vue des passagers, le risque d'être blessé (68 p. cent) ou tué (49 p. cent) soulève des préoccupations beaucoup plus vives, tandis que les répondants se préoccupent moins du risque d'être paralysés (36 p. cent).
Q21 : « Si vous occupiez le siège de passager dans un véhicule dont le conducteur est sous l'effet du cannabis, quelles seraient vos préoccupations, s'il y en a? »
Base : n=2024
2020 2017
Total: 2024 2132
Me blesser, être paralysé ou mourir 85% 83%
Faire du mal à quelqu'un d'autre, le laisser paralysé/le tuer 55% 57%
Se faire prendre par la police 12% 10%
Avoir un dossier criminel permanent 10% 10%
Dommage à la propriété 5% 4%
Jugement de ma famille ou de mon entourage 3% 4%
Pas de préoccupations 5% 5%
Autre 3% 1%
Seules les réponses de 2% et plus sont montrées
Les résultats révèlent que les perceptions de la population sont partagées pour ce qui est de l'acceptabilité sociale de la conduite sous l'effet du cannabis. Même si la moitié des répondants ne sont pas d'accord pour dire que l'énoncé présenté est vrai, 42 pour cent affirment qu'il est plus acceptable socialement de conduire sous l'effet du cannabis que de conduire sous l'effet de l'alcool. Dix pour cent des répondants se disent incertains. Ces résultats reflètent de près ceux obtenus en 2017.
Q14: « À quel point est-il acceptable que les gens que vous connaissez conduisent lorsqu'ils sont sous l'effet du cannabis? »
2020 2017
Total: 2024 2132
Pas acceptable (1-2) 83% 79%
Moyennement acceptable (3) 10% 12%
Acceptable (4-5) 6% 7%
Pas de réponse 2% 3%
En ce qui a trait à la mesure dans laquelle il est acceptable pour les gens qu'ils connaissent de conduire sous l'effet du cannabis, une nette majorité des répondants (83 p. cent) dit qu'ils ne considèrent pas cela comme acceptable, ce qui représente une augmentation par rapport aux 79 pour cent de 2017. Seuls 10 pour cent des répondants considèrent cela comme moyennement acceptable et six pour cent d'entre eux le considèrent comme acceptable.
Q3b: « En vous basant sur vos connaissances, veuillez indiquer si l'énoncé suivant est vrai ou faux : Conduire sous l'effet du cannabis est socialement plus acceptable que conduire sous l'effet de l'alcool. »
Base : n=2024
2020 2017
Total: 2024 2132
Vrai 42% 40%
Faux 48% 50%
Ne sait pas/ Pas de réponse 10% 10%
Lorsqu'on leur demande à quel point il est courant pour les gens qu'ils connaissent (p. ex., amis, famille, collègues de travail) de conduire sous l'effet du cannabis, un peu plus de la moitié des répondants (53 p. cent) indique que cette situation se présente rarement, ce qui constitue une hausse par rapport aux 49 pour cent enregistrés en 2017. Néanmoins, 14 pour cent affirment que cela se produit fréquemment, alors que la même proportion (13 p. cent) croit qu'il s'agit d'une situation moyennement fréquente.
Q18 : « Selon ce que vous savez, à quel point est-il fréquent que les gens que vous connaissez (p. ex., amis, familles, collègues de travail) conduisent lorsqu'ils sont sous l'effet du cannabis? »
Base : n=2024
2020 2017
Total: 2024 2132
Rare (1-2) 53% 49%
Moyennement fréquent (3) 13% 15%
Fréquent (4-5) 14% 15%
Ne sait pas 19% 21%
Lorsqu'interrogés sur leur niveau d'aise avec le fait d'essayer d'empêcher un ami ou un membre de leur famille de conduire s'ils croient que ses facultés sont affaiblies après avoir consommé du cannabis, la majorité des répondants (72 p. cent) indiquent être à l'aise de le faire, comme c'était également le cas en 2017. Toutefois, douze pour cent déclarent qu'ils ne seraient pas à l'aise et 15 pour cent affirment qu'ils seraient moyennement à l'aise, comme c'était aussi le cas en 2017.
Q22 : « À quel point seriez-vous à l'aise avec le fait d'essayer d'empêcher un ami ou un membre de votre famille de conduire si vous aviez l'impression qu'il avait les facultés affaiblies à la suite de la consommation de cannabis? »
Base : n=2024
2020 2017
Total: 2024 2132
Pas à l'aise (1-2) 12% 11%
Moyennement à l'aise (3) 15% 15%
À l'aise (4-5) 72% 70%
Ne sait pas/Pas de réponse 1% 3%
Également en harmonie avec les résultats de 2017, 74 pour cent des répondants seraient à l'aise avec le fait d'essayer d'empêcher un ami ou un membre de leur famille d'accepter de monter à bord d'une voiture s'ils ont l'impression que les facultés du conducteur sont affaiblies à la suite de la consommation de cannabis. Toutefois, 15 pour cent des gens indiquent qu'ils seraient moyennement à l'aise seulement, et neuf pour cent qu'ils ne le seraient pas.
Q23 : « À quel point seriez-vous à l'aise avec le fait d'essayer d'empêcher un ami ou un membre de votre famille d'accepter de monter dans la voiture d'un conducteur si vous aviez l'impression que celui-ci avait les facultés affaiblies à la suite de la consommation de cannabis? »
Base : n=2024
2020 2017
Total: 2024 2132
Pas à l'aise (1-2) 9% 9%
Moyennement à l'aise (3) 15% 14%
À l'aise (4-5) 74% 74%
Ne sait pas/Pas de réponse 1% 2%
Les Canadiens sont résolument moins à l'aise de signaler aux services de police qu'ils savent que quelqu'un conduit avec les facultés affaiblies après avoir consommé du cannabis. Bien que 37 pour cent des répondants disent se sentir à l'aise, une proportion semblable (39 p. cent) affirme le contraire, alors que 19 pour cent sont moyennement à l'aise, comme c'était le cas en 2017.
Q24 : « À quel point seriez-vous à l'aise avec le fait de le signaler à la police si vous saviez que quelqu'un conduit avec des facultés affaiblies à la suite de la consommation de cannabis? »
Base : n=2024
2020 2017
Total: 2024 2132
Pas à l'aise (1-2) 39% 37%
Moyennement à l'aise (3) 19% 20%
À l'aise (4-5) 37% 37%
Ne sait pas/Pas de réponse 5% 6%
L'incidence de la recherche de renseignements au sujet des effets des drogues sur la capacité de conduite est modérée, ce qui est en harmonie avec les résultats de 2017. Près de trois répondants sur dix (29 p. cent) indiquent avoir recherché de l'information, bien que plus des deux tiers ne l'aient pas fait (70 p. cent, une légère hausse par rapport aux 66 p. cent de 2017).
Q7 : « Avez-vous déjà recherché des renseignements sur les effets qu'ont les drogues sur la capacité de conduite? »
Base : n=2024
2020 2017
Total: 2024 2132
Oui 29% 31%
Non 70% 66%
NSP/PDR 2% 2%
Lorsqu'interrogés sur les sources d'information qu'ils consultent pour en apprendre u sujet des effets des drogues sur la capacité de conduite, les répondants privilégient par une large marge les professionnels de la santé comme la source la plus digne de confiance, choisie par plus de la moitié d'entre eux (58 p. cent, 57 p. cent en 2017). Trois personnes sur dix (30 p. cent) indiquent que la police est la source qu'elles privilégient, ce qui représente une légère baisse par rapport aux 32 pour cent de 2017. Une personne sur sept (16 p. cent) mentionne un ami et une personne sur dix (10 p. cent) se tournerait vers un enseignant, un conseiller ou un travailleur social. D'autres sources sont mentionnées beaucoup moins fréquemment.
