Étude quantitative sur le profil démographique et les habitudes des utilisateurs de drones au Canada

Rapport final

Préparée pour Transports Canada
Nom du fournisseur : Léger Marketing Inc.
Numéro de contrat : T8053-180127/001/CY
Valeur du contrat : 33 866,10 $
Date d’octroi 2019-02-07
Date de livraison : 2019-03-29
Numéro d’enregistrement : POR-121-18
Pour obtenir plus d’information sur ce rapport, veuillez communiquer avec Transports Canada à : tc.publicopinion-opinionppublique.TC@tc.gc.ca

This report is also available in English.

Droits d’auteur

Ce rapport de recherche sur l’opinion publique présente les résultats d’un sondage en ligne menée par Léger Marketing inc. pour le compte de Transports Canada. La recherche a été réalisée auprès de 700 utilisateurs de drones canadiens du 25 février au 6 mars 2019.

This report is also available in English under the name: Quantitative Research on Drones Users Lifestyle and Demographics.

Cette publication peut être reproduite pour à des fins non commerciales uniquement. Une autorisation écrite préalable doit être obtenue de Transport Canada. Pour plus d’information sur ce rapport, veuillez contacter Transports Canada à l’adresse suivante : tc.publicopinion-opinionppublique.TC@tc.gc.ca ou au :

Département des transports
Place de ville, Tour C 28^e étage
330 rue Spark
Ottawa, Ontario
K1A 0N5

Numéro de catalogue :
T22-240/2019F-PDF

Numéro international normalisé du livre (ISBN) :
978-0-660-30296-6

Publications associées (numéro d’enregistrement : POR 101-18) :

Numéro de catalogue : T22-240/2019E-PDF (rapport final en anglais)
ISBN 978-0-660-30295-9

© Sa Majesté la Reine du chef du Canada, représentée par le ministredes Transports du Canada, 2019.

Table des matières

• 1. Résumé
  • 1.1 Mise en contexte et objectifs
  • 1.2 Méthodologie – Recherche quantitative
  • 1.3 Aperçu des conclusions quantitatives
  • 1.4 Remarques sur l’interprétation des conclusions de la recherche
  • 1.5 Déclaration de neutralité politique et coordonnées
• 2. Résultats détaillés
  • 2.1 Profilage
  • 2.2 Habitudes d’utilisation du drone
  • 2.3 Nombre de drones par propriétaire
  • 2.4 Clubs de drones et techniques d’apprentissage
  • 2.5 Certification des pilotes de drones et formation sur la sécurité
  • 2.6 Sources d’information et consultation des pages Web de Transports Canada sur les drones
  • 2.7 Réglementation en matière de drones et d’aéromodèles
  • 2.8 Canaux de communication
• Annexe A – Méthodologie de recherche détaillée
  • A.1 Méthodologie quantitative
• Annexe B – Questionnaire
  • Transport Canada – Sondage au sujet des drones – Questionnaire final
  • Transports Canada Drone Survey – Final Questionnaire

1. Résumé

Léger est heureuse de présenter à Transports Canada le présent rapport contenant les conclusions tirées d’une enquête quantitative visant à en apprendre davantage sur les utilisateurs de drones canadiens.

Ce rapport a été préparé par Léger à la suite de l’octroi d’un contrat par Transports Canada (numéro de contrat T8053-180127/001/CY, octroyé le 7 février 2019).

1.1 Mise en contexte et objectifs

Bien qu’il connaisse une croissance exponentielle, le secteur civil des drones en est encore à ses balbutiements. Le nombre d’études et de données disponibles sur les utilisateurs de drones est plutôt restreint, surtout dans les plus petits marchés comme le Canada. Pour bien cibler les efforts de communication et de sensibilisation de Transports Canada (TC), il importe de disposer de renseignements sur les utilisateurs de drones, notamment des données démographiques, ainsi que sur les activités connexes auxquelles ils pourraient participer, la façon dont ils achètent et utilisent leur drone et leur compréhension de la sécurité aérienne. La présente recherche soutiendra également l’association entre Transports Canada et Code for Canada, qui travailleront en 2018 et 2019 à l’élaboration d’une solution numérique pour la sécurité des drones au Canada.

Les résultats aideront le Groupe de l’aviation civile, qui fait partie de Transports Canada, à comprendre son public cible. La recherche contribuera également à la campagne de communications sur la sécurité en matière de drones (« Renseignez-vous avant de partir ») en aidant à déterminer comment les renseignements, les outils éducatifs et les ressources devraient être fournis à la communauté des utilisateurs de drones. La présente recherche permettra d’élaborer divers produits, comme du matériel éducatif, de la publicité, du contenu Web et des messages sur les médias sociaux.

La recherche sur les utilisateurs de drones permettra à TC de :

• Comprendre le profil des utilisateurs de drones commerciaux et récréatifs.
• Examiner et mieux saisir la compréhension qu’ont les utilisateurs de la sécurité aérienne.
• Trouver des possibilités pour diffuser et améliorer les messages, les outils éducatifs et le matériel éducatif à l’intention des utilisateurs de drones.
• Soutenir l’association entre Transports Canada et Code for Canada en vue d’élaborer une solution numérique pour les drones au Canada. L’association accordera une grande importance aux travaux axés sur les utilisateurs afin de mieux comprendre les pilotes de drones et leurs motivations.

Les résultats de l’étude de recherche contribueront à créer et à offrir des produits de communication efficaces sur la sécurité des drones.

1.2 Méthodologie – Recherche quantitative

Sondage en ligne

Cette étude de consommateur a été réalisée au moyen de sondages en ligne, à l’aide de la technologie d’interview Web assistée par ordinateur (CAWI). La collecte de données réalisée dans le cadre de ce sondage s’est déroulée du 25 février au 6 mars 2019. Au total, 700 utilisateurs de drones canadiens ont été interviewés.

Dans le but d’avoir assez de répondants dans chaque catégorie d’utilisateurs de drones (usage récréatif/professionnel, propriétaire d’un drone/non-propriétaire, mais pilote occasionnel), nous avons fixé des quotas minimums pour chaque profil. Nous nous sommes assurés qu’au moins 100 répondants correspondaient à chacun des profils d’utilisateurs de drones susmentionnés, ce qui nous a permis d’établir des profils démographiques et de les comparer.

Un pré-test de 20 entretiens a été réalisé avant le lancement de la collecte de données pour valider la programmation du questionnaire.

Étant donné que nous n’avons pas utilisé une méthode d’échantillonnage probabiliste réelle, nous ne pouvons pas faire de calcul de la marge d’erreur dans le cadre de ce projet.

Léger respecte les lignes directrices les plus strictes en matière de recherche quantitative. L’instrument de sondage était conforme aux normes pour la recherche sur l’opinion publique effectuée par le gouvernement du Canada.

Une description méthodologique complète est fournie en annexe à ce document (voir l’annexe A).

Remarques à l’intention des lecteurs

Les tableaux croisés dans ce rapport présentent les réponses détaillées obtenues pour les questions du sondage sur les utilisateurs de drones.

Les résultats pour tous les répondants sont présentés dans la colonne « Total », suivis des résultats par sous-groupe (par exemple, par sexe, âge, propriétaire de drones et non-propriétaire, etc.). Les chiffres en rouge (avec un symbole -) et en vert (avec un symbole +) indiquent respectivement des résultats plus faibles ou plus élevés qui sont considérés comme statistiquement significatifs par rapport aux résultats obtenus pour d’autres répondants. Pour que deux proportions ou deux moyennes soient significativement différentes, il faut que des tests statistiques confirment cette différence.

Dans l’exemple qui suit, on observe qu’au total, 15 % des répondants ont de l’expérience en aviation. Il existe d’importantes différences entre les catégories d’utilisateurs de drones. Les répondants qui sont propriétaires de leur(s) drone(s) (21 %) sont plus susceptibles d’avoir de l’expérience en aviation. Il existe aussi d’importantes différences entre les utilisateurs de drones selon le but d’utilisation du drone. Les répondants qui utilisent les drones à des fins récréatives sont moins susceptibles d’avoir de l’expérience en aviation (13 %). Comme l’illustre le tableau 1, la catégorie « non-propriétaire » correspond aux personnes qui ont indiqué faire voler des drones, mais ne pas en être propriétaires. Ainsi, ces personnes sont des utilisateurs de drones, mais n’en possèdent aucun.

Remarque : n non pondéré = nombre réel de répondants interrogés dans chaque sous-groupe.

1.3 Aperçu des conclusionsquantitatives

Profil et habitudes des utilisateurs de drones

• Au total, l’incidence des utilisateurs de drones dans la population canadienne est de 17 %. Ce taux d’incidence comprend les utilisateurs à des fins récréatives ou professionnelles, qu’ils soient propriétaires d’un drone ou non. Trois utilisateurs sur cinq se considèrent propriétaires d’un drone (61 %), et près de quatre utilisateurs sur cinq pilotent des drones à des fins récréatives (79 %). Seul un utilisateur sur dix fait voler des drones à des fins professionnelles ou de recherche (12 %). Il en va de même pour les utilisateurs qui font voler des drones à la fois à des fins récréatives et à des fins professionnelles ou de recherche (10 %).
• De façon générale, les résidents de l’Ontario sont plus susceptibles d’être des utilisateurs de drones (18 %). Il en va de même pour les personnes âgées de 18 à 34 ans (28 %) et les hommes (23 %). Avant le déploiement du sondage, il a été établi que les drones peuvent être utilisés pour deux principales raisons : à des fins récréatives et à des fins professionnelles ou de recherche. Les résultats montrent que les personnes âgées de 55 à 64 ans sont plus susceptibles d’utiliser les drones à des fins récréatives (88 %).
• En moyenne, les répondants qui pilotent des drones à des fins récréatives et à des fins professionnelles ou de recherche font voler des drones à des fins récréatives pendant 48 % du temps et à des fins professionnelles ou de recherche pendant 37 % du temps.
• Une grande majorité des répondants n’ont aucune expérience en aviation. En effet, lorsque sondé à savoir s’ils avaient de l’expérience en aviation, 80 % des répondants affirment ne pas en avoir, alors qu’un seul répondant sur dix a dit en avoir (15 %). Les résultats montrent que les propriétaires de drones sont plus susceptibles d’avoir de l’expérience en aviation (21 %) et que les non-propriétaires ^{Notes de bas de page 1} sont plus susceptibles de ne pas en avoir (86 %).
• De façon générale, les utilisateurs de drones utilisent leur(s) drone(s) moins d’une heure par semaine (40 %). Une vaste majorité des propriétaires de drones font voler leur drone jusqu’à quatre heures par semaine (82 %). Les répondants ayant indiqué faire voler des drones à des fins récréatives et professionnelles ou de recherche sont plus susceptibles d’utiliser leur(s) drone(s) de 10 à 14 heures par semaine (12 %).
• Les utilisateurs récréatifs semblent principalement faire voler leur(s) drone(s) juste pour le plaisir (64 %). Les résultats montrent que les non-propriétaires sont moins susceptibles de faire voler leur drone juste pour le plaisir (52 %). Par ailleurs, un utilisateur professionnel sur quatre a indiqué faire principalement voler des drones pour faire des films ou prendre des vidéos ou des photos (25 %); un peu plus d’un utilisateur sur cinq a indiqué le faire à des fins de recherche, de recherche universitaire ou autre (22 %).
• De façon générale, près de quatre répondants sur dix ont indiqué faire habituellement voler leur(s) drone(s) dans une zone rurale (37 %).

