Préparé à l'intention de Sécurité publique Canada
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Cette recherche sur l'opinion publique présente les résultats d'un sondage en ligne mené par Les Associés de recherche Ekos inc. pour le compte de Sécurité publique Canada. L'étude a été menée en septembre 2023 auprès de 1 199 membres du grand public et de 1 015 parents d'enfants âgés de 8 à 18 ans.
This publication is also available in English under the title: Online Child Sexual Exploitation Public Awareness Campaign.
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© Sa Majesté le Roi du chef du Canada, représenté par la ministre des Travaux publics et des Services gouvernementaux, 2023
La Stratégie nationale pour la protection des enfants contre l'exploitation sexuelle sur Internet du gouvernement du Canada a été lancée en 2004 et élargie en 2009. En 2020, les principes volontaires pour contrer l'exploitation et l'abus sexuels des enfants en ligne ont été publiés afin de fournir un cadre de lutte contre les crimes sexuels en ligne contre les enfants et de coordonner l'action entre les gouvernements et des partenaires de l'industrie. Sécurité publique Canada a lancé une campagne nationale de sensibilisation en mars 2021 qui visait à changer les attitudes et les comportements des Canadiens au sujet de l'exploitation sexuelle des enfants en ligne, un crime répréhensible causant des préjudices et des souffrances à vie aux victimes. Selon le site Web de sécurité publique, l'exploitation sexuelle des enfants en ligne (ESE en ligne) a lieu lorsque des enfants sont incités à voir ou à participer à des rencontres en ligne de nature sexuelle. L'ESE en ligne constitue l'un des problèmes de sécurité publique les plus inquiétants auxquels la société est confrontée aujourd'hui. Ce phénomène continue de causer du tort aux générations antérieures et actuelles d'enfants au Canada et à l'étranger[1]. Voici des éléments qui en font partie :
La campagne de sensibilisation a été renouvelée à l'automne 2022 afin de continuer à accroître les niveaux de sensibilisation à l'ESE en ligne, faisant mieux comprendre au public et aux parents que les enfants (personnes de moins de 18 ans) qui pratiquent le sextage s'exposent au risque d'être victimes d'ESE en ligne. Le Code criminel du Canada sert à protéger les enfants contre toutes les formes de pornographie juvénile, l'utilisation d'Internet pour attirer les enfants, les contacts sexuels et les attouchements, ainsi que l'exploitation pour des activités sexuelles illicites. Sécurité publique (SP) Canada dirige la stratégie nationale.
L'objectif de la recherche actuelle est d'effectuer le suivi des changements survenus dans le domaine de la sensibilisation du grand public et du groupe cible des parents ayant des enfants âgés de 8 à 18 ans depuis le sondage de référence tenu au début de l'année 2020 et le premier sondage de suivi mené en mars 2022. Elle est également conçue pour mesurer les changements dans la sensibilisation, les attitudes et les comportements liés aux activités à caractère sexuel en ligne des enfants chez les parents et, par le biais de faits rapportés, chez les enfants âgés de 8 à 18 ans.
Le sondage sur la sensibilisation du public sur l'ESE en ligne a été réalisé du 6 au 19 septembre 2023. Il compare les réponses de 1 015 Canadiens âgés de 18 ans et plus ayant au moins un enfant âgé de 8 à 18 ans à celles de 1 199 membres du grand public de 18 ans et plus. Chaque échantillon probabiliste recruté de façon aléatoire présente une marge d'erreur de +/- 3,2 %. La marge d'erreur des segments clés de chaque échantillon oscille entre +/- 5 % et +/- 10 %. La source de l'échantillon est le panel interne Probit, qui se compose de Canadiens et Canadiennes recrutés au hasard. Il était possible de répondre au questionnaire du sondage en ligne ou au téléphone dans l'une ou l'autre des deux langues officielles. La durée moyenne de l'enquête était de 13 minutes en ligne et de 21 minutes au téléphone. Le taux de réponse global au sondage s'établit à 14 %. L'annexe A présente plus de détails sur la méthodologie du sondage.
La sécurité des enfants en ligne est une préoccupation aussi bien pour les parents que pour les membres du grand public au Canada. Plus de deux répondants sur trois ne sont pas d'accord pour dire que les enfants d'aujourd'hui vivent dans un environnement en ligne sûr. La majorité convient que les fournisseurs de services numériques devraient être en mesure de rechercher de façon proactive du matériel de maltraitance des enfants sur leurs plateformes, même si cela signifiait moins de confidentialité personnelle en ligne pour les Canadiens.
Plus de la moitié des parents (58 %) et du grand public (57 %) disent avoir lu, vu ou entendu au moins quelque chose au sujet de l'ESE en ligne, une augmentation par rapport aux proportions obtenues en 2022. Plus de quatre personnes sur cinq croient que le ESE en ligne est un problème important à l'extérieur du Canada. Plus de six parents et membres du grand public sur dix estiment que l'ESE en ligne est un problème au Canada, et une proportion légèrement inférieure croit qu'il s'agit d'un problème dans leur province. À mesure que le territoire auquel s'applique la question diminue, une moindre proportion de répondants perçoit l'ESE en ligne comme un problème (soit quatre sur dix dans leur ville, et un sur quatre dans leur quartier).
Moins de six parents sur dix (59 %) et membres du grand public (54 %) affirment qu'ils renonceraient à certains de leur droit à la vie privée en ligne afin de protéger les enfants contre l'exploitation sexuelle en ligne, ce qui est en harmonie avec les résultats de 2022, mais en baisse par rapport aux 66 % obtenus en 2020.
Les parents décrivent les différentes façons d'interagir de leurs enfants en ligne, principalement sur un téléphone ou une tablette, un ordinateur à la maison, un ordinateur à l'école ou un système de jeu. Un peu plus d'un répondant sur trois surveille principalement ou toujours l'activité en ligne de son enfant à la maison, bien que plus d'un sur quatre le fasse rarement ou jamais. Quatre parents sur dix disent vérifier l'historique de leur navigateur ou installent l'ordinateur dans une salle commune, tandis qu'une moindre proportion bloque des sites. Parmi les parents dont les enfants utilisent des médias sociaux, environ deux sur trois suivent les comptes de leur enfant au moins en partie. La surveillance est plus élevée pour les enfants plus jeunes et diminue à mesure qu'ils vieillissent. La plupart des parents (63 %) signalent que leur enfant interagit uniquement avec ses amis et sa famille. À mesure que les enfants vieillissent, ils sont plus susceptibles d'interagir avec des amis, des célébrités et des parents d'amis.
Les parents parlent plus souvent de certains aspects des activités en ligne avec leur enfant, y compris les gens avec qui ils interagissent, les confidences qu'ils font à d'autres personnes et les sites qu'ils visitent. Ils parlent moins souvent d'autres activités en ligne, notamment de la façon de réagir si on leur demande de faire quelque chose qui les rend mal à l'aise, si on leur envoie des images ou vidéos à caractère sexuel en ligne et si quelqu'un est exploité en ligne, ainsi que de paramètres de confidentialité et de manipulation psychologique. Certains sujets de l'ESE en ligne ne sont jamais abordés par certains parents, comme le recouvrement, la sextorsion et le sextage, bien que les parents d'enfants plus âgés soient plus susceptibles de les aborder.
Lorsqu'il est question de leur capacité à aborder le sujet de l'ESE en ligne avec leur enfant, près de neuf parents sur dix disent sentir la responsabilité de leur parler de la sécurité sur Internet. À peu de choses près, la même proportion n'est pas d'accord pour dire qu'elle n'a pas le temps de parler à son enfant de ses activités en ligne. Trois parents sur cinq croient savoir de quelle façon parler de la sécurité sur Internet avec leur enfant. D'autre part, seule une personne sur sept affirme conserver des ressources sur ce sujet à portée de main. Un répondant sur trois croit également ne pas être en mesure de suivre le rythme de la technologie, des applications et des jeux que son enfant utilise, et à peu près la même proportion déclare ne pas savoir où chercher de l'aide traitant de la sécurité sur Internet.
Environ la moitié des parents conviennent que parler de la sécurité en ligne augmente leur sentiment de bien-être et de sécurité. Un peu moins de la moitié des parents affirme que c'est une habitude, bien que cela soit plus probable chez les gens qui ont entendu parler de l'ESE en ligne, qui estiment que c'est un problème local ou qui ont eu vent d'un comportement inapproprié.
Près de la moitié des parents déclare que leur enfant les a abordés pour discuter d'activités en ligne douteuses qu'eux, des amis ou des connaissances ont vécues. Cette proportion est en harmonie avec les résultats de 2022, mais en hausse considérable par rapport aux 33 % enregistrés en 2020. À l'instar des éditions antérieures, un peu plus d'un parent sur quatre affirme que son enfant ou un autre jeune a été confronté à un comportement inapproprié en ligne. Six pour cent déclarent que leur enfant a été victime d'ESE en ligne. Selon les parents, un comportement inapproprié en ligne a affecté la santé mentale, les relations sociales et le rendement à l'école ou au travail de leur enfant.
Deux parents sur trois disent que le temps que leur enfant passe en ligne a augmenté depuis le début de la pandémie de COVID-19, proportion qui s'établissait à 90 % en 2022. Un peu moins de la moitié estime que le risque que posent pour leurs enfants certaines activités en ligne a augmenté, ce qui représente une baisse par rapport aux 53 % obtenus en 2022. Un peu plus de la moitié des parents dit surveiller ou superviser quotidiennement ou presque quotidiennement son enfant pendant les séances d'enseignement virtuelles, ce qui constitue une augmentation par rapport aux 44 % obtenus en 2022.
Un parent sur trois a déjà cherché des informations sur l'ESE en ligne et sur la façon de protéger ses enfants. Cette proportion est plus élevée que le répondant sur quatre qui affirmait le faire en 2022. En ce qui concerne les renseignements recherchés, la plupart des parents souhaitent obtenir de l'information sur la façon de reconnaître les signes et les symptômes de l'ESE en ligne. Environ la moitié des parents souhaitent obtenir des informations sur la protection de la vie privée, sur les mesures de sécurité à prendre et sur la façon de parler de l'ESE en ligne à leurs enfants. La plupart des parents aimeraient trouver de l'information sur un site Web ou en recevoir par le biais de l'école de leur enfant. Le tiers des répondants préférerait recevoir des informations par le biais des médias sociaux, proportion qui est en hausse depuis 2022.
La connaissance de cyberaide.ca reste faible, seuls 14 % des parents et 13 % des membres du grand public affirmant connaître un peu ou très bien le site Web ou le Centre canadien de protection de l'enfance. La sensibilisation du grand public a toutefois connu une légère augmentation comparativement aux 9 % de 2022 et aux 8 % de 2020. Parmi ceux qui connaissent dans une certaine mesure cyberaide.ca, une plus grande proportion l'a utilisé pour accéder à des ressources éducatives. Assez peu de répondants se sont inscrits à des alertes ou ont porté plainte.
Les résultats détaillés de l'étude sont présentés dans les sections ci-dessous. Les résultats globaux sont présentés dans la section principale du rapport et sont normalement appuyés par un graphique ou une présentation tabulaire. Des textes à puces sont également utilisés pour mettre en évidence des différences statistiques importantes entre des sous-groupes de répondants. Si aucune différence n'est soulignée dans le rapport, cela signifie que la différence n'est statistiquement pas considérable[2] par rapport aux résultats globaux ou que cette différence est considérée comme beaucoup trop faible pour être digne de mention.
Les parents ayant des enfants âgés de 8 à 18 ans constituent le principal groupe ciblé. Par conséquent, les résultats pour ce segment de 1 015 répondants sont isolés tout au long du rapport, ou le segment est simplement désigné par le terme « parents ». Le rapport présente également les résultats pour 1 199 membres du « grand public »[3]. Les résultats sont comparés dans l'ensemble du rapport avec un échantillon semblable recueilli entre 2020, 2022 et 2023.
Les résultats pour la proportion de répondants de l'échantillon qui ont répondu « je ne sais pas » ou qui n'ont pas fourni une réponse peuvent ne pas être indiqués dans la représentation graphique des résultats dans tous les cas, particulièrement lorsqu'ils ne sont pas appréciables (p. ex., 10 % ou moins). Aussi, il est possible que les résultats ne donnent pas 100 % en raison des arrondissements. Le questionnaire du sondage se trouve à l'annexe B.
