Préparé à l'intention de Sécurité publique Canada
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Cette recherche sur l'opinion publique présente les résultats d'un sondage en ligne mené par Les Associés de recherche Ekos inc. pour le compte de Sécurité publique Canada. Cette étude a été menée auprès de 1 139 Canadiens et 1 000 parents ayant des enfants entre l'âge de 8 et 18 ans, entre les mois de janvier et février 2022.
This publication is also available in English under the title: Online Child Sexual Exploitation Awareness Research.
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Publications connexes (numéro d'enregistrement : ROP 058-21)
© Sa Majesté la Reine du chef du Canada, représentée par la ministre des Travaux publics et des Services gouvernementaux, 2022
La Stratégie nationale pour la protection des enfants contre l'exploitation sexuelle sur Internet du gouvernement du Canada a été lancée en 2004 et élargie en 2009. En 2020, les Principes volontaires pour contrer l'exploitation et l'abus sexuels des enfants en ligne ont été publiés afin de fournir un cadre de lutte contre les crimes sexuels en ligne contre les enfants et de coordonner l'action entre les gouvernements et des partenaires de l'industrie. Le Code criminel du Canada sert à protéger les enfants contre toutes les formes de pornographie juvénile, l'utilisation d'Internet pour attirer les enfants, les contacts sexuels et les attouchements, ainsi que l'exploitation d'enfants pour des activités sexuelles illicites. Sécurité publique (SP) Canada dirige la stratégie nationale et a lancé en 2020 une campagne pluriannuelle d'éducation sur l'exploitation sexuelle des enfants en ligne (ESEL) et sur la sensibilisation du public à ce sujet. La campagne était un élément du budget de 2019, qui consacrait 4,9 millions de dollars sur trois ans à l'appui des efforts visant à supprimer l'ESEL. La campagne est liée à la priorité du gouvernement s'intitulant Protéger les enfants contre l'exploitation sexuelle en ligne.
L'objectif de la recherche actuelle est d'effectuer le suivi des changements dans la sensibilisation des membres du grand public et du groupe cible de parents ayant des enfants âgés de 8 à 18 ans depuis l'établissement de la référence au début de l'année 2020. Elle est également conçue pour mesurer les changements dans les attitudes et les comportements liés à l'activité sexuelle des enfants en ligne chez les parents et, par le biais de faits rapportés, chez les enfants âgés de 8 à 18 ans. La mesure de ces changements depuis le début de la pandémie est particulièrement importante compte tenu de l'évolution de l'environnement en ce qui concerne le temps passé à la maison et dans l'apprentissage scolaire en ligne.
Le sondage sur la sensibilisation du public à l'ESEL a été réalisé en ligne du 14 janvier au 3 février 2022. Quelque mille Canadiens âgés de 18 ans et plus ayant au moins un enfant âgé de 8 à 18 ans ont été sondés. Leurs réponses sont comparées à 1 139 membres du grand public âgés de 18 ans et plus. Chaque échantillon probabiliste recruté de façon aléatoire présente une marge d'erreur de +/- 3,2 %. La marge d'erreur des segments clés de chaque échantillon oscille entre +/- 5 % et +/- 10 %. La source de l'échantillon est le panel interne Probit, qui se compose de Canadiens et Canadiennes recrutés au hasard. Il était possible de répondre au sondage en ligne ainsi qu'au téléphone dans les deux langues officielles. La durée moyenne pour répondre au sondage était de 14 minutes en ligne et de 19 minutes au téléphone. Le taux de réponse global au sondage a été de 20 %. L'annexe A présente de plus amples détails sur la méthodologie du sondage.
La sécurité des enfants sur Internet est une préoccupation aussi bien pour les parents que pour les membres du grand public au Canada. Plus de deux répondants sur trois ne sont pas d'accord pour dire que les enfants d'aujourd'hui vivent dans un environnement en ligne sûr. La majorité convient que les fournisseurs de services numériques devraient être en mesure de rechercher de façon proactive du matériel de maltraitance des enfants sur leurs plateformes, même si cela entraînait une moindre confidentialité en ligne pour les Canadiens.
Environ la moitié des parents (50 %) et des membres du grand public (47 %) disent avoir lu, vu ou entendu au moins quelque chose au sujet de l'ESEL. Plus de quatre personnes sur cinq croient que l'ESEL est un problème important à l'extérieur du Canada. La tendance ressemble aux résultats de 2020, plus de trois personnes sur cinq estimant que l'ESEL est un problème au Canada, et la moitié affirmant que c'est un problème dans sa province. Comme les territoires de compétence se restreignent localement à leur ville ou à leur quartier, relativement moins de gens perçoivent l'ESEL comme un problème.
Moins de six parents sur dix (57 %) et membres du grand public (53 %) affirment qu'ils renonceraient à certains de leur droit à la vie privée en ligne afin de protéger les enfants contre l'exploitation sexuelle en ligne, une diminution par rapport aux 66 % de 2020.
Les parents décrivent les différentes façons d'interagir de leurs enfants en ligne, principalement sur un téléphone ou une tablette, un ordinateur à la maison, un ordinateur à l'école ou un système de jeu. Une personne sur trois surveille principalement ou toujours l'activité en ligne de son enfant à la maison et une proportion semblable le fait rarement ou jamais. Environ deux parents sur trois qui ont des enfants utilisant des médias sociaux « suivent » au moins en partie les médias sociaux de leur enfant. La surveillance est plus élevée chez les enfants plus jeunes et diminue à mesure qu'ils vieillissent. La plupart des parents (62 %) signalent que leur enfant interagit uniquement avec ses amis et sa famille. À mesure que les enfants vieillissent, ils sont plus susceptibles d'interagir avec des amis, des célébrités et des parents d'amis.
Les parents parlent plus souvent de certains aspects des activités en ligne avec leur enfant, y compris les gens à qui ils parlent ou avec qui ils interagissent, ce qu'ils confient à d'autres personnes et les sites qu'ils visitent. Ils parlent moins souvent d'autres activités en ligne – notamment de la façon de réagir si on leur demande de faire quelque chose qui les rend mal à l'aise, si on leur envoie des images ou vidéos sexuelles en ligne, si quelqu'un est exploité en ligne –, de paramètres de confidentialité et de conditionnement. Certains parents n'abordent jamais des sujets de l'ESEL, comme le « capping », la sextortion et le sextage, bien que les parents d'enfants plus âgés soient plus susceptibles de le faire.
Lorsqu'il est question de la capacité à aborder le sujet de l'ESEL avec l'enfant, près de neuf parents sur dix disent se sentir responsables de parler à leur enfant de la sécurité sur Internet, et à peu près la même proportion n'est pas d'accord pour dire qu'ils n'ont pas le temps de parler à leur enfant de leurs activités en ligne. Trois parents sur cinq croient savoir de quelle façon parler de la sécurité sur Internet avec leur enfant. D'autre part, seule une personne sur sept affirme conserver des ressources sur ce sujet à portée de main. Un répondant sur trois croit également ne pas être en mesure de suivre le rythme de la technologie, des applications et des jeux que leurs enfants utilisent, et à peu près la même proportion déclare ne pas savoir où rechercher de l'aide traitant de la sécurité sur Internet.
Environ la moitié des parents conviennent que parler de la sécurité sur Internet augmente leur sentiment de bien-être et de sécurité. Cependant, seules quatre personnes sur dix disent que c'est une habitude, bien que cela soit plus probable chez les gens qui ont entendu parler de l'ESEL, qui estiment que c'est un problème local ou qui ont eu connaissance d'un comportement inapproprié.
Près de la moitié des parents déclare que leur enfant les a abordés pour discuter d'expériences en ligne douteuses qu'eux, des amis ou des connaissances ont vécues, ce qui est en hausse par rapport aux 33 % enregistrés en 2020. À l'instar de 2020, un parent sur quatre affirme que son enfant ou un autre jeune a été confronté à un comportement inapproprié en ligne. Cinq pour cent déclarent que leur enfant a été victime d'ESEL. Selon les parents, un comportement inapproprié en ligne a affecté la santé mentale, les relations sociales et le rendement à l'école ou au travail de leur enfant.
Presque tous les parents disent que le temps que leur enfant passe en ligne a augmenté depuis le début de la pandémie COVID-19. Plus de la moitié estiment que le risque que posent pour leurs enfants certaines activités en ligne a augmenté. Avec la transition vers l'apprentissage virtuel, moins de la moitié des parents disent surveiller ou superviser quotidiennement ou presque quotidiennement leur enfant pendant leurs séances d'enseignement virtuel.
À peu de choses près, seul un parent sur quatre n'a jamais recherché de l'information sur l'ESEL et sur la façon de protéger son enfant. En ce qui concerne les renseignements requis, la plupart des parents souhaitent obtenir de l'information sur la façon de reconnaître les signes et les symptômes de l'ESEL ou sur les mesures à prendre en matière de protection de la vie privée et de sécurité. Près de la moitié des parents souhaitent obtenir des informations sur la façon de parler de l'ESEL à leurs enfants. La plupart des parents aimeraient trouver de l'information sur un site Internet ou en recevoir par le biais de l'école de leur enfant.
La connaissance de cyberaide.ca reste faible, seuls 12 % des parents et 9 % des membres du grand public affirmant connaître un peu ou très bien le site Web ou le Centre canadien de protection de l'enfance. Parmi ceux qui ont une certaine connaissance de cyberaide.ca, une plus grande proportion l'a utilisé pour accéder à des ressources éducatives. Relativement peu de répondants se sont inscrits à des alertes ou ont porté plainte.
Les résultats détaillés de l'étude sont présentés dans les sections ci-dessous. Les résultats globaux sont présentés dans la section principale du rapport et sont normalement appuyés par un graphique ou une présentation tabulaire. Des textes à puces sont également utilisés pour mettre en évidence des différences statistiques importantes entre des sous-groupes de répondants. Si aucune différence n'est soulignée dans le rapport, cela signifie que la différence n'est statistiquement pas considérable[1] par rapport aux résultats globaux ou que cette différence est considérée comme beaucoup trop faible pour être digne de mention.