Nombre de drones par propriétaire

• Les propriétaires de drones semblent généralement posséder un seul drone (68 %). En effet, près de trois propriétaires de drones utilisés à des fins récréatives sur quatre ne possèdent qu’un seul drone (74 %). Par ailleurs, trois propriétaires sur dix qui pilotent des drones à des fins récréatives et professionnelles ont dit posséder trois drones ou plus (30 %).
• Les trois quarts des propriétaires de drones ont acheté leur(s) drone(s) dans un commerce de détail (76 %), soit en ligne (27 %) ou en magasin (49 %). La moitié des propriétaires utilisant leur drone à des fins récréatives ont acheté leur drone en magasin (53 %) et sont moins susceptibles d’avoir fait un achat en ligne (26 %). D’autre part, près de trois propriétaires sur dix pilotant des drones à des fins récréatives et professionnelles ou de recherche ont acheté le drone qu’ils font voler le plus souvent en ligne sur un site Web spécialisé en drones (29 %).
• Étonnamment, près de trois propriétaires de drones sur dix affirment ne pas connaître la marque du drone qu’ils font voler le plus souvent (28 %). La marque la plus populaire parmi les répondants est DJI (16 %), suivie de Blade (11 %) et de Parrot (9 %). Dans un même ordre d’idées, les propriétaires de drones ne semblent pas connaître le poids du drone qu’ils font voler le plus souvent. Les résultats démontrent que près des trois quarts des répondants n’étaient pas en mesure de répondre lorsque questionnés sur le poids du drone qu’ils utilisaient le plus (74 %). Le poids moyen global d’un drone est de 5,8 livres et la médiane générale est de 1 livre. Lorsqu’on regarde les réponses données par les utilisateurs récréatifs, le poids moyen descend à 3,7 livres. L’inverse se produit lorsque l’on regarde les réponses données par les utilisateurs professionnels : le poids moyen monte à 24,6 livres.

Clubs, techniques d’apprentissage, certifications etformations sur la sécurité

• Seulement 2 % des répondants font partie d’un club de drones ou d’aéromodèles, mais près d’un répondant sur cinq a dit chercher à en faire partie (18 %). Un peu plus des trois quarts des utilisateurs récréatifs ne font pas partie d’un club de drones ou d’aéromodèles et ne cherchent pas à en faire partie (77 %).
• Plus de la moitié des répondants ont appris à faire voler des drones par eux-mêmes ou sans aide (54 %), près d’un répondant sur cinq a appris auprès d’un ami ou d’un collègue (18 %), et un répondant sur dix a appris en regardant des vidéos éducatives (sur YouTube ou par l’intermédiaire d’une entreprise de drones) (11 %). Seuls 4 % des répondants ont indiqué s’être inscrits à un cours de pilotage de drones, soit en ligne (47 %) ou en classe (p. ex. dans une école ou dans un centre communautaire) (48 %).
• Deux répondants sur dix possèdent un certificat de pilote de drones délivré par le gouvernement du Canada ou sont en voie d’en obtenir un (21 %). Le quart (25 %) des utilisateurs professionnels sont en voie d’obtenir leur certificat, et 21 % des utilisateurs qui pilotent des drones à des fins récréatives et professionnelles ont déjà leur certificat. Les résultats montrent que les utilisateurs récréatifs sont plus susceptibles de ne pas avoir de certificat de pilote de drones (79 %) et que les utilisateurs professionnels sont moins susceptibles de ne pas en avoir un (48 %).
• Plus de la moitié des répondants n’ont suivi aucune formation et n’ont pas vu de vidéos éducatives portant précisément sur la sécurité en matière de pilotage de drones ou d’aéromodèles au Canada (58 %). Toutefois, trois répondants sur dix ont suivi une telle formation ou vu de telles vidéos (37 %). Quatre propriétaires de drones sur dix ont indiqué avoir suivi une formation ou vu une vidéo éducative portant précisément sur la sécurité en matière de pilotage de drones ou d’aéromodèles au Canada (44 %). Les utilisateurs professionnels sont moins susceptibles de faire partie de ceux qui n’ont suivi aucune formation ni vu aucune vidéo éducative sur la sécurité des drones (47 %). Dans un même ordre d’idées, seul le quart des répondants ont suivi une formation ou vu une vidéo éducative sur les règlements de Transports Canada en matière de sécurité des drones (25 %).

Sources d’informations et règlements

• De façon générale, plus de la moitié des répondants ont mentionné ne pas avoir cherché d’informations sur les règlements du gouvernement du Canada au sujet des drones ou des aéromodèles (57 %). Les résultats montrent que 43 % des propriétaires de drones ont cherché des informations sur les règlements canadiens, alors que seulement 28 % des non-propriétaires l’ont fait. Bien que 63 % des utilisateurs récréatifs n’ont pas effectué de telles recherches, plus de la moitié des répondants qui pilotent des drones à des fins professionnelles ou de recherche ont quant à eux cherché des informations sur les règlements du gouvernement du Canada concernant les drones ou les aéromodèles à un moment ou à un autre (52 %). Parmi tous les répondants qui ont indiqué avoir cherché des informations sur les règlements du gouvernement du Canada concernant les drones et les aéromodèles, près de sept sur dix ont utilisé un moteur de recherche (68 %), près de la moitié se sont rendus sur le site Web du gouvernement du Canada (48 %) et le quart se sont rendus sur le site Web de TC (25 %).
• Au total, 57 % des répondants qui n’ont pas cherché d’informations sur les règlements du gouvernement du Canada concernant les drones ou les aéromodèles directement sur le site Web de TC ont toutefois consulté des pages du site Web de TC à un moment ou à un autre. La grande majorité de ces répondants ont cherché des informations au sujet des règles et règlements actuels (80 %), un répondant sur dix a cherché comment immatriculer son drone (11 %) et seulement 8 % des répondants ont cherché comment obtenir un certificat de pilote de drones.
• La moitié des répondants se sont autoévalués comme mal informés en ce qui a trait aux règlements de TC sur les drones et les aéromodèles (50 %). Tout compte fait, seulement 11 % des répondants se sont estimés « très informés ». Six répondants qui pilotent des drones à des fins récréatives et professionnelles ou de recherche sur dix estiment bien connaître les règlements de Transports Canada sur les drones et les aéromodèles (62 %). La règle que les utilisateurs récréatifs connaissent le mieux est celle selon laquelle l’utilisateur doit faire voler son drone à l’extérieur d’un espace aérien contrôlé (74 %). La moitié des utilisateurs professionnels savent qu’on doit demander à TC un certificat d’opérations aériennes spécialisées OU bénéficier d’une exemption si le pilotage du drone présente peu de risques (50 %).
• Six répondants sur dix ne savaient pas que de nouveaux règlements en matière de drones entraient en vigueur le 1er juin 2019 (64 %). Seulement 27 % des répondants étaient au courant, et 9 % ont préféré ne pas répondre. Parmi les 27 % des répondants qui sont conscients que de nouveaux règlements entrent bientôt en vigueur, une bonne majorité ne comprend pas clairement les répercussions de ces nouveaux règlements. En effet, lorsqu’invités à expliquer dans leurs propres mots les changements que ces nouveaux règlements entraîneront, six répondants sur dix ont répondu qu’ils ne savaient pas ou ont préféré ne pas répondre (61 %). La proportion de « Je ne sais pas » tend à être plus grande pour les sondages en ligne (par rapport aux sondages téléphoniques), mais le pourcentage de « Je ne sais pas » devrait se situer autour de 30 %, et non de 61 %. La nouvelle règle que la plupart des répondants connaissent est celle selon laquelle l’utilisateur doit garder son drone dans son champ de vision (62 %). En général, les propriétaires de drones et les répondants qui pilotent leur drone à des fins récréatives et professionnelles ou de recherche sont plus susceptibles d’être au courant des nouvelles règles.

Canaux de communication

• Pour s’informer sur les dernières tendances en matière de drones et d’aéromodèles, deux répondants sur dix effectuent des recherches sur Google (20 %). Les chaînes YouTube sont aussi une source d’informations pour 14 % des répondants.
• Selon leurs réponses, les répondants croient qu’une campagne publicitaire à la télévision constitue le meilleur support publicitaire pour permettre à TC d’atteindre les utilisateurs de drones et d’aéromodèles (26 %), suivie des plateformes de médias sociaux (20 %). Les publicités en ligne sur des sites Web consacrés aux drones sont le support préféré de 23 % des utilisateurs qui pilotent des drones à des fins récréatives et professionnelles.
• Les résultats montrent que les vidéos en ligne sont le format de prédilection pour obtenir des informations portant sur l’utilisation sécuritaire des drones au Canada (46 %). Le contenu Web occupe la deuxième position (23 %).

1.4 Remarquessur l’interprétation des conclusions de la recherche

Les opinions et les observations exprimées dans ce document ne reflètent pas celles de Transports Canada. Ce rapport a été rédigé par la firme Léger d’après la recherche menée expressément dans le cadre de ce projet. Cette recherche n’est pas probabiliste; les résultats ne peuvent pas être transposés à la population générale du Canada.

1.5 Déclaration de neutralité politique et coordonnées

Léger certifie que les résultats livrés sont entièrement conformes aux exigences du gouvernement du Canada en matière de neutralité politique décrites dans la Politique de communication du gouvernement du Canada et dans la Directive sur la gestion des communications.

Plus précisément, les produits livrables ne comprennent pas d’information sur les intentions de vote électoral, les préférences quant aux partis politiques, les positions des partis ni l’évaluation de la performance d’un parti politique ou de ses dirigeants.