À titre de cadre supérieur des Associés de recherche Ekos Inc., j'atteste par la présente que les documents remis sont entièrement conformes aux exigences de neutralité politique du gouvernement du Canada exposées dans la Politique sur les communications et l'image de marque et dans la Directive sur la gestion des communications. En particulier, les documents remis ne contiennent pas de renseignements sur les intentions de vote électoral, les préférences quant aux partis politiques, les positions des partis ou l'évaluation de la performance d'un parti politique ou de ses dirigeants.
Signé par Susan Galley (Vice-présidente)
Le sondage commençait par des questions visant à évaluer divers points de vue généraux de la sécurité sur Internet pour les enfants. Plus de sept parents sur dix (74 %) et membres du grand public (71 %) ne sont pas d'accord pour dire que les enfants vivent dans un environnement en ligne sûr. Ces résultats démontrent que les parents sont plus préoccupés par l'environnement en ligne qu'en 2020, alors que 63 % des parents et 65 % du grand public étaient en désaccord avec cet énoncé. Les répondants conviennent également que les fournisseurs de services numériques devraient être en mesure de rechercher de façon proactive du matériel de maltraitance des enfants sur leurs plateformes, même si cela signifiait moins de confidentialité personnelle en ligne pour les Canadiens. Dans ce cas, 65 % des parents et une proportion légèrement inférieure de membres du grand public (62 %) partagent le même avis. Encore une fois, les résultats correspondent à peu de choses près, quoiqu'ils soient légèrement inférieurs, à ce qu'ils étaient dans le cas des parents et des membres du grand public en 2020 (68 % et 65 %, respectivement) et en 2022 (64 % et 59 %, respectivement).
QA. Pour commencer, dans quelle mesure êtes-vous d'accord ou en désaccord avec les énoncés suivants?
Base : Tous les répondants : Parents (n=1015); Grand public (n=1199)
Les parents et les membres du grand public devaient donner leur propre description de ce à quoi fait référence l'exploitation sexuelle des enfants en ligne, sans qu'aucune catégorie ne leur soit fournie pour la question. Les deux groupes décrivent le plus souvent l'ESE en ligne comme de la coercition ou des menaces ayant un lien à du contenu ou à des actes sexuels (32 % et 31 % respectivement), proportion qui est considérablement plus élevée que celle observée en 2022[4]. Des parents et membres du grand public décrivent aussi de façon plus globale l'ESE en ligne en faisant allusion au leurre (20 % et 21 %), à l'exposition à du contenu sexuel destiné aux enfants (18 % et 17 %), à la distribution, le partage ou l'exploitation de contenu sexuel mettant en scène des enfants (16 % et 18 %) et à la pornographie (16 % et 17 %). Bien que des proportions assez semblables de répondants mentionnent chacun de ces quatre premiers thèmes en 2023 par rapport aux années précédentes, la description de l'ESE en ligne en tant que pornographie est utilisée moins souvent en 2023. Entre un répondant sur dix et un répondant sur sept la décrit comme de la maltraitance d'enfants (12 % et 15 %) ou comme du contenu exposant des enfants de façon sexuelle (12 % et 10 %). Moins de répondants le décrivent en d'autres termes, comme la traite à des fins sexuelles, les tentatives de rencontre en personne ou la participation de personnes âgées de moins de 18 ans.
Réponse | 2023 Parents | 2023 Grand public | 2022 Parents | 2022 Grand public | 2020 Parents | 2020 Grand public |
---|---|---|---|---|---|---|
Q1. À votre connaissance, à quoi l'exploitation sexuelle des enfants en ligne fait-elle référence? | n=1015 | n=1199 | n=1000 | n=1139 | n=953 | n=1119 |
Forcer des enfants à fournir du contenu sexuel ou les menacer pour en obtenir | 32 % | 31 % | 25 % | 23 % | -- | -- |
Leurre et manipulation psychologique | 20 % | 21 % | 20 % | 20 % | 12 % | 10 % |
Exposer des enfants à du contenu sexuel | 18 % | 16 % | 16 % | 13 % | -- | -- |
Distribuer, partager ou tirer profit de contenu sexuel avec des enfants | 16 % | 18 % | 14 % | 12 % | -- | -- |
Pornographie ou pornographie juvénile | 16 % | 17 % | 25 % | 26 % | 26 % | 30 % |
Abus d'enfant ou abus sexuel | 12 % | 15 % | 16 % | 16 % | 18 % | 15 % |
Contenu exposant des enfants de façon sexuelle | 12 % | 10 % | 9 % | 8 % | -- | -- |
Trafic, commerce du sexe | 8 % | 8 % | 7 % | 7 % | 5 % | 5 % |
Tentative de rencontre en personne | 7 % | 7 % | 5 % | 6 % | -- | -- |
Mineurs, moins de 18 ans | 6 % | 6 % | 3 % | 3 % | 9 % | 12 % |
Faire semblant d'être un enfant, faux profil | 6 % | 5 % | 5 % | 4 % | 5 % | 5 % |
Exploitation, abus | 4 % | 5 % | 9 % | 7 % | 21 % | 18 % |
Photos explicites ou de nudité | 4 % | 4 % | 16 % | 12 % | 31 % | 30 % |
Sollicitation, paiement pour du sexe | 2 % | 2 % | 2 % | 2 % | 5 % | 5 % |
Prédateur, prédateur en ligne | 3 % | 3 % | 5 % | 4 % | 6 % | 6 % |
Je ne sais pas/Je préfère ne pas répondre | 14 % | 14 % | 13 % | 19 % | 6 % | 6 % |
Plus de la moitié des parents (58 %) et du grand public (57 %) déclarent avoir entendu, lu ou vu un peu (19 % et 17 %) ou beaucoup de contenu (39 % et 40 %) au sujet de l'ESE en ligne, ce qui constitue une augmentation de la connaissance du grand public par rapport à 2022 et à 2020. Environ le tiers n'en a pas beaucoup entendu parler (31 % des parents et 29 % des membres du grand public) et quatre répondants sur dix (42 % de chaque segment) affirment avoir peu (31 % et 29 %) ou pas (11 % et 13 %) lu, vu ou entendu quoi que ce soit sur l'ESE en ligne.
Q2a. Au cours des trois derniers mois, dans quelle mesure avez-vous vu, lu ou entendu parler de l'exploitation sexuelle des enfants en ligne en tant que problème?
Base : Tous les répondants : Parents (n=1015); Grand public (n=1199)
Les parents et les membres du grand public disent le plus souvent avoir entendu parler de personnes prises, arrêtées ou inculpées (16 % et 14 %, respectivement), d'extorsion, de menaces, d'intimidation ou de vol d'images (11 % et 10 %), de traite de personnes (10 % et 9 %) et de leurre (10 % et 12 %). Certains disent simplement avoir entendu parler de l'ESE en ligne dans les médias traditionnels (13 % et 12 %, respectivement). Les résultats font état d'une augmentation de la proportion de répondants qui ont vu ou entendu parler de l'ESE en ligne dans les médias. Ces répondants décrivent l'ESE en ligne comme de l'extorsion, des menaces ou de l'intimidation et de la traite de personnes (en hausse par rapport à 2022), et mentionnent la prévalence de l'ESE en ligne dans les médias sociaux et l'utilisation de fausses identités.
Réponse | 2023 Parents | 2023 Grand public | 2022 Parents | 2022 Grand public | 2020 Parents | 2020 Grand public |
---|---|---|---|---|---|---|
Q3. Qu'avez-vous entendu au sujet de l'exploitation sexuelle des enfants en ligne en tant que problème? Veuillez donner une réponse aussi précise que possible. | n=578 | n=686 | n=504 | n=531 | n=539 | n=516 |
Criminels; personnes prises, arrêtées ou inculpées | 16 % | 14 % | 17 % | 17 % | 14 % | 13 % |
Contenu issu de médias (télévision, radio, médias d'information) | 13 % | 12 % | 7 % | 6 % | 10 % | 11 % |
Extorsion, menaces, intimidation pour du contenu ou vol d'images pour utilisation sur des sites Web | 11 % | 10 % | 6 % | 5 % | -- | -- |
Trafic sexuel, traite humaine, commerce du sexe | 10 % | 9 % | -- | -- | 9 % | 9 % |
Leurre et manipulation psychologique | 10 % | 12 % | 10 % | 8 % | 6 % | 8 % |
Ça se produit – préoccupation existante ou permanente | 9 % | 10 % | 9 % | 9 % | 7 % | 6 % |
Envoi de messages à des enfants pour obtenir des photos ou vidéos de nudité ou de comportements sexuels explicites | 8 % | 5 % | 9 % | 5 % | -- | -- |
Le problème prend de l'ampleur ou est en croissance | 7 % | 7 % | 8 % | 9 % | 10 % | 12 % |
Présent dans l'ensemble des plateformes et des applications de médias sociaux | 7 % | 6 % | -- | -- | -- | -- |
Pornographie juvénile | 6 % | 5 % | 6 % | 6 % | 9 % | 9 % |
Répercussions sur la santé mentale des victimes, suicides | 6 % | 6 % | 4 % | 5 % | -- | -- |
Fausse identité, faire semblant d'être plus jeune ou un pair | 6 % | 4 % | -- | -- | -- | -- |
Importance d'être informé ou éduqué en tant que parent ou membre de la famille | 5 % | 3 % | 5 % | 4 % | -- | -- |
Difficultés à trouver ou à poursuivre les délinquants | 4 % | 5 % | 5 % | 5 % | -- | -- |
Mises en garde et efforts continus pour le combattre | 4 % | 3 % | 3 % | 4 % | 6 % | 4 % |
Abus d'enfants, pédophiles, agression sexuelle | 4 % | 4 % | 3 % | 4 % | -- | -- |
Prédateurs | 3 % | 4 % | 2 % | 3 % | 5 % | 4 % |
Les fournisseurs de services Internet et les entreprises technologiques n'en font pas assez pour protéger les enfants | 3 % | 3 % | 2 % | 3 % | -- | -- |
Il s'agit d'une industrie rentable établie | 3 % | 4 % | 2 % | 3 % | -- | -- |
Je travaille dans l'application de la loi, dans l'éducation ou les services de santé | 2 % | 2 % | -- | -- | -- | -- |
Plus de contenu est montré aux enfants pour les hypersexualiser et pour normaliser l'utilisation d'images sexuelles | 2 % | 3 % | -- | -- | -- | -- |
Tentatives de rencontres pour des actes sexuels | 2 % | 2 % | -- | -- | -- | -- |
Photos explicites ou de nudité | 0 % | 3 % | 3 % | 3 % | 5 % | 5 % |
Autre | 4 % | 4 % | 4 % | 4 % | 12 % | 13 % |
Je ne sais pas/Je préfère ne pas répondre | 14 % | 14 % | 15 % | 18 % | 4 % | 5 % |
Les parents et les membres du grand public entendent, voient ou lisent des choses au sujet de l'ESE en ligne par le biais de diverses sources, la plus grande proportion d'entre eux mentionnant les médias sociaux (43 % des parents et 48 % des membres du grand public), suivis de près par la télévision (37 % et 43 % respectivement, ce qui est assez semblable aux résultats obtenus en 2022, mais en baisse considérable par rapport aux 53 % et 59 % enregistrés en 2020). Les sites Web sont mentionnés par 30 % des parents et 29 % des membres du grand public, ce qui est en baisse par rapport aux 38 % et 36 % obtenus respectivement en 2020 et en 2022, bien que le terme utilisé était « en ligne » et non « sites Web ». De même, 29 % des parents et 34 % des membres du grand public mentionnent les journaux (même proportion que dans les éditions des années précédentes). Une moindre proportion mentionne les amis et la famille (27 % et 25 %), la radio (26 % et 27 %), l'école (15 % des parents et 7 % des membres du grand public) ou les services de télévision en continu (12 % et 10 %, respectivement).