Q8 : « Si vous parliez avec quelqu'un pour obtenir des informations sur les effets des drogues sur la capacité de conduire, avec qui pourriez-vous parler? »
Base : n=2024
Q8: « Si vous parliez avec quelqu'un pour obtenir des informations sur les effets des drogues sur la capacité de conduire, avec qui pourriez-vous parler? »
2020 2017
Total: 2024 2132
Médecins/professionnels de la santé/infirmière/hôpital/ clinique de santé 58% 57%
Application de la loi 30% 32%
Un(e) ami(e) 16% 15%
Enseignants/conseillers/travailleur social 10% 12%
Autres membres de la famille 7% 8%
Vos parents 4% 5%
Autre 4% 3%
Ne sait pas 8% 9%
Pas de réponse 3% 2%
Seules les réponses de 3% et plus sont montrées
Les répondants devaient indiquer les sources en ligne qu'ils consulteraient pour obtenir de l'information au sujet des effets qu'ont les drogues sur la capacité de conduite. Deux cinquièmes (42 p. cent, une baisse de cinq points de pourcentage par rapport à 2017) citent Internet en général, sans mention d'une organisation spécifique. La source particulière la plus souvent signalée est un site Web du gouvernement du Canada, selon 38 p. cent des répondants[3], ce qui représente une augmentation par rapport aux 31 pour cent de 2017. Près d'une personne sur quatre se tournerait vers une organisation policière (24 p. cent), l'Association canadienne de l'automobile (23 p. cent, une baisse de 6 p. cent par rapport à 2017) ou un organisme sans but lucratif, comme Mothers Against Drunk Driving Canada (23 p. cent). Une personne sur cinq mentionne un site Web de son gouvernement provincial ou de son administration municipale (20 p. cent, une hausse par rapport aux 17 p. cent de 2017).
Q9 : « Si vous aviez à rechercher des renseignements en ligne sur les effets de la drogue sur la capacité de conduite, où serait-il le plus probable que vous recherchiez des renseignements fiables? »
Base : n=2024
2020 2017
Total: 2024 2132
En ligne, sur Internet en général 42% 46%
Site Web du gouvernement du Canada 38% 31%
Organisation policière 24% 25%
Organisme sans but lucratif, comme Mothers Against Drunk Driving (MADD) Canada 23% 23%
Associations de conducteurs comme le Canadian Automobile Association (CAA) ou école de conduite/formation 23% 27%
Site Web d'un gouvernement provincial/admin. municipale 20% 17%
2020 2017
Industrie du cannabis ou d'une communauté qui y est liée 12% 12%
Communauté juridique 10% 12%
Autre 4% 2%
Ne sait pas 7% 5%
Seules les réponses de 4% et plus sont montrées
Les répondants devaient aussi indiquer les types d'information qu'ils voudraient consulter au sujet des effets et des risques de la consommation de drogues sur la capacité de conduite. Les deux tiers (66 p. cent, une diminution par rapport aux 74 p. cent de 2017) aimeraient en apprendre davantage sur les effets du cannabis sur la capacité de conduite, ou sur le temps d'attente pour conduire en toute sécurité après avoir consommé de la drogue (62 p. cent). Plus de la moitié des répondants (54 p. cent) aimerait connaître les effets de différentes formes de consommation de cannabis (non inclus dans la liste présentée en 2017). Un peu plus de la moitié (44 p. cent, en baisse par rapport aux 56 p. cent de 2017) des répondants aimeraient obtenir de plus amples renseignements au sujet de la façon dont les policiers font des tests de dépistage de drogues. Une proportion semblable (44 p. cent, en baisse par rapport aux 50 p. cent de 2017) souhaite en savoir plus au sujet des lois et des sanctions liées à la conduite avec les facultés affaiblies. Le tiers (38 p. cent) des répondants s'intéressent aux droits des conducteurs s'ils se font appréhender, tandis que le cinquième (19 p. cent) aimerait recevoir des conseils au sujet des façons de discuter de la consommation de drogues avec des membres de leur famille.
Q10 : « S'il y a lieu, quels renseignements aimeriez-vous obtenir sur les risques et effets de la conduite après la consommation d'une drogue? »
Base : n=2024
Total: 2024 2132
Effets du cannabis sur la capacité de conduite 66% 74%
Période avant de pouvoir conduire de façon sécuritaire après avoir consommé de la drogue 62% 64%
Effets du cannabis sous différentes formes de consommation 54% 33%
Façons dont les policiers font des tests de dépistage de drogue 44% 56%
La loi et sanctions liées à la conduite après la consommation d'une drogue 44% 50%
Mes droits en tant que conducteur si on m'appréhende 38% 34%
Comment parler à vos jeunes/parents/adolescent(e)s des drogues 19% 21%
Je ne souhaite pas ou/n'ai pas besoin de renseignements 11% 8%
Seules les réponses de 3% et plus sont montrées
Tout comme en 2017, les répondants devaient indiquer s'ils croyaient disposer de suffisamment d'information fiable au sujet des effets qu'ont les drogues sur la capacité de conduite afin de pouvoir prendre des décisions éclairées par rapport aux risques qui y sont associés. La moitié des répondants de l'échantillon du sondage devaient répondre à des questions au sujet de l'information en général, tandis que l'autre moitié devait se prononcer au sujet de l'information canadienne en particulier.
Selon les résultats obtenus, les Canadiens se sentent mieux informés aujourd'hui qu'en 2017 sur la disponibilité de renseignements fiables leur permettant de prendre des décisions éclairées. La moitié des répondants (50 p. cent) indique disposer de suffisamment de renseignements pour prendre une décision éclairée, une augmentation par rapport aux 42 pour cent de 2017. Comme pour les résultats de 2017, le tiers (33 p. cent) des répondants considèrent comme moyen l'accès qu'ils ont à de l'information. Une personne sur dix (11 p. cent) n'a pas l'impression d'avoir suffisamment d'information à sa disposition, une baisse par rapport aux 20 pour cent de 2017.
Les Canadiens sont tout aussi positifs lorsqu'il est question de l'accès à de l'information canadienne (c.-à-d. à du contenu d'origine canadienne). Un peu moins de la moitié (45 p. cent) des Canadiens déclare que des renseignements canadiens sont disponibles, comparativement à 32 pour cent en 2017. Le tiers (31 p. cent, une légère baisse par rapport aux 35 p. cent de 2017) signale une disponibilité moyenne et moins d'une personne sur cinq (15 p. cent, une baisse par rapport aux 23 p. cent de 2017) croit que l'information disponible est limitée.
Q10a/b : « À quel point diriez-vous que les renseignements que vous possédez sont dignes de confiance pour prendre des décisions éclairées en ce qui a trait aux risques que présente la conduite sous l'effet de drogues, y compris du cannabis? »
Base : n= 1031/993
Renseignements :
2020 2017
Total: 1031 1086
Pas du tout (1-2) 11% 20%
Moyennement (3) 33% 32%
Tout à fait (4-5) 50% 42%
NSP/PDR 5% 6%
Renseignements canadiens :
2020 2017
Total: 993 1046
Pas du tout (1-2) 15% 23%
Moyennement (3) 31% 35%
Tout à fait (4-5) 45% 32%
NSP/PDR 9% 9%
En général, les Canadiens savent qu'il n'est pas légal de conduire sous l'effet du cannabis. Dans une proportion de neuf sur dix (91 p. cent, comparativement à 83 p. cent en 2017), les répondants reconnaissent qu'il est actuellement illégal de conduire un véhicule avec les facultés affaiblies par la drogue. Toutefois, une personne sur vingt (5 p. cent) est toujours d'avis qu'il est légal de le faire et cinq pour cent des gens sont incertains.