Les parents ayant des enfants âgés de 8 et 18 ans constituent un principal groupe cible. Par conséquent, les résultats pour ce segment de 1 000 répondants sont isolés tout au long du rapport, ou le segment est simplement désigné par le terme « parents ». Le rapport présente également les résultats pour 1 139 membres du « grand public »[2]. Les résultats sont comparés dans l'ensemble du rapport avec un échantillon semblable recueilli entre le 25 février et le 4 mars 2020.
Les résultats pour la proportion de répondants de l'échantillon qui ont répondu « je ne sais pas » ou qui n'ont pas fourni une réponse peuvent ne pas être indiqués dans la représentation graphique des résultats dans tous les cas, particulièrement lorsqu'ils ne sont pas appréciables (p. ex., 10 % ou moins). Aussi, il est possible que les résultats ne donnent pas 100 % en raison des arrondissements. Le questionnaire de sondage programmé se trouve à l'annexe B.
À titre de cadre supérieur des Associés de recherche Ekos Inc., j'atteste par la présente que les documents remis sont entièrement conformes aux exigences de neutralité politique du gouvernement du Canada exposées dans la Politique sur les communications et l'image de marque et dans la Directive sur la gestion des communications. En particulier, les documents remis ne contiennent pas de renseignements sur les intentions de vote électoral, les préférences quant aux partis politiques, les positions des partis ou l'évaluation de la performance d'un parti politique ou de ses dirigeants.
Signé par : Susan Galley (Vice-présidente)
Le sondage commençait par des questions visant à évaluer divers points de vue généraux sur la sécurité en ligne pour les enfants. Deux parents sur trois (67 %) et membres du grand public (70 %) ne sont pas d'accord pour dire que les enfants vivent dans un environnement en ligne sûr. Ces résultats sont semblables ou légèrement supérieurs à ceux obtenus en 2020 alors que 63 % des parents et 65 % du grand public avaient cette opinion. Les répondants sont tout aussi d'accord pour dire que les fournisseurs de services numériques devraient être en mesure de rechercher de façon proactive du matériel de maltraitance des enfants sur leurs plateformes, même si cela signifiait moins de confidentialité personnelle en ligne pour les Canadiens. Dans ce cas, 64 % des parents et une proportion un peu inférieure de membres du grand public (59 %) partagent le même avis. Encore une fois, les résultats correspondent à peu de choses près à ce qu'ils étaient en 2020, quoique légèrement inférieurs, alors que les proportions étaient de 68 % pour les parents et de 65 % pour les membres du grand public.
QA. Pour commencer, dans quelle mesure êtes-vous d'accord ou en désaccord avec les énoncés suivants?
Base : Tous les répondants : Parents (n=1000); population générale (n=1139)
Plus généralement, les parents et les membres du grand public décrivent l'ESEL comme de la pornographie (25 % et 26 % respectivement), comme une pratique qui force des enfants à fournir du contenu sexuel ou les menace pour en obtenir (25 % et 23 %), et comme du leurre (20 %). L'implication de photos explicites, l'exposition à du contenu sexuel, la distribution de contenu sexuel aux enfants et la violence envers les enfants sont également mentionnées dans des proportions allant de 12 % à 16 %.
Col1 | 2022 Parents | 2022 Population générale | 2020 Parents | 2020 Population générale |
---|---|---|---|---|
Q1. Autant que vous sachiez, à quoi l'exploitation sexuelle des enfants en ligne fait-elle référence? | n=1000 | n=1139 | n=953 | n=1119 |
Pornographie ou pornographie juvénile | 25 % | 26 % | 26 % | 30 % |
Forcer des enfants à fournir du contenu sexuel ou les menacer pour en obtenir | 25 % | 23 % | -- | -- |
Leurre | 20 % | 20 % | 12 % | 10 % |
Photos explicites ou de nudité | 16 % | 12 % | 31 % | 30 % |
Exposer les enfants à du contenu sexuel | 16 % | 13 % | -- | -- |
Abus, abus d'enfant, abus sexuel | 16 % | 16 % | 18 % | 15 % |
Distribution, partage, bénéfice de contenu sexuel avec des enfants | 14 % | 12 % | -- | -- |
Exploitation, prendre avantage | 9 % | 7 % | 21 % | 18 % |
Contenu exposant des enfants de façon sexuelle | 9 % | 8 % | -- | -- |
Trafic, commerce du sexe | 7 % | 7 % | 5 % | 5 % |
Sollicitation, paiement pour du sexe | 2 % | 2 % | 5 % | 5 % |
Prédateur, prédateur en ligne | 5 % | 4 % | 6 % | 6 % |
Faire semblant d'être un enfant, faux profil | 5 % | 4 % | 5 % | 5 % |
Tentative de rencontre en personne | 5 % | 6 % | -- | -- |
Mineurs, moins de 18 ans | 3 % | 3 % | 9 % | 12 % |
Je ne sais pas/Je préfère ne pas répondre | 13 % | 19 % | 6 % | 6 % |
Environ la moitié des parents (50 %) et des membres du grand public (47 %) disent avoir lu, vu ou entendu quelque chose sur l'ESEL, bien que peu aient répondu « beaucoup » à cette question. Environ le tiers n'en a pas beaucoup entendu parler (35 % des parents et 36 % des membres du grand public) et environ un répondant sur sept de chaque segment n'a rien lu, vu ou entendu à ce sujet. En 2020, les résultats étaient semblables chez les membres du grand public, bien qu'un peu plus élevés chez les parents, alors que 57 % répondaient « un peu » ou « beaucoup » à cette question.
Q2a. Au cours des trois derniers mois, dans quelle mesure avez-vous vu, lu ou entendu parler de l'exploitation sexuelle des enfants en ligne en tant que problème?
Base : Tous les répondants : Parents (n=1000); population générale (n=1019)
Les parents et les membres du grand public ont le plus souvent entendu parler de personnes prises, arrêtées ou accusées (17 %), de la traite humaine (parents : 11 % et membres du grand public : 9 %), de leurre (10 % et 9 %), du fait qu’il s’agit d’un problème permanent (9 %) ou croissant (8 % et 9 %) ou atteindre les enfant dans le but d’images explicites (9 % and 5 %).
Col1 | 2022 Parents | 2022 Population générale | 2020 Parents | 2020 Population générale |
---|---|---|---|---|
Q3. Qu'avez-vous entendu au sujet de l'exploitation sexuelle des enfants en ligne en tant que problème? Veuillez donner une réponse aussi précise que possible. | n=504 | n=531 | n=539 | n=516 |
Criminels; personnes prises, arrêtées ou inculpées | 17 % | 17 % | 14 % | 13 % |
Trafic sexuel, traite humaine, commerce du sexe | 11 % | 9 % | 9 % | 9 % |
Leurre | 10 % | 8 % | 6 % | 8 % |
Cela se produit, préoccupation existante ou permanente | 9 % | 9 % | 7 % | 6 % |
Envoyer des messages aux enfants pour obtenir des photos ou vidéos de nudité ou de comportements sexuels explicites | 9 % | 5 % | -- | -- |
Le problème prend de l'ampleur ou est en croissance | 8 % | 9 % | 10 % | 12 % |
Vu ou entendu dans les médias | 7 % | 6 % | 10 % | 11 % |
Pornographie juvénile | 6 % | 6 % | 9 % | 9 % |
Extorsion, menaces, intimidation pour du contenu, vol d'images pour utilisation sur des sites web | 6 % | 5 % | -- | -- |
Importance d'être informé ou éduqué en tant que parent ou membre de la famille | 5 % | 4 % | -- | -- |
Difficultés à trouver et à poursuivre les délinquants | 5 % | 5 % | -- | -- |
Suicide et répercussions sur la santé mentale des victimes | 4 % | 5 % | -- | -- |
Mises en garde et efforts continus pour le combattre | 3 % | 4 % | 6 % | 4 % |
Photos explicites ou de nudité ou vidéo | 3 % | 3 % | 5 % | 5 % |
Abus d'enfants, pédophiles, agression sexuelle | 3 % | 4 % | -- | -- |
Prédateurs | 2 % | 3 % | 5 % | 4 % |
Les FAI, sociétés technologiques et entreprises n'en font pas assez pour protéger les enfants | 2 % | 3 % | -- | -- |
Industrie rentable établie | 2 % | 3 % | -- | -- |
Autre | 4 % | 4 % | 12 % | 13 % |
Ne sais pas/Préfère ne pas répondre | 15 % | 18 % | 4 % | 5 % |
Les parents et les membres du grand public sont exposés au problème de l'ESEL par diverses sources. Deux répondants sur cinq mentionnent les médias sociaux (42 % pour chaque groupe), la télévision (40 % et 46 % respectivement), quoique cette proportion soit considérablement en baisse par rapport aux 53 % et aux 59 % obtenus en 2020), l'Internet (38 % et 36 %) et les journaux (34 % et 38 %). Un moins grand nombre mentionne la radio (29 % et 28 %), les amis et la famille (24 % et 19 %), l'école (15 % des parents et 8 % des membres du grand public) ou les services de télévision en continu (10 % et 11 %, respectivement).