Réponse | 2023 Parents | 2023 Grand public | 2022 Parents | 2022 Grand public | 2020 Parents | 2020 Grand public |
---|---|---|---|---|---|---|
Q3b. Et, où avez-vous entendu ces propos? | n=578 | n=686 | n=504 | n=531 | n=540 | n=502 |
Réseaux sociaux (Facebook, Twitter, YouTube, Instagram, LinkedIn, Snapchat, etc.) | 43 % | 48 % | 42 % | 42 % | 47 % | 45 % |
Télévision | 37 % | 43 % | 40 % | 46 % | 53 % | 59 % |
Site Web | 30 % | 29 % | 38 % | 36 % | 38 % | 29 % |
Journal | 29 % | 34 % | 34 % | 38 % | 35 % | 33 % |
Amis ou membres de la famille | 27 % | 25 % | 24 % | 19 % | 28 % | 22 % |
Radio | 26 % | 27 % | 29 % | 28 % | 31 % | 24 % |
École | 15 % | 7 % | 15 % | 8 % | 14 % | 4 % |
Télévision en continu (Netflix, etc.) | 12 % | 10 % | 10 % | 11 % | 8 % | 7 % |
Radio en continu (Spotify, etc.) | 8 % | 9 % | 7 % | 9 % | 4 % | 1 % |
Cinéma | 5 % | 7 % | -- | -- | -- | -- |
Magazine | 3 % | 7 % | 7 % | 8 % | 10 % | 5 % |
Transport en commun | 3 % | 2 % | -- | -- | -- | -- |
Par le travail ou l'expérience professionnelle | 2 % | 2 % | 5 % | 3 % | -- | -- |
Panneau d'affichage extérieur | 2 % | 4 % | 4 % | 2 % | 3 % | 2 % |
Dépliant ou brochure par la poste | 2 % | 1 % | 3 % | 2 % | 3 % | 1 % |
Sources de nouvelles en ligne | 2 % | 2 % | -- | -- | -- | -- |
Cabinet médical | 2 % | 2 % | -- | -- | -- | -- |
Autre | 6 % | 5 % | 6 % | 4 % | 2 % | 2 % |
Je ne sais pas/Je préfère ne pas répondre | 1 % | 2 % | 1 % | 3 % | -- | -- |
Une grande partie des parents et des membres du grand public considèrent l'ESE en ligne comme un problème important dans le reste du monde (86 % et 82 %, respectivement). Une moins grande proportion considère cela comme un problème au Canada (68 % et 62 %) et dans sa province ou son territoire (62 % et 55 %). Au fur et à mesure que le problème est abordé à l'échelle locale, des proportions de plus en plus petites de parents et de membres du grand public considèrent cela comme un problème (votre ville – 44 % des parents et 39 % des membres du grand public; votre quartier – 27 % et 21 % respectivement). La perception que l'ESE en ligne est un problème qui prend de l'ampleur dans la plupart des régions depuis 2022, particulièrement chez les parents.
et dans le reste du monde
Q4. Selon vous, dans quelle mesure l'exploitation sexuelle des enfants en ligne est-elle un problème...?
Base : Tous les répondants : Parents (n=1015); Grand public (n=1199)
Les parents affirment que leurs enfants ont accès à Internet de différentes manières. La plupart disent que leur enfant a recours à un téléphone ou à une tablette (92 %), ou à un ordinateur à la maison (77 %). Trois répondants sur quatre (78 %) déclarent que leur enfant utilise Internet à l'école avec un ordinateur ou une tablette, tandis que la moitié (54 %) affirme qu'ils y ont accès à la maison par le biais d'un système de jeu. Un répondant sur cinq (26 %) dit que son enfant y a généralement accès ailleurs, ce qui est en baisse par rapport aux 44 % enregistrés il y a trois ans, bien que les résultats soient légèrement en hausse par rapport aux 22 % obtenus en 2022. Dans d'autres domaines, les résultats sont très semblables à ceux de 2020 et de 2022, bien qu'une moindre proportion utilise un ordinateur à la maison (85 % en 2022).
Q10. Votre enfant utilise-t-il Internet...?
Base : Parents (n=1011)
Un parent sur dix (10 %) dit toujours surveiller les activités de son enfant lorsqu'il est en ligne à la maison, tandis que 27 % affirment surveiller la plupart de ses activités. La plus grande proportion de parents (36 %) dit surveiller ces activités « parfois ». Un peu moins d'un parent sur quatre (23 %) surveille rarement les activités en ligne de son enfant à la maison et 5 % disent ne jamais le faire. Ils semblent surveiller ces activités à peu près dans la même mesure qu'en 2022, mais moins qu'en 2020, alors que 45 % affirmaient les surveiller toujours ou la plupart du temps, contre 37 % en 2023.
Q11. Et, lorsque votre enfant est en ligne à la maison, dans quelle mesure diriez-vous que vous surveillez son activité?
Base : Parents (n=878)
Les parents devaient également indiquer, le cas échéant, les mesures qu'ils prennent pour surveiller les activités en ligne de leur enfant à la maison. Plus de deux parents sur cinq disent vérifier l'historique de leur navigateur (44 %) ou installer l'ordinateur dans une salle commune (43 %). Les résultats dans ces deux catégories sont en harmonie avec ceux obtenus en 2022 (43 % respectivement), bien qu'en baisse par rapport à 2020, où 57 % et 54 % mentionnaient adopter ces pratiques. Un parent sur trois (37 %) dit bloquer des sites Web, tandis que 27 % déclarent s'asseoir avec leur enfant lorsqu'il est en ligne et 17 % affirment éduquer son enfant ou avoir des discussions avec lui. Parmi les autres pratiques que mentionnent les parents (de façon spontanée) figurent l'établissement de règles (14 %) et l'installation de logiciels de surveillance (12 %).
Q12. Et, le cas échéant, quelles mesures de protection prenez-vous pour surveiller les activités en ligne de votre enfant à la maison?
Base : Parents (n=840)
Près de la moitié des parents (46 %) ne sait pas quelles mesures de protection sont en place à l'école de son enfant. Plus d'un parent sur trois (33 %) indique qu'il existe des bloqueurs de sites Web ou de WiFi en place, tandis que 18 % mentionnent l'accès limité, le contrôle de l'âge et le contrôle parental des activités en ligne de leur enfant à l'école. Les résultats relatifs à l'accès limité et aux contrôles parentaux sont plus élevés que ceux obtenus en 2020 et en 2022, qui étaient respectivement de 9 % et de 8 %.
Q13. Et, à votre connaissance, quelles mesures de protection sont en place à l'école de votre enfant? | 2023 n=789 | 2022 n=772 | 2020 n=763 |
---|---|---|---|
Bloqueur de sites Web ou de WiFi | 33 % | 37 % | 22 % |
Accès limité, contrôle de l'âge, contrôle parental | 18 % | 9 % | 8 % |
Supervision ou surveillance | 9 % | 13 % | 6 % |
Politique de code de conduite, cours continus, sensibilisation | 5 % | 6 % | -- |
Supervision ou surveillance par des enseignants ou des adultes | 5 % | 4 % | 6 % |
Les enfants ou adolescents trouvent un moyen de contourner les restrictions ou les paramètres de sécurité | 1 % | 3 % | -- |
Autre | 4 % | 3 % | 4 % |
Je ne sais pas/Je préfère ne pas répondre | 46 % | 45 % | 55 % |
Quatre parents sur dix affirment suivre leur enfant sur les médias sociaux, soit sur tous leurs comptes (20 %), soit sur certains d'entre eux (21 %). Un parent sur cinq affirme ne pas suivre les médias sociaux de son enfant. Deux parents sur cinq (40 %) déclarent que leur enfant n'utilise pas de médias sociaux, ce qui est en harmonie avec les 39 % obtenus en 2022, mais en hausse par rapport aux 29 % enregistrés en 2020.
Q14a. Est-ce que vous « ?suivez? » votre enfant sur les médias sociaux?
Base : Parents (n=1015)
En harmonie avec les résultats obtenus en 2022, parmi les parents d'enfants qui utilisent des médias sociaux, 30 % disent connaître les mots de passe de tous leurs comptes, et 26 % affirment connaître les mots de passe de certains comptes. Plus de quatre parents sur dix (44 %) déclarent ne pas connaître les mots de passe des comptes de médias sociaux de leur enfant, ce qui est supérieur aux 35 % déclarés en 2020.
Q14b. [Si oui] Connaissez-vous les mots de passe de son compte ou de ses comptes?
Base : Parents d'enfants âgés de 8 à 18 ans qui utilisent les médias sociaux (n=591)
Les parents mentionnent plus souvent des interactions sur Snapchat (60 %), Instagram (57 %) et TikTok (48 %), ainsi que sur YouTube (39 %), Facebook (34 %) et Minecraft (28 %). Discord (26 %), d'autres jeux vidéo (23 %) et Fortnite (19 %) sont également mentionnés assez souvent. Par rapport à 2022 et à 2020, Snapchat a considérablement gagné en popularité, occupant la position d'Instagram en 2022, bien que l'utilisation d'Instagram n'ait pas beaucoup changé depuis 2022.
Q15. À votre connaissance, sur quel(s) site(s) votre enfant interagit-il avec d'autres personnes au moyen des réseaux sociaux, des jeux ou d'autres sites en ligne? | 2023 n=591 | 2022 n=599 | 2020 n=953 |
---|---|---|---|
Snapchat | 60 % | 51 % | 40 % |
Instagram |
57 % | 60 % | 47 % |
TikTok | 48 % | 52 % | 26 % |
YouTube | 39 % | 43 % | 53 % |
34 % | 36 % | 41 % | |
Minecraft | 28 % | 34 % | 27 % |
Discord | 26 % | 8 % | 1 % |
Autres jeux vidéo | 23 % | 26 % | 16 % |
Fortnite | 19 % | 23 % | 23 % |
17 % | 12 % | 15 % | |
7 % | 9 % | 12 % | |
Grand Theft Auto | 6 % | 7 % | 8 % |
5 % | 3 % | 3 % | |
Twitch | 5 % | 7 % | 4 % |
Roblox | 4 % | 5 % | 2 % |
League of Legends | 3 % | ||
Overwatch | 3 % | 3 % | 2 % |
Autre | 6 % | 23 % | 1 % |
Je ne sais pas/Je préfère ne pas répondre | 2 % | 1 % | 4 % |
La plupart (63 %) des parents d'enfants qui sont sur Internet disent que leur enfant interagit uniquement avec ses amis et sa famille. Un peu plus du quart des parents (27 %) indique que son enfant peut interagir avec des amis d'amis en ligne, et 18 % mentionnent des interactions avec des étrangers. Moins de répondants signalent que leurs enfants interagissent avec d'autres personnes en ligne. La proportion d'enfants qui interagissent avec des amis d'amis et des étrangers a diminué depuis 2022 (27 % et 18 % respectivement), mais dans le cas des étrangers, elle a augmenté par rapport à 2020 (12 %).
Q16 Et, avec qui votre enfant interagit-il en ligne? N'oubliez pas que vos réponses honnêtes sont très utiles et resteront anonymes. Veuillez cocher toutes les réponses qui s'appliquent. [Cochez toutes les réponses qui s'appliquent]
Base : Parents dont les enfants interagissent en ligne (n=591)
La plupart des parents (68 %) affirment que le temps que leur enfant passe en ligne a augmenté depuis le début de la COVID-19, ce qui est en baisse considérable depuis que cette question a été introduite en 2022, alors que presque tous les parents (90 %) répondaient à l'affirmative. Le risque auquel sont exposés les enfants a augmenté selon un peu moins de la moitié des parents (46 %). Encore une fois, cette proportion est en baisse par rapport à 2022, plus de la moitié des parents (53 %) signalant alors un risque plus élevé. D'autre part, 44 % affirment que le taux est resté le même. Un parent sur quatre (26 %) mentionne une augmentation de la surveillance, ce qui représente une légère baisse par rapport à 2022, où 28 % étaient de cet avis.
QC1a. Comment les éléments suivants ont-ils changé depuis le début de COVID en mars 2020?
Base : Parents (n=1015)
Plus de la moitié des parents (53 %) dit surveiller ou superviser tous les jours ou presque leur enfant pendant leurs séances d'apprentissage virtuel, alors que seuls 44 % affirmaient la même chose en 2022. Un parent sur cinq (19 %) le surveille plusieurs fois par semaine, soit la même proportion qu'en 2022. Environ le quart le fait une fois par semaine ou moins. Moins d'un parent sur dix (7 %) indique ne jamais surveiller son enfant pendant ses séances d'apprentissage virtuel, une baisse par rapport aux 11 % obtenus en 2022.