Signé

Christian Bourque,chercheur principal

Léger

2. Résultats détaillés

2.1 Profilage

Comme mentionné précédemment, cette étude s’intéresse aux personnes qui pilotent des drones, notamment :

• Des Canadiens qui possèdent personnellement un drone ou un autre aéromodèle qu’ils font voler à des fins récréatives;
• Des Canadiens qui possèdent personnellement un drone ou un autre aéromodèle qu’ils font voler à des fins professionnelles ou de recherche;
• Des Canadiens qui ne possèdent pas de drone ou d’autre aéromodèle, mais qui en font voler à des fins récréatives;
• Des Canadiens qui ne possèdent pas de drone ou d’autre aéromodèle, mais qui en font voler à des fins professionnelles ou de recherche;
• Des Canadiens qui possèdent personnellement un drone ou un autre aéromodèle qu’ils font voler À LA FOIS à des fins professionnelles ou de recherche ET à des fins récréatives;
• Des Canadiens qui ne possèdent pas de drone ou d’autre aéromodèle, mais qui en font voler À LA FOIS à des fins professionnelles ou de recherche ET à des fins récréatives.

En tout, 17 % des Canadiens sont des utilisateurs de drones. Ces utilisateurs ne sont pas nécessairement propriétaires du drone qu’ils pilotent et peuvent l’utiliser à des fins soit récréatives, soit professionnelles ou de recherche, soit aux deux fins. La pondération a été déterminée en fonction de statistiques administratives de l’échantillon de départ, ce qui génère un échantillon final calibré représentatif de la population canadienne en vue d’évaluer la prévalence des utilisateurs de drones au sein de la population.

Version textuelle

Profil des utilisateurs de drones Je possède personnellement un drone ou un autre aéromodèle que je fais voler à des fins créatives : 57 %; Je possède personnellement un drone ou un autre aéromodèle que je fais voler à des fins professionnelles ou de recherche : 9 %; Je ne possède pas de drone ou autre aéromodèle, mais j’en fais voler à des fins récréatives : 33 %; Je ne possède pas de drone ou autre aéromodèle, mais j’en fais voler à des fins professionnelles ou de recherche : 12 %; Je ne possède pas personnellement de drone ou d’aéromodèle, mais une autre personne de mon foyer en possède : 3 %; Aucune personne dans mon foyer, moi compris, ne possède en ce moment de drone ou d’aéromodèle : 4 %; Je ne sais pas. / Je préfère ne pas répondre : 0 %.

Figure 1.Réponse à la question 1 : Lequel des énoncés suivants correspond lemieux à votre situation actuelle? Plusieurs réponses possibles

*Base : Échantillon total (n = 700)

* Puisque les répondants pouvaient donner plusieurs réponses, les mentionstotales peuvent dépasser 100 %.

Les tableaux suivants illustrent la prévalence des utilisateurs de drones dans la population canadienne.

De façon générale, les résidents de l’Ontario sont plus susceptibles d’être des utilisateurs de drones (18 %). Les hommes sont aussi plus susceptibles d’être des utilisateurs de drones (23 %), tout comme les personnes âgées de 18 à 34 ans (28 %). Les résidents du Québec, pour leur part, sont plus susceptibles de ne pas utiliser de drones (88 %). Les femmes sont moins susceptibles d’être des utilisatrices de drones (10 %), et les personnes qui ont 55 ans ou plus sont plus susceptibles de ne pas utiliser de drones (92 %).

Les tableaux suivants illustrent les catégories d’utilisateurs de drones dans la population canadienne.

Les hommes sont plus susceptibles d’être propriétaires de drones (71 %), alors que les femmes sont plus susceptibles de ne pas l’être (59 %).

Les tableaux suivants illustrent le but de l’utilisation de drones chez les Canadiens.

En général, les Canadiens qui ont 55 ans et plus sont plus susceptibles d’être des utilisateurs récréatifs seulement (88 %). Pour leur part, les personnes âgées de 18 à 34 ans sont plus susceptibles d’être des utilisateurs professionnels.

2.2 Habitudes d’utilisation du drone

De façon générale, les répondants qui ont dit faire voler leur drone à la fois à des fins récréatives et à des fins professionnelles ou de recherche pilotent leur drone en moyenne 48 % du temps à des fins récréatives et 37 % du temps à des fins professionnelles ou de recherche.

Parmi tous les répondants, 31 % affirment faire voler leur drone à des fins récréatives pour moins de la moitié du temps, 35 % pour la moitié du temps ou plus et 35 % ont préféré ne pas répondre.

Version textuelle

Proportion d'utilisation à des fins professionnelles ou récréatives % à des fins récréatives : Moins de 50 % du temps : 31 %; 50 % du temps ou plus : 35 %; Je ne sais pas ou je préfère ne pas répondre : 35 %; % à des fins professionnelles : Moins de 50 % du temps : 3 2%; 50 % du temps ou plus : 33 %; Je ne sais pas ou je préfère ne pas répondre : 35 %.

Figure 2 : Réponse à la question 2 : Vous avez indiqué que vous faisiez volerdes drones ou des aéromodèles à des fins professionnelles ou de recherche et àdes fins récréatives. Sur la base du nombre total d’heures que vous passez àfaire voler des drones, quel pourcentage consacrez-vous à une utilisationprofessionnelle, d’une part, et à une utilisation récréative, d’autre part? Réponsesspontanées

Base : Répondants qui font voler des drones à des fins à la foisrécréatives et professionnelles (n = 71)

* Étant donné le nombre peu élevé de répondants (n < 30), les données sont présentées à titre illustratif seulement.

Seulement 15 % de tous les répondants ont de l’expérience en aviation; 80 % d’entre eux ont dit ne pas en avoir et 5 % ont préféré ne pas répondre.

Les répondants qui sont propriétaires de leur(s) drone(s) sont plus susceptibles d’avoir de l’expérience en aviation (21 %). Pour leur part, les répondants qui font voler des drones à des fins récréatives seulement sont plus susceptibles de ne pas avoir d’expérience en aviation (84 %).

Version textuelle

Expérience en aviation Oui, j'ai de l'expérience en aviation : 15 %; Non, je n'ai pas d'expérience en aviation : 80 %; Je ne sais pas ou je préfère ne pas répondre : 5 %.

Figure 3 : Réponse à la question 27 : Avez-vous de l’expérience en aviation(leçons de vol, permis de pilote ou autre)?

Base : Tous les répondants (n = 700)

En ce qui concerne les heures de vol, 72 % des répondants disent faire habituellement voler leur(s) drone(s) pendant 4 heures ou moins par semaine. De ce pourcentage, 40 % disent faire habituellement voler leur(s) drone(s) pendant moins d’une heure par semaine, et 32 % disent faire voler le leur d’une à quatre heures par semaine.

Les propriétaires de drones sont plus susceptibles de faire voler des drones pendant moins d’une heure par semaine (45 %) ou d’une à quatre heures par semaine (37 %). Les utilisateurs récréatifs sont plus susceptibles de faire voler leur(s) drone(s) moins d’une heure par semaine (46 %), alors que les répondants qui pilotent des drones à la fois à des fins récréatives et à des fins professionnelles ou de recherche sont plus susceptibles d’utiliser leur(s) drone(s) de 10 à 14 heures par semaine (12 %).

Version textuelle

Utilisation hebdomadaire de drones (en heures) Moins d'une heure : 40 %; Entre 1 et 4 heures : 32 %; Entre 5 et 9 heures : 10 %; Entre 10 et 14 heures : 4 %; 15 heures ou plus : 0 %; Je ne sais pas ou je préfère ne pas répondre : 13 %.

Figure 4 : Réponse à la question 2B : Vous avez indiqué que vous faisiez volerdes drones à des fins professionnelles ou de recherche et/ou à des finsrécréatives. Pendant combien d’heures par semaine, en moyenne, faites-vousvoler des drones?

Base : Tous les répondants (n=700)

En général, les utilisateurs récréatifs font surtout voler leur(s) drone(s) pour le plaisir (64 %), et 26 % d’entre eux les utilisent pour prendre des vidéos ou des photos.

Les propriétaires de drones sont plus susceptibles de faire voler leur drone juste pour le plaisir (70 %). Pour leur part, les non-propriétaires sont moins susceptibles de faire voler leur drone juste pour le plaisir (52 %).

Version textuelle

Utilisation d'un drone à des fins récréatives Juste pour le plaisir de le faire voler : 64 %; Pour prendre des vidéos ou des photos : 26 %; Pour une autre utilisation : 1 %; Je ne sais pas ou je préfère ne pas répondre : 9 %.

Figure 5 : Réponse à la question 3 : Quelle utilisation faites-vous généralementde votre drone ou aéromodèle?

Base : Répondants qui font voler des drones à des fins récréatives(n = 618)

Un utilisateur professionnel sur quatre (25 %) pilote principalement des drones pour faire des films ou prendre des vidéos ou des photos, et un sur cinq (22 %) fait principalement voler des drones à des fins de recherche, universitaire ou autre. Les répondants qui possèdent au moins un drone sont plus susceptibles de faire voler des drones à des fins de recherche ou de recherche universitaire qu’à toute autre fin (35 %).

Version textuelle

Utilisation d’un drone à des fins professionnelles Pour faire des films ou prendre des vidéos ou des photos : 25 %; À des fins de recherche, de recherche universitaire ou autre : 22 %; Pour inspecter des bâtiments, des structures ou des toits (étude de zones, balayage de périmètres) : 10 %; À des fins agricoles (étude ou inspection de zones) : 8 %; À des fins immobilières : 6 %; Pour inspecter des infrastructures (pipelines, lignes électriques, voies ferrées, autoroutes) : 4 %; Pour une autre utilisation : 0 %; Je ne sais pas ou je préfère ne pas répondre : 25 %.

Figure 6 : Réponse à la question 5 : Quelle est la principale raison pourlaquelle vous faites voler un drone à des fins professionnelles ou derecherche?

Base : Répondants qui font voler des drones à des fins professionnelles(n = 153)

En général, les utilisateurs de drones font principalement voler leur(s) drone(s) dans des zones rurales (37 %).

Ceci dit, les propriétaires de drones sont plus susceptibles de faire voler leur(s) drone(s) dans des zones urbaines et suburbaines (36 % et 38 % respectivement). Les utilisateurs qui font voler des drones à des fins à la fois récréatives et professionnelles sont plus susceptibles de faire voler leur(s) drone(s) dans des zones urbaines (43 %).

Version textuelle

Emplacement le plus populaire pour faire voler un drone En milieu rural : 37 %; En banlieue : 34 %; Dans une zone urbaine : 32 %; Je ne sais pas ou je préfère ne pas répondre : 11 %.

Figure 7 : Réponse à la question 4 : Où faites-vous le plus souvent voler votredrone ou aéromodèle? Plusieurs réponses possibles

* Base : Échantillon total (n=700).