Col1 | 2022 Parents | 2022 Population générale | 2020 Parents | 2020 Population générale |
---|---|---|---|---|
Q3b. Et, où avez-vous entendu ces propos? | n=504 | n=531 | n=540 | n=502 |
Réseaux sociaux (Facebook, Twitter, YouTube, Instagram, LinkedIn, Snapchat, etc.) | 42 % | 42 % | 47 % | 45 % |
Télévision | 40 % | 46 % | 53 % | 59 % |
Site Internet | 38 % | 36 % | 38 % | 29 % |
Journaux | 34 % | 38 % | 35 % | 33 % |
Radio | 29 % | 28 % | 31 % | 24 % |
Amis ou famille | 24 % | 19 % | 28 % | 22 % |
École | 15 % | 8 % | 14 % | 4 % |
Télévision en continu (Netflix, etc.) | 10 % | 11 % | 8 % | 7 % |
Radio en continu (Spotify, etc.) | 7 % | 9 % | 4 % | 1 % |
Magazines | 7 % | 8 % | 10 % | 5 % |
Par le travail ou l'expérience professionnelle | 5 % | 3 % | -- | -- |
Panneaux d'affichage extérieurs | 4 % | 2 % | 3 % | 2 % |
Dépliant ou brochure par la poste | 3 % | 2 % | 3 % | 1 % |
Autre | 6 % | 4 % | 2 % | 2 % |
Je ne sais pas/Je préfère ne pas répondre | 1 % | 3 % | -- | -- |
Une grande partie des parents et des membres du grand public considère l'ESEL comme un problème important dans le reste du monde (84 % et 83 %, respectivement). Une moins grande proportion considère cela comme un problème au Canada (60 % et 58 %) et dans sa province (55 % et 51 %). Au fur et à mesure que le problème est abordé à l'échelle locale, des proportions de plus en plus petites et de plus en plus grandes de parents et de membres du grand public considèrent cela comme un problème (votre ville – 39 % des parents et 36 % des membres du grand public; votre quartier – 22 % et 18 %). La tendance des résultats est la même qu'en 2020.
Q4. Selon vous, dans quelle mesure l'exploitation sexuelle des enfants en ligne est-elle un problème dans...?
Base : Tous les répondants : Parents (n=1000); population générale (n=1139)
Les parents affirment que leurs enfants ont accès à Internet de différentes façons. La plupart disent que leur enfant a recours à un téléphone ou à une tablette (91 %), ou à un ordinateur à la maison (85 %). Trois répondants sur quatre (76 %) déclarent que leur enfant utilise Internet à l'école par le biais d'un ordinateur ou d'une tablette, et la moitié (57 %) y a accès à la maison sur un système de jeu. Un enfant sur cinq (22 %) dit généralement y accéder ailleurs, ce qui est en baisse par rapport aux 44 % enregistrés il y a deux ans, bien que les résultats soient très semblables à ceux de 2020 dans d'autres domaines.
Q10 Votre enfant utilise-t-il Internet...?
Base : Parents (n=1000)
Un peu moins d'un parent sur dix (8 %) dit surveiller toujours les activités de son enfant lorsqu'il est en ligne à la maison, tandis que 26 % affirment surveiller la plupart de ses activités. La plus grande proportion de parents (35 %) dit surveiller ces activités « parfois ». Un répondant sur quatre (24 %) surveille rarement les activités en ligne de son enfant à la maison et 7 % disent ne jamais le faire. Les parents semblent moins surveiller les activités en ligne depuis 2020, et une plus grande proportion indique les surveiller rarement ou jamais (31 %, contre 19 % en 2020).
Q11. Et, lorsque votre enfant est en ligne à la maison, dans quelle mesure diriez-vous que vous surveillez son activité?
Base : Parents (n=926)
Les parents devaient également indiquer, le cas échéant, les mesures qu'ils prennent pour surveiller les activités en ligne de leur enfant à la maison. Plus de deux parents sur cinq disent vérifier l'historique de leur navigateur (43 %) ou installer l'ordinateur dans une salle commune (43 %). Ces deux méthodes sont en baisse par rapport à 2020 (57 % et 54 % respectivement). Un parent sur trois (33 %) dit bloquer des sites Web, tandis que 24 % déclarent s'asseoir avec son enfant lorsqu'il est en ligne et 21 % affirment l'éduquer ou avoir des discussions avec lui.
Q12. Et quelles mesures de protection, le cas échéant, prenez-vous pour surveiller les activités en ligne de votre enfant à la maison?
Base : Parents (n=871)
Près de la moitié des parents (45 %) ne savent pas quelles mesures de protection sont en place à l'école de leur enfant. Plus d'un parent sur trois (37 %) indique qu'il existe des bloqueurs de sites Web ou de Wi-Fi en place, tandis que 13 % mentionnent la surveillance ou le suivi de l'activité en ligne de leur enfant à l'école. Les résultats de ces deux mesures sont plus élevés que ceux obtenus en 2020, qui étaient respectivement de 22 % et de 6 %.
Col1 | 2022 | 2020 |
---|---|---|
Q13. Et, autant que vous sachiez, quelles mesures de protection sont en place à l'école de votre enfant | n=772 | n=763 |
Bloqueurs de sites Web ou de Wi-Fi | 37 % | 22 % |
Supervision, contrôle | 13 % | 6 % |
Accès limité, contrôle de l'âge, contrôle parental | 9 % | 8 % |
Politique sur le code de conduite, cours continus, enseignement de la sensibilisation | 6 % | -- |
Supervision, contrôle par un adulte ou un enseignant | 4 % | 6 % |
Les enfants ou adolescents trouvent un moyen de contourner les restrictions ou les dispositifs de sécurité | 3 % | -- |
Autre | 3 % | 4 % |
Je ne sais pas/Je préfère ne pas répondre | 45 % | 55 % |
Deux parents sur cinq affirment suivre leur enfant sur les médias sociaux, soit sur tous leurs comptes (21 %), soit sur certains d'entre eux (20 %). Un parent sur cinq affirme ne pas suivre les médias sociaux de son enfant. Près de deux sur cinq (39 %) signalent que leur enfant n'utilise pas de médias sociaux, une proportion en hausse par rapport aux 29 % de 2020.
Q14a. Est-ce que vous « suivez » votre enfant sur les médias sociaux?
Base : Parents (n=1000)
Parmi les parents d'enfants qui utilisent les médias sociaux, 30 % disent connaître les mots de passe de tous leurs comptes et 26 % les mots de passe de certains comptes. Plus de deux parents sur cinq (44 %) déclarent ne pas connaître les mots de passe des comptes de médias sociaux de leur enfant, ce qui est supérieur aux 35 % déclarés en 2020.
Q14b. [Si oui] Connaissez-vous les mots de passe de son compte ou de ses comptes?
Base : Parents d'enfants de 8 à 18 ans qui utilisent les réseaux sociaux (n=599)
Les parents mentionnent plus souvent des interactions sur Instagram (60 %), TikTok (52 %) et Snapchat (51 %), ainsi que sur YouTube (43 %), Facebook (36 %) et Minecraft (34 %). Fortnite (23 %) et d'autres jeux vidéo (26 %) sont aussi mentionnés assez souvent. Par rapport à 2020, TikTok a considérablement gagné en popularité, tout comme Instagram et Snapchat, alors que YouTube est moins populaire.
Col1 | 2022 | 2020 |
---|---|---|
Q15. Autant que vous sachiez, sur quel(s) site(s) votre enfant interagit-il avec d'autres personnes au moyen des réseaux sociaux, des jeux ou d'autres sites Internet? | n=599 | n=953 |
Instagram |
60 % | 47 % |
TikTok | 52 % | 26 % |
Snapchat | 51 % | 40 % |
YouTube | 43 % | 53 % |
Minecraft | 34 % | 27 % |
36 % | 41 % | |
Autres jeux vidéos | 26 % | 16 % |
Fortnite | 23 % | 23 % |
12 % | 15 % | |
9 % | 12 % | |
Discord | 8 % | 1 % |
Grand Theft Auto | 7 % | 8 % |
Twitch | 7 % | 4 % |
Roblox | 5 % | 2 % |
Overwatch | 3 % | 2 % |
3 % | 3 % | |
Autre | 23 % | 1 % |
Je ne sais pas/Je préfère ne pas répondre | 1 % | 4 % |
La plupart des parents d'enfants qui sont sur Internet (62 %) disent que leur enfant interagit uniquement avec ses amis et sa famille. Un peu moins d'un parent sur trois (31 %) indique que son enfant peut interagir avec des amis d'amis en ligne, et 21 % mentionnent des interactions avec des étrangers. Moins de répondants signalent que leurs enfants interagissent avec d'autres personnes en ligne. La proportion de personnes qui interagissent avec des amis et des étrangers a augmenté depuis 2020 (25 % et 12 %, respectivement).
Q16 Et, avec qui votre enfant interagit-il en ligne? N'oubliez pas que vos réponses honnêtes sont très utiles et resteront anonymes. [Veuillez cocher toutes les réponses qui s'appliquent.]
Base : Parents dont les enfants interagissent en ligne (n=599)
Dans une nouvelle série de questions en 2022, presque tous les parents (90 %) rapportent que le temps que leur enfant passe en ligne a augmenté depuis le début de la pandémie, et personne ne dit qu'il a diminué. Le risque posé aux enfants a augmenté selon la moitié des parents (53 %), tandis que 41 % affirment qu'il est resté le même. Un parent sur quatre (28 %) signale une augmentation de la surveillance, bien que la moitié dise qu'elle est restée la même et 22 % disent qu'elle a diminué depuis le début de la pandémie.
QC1a. Comment les éléments suivants ont-ils changé depuis le début de COVID en mars 2020?
Base : Parents (n=1000)
Moins de la moitié (44 %) des parents disent surveiller ou superviser quotidiennement ou presque quotidiennement leur enfant pendant leurs séances d'enseignement virtuel. Un parent sur cinq (19 %) le surveille plusieurs fois par semaine. Environ le quart le fait une fois ou moins par semaine. Un parent sur dix (11 %) indique qu'il ne surveille jamais son enfant pendant son apprentissage virtuel.
QC2. Combien de suivi ou de surveillance avez-vous fait pour votre enfant pendant l'apprentissage virtuel?
Base : Parents (n=1000)
Les parents parlent plus souvent (quotidiennement ou hebdomadairement) de certains aspects des activités en ligne avec leur enfant, y compris des gens à qui ils parlent ou avec qui ils interagissent (45 %), de ce qu'ils confient à d'autres personnes (40 %) et des sites qu'ils visitent (38 %). Ils parlent moins souvent (quelques fois par mois ou moins) d'autres activités en ligne, notamment de la marche à suivre si quelqu'un lui demande de faire quelque chose qui le rend mal à l'aise (67 %), de la façon de réagir lors de l'envoi d'images ou de vidéos sexuelles en ligne (60 %), de la marche à suivre s'il connaît quelqu'un qui est exploité en ligne (54 %), de paramètres de confidentialité (54 %) et de conditionnement (52 %). Certains sujets de l'ESEL ne sont jamais abordés par une grande partie des parents, comme le « capping » (57 %), la sextortion (48 %) et le sextage (44 %). Les résultats sont plus faibles dans de nombreux domaines par rapport à 2020, notamment les discussions sur les paramètres de confidentialité, le sextage, la sextorsion, l'envoi d'images sexuelles ou de vidéos en ligne, la marche à suivre si quelqu'un lui demande de faire quelque chose qui le rend mal à l'aise ou la marche à suivre s'il connaît quelqu'un qui est exploité en ligne.