QC2. Dans quelle mesure avez-vous surveillé ou supervisé votre enfant pendant l'apprentissage virtuel? Diriez-vous…?
Base : Parents (n=1015)
Les parents parlent plus souvent (tous les jours ou toutes les semaines) de certains aspects des activités en ligne avec leur enfant, y compris des gens à qui il parle ou avec qui il interagit (46 %), des confidences qu'il fait à d'autres personnes (40 %) et des sites qu'il visite (37 %). Ils parlent moins souvent (quelques fois par mois ou moins) d'autres activités en ligne, notamment de la marche à suivre si quelqu'un lui demande de faire quelque chose qui le rend mal à l'aise (66 %), de la façon de réagir lors de l'envoi d'images ou de vidéos sexuelles en ligne (60 %), de la marche à suivre s'il connaît quelqu'un qui est exploité en ligne (58 %), de paramètres de confidentialité (53 %) et de manipulation psychologique (56 %). Certains sujets de l'ESE en ligne ne sont jamais abordés par une grande partie des parents, comme le recouvrement (57 %), la sextorsion (45 %) et le sextage (43 %). Les résultats sont généralement comparables à ceux de 2022, bien qu'il y ait un peu plus de mentions qu'en 2020 de ce que les enfants doivent faire si quelqu'un leur demande de faire quelque chose qui les met mal à l'aise.
Q17. À quelle fréquence discutez-vous de chacune des activités suivantes en ligne avec votre enfant? | À chaque jour ou presque/Par semaine | Quelques fois par mois | Jamais | 2022 Par jour ou semaine | 2020 Par jour ou semaine |
---|---|---|---|---|---|
Q17c. Les personnes à qui il parle ou interagit | 46 % | 46 % | 8 % | 45 % | 48 % |
Q17d. Les sujets dont ils parlent avec d'autres personnes | 40 % | 48 % | 11 % | 40 % | 43 % |
Q17a. Les sites qu'ils visitent | 37 % | 49 % | 11 % | 38 % | 43 % |
Q17j. La marche à suivre si on lui demande de faire quelque chose qui le rend mal à l'aise | 20 % | 66 % | 14 % | 18 % | 27 % |
Q17b. Les paramètres de confidentialité | 15 % | 53 % | 29 % | 15 % | 25 % |
Q17g. L'envoi d'images ou de vidéos à caractère sexuel en ligne | 13 % | 58 % | 28 % | 8 % | 17 % |
Q17h. La manipulation psychologique | 11 % | 56 % | 32 % | 9 % | -- |
Q17e. Le sextage | 9 % | 46 % | 43 % | 6 % | 14 % |
Q17K. La marche à suivre s'il connaît quelqu'un qui est exploité en ligne | 9 % | 52 % | 37 % | 8 % | 18 % |
Q17f. La sextorsion (extorquer de l'argent ou des faveurs sexuelles de quelqu'un en menaçant de révéler la preuve de ses activités sexuelles) | 7 % | 46 % | 45 % | 5 % | 13 % |
Q17i. Le recouvrement | 6 % | 34 % | 57 % | 4 % | -- |
Les parents devaient indiquer s'ils étaient d'accord ou en désaccord avec un certain nombre d'énoncés liés à leur capacité d'aborder le thème de l'ESE en ligne. Les résultats liés à la première série d'énoncés indiquent que le temps requis pour parler à leur enfant n'est pas un obstacle. Cependant, le fait de savoir où aller pour obtenir de l'aide concernant la sécurité sur Internet et le suivi de l'évolution des technologies posent un défi important pour de nombreux parents. Aussi, relativement peu d'entre eux ont à portée de main des informations pertinentes traitant de la sécurité en ligne. La grande majorité des parents (89 %) estime avoir le temps de parler avec leur enfant de leurs activités en ligne, ce qui est en harmonie avec les 87 % enregistrés en 2020, mais en hausse par rapport aux 79 % obtenus en 2020. Trois personnes sur dix ne croient pas être en mesure de suivre l'évolution des technologies, y compris des applications et des jeux que leur enfant utilise, et 24 % sont plus neutres, ce qui est semblable aux résultats obtenus par le passé. Seules quatre personnes sur dix (42 %) disent savoir où aller pour obtenir de l'aide concernant la sécurité en ligne, alors que plus de la moitié sont en désaccord (30 %) ou ont une opinion plus neutre (26 %). Six personnes sur dix (62 %) ne gardent pas des informations et des ressources sur la sécurité en ligne à portée de main, ce qui est en harmonie avec les résultats obtenus en 2022, mais représente une proportion plus élevée que celle obtenue en 2020.
Q17ba-d. Veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d'accord ou en désaccord avec chacun des énoncés suivants lorsqu'il s'agit de parler à votre enfant de la sécurité en ligne.
Base : Parents (n=1015)
Presque tous les parents (92 %) sont d'accord pour dire qu'ils ont la responsabilité de parler avec leur enfant de la sécurité en ligne, ce qui est en harmonie avec les résultats de 2022, mais supérieur aux 85 % enregistrés en 2020. Trois parents sur quatre (73 %) conviennent également que leur enfant serait à l'aise de se tourner vers eux pour obtenir des conseils, ce qui correspond aux résultats obtenus lors des éditions antérieures du sondage. D'autre part, seule la moitié des parents (47 %) dit que son enfant s'attend à avoir une conversation sur cette question, ce qui est aussi en harmonie avec les résultats obtenus au cours des années antérieures.
Seul un parent sur quatre (26 %) se dit très préoccupé par le fait que son enfant soit victime d'exploitation sexuelle, bien que la moitié (49 %) ne soit pas d'accord. La grande majorité des parents (84 %) dit ne pas craindre que parler de la sécurité sur Internet avec leur enfant l'éloigne d'eux ou mentionne avoir du mal à aborder ce sujet. Ces résultats sont en grande partie en harmonie avec ceux obtenus lors des années précédentes.
Q17be-j. Veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d'accord ou en désaccord avec chacun des énoncés suivants lorsqu'il s'agit de parler à votre enfant de la sécurité en ligne.
Base : Parents (n=1015)
Plus d'un parent sur trois ne se sent pas prêt à avoir une discussion sur l'ESE en ligne. Deux parents sur trois (65 %) estiment savoir comment aborder le sujet de la sécurité en ligne avec leur enfant. Environ la même proportion (66 %) déclare savoir comment convaincre leur enfant de parler avec eux de son activité en ligne. Les résultats sont en harmonie avec ceux obtenus en 2022 et en 2020.
Q17bk-i. Veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d'accord ou en désaccord avec chacun des énoncés suivants lorsqu'il s'agit de parler à votre enfant de la sécurité en ligne.
Base : Parents (n=1015)
Des obstacles semblables existent en ce qui concerne la motivation personnelle des parents. Plus de la moitié des parents (54 %) conviennent qu'ils se sentent bien de parler de la sécurité en ligne avec leur enfant. Cette proportion correspond en grande partie aux 51 % enregistrés en 2022, mais en nette baisse par rapport aux 63 % enregistrés en 2020. La moitié (50 %) signale que cela lui donne l'impression d'être en sécurité, ce qui est également en harmonie avec les 47 % enregistrés en 2022, mais est inférieur aux 58 % obtenus en 2020. Un peu moins de la moitié des parents (48 %) dit avoir l'habitude d'avoir régulièrement ce type de conversations, ce qui représente une légère hausse par rapport à 2022 (43 %) et correspond aux résultats obtenus en 2020 (45 %).
Q17bm-o. Veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d'accord ou en désaccord avec chacun des énoncés suivants lorsqu'il s'agit de parler à votre enfant de la sécurité en ligne.
Base : Parents (n=1015)
Près de six parents sur dix (59 %) sont d'accord pour dire que parler à leur enfant de son activité en ligne le protégera contre l'ESE en ligne, bien que 13 % ne soient pas d'accord et 27 % aient un point de vue neutre. La proportion de personnes d'accord est en harmonie avec les 57 % obtenus en 2022, mais supérieure aux 51 % enregistrés en 2020. Aussi, à l'instar des résultats de 2020, seuls 34 % des parents sont d'accord pour dire qu'il s'agit de la seule façon d'empêcher l'exploitation sexuelle de leur enfant, tandis que 43 % ne sont pas d'accord.
Q17bp-q. Veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d'accord ou en désaccord avec chacun des énoncés suivants lorsqu'il s'agit de parler à votre enfant de la sécurité en ligne.
Base : Parents (n=1015)
La grande majorité des parents (89 %) disent qu'ils parleraient à leur enfant s'ils trouvaient des images ou des vidéos inappropriées liées à des comptes de leur enfant. Ces résultats sont en harmonie avec ceux de 2020 et de 2022. Huit parents sur dix (80 %) le signaleraient à la police, ce qui représente une légère hausse par rapport aux 77 % enregistrés en 2022 et en 2020. Six parents sur dix (61 %) le signaleraient à la plateforme en ligne. Il s'agit d'une hausse par rapport aux 56 % obtenus en 2022 et aux 38 % enregistrés en 2020. D'autre part, un peu moins de la moitié des parents (49 %) le signaleraient à l'école, ce qui correspond aux résultats obtenus en 2022, mais est supérieur à ceux enregistrés en 2020 (46 %). Plus de la moitié des répondants (54 %) auraient recours à un conseiller ou un thérapeute pour leur enfant, ce qui est supérieur aux 46 % signalés en 2022.
Q24. Que feriez-vous si vous trouviez des images ou des vidéos à caractère sexuel liées au compte de votre enfant? | 2023 n=959 | 2022 n=948 | 2020 n=919 |
---|---|---|---|
J'en parlerais à mon enfant | 89 % | 89 % | 88 % |
Je le signalerais à la police | 80 % | 77 % | 77 % |
Je le signalerais à la plateforme en ligne (p. ex. Instagram, YouTube, etc.) | 61 % | 56 % | 38 % |
Je chercherais de l'aide pour mon enfant auprès d'un conseiller ou d'un thérapeute | 54 % | 46 % | 33 % |
Je le signalerais à l'école | 49 % | 50 % | 46 % |
Je demanderais l'appui d'autres adultes et membres de la famille | 43 % | 39 % | -- |
J'irais parler directement avec la personne qui aurait interagi avec mon enfant | 38 % | 35 % | 30 % |
Je le signalerais au site Web www.cyberaide.ca | 35 % | 27 % | 29 % |
Je chercherais de l'aide pour moi-même auprès d'un conseiller ou d'un thérapeute | 18 % | 14 % | 10 % |
Dépend de la gravité de la situation, de la personne, de l'endroit ou du contenu impliqués | 0 % | 5 % | -- |
Autre | 8 % | 3 % | 1 % |
Rien | 0 % | 0 % | 0 % |
Je ne sais pas/Je préfère ne pas répondre | 1 % | 1 % | 0 % |
Près de la moitié des parents (46 %) déclare que son enfant l'a abordé pour discuter d'activités en ligne douteuses qu'eux, des amis ou des connaissances ont vécues, proportion qui est en harmonie avec les résultats de 2022, mais en hausse par rapport aux 33 % de 2020. Comme indiqué dans les éditions des années précédentes, un peu plus d'un parent sur quatre (29 %) a constaté des comportements inappropriés à l'égard de son enfant ou d'autres jeunes en ligne, proportion qui augmente légèrement au fil du temps (23 % en 2020 et 26 % en 2022). Autant qu'ils le sachent, 25 % des parents indiquent qu'il y a eu des cas d'ESE en ligne dans leur communauté, ce qui est semblable aux 22 % enregistrés en 2022, mais supérieur aux 17 % constatés en 2020. La moitié d'entre eux déclare ne pas avoir entendu parler de cas d'ESE en ligne et 25 % ne sont pas sûrs ou préfèrent ne pas répondre.