Q31 : « Selon ce que vous savez, est-il actuellement légal au Canada de conduire sous l'effet du cannabis? »
Base : n=2024
2020 2017
Total: 2024 2132
Oui 3% 5%
Non 91% 83%
Ne sait pas 5% 5%
Selon les résultats du sondage, les Canadiens sont incertains du temps qu'un conducteur doit attendre pour pouvoir conduire en toute sécurité après avoir consommé de la drogue. En fait, plus d'une personne sur quatre (34 p. cent) se dit incertaine. Le cinquième des répondants (18 p. cent) estime qu'il faut attendre trois heures ou plus avant de conduire, et une proportion moindre (18 p. cent, une augmentation par rapport aux 13 p. cent de 2017) est d'avis qu'il est plus sage de conduire après une nuit de sommeil. Peu de gens croient qu'une ou deux heures (3 p. cent) ou deux ou trois heures (8 p. cent) sont suffisantes.
Q33 : « Selon ce que vous savez, combien de temps faut-il attendre après avoir consommé du cannabis pour pouvoir conduire un véhicule en toute sécurité? »
Base : n=2024
2020 2017
Total: 2024 2132
Au moins trois heures ou plus après 25% 18%
Après une nuit de sommeil 19% 13%
Entre deux et trois heures 8% 7%
Dépend de plusieurs facteurs 4% 4%
Entre une et deux heures 3% 5%
Aussitôt que la personne sent que les effets se sont dissipés 3% 3%
Ne sait pas 34% 43%
Seules les réponses de 2% et plus sont montrées
Les résultats suggèrent que les Canadiens savent davantage que les services policiers sont en mesure de dépister l'intoxication par le cannabis chez les conducteurs qui sont appréhendés sur la route. En 2017, 45 pour cent des Canadiens estimaient que la police pouvait détecter les facultés affaiblies, ce qui est passé à 63 pour cent en 2020. Plus d'une personne sur dix (14 p. cent) croit toujours que la police ne peut pas détecter des facultés affaiblies par le cannabis. La proportion des répondants qui ne sont pas certains a aussi diminué, 23 pour cent indiquant qu'ils ne le savent pas, comparativement à 31 pour cent en 2017.
Q34 : « Selon ce que vous savez, la police est-elle capable de dépister si les conducteurs qu'elle appréhende sur la route ont les facultés affaiblies par le cannabis? »
Base : n=2024
2020 2017
Total: 2024 2132
Oui 63% 45%
Non 14% 24%
Ne sait pas 23% 31%
Une minorité de Canadiens estiment être au courant des lois sur le cannabis et des conséquences juridiques de la violation de ces lois. Une personne sur cinq (19 p. cent) sait que toute personne qui viole les lois canadiennes sur le cannabis est passible d'une amende ou d'une peine d'emprisonnement, tandis que 43 pour cent affirment ne pas être au courant et 36 pour cent en sont peu conscients.
Q39 : « Actuellement, une personne peut être passible d'amendes ou de peines de prison pour avoir enfreint les lois canadiennes sur le cannabis. Dans quelle mesure diriez-vous que vous connaissez les lois sur le cannabis et les conséquences juridiques de la violation des lois sur le cannabis? »
Base : n=2024
2020
Total: 2024
Pas conscient (1-2) 43%
Assez conscient (3) 36%
Conscient (4-5) 19%
Les répondants étaient informés que les sanctions s'appliquant à la conduite avec les facultés affaiblies par le cannabis peuvent entraîner une amende de mille dollars, la perte du permis de conduire ainsi qu'un casier judiciaire et une peine d'emprisonnement maximale de 18 mois, voire davantage, à la suite d'un accident entraînant une blessure. Plus du quart (27 p. cent) des Canadiens sont au courant de ces sanctions, alors que deux Canadiens sur cinq (40 p. cent) n'en sont pas conscients et le tiers (32 p. cent) n'en est pas très conscient.
Q36a : Actuellement, toute conduite avec facultés affaiblies à la suite de la consommation de drogue entraîne une amende de 1 000 dollars et la perte du permis pendant douze mois. Cela peut aussi entraîner une peine d'emprisonnement maximale de 18 mois ainsi qu'un dossier criminel permanent. Lorsqu'un accident entraîne une blessure ou cause la mort, la sentence peut être de dix ans de prison.
« Dans quelle mesure étiez-vous conscient des conséquences juridiques de la conduite avec facultés affaiblies à la suite de la consommation de drogue avant aujourd'hui? »
Base : n=2024
Total: 2024
Pas conscient (1-2) 40%
Assez conscient (3) 32%
Conscient (4-5) 27%
Lorsqu'invités à indiquer s'ils croient que les sanctions associées à la conduite d'un véhicule sous l'effet du cannabis sont plus sévères, moins sévères ou aussi sévères que celles associées à la conduite avec facultés affaiblies par l'alcool, la plupart des Canadiens croient que les sanctions sont les mêmes (65 p. cent, une augmentation considérable par rapport aux 47 p. cent de 2017). Moins d'une personne sur dix (6 p. cent, comparativement à 12 p. cent en 2017) estime toutefois que les sanctions reliées au cannabis sont moins sévères que celles qui se rattachent à l'alcool, alors que quatre pour cent des répondants croient qu'elles sont plus sévères. Une proportion notable des Canadiens est encore incertaine (25 p. cent, passablement plus bas que les 35 p. cent de 2017).
Q35 : « Est-ce que les sanctions pour conduite avec facultés affaiblies après avoir consommé du cannabis sont moins sévères, aussi sévères ou plus sévères que celles liées à la consommation d'alcool? »
Base : n=2024
2020 2017
Total: 2024 2132
Moins sévères que l'alcool 6% 12%
Aussi sévères que l'alcool 65% 47%
Plus sévères que l'alcool 4% 6%
Ne sait pas 25% 35%
Moins de la moitié des Canadiens (43 p. cent) est d'avis que ces sanctions sont assez sévères pour empêcher les gens de conduire lorsqu'ils sont sous l'effet du cannabis, tandis que plus du tiers (36 p. cent) estime qu'elles ne sont pas assez strictes et une personne sur cinq (20 p. cent) est incertaine.
Q36 : « Croyez-vous que ces sanctions sont assez sévères pour empêcher les gens de conduire lorsqu'ils sont sous l'effet du cannabis? »
Base : n=2024
2020 2017
Total: 2024 2132
Oui 43% 55%
Non 36% 33%
Ne sait pas 20% 11%
L'échantillon du sondage était issu de notre panel Probit, dont les membres sont recrutés de façon aléatoire. Les panélistes de Probit ont été sélectionnés pour former une base de sondage hybride recruté sur des téléphones cellulaires et des lignes terrestres à l'aide d'un système à composition aléatoire. Il s'agit de la même base de sondage et du même processus d'échantillonnage utilisés pour mener des enquêtes téléphoniques, considérés comme représentatifs de la population[4]. Une fois sélectionnées, nous avons communiqué avec eux par téléphone et les avons recrutés en leur demandant de créer un profil de base (c.-à-d. en répondant à l'instrument de base du sondage), qui comprenait un éventail de questions visant à obtenir des renseignements démographiques les décrivant. Nous leur demandions également s'ils souhaitaient répondre au sondage au téléphone ou en ligne. Tous les membres de l'échantillon étaient admissibles à une participation, y compris ceux qui ne possédaient qu'un téléphone cellulaire, ceux qui n'avaient pas accès à Internet et ceux qui préféraient simplement répondre au téléphone plutôt qu'en ligne. Ce panel se compose d'un échantillon totalement représentatif de la population canadienne à partir duquel il est possible de sélectionner des échantillons aléatoires et recueillir des données d'une façon plus délibérée et en temps plus opportun que ce qui serait possible dans un sondage téléphonique traditionnel. Ce panel, qui regroupe plus de 100 000 membres, peut être tenu comme représentatif de la population canadienne (c'est-à-dire qu'une population cible donnée de notre panel correspond de très près à l'ensemble de la population), et il est donc possible de lui attribuer une marge d'erreur.