À quelle fréquence discutez-vous de chacune des activités suivantes en ligne avec votre enfant? | Chaque jour ou presque/toutes les semaines | Quelques fois, une fois ou moins souvent (par mois) | Jamais | 2020 Chaque jour ou semaine |
---|---|---|---|---|
Q17a. Sites qu'ils visitent | 38 % | 49 % | 11 % | 43 % |
Q17b. Paramètres de confidentialité | 15 % | 54 % | 28 % | 25 % |
Q17c. Personnes à qui il parle ou avec qui il interagit | 45 % | 47 % | 7 % | 48 % |
Q17d. Sujets qu'ils discutent avec les autres | 40 % | 45 % | 12 % | 43 % |
Q17e. Sextage | 6 % | 47 % | 44 % | 14 % |
Q17f. Sextortion (extorquer de l'argent ou des faveurs sexuelles de quelqu'un en menaçant de révéler la preuve de leur activité sexuelle) | 5 % | 45 % | 48 % | 13 % |
Q17g. Envoi d'images ou de vidéos sexuelles en ligne | 8 % | 60 % | 30 % | 17 % |
Q17h. Conditionnement | 9 % | 52 % | 37 % | -- |
Q17i. « Capping » | 4 % | 34 % | 57 % | -- |
Q17j. Marche à suivre si on lui demande de faire quelque chose qui le rend mal à l'aise | 18 % | 67 % | 13 % | 27 % |
Q17k. Marche à suivre s'il connaît quelqu'un qui est exploité en ligne | 8 % | 54 % | 37 % | 18 % |
Les parents devaient indiquer s'ils étaient d'accord ou en désaccord avec un certain nombre d'énoncés liés à leur capacité d'aborder l'ESEL. Les résultats liés à la première série d'énoncés indiquent que le temps requis pour parler à leur enfant n'est pas un obstacle. Cependant, le fait de savoir où aller pour obtenir de l'aide concernant la sécurité sur Internet et le fait de suivre l'évolution des technologies posent un défi important pour de nombreux parents et relativement peu d'entre eux ont à portée de main des informations pertinentes traitant de la sécurité sur Internet. La grande majorité des parents (87 %) estime avoir le temps de parler avec leur enfant de leurs activités en ligne, ce qui est en hausse par rapport aux 79 % obtenus en 2020. Une personne sur trois ne croit pas être en mesure de suivre l'évolution des technologies, y compris les applications et les jeux que son enfant utilise, et 21 % sont plus neutres, ce qui est semblable aux résultats obtenus en 2020. Seules quatre personnes sur dix (42 %) disent savoir où aller pour obtenir de l'aide concernant la sécurité sur Internet, alors que la moitié sont soit en désaccord (30 %) soit plus neutres (28 %). Six personnes sur dix (62 %) ne gardent pas des informations et des ressources traitant de la sécurité sur Internet à portée de main, ce qui est plus élevé qu'en 2020.
Q17ba-d. Veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d'accord ou en désaccord avec chacun des énoncés suivants lorsqu'il s'agit de parler de sécurité sur Internet à votre enfant.
Base : Parents (n=1000)
Presque tous les parents (90 %) sont d'accord pour dire qu'ils ont la responsabilité de parler avec leur enfant de la sécurité sur Internet, ce qui est légèrement supérieur aux 85 % enregistrés en 2020. Trois parents sur quatre (73 %) conviennent également que leur enfant serait à l'aise de se tourner vers eux pour obtenir des conseils, ce qui correspond à peu de choses près aux résultats obtenus en 2020. D'autre part, seule la moitié des parents (47 %) dit que leur enfant s'attend à ce qu'il lui parle de la sécurité sur Internet (43 % en 2020).
Comme en 2020, seul un parent sur quatre (27 %) se dit très préoccupé par le fait que son enfant soit victime d'exploitation sexuelle, bien que la moitié (47 %) ne soit pas d'accord. La grande majorité des parents (82 %) dit ne pas craindre que parler de la sécurité sur Internet avec leur enfant l'éloigne d'eux ou mentionne avoir du mal à aborder ces sujets, ce qui est en harmonie avec les résultats de 2020.
Q17be-j. Veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d'accord ou en désaccord avec chacun des énoncés suivants lorsqu'il s'agit de parler de sécurité sur Internet à votre enfant.
Base : Parents (n=1000)
Plus d'un parent sur trois ne se sent pas prêt à avoir des discussions sur l'ESEL. Seuls six parents sur dix (61 %) estiment savoir comment aborder le sujet de la sécurité sur Internet avec leur enfant. Environ la même proportion (64 %) déclare savoir comment convaincre leur enfant de parler avec eux de son activité en ligne. Les résultats obtenus sont en harmonie avec ceux de 2020.
Q17bk-i. Veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d'accord ou en désaccord avec chacun des énoncés suivants lorsqu'il s'agit de parler de sécurité sur Internet à votre enfant.
Base : Parents (n=1000)
Des obstacles semblables existent en ce qui concerne la motivation personnelle des parents. Seule la moitié (51 %) des parents sont d'accord pour dire que le fait de parler de la sécurité sur Internet avec leur enfant les fait se sentir bien, ce qui est en baisse par rapport aux 63 % enregistrés en 2020. Moins de la moitié (47 %) signale que cela leur donne l'impression d'être en sécurité, ce qui est également inférieur aux 58 % obtenus en 2020. Seules quatre personnes sur dix (43 %) ont l'habitude d'avoir régulièrement ces conversations, comme en 2020.
Q17bm-o. Veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d'accord ou en désaccord avec chacun des énoncés suivants lorsqu'il s'agit de parler de sécurité sur Internet à votre enfant.
Base : Parents (n=939)
Près de six parents sur dix (57 %) sont d'accord pour dire que le fait de parler à leur enfant de leur activité en ligne le protégera contre l'ESEL, ce qui est légèrement plus élevé que les 51 % obtenus en 2020, bien que 15 % ne soient pas d'accord et 27 % aient un point de vue neutre. Comme en 2020, seuls 32 % des parents sont d'accord pour dire qu'il s'agit de la seule forme de prévention, alors que 42 % ne sont pas d'accord.
Q17bp-q. Veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d'accord ou en désaccord avec chacun des énoncés suivants lorsqu'il s'agit de parler de sécurité sur Internet à votre enfant.
Base : Parents (n=1000)
La grande majorité des parents (89 %) déclare qu'ils parleraient à leur enfant si elle trouvait des images ou des vidéos inappropriées liées au compte de leur enfant. Trois parents sur quatre (77 %) le signaleraient à la police. Environ la moitié le signalerait à la plateforme en ligne (56 %) ou à l'école (50 %), ou rechercherait de l'aide pour son enfant auprès d'un conseiller ou d'un thérapeute (46 %). En 2022, une plus grande proportion de parents dit être susceptible de signaler des images inappropriées à la plateforme en ligne (38 % en 2020) ou de demander de l'aide pour son enfant auprès d'un conseiller ou d'un thérapeute (33 % en 2020).
Col1 | 2022 | 2020 |
---|---|---|
Q24. Que feriez-vous si vous trouviez des images ou vidéos inappropriées liées au compte de votre enfant? | n=948 | n=919 |
J'en parlerais à mon enfant | 89 % | 88 % |
Je le signalerais à la police | 77 % | 77 % |
Je le signalerais à la plateforme en ligne (par ex. Instagram, YouTube, etc.) | 56 % | 38 % |
Je le signalerais à l'école | 50 % | 46 % |
Je chercherais de l'aide pour mon enfant auprès d'un conseiller ou d'un thérapeute | 46 % | 33 % |
Je demanderais l'appui d'autres adultes et membres de la famille | 39 % | -- |
J'irais parler directement avec la personne qui aurait interagi avec mon enfant | 35 % | 30 % |
Je le signalerais au site Web www.cyberaide.ca | 27 % | 29 % |
Je chercherais de l'aide pour moi-même auprès d'un conseiller ou d'un thérapeute | 14 % | 10 % |
Dépend de la gravité de la situation, de la personne, de l'endroit ou du contenu qui a été impliqué | 5 % | -- |
Autre | 3 % | 1 % |
Rien | 0 % | 0 % |
Je ne sais pas/Je préfère ne pas répondre | 1 % | 0 % |
Près de la moitié des parents (47 %) déclare que leur enfant les a abordés pour discuter d'expériences en ligne douteuses qu'eux, des amis ou des connaissances ont vécues, ce qui est en hausse par rapport aux 33 % enregistrés en 2020. À leur connaissance, 22 % des parents indiquent qu'il y a eu des cas d'ESEL dans leur communauté. Plus de la moitié d'entre eux (53 %) déclare ne pas avoir eu connaissance d'un cas d'ESEL et 25 % ne sont pas sûrs ou préfèrent ne pas répondre. À l'instar de 2020, un parent sur quatre (26 %) affirme que son enfant ou un autre jeune a eu affaire à un comportement inapproprié en ligne.
Dans leur propre ménage, 5 % des parents déclarent que leur enfant a été victime d'ESEL (soit 4 % en 2020).
Q21. Autant que vous sachiez, votre enfant a-t-il déjà été victime d'une forme quelconque d'exploitation sexuelle des enfants en ligne? C'est-à-dire, la cyberprédation (leurre d'enfants) en offrant une récompense en échange de quelque chose; la pornographie juvénile en ligne; les contraintes à se prostituer en ligne; le sextage; et la distribution non consensuelle d'images intimes.