* Puisque les répondants ont pu donner des réponses multiples, les mentions totales peuvent dépasser 100 %.

* Puisque les répondants ont pu donner des réponses multiples, les mentions totales peuvent dépasser 100 %.

* Puisque les répondants ont pu donner des réponses multiples, les mentions totales peuvent dépasser 100 %.

2.3 Nombre de drones par propriétaire

De façon générale, six propriétaires de drones sur dix (68 %) ne possèdent pas plus d’un drone, près de deux propriétaires sur dix (19 %) possèdent deux drones, et moins d’un propriétaire sur dix (8 %) possède trois drones ou plus.

Comme l’illustre le tableau 21, les propriétaires de drones qui font voler des drones à des fins professionnelles et récréatives sont plus susceptibles de posséder plus d’un drone. En effet, 30 % des propriétaires de drones qui font voler des drones aux deux fins ont dit posséder trois drones ou plus. Par ailleurs, les propriétaires de drones qui ne font voler des drones qu’à des fins récréatives sont plus susceptibles de ne posséder qu’un seul drone (74 %).

Version textuelle

Nombre de drones possédés Un : 68 %; Deux : 19 %; Trois ou plus : 8 %; Je ne sais pas ou je préfère ne pas répondre : 5 %.

Figure 8 : Réponse à la question 6 : Combien de drones possédez-vous en ce moment? Mentions spontanées

Base : Propriétaires de drones (n = 447)

* Étant donné le nombre peu élevé de répondants (n < 30), les données sont présentées à titre illustratif seulement.

En ce qui concerne le lieu d’achat, les trois quarts des répondants ont acheté le drone qu’ils utilisent le plus dans un commerce de détail (76 %), soit en magasin (49 %) ou en ligne (27 %).

Les propriétaires de drones récréatifs sont plus susceptibles d’avoir fait un achat en magasin (53 %) et sont moins susceptibles d’avoir fait un achat en ligne (26 %). Pour leur part, les propriétaires de drones qui font voler des drones pour des raisons récréatives et professionnelles sont plus susceptibles d’avoir fait leur achat en ligne, sur un site Web spécialisé en drones (29 %).

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Lieu d'achat Dans un commerce de détail (achat en magasin) : 49 %; En ligne, auprès d’un commerce de détail : 27 %; En ligne, sur un site Web spécialisé dans les drones : 10 %; D’occasion (p. ex. d’un ami, en ligne sur Kijiji, etc.) : 5 %; Je l'ai reçu en cadeau : 5 %; Je l’ai construit moi-même à partir d’un ensemble prêt-à-monter : 2 %; Je l’ai construit moi-même à partir de pièces détachées : 1 %; Je ne sais pas ou je préfère ne pas répondre : 1 %.

Figure 9 : Réponse à la question 7 : Où avez-vous acheté le drone ou l’aéromodèle que vous faites voler le plus souvent?

Base : Propriétaires de drones (n = 447)

* Étant donné le nombre peu élevé de répondants (n < 30), les données sont présentées à titre illustratif seulement.

Lorsqu’interrogé au sujet de la marque du drone qu’ils font voler le plus souvent, 28 % des propriétaires de drones qui n’ont pas construit leur drone eux-mêmes ont répondu ne pas savoir. DJI semble la marque la plus populaire (16 %), suivie de Blade (11 %). Cela dit, les propriétaires de drones qui n’ont pas construit leur drone eux-mêmes et qui font voler des drones à des fins à la fois récréatives et professionnelles sont plus susceptibles de posséder un drone Parrot (22 %).

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Modèle ou marque du drone DJI : 16 %; Blade : 11 %; Parrot : 9 %; 3DR : 7 %; Syma : 4 %; Yuneec : 3 %; EHang : 3 %; Autel Robotics : 3 %; Walkera : 2 %; Great Planes : 2 %; Top Flite : 2 %; Horizon Hobby : 2 %; Sig :1 %; Autre modèle ou marque : 7 %; Je ne sais pas ou je préfère ne pas répondre : 28 %.

Figure 10 : Réponse à la question 8 : Quel est le modèle ou la marque de votre drone ou aéromodèle que vous faites voler le plus souvent?

Base : Propriétaires de drones qui n’ont pas construit leur drone eux-mêmes (n = 444)

* Étant donné le nombre peu élevé de répondants (n < 30), les données sont présentées à titre illustratif seulement.

En général, les propriétaires de drones ne semblent pas connaître le poids du drone qu’ils font voler le plus souvent. En effet, 74 % des répondants ont dit ne pas connaître le poids du drone qu’ils font voler le plus souvent, même s’il était possible de donner leur réponse en mesures métriques ou impériales. Pour ceux qui connaissaient le poids de leur drone, le poids moyen était de 5,8 livres et la médiane générale est de 1 livre. Lorsqu’on regarde les réponses données par les utilisateurs récréatifs seulement, le poids moyen descend à 3,7 livres. L’effet inverse est observé lorsque l’on regarde les réponses données par les utilisateurs professionnels — le poids moyen atteint 24,6 livres. Les propriétaires de drones récréatifs sont moins susceptibles de posséder un drone qui pèse plus de 5 livres (4 %).

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Poids du drone Poids en livres : 1 livre ou moins : 12 %; Entre 1 et 5 livres : 7 %; Plus de 5 livres: 5 %; Je ne sais pas : 74 %; Je préfère ne pas répondre : 2 %.

Figure 11 : Réponse à la question 9 : Connaissez-vous le poids de votre drone ou aéromodèle? Réponses spontanées

Base : Propriétaires de drones (n = 447)

* Étant donné le nombre peu élevé de répondants (n < 30), les données sont présentées à titre illustratif seulement.

2.4 Clubs de drones et techniques d’apprentissage

Seuls 2 % des répondants font partie d’un club ou d’un groupe de drones ou d’aéromodèles. Cela dit, 18 % des répondants ont dit chercher activement à en faire partie.

Les répondants qui font voler des drones à des fins récréatives et professionnelles sont plus susceptibles de chercher à faire partie d’un club ou d’un groupe (29 %), alors que les utilisateurs récréatifs sont plus susceptibles de ne pas faire partie d’un club ou d’un groupe (77 %).

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Membre d’un club ou d’un groupe consacré aux drones ou aéromodèles Non, je ne fais partie d'aucun club ou groupe : 73 %; Non, mais je suis en processus de recherche : 18 %; Oui, je fais partie d'un club ou groupe : 2 %; Je ne sais pas ou je préfère ne pas répondre : 6 %.

Figure 12 : Réponse à la question 10 : Faites-vous, en ce moment, partie d’un club ou d’un groupe consacré aux drones ou aéromodèles?

Base : Échantillon total (n =700).

De façon générale, un répondant sur deux a appris à faire voler un drone ou un aéromodèle par essais et erreurs (54 %). Seuls 4 % des répondants se sont inscrits à un cours de pilotage de drones pour apprendre la technique de pilotage de drones.

Les propriétaires de drones sont plus susceptibles d’être autodidactes (67 %), et sont moins susceptibles d’avoir appris auprès d’un ami ou d’un collègue (13 %). Au contraire, les non-propriétaires sont moins susceptibles d’être autodidactes (33 %), mais sont plus susceptibles d’avoir appris auprès d’un ami ou d’un collègue (24 %).

En fonction du but de l’utilisation du drone, les utilisateurs professionnels sont moins susceptibles d’être autodidactes (19 %), alors que les utilisateurs récréatifs sont plus susceptibles d’avoir appris par eux-mêmes que par toute autre méthode (62 %). Par ailleurs, les utilisateurs de drones à des fins professionnelles sont plus susceptibles de s’être inscrits à un cours de pilotage de drones (13 %).

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Manière d'apprendre à faire voler un drone ou un aéromodèle J’ai appris tout seul (essais et erreurs) : 54 %; C’est un ami ou un collègue qui m’a appris : 18 %; J’ai regardé des vidéos éducatives (sur YouTube ou par l’intermédiaire d’une compagnie de drones) : 11 %; Je me suis référé au guide d’instructions ou au manuel : 5 %; Je me suis inscrit à un cours de pilotage de drone : 4 %; Autre : 0 %; Je ne sais pas ou je préfère ne pas répondre : 9 %.

Figure 13 : Réponse à la question 11 : Comment avez-vous appris à faire voler un drone ou un aéromodèle?

Base : Échantillon total (n =700).

Parmi les répondants qui ont reconnu s’être inscrits dans un cours de pilotage de drones (4 %), 47 % ont suivi un cours en ligne, alors que 48 % d’entre eux ont assisté à un cours en classe (p. ex. dans une école ou dans un centre communautaire).

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Type de cours de pilotage de drone Un cours en classe (p. ex. dans une école ou dans un centre communautaire) : 48 %; Un cours en ligne : 47 %; Je ne sais pas ou je préfère ne pas répondre : 5 %.

Figure 14 : Réponse à la question 12 : Vous avez indiqué avoir suivi un cours de pilotage de drones. De quel type de cours s’agissait-il?

Base : Répondants qui ont suivi un cours de pilotage de drones (n = 34)

2.5 Certification des pilotes de drones et formation sur la sécurité

Même si la majorité de répondants ne détiennent pas un certificat de pilote de drones délivré par le gouvernement du Canada (73 %), deux répondants sur dix en ont un ou sont en voie d’en obtenir un (21 %).

Les propriétaires de drones sont davantage susceptibles de détenir un certificat de pilote de drones délivré par le gouvernement du Canada (13 %). Les utilisateurs à des fins récréatives sont moins susceptibles de détenir un certificat (7 %), alors qu’il est plus probable que les utilisateurs qui pilotent un drone aux deux fins soient titulaires d’un certificat de pilote de drones (21 %). Les utilisateurs professionnels, quant à eux, sont davantage susceptibles d’être en voie d’obtenir leur certificat (25 %).

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Détention d'un certificat de pilote de drone émis par le gouvernement du Canada Non, je n'en ai pas : 73 %; Je suis en voie d'en obtenir un : 12 %; Oui, j'en ai un : 9 %; Je ne sais pas ou je préfère ne pas répondre : 6 %.

Figure 15 : Réponse à la question 13 : Avez-vous un certificat de pilote de drones délivré par le gouvernement du Canada?

Base : Tous les répondants (n = 700)

Comme vous pouvez le constater à la figure 16, plus de la moitié des répondants (58 %) n’ont suivi aucune formation ou n’ont vu aucune vidéo portant précisément sur la sécurité en matière de pilotage de drones ou d’aéromodèles au Canada. Cependant, trois répondants sur dix (37 %) ont déjà vu une telle vidéo ou ont suivi une telle formation.