Avant la tenue du sondage, le questionnaire a été mis à l'essai douze fois en anglais et dix-neuf fois en français. Des questions supplémentaires ont été intégrées à la version préliminaire du questionnaire afin de recueillir les impressions des répondants sur la durée, le rythme, la clarté des libellés et d'autres aspects du sondage. Des changements mineurs ont été apportés à la suite des essais, bien que quelques questions aient été enlevées pour respecter la durée voulue du sondage.
Le sondage, qui s'est déroulé entre le 21 janvier et le 17 février 2020, utilisait un questionnaire bilingue hébergé sur un serveur Web sécurisé sous le contrôle des Associés de recherche Ekos. Le courriel d'invitation comprenait une description et une explication de l'objectif du sondage (dans les deux langues), ainsi qu'un lien vers le site du sondage. La base de données du sondage a été mise au point en ayant recours à un numéro d'identification personnel (NIP) de façon à ce que seules les personnes détenant un NIP aient accès au sondage (le NIP était inclus dans le courriel d'invitation). Le questionnaire comprenait une brève présentation de l'étude et la raison d'être de la recherche. Le message insistait également sur la nature volontaire et confidentielle de la participation au sondage. La collecte des données du sondage s'est faite dans le respect de toutes les normes de l'industrie en vigueur. Tous les membres invités du panel étaient informés de leur droit sous le régime des lois de protection de la vie privée ainsi que de la façon d'obtenir une copie de leurs réponses et des résultats du sondage.
Dans ce sondage, un échantillon de 13 889 participants a été établi uniquement au moyen du volet en ligne du panel Probit, même si plus de 6 800 invitations ont été envoyées en vue de cibler les jeunes âgés de 16 à 24 ans.
En tout, 1 002 membres de l'échantillon du panel ont été contactés au téléphone. Le taux de participation est normal pour une étude de ce type. Le taux de réponse s'est établi à 24 pour cent chez les personnes de 25 ans ou plus et à 12 pour cent[5] chez les jeunes âgés de 16 à 24 ans. La durée moyenne du sondage était de 17 minutes.
Dans l'invitation, les répondants étaient informés que toutes leurs réponses demeureraient totalement confidentielles et qu'aucune réponse ne serait liée à des noms en particulier.
À la suite de la collecte des renseignements, la base de données a fait l'objet d'un examen pour vérifier la qualité, les valeurs aberrantes, les exigences en matière de codage et la pondération lors de la création de variables indépendantes, ce qui a servi à noter les tendances des sous-groupes (p. ex. âge, sexe, etc.) dans l'analyse. La pondération de l'échantillon se fondait sur les paramètres de la population selon les statistiques du plus récent recensement traitant de l'âge, du sexe, et des régions du pays.
Le tableau suivant présente l'échantillon utilisé dans le sondage de référence. Il comprend les caractéristiques démographiques liées à l'emploi, à l'éducation, au revenu, aux attributs culturels, à la langue, à l'âge et à la région. Chacune de ces caractéristiques est présentée pour l'échantillon complet de 2 132 Canadiennes et Canadiens.
Total | 2020 | 2017 |
---|---|---|
Âge (non pondéré) | 2024 | 2132 |
< 25 ans | 21 % | 20 % |
25-34 ans | 6 % | 10 % |
35-44 ans | 16 % | 14 % |
45-54 ans | 18 % | 24 % |
55-64 ans | 17 % | 18 % |
65 ans ou plus | 21 % | 15 % |
Est-ce que vous êtes le parent ou le tuteur légal d’un ou de plusieurs enfants qui habitent actuellement dans votre ménage? Si c’est oui, combien? | 2024 | 2132 |
Oui | 35 % | 36 % |
Non | 64 % | 76 % |
Pas de réponse | 0 % | 1 % |
Quels sont les âges des enfants dans votre ménage? | 751 | 836 |
Moins de 5 ans | 21 % | 24 % |
6 à 12 ans | 31 % | 35 % |
13 à 15 ans | 22 % | 22 % |
16 à 18 ans | 27 % | 26 % |
19 à 24 ans | 32 % | 30 % |
25 ans ou plus | 11 % | 11 % |
Niveau de scolarité (non pondéré) | 2024 | 2132 |
Huitième année/secondaire 2 ou moins | 1 % | 1 % |
Études secondaires partielles | 7 % | 1 % |
Diplôme d’études secondaires ou l’équivalent | 32 % | 20 % |
Certificat d’apprenti(e) inscrit(e)ou autre certificat ou diplôme de métier | 6 % | 5 % |
Collège, cégep ou autre certificat ou diplôme non universitaire | 21 % | 20 % |
Certificat ou diplôme universitaire qui n’est pas un baccalauréat | 8 % | 8 % |
Baccalauréat | 14 % | 26 % |
Diplôme universitaire de deuxième ou troisième cycle | 9 % | 15 % |
Pas de réponse | 0 % | 1 % |
Revenu de ménage total | 2005 | 2115 |
Moins de 20 000 $ | 6 % | 9 % |
20 000 $ à moins de 40 000 $ | 11 % | 11 % |
40 000 $ à moins de 60 000 $ | 12 % | 15 % |
60 000 $ à moins de 80 000 $ | 13 % | 12 % |
80 000 $ à moins de 100 000 $ | 13 % | 14 % |
100 000 $ à moins de 120 000 $ | 10 % | 10 % |
120 000 $ à moins de 150 000 $ | 10 % | 7 % |
150 000 $ ou plus | 14 % | 11 % |
Pas de réponse | 12 % | 12 % |
Êtes-vous né(e) au Canada? | 2024 | 2132 |
Oui | 89 % | 88 % |
Non | 11 % | 12 % |
Langue le plus souvent parlée à la maison | 2024 | 2132 |
Anglais | 79 % | 78 % |
Français | 22 % | 23 % |
Autre | 3 % | 3 % |
Genre (non pondéré) | 2024 | 2132 |
Homme | 48 % | 48 % |
Femme | 51 % | 51 % |
Autre | 1 % | 0 % |
Pas de réponse | 1 % | 1 % |
Région | 2024 | 2132 |
Colombie-Britannique | 14 % | 15 % |
Alberta | 11 % | 11 % |
Saskatchewan et Manitoba | 7 % | 6 % |
Ontario | 38 % | 37 % |
Québec | 23 % | 22 % |
Atlantique | 7 % | 9 % |
L'échantillon surreprésente les gens ayant des études postsecondaires, dont 52 pour cent sont allés à l'université, en comparaison avec les 23 pour cent de la population, et sous-représente les répondants qui n'ont fait que des études primaires, secondaires ou collégiales. Cela s'explique en partie par le suréchantillon de jeunes Canadiens. Il y a moins de Canadiens nés à l'extérieur du Canada dans l'échantillon (14 pour cent) que dans la population générale (25 p. cent).