Base : Parents (n=1000)
Plus précisément, ces parents affirment que leur enfant a regardé, entendu ou reçu du matériel sexuel ou offensant (26 %), a été victime d'intimidation en ligne (13 %), ou a reçu une demande de matériel inapproprié (p. ex., sexuel) ou a été invité à participer à ce genre de matériel (10 %). Un moins grand nombre de parents mentionne l'utilisation d'un langage inapproprié ou des conversations sur un comportement inapproprié (7 %). Les résultats sont semblables à ceux obtenus en 2020, bien que l'incidence de matériel offensant ou d'intimidation en ligne semble légèrement plus élevée en 2022.
Col1 | 2022 | 2020 |
---|---|---|
Q21a. Si vous êtes à l'aise de le faire, pouvez-vous nous communiquer plus de détails sur ce qui s'est passé | n=273 | n=225 |
A regardé, vu ou reçu des vidéos, des photos ou des messages à caractère sexuel, offensants ou explicites | 26 % | 15 % |
Victime de cyberintimidation, intimidé(e) par des amis | 13 % | 8 % |
Demandé ou offert de participer à des vidéos, photos, messages ou jeux à caractère sexuel, offensants ou explicites | 10 % | 10 % |
Utilisation d'un langage inapproprié | 7 % | 5 % |
A eu des conversations sur des comportements inappropriés | 7 % | 4 % |
Demande d'ami, d'étranger, d'adulte prétendant avoir le même âge | 5 % | 7 % |
L'enfant a informé ses Parents du contenu | 5 % | -- |
Blocage du délinquant ou du site, demande d'ami inapproprié, discussions de groupe | 2 % | 6 % |
A signalé un comportement inapproprié à l'école ou aux autorités | 2 % | 6 % |
Autre | 11 % | 9 % |
Rien | 9 % | 5 % |
Je ne sais pas/Je préfère ne pas répondre | 26 % | 43 % |
La plupart du temps, ces parents parlent à leur enfant (66 %) de comportements inappropriés. Certains parents disent avoir signalé un comportement inapproprié à l'école (23 %), avoir demandé l'aide d'autres adultes (16 %), l'avoir signalé à la police (13 %), l'avoir signalé à la plateforme en ligne (11 %) ou avoir cherché de l'aide pour leur enfant auprès d'un conseiller ou d'un thérapeute (11 %). La plupart (64 %) sont satisfaits du résultat obtenu. Moins de parents indiquent avoir parlé à leur enfant qu'en 2020, alors que 80 % l'avaient fait.
Col1 | 2022 | 2020 |
---|---|---|
Q20. Et, qu'avez-vous fait? | n=273 | n=225 |
J'en ai parlé à mon enfant | 66 % | 80 % |
Je l'ai signalé à l'école | 23 % | 27 % |
J'ai demandé l'appui d'autres adultes et membres de la famille | 16 % | 18 % |
Je l'ai signalé à la police | 13 % | 18 % |
J'ai cherché de l'aide pour mon enfant auprès d'un conseiller ou d'un thérapeute | 11 % | 11 % |
Je l'ai signalé à la plateforme en ligne (p. ex. Instagram, YouTube, etc.) | 11 % | 14 % |
J'ai parlé directement à la personne qui avait interagi avec mon enfant | 9 % | 16 % |
A parlé aux Parents de l'autre enfant | 5 % | -- |
Application, site supprimé, utilisateur bloqué, compte supprimé | 4 % | -- |
J'ai cherché de l'aide pour moi-même auprès d'un conseiller ou d'un thérapeute | 3 % | 3 % |
Je l'ai signalé au site Web www.cyberaide.ca | 1 % | 9 % |
Autre | 6 % | 3 % |
Je n'ai rien fait | 9 % | 8 % |
Sans objet, ont répondu non à leur enfant en tant que victime | 13 % | 0 % |
Bien qu'un parent sur trois (33 %) indique que l'incident d'ESEL n'a pas eu d'effets à long terme, de nombreux autres effets sont mentionnés. Près de la moitié (49 %) des répondants font état de répercussions sur la santé mentale ou sur l'estime de soi de leur enfant. Environ une personne sur trois mentionne des répercussions à long terme sur les relations sociales et sur les amitiés de leur enfant (37 %), ou sur son rendement à l'école ou au travail (36 %), et environ la même proportion signale une incidence sur leur propre santé mentale (36 %). Chacun de ces échantillons semble avoir augmenté par rapport à 2020, bien qu'il faille interpréter cela avec prudence, car les échantillons de ces sondages sont de petite taille.
Col1 | 2022 | 2020 |
---|---|---|
Q23b. Et, diriez-vous qu'il y a eu des effets à long terme sur l'un des éléments suivants en raison de l'incident? | n=49 | n=44 |
La santé mentale de votre enfant ou son estime de soi | 49 % | 33 % |
Relations sociales et amicales de votre enfant | 37 % | 25 % |
Le rendement de votre enfant à l'école ou au travail | 36 % | 17 % |
Votre santé mentale | 36 % | 22 % |
Relations familiales | 18 % | 25 % |
Votre rendement à l'école ou au travail | 13 % | 13 % |
La santé physique de votre enfant | 13 % | 8 % |
Effets négatifs sur la santé mentale (stress, problèmes de confiance, comportement dissociatif) | 11 % | -- |
Votre santé physique | 10 % | 6 % |
Vos relations sociales et amicales | 8 % | 14 % |
Autre | 4 % | 0 % |
Rien | 33 % | 34 % |
Je ne sais pas/Je préfère ne pas répondre | 2 % | -- |
À peu de choses près, seul un parent sur quatre (27 %) n'a jamais recherché de l'information sur l'ESEL et sur la façon de protéger ses enfants. En ce qui concerne les informations requises, la majorité des parents aimerait avoir des renseignements sur la façon de reconnaître les signes et symptômes de l'exploitation sexuelle en ligne (59 %) ou sur les mesures de protection de la vie privée et de sécurité à prendre (55 %). Un peu moins de la moitié des répondants (47 %) aimerait obtenir des informations sur la façon de parler à leurs enfants de l'ESEL. Environ un parent sur trois souhaiterait obtenir des informations sur les ressources et les lignes d'aide (39 %), sur les lois (35 %) ou sur les personnes les plus à risque (31 %). Chaque besoin d'information a été signalé par moins de parents qu'en 2020, en particulier la reconnaissance des signes et des symptômes (59 % contre 71 % en 2020).
Q17ab. Quelles informations souhaiteriez-vous avoir pour mieux protéger votre enfant contre l'exploitation sexuelle en ligne? [Veuillez cocher toutes les réponses qui s'appliquent]
Base : Parents (n=1000)
La plupart des parents aimeraient trouver de l'information sur un site Internet (71 %) ou en recevoir par le biais de l'école de leur enfant (61 %). Environ deux personnes sur cinq souhaitent obtenir de l'information sur les médias sociaux (39 %) ou un dépliant ou une brochure par la poste (38 %). L'obtention de renseignements au cabinet d'un médecin (23 %) ou par des amis et des membres de la famille (18 %) figure parmi les autres méthodes souvent mentionnées. La plupart des sources d'information privilégiées sont semblables ou légèrement inférieures aux résultats de 2020, notamment l'intérêt pour de l'information par la poste, qui est en baisse par rapport aux 48 % enregistrés en 2020.
Q17ac. Et où souhaitez-vous recevoir ou trouver ces informations?
Base : Parents qui ont recherché de l'information (n=863)
La connaissance de cyberaide.ca reste faible, seuls 12 % des parents et 9 % des membres du grand public affirmant le connaître un peu ou très bien. En fait, 66 % des parents et 72 % des membres du grand public ne le connaissent pas du tout. Ces résultats sont semblables à ceux obtenus en 2020.
Q8. Dans quelle mesure connaissez-vous le site Web www.cyberaide.ca et le Centre canadien de protection de l'enfance?
Base : Tous les répondants : Parents (n=1000); population générale (n=1139)
Parmi les parents et les membres du grand public qui connaissent le site dans une certaine mesure, un plus grand nombre l'a utilisé pour accéder à des ressources éducatives (29 % des parents et 17 % des membres du grand public). Assez peu d'entre eux se sont inscrits à des alertes (9 % et 8 % respectivement) ou ont porté plainte (5 % chacun).
Q9a-c. En pensant au site Web www.cyberaide.ca, avez-vous déjà...?
Base : Tous les répondants : Parents (n=127); population générale (n=114)
Moins de six parents sur dix (57 %) et membres du grand public (53 %) affirment qu'ils renonceraient à certains de leur droit à la vie privée en ligne afin de protéger les enfants contre l'ESEL, une baisse par rapport aux 66 % de 2020. Plus d'un répondant sur cinq de chaque segment n'est pas d'accord, ce qui est également nettement supérieur aux 9 % enregistrés en 2020. Fait intéressant, les parents souhaitent dans une moins grande mesure que les membres du grand public qu'une telle approche soit adoptée.
Q9aa. Enfin, acceptez-vous de renoncer à certains de vos droits de confidentialité en ligne (c.-à-d. la protection de vos communications en ligne ou d'autres données que vous fournissez en ligne) afin de mieux protéger les enfants de l'exploitation sexuelle en ligne? Par exemple, en permettant aux fournisseurs de services numériques de rechercher de manière proactive des contenus de maltraitance d'enfants sur leurs plateformes. Diriez-vous...?