Réponse | Total 2023 | Total 2022 | Total 2020 |
---|---|---|---|
Q18. Votre enfant est-il déjà venu vous parler d'une activité douteuse en ligne qu'il a vécue ou dont il a entendu parler d'un ami ou d'un pair? | n=1015 | n=1000 | n=953 |
Oui | 46 % | 47 % | 33 % |
Non | 52 % | 53 % | 67 % |
Je ne sais pas/Je préfère ne pas répondre | 1 % | 1 % | -- |
Q19. Avez-vous déjà eu connaissance d'un comportement inapproprié dirigé vers votre enfant ou d'un autre jeune en ligne? Il peut s'agir, par exemple, de commentaires inquiétants adressés à un enfant ou d'images partagées entre pairs? | n=1015 | n=1000 | n=953 |
Oui | 29 % | 26 % | 23 % |
Non | 69 % | 73 % | 77 % |
Je ne sais pas/Je préfère ne pas répondre | 2 % | 1 % | -- |
Q19b. À votre connaissance, y a-t-il eu des cas d'exploitation sexuelle en ligne dans votre communauté? | n=704 | n=726 | n=737 |
Oui | 25 % | 22 % | 17 % |
Non | 50 % | 53 % | 41 % |
Je ne sais pas/Je préfère ne pas répondre | 25 % | 25 % | 42 % |
Dans leur propre ménage, 6 % des parents déclarent que leur enfant a été victime d'ESE en ligne (proportion semblable aux 5 % enregistrés en 2022 et aux 4 % constatés en 2020).
Q21. À votre connaissance, votre enfant a-t-il déjà été victime d'une forme quelconque d'exploitation sexuelle des enfants en ligne? C'est-à-dire, la cyberprédation (leurre d'enfants) en offrant une récompense en échange de quelque chose; la pornographie juvénile en ligne; les contraintes à se prostituer en ligne; le sextage; et la distribution non consensuelle d'images intimes.
Base : Parents (n=1015)
Plus précisément, ces parents affirment que leur enfant a visionné, écouté ou reçu du matériel offensant ou du contenu à caractère sexuel (18 %), que quelqu'un lui a demandé ou offert de participer à des vidéos, photos, messages ou jeux sexuels, offensants ou explicites (11 %), ou qu'il a été victime de cyberintimidation (7 %). Un moins grand nombre de parents mentionne l'utilisation d'un langage inapproprié ou des conversations sur un comportement inapproprié (5 %). Les résultats sont semblables à ceux recueillis en 2022 et en 2020, bien que le nombre de parents déclarant que leur enfant a visionné, écouté ou reçu du matériel offensant ait considérablement diminué par rapport à 2022, tout comme la proportion de cas de cyberintimidation.
Q21a Si vous êtes à l'aise de le faire, pouvez-vous nous communiquer plus de détails sur ce qui s'est passé? | 2023 n=297 | 2022 n=273 | 2020 n=225 |
---|---|---|---|
J'ai visionné, vu ou reçu des vidéos, des photos ou des messages sexuels, offensants ou explicites | 18 % | 26 % | 15 % |
On m'a demandé ou offert de participer à des vidéos, photos, messages ou jeux sexuels, offensants ou explicites | 11 % | 10 % | 10 % |
Victime de cyberintimidation ou d'intimidation par des amis | 7 % | 13 % | 8 % |
Utilisation d'un langage inapproprié | 5 % | 7 % | 5 % |
Conversations sur des comportements inappropriés | 4 % | 7 % | 4 % |
Demande d'amitié d'un inconnu, d'un adulte ou d'une personne qui dit avoir le même âge | 3 % | 5 % | 7 % |
L'enfant a informé le parent du contenu | 5 % | 5 % | -- |
Blocage d'un délinquant, d'un site, d'une demande d'amitié inappropriée, de discussions de groupe | 5 % | 2 % | 6 % |
Signalement d'un comportement inapproprié à l'école ou aux autorités | 4 % | 2 % | 6 % |
Autre | 4 % | 11 % | 9 % |
Rien | 8 % | 9 % | 5 % |
Je ne sais pas/Je préfère ne pas répondre | 24 % | 26 % | 43 % |
La plupart du temps, ces parents parlent à leur enfant (67 %) de comportements inappropriés. Certains parents disent avoir signalé un comportement inapproprié à l'école (22 %), avoir demandé l'aide d'autres adultes (20 %), l'avoir signalé à la police (15 %), l'avoir signalé à la plateforme en ligne (15 %) ou avoir cherché de l'aide pour leur enfant auprès d'un conseiller ou d'un thérapeute (13 %). Moins de parents indiquent avoir parlé à leur enfant qu'en 2020, alors que 80 % l'avaient fait, quoique cette proportion soit en grande partie restée la même par rapport à 2022.
Q20. Et, qu'avez-vous fait? | 2023 n=297 | 2022 n=273 | 2020 n=225 |
---|---|---|---|
J'en ai parlé à mon enfant | 67 % | 66 % | 80 % |
Je l'ai signalé à l'école | 22 % | 23 % | 27 % |
J'ai demandé l'appui d'autres adultes et de membres de la famille | 20 % | 16 % | 18 % |
Je l'ai signalé à la plateforme en ligne (p. ex. : Instagram, YouTube, etc.) | 15 % | 11 % | 14 % |
J'ai cherché de l'aide pour mon enfant auprès d'un conseiller ou d'un thérapeute | 13 % | 11 % | 11 % |
Je l'ai signalé à la police | 11 % | 13 % | 18 % |
J'ai parlé directement à la personne qui avait interagi avec mon enfant | 10 % | 9 % | 16 % |
J'ai effacé l'appli ou le site, j'ai bloqué l'utilisateur ou j'ai annulé le compte | 6 % | 4 % | -- |
J'ai cherché de l'aide pour moi-même auprès d'un conseiller ou d'un thérapeute | 4 % | 3 % | 3 % |
J'ai parlé aux parents de l'autre enfant | 4 % | 5 % | -- |
Je l'ai signalé au site Web www.cyberaide.ca | 2 % | 1 % | 9 % |
Autre | 4 % | 6 % | 3 % |
Je n'ai rien fait | 8 % | 9 % | 8 % |
Sans objet, a répondu non à leur enfant étant une victime | 10 % | 13 % | 0 % |
Bien que la moitié des parents (50 %) indique que l'incident de l'ESE en ligne n'a pas eu d'effets à long terme (en hausse considérable par rapport aux 33 % enregistrés en 2022 et aux 34 % constatés en 2020), les parents mentionnent de nombreux autres effets. Le tiers (34 %) affirme que l'incident a eu des effets sur la santé mentale ou l'estime de soi de leur enfant, proportion qui est en baisse par rapport aux 49 % enregistrés en 2022, mais au même niveau qu'en 2020. Un peu plus d'une personne sur quatre (28 %) signale des effets à long terme sur les relations sociales et les amitiés de son enfant, ou des répercussions sur sa propre santé mentale (26 %). Le rendement scolaire ou professionnel est mentionné par 19 % des répondants. Les résultats sont en grande partie semblables à ceux des années précédentes, en particulier compte tenu de la petite taille des échantillons à chaque période.
Q23b. Et, diriez-vous qu'il y a eu des effets à long terme sur l'un des éléments suivants en raison de l'incident? | 2023 n=55 | 2022 n=49 | 2020 n=44 |
---|---|---|---|
La santé mentale de votre enfant ou son estime de soi | 34 % | 49 % | 33 % |
Les relations sociales ou amicales de votre enfant | 28 % | 37 % | 25 % |
Votre santé mentale | 26 % | 36 % | 22 % |
Le rendement de votre enfant à l'école ou au travail | 19 % | 36 % | 17 % |
Votre rendement à l'école ou au travail | 19 % | 13 % | 13 % |
Vos relations sociales ou amicales | 16 % | 8 % | 14 % |
Les relations familiales | 14 % | 18 % | 25 % |
Votre santé physique | 12 % | 10 % | 6 % |
La santé physique de votre enfant | 9 % | 13 % | 8 % |
Des effets positifs sur l'enfant (a appris par expérience, l'enfant est plus prudent ou conscient des risques…) | 9 % | -- | -- |
Des effets négatifs sur la santé mentale (stress, problèmes de confiance, comportement dissociatif) | 0 % | 11 % | -- |
Autre | 5 % | 4 % | 0 % |
Rien | 50 % | 33 % | 34 % |
Je ne sais pas/Je préfère ne pas répondre | 0 % | 2 % | -- |
Comme souligné plus tôt dans le présent rapport, seul un parent sur trois (34 %) n'a jamais recherché de l'information sur l'ESE en ligne et sur la façon de protéger son enfant. En ce qui concerne les informations d'intérêt, la majorité des parents souhaitent savoir comment reconnaître les signes et symptômes de l'exploitation sexuelle en ligne (63 % contre 59 % en 2022, mais moins que les 71 % enregistrés en 2020) ou connaître les mesures de protection de la vie privée et de sécurité à prendre (57 %; semblable aux 55 % de 2022, mais inférieur aux 66 % de 2020). Un peu moins de la moitié des répondants (47 %) aimerait obtenir des informations sur la façon de parler à leurs enfants de l'ESE en ligne. Environ un parent sur trois souhaiterait obtenir des informations sur les ressources et les lignes d'aide (41 %), sur les lois (39 %) ou sur les personnes les plus à risque (32 %). Les informations sur les lois et leurs effets sur les victimes sont plus recherchées qu'en 2022, bien qu'elles le soient moins qu'en 2020.
Q17ab. Quelles informations souhaiteriez-vous avoir pour mieux protéger votre enfant contre l'exploitation sexuelle en ligne? [Cochez toutes les réponses qui s'appliquent]
Base : Parents (n=1015)
La plupart des parents aimeraient trouver de l'information sur un site Internet (65 %) ou en recevoir par le biais de l'école de leur enfant (62 %). Environ quatre personnes sur dix souhaiteraient obtenir de l'information dans des médias sociaux (43 %) ou dans un dépliant ou une brochure par la poste (37 %). L'obtention de renseignements au cabinet d'un médecin (26 %) ou par des amis et des membres de la famille (19 %) figure parmi les autres méthodes souvent mentionnées. L'utilisation de la plupart des sources d'information est comparable à celle rapportée lors des éditions de 2022 et de 2020 du sondage, bien qu'il y ait une légère diminution de la confiance dans les sites Web et une augmentation de l'utilisation des médias sociaux. Les répondants manifestent également moins d'intérêt à l'égard de l'obtention d'informations par courrier, proportion qui s'établissait à 48 % en 2020.
Q17ac. Et où souhaitez-vous recevoir ou trouver ces informations?
Base : Parents qui ont cherché pour de l'information (n=902)
La connaissance du site cyberaide.ca est faible, seuls 14 % des parents et 13 % des membres du grand public affirmant le connaître plutôt bien ou très bien. La vaste majorité, soit 63 % des parents et 67 % des membres du grand public, ne le connaît pas du tout. La connaissance de cyberaide.ca a toutefois connu une légère augmentation auprès du grand public, 9 % et 8 % affirmant le connaître en 2022 et 2020, respectivement.
Q8. Dans quelle mesure connaissez-vous le site Web www.cyberaide.ca et le Centre canadien de protection de l'enfance?
Base : Tous les répondants : Parents (n=1015); Grand public (n=1199)
Parmi les parents et les membres du grand public qui connaissent le site dans une certaine mesure, un plus grand nombre l'a utilisé pour accéder à des ressources éducatives (34 % des parents et 16 % des membres du grand public). Assez peu de personnes ont déposé une plainte (7 % et 9 %) ou se sont inscrites pour recevoir des alertes (9 % et 3 %, respectivement). Les échantillons de plus petite taille rendent difficile l'évaluation des changements au fil du temps.
Q9a-c. Sur le site Web www.cyberaide.ca, avez-vous déjà...?
Base : Tous les répondants : Parents (n=141); Grand public (n=160)
Moins de six parents sur dix (59 %) et membres du grand public (54 %) affirment qu'ils renonceraient à certains de leur droit à la vie privée en ligne afin de protéger les enfants contre l'ESE en ligne, ce qui est en baisse par rapport aux 66 % de 2020. Un répondant sur cinq de chaque segment n'est pas d'accord, ce qui est également nettement supérieur aux 9 % enregistrés en 2020. Fait intéressant, les parents souhaitent dans une moins grande mesure que les membres du grand public qu'une telle approche soit adoptée.