WINTRO
Introduction en ligne
Merci d'avoir accepté de répondre à ce sondage. Toutes vos réponses vont demeurer absolument confidentielles.
Cliquez ici si vous souhaitez vérifier l'authenticité du présent sondage, suivi du code de projet 20200121-EK101. Cliquez ici pour lire notre politique de confidentialité.
Les renseignements personnels que vous fournissez sont recueillis conformément à la Loi sur la protection des renseignements personnels et aux pratiques relatives à la protection de la vie privée du Conseil du Trésor. Nous ne recueillons que les renseignements dont nous avons besoin pour mener à bien le projet de recherche. En plus de protéger vos renseignements personnels, la Loi sur la protection des renseignements personnels vous permet d'accéder à vos renseignements personnels et de les modifier.
Quelques rappels avant de commencer ...
Directives
PINTRO
Introduction par téléphone
Bonjour. Je m'appelle... et je travaille pour les Associés de recherche Ekos. Pourrais-je parler à ________?
Nous effectuons un sondage.
Accepteriez-vous qu'on vous pose quelques questions? Toutes vos réponses vont demeurer absolument confidentielles.
Puis-je commencer?
Si on vous demande: Le sondage devrait prendre environ 15 minutes.
PRIV
Cet appel peut être enregistré pour contrôle de la qualité ou formation.
QPROV
Dans quelle province ou quel territoire habitez-vous actuellement?
Alberta 1
Colombie-Britannique 2
Manitoba 3
Nouveau-Brunswick 4
Terre-Neuve-et-Labrador 5
Territoires du Nord-Ouest 6
Nouvelle-Écosse 7
Nunavut 8
Ontario 9
Île du Prince Édouard 10
Québec 11
Saskatchewan 12
Yukon 13
QAGEA
Certaines questions dans le présent sondage s'adressent à des groupes d'âge en particulier. Pour les besoins du sondage, en quelle année êtes-vous né(e)?
QAGE: [téléphone] (Si 2004 ou plus tard, remercier et mettre fin)
2004 ou plus tard 98
Année : 77
Pas de réponse 99
QAGEX
Si 2003, confirmer si au moins 16 ans
Avez-vous au moins 16 ans?
Oui 1
Non 2
Pas de réponse 99
QAGEY
Hésitant
Pourrions-nous vous situer dans l'un des groupes d'âges suivants?
Moins de 13 ans 98
16-18 ans 2
19-24 ans 3
25-34 ans 4
35-44 ans 5
45-54 ans 6
55-64 ans 7
65-74 ans 8
75 ans ou plus 9
Pas de réponse 99
QCHILD
16 ans ou plus
Dans le sondage, il y a aussi quelques questions qui s'adressent aux parents. Est-ce que vous êtes le parent ou le tuteur légal d'un ou de plusieurs enfants qui habitent actuellement dans votre ménage? Si c'est oui, combien?
Oui (veuillez inscrire le nombre d'enfants) : 1
Non 2
Pas de réponse 9
QCHILDA [1,5]
Parents, QCHILD
Quels sont les âges des enfants dans votre ménage?
Choisir toutes les réponses pertinentes
Moins de 5 ans 1
6 à 12 ans 2
13 à 15 ans 3
16 à 18 ans 4
19 à 24 ans 5
25 ans ou plus 6
Pas de réponse 9
ROTQ10
Calcul pour déterminer aléatoirement si le répondant voit les séries de questions Q1A, Q1B ou Q1C.
Q1A 1
Q1B 2
Q1C 3
PREQ1A
Quelles sont vos trois plus grandes préoccupations lorsqu'il est question de la sécurité routière?
Choisissez votre plus grande préoccupation, en plus d'un maximum de deux autres.
Q1AA
Plus grande préoccupation
Distraction lors de la conduite 1
Conduite sans permis ou sans avoir l'âge permis 2
Conduite sous l'effet de l'alcool 3
Conduite agressive 4
Autre (veuillez préciser) : 77
Ne sait pas 98
Pas de réponse 99
Q1AB [0,2]
Autres préoccupations
Distraction lors de la conduite 1
Conduite sans permis ou sans avoir l'âge permis 2
Conduite sous l'effet de l'alcool 3
Conduite agressive 4
Autre (veuillez préciser) : 77
Ne sait pas 98
Pas de réponse 99
PREQ1B
Quelles sont vos trois plus grandes préoccupations lorsqu'il est question de la sécurité routière?
Choisissez votre plus grande préoccupation, en plus d'un maximum de deux autres.
Q1BA
Plus grande préoccupation
Distraction lors de la conduite 1
Conduite sans permis ou sans avoir l'âge permis 2
Conduite sous l'effet du cannabis 3
Conduite agressive 4
Autre (veuillez préciser) : 77
Ne sait pas 98
Pas de réponse 99
Q1BB [0,2]
Autres préoccupations
Distraction lors de la conduite 1
Conduite sans permis ou sans avoir l'âge permis 2
Conduite sous l'effet du cannabis 3
Conduite agressive 4
Autre (veuillez préciser) : 77
Ne sait pas 98
Pas de réponse 99
PREQ1C
Quelles sont vos trois plus grandes préoccupations lorsqu'il est question de la sécurité routière?
Choisissez votre plus grande préoccupation, en plus d'un maximum de deux autres.
Q1CA
Plus grande préoccupation
Distraction lors de la conduite 1
Conduite sans permis ou sans avoir l'âge permis 2
Conduite sous l'effet de médicaments sur ordonnance 3
Conduite agressive 4
Autre (veuillez préciser) : 77
Ne sait pas 98
Pas de réponse 99
Q1CB [0,2]
Autres préoccupations
Distraction lors de la conduite 1
Conduite sans permis ou sans avoir l'âge permis 2
Conduite sous l'effet de médicaments sur ordonnance 3
Conduite agressive 4
Autre (veuillez préciser) : 77
Ne sait pas 98
Pas de réponse 99
PQ2
Le sondage porte sur la conduite sous l'effet du cannabis (parfois appelé marijuana, mari ou pot) consommé à des fins récréatives. Autrement dit, la consommation dans le but d'atteindre un état d'euphorie ou de ressentir du plaisir, et non pour traiter une maladie ou apaiser les symptômes associés à une maladie.
À quel point êtes-vous d'accord ou en désaccord avec les énoncés suivants. Q7_1: [téléphone] Les choix de réponse sont les suivants : fortement en désaccord, plutôt en désaccord, ni d'accord ni en désaccord, plutôt d'accord et tout à fait d'accord.
Q2A
La consommation du cannabis nuit à la capacité de conduire un véhicule.
Fortement en désaccord 1
Plutôt en désaccord 2
Ni d'accord ni en désaccord 3
Plutôt d'accord 4
Tout à fait d'accord 5
Ne sait pas / Pas de réponse 99
Q2B
La consommation d'alcool nuit à la capacité de conduire un véhicule.
Fortement en désaccord 1
Plutôt en désaccord 2
Ni d'accord ni en désaccord 3
Plutôt d'accord 4
Tout à fait d'accord 5
Ne sait pas / Pas de réponse 99
Q2D
Souvent, les gens ne se rendent pas compte qu'ils sont perturbés après avoir consommé du cannabis.
Fortement en désaccord 1
Plutôt en désaccord 2
Ni d'accord ni en désaccord 3
Plutôt d'accord 4
Tout à fait d'accord 5
Ne sait pas / Pas de réponse 99
PQ3
En vous basant sur vos connaissances, veuillez indiquer si chacun des énoncés suivants est vrai ou faux.