Base : Tous les répondants : parents (n=1000); population générale (n=1139)
L'échantillon du sondage était issu de notre panel Probit, dont les membres sont recrutés de façon aléatoire. Les panélistes de Probit ont été sélectionnés pour former une base de sondage hybride recruté sur des téléphones cellulaires et des lignes terrestres à l'aide d'un système à composition aléatoire. Il s'agit de la même base de sondage et du même processus d'échantillonnage utilisés pour mener des enquêtes téléphoniques, considérés comme représentatifs de la population[3]. Une fois sélectionnées, nous avons communiqué avec eux par téléphone et les avons recrutés en leur demandant de créer un profil de base (c.-à-d. en répondant à l'instrument de base du sondage), qui comprenait un éventail de questions visant à obtenir des renseignements démographiques les décrivant. Nous leur demandions également s'ils souhaitaient répondre au sondage au téléphone ou en ligne. Tous les membres de l'échantillon étaient admissibles à une participation, y compris ceux qui ne possédaient qu'un téléphone cellulaire, ceux qui n'avaient pas accès à Internet et ceux qui préféraient simplement répondre au téléphone plutôt qu'en ligne. Ce panel se compose d'un échantillon totalement représentatif de la population canadienne à partir duquel il est possible de sélectionner des échantillons aléatoires et recueillir des données d'une façon plus délibérée et en temps plus opportun que ce qui serait possible dans un sondage téléphonique traditionnel. Ce panel, qui regroupe plus de 120 000 membres, peut être tenu comme représentatif de la population canadienne (c'est-à-dire qu'une population cible donnée de notre panel correspond de très près à l'ensemble de la population), et il est donc possible de lui attribuer une marge d'erreur.
Avant la tenue du sondage, le questionnaire a été mis à l'essai 21 fois en anglais et 17 fois en français. Des questions supplémentaires ont été intégrées à la version préliminaire du questionnaire afin de recueillir les impressions des répondants sur la durée, le rythme, la clarté des libellés et d'autres aspects du sondage. Des changements mineurs ont été apportés à la suite des essais, bien que quelques questions aient été enlevées pour respecter la durée voulue du sondage.
Le sondage, qui s'est déroulé entre le 14 janvier et le 3 février 2022, utilisait un questionnaire bilingue hébergé sur un serveur Web sécurisé sous le contrôle des Associés de recherche Ekos. Le courriel d'invitation comprenait une description et une explication de l'objectif du sondage (dans les deux langues), ainsi qu'un lien vers le site du sondage. La base de données du sondage a été mise au point en ayant recours à un numéro d'identification personnel (NIP) de façon à ce que seules les personnes détenant un NIP aient accès au sondage (le NIP était inclus dans le courriel d'invitation). Le questionnaire comprenait une brève présentation de l'étude et la raison d'être de la recherche. Le message insistait également sur la nature volontaire et confidentielle de la participation au sondage. La collecte des données du sondage s'est faite dans le respect de toutes les normes de l'industrie en vigueur. Tous les membres invités du panel étaient informés de leur droit sous le régime des lois de protection de la vie privée ainsi que de la façon d'obtenir une copie de leurs réponses et des résultats du sondage.
Comme indiqué ci-dessous, le taux de réponse global des 10 398 cas est de 19,9 %. Il est de 20,5 % parmi les membres du panel Probit qui ont répondu au sondage en ligne et de 19,4 % pour ceux qui ont complété le sondage par téléphone, incluant les cas terminés ou non admissibles divisés par l'échantillon valide de 10 227 pour les échantillons combinés en ligne et téléphone, comme indiqué dans le tableau suivant.
Résultat | En ligne | Téléphone |
---|---|---|
Total | 7 839 | 2 559 |
Invalide | 27 | 144 |
Échantillon valide | 7 812 | 2 415 |
Non-réponse | 5 819 | 1 741 |
Refus | 82 | 205 |
Partiellement rempli | 345 | 1 |
Nombre total de non-réponses | 6 246 | 1 947 |
Inadmissible/Quota rempli | 0 | 15 |
Sondages terminés | 1 566 | 453 |
Taux de réponse | 20,5 % | 19,4 % |
Dans l'invitation, les répondants étaient informés que toutes leurs réponses demeureraient totalement confidentielles et qu'aucune réponse ne serait liée à des noms en particulier.
À la suite de la collecte des renseignements, la base de données a fait l'objet d'un examen pour vérifier la qualité, les valeurs aberrantes, les exigences en matière de codage et la pondération lors de la création de variables indépendantes, ce qui a servi à noter les tendances des sous-groupes (p. ex. âge, sexe, etc.) dans l'analyse. La pondération de l'échantillon se fondait sur les paramètres de la population selon les statistiques du plus récent recensement traitant de l'âge, du sexe, et des régions du pays pour chaque population générale et parents d'enfants de 8 à 18 ans.
Le tableau suivant présente l'échantillon utilisé dans le sondage.
Total | Parents | Population générale |
---|---|---|
Age (non pondéré | 1000 | 1139 |
Moins de 25 ans | 0 % | 7 % |
25 à 34 ans | 1 % | 21 % |
35 à 44 ans | 40 % | 17 % |
45 à 54 ans | 36 % | 17 % |
55 à 64 ans | 18 % | 19 % |
65 ans ou plus | 5 % | 19 % |
Scolarité (non pondéré) | 1000 | 1139 |
Moins d'un diplôme d'études secondaires ou équivalent | 2 % | 1 % |
Diplôme d'études secondaires ou équivalent | 7 % | 16 % |
Certificat ou diplôme d'apprenti ou autre certificat ou diplôme d'une école de métier | 4 % | 6 % |
Certificat ou diplôme d'un collège, d'un cégep ou d'un autre établissement non universitaire | 21 % | 23 % |
Certificat ou diplôme universitaire inférieur à un baccalauréat | 5 % | 7 % |
Baccalauréat | 32 % | 25 % |
Diplôme de deuxième ou de troisième cycle d'études universitaires ou plus | 29 % | 19 % |
Préfère ne pas répondre | 0 % | 1 % |
Genre (non pondéré) | 1000 | 1139 |
Homme | 46 % | 48 % |
Femme | 54 % | 50 % |
Autre | 0 % | 2 % |
Provinces (non pondéré) | 1000 | 1139 |
Colombie-Britannique | 12 % | 14 % |
Alberta | 11 % | 11 % |
Saskatchewan & Manitoba | 7 % | 7 % |
Ontario | 41 % | 38 % |
Québec | 23 % | 23 % |
Maritimes | 6 % | 7 % |
Merci pour votre participation à ce sondage. Ekos Research Associates, une société canadienne de recherche sur l'opinion publique, réalise le sondage au nom de Sécurité publique Canada sur la sécurité des enfants en ligne. If you prefer to answer the survey in English, please click on English. Votre participation est facultative et vos réponses demeureront confidentielles et anonymes. Il faut environ 15 minutes pour répondre au sondage, qui est géré par Les Associés de recherche Ekos en conformité avec à la Loi sur la protection des renseignements personnels. Pour consulter notre politique de confidentialité, cliquez ici. Si vous avez besoin d'assistance technique, veuillez communiquer avec nous à online@ekos.com.
Bonjour/Bonsoir, Pourrais-je parler à [nom du répondant]? Je m'appelle [nom de l'intervieweur] et je représente Les Associés de recherche Ekos, une entreprise de recherche sur l'opinion publique. Nous réalisons une étude pour le compte de Sécurité publique Canada sur la sécurité des enfants lorsqu'ils participent à des activités en ligne. Préférez-vous répondre aux questions du sondage en français ou en anglais?/Would you prefer to be interviewed in English or French? Vous êtes libre de participer ou non et toutes vos réponses demeureront confidentielles et anonymes. Cette recherche est enregistrée auprès du service de vérification des recherches du Conseil de recherche et d'intelligence marketing canadien. Ce sondage est mené par Les Associés de recherche Ekos et est géré en conformité avec les exigences de la Loi sur la protection des renseignements personnels.
Si on demande la durée : L'étude dure environ 15 minutes.
Si on demande le nom du client : À la fin de l'entrevue, je pourrai vous dire le nom des commanditaires de l'étude.
Si on demande : Cette recherche est enregistrée auprès du service de vérification des recherches du Conseil de recherche et d'intelligence marketing canadien. Visitez https://canadianresearchinsightscouncil.ca/rvs/home/?lang=fr si vous souhaitez vérifier son authenticité (code de projet 20220112-EK029).
Téléphone
Cet appel peut être enregistré pour contrôle de la qualité ou formation.
Les questions suivantes seront utilisées à des fins statistiques uniquement. Quel est votre genre?
En quelle année êtes-vous né(e)?
Pourrions-nous vous situer dans l'un des groupes d'âges suivants?
Pour commencer, dans quelle mesure êtes-vous d'accord ou en désaccord avec les énoncés suivants? [Téléphone]
Sur une échelle où 1 signifie fortement en désaccord, 3 signifie ni d'accord ni en désaccord et 5 signifie fortement d'accord.
Les enfants d'aujourd'hui vivent dans un environnement en ligne sûr
Pour commencer, dans quelle mesure êtes-vous d'accord ou en désaccord avec les énoncés suivants? [Téléphone]
Sur une échelle où 1 signifie fortement en désaccord, 3 signifie ni d'accord ni en désaccord et 5 signifie fortement d'accord.>
Les fournisseurs de services numériques devraient être en mesure de rechercher de façon proactive du matériel de maltraitance des enfants sur leurs plateformes, même si cela signifiait moins de confidentialité personnelle en ligne pour les Canadiens
Ce sondage porte sur l'exploitation sexuelle des enfants en ligne. Par souci de clarté, lorsque nous disons « enfant », nous faisons référence à toute personne de moins de 18 ans. Nous savons qu'il s'agit d'un sujet sensible, mais important. Nous apprécions votre participation à cette étude visant à accroître la sensibilisation et la prévention en matière d'exploitation sexuelle des enfants en ligne. Autant que vous sachiez, à quoi l'exploitation sexuelle des enfants en ligne fait-elle référence? Veuillez donner une réponse aussi précise que possible.
En fait, l'exploitation sexuelle des enfants en ligne fait référence à ce qui suit :
[Téléphone] Diriez-vous beaucoup, un peu, pas beaucoup ou pas du tout?
Qu'avez-vous entendu au sujet de l'exploitation sexuelle des enfants en ligne en tant que problème? Veuillez donner une réponse aussi précise que possible.
Et, où avez-vous entendu ces propos?
[Téléphone] Lire seulement si nécessaire. Veuillez cocher toutes les réponses qui s'appliquent.