Q9aa. Enfin, accepteriez-vous de renoncer à certains de vos droits de confidentialité en ligne (c.-à-d. la protection de vos communications en ligne ou d'autres données que vous fournissez en ligne) afin de mieux protéger les enfants de l'exploitation sexuelle en ligne? Par exemple, en permettant aux fournisseurs de services numériques de rechercher de manière proactive des contenus de maltraitance d'enfants sur leurs plateformes.
Base : Tous les répondants : Parents (n=1015); Grand public (n=1199)
L'échantillon du sondage était issu de notre panel Probit, dont les membres sont recrutés de façon aléatoire. Les panélistes de Probit ont été sélectionnés pour former une base de sondage hybride recruté sur des téléphones cellulaires et des lignes terrestres à l'aide d'un système à composition aléatoire. Il s'agit de la même base de sondage et du même processus d'échantillonnage utilisés pour mener des enquêtes au téléphone, lesquelles sont considérées comme représentatives de la population[7]. Une fois sélectionnées, nous avons communiqué avec eux par téléphone et les avons recrutés en leur demandant de créer un profil de base (c.-à-d. en répondant au questionnaire de référence du sondage, qui recueillait un éventail de renseignements démographiques. Ils avaient aussi la possibilité d'indiquer s'ils préféreraient répondre aux sondages en ligne ou au téléphone. Tous les membres de l'échantillon étaient admissibles à une participation, y compris ceux qui ne possédaient qu'un téléphone cellulaire, ceux qui n'avaient pas accès à Internet et ceux qui préféraient simplement répondre au téléphone plutôt qu'en ligne. Le panel Probit se compose d'un échantillon totalement représentatif de la population canadienne à partir duquel il est possible de sélectionner des échantillons aléatoires et recueillir des données d'une façon plus délibérée et en temps plus opportun que ce qui serait possible dans un sondage téléphonique traditionnel. Le panel, qui regroupe plus de 120?000 membres, peut être tenu comme représentatif de la population canadienne (c'est-à-dire qu'une population cible donnée comprise dans notre panel correspond de très près à l'ensemble de la population), et il est donc possible de lui attribuer une marge d'erreur.
Le prétest a mené à 30 entretiens en anglais et à 38 en français. Des questions supplémentaires ont été intégrées à la version du prétest du questionnaire pour recueillir les impressions des répondants sur la durée, le rythme, la clarté des libellés et d'autres aspects du sondage. Des changements mineurs ont été apportés à la suite des essais, bien que quelques questions aient été enlevées pour respecter la durée voulue du sondage.
Le sondage, qui s'est déroulé du 6 au 19 mars 2023, utilisait un questionnaire bilingue hébergé sur un serveur Web sécurisé sous le contrôle des Associés de recherche Ekos. Le courriel d'invitation comprenait une description et une explication de l'objectif du sondage (dans les deux langues), ainsi qu'un lien vers le site du sondage. La base de données du sondage a été mise au point en ayant recours à un numéro d'identification personnel (NIP) de façon à ce que seules les personnes détenant un NIP aient accès au sondage (le NIP était inclus dans le courriel d'invitation). Le questionnaire comprenait une préface qui présentait brièvement l'étude et la raison d'être de la recherche. Le message insistait également sur la nature volontaire et confidentielle du sondage. La collecte des données du sondage s'est faite dans le respect de toutes les normes en vigueur de l'industrie. Tous les membres invités du panel étaient informés de leur droit sous le régime des lois de protection de la vie privée ainsi que de la façon d'obtenir une copie de leurs réponses et des résultats du sondage.
Comme indiqué ci-dessous, le taux de réponse global des 16?345 cas est de 14,0 %. Il est de 13,9 % parmi les membres de l'échantillon de Probit qui ont répondu au sondage en ligne et de 14,1 % parmi ceux qui ont répondu au sondage au téléphone. Pour l'échantillon combiné en ligne et au téléphone, le taux de réponse est calculé en divisant les cas complétés ou inadmissibles par l'échantillon valide de 10 227, comme indiqué dans le tableau ci-dessous.
Résultat | En ligne | Téléphone |
---|---|---|
Total | 10 268 | 6 077 |
Invalides | 868 | 367 |
Échantillon valide | 9 400 | 5 710 |
Non-réponse | 7 638 | 4 442 |
Refus | 65 | 364 |
Partiellement rempli | 390 | 99 |
Nombre total de non-réponses | 8 093 | 4 905 |
Inadmissible/Quota rempli | 0 | 19 |
Enquête terminée | 1 307 | 787 |
Taux de réponse | 13,9 % | 14,1 % |
Les répondants étaient informés dans l'invitation que toutes leurs réponses étaient totalement confidentielles et qu'aucune réponse ne serait liée à des noms précis.
À la suite de la collecte des renseignements, la base de données a fait l'objet d'un examen pour analyser la qualité, les valeurs aberrantes, les exigences en matière de codage et la pondération à la construction de variables indépendantes. L'examen a aussi permis de relever les tendances propres aux sous-groupes (p. ex. par âge, sexe, etc.) dans l'analyse. La pondération de l'échantillon se fondait sur les paramètres de la population selon le recensement de 2016 en ce qui concerne l'âge, le sexe, et la région du pays pour chaque groupe du grand public, et pour les parents d'enfants âgés de 8 à 18 ans.
Le tableau suivant présente le profil de l'échantillon utilisé dans le sondage (non pondéré pour l'âge, la région et le genre, pondéré pour d'autres caractéristiques).
Total | 2023 Parents | 2023 Grand public | 2022 Parents | 2022 Grand public | 2022 Parents | 2022 Grand public |
---|---|---|---|---|---|---|
Âge (non pondéré) | n=1015 | n=1199 | n=1000 | n=1139 | n=953 | n=1119 |
Moins de 35 ans | 3 % | 25 % | 2 % | 25 % | 1 % | 25 % |
De 35 à 54 ans | 84 % | 36 % | 83 % | 37 % | 83 % | 40 % |
55 ans ou plus | 13 % | 38 % | 15 % | 37 % | 16 % | 36 % |
Scolarité | n=1015 | n=1199 | n=1000 | n=1139 | n=953 | n=1119 |
Un diplôme d'études secondaires, l'équivalent, ou moins | 9 % | 20 % | 8 % | 18 % | 14 % | 20 % |
Collège, CÉGEP, autre certificat ou diplôme non universitaire, diplôme d'apprenti ou certificat universitaire, diplôme universitaire ou baccalauréat | 65 % | 60 % | 63 % | 62 % | 71 % | 68 % |
Diplôme d'études universitaires ou plus | 25 % | 19 % | 28 % | 19 % | 15 % | 11 % |
Je préfère ne pas répondre | 0 % | 1 % | 0 % | 1 % | 0 % | -- |
Sexe (non pondéré) | n=1015 | n=1199 | n=1000 | n=1139 | n=953 | n=1119 |
Homme | 51 % | 50 % | 49 % | 49 % | 36 % | 47 % |
Femme | 48 % | 48 % | 50 % | 49 % | 64 % | 53 % |
Autre | 1 % | 1 % | 0 % | 2 % | -- | -- |
Je préfère ne pas répondre | 1 % | 0 % | 1 % | 0 % | -- | -- |
Région (non pondéré) | n=1015 | n=1199 | n=1000 | n=1139 | n=953 | n=1119 |
Colombie-Britannique | 11 % | 13 % | 11 % | 13 % | 11 % | 13 % |
Alberta | 13 % | 11 % | 15 % | 12 % | 12 % | 10 % |
Saskatchewan et Manitoba | 8 % | 9 % | 9 % | 11 % | 8 % | 8 % |
Ontario | 34 % | 36 % | 36 % | 34 % | 43 % | 40 % |
Québec | 25 % | 22 % | 21 % | 19 % | 20 % | 22 % |
Maritimes | 9 % | 9 % | 9 % | 11 % | 7 % | 7 % |
Revenu | n=1015 | n=1199 | n= | n= | n= | n= |
Moins de 20 000 $ | 1 % | 5 % | -- | -- | -- | -- |
20 000 à 29 999 $ | 2 % | 4 % | -- | -- | -- | -- |
30 000 à 39 999$ | 3 % | 5 % | -- | -- | -- | -- |
40 000 à 49 999$ | 3 % | 5 % | -- | -- | -- | -- |
50 000 à 59 999$ | 3 % | 5 % | -- | -- | -- | -- |
60 000 à 79 999$ | 7 % | 12 % | -- | -- | -- | -- |
80 000 à 99 999$ | 11 % | 10 % | -- | -- | -- | -- |
100 000 à 124 999$ | 16 % | 13 % | -- | -- | -- | -- |
125 000 à 149 999$ | 10 % | 8 % | -- | -- | -- | -- |
150 000 à 199 999$ | 14 % | 9 % | -- | -- | -- | -- |
200 000 ou plus | 20 % | 10 % | -- | -- | -- | -- |
Je ne sais pas/Pas de réponse | 11 % | 11 % | -- | -- | -- | -- |
Merci pour votre participation à ce sondage. Ekos Research Associates, une société canadienne de recherche sur l'opinion publique, réalise le sondage au nom de Sécurité publique Canada sur la sécurité des enfants en ligne.
If you prefer to answer the survey in English, please click on English.
Votre participation est facultative et vos réponses demeureront confidentielles et anonymes. Il faut environ 15 minutes pour répondre au sondage, qui est géré par Les Associés de recherche Ekos en conformité avec la Loi sur la protection des renseignements personnels. Pour consulter notre politique de confidentialité, cliquez ici.
Si vous avez besoin d'assistance technique, veuillez communiquer avec nous à online@ekos.com.
Bonjour/Bonsoir, pourrais-je parler à [nom du répondant]? Je m'appelle [nom de l'intervieweur] et je représente Les Associés de recherche Ekos, une entreprise de recherche sur l'opinion publique. Nous réalisons une étude pour le compte de Sécurité publique Canada sur la sécurité des enfants lorsqu'ils participent à des activités en ligne.
Préférez-vous répondre aux questions du sondage en français ou en anglais?/Would you prefer to be interviewed in English or French? Vous êtes libre de participer ou non et toutes vos réponses demeureront confidentielles et anonymes. Ce sondage est mené par Les Associés de recherche Ekos et est géré en conformité avec les exigences de la Loi sur la protection des renseignements personnels.
Si on demande la durée : L'étude dure environ 15 minutes.
Si on demande le nom du client : À la fin de l'entrevue, je pourrai vous dire le nom des commanditaires de l'étude.
Si on demande : Cette recherche est enregistrée auprès du service de vérification des recherches du Conseil de recherche et d'intelligence marketing canadien. Visitez https://canadianresearchinsightscouncil.ca/rvs/home/?lang=fr si vous souhaitez vérifier son authenticité (code de projet 20230829-EK064).
Cet appel peut être enregistré pour contrôle de la qualité ou formation.
Les questions suivantes seront utilisées à des fins statistiques uniquement.
Quel est votre sexe?
En quelle année êtes-vous né(e)?
Pourrions-nous vous situer dans l'un des groupes d'âges suivants?
Pour commencer, dans quelle mesure êtes-vous d'accord ou en désaccord avec les énoncés suivants? [Téléphone]
Sur une échelle où 1 signifie fortement en désaccord, 3 signifie ni d'accord ni en désaccord et 5 signifie fortement d'accord.>
Les enfants d'aujourd'hui vivent dans un environnement en ligne sûr
Pour commencer, dans quelle mesure êtes-vous d'accord ou en désaccord avec les énoncés suivants? [Téléphone]
Sur une échelle où 1 signifie fortement en désaccord, 3 signifie ni d'accord ni en désaccord et 5 signifie fortement d'accord.>
Les fournisseurs de services numériques devraient être en mesure de rechercher de façon proactive du matériel de maltraitance des enfants sur leurs plateformes, même si cela signifiait moins de confidentialité personnelle en ligne pour les Canadiens
Ce sondage porte sur l'exploitation sexuelle des enfants en ligne.
Par souci de clarté, lorsque nous disons " enfant ", nous faisons référence à toute personne de moins de 18 ans. Nous savons qu'il s'agit d'un sujet sensible, mais important. Nous apprécions votre participation à cette étude visant à accroître la sensibilisation et la prévention en matière d'exploitation sexuelle des enfants en ligne.