Les propriétaires de drones sont plus susceptibles d’avoir suivi une formation ou vu une vidéo éducative sur la sécurité en matière de drones (44 %). De même, les utilisateurs professionnels et les utilisateurs qui pilotent des drones à des fins récréatives et professionnelles ou de recherche sont moins susceptibles de faire partie de ceux qui n’ont suivi aucune formation ou qui n’ont vu aucune vidéo éducative sur la sécurité en matière de drones (47 % et 38 %, respectivement).

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Ayant suivi une formation ou vu une vidéo éducative portant spécifiquement sur la sécurité en matière de pilotage de drones ou d’aéromodèles au Canada Oui : 37 %; Non : 58 %; Je ne sais pas ou je préfère ne pas répondre : 5 %.

Figure 16 : Réponse à la question 14 : Avez-vous déjà suivi une formation ou vuune vidéo éducative portant précisément sur la sécurité en matière depilotage de drones ou d’aéromodèles au Canada?

Base : Tous les répondants (n = 700)

Dans la même veine que les résultats présentés ci-dessus, six répondants sur dix (68 %) n’ont suivi aucune formation ou n’ont vu aucune vidéo éducative portant précisément sur la réglementation de Transports Canada relative à la sécurité en matière de drones, et seulement un quart des répondants (25 %) ont vu une telle vidéo ou ont suivi une telle formation.

Les propriétaires de drones sont davantage susceptibles d’avoir déjà suivi une formation ou vu une vidéo éducative sur la sécurité en matière de drones de Transports Canada (28 %). Les utilisateurs professionnels et les utilisateurs qui pilotent des drones à des fins récréatives et professionnelles ou de recherche sont moins susceptibles de faire partie de ceux qui n’ont suivi aucune formation ou qui n’ont vu aucune vidéo éducative à l’égard de la réglementation de TC relative à la sécurité en matière de drones (43 % et 47 %, respectivement).

Il est également intéressant de souligner qu’il est plus probable que les répondants qui pilotent des drones à des fins professionnelles ou de recherche, ainsi que ceux qui pilotent des drones à des fins récréatives et professionnelles ou de recherche ne sachent pas s’ils ont suivi une telle formation ou vu de telles vidéos éducatives (15 % et 17 %, respectivement).

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Ayant suivi une formation ou vu une vidéo éducative portant spécifiquement sur la réglementation de Transports Canada en matière de sécurité des drones Oui : 25 %; Non : 68 %; Je ne sais pas ou je préfère ne pas répondre : 7 %.

Figure 17 : Réponse à la question 15 : Avez-vous déjà suivi une formation ou vu une vidéo éducative sur la réglementation de Transports Canada en matière de sécurité des drones?

Base : Tous les répondants (n = 700)

2.6 Sources d’information et consultation des pages Web de Transports Canada sur les drones

De manière générale, 57 % des répondants ont affirmé qu’ils n’ont pas cherché à obtenir de l’information sur la réglementation fédérale canadienne relative aux drones ou aux aéromodèles.

Les propriétaires de drones sont davantage susceptibles d’avoir cherché à obtenir de l’information sur la réglementation fédérale canadienne (43 %). Si l’on compare les résultats en fonction des fins auxquelles les drones sont utilisés, les utilisateurs de drones à des fins récréatives sont moins susceptibles d’avoir cherché à obtenir de l’information sur la réglementation fédérale canadienne (33 %). Les utilisateurs professionnels et ceux qui pilotent des drones à des fins professionnelles et récréatives sont davantage susceptibles d’avoir cherché à obtenir de l’information sur la réglementation fédérale canadienne (52 % et 49 %, respectivement).

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Ayant recherché de l’information sur la réglementation du gouvernement canadien visant les drones et les aéromodèles Oui : 37 %; Non : 57 %; Je ne sais pas ou je préfère ne pas répondre : 6 %.

Figure 18 : Réponse à la question 16 : Avez-vous déjà recherché de l’information sur la réglementation du gouvernement fédéral visant les drones et les aéromodèles?

Base : Tous les répondants (n = 700)

Parmi les répondants ayant indiqué avoir cherché de l’information sur la réglementation fédérale canadienne en matière de drones et d’aéromodèles, 68 % l’ont fait au moyen d’un moteur de recherche (p. ex. Google, Bing, Yahoo, etc.), 48 % ont visité le site Web du gouvernement et 25 % se sont directement rendus sur le site Web de Transports Canada.

En examinant les résultats en fonction du but de l’utilisation de drones, nous constatons que les répondants qui pilotent des drones uniquement à des fins professionnelles ou de recherche ont moins tendance à avoir cherché de l’information sur un moteur de recherche (50 %), alors que les utilisateurs à des fins récréatives sont davantage susceptibles d’en avoir utilisé un (72 %). Les utilisateurs qui font voler des drones aux deux fins sont davantage susceptibles d’avoir visité le site du gouvernement du Canada (69 %), d’avoir consulté une publication, un article ou un magazine amateur destiné aux utilisateurs de drones (23 %), ou d’avoir posé des questions à un commerçant spécialisé en ligne ou en magasin (27 %).

Sept répondants sur dix (71 %) ayant effectué une recherche sur les médias sociaux ont utilisé Facebook comme plateforme de recherche.

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Source de l’information sur la réglementation du gouvernement canadien visant les drones et les aéromodèles J’ai utilisé un moteur de recherche (p. ex. Google, Bing, Yahoo, etc.) : 68 %; Je me suis rendu sur le site Web du gouvernement du Canada : 48 %; Je me suis rendu sur le site Web de Transports Canada : 25 %; J’ai demandé à un détaillant spécialisé (en ligne ou en magasin) : 13 %; J’ai consulté une publication, un article ou un magazine amateur destiné aux utilisateurs de drones : 10 %; J’ai cherché une vidéo d’influenceur sur le pilotage de drone portant sur la réglementation : 8 %; J’ai fait une recherche sur les médias sociaux : 7 %; J’ai eu recours à d’autres sources : 1 %; Je ne sais pas ou je préfère ne pas répondre : 1 %.

Figure 19 : Réponse à la question 17 : Si oui, comment avez-vous fait pour accéder à cette information?

Base : Répondants ayant cherché de l’information sur la réglementation fédérale canadienne en matière de drones ou d’aéromodèles (n = 275)

Version textuelle

Source de médias sociaux de l’information sur la réglementation du gouvernement canadien visant les drones et les aéromodèles Facebook : 71 %; Twitter : 26 %; LinkedIn : 23 %; Instagram : 20 %; Autre : 0 %; Je ne sais pas ou je préfère ne pas répondre : 6 %.

Figure 20 : Réponse à la question 17B : Vous avez indiqué que vous aviez trouvé de l’information sur la réglementation du gouvernement fédéral encadrant l’utilisation des drones ou des aéromodèles au moyen de recherches sur les médias sociaux. Veuillez préciser quelle(s) plateforme(s). Plusieurs réponses possibles*

Base : Répondants ayant cherché de l’information sur la réglementation fédérale canadienne en matière de drones ou d’aéromodèles en effectuant une recherche sur les médias sociaux (n = 19**)

* Puisque les répondants pouvaient donner plusieurs réponses, les mentions totales peuvent dépasser 100 %.

** Étant donné le nombre peu élevé de répondants (n < 30), les données sont présentées à titre illustratif seulement.

Parmi les répondants n’ayant pas cherché d’information sur la réglementation du gouvernement canadien concernant les drones ou les aéromodèles sur le site de Transports Canada, 57% d’entre eux ont affirmés avoir visité les pages de drones du site Web de TC et 37%, non.

Les propriétaires de drones sont davantage susceptibles d’avoir visité les pages Web de Transports Canada sur les drones (62 %), alors que les utilisateurs à des fins récréatives sont moins susceptibles de les avoir visitées (52 %).

Version textuelle

Ayant consulté les pages du site Web de Transports Canada portant sur les drones Oui : 57 %; Non : 37 %; Je ne sais pas ou je préfère ne pas répondre : 6 %.

Figure 21 : Réponse à la question 18 : Avez-vous déjà consulté les pages du site Web de Transports Canada sur les drones?

Base : Répondants n’ayant pas cherché de l’information sur la réglementation fédérale canadienne en matière de drones ou d’aéromodèles sur le site Web de Transports Canada (n = 202)

* Étant donné le nombre peu élevé de répondants (n < 30), les données sont présentées à titre illustratif seulement.

La grande majorité des répondants ayant visité les pages du site de Transports Canada sur les drones (80 %) ont cherché de l’information sur la réglementation actuelle. Un répondant sur dix a cherché à obtenir de l’information sur la façon d’immatriculer son drone (11 %), et seulement 8 % ont cherché des renseignements sur la manière d’obtenir un certificat de pilote de drones. Il semble que certains répondants dissocient la notion de recherche active d’informations sur les réglementations, de leur visite sur le site Web de Transports Canada.

Les tableaux 41 et 42 indiquent que les catégories « utilisateurs de drones » et « but de l’utilisation de drones » ne présentent aucune différence considérable en matière de recherche d’informations sur le site Web de Transports Canada.

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Information recherchée lors de la consultation des pages du site Web de Transports Canada portant sur les drones De l’information sur les règles et règlements actuels : 80 %; Comment immatriculer mon drone : 11 %; Comment obtenir un certificat de pilote de drone : 8 %; De l’information sur les écoles de pilotage de drones : 1 %; Comment choisir le bon drone : 0 %; Autre : 0%; Je ne sais pas ou je préfère ne pas répondre : 0 %.

Figure 22 : Réponse à la question 19 : Veuillez indiquer ce que vous cherchiez exactement lorsque vous avez consulté des pages du site Web de Transports Canada portant sur les drones. PLUSIEURS RÉPONSES POSSIBLES*

Base : Répondants ayant visité les pages du site de Transports Canada sur les drones (n = 121)

* Puisque les répondants pouvaient donner plusieurs réponses, les mentions totales peuvent dépasser 100 %.

* Puisque les répondants ont pu donner des réponses multiples, les mentions totales peuvent dépasser 100 %.

** Étant donné le nombre peu élevé de répondants (n < 30), les données sont présentées à titre illustratif seulement.

* Puisque les répondants ont pu donner des réponses multiples, les mentions totales peuvent dépasser 100 %.

** Étant donné le nombre peu élevé de répondants (n < 30), les données sont présentées à titre illustratif seulement.

2.7 Réglementation en matière de drones et d’aéromodèles

De manière générale, la moitié des répondants estiment ne pas être bien informés sur la réglementation de Transports Canada en matière de drones et d’aéromodèles (50 %). En effet, 26 % des répondants ont dit se considérer comme n’étant « pas très informés », et 24 % ont affirmé qu’ils n’étaient « pas du tout informés ». Au total, seulement 11 % des répondants se considéraient comme étant « très informés ».