Selon vous, dans quelle mesure l'exploitation sexuelle des enfants en ligne est-elle un problème dans...? [Téléphone]
Sur une échelle où 1 signifie pas du tout un problème et 5 signifie très grand problème.
Votre quartier
Selon vous, dans quelle mesure l'exploitation sexuelle des enfants en ligne est-elle un problème dans...? [Téléphone]
Sur une échelle où 1 signifie pas du tout un problème et 5 signifie très grand problème.>
Votre ville
Selon vous, dans quelle mesure l'exploitation sexuelle des enfants en ligne est-elle un problème dans...? [Téléphone]
Sur une échelle où 1 signifie pas du tout un problème et 5 signifie très grand problème.>
Votre province
Selon vous, dans quelle mesure l'exploitation sexuelle des enfants en ligne est-elle un problème dans...? [Téléphone]
Sur une échelle où 1 signifie pas du tout un problème et 5 signifie très grand problème.>
Le Canada
Selon vous, dans quelle mesure l'exploitation sexuelle des enfants en ligne est-elle un problème dans...? [Téléphone]
Sur une échelle où 1 signifie pas du tout un problème et 5 signifie très grand problème.>
Le reste du monde
Avez-vous des enfants âgés de 8 à 18 ans qui vivent au sein de votre ménage? À l'occurence, combien?
Voici maintenant quelques questions sur les discussions que vous avez pu avoir avec votre enfant ou vos enfants âgés de 8 à 18 ans. [AQCHILD >= 2] Pour le reste de ce sondage, lorsque nous disons « votre enfant », veuillez vous référer à un seul de vos enfants âgés de 8 à 18 ans – celui qui fêtera son anniversaire le prochain – et ne faites référence qu'à cet enfant tout au long.>
Âge de l'enfant :
Sexe de l'enfant :
Merci encore de prendre le temps de répondre à ce très important sondage pour assurer la sécurité de tous les Canadiens. Nous vous rappelons que vous pouvez abandonner votre participation au sondage à tout moment.
Merci encore de prendre le temps de répondre à ce très important sondage pour assurer la sécurité de tous les Canadiens. Nous vous rappelons que vous pouvez abandonner votre participation au sondage à tout moment. Votre enfant utilise-t-il Internet... [Téléphone] (Lisez chacun et acceptez Oui/Non pour chacun)>
À la maison au moyen d'un ordinateur
Merci encore de prendre le temps de répondre à ce très important sondage pour assurer la sécurité de tous les Canadiens. Nous vous rappelons que vous pouvez abandonner votre participation au sondage à tout moment. Votre enfant utilise-t-il Internet... [Téléphone] (Lisez chacun et acceptez Oui/Non pour chacun)
À la maison au moyen d'un système de jeu
Merci encore de prendre le temps de répondre à ce très important sondage pour assurer la sécurité de tous les Canadiens. Nous vous rappelons que vous pouvez abandonner votre participation au sondage à tout moment. Votre enfant utilise-t-il Internet... [Téléphone] (Lisez chacun et acceptez Oui/Non pour chacun)
Au moyen d'un téléphone ou d'une tablette
Merci encore de prendre le temps de répondre à ce très important sondage pour assurer la sécurité de tous les Canadiens. Nous vous rappelons que vous pouvez abandonner votre participation au sondage à tout moment. Votre enfant utilise-t-il Internet... [Téléphone] (Lisez chacun et acceptez Oui/Non pour chacun)
Au moyen d'un ordinateur ou d'une tablette scolaire
Merci encore de prendre le temps de répondre à ce très important sondage pour assurer la sécurité de tous les Canadiens. Nous vous rappelons que vous pouvez abandonner votre participation au sondage à tout moment. Votre enfant utilise-t-il Internet... [Téléphone] (Lisez chacun et acceptez Oui/Non pour chacun)
Ailleurs
Et, lorsque votre enfant est en ligne à la maison, dans quelle mesure diriez-vous que vous surveillez son activité? N'oubliez pas que vos réponses honnêtes sont très utiles et resteront anonymes.
[Téléphone] Diriez-vous toujours, plutôt, parfois, rarement, jamais?
Et quelles mesures de protection, le cas échéant, prenez-vous pour surveiller les activités en ligne de votre enfant à la maison?
[Téléphone] Lire si nécessaire. Veuillez cocher toutes les réponses qui s'appliquent.
Et, autant que vous sachiez, quelles mesures de protection sont en place à l'école de votre enfant? N'oubliez pas que vos réponses honnêtes sont très utiles et resteront anonymes. Veuillez donner une réponse aussi précise que possible.
Est-ce que vous « suivez » votre enfant sur les médias sociaux?
[Téléphone] (Si oui, précisez si sur certains ou tous les comptes)
Connaissez-vous les mots de passe de son compte ou de ses comptes?
Autant que vous sachiez, sur quel(s) site(s) votre enfant interagit-il avec d'autres personnes au moyen des réseaux sociaux, des jeux ou d'autres sites Internet?
[Téléphone] Lire si nécessaire. Veuillez cocher toutes les réponses qui s'appliquent.
Et, avec qui votre enfant interagit-il en ligne? N'oubliez pas que vos réponses honnêtes sont très utiles et resteront anonymes.
[Téléphone] Lisez la liste et acceptez chacune au fur et à mesure que vous lisez.> Veuillez cocher toutes les réponses qui s'appliquent.
À quelle fréquence discutez-vous de chacune des activités suivantes en ligne avec votre enfant? [Téléphone] Diriez-vous... (lire la liste)
Sites qu'ils visitent
À quelle fréquence discutez-vous de chacune des activités suivantes en ligne avec votre enfant? [Téléphone] Diriez-vous... (lire la liste)
Paramètres de confidentialité
À quelle fréquence discutez-vous de chacune des activités suivantes en ligne avec votre enfant? [Téléphone] Diriez-vous... (lire la liste)
Personnes à qui il parle ou avec qui il interagit
À quelle fréquence discutez-vous de chacune des activités suivantes en ligne avec votre enfant? [Téléphone] Diriez-vous... (lire la liste)
Sujets qu'ils discutent avec les autres
À quelle fréquence discutez-vous de chacune des activités suivantes en ligne avec votre enfant? [Téléphone] Diriez-vous... (lire la liste)
Sextage
À quelle fréquence discutez-vous de chacune des activités suivantes en ligne avec votre enfant? [Téléphone] Diriez-vous... (lire la liste)
Sextortion (extorquer de l'argent ou des faveurs sexuelles de quelqu'un en menaçant de révéler la preuve de leur activité sexuelle)
À quelle fréquence discutez-vous de chacune des activités suivantes en ligne avec votre enfant? [Téléphone] Diriez-vous... (lire la liste)
Envoi d'images ou de vidéos sexuelles en ligne
À quelle fréquence discutez-vous de chacune des activités suivantes en ligne avec votre enfant? [Téléphone] Diriez-vous... (lire la liste)
Le conditionnement (consiste à gagner la confiance d'un enfant et parfois des adultes qui l'entourent dans le but d'avoir accès à l'enfant et de le contrôler en normalisant certains comportements et certaines attentes)
À quelle fréquence discutez-vous de chacune des activités suivantes en ligne avec votre enfant? [Téléphone] Diriez-vous... (lire la liste)
Le « capping » (quelqu'un, habituellement un adulte, utilise diverses plateformes ou applications de diffusion vidéo en continu pour enregistrer des vidéos ou prendre des captures d'écran de garçons et de filles en train de se dévêtir ou d'avoir des relations sexuelles, souvent sans que la victime le sache)
À quelle fréquence discutez-vous de chacune des activités suivantes en ligne avec votre enfant? [Téléphone] Diriez-vous... (lire la liste)
Marche à suivre si on lui demande de faire quelque chose qui le rend mal à l'aise
À quelle fréquence discutez-vous de chacune des activités suivantes en ligne avec votre enfant? [Téléphone] Diriez-vous... (lire la liste)
Marche à suivre s'il connaît quelqu'un qui est exploité en ligne
Avez-vous déjà recherché des informations sur l'exploitation sexuelle des enfants en ligne et ce qu'il faut faire pour protéger vos enfants?
Quelles informations souhaiteriez-vous avoir pour mieux protéger votre enfant contre l'exploitation sexuelle en ligne?
[Téléphone] Lire si nécessaire. Veuillez cocher toutes les réponses qui s'appliquent.
Et où souhaitez-vous recevoir ou trouver ces informations?
[Téléphone] Lire si nécessaire. Veuillez cocher toutes les réponses qui s'appliquent.
Sur une échelle de 1 à 5, où « 1 » signifie « Fortement en désaccord » et « 5 » signifie « Tout à fait d'accord », veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d'accord ou en désaccord avec chacun des énoncés suivants lorsqu'il s'agit de parler de sécurité sur Internet à votre enfant.
Je sais où aller pour obtenir de l'aide concernant la sécurité sur Internet
Sur une échelle de 1 à 5, où « 1 » signifie « Fortement en désaccord » et « 5 » signifie « Tout à fait d'accord », veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d'accord ou en désaccord avec chacun des énoncés suivants lorsqu'il s'agit de parler de sécurité sur Internet à votre enfant.
Je n'ai pas le temps de parler à mon enfant de ses activités en ligne
Sur une échelle de 1 à 5, où « 1 » signifie « Fortement en désaccord » et « 5 » signifie « Tout à fait d'accord », veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d'accord ou en désaccord avec chacun des énoncés suivants lorsqu'il s'agit de parler de sécurité sur Internet à votre enfant.
Je garde des informations et des ressources sur la sécurité sur Internet à portée de main
Sur une échelle de 1 à 5, où « 1 » signifie « Fortement en désaccord » et « 5 » signifie « Tout à fait d'accord », veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d'accord ou en désaccord avec chacun des énoncés suivants lorsqu'il s'agit de parler de sécurité sur Internet à votre enfant.