Q3A
Conduire sous l'effet du cannabis est moins dangereux que conduire sous l'effet de l'alcool.
Vrai 1
Faux 2
Ne sait pas / Pas de réponse 99
Q3B
Conduire sous l'effet du cannabis est socialement plus acceptable que conduire sous l'effet de l'alcool.
Vrai 1
Faux 2
Ne sait pas / Pas de réponse 99
Q3C
Il est facile et évident de voir si quelqu'un est trop intoxiqué pour conduire.
Vrai 1
Faux 2
Ne sait pas / Pas de réponse 99
Q3D
Conduire sous l'effet combiné du cannabis et d'alcool est plus dangereux que de conduire sous l'effet du cannabis ou de l'alcool seul.
Vrai 1
Faux 2
Ne sait pas / Pas de réponse 99
Q3F
Différentes formes de consommation de cannabis (p. ex., fumer, manger, etc.) peuvent avoir différents effets sur la conduite.
Vrai 1
Faux 2
Ne sait pas / Pas de réponse 99
Q4 [1,5]
Selon ce que vous savez, de quelle(s) manière(s) le cannabis nuit-il à la capacité de conduite?
Choisissez toutes les réponses pertinentes.
Cela ne nuit pas du tout à la capacité de conduite. 1
Cela fait de vous un conducteur plus prudent (p. ex., comportement plus précis et décisions plus sages, notamment en ce qui a trait à la vitesse, au respect des distances, à la maîtrise du véhicule). 2
Cela réduit le temps de réaction et la capacité de concentration. 3
Cela fait de vous un pire conducteur (p. ex., comportement moins précis et décisions moins sages, notamment en ce qui a trait à la vitesse, au respect des distances, à la maîtrise du véhicule). 4
Autre (veuillez préciser) : 77
Ne sait pas 98
Pas de réponse 99
Q5
Depuis la légalisation de la consommation de cannabis récréatif au Canada, pensez-vous que le taux de conduite sous l'effet du cannabis a baissé, a augmenté ou est demeuré le même?
A baissé considérablement 1
A baissé un peu 2
Est demeuré le même 3
A augmenté un peu 4
A augmenté considérablement 5
Ne sait pas 98
Pas de réponse 99
Q6
À quel point êtes-vous préoccupé(e) par les personnes qui conduisent sous l'effet du cannabis? Q6_1: [téléphone] Les choix de réponse sont les suivants : pas du tout préoccupé(e), pas très préoccupé(e), moyennement préoccupé(e), préoccupé(e) et très préoccupé(e).
Pas du tout préoccupé(e) 1
Pas très préoccupé(e) 2
Moyennement préoccupé(e) 3
Préoccupé(e) 4
Très préoccupé(e) 5
Ne sait pas/Pas de réponse 98
Q7
Avez-vous déjà recherché des renseignements sur les effets qu'ont les drogues sur la capacité de conduite?
Oui 1
Non 2
Ne sait pas/Pas de réponse 98
Q8 [1,8]
Si vous parliez avec quelqu'un pour obtenir des informations sur les effets des drogues sur la capacité de conduire, avec qui pourriez-vous parler?
Q8_2: [téléphone] Ne pas lire la liste
AQAGEA = 1995-2003 or QAGEY = 2,3 or QAGEX = 1
Vos parents 1
Un(e) ami(e) 2
Médecins/professionnels de la santé/infirmière/hôpital/clinique de santé 3
Application de la loi (par exemple, agents de police) 4
Enseignants/conseillers/travailleur social 5
Q8_1: [AQAGEA = 1995-2003 or QAGEY = 2,3 or QAGEX = 1] Autres membres de la famille [Else] Membres de la famille 6
QCHILD = 1
Autres parents 7
Autre (veuillez préciser) : 77
Ne sait pas 98
Pas de réponse 99
Q9 [1,9]
Si vous aviez à rechercher des renseignements en ligne sur les effets de la drogue sur la capacité de conduite, où serait-il le plus probable que vous recherchiez des renseignements fiables?
Q8_2: [téléphone]Ne pas lire la liste
En ligne, sur Internet en général 1
Sur un site Web du gouvernement du Canada 2
Sur le site Web d'un gouvernement provincial ou d'une administration municipale 3
Auprès d'une organisation policière (site Web, poste de police, associations de policiers) 4
Auprès de la communauté juridique 5
Auprès de l'industrie du cannabis ou d'une communauté qui y est liée 6
Auprès d'un organisme sans but lucratif, comme Mothers Against Drunk Driving (MADD) Canada 7
Auprès d'une association automobile, comme l'Association canadienne des automobilistes (CAA) ou une école de conduite 8
Autre (veuillez préciser) : 77
Ne sait pas 98
Pas de réponse 99
Q10 [1,8]
S'il y a lieu, quels renseignements aimeriez-vous obtenir sur les risques et effets de la conduite après la consommation d'une drogue?
Choisissez toutes les réponses pertinentes. Q9_2: [téléphone] Lisez toutes les catégories et obtenez une réponse affirmative ou négative pour chacune d'elles.
Effets du cannabis sur la capacité de conduite 1
Comment parler à vos Q9_1: [AQAGE = 12-24 or QAGEY = 1-3 or QAGEX = 1]parents[Else] adolescent(e)s des drogues 2
La loi ainsi que les sanctions liées à la conduite après la consommation d'une drogue 3
Période avant de pouvoir conduire de façon sécuritaire après avoir consommé de la drogue 4
Façons dont les policiers font des tests de dépistage de drogue 5
Mes droits en tant que conducteur si on m'appréhende 6
Effets du cannabis sous différentes formes de consommation 7
Autre (veuillez préciser) : 77
Je ne souhaite pas ou je n'ai pas besoin de renseignements 97
Ne sait pas 98
Pas de réponse 99
ROTQ1
Calcul pour déterminer aléatoirement si le répondant voit Q10A ou Q10B
Q10A 1
Q10B 2
Q10A
À quel point diriez-vous que les renseignements que vous possédez sont dignes de confiance pour prendre des décisions éclairées en ce qui a trait aux risques que présente la conduite sous l'effet de drogues, y compris du cannabis? RQ10: [téléphone] Veuillez répondre sur une échelle de cinq points où 1 est pas du tout, 3 est moyennement et 5 est tout à fait.
1 Pas du tout 1
2 2
3 Moyennement 3
4 4
5 Tout à fait 5
Ne sait pas 98
Pas de réponse 99
Q10B
À quel point diriez-vous que les renseignements canadiennes que vous possédez sont dignes de confiance pour prendre des décisions éclairées en ce qui a trait aux risques que présente la conduite sous l'effet de drogues, y compris du cannabis? RQ10: [téléphone] Veuillez répondre sur une échelle de cinq points où 1 est pas du tout, 3 est moyennement et 5 est tout à fait.
1 Pas du tout 1
2 2
3 Moyennement 3
4 4
5 Tout à fait 5
Ne sait pas 98
Pas de réponse 99
Q11
La section suivante traite de l'utilisation du cannabis. L'utilisation fait allusion au fait de fumer, inhaler, ingérer ou appliquer des produits contenant du cannabis, également appelé marijuana, mari ou pot.
Selon ce que vous savez, est-ce que des gens de votre entourage (p. ex., amis ou famille) ont déjà utilisé du cannabis?
Oui 1
Non 2
Ne sait pas 98
Pas de réponse 99
Q12
Avez-vous déjà utilisé du cannabis?