Les propriétaires de drones sont davantage susceptibles d’être informés (50 %), alors que les non-propriétaires sont davantage susceptibles de ne pas être informés (57 %). Les utilisateurs qui font voler des drones uniquement à des fins récréatives sont moins susceptibles d’être informés (40 %). De leur côté, les répondants qui font voler des drones à des fins professionnelles ou de recherche sont davantage susceptibles d’être informés (55 %). Les utilisateurs qui font voler des drones aux deux fins, quant à eux, sont davantage susceptibles d’être informés (62 %).

Version textuelle

Niveau de connaissances de la réglementation de Transports Canada encadrant l’utilisation des drones et des aéromodèles Très bon : 11 %; Bon : 33 %; Pas très bon : 26 %; Aucune connaissance : 24 %; Je ne sais pas ou je préfère ne pas répondre : 6 %.

Figure 23 : Réponse à la question 20 : Comment évalueriez-vous votre niveau de connaissances de la réglementation de Transports Canada encadrant l’utilisation des drones et des aéromodèles?

Base : Tous les répondants (n = 700)

La règle la plus connue par les utilisateurs de drones à des fins récréatives est celle selon laquelle une personne doit faire voler son drone à l’extérieur de l’espace aérien contrôlé (74 %), suivie de près par celle qui édicte qu’une personne doit toujours garder son drone dans son champ de vision (71 %).

De manière générale, les propriétaires de drones qui les font voler à des fins récréatives sont davantage susceptibles de connaître les différentes règles relatives aux drones et aux aéromodèles (voir le tableau 45). Il n’y a cependant aucune différence considérable entre les utilisateurs qui font voler des drones à des fins récréatives et les personnes qui les utilisent à la fois à des fins récréatives et professionnelles.

Version textuelle

Connaissance de certaines règles sur les drones ou aéromodèles (% de oui) Vous devez faire voler votre drone à l’extérieur d’un espace aérien contrôlé : 74 %; Vous devez garder votre drone dans votre champ de vision : 71 %; Vous devez faire voler votre drone à une altitude maximale de 90 mètres (300 pieds) : 58 %; Vous devez faire voler votre drone à au moins 5,6 kilomètres des aérodromes et à au moins 1,9 kilomètres des héliports : 57 %; Vous devez faire voler votre drone à au moins 9 kilomètres d’un danger naturel ou d’une zone sinistrée : 47 %.

Figure 24 : Réponse à la question 21A : Étiez-vous au courant des règles suivantes actuellement en vigueur au Canada sur les drones ou aéromodèles?

Base : Répondants qui font voler des drones ou des aéromodèles à des fins récréatives (n = 618)

La moitié des répondants qui font voler des drones à des fins professionnelles ou de recherche (50 %) savent qu’ils doivent présenter une demande à Transports Canada pour obtenir un certificat d’opérations aériennes spécialisées OU pour avoir droit à une exemption si leurs activités de pilotage présentent peu de risques.

Comme pour les utilisateurs de drones à des fins récréatives, les propriétaires de drones qui font voler ceux-ci à des fins professionnelles ou de recherche sont davantage susceptibles de connaître le règlement sur les drones et les aéromodèles (voir le tableau 47). Il n’y a cependant aucune différence considérable entre les utilisateurs qui font voler des drones à des fins professionnelles et les personnes qui les utilisent à la fois à des fins récréatives et professionnelles.

Version textuelle

Connaissance de certaines règles sur les drones ou aéromodèles (% de oui) Vous devez demander à Transports Canada un certificat d’opérations aériennes spécialisées OU bénéficier d’une exemption si le pilotage de votre drone présente peu de risques : 50 %.

Figure 25 : Réponse à la question 21 : Étiez-vous au courant des règles suivantes actuellement en vigueur au Canada sur les drones ou aéromodèles?

Base : Répondants qui font voler des drones ou des aéromodèles à des fins professionnelles ou de recherche (n = 153)

De manière générale, six répondants sur dix ne savaient pas qu’une nouvelle réglementation sur les drones entrait en vigueur le 1er juin 2019 (64 %). De tous les répondants, seulement 27 % savaient que de nouvelles règles entraient en vigueur.

Les propriétaires de drones sont davantage susceptibles de connaître les changements qui seront apportés à la réglementation sur les drones (32 %). Les répondants qui font voler des drones à des fins récréatives et professionnelles ou de recherche sont davantage susceptibles de connaître les nouvelles règles qui entreront bientôt en vigueur (39 %). En revanche, les utilisateurs récréatifs de drones sont davantage susceptibles de ne pas connaître les nouvelles règles qui entreront bientôt en vigueur (68 %).

Version textuelle

Connaissance de la nouvelle réglementation sur les drones Oui, je sais qu'une nouvelle réglementation sur les drones entre en vigueur le 1er juin 2019 : 27 %; Non je ne savais pas qu'une nouvelle réglementation sur les drones entre en vigueur le 1er juin 2019 : 64 %; Je ne sais pas ou je préfère ne pas répondre : 9 %.

Figure 26 : Réponse à la question 22 : Connaissiez-vous ou avez-vous entendu parler de la NOUVELLE réglementation sur les drones qui entrera en vigueur le 1er juin 2019?

Base : Tous les répondants (n = 700)

De manière générale, la majorité des répondants ayant indiqué qu’ils connaissaient les nouvelles règles qui entreront bientôt en vigueur ne comprennent pas bien les répercussions de ces règlements. En effet, lorsque demandé d’expliquer dans leurs propres mots les répercussions qu’entraîneront les nouvelles règles lorsqu’elles entreront en vigueur, six répondants sur dix (61 %) ont indiqué qu’ils ne savaient pas ou préféraient ne pas répondre à la question.

La plupart des répondants savaient qu’un permis (ou une certification) serait désormais requis pour pouvoir piloter des drones d’un certain poids et de certaines dimensions (11 %). Certains des répondants ont aussi soulevé le fait que les nouvelles règles feront en sorte qu’il sera désormais plus sécuritaire de piloter un drone et que les risques d’accident diminueront, comme l’environnement sera plus contrôlé (6 %).

Les résultats indiquent que les propriétaires de drones sont moins susceptibles de penser que les nouvelles règles amélioreront la sécurité (4 %). Les non-propriétaires, quant à eux, sont davantage susceptibles de penser que les nouvelles règles amélioreront la sécurité (14 %).

Version textuelle

Compréhension des changements que la nouvelle réglementation entraînera Besoin d’un permis ou d’un certificat (à partir d’un certain poids et d’une certaine taille) : 11 %; Augmentation de la sécurité / Réduction des accidents / Environnement contrôlé : 6 %; Mauvaises mesures / inutile / rien ne changera / les mauvais comportements continueront / les bons utilisateurs seront pénalisés : 4 %; Interdiction de faire voler un drone à proximité d’un aéroport : 3 %; Nouvelles règles et réglementations / les choses changeront (pas de détails) : 3 %; Bonnes mesures / réglementation requise : 3 %; Les drones doivent être immatriculés (auprès de Transports Canada) : 2 %; Une formation appropriée sera requise pour faire voler un drone : 2 %; Les endroits où on ne peut pas faire voler de drone : 2 %; Moins de gens utiliseront des drones à des fins récréatives : 2 %; Hauteur maximale à laquelle on peut faire voler un drone : 1 %; Aidera à réglementer l’utilisation des drones :1 %; Innovation future pour l’industrie : 1 % Bon sens de la part de la population canadienne : 1 %; Ponction fiscale / Plus cher de faire voler un drone : 1 %; Tout sera contrôlé par le gouvernement : 1 % Autre : 4 %; Je ne sais pas ou je préfère ne pas répondre : 61 %.

Figure 27 : Réponse à la question 23 : Veuillez expliquer dans vos propres mots les changements que cette nouvelle réglementation entraînera lorsqu’elle entrera en vigueur.

Base : Répondants qui connaissent les nouvelles règles relatives aux drones ou qui en ont entendu parler (n = 204)

* Étant donné le nombre peu élevé de répondants (n < 30) dans certaines catégories, les données sont présentées à titre illustratif seulement.

Les répondants connaissaient déjà en grande partie les nouvelles règles relatives aux drones et aux aéromodèles avant de participer au sondage (figure 28). En effet, six répondants sur dix savaient qu’ils devaient garder leur drone dans leur champ de vision (62 %). Cinq répondants sur dix savaient qu’ils ne devaient pas faire voler leur drone dans des situations d’urgence ou à proximité de celles-ci (p. ex. lors de feux de forêt) (53 %) et qu’ils devaient faire voler leur drone à l’extérieur des espaces aériens contrôlés, sauf s’ils détenaient un certificat de pilote de drones – opérations avancées (51 %). Quatre répondants sur dix savaient qu’ils devaient faire voler leur drone à moins de 122 mètres (400 pieds) d’altitude (40 %) et qu’ils devaient garder leur drone à une distance minimale de 30 mètres des passants, sauf s’ils détenaient un certificat de pilote de drones – opérations avancées (40 %). Enfin, trois répondants sur dix connaissaient également les règles suivantes :

• « Vous devez détenir un certificat de pilote de drones en fonction du type d’opérations que vous prévoyez mener (opérations “de base” ou “avancées”) » (33 %);
• « Vous devez immatriculer tout drone qui pèse plus de 250 g, mais moins de 25 kg » (31 %); et
• « Vous devez inscrire votre numéro d’immatriculation de Transports Canada sur votre drone » (30 %).

Les propriétaires de drones sont davantage susceptibles de connaître la plupart des nouvelles règles, à l’exception des deux suivantes :

• « Vous devez détenir un certificat de pilote de drones en fonction du type d’opérations que vous prévoyez mener (opérations “de base” ou “avancées”) »; et
• « Vous devez inscrire votre numéro d’immatriculation de Transports Canada sur votre drone ».