Je ne peux pas suivre l'évolution des technologies, des applications et des jeux que mon enfant utilise
Sur une échelle de 1 à 5, où « 1 » signifie « Fortement en désaccord » et « 5 » signifie « Tout à fait d'accord », veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d'accord ou en désaccord avec chacun des énoncés suivants lorsqu'il s'agit de parler de sécurité sur Internet à votre enfant.
Je crains que parler de la sécurité sur Internet avec mon enfant l'éloigne de moi
Sur une échelle de 1 à 5, où « 1 » signifie « Fortement en désaccord » et « 5 » signifie « Tout à fait d'accord », veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d'accord ou en désaccord avec chacun des énoncés suivants lorsqu'il s'agit de parler de sécurité sur Internet à votre enfant.
Mon enfant se sentirait à l'aise de se tourner vers moi ou mon partenaire s'il avait besoin de conseils concernant ses activités en ligne
Sur une échelle de 1 à 5, où « 1 » signifie « Fortement en désaccord » et « 5 » signifie « Tout à fait d'accord », veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d'accord ou en désaccord avec chacun des énoncés suivants lorsqu'il s'agit de parler de sécurité sur Internet à votre enfant.
Je suis de l'avis que je suis responsable de parler à mon enfant de la sécurité sur Internet
Sur une échelle de 1 à 5, où « 1 » signifie « Fortement en désaccord » et « 5 » signifie « Tout à fait d'accord », veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d'accord ou en désaccord avec chacun des énoncés suivants lorsqu'il s'agit de parler de sécurité sur Internet à votre enfant.
Mon enfant s'attend à ce que je lui parle de la sécurité sur Internet
Sur une échelle de 1 à 5, où « 1 » signifie « Fortement en désaccord » et « 5 » signifie « Tout à fait d'accord », veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d'accord ou en désaccord avec chacun des énoncés suivants lorsqu'il s'agit de parler de sécurité sur Internet à votre enfant.
Je suis très préoccupé(e) par la notion que mon enfant soit victime de l'exploitation sexuelle des enfants en ligne
Sur une échelle de 1 à 5, où « 1 » signifie « Fortement en désaccord » et « 5 » signifie « Tout à fait d'accord », veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d'accord ou en désaccord avec chacun des énoncés suivants lorsqu'il s'agit de parler de sécurité sur Internet à votre enfant.
J'ai du mal à aborder le sujet de la sécurité sur Internet avec mon enfant, cela me rend mal à l'aise
Sur une échelle de 1 à 5, où « 1 » signifie « Fortement en désaccord » et « 5 » signifie « Tout à fait d'accord », veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d'accord ou en désaccord avec chacun des énoncés suivants lorsqu'il s'agit de parler de sécurité sur Internet à votre enfant.
Je sais comment parler de la sécurité sur Internet avec mon enfant
Sur une échelle de 1 à 5, où « 1 » signifie « Fortement en désaccord » et « 5 » signifie « Tout à fait d'accord », veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d'accord ou en désaccord avec chacun des énoncés suivants lorsqu'il s'agit de parler de sécurité sur Internet à votre enfant.
Je ne sais pas comment convaincre mon enfant de me parler de son activité en ligne
Sur une échelle de 1 à 5, où « 1 » signifie « Fortement en désaccord » et « 5 » signifie « Tout à fait d'accord », veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d'accord ou en désaccord avec chacun des énoncés suivants lorsqu'il s'agit de parler de sécurité sur Internet à votre enfant.
Parler de la sécurité sur Internet avec mon enfant me fait me sentir en sécurité
Sur une échelle de 1 à 5, où « 1 » signifie « Fortement en désaccord » et « 5 » signifie « Tout à fait d'accord », veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d'accord ou en désaccord avec chacun des énoncés suivants lorsqu'il s'agit de parler de sécurité sur Internet à votre enfant.
Parler de la sécurité sur Internet avec mon enfant me fait me sentir bien
Sur une échelle de 1 à 5, où « 1 » signifie « Fortement en désaccord » et « 5 » signifie « Tout à fait d'accord », veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d'accord ou en désaccord avec chacun des énoncés suivants lorsqu'il s'agit de parler de sécurité sur Internet à votre enfant.
Parler de la sécurité sur Internet est une habitude et nous en parlons régulièrement
Sur une échelle de 1 à 5, où « 1 » signifie « Fortement en désaccord » et « 5 » signifie « Tout à fait d'accord », veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d'accord ou en désaccord avec chacun des énoncés suivants lorsqu'il s'agit de parler de sécurité sur Internet à votre enfant.
Parler à mon enfant de son activité en ligne le protégera de l'exploitation sexuelle des enfants
Sur une échelle de 1 à 5, où « 1 » signifie « Fortement en désaccord » et « 5 » signifie « Tout à fait d'accord », veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d'accord ou en désaccord avec chacun des énoncés suivants lorsqu'il s'agit de parler de sécurité sur Internet à votre enfant.
Parler à mon enfant de son activité en ligne est la seule façon d'empêcher qu'il soit exploité sexuellement
Votre enfant est-il déjà venu vous parler d'une activité douteuse en ligne qu'il a vécue ou dont il a entendu parler d'un ami ou d'un pair? N'oubliez pas que vos réponses honnêtes sont très utiles et resteront anonymes.
Comment les éléments suivants ont-ils changé depuis le début de COVID en mars 2020? [Téléphone] Diriez-vous... (lire la liste)
Le temps que votre enfant passe en ligne, y compris pour l'apprentissage à distance, les communications avec les amis et la famille et les activités personnelles
Comment les éléments suivants ont-ils changé depuis le début de COVID en mars 2020? [Téléphone] Diriez-vous... (lire la liste)
Le degré de surveillance ou de supervision que votre enfant obtient lors d'activités personnelles en ligne (p. ex., les plateformes de médias sociaux, les jeux vidéo, les applications, etc.)
Comment les éléments suivants ont-ils changé depuis le début de COVID en mars 2020? [Téléphone] Diriez-vous... (lire la liste)
Le risque posé pour votre enfant par les activités en ligne
Combien de suivi ou de surveillance avez-vous fait pour votre enfant pendant l'apprentissage virtuel? [Téléphone] Diriez-vous... (lire la liste)
Avez-vous déjà eu connaissance d'un comportement inapproprié dirigé vers votre enfant ou d'autres jeunes en ligne? Les exemples peuvent inclure des commentaires inquiétants écrits envoyés à un enfant ou des images inquiétantes partagées entre des pairs.
Autant que vous sachiez, votre enfant a-t-il déjà été victime d'une forme quelconque d'exploitation sexuelle des enfants en ligne? C'est-à-dire, la cyberprédation (leurre d'enfants) en offrant une récompense en échange de quelque chose; la pornographie juvénile en ligne; les contraintes à se prostituer en ligne; le sextage; et la distribution non consensuelle d'images intimes.
Si vous êtes à l'aise de le faire, pouvez-vous nous communiquer plus de détails sur ce qui s'est passé?
Et, qu'avez-vous fait?
[Téléphone] Lisez la liste et acceptez Oui/Non pour chacun)> Veuillez cocher toutes les réponses qui s'appliquent.
Pouvez-vous nous dire pourquoi vous n'avez rien fait?
[Téléphone] Lire si nécessaire. Veuillez cocher toutes les réponses qui s'appliquent.
Et, avez-vous été satisfait du résultat?
Et, diriez-vous qu'il y a eu des effets à long terme sur l'un des éléments suivants en raison de l'incident?
[Téléphone] Lisez la liste et acceptez Oui/Non pour chacun)> Veuillez sélectionner toutes les réponses qui s'appliquent.
Que feriez-vous si vous trouviez des images ou vidéos inappropriées liées au compte de votre enfant?
[Téléphone] Lisez la liste et acceptez Oui/Non pour chacun)> Veuillez sélectionner toutes les réponses qui s'appliquent.
Autant que vous sachiez, y a-t-il eu des cas d'exploitation sexuelle en ligne dans votre communauté?
Dans quelle mesure connaissez-vous le site Web www.cybertip.ca et le Centre canadien de protection de l'enfance? [Téléphone] Diriez-vous... (lire la liste)
En pensant au site Web www.cybertip.ca, avez-vous déjà...?
Déposé un signalement
En pensant au site Web www.cybertip.ca, avez-vous déjà...?
Demandé de recevoir des alertes
En pensant au site Web www.cybertip.ca, avez-vous déjà...?
Consulté ou téléchargé des ressources pédagogiques
Enfin, acceptez-vous de renoncer à certains de vos droits de confidentialité en ligne (c.-à-d. la protection de vos communications en ligne ou d'autres données que vous fournissez en ligne) afin de mieux protéger les enfants de l'exploitation sexuelle en ligne? Par exemple, en permettant aux fournisseurs de services numériques de rechercher de manière proactive des contenus de maltraitance d'enfants sur leurs plateformes. [Téléphone] Diriez-vous... (lire la liste)
Nos dernières questions serviront à aider à regrouper vos réponses. Vous identifiez-vous comme une...?
[Téléphone] Lisez la liste et acceptez Oui/Non pour chacun)> Veuillez sélectionner toutes les réponses qui s'appliquent.
Autant que vous sachiez, votre enfant s'identifie-t-il à une...?
[Téléphone] Lisez la liste et acceptez Oui/Non pour chacun)> Veuillez cocher toutes les réponses qui s'appliquent.
Quel est le plus haut niveau d'études que vous avez atteint?
[Téléphone] Lire si nécessaire.
Où êtes-vous né(e)?
[Téléphone] Lire si nécessaire.
En quelle année êtes-vous arrivé(e) au Canada?
Quelle est la langue que vous avez apprise pour la première fois à la maison en tant qu'enfant et que vous comprenez toujours?
Choisissez jusqu'à deux réponses
Merci de votre participation. Nous n'avons plus de questions à vous poser aujourd'hui. Veuillez consulter le site Web http://www.canada.ca/child-exploitation, www.cybertip.ca, https://www.justice.gc.ca/fra/jp-cj/victimes-victims/rsv-vsd/index.html, ou www.jeunessejecoute.ca, n'importe quand pour obtenir des ressources supplémentaires ou pour signaler un crime.