à votre connaissance, à quoi l'exploitation sexuelle des enfants en ligne fait-elle référence? Veuillez donner une réponse aussi précise que possible.
En fait, l'exploitation sexuelle des enfants en ligne fait référence à ce qui suit :
Offrir une récompense à un enfant en échange d'une faveur sexuelle en ligne Pornographie juvénile en ligne Offrir ou obtenir un enfant pour des activités sexuelles, y compris la prostitution Sextage (l'envoi de photographies ou de messages sexuellement explicites par le biais d'un téléphone portable) Le conditionnement (consiste à gagner la confiance d'un enfant et parfois des adultes qui l'entourent dans le but d'avoir accès à l'enfant et de le contrôler en normalisant certains comportements et certaines attentes) Le " capping " (quelqu'un, habituellement un adulte, utilise diverses plateformes ou applications de diffusion vidéo en continu pour enregistrer des vidéos ou prendre des captures d'écran de garçons et de filles en train de se dévêtir ou d'avoir des relations sexuelles, souvent sans que la victime le sache) Distribution d'images intimes sans autorisation Adultes qui voyagent et communiquent avec des enfants par le biais de plateformes en ligne pour obtenir des faveurs sexuelles
Au cours des trois derniers mois, dans quelle mesure avez-vous vu, lu ou entendu parler de l'exploitation sexuelle des enfants en ligne en tant que problème?
[Téléphone] Diriez-vous beaucoup, un peu, pas beaucoup ou pas du tout?
Qu'avez-vous entendu au sujet de l'exploitation sexuelle des enfants en ligne en tant que problème? Veuillez donner une réponse aussi précise que possible.
Et, où avez-vous entendu ces propos?
[Téléphone] Lire seulement si nécessaire> Veuillez cocher toutes les réponses qui s'appliquent.
Selon vous, dans quelle mesure l'exploitation sexuelle des enfants en ligne est-elle un problème ...? [Téléphone]
Sur une échelle où 1 signifie pas du tout un problème et 5 signifie un très grand problème.>
Dans votre quartier
Selon vous, dans quelle mesure l'exploitation sexuelle des enfants en ligne est-elle un problème ...? [Téléphone]
Sur une échelle où 1 signifie pas du tout un problème et 5 signifie un très grand problème.>
Dans votre ville
Selon vous, dans quelle mesure l'exploitation sexuelle des enfants en ligne est-elle un problème ...? [Téléphone]
Sur une échelle où 1 signifie pas du tout un problème et 5 signifie un très grand problème.>
Dans votre province
Selon vous, dans quelle mesure l'exploitation sexuelle des enfants en ligne est-elle un problème ...? [Téléphone]
Sur une échelle où 1 signifie pas du tout un problème et 5 signifie un très grand problème.>
Au Canada
Selon vous, dans quelle mesure l'exploitation sexuelle des enfants en ligne est-elle un problème ...? [Téléphone]
Sur une échelle où 1 signifie pas du tout un problème et 5 signifie un très grand problème.>
Dans le reste du monde
Avez-vous des enfants âgés de 8 à 18 ans qui vivent au sein de votre ménage? Si oui, combien?
Les questions suivantes portent sur les discussions que vous avez pu avoir avec votre enfant ou vos enfants âgés de 8 à 18 ans. [AQCHILD >= 2]
Pour le reste de ce sondage, lorsque nous disons « votre enfant », veuillez faire référence à un seul de vos enfants âgés de 8 à 18 ans – celui qui fêtera son anniversaire le prochain – et ne faites référence qu'à cet enfant tout au long.>
Âge de l'enfant :
Les questions suivantes portent sur les discussions que vous avez pu avoir avec votre enfant ou vos enfants âgés de 8 à 18 ans. [AQCHILD >= 2]
Pour le reste de ce sondage, lorsque nous disons « votre enfant », veuillez faire référence à un seul de vos enfants âgés de 8 à 18 ans – celui qui fêtera son anniversaire le prochain – et ne faites référence qu'à cet enfant tout au long.>
Sexe de l'enfant :
Merci encore de prendre le temps de répondre à ce sondage très important pour assurer la sécurité de tous les Canadiens. Nous vous rappelons que vous pouvez abandonner votre participation au sondage à tout moment.
Merci encore de prendre le temps de répondre à ce sondage très important pour assurer la sécurité de tous les Canadiens. Nous vous rappelons que vous pouvez abandonner votre participation au sondage à tout moment. Votre enfant utilise-t-il Internet...[Téléphone] (Lisez chacun et acceptez Oui/Non pour chacun)>
À la maison au moyen d'un ordinateur
Merci encore de prendre le temps de répondre à ce sondage très important pour assurer la sécurité de tous les Canadiens. Nous vous rappelons que vous pouvez abandonner votre participation au sondage à tout moment. Votre enfant utilise-t-il Internet... [Téléphone] (Lisez chacun et acceptez Oui/Non pour chacun)>
À la maison au moyen d'un système de jeu
Merci encore de prendre le temps de répondre à ce sondage très important pour assurer la sécurité de tous les Canadiens. Nous vous rappelons que vous pouvez abandonner votre participation au sondage à tout moment. Votre enfant utilise-t-il Internet... [Téléphone] (Lisez chacun et acceptez Oui/Non pour chacun)>
Au moyen d'un téléphone ou d'une tablette
Merci encore de prendre le temps de répondre à ce sondage très important pour assurer la sécurité de tous les Canadiens. Nous vous rappelons que vous pouvez abandonner votre participation au sondage à tout moment. Votre enfant utilise-t-il Internet... [Téléphone] (Lisez chacun et acceptez Oui/Non pour chacun)>
Au moyen d'un ordinateur ou d'une tablette scolaire
Merci encore de prendre le temps de répondre à ce sondage très important pour assurer la sécurité de tous les Canadiens. Nous vous rappelons que vous pouvez abandonner votre participation au sondage à tout moment. Votre enfant utilise-t-il Internet... [Téléphone] (Lisez chacun et acceptez Oui/Non pour chacun)>
Ailleurs
Et, lorsque votre enfant est en ligne à la maison, dans quelle mesure diriez-vous que vous surveillez son activité? N'oubliez pas que vos réponses honnêtes sont très utiles et resteront anonymes.
[Téléphone] Diriez-vous toujours, plutôt, parfois, rarement, ou jamais?
Et, le cas échéant, quelles mesures de protection prenez-vous pour surveiller les activités en ligne de votre enfant à la maison?
[Téléphone] Lire si nécessaire Veuillez cocher toutes les réponses qui s'appliquent.
Et, à votre connaissance, quelles mesures de protection sont en place à l'école de votre enfant? N'oubliez pas que vos réponses honnêtes sont très utiles et resteront anonymes. Veuillez donner une réponse aussi précise que possible.
Est-ce que vous " suivez " votre enfant sur les médias sociaux?
[Téléphone] (Si oui, précisez si sur certains ou tous les comptes)>
Connaissez-vous les mots de passe de son compte ou de ses comptes?
à votre connaissance, sur quel(s) site(s) votre enfant interagit-il avec d'autres personnes au moyen des réseaux sociaux, des jeux ou d'autres sites en ligne?
[Téléphone] Lire si nécessaire Veuillez cocher toutes les réponses qui s'appliquent.
Et, avec qui votre enfant interagit-il en ligne? N'oubliez pas que vos réponses honnêtes sont très utiles et resteront anonymes.
[Téléphone] Lisez la liste et acceptez chacune au fur et à mesure que vous lisez.> Veuillez cocher toutes les réponses qui s'appliquent.
à quelle fréquence discutez-vous de chacune des activités suivantes en ligne avec votre enfant? [Téléphone] Diriez-vous ... (lire la liste)>
Les sites qu'ils visitent
à quelle fréquence discutez-vous de chacune des activités suivantes en ligne avec votre enfant? [Téléphone] Diriez-vous ... (lire la liste)>
Paramètres de confidentialité
à quelle fréquence discutez-vous de chacune des activités suivantes en ligne avec votre enfant? [Téléphone] Diriez-vous ... (lire la liste)>
Les personnes à qui il parle ou interagit
à quelle fréquence discutez-vous de chacune des activités suivantes en ligne avec votre enfant? [Téléphone] Diriez-vous ... (lire la liste)>
Les sujets qu'ils discutent avec les autres
à quelle fréquence discutez-vous de chacune des activités suivantes en ligne avec votre enfant? [Téléphone] Diriez-vous ... (lire la liste)>
Le sextage
à quelle fréquence discutez-vous de chacune des activités suivantes en ligne avec votre enfant? [Téléphone] Diriez-vous ... (lire la liste)>
La sextortion (extorquer de l'argent ou des faveurs sexuelles de quelqu'un en menaçant de révéler la preuve de leur activité sexuelle)
à quelle fréquence discutez-vous de chacune des activités suivantes en ligne avec votre enfant? [Téléphone] Diriez-vous ... (lire la liste)>
L'envoi d'images ou de vidéos à caractère sexuel en ligne
à quelle fréquence discutez-vous de chacune des activités suivantes en ligne avec votre enfant? [Téléphone] Diriez-vous ... (lire la liste)>
Le conditionnement (consiste à gagner la confiance d'un enfant et parfois des adultes qui l'entourent dans le but d'avoir accès à l'enfant et de le contrôler en normalisant certains comportements et certaines attentes)
à quelle fréquence discutez-vous de chacune des activités suivantes en ligne avec votre enfant? [Téléphone] Diriez-vous ... (lire la liste)>
Le « capping » (quelqu'un, habituellement un adulte, utilise diverses plateformes ou applications de diffusion vidéo en continu pour enregistrer des vidéos ou prendre des captures d'écran de garçons et de filles en train de se dévêtir ou d'avoir des relations sexuelles, souvent sans que la victime le sache)
à quelle fréquence discutez-vous de chacune des activités suivantes en ligne avec votre enfant? [Téléphone] Diriez-vous ... (lire la liste)>
La marche à suivre si on lui demande de faire quelque chose qui le rend mal à l'aise
à quelle fréquence discutez-vous de chacune des activités suivantes en ligne avec votre enfant? [Téléphone] Diriez-vous ... (lire la liste)>
Marche à suivre s'il connaît quelqu'un qui est exploité en ligne
Avez-vous déjà recherché des informations sur l'exploitation sexuelle des enfants en ligne et ce qu'il faut faire pour protéger vos enfants?
Quelles informations souhaiteriez-vous avoir pour mieux protéger votre enfant contre l'exploitation sexuelle en ligne?
[Téléphone] Lire si nécessaire Veuillez cocher toutes les réponses qui s'appliquent.
Et où souhaitez-vous recevoir ou trouver ces informations?
[Téléphone] Lire si nécessaire Veuillez cocher toutes les réponses qui s'appliquent.
Sur une échelle de 1 à 5, où " 1 " signifie " Fortement en désaccord " et " 5 " signifie " Tout à fait d'accord ", veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d'accord ou en désaccord avec chacun des énoncés suivants lorsqu'il s'agit de parler à votre enfant de la sécurité en ligne.
Je sais où aller pour obtenir de l'aide concernant la sécurité en ligne
Sur une échelle de 1 à 5, où " 1 " signifie " Fortement en désaccord " et " 5 " signifie " Tout à fait d'accord ", veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d'accord ou en désaccord avec chacun des énoncés suivants lorsqu'il s'agit de parler à votre enfant de la sécurité en ligne.
Je n'ai pas le temps de parler à mon enfant de ses activités en ligne
Sur une échelle de 1 à 5, où " 1 " signifie " Fortement en désaccord " et " 5 " signifie " Tout à fait d'accord ", veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d'accord ou en désaccord avec chacun des énoncés suivants lorsqu'il s'agit de parler à votre enfant de la sécurité en ligne.
Je garde à portée de main des informations et des ressources sur la sécurité en ligne
Sur une échelle de 1 à 5, où " 1 " signifie " Fortement en désaccord " et " 5 " signifie " Tout à fait d'accord ", veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d'accord ou en désaccord avec chacun des énoncés suivants lorsqu'il s'agit de parler à votre enfant de la sécurité en ligne.