Selon le but de l’utilisation de drones, les utilisateurs qui font voler leurs drones à des fins récréatives uniquement sont moins susceptibles de connaître la majorité des changements qui entreront en vigueur en juin 2019. Les exceptions sont les règles suivantes : « Vous devez garder votre drone dans votre champ de vision », « Vous devez garder votre drone à l’extérieur des espaces aériens contrôlés, à moins de détenir un certificat de pilote de drones – opérations avancées » et « Vous ne devez pas faire voler votre drone dans des situations d’urgence ou à proximité de celles-ci (p. ex. lors de feux de forêt) ». Les utilisateurs qui font voler des drones uniquement à des fins professionnelles ou de recherche sont davantage susceptibles de connaître la règle selon laquelle ils doivent indiquer leur numéro d’immatriculation de Transports Canada sur leur drone (40 %). De leur côté, les utilisateurs qui pilotent des drones aux tant à des fins récréatives que professionnelles sont davantage susceptibles de connaître la plupart des nouveaux changements, sauf les règles :

• « Vous devez garder votre drone dans votre champ de vision »;
• « Vous devez garder votre drone à une distance minimale de 30 mètres des passants, à moins de détenir un certificat de pilote de drones – opérations avancées »;
• « Vous devez garder votre drone à l’extérieur des espaces aériens contrôlés, à moins de détenir un certificat de pilote de drones – opérations avancées »; et
• « Vous ne devez pas faire voler votre drone dans des situations d’urgence ou à proximité de celles-ci (p. ex. lors de feux de forêt) ».

Version textuelle

Connaissance de la nouvelle réglementation sur les drones ou les aéromodèles (% de oui) Vous devez garder votre drone dans votre champ de vision : 62 % Vous devez faire voler votre drone loin des situations d’urgence (p. ex. feux de forêt) : 53 %; Vous devez faire voler votre drone à l’extérieur d’un espace aérien contrôlé, à moins que vous ayez un certificat de pilote - opérations avancées : 51 %; Vous devez faire voler votre drone à moins de 122 mètres (400 pieds) d’altitude : 40 %; Vous devez faire voler votre drone loin des passants, à une distance minimale de 30 mètres, à moins que vous ayez un certificat de pilote - opérations avancées : 40 %; Vous devez obtenir un certificat de pilote de drone pour le type d’opérations que vous souhaitez (de base ou avancées) : 33 %; Vous devez immatriculer votre drone s’il pèse 250 g ou plus, mais moins de 25 kg : 31 %; Vous devez inscrire le numéro d’immatriculation de Transports Canada sur votre drone : 30 %.

Figure 28 : Réponse à la question 24 : Avant de répondre à ce sondage, saviez-vous que ces changements allaient entrer en vigueur en juin 2019?

Base : Tous les répondants (n = 700)

2.8 Canaux de communication

Deux répondants sur dix qui cherchent de l’information sur les dernières tendances relatives aux drones et aux aéromodèles le font au moyen d’un moteur de recherche sur Internet (20 %). Les chaînes YouTube constituent également une source d’information pour 14 % des répondants, tout comme d’autres plateformes de réseaux sociaux, comme Facebook (6 %).

Les propriétaires de drones sont moins susceptibles d’obtenir des renseignements sur les dernières tendances relatives aux drones ou aux aéromodèles auprès d’amis ou de collègues, même si ceux-ci sont pilotes (0 %). Les utilisateurs de drones à des fins récréatives obtiendront plus souvent de l’information sur les dernières tendances en consultant directement l’Internet au moyen d’un moteur de recherche (22 %). Les utilisateurs qui pilotent des drones à des fins récréatives et professionnelles ou de recherche sont moins susceptibles de chercher les dernières tendances relatives aux drones ou aux aéromodèles sur des chaînes YouTube (5 %).

Version textuelle

Sources d’information des dernières tendances en matière de drones et d’aéromodèles Internet / Google : 20 %; Chaînes YouTube : 14 %; Médias sociaux : 5 %; Blogues / forums / évaluations en ligne: 2 %; Magazines : 2 %; Je ne suis pas intéressé. / Je n’en ai pas besoin. / Je ne cherche pas les tendances en matière de drones ou d’aéromodèles : 2 %; Facebook : 1 %; Amis / collègues / pilotes : 1 %; Magasins / détaillants : 1 %; Sites Web spécialisés dans les drones ou les aéromodèles : 1 %; Site Web du fabricant : 1 %; Autre : 2 %; Je ne sais pas ou je préfère ne pas répondre : 56 %.

Figure 29 : Réponse à la question 28 : Où allez-vous pour trouver les dernières tendances en matière de drones et d’aéromodèles (p. ex. magazines, Internet, médias sociaux, youtubeurs – veuillez être précis)?

Base : Tous les répondants (n = 700)

Lorsque questionné quant à leur avis sur le média publicitaire qui permettrait de joindre le mieux les utilisateurs de drones ou d’aéromodèles, deux répondants sur dix ont indiqué que les publicités à la télévision (26 %) et sur les plateformes de réseaux sociaux (20 %) constituaient les meilleurs choix. Les annonces en ligne sur des sites spécialisés dans les drones constituaient le meilleur média a également été sélectionné par 15 % des répondants.

Les propriétaires de drones sont davantage susceptibles de penser qu’une campagne publicitaire télévisée constitue le meilleur moyen pour Transports Canada de veiller à ce que les utilisateurs de drones soient exposés à tous les renseignements pertinents à l’égard du pilotage sécuritaire de drones au Canada. Il en va de même pour les utilisateurs à des fins récréatives (28 %). Les utilisateurs de drones qui font voler ceux-ci à des fins récréatives et professionnelles sont davantage susceptibles de penser que le meilleur moyen d’atteindre cet objectif est au moyen de publicités en ligne sur des sites spécialisés dans les drones (23 %).

Version textuelle

Figure 30 : Réponse à la question 25 : Si Transports Canada souhaite s’assurer que vous avez accès à toutes les informations pertinentes portant sur l’utilisation sécuritaire d’un drone au Canada, quelle serait pour eux la meilleure manière de vous faire parvenir ces informations?

Base : Tous les répondants (n = 700)

De manière générale, le média préféré par quatre répondants sur dix (46 %) pour obtenir de l’information sur le pilotage sécuritaire de drones au Canada est la vidéo en ligne. Deux répondants sur dix préféreraient obtenir cette information par contenu Web (23 %). Seulement un répondant sur dix aimerait mieux obtenir de l’information au moyen d’un livret ou d’un guide écrit (17 %), et 4 % préféreraient des infographies.

Il n’existe aucune différence considérable relative aux préférences des médias publicitaires lorsque nous comparons les résultats par catégorie d’utilisateurs (propriétaires ou non-propriétaires) ou par but de l’utilisation de drones (fins récréatives, professionnelles ou les deux).

Version textuelle

Format préféré pour obtenir de l’information sur la sécurité en matière de pilotage de drones au Canada Vidéo en ligne : 46 %; Contenu Web : 23 %; Brochure ou guide écrit : 17 %; Infographie : 4 %; Autre : 1 %; Je ne sais pas ou je préfère ne pas répondre : 9 %.

Figure 31 : Réponse à la question 26 : Sous quelle forme préféreriez-vous obtenir ces informations pour vous assurer de les consulter?

Base : Tous les répondants (n = 700)

Annexe A – Méthodologie de recherchedétaillée

A.1 Méthodologie quantitative

Sondage en ligne

Cette étude de consommateur a été réalisée au moyen de sondages en ligne, à l’aide de la technologie d’interview Web assistée par ordinateur (CAWI). La collecte de données réalisée dans le cadre de ce sondage s’est déroulée entre le 25 février et le 6 mars 2019. Au total, 700 utilisateurs de drones canadiens ont été interviewés.

Un pré-test de 20 entretiens, 10 en français et 10 en anglais, a été réalisé avant le lancement de la collecte de données pour valider la programmation du questionnaire.

Étant donné que nous n’avons pas utilisé une méthode d’échantillonnage probabiliste réelle, nous ne pouvons pas faire de calcul de la marge d’erreur dans le cadre de ce projet.

Léger respecte les lignes directrices les plus strictes en matière de recherche quantitative. L’instrument de sondage était conforme aux normes pour la recherche sur l’opinion publique effectuée par le gouvernement du Canada.

Entrevues sur le Web assistées par ordinateur (systèmeCAWI)

Léger a mené un sondage en ligne par panel avec un échantillon d’adultes canadiens utilisateurs de drones. Un total de 700 répondants ont pris part au sondage. La sélection des participants a été faite au hasard à partir du panel en ligne de LegerWeb.

Léger possède et exploite un panel Internet comptant plus de 400 000 Canadiens d’un océan à l’autre. Un panel Internet est constitué d’utilisateurs Web profilés selon différentes variables sociodémographiques. La majorité des membres du panel de Léger (61 %) ont été recrutés au hasard par téléphone au cours des dix dernières années, ce qui rend l’échantillon hautement similaire à la population canadienne actuelle sur le plan de nombreuses caractéristiques démographiques.

Puisqu’un échantillon Internet (du panel) est de nature non probabiliste, la marge d’erreur ne s’applique pas.

Panel en ligne LegerWeb

Depuis plusieurs années maintenant, Léger mène des sondages sur Internet, et cette méthode est de plus en plus privilégiée en raison de sa vitesse de fonctionnement, de la flexibilité qu’elle permet, notamment par l’introduction de visuels, et de la fiabilité des résultats.

Notre évaluation révèle que les résultats obtenus dans les sondages Web concordent statistiquement avec ceux obtenus lors de sondages téléphoniques. La validité des sondages en ligne repose sur trois facteurs déterminants :

1. la validité des répondants
2. la validité des réponses
3. l’expertise d’une équipe dédiée aux sondages en ligne

La validité des répondants

Nos sondages en ligne sont menés auprès d’un panel d’utilisateurs d’Internet. Notre panel regroupe 400 000 Canadiens et s’enrichit chaque mois de 10 000 nouveaux panélistes. Cet impressionnant panel nous permet de mener des sondages auprès du grand public, mais également auprès de clientèles spécifiques. Par exemple, certains segments de la population sont plus difficiles à atteindre, comme les personnes qui voyagent beaucoup, les travailleurs, les jeunes et les consommateurs de certains produits, entre autres. Ce volume garantit des mesures étroites de contrôle des échantillons ainsi que de strictes mesures de contrôle de la qualité.

Afin de rassembler les répondants les plus représentatifs pour nos sondages en ligne, nous avons mis au point une méthode d’échantillonnage éprouvée. En regroupant les données dans des tableaux croisés sur la base du sexe, de l’âge, de la langue et de la région, nous pouvons établir un groupe cible, réduire les marges d’erreur au minimum et garantir un meilleur respect des quotas ou des critères d’admissibilité.

Les utilisateurs d’Internet qui font partie de notre panel ont été recrutés au moyen de méthodes complémentaires :

• recrutement par téléphone;
• invitations par courriel;
• liens entre des sites; et
• invitations à l’aide d’un système de référence.

Les données provenant de notre panel sont sécurisées par un système privé accessible au moyen d’un mot de passe que les panélistes reçoivent lorsqu’ils sont invités à répondre à un sondage en ligne.

Afin d’encourager la participation et d’augmenter les taux de réponse, chaque panéliste invité à répondre à un questionnaire en ligne court la chance de gagner un prix tiré au sort chaque mois.