(Rappelez-vous que les résultats du sondage sont totalement confidentiels et ne seront en aucun associé directement aux répondants.)
Oui 1
Non 2
Pas de réponse 99
Q13
Si utilisé du cannabis, Q12
Avez-vous utilisé du cannabis au cours des douze derniers mois?
Oui 1
Non 2
Pas de réponse 99
Q14
À quel point est-il acceptable que les gens que vous connaissez conduisent lorsqu'ils sont sous l'effet du cannabis? Q11_1: [téléphone] Les choix de réponse sont les suivants : pas du tout acceptable, pas très acceptable, moyennement acceptable, acceptable et très acceptable.
Pas du tout acceptable 1
Pas très acceptable 2
Moyennement acceptable 3
Acceptable 4
Très acceptable 5
Pas de réponse 99
Q15 [1,3]
Quelle serait votre plus grande préoccupation relativement à la conduite sous l'effet du cannabis, si vous deviez le faire?
(Choisissez un maximum de trois réponses) Q13_1: [téléphone] Je vais vous lire lentement la liste et dites-le-moi lorsque je mentionne quelque chose qui constitue une grande préoccupation pour vous.
Me faire prendre par la police 1
Avoir un dossier criminel permanent, ce qui pourrait me nuire lors de la recherche d'emplois ou lors de voyages internationaux 2
Avoir un accident 3
Faire du mal à quelqu'un d'autre, le laisser paralysé ou le tuer 5
Jugement de ma famille ou de mon entourage 6
Dommage à la propriété 7
Augmentation considérable de ma prime d'assurance 8
Être blessé dans un accident 9
Être paralysé à la suite d'un accident 10
Être tué dans un accident 11
Pas de préoccupations 97
Autre (veuillez préciser) : 77
Ne sait pas/ Pas de réponse 98
Q16
Si utilise du cannabis, Q12 et 16 ans ou plus, QAGE
Avez-vous déjà conduit un véhicule lorsque vous étiez sous l'effet du cannabis?
Oui 1
Non 2
Pas de réponse 99
Q17
Qu'est-ce qui vous a amené à prendre cette décision?
Je ne sentais pas que mes facultés étaient affaiblies 1
Je ne pensais pas me faire prendre par les services policiers 2
Je n'avais pas d'autre moyen de transport 3
Je pensais pouvoir conduire prudemment 4
Je ne devais pas conduire très loin 5
Autre (veuillez préciser) : 77
Ne sait pas 98
Pas de réponse 99
Q18
Selon ce que vous savez, à quel point est-il fréquent que les gens que vous connaissez (p. ex., amis, familles, collègues de travail) conduisent lorsqu'ils sont sous l'effet du cannabis? Q10_1: [téléphone] Les choix de réponse sont les suivants : très rare, pas très fréquent, moyennement fréquent, fréquent et très fréquent.
Très rare 1
Pas très fréquent 2
Moyennement fréquent 3
Fréquent 4
Très fréquent 5
Ne sait pas 98
Pas de réponse 99
Q19
Avez-vous déjà occupé le siège de passager dans un véhicule où le conducteur était sous l'effet du cannabis?
Oui 1
Non 2
Ne sait pas 98
Pas de réponse 99
Q20
À quel point est-il probable que vous acceptiez de monter dans le véhicule d'une personne si vous savez qu'elle est sous l'effet du cannabis? Q12_1: [téléphone] Les choix de réponse sont les suivants : pas du tout probable, pas très probable, moyennement probable, probable et très probable.
Pas du tout plus probable 1
Pas très probable 2
Moyennement probable 3
Probable 4
Très probable 5
Ne sait pas 98
Pas de réponse 99
Q21 [1,3]
Si vous occupiez le siège de passager dans un véhicule dont le conducteur est sous l'effet du cannabis, quelles seraient vos préoccupations, s'il y en a?
(Choisissez un maximum de trois réponses) Q13_1: [téléphone] Je vais vous lire lentement la liste et dites-le-moi lorsque je mentionne quelque chose qui constitue une grande préoccupation pour vous.
Se faire prendre par la police 1
Avoir un dossier criminel permanent, ce qui pourrait nuire lors de la recherche d'emplois ou lors de voyages internationaux 2
Être blessé dans un accident 3
Être paralysé à la suite d'un accident 4
Être tué dans un accident 5
Faire du mal à quelqu'un d'autre, le laisser paralysé ou le tuer 6
Jugement de la famille ou de l'entourage 7
Dommage à la propriété 8
Augmentation considérable de la prime d'assurance 9
Pas de préoccupations 10
Autre (veuillez préciser) : 77
Ne sait pas 98
Pas de réponse 99
Q22
À quel point seriez-vous à l'aise avec le fait d'essayer d'empêcher un ami ou un membre de votre famille de conduire si vous aviez l'impression qu'il avait les facultés affaiblies à la suite de la consommation de cannabis? RQ22: [téléphone] Diriez-vous que vous seriez pas du tout à l'aise, pas très à l'aise, moyennement à l'aise, à l'aise ou très à l'aise?
Pas du tout à l'aise 1
Pas très à l'aise 2
Moyennement à l'aise 3
À l'aise 4
Très à l'aise 5
Ne sait pas 98
Pas de réponse 99
Q23
À quel point seriez-vous à l'aise avec le fait d'essayer d'empêcher un ami ou un membre de votre famille d'accepter de monter dans la voiture d'un conducteur si vous aviez l'impression que celui-ci avait les facultés affaiblies à la suite de la consommation de cannabis? RQ22: [téléphone] Diriez-vous que vous seriez pas du tout à l'aise, pas très à l'aise, moyennement à l'aise, à l'aise ou très à l'aise?
Pas du tout à l'aise 1
Pas très à l'aise 2
Moyennement à l'aise 3
À l'aise 4
Très à l'aise 5
Ne sait pas 98
Pas de réponse 99
Q24
À quel point seriez-vous à l'aise avec le fait de le signaler à la police si vous saviez que quelqu'un conduit avec des facultés affaiblies à la suite de la consommation de cannabis? RQ22: [téléphone] Diriez-vous que vous seriez pas du tout à l'aise, pas très à l'aise, moyennement à l'aise, à l'aise ou très à l'aise?
Pas du tout à l'aise 1
Pas très à l'aise 2
Moyennement à l'aise 3
À l'aise 4
Très à l'aise 5
Ne sait pas 98
Pas de réponse 99
Q25
Moins de 25 ans seulement
Avez-vous discuté de conduite sous l'effet du cannabis avec vos parents ou votre tuteur?
Oui 1
Non 2
Pas de réponse 99
Q26
Parents d'enfants de 13 à 24 ans
Selon ce que vous savez, votre adolescent(e) a-t-il(elle) déjà consommé du cannabis?
Oui 1
Non 2
Ne sait pas 98
Pas de réponse 99
Q27
Parents d'enfants de 16 à 24 ans
Selon ce que vous savez, votre adolescent(e) a-t-il(elle) déjà conduit un véhicule sous l'effet du cannabis?
Oui 1
Non 2
Ne sait pas 98
Pas de réponse 99
Q28
Parents d'enfants de 13 à 24 ans
Selon ce que vous savez, votre adolescent(e) a-t-il(elle) déjà accepté de monter à bord d'un véhicule dont le conducteur était sous l'effet du cannabis?
Oui 1
Non 2
Ne sait pas 98
Pas de réponse 99
Q29
Parents d'enfants de 16 à 24 ans
Avez-vous discuté de conduite sous l'effet du cannabis avec votre fils ou votre fille?