Je ne peux pas suivre l'évolution des technologies, des applications et des jeux que mon enfant utilise
Sur une échelle de 1 à 5, où " 1 " signifie " Fortement en désaccord " et " 5 " signifie " Tout à fait d'accord ", veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d'accord ou en désaccord avec chacun des énoncés suivants lorsqu'il s'agit de parler à votre enfant de la sécurité en ligne.
Je crains que parler de la sécurité en ligne avec mon enfant l'éloigne de moi
Sur une échelle de 1 à 5, où " 1 " signifie " Fortement en désaccord " et " 5 " signifie " Tout à fait d'accord ", veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d'accord ou en désaccord avec chacun des énoncés suivants lorsqu'il s'agit de parler à votre enfant de la sécurité en ligne.
Mon enfant se sentirait à l'aise de se tourner vers moi ou mon partenaire s'il avait besoin de conseils concernant ses activités en ligne
Sur une échelle de 1 à 5, où " 1 " signifie " Fortement en désaccord " et " 5 " signifie " Tout à fait d'accord ", veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d'accord ou en désaccord avec chacun des énoncés suivants lorsqu'il s'agit de parler à votre enfant de la sécurité en ligne.
J'estime qu'il est de ma responsabilité de parler à mon enfant de la sécurité en ligne
Sur une échelle de 1 à 5, où " 1 " signifie " Fortement en désaccord " et " 5 " signifie " Tout à fait d'accord ", veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d'accord ou en désaccord avec chacun des énoncés suivants lorsqu'il s'agit de parler à votre enfant de la sécurité en ligne.
Mon enfant s'attend à ce que je lui parle de la sécurité en ligne
Sur une échelle de 1 à 5, où " 1 " signifie " Fortement en désaccord " et " 5 " signifie " Tout à fait d'accord ", veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d'accord ou en désaccord avec chacun des énoncés suivants lorsqu'il s'agit de parler à votre enfant de la sécurité en ligne.
Je suis très inquiet(e) que mon enfant soit victime de l'exploitation sexuelle des enfants en ligne
Sur une échelle de 1 à 5, où " 1 " signifie " Fortement en désaccord " et " 5 " signifie " Tout à fait d'accord ", veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d'accord ou en désaccord avec chacun des énoncés suivants lorsqu'il s'agit de parler à votre enfant de la sécurité en ligne.
J'ai du mal à aborder le sujet de la sécurité en ligne avec mon enfant, cela me rend mal à l'aise
Sur une échelle de 1 à 5, où " 1 " signifie " Fortement en désaccord " et " 5 " signifie " Tout à fait d'accord ", veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d'accord ou en désaccord avec chacun des énoncés suivants lorsqu'il s'agit de parler à votre enfant de la sécurité en ligne.
Je sais comment parler de la sécurité en ligne avec mon enfant
Sur une échelle de 1 à 5, où " 1 " signifie " Fortement en désaccord " et " 5 " signifie " Tout à fait d'accord ", veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d'accord ou en désaccord avec chacun des énoncés suivants lorsqu'il s'agit de parler à votre enfant de la sécurité en ligne.
Je ne sais pas comment convaincre mon enfant de me parler de son activité en ligne
Sur une échelle de 1 à 5, où " 1 " signifie " Fortement en désaccord " et " 5 " signifie " Tout à fait d'accord ", veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d'accord ou en désaccord avec chacun des énoncés suivants lorsqu'il s'agit de parler à votre enfant de la sécurité en ligne.
Parler de la sécurité en ligne avec mon enfant me fait me sentir en sécurité
Sur une échelle de 1 à 5, où " 1 " signifie " Fortement en désaccord " et " 5 " signifie " Tout à fait d'accord ", veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d'accord ou en désaccord avec chacun des énoncés suivants lorsqu'il s'agit de parler à votre enfant de la sécurité en ligne.
Parler de la sécurité en ligne avec mon enfant me fait me sentir bien
Sur une échelle de 1 à 5, où " 1 " signifie " Fortement en désaccord " et " 5 " signifie " Tout à fait d'accord ", veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d'accord ou en désaccord avec chacun des énoncés suivants lorsqu'il s'agit de parler à votre enfant de la sécurité en ligne.
Parler de la sécurité en ligne est une habitude et nous en parlons régulièrement
Sur une échelle de 1 à 5, où " 1 " signifie " Fortement en désaccord " et " 5 " signifie " Tout à fait d'accord ", veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d'accord ou en désaccord avec chacun des énoncés suivants lorsqu'il s'agit de parler à votre enfant de la sécurité en ligne.
Parler à mon enfant de son activité en ligne le protégera de l'exploitation sexuelle des enfants
Sur une échelle de 1 à 5, où " 1 " signifie " Fortement en désaccord " et " 5 " signifie " Tout à fait d'accord ", veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d'accord ou en désaccord avec chacun des énoncés suivants lorsqu'il s'agit de parler à votre enfant de la sécurité en ligne.
Parler à mon enfant de son activité en ligne est la seule façon d'empêcher qu'il soit exploité sexuellement
Votre enfant est-il déjà venu vous parler d'une activité douteuse en ligne qu'il a vécue ou dont il a entendu parler d'un ami ou d'un pair? N'oubliez pas que vos réponses honnêtes sont très utiles et resteront anonymes.
Comment les éléments suivants ont-ils changé depuis le début de COVID en mars 2020? [Téléphone] Diriez-vous qu'il a... (lire la liste)>
Le temps que votre enfant passe en ligne, y compris pour l'apprentissage à distance, les communications avec les amis et la famille et les activités personnelles
Comment les éléments suivants ont-ils changé depuis le début de COVID en mars 2020? [Téléphone] Diriez-vous qu'il a... (lire la liste)>
Le degré de surveillance ou de supervision que votre enfant obtient lors d'activités personnelles en ligne (p. ex., les plateformes de médias sociaux, les jeux vidéo, les applications, etc.)
Comment les éléments suivants ont-ils changé depuis le début de COVID en mars 2020? [Téléphone] Diriez-vous qu'il a... (lire la liste)>
Le risque posé pour votre enfant par les activités en ligne
Dans quelle mesure avez-vous surveillé ou supervisé votre enfant pendant l'apprentissage virtuel? [Téléphone] Diriez-vous ... (lire la liste)>
Avez-vous déjà eu connaissance d'un comportement inapproprié dirigé vers votre enfant ou d'un autre jeune en ligne? Il peut s'agir, par exemple, de commentaires inquiétants adressés à un enfant ou d'images partagées entre pairs.
à votre connaissance, votre enfant a-t-il déjà été victime d'une forme quelconque d'exploitation sexuelle des enfants en ligne? C'est-à-dire, la cyberprédation (leurre d'enfants) en offrant une récompense en échange de quelque chose; la pornographie juvénile en ligne; les contraintes à se prostituer en ligne; le sextage; et la distribution non consensuelle d'images intimes.
Si vous êtes à l'aise de le faire, pouvez-vous nous communiquer plus de détails sur ce qui s'est passé?
Et, qu'avez-vous fait?
[Téléphone] Lisez la liste et acceptez Oui/Non pour chacun) Veuillez cocher toutes les réponses qui s'appliquent.
Pouvez-vous nous dire pourquoi vous n'avez rien fait? N'oubliez pas que vos réponses honnêtes sont très utiles et resteront anonymes.
[Téléphone] Lire si nécessaire Veuillez cocher toutes les réponses qui s'appliquent.
Et, avez-vous été satisfait du résultat?
Et, diriez-vous qu'il y a eu des effets à long terme sur l'un des éléments suivants en raison de l'incident?
[Téléphone] Lisez la liste et acceptez Oui/Non pour chacun) Veuillez sélectionner toutes les réponses qui s'appliquent.
Que feriez-vous si vous trouviez des images ou des vidéos à caractère sexuel liées au compte de votre enfant?
[Téléphone] Lisez la liste et acceptez Oui/Non pour chacun) Veuillez sélectionner toutes les réponses qui s'appliquent.
à votre connaissance, y a-t-il eu des cas d'exploitation sexuelle en ligne dans votre communauté?
Dans quelle mesure connaissez-vous le site Web www.cyberaide.ca et le Centre canadien de protection de l'enfance? [Téléphone] Diriez-vous ... (lire la liste)
Sur le site Web www.cyberaide.ca, avez-vous déjà...?
Déposé un signalement
Sur le site Web www.cyberaide.ca, avez-vous déjà...?
Demandé de recevoir des alertes
Sur le site Web www.cyberaide.ca, avez-vous déjà...?
Consulté ou téléchargé des ressources éducatives
Enfin, accepteriez-vous de renoncer à certains de vos droits de confidentialité en ligne (c.-à-d. la protection de vos communications en ligne ou d'autres données que vous fournissez en ligne) afin de mieux protéger les enfants de l'exploitation sexuelle en ligne? Par exemple, en permettant aux fournisseurs de services numériques de rechercher de manière proactive des contenus de maltraitance d'enfants sur leurs plateformes. [Téléphone] Diriez-vous que vous êtes ... (lire la liste)
Nos dernières questions serviront à aider à regrouper vos réponses.
Vous identifiez-vous comme l'une des catégories suivantes...?
[Téléphone] Lisez la liste et acceptez Oui/Non pour chacun) Veuillez sélectionner toutes les réponses qui s'appliquent.
à votre connaissance, votre enfant s'identifie-t-il comme l'une des personnes suivantes...?
[Téléphone] Lisez la liste et acceptez Oui/Non pour chacun) Veuillez cocher toutes les réponses qui s'appliquent.
Quel est le niveau d'études le plus élevé que vous avez atteint?
[Téléphone] Lire si nécessaire
Quel est le revenu annuel de votre ménage, de toutes sources et avant impôt?
Où êtes-vous né(e)?
[Téléphone] Lire si nécessaire
En quelle année êtes-vous arrivé(e) au Canada?
Quelle est la première langue que vous avez apprise à la maison lorsque vous étiez enfant et que vous comprenez encore?
Choisissez jusqu'à deux réponses
Enfin, Les Associés de recherche Ekos mène une série de discussions avec des parents d'enfants âgés de 8 à 18 ans afin d'obtenir des commentaires sur plusieurs approches proposées pour une campagne de sensibilisation qui sera lancée au 2024, visant à accroître la sécurité des enfants lorsqu'ils participent à des activités en ligne, en informant spécifiquement les parents de la menace d'exploitation sexuelle des enfants en ligne; une menace en ligne dangereuse et sérieuse qui est en augmentation au Canada et dans le monde. Pouvons-nous vous contacter avec plus de détails sur ces discussions dans les mois à venir?
Veuillez nous fournir les coordonnées suivantes afin que nous puissions vous contacter avec des détails sur les sessions à venir.
Veuillez confirmer l'orthographe de votre prénom et de votre nom :
[EMAIL n'est pas vide] Est-ce que EMAIL est le meilleur courriel pour entrer en contact avec vous? [Sinon] Quelle est la meilleure adresse courriel pour entrer en contact avec vous?
EMAIL n'est pas vide
[TÉLÉPHONE n'est pas vide] Est-ce que TÉLÉPHONE est le meilleur numéro pour entrer en contact avec vous? [Sinon] Quelle est le meilleur numéro pour entrer en contact avec vous?>
TÉLÉPHONE n'est pas vide
Merci de votre participation. Nous n'avons plus de questions à vous poser aujourd'hui.
Veuillez consulter le site Web http://www.canada.ca/exploitation-enfants, www.cyberaide.ca, www.jeunessejecoute.ca, ou https://www.justice.gc.ca/fra/jp-cj/victimes-victims/rsv-vsd/index.html, n'importe quand pour obtenir des ressources supplémentaires ou pour signaler un crime.
Merci de votre participation. Nous n'avons plus de questions à vous poser aujourd'hui.
Si demandé : Veuillez consulter le site Web http://www.canada.ca/exploitation-enfants, www.cyberaide.ca, https://www.justice.gc.ca/fra/jp-cj/victimes-victims/rsv-vsd/index.html, ou www.jeunessejecoute.ca, n'importe quand pour obtenir des ressources supplémentaires ou pour signaler un crime.
Nous vous remercions pour votre intérêt à répondre ce sondage. Malheureusement, vous n'êtes pas éligible pour ce sondage.