Oui 1
Non 2
Pas de réponse 99
Q30 [1,6]
Parents d'enfants de 16 à 24 ans et a discuté le cannabis, Q29
De quoi avez-vous parlé?
Q8_2: [téléphone]Ne pas lire la liste
[téléphone]
Des effets sur la capacité de conduite 1
[téléphone]
Des conséquences juridiques 2
[téléphone]
De ne pas accepter de monter à bord du véhicule d'un ami qui est sous l'effet du cannabis 3
[téléphone]
De la pression de l'entourage ou des situations où il vaut mieux ne pas conduire ou accepter de monter à bord d'un véhicule 4
[téléphone]
Des solutions de rechange pour éviter ces situations 5
RQ30: [téléphone] Autre (veuillez préciser) : [Else] Veuillez préciser :> 77
Pas de réponse 99
Q31
Selon ce que vous savez, est-il actuellement légal au Canada de conduire sous l'effet du cannabis?
Oui 1
Non 2
Ne sait pas 98
Pas de réponse 99
Q33
Selon ce que vous savez, combien de temps faut-il attendre après avoir consommé du cannabis pour pouvoir conduire un véhicule en toute sécurité?
PQ16_1: [téléphone] (Donner des pistes de réponse s'il le faut)
Immédiatement 1
Moins d'une heure 2
Entre une et deux heures 3
Entre deux et trois heures 4
Au moins trois heures 5
Après une nuit de sommeil 6
Aussitôt que la personne sent que les effets se sont dissipés 7
Autre (veuillez préciser) : 77
Ne sait pas 98
Pas de réponse 99
Q34
Selon ce que vous savez, la police est-elle capable de dépister si les conducteurs qu'elle appréhende sur la route ont les facultés affaiblies par le cannabis?
Oui 1
Non 2
Ne sait pas 98
Pas de réponse 99
Q35
Est-ce que les sanctions pour conduite avec facultés affaiblies après avoir consommé du cannabis sont moins sévères, aussi sévères ou plus sévères que celle liées à la consommation d'alcool?
Moins sévères que lors de la consommation d'alcool 1
Aussi sévères que lors de la consommation d'alcool 2
Plus sévères que lors de la consommation d'alcool 3
Ne sait pas 98
Pas de réponse 99
Q36A
Actuellement, toute conduite avec facultés affaiblies à la suite de la consommation de drogue entraîne une amende de 1 000 dollars et la perte du permis pendant douze mois. Cela peut aussi entraîner une peine d'emprisonnement maximale de 18 mois ainsi qu'un dossier criminel permanent. Lorsqu'un accident entraîne une blessure ou cause la mort, la sentence peut être de dix ans de prison.
Dans quelle mesure étiez-vous conscient des conséquences juridiques de la conduite avec facultés affaiblies à la suite de la consommation de drogue avant aujourd'hui?
Pas du tout conscient 1
Pas très conscient 2
Assez conscient 3
Conscient 4
Tout à fait conscient 5
Ne sait pas 98
Pas de réponse 99
Q36
Croyez-vous que ces sanctions sont assez sévères pour empêcher les gens de conduire lorsqu'ils sont sous l'effet du cannabis?
Oui 1
Non 2
Ne sait pas 98
Pas de réponse 99
Q13B
Les questions suivantes traitent de façon plus générale du marché du cannabis. N'oubliez pas que les résultats du sondage sont entièrement confidentiels.
Vous avez indiqué plus tôt que vous avez consommé du cannabis au cours des 12 derniers mois. De qui avez-vous habituellement acheté ou reçu le cannabis?
J'ai cultivé mon propre cannabis 1
Il a été spécialement cultivé pour moi 2
D'un magasin légal 3
D'une source légale en ligne (producteur autorisé de Santé Canada, détaillant réglementé à l'échelle provinciale) 4
D'un magasin illégal 5
D'une source illégale en ligne 6
Il a été partagé dans un groupe d'amis 7
D'un(e) membre de ma famille 8
D'un(e) ami(e) 9
D'une connaissance 10
D'un vendeur (illégal) 11
Autre réponse (préciser) 77
Ne sait pas 98
Pas de réponse / Je préfère ne pas répondre 99
Q13C
Quel facteur vous influence le plus concernant la façon dont vous obtenez votre cannabis?
Le prix 1
La sécurité par rapport à la qualité ou à l'approvisionnement 2
La commodité (p. ex., heures d'ouverture, livraison) 3
La proximité du magasin 4
La disponibilité d'un type de produit précis (p. ex., comestibles) 5
L'accès à une variété particulière 6
La possibilité d'acheter auprès d'une source légale 7
L'anonymat, la confidentialité 8
Autre raison (préciser) 77
Ne sait pas 98
Pas de réponse 99
Q39
Actuellement, une personne peut être passible d'amendes ou de peines de prison pour avoir enfreint les lois canadiennes sur le cannabis. Dans quelle mesure diriez-vous que vous connaissez les lois sur le cannabis et les conséquences juridiques de la violation des lois sur le cannabis?
Je ne les connais pas du tout 1
Je ne les connais pas très bien 2
Je les connais un peu 3
Je les connais 4
Je les connais très bien 5
Ne sait pas 98
Pas de réponse 99
DEMIN
Les dernières questions ne servent qu'à des fins statistiques. Nous vous rappelons que toutes vos réponses demeurent totalement confidentielles.
D1
Quel est le niveau de scolarité le plus élevé que vous avez complété jusqu'à maintenant?
Huitième année/secondaire 2 ou moins 1
Études secondaire partielles 2
Diplôme d'études secondaires ou l'équivalent 3
Certificat d'apprenti(e) inscrit(e)ou autre certificat ou diplôme de métier 4
Collège, cégep ou autre certificat ou diplôme non universitaire 5
Certificat ou diplôme universitaire qui n'est pas un baccalauréat 6
Baccalauréat 7
Diplôme universitaire de deuxième ou troisième cycle 8
Pas de réponse 99
D2
Si 18 ans ou plus
Parmi les catégories suivantes, laquelle décrit le mieux votre revenu de ménage total, c.-à-d. le revenu total de l'ensemble des personnes qui font partie de votre foyer, avant l'impôt?
Moins de 20 000 $ 1
20 000 $ à moins de 40 000 $ 2
40 000 $ à moins de 60 000 $ 3
60 000 $ à moins de 80 000 $ 4
80 000 $ à moins de 100 000 $ 5
100 000 $ à moins de 120 000 $ 6
120 000 $ à moins de 150 000 $ 7
150 000 $ ou plus 8
Pas de réponse 99
D3
Êtes-vous né(e) au Canada?
Oui 1
Non 2
Pas de réponse 9
D4 [1,3]
Quelle est la langue que vous parlez le plus souvent à la maison?
(choisir toutes les réponses pertinentes)
Anglais 1
Français 2
Autre (veuillez préciser) 77
Pas de réponse 99
D5
Quels sont les trois premiers caractères de votre code postal?
Veuillez préciser : 1
Pas de réponse 9
QGENDR
[téléphone] Ne pas poser la question — l'enquêteur doit inscrire la réponse [Else] Êtes-vous...
un homme 1
une femme 2
Autre, veuillez préciser : 3
Pas de réponse 9
THNK
Voilà toutes les questions que nous avions à vous poser. Merci d'avoir pris le temps de répondre à notre sondage. Nous vous en sommes très reconnaissants. Vos réponses ont été enregistrées et vous pouvez maintenant fermer la fenêtre de votre navigateur.
THNK2
Screened-out
Nous regrettons, mais vos réponses indiquent que vous n'êtes pas admissible au sondage. Merci de nous avoir accordé de votre temps!