De plus, afin de garantir la qualité des répondants, l’équipe LegerWeb gère la base de données du panel de manière continue.

La validité des réponses

En répondant à un sondage en ligne, les participants sentent qu’ils représentent une portion anonyme d’un groupe cible, ce qui rassure quant à la confidentialité et à la validité des réponses. Aussi, le questionnaire doit être conçu avec un nombre minimum de clics et un nombre raisonnable de questions, car l’expérience a montré qu’après un certain temps, les répondants perdent leur intérêt et ne se soucient plus de répondre correctement.

Par ailleurs, il est essentiel de réaliser un essai préliminaire auprès de vingt utilisateurs d’Internet afin de repérer toute erreur de saut entre les questions, de respecter les critères de sélection et de vérifier la fluidité de la navigation d’une question à l’autre ainsi que la durée de l’entrevue. Pendant l’essai préliminaire, les panélistes sont invités à fournir leurs commentaires après avoir répondu au questionnaire. Ces informations sont très utiles et peuvent également être utilisées pour améliorer le questionnaire.

On procède par élimination pour éviter de conserver un questionnaire dans lequel des ratios de fatigue associés aux questions sont décelés à la fin du questionnaire.

L’expertise d’une équipe dévouée aux sondages en ligne

L’équipe de LegerWeb regroupe une dizaine de professionnels et de techniciens spécialisés en technologies de l’information et en e-marketing qui assurent un suivi de 8 h à 19 h tous les jours de la semaine. La plupart des membres de notre équipe ont travaillé dans le domaine des sondages téléphoniques ou des entrevues en personne et tirent parti de leur maîtrise de l’art de l’entrevue.

Grâce à son soutien à la clientèle, l’équipe LegerWeb est en mesure d’offrir aux panélistes toute l’aide et l’information technique dont ils pourraient avoir besoin lorsqu’ils répondent à un sondage en ligne.

L’équipe LegerWeb travaille en étroite collaboration avec l’équipe de statistique et l’équipe de recherche et partage tous les renseignements pertinents relatifs au projet de sondage. Puisque nous communiquons de façon constante, nous sommes en mesure d’agir très rapidement, de détecter des erreurs ou des problèmes dès qu’ils surviennent et de les résoudre en un temps record.

Le logiciel développé par l’équipe LegerWeb dans le but d’effectuer des sondages en ligne a été conçu pour offrir une souplesse, une efficacité et une sécurité optimales lors de l’administration du questionnaire. De plus, l’équipe exerce une surveillance continue de chaque sondage en ligne.

Léger utilise les innovations les plus récentes en matière de sondages en ligne et agit en pleine connaissance des limites et des possibilités de recherche effectuées au moyen de sondages en ligne.

Enfin, il convient de préciser que Léger s’efforce de développer son expertise en matière de sondage en ligne en mettant en place les mêmes normes et critères de qualité que ceux régissant ses célèbres sondages téléphoniques.

En outre, pour tous ses projets de recherche quantitative, Léger a établi des mesures de contrôle de la qualité qui sont identiques au processus ISO et en vertu desquelles toutes les étapes sont vérifiées, y compris les étapes précédentes. Le processus d’assurance de la qualité est fondé sur les éléments suivants :

• La désignation d’un gestionnaire de projets responsable de la qualité du produit final pour éviter de diluer les responsabilités à l’interne;
• L’examen minutieux de la mesure dans laquelle les objectifs des clients cadrent avec le questionnaire final, en veillant à ce que chaque aspect se retrouve dans le questionnaire;
• La vérification de la formulation de chaque question, du point de vue de la simplicité, de la signification sans équivoque et de la syntaxe en fonction d’une idée précise qui doit être abordée pendant l’entrevue;
• L’examen des effets de la contamination a priori, c’est-à-dire, veiller à ce que l’ordre de chaque question dans l’ensemble du sondage n’ait pas d’effets indus sur les réponses suivantes (ce qui se produit généralement en fournissant de l’information indirectement aux répondants et a pour conséquence de rendre l’échantillon non représentatif);
• La comparaison minutieuse de la version informatisée du questionnaire au questionnaire de référence approuvé par le client;
• La vérification des sauts programmés dans le système informatisé avant le prétest;
• La réalisation d’un prétest permettant de vérifier la compréhension des questions et des concepts, les ambiguïtés possibles, les sauts de question logiques, etc.;
• L’équipe hautement vigilante de LegerWeb détecte toutes les questions comportant des problèmes sur le terrain;
• L’utilisation du logiciel permet d’éviter les erreurs lors de la saisie de données, les sauts non établis, etc., la validation logique est donc effectuée au préalable et non après coup;
• Le codage des questions ouvertes est effectué à l’aide d’une première sélection des réponses au dossier, puis par l’établissement des codes qui sont envoyés au client à des fins d’approbation.

Nous estimons que la mise en place de ces procédures permet de garantir une qualité optimale lorsque nous effectuons des sondages en ligne.

Nettoyage des données

Les analystes de données et le service de traitement des données de Léger ont ensuite effectué un nettoyage complet pour s’assurer que :

• toutes les questions fermées étaient situées dans la plage permissible ou logique (les plages permissibles sont confirmées auprès du client dans toute circonstance où ce n’est pas clair d’après le questionnaire);
• les écarts étaient vérifiés et, au besoin, exclus des données;
• toutes les instructions « passez à » avaient été suivies correctement;
• les données étaient complètes (sauf dans les cas où c’était intentionnel et conforme aux attentes du client);
• l’information était constante et logique tout au long du questionnaire, sans contradictions dans les données.

Les données ont été vérifiées et nettoyées après la première soirée de travail de terrain et à la fin du projet. Pendant l’analyse, tous les chiffres ont été contre-vérifiés. Les écarts ont été vérifiés deux fois pour confirmer que les données avaient bien été entrées avec justesse. Au besoin, l’appel téléphonique d’origine pouvait être consulté pour vérifier la réponse.

Distribution finale de l’échantillon

Le sondage a été mené auprès d’un échantillon d’adultes volontaires. Lors de l’extraction de l’échantillon, on a porté une attention particulière à la répartition des répondants afin qu’elle soit représentative de la population générale, tout en assurant un nombre minimal de répondants dans chaque région de la zone étudiée. Le tableau suivant montre la répartition cible des répondants selon les régions et d’autres caractéristiques démographiques.

Pondération des résultats

Les résultats du sondage sur Internet ont été pondérés selon le sexe, l’âge, la région et la première langue (selon les résultats du recensement de 2016) afin qu’ils soient représentatifs de la population réelle du Canada.

Profil des répondants et analyses sociodémographiquessupplémentaires

Néanmoins, une comparaison de base des échantillons pondérés et non pondérés a été réalisée dans le but de cerner de potentiels biais de non-réponse qui pourraient être introduits par des taux de réponse inférieurs dans certains sous-groupes démographiques (voir le tableau ci-dessous). Nous veillons à ce que les chiffres de notre échantillon non pondéré correspondent étroitement à ceux de l’échantillon pondéré ou à ce qu’ils suivent les mêmes tendances. Ces chiffres sont calculés selon des données actualisées de Statistiques Canada.

Dans certains endroits où il y a des différences (par exemple des répondants âgés de moins de 35 ans), la pondération corrige ces différences et restaure le poids réel dans les résultats finaux.

Cependant, il n’existe aucune donnée probante qui prouverait que les résultats de cette étude auraient été considérablement différents si on avait procédé à une pondération avant la répartition démographique. La taille relativement petite des facteurs de pondération et des différences entre les réponses des divers sous-groupes suggère que la qualité des données n’était pas affectée. La pondération de base qui a été appliquée (âge, sexe, région et première langue) a corrigé le déséquilibre initial à des fins d’analyse de données et aucune autre manipulation n’a été nécessaire.

Comme pour toutes les recherches menées par Léger, les coordonnées sont restées entièrement confidentielles, et toute information susceptible de permettre l’identification des répondants a été supprimée des données, conformément à la Loi sur la protection des renseignements personnels du Canada.

Taux de participation au sondage en ligne

Ci-dessous se trouve le calcul du taux de participation au sondage Web. Il convient de souligner qu’il ne s’agit pas d’un calcul classique du taux de réponse, compte tenu des différences d’ordre méthodologique.

Annexe B –Questionnaire

Transport Canada – Sondage ausujet des drones – Questionnaire final

Intro – Intro

Sondage pour le Gouvernement du Canada

Le Gouvernement du Canada a mandaté la firme Léger pour un sondage auprès de la population canadienne.

La présente étude prend approximativement 12 minutes à compléter. Votre participation à cette étude est sur une base volontaire et est complètement confidentielle. Toutes vos réponses resteront anonymes et seront combinées aux réponses de tous les autres participants.

Veuillez cliquer ici pour voir nos politiques de confidentialités.

Prov – Prov – poser à tous

Quelle est votre province/territoire derésidence ?

Colombie-Britannique(BC)
Alberta (AB)
Saskatchewan (SK)
Manitoba (MB)
Ontario (ON)
Québec (QC)
Nouveau-Brunswick (NB)
Nouvelle-Écosse (NS)
Ile-du-Prince-Édouard (PE)
Terre-Neuve (NF)
Territoires du Nord-Ouest (NT)
Yukon (YK)
Nunavut (NU)

QAB – QAB – poser si Prov=AB

Dans quelle région de l’Alberta demeurez-vous?
Calgary (61)
Edmonton (62)
Autre région de l’Alberta (63)

QBC – QBC – poser si Prov=BC

Dans quelle région de la Colombie-Britannique habitez-vous?

Région du Grand Vancouver (70)
Autre région de Colombie-Britannique (71)

QON – QON – poser si Prov=ON

Dans quelle région de l’Ontario demeurez-vous?
Hamilton –Peninsule Niagara (50)
Kingston – Pembroke (51)
Kitchener – Waterloo – Barrie (52)
Grande région de London (53)
Muskoka – Kawarthas (54)
Nord-Est (55)
Nord-Ouest (56)
Grande région d’Ottawa (57)
Stratford – Peninsule Bruce (58)
Grande région de Toronto (59)
Windsor – Sarnia (60)

Q0QC – Q0QC – poser à tous

Dans quelle région du Québec demeurez-vous?

Bas-Saint-Laurent(1)
Saguenay-Lac-Saint-Jean (2)
Capitale-Nationale (3)
Mauricie (4)
Estrie (5)
Montréal (6)
Outaouais (7)
Abitibi-Témiscamingue (8)
Côte-Nord (9)
Nord-du-Québec (10)
Gaspésie/Îles-de-la-Madeleine (11)
Chaudière-Appalaches (12)
Laval (13)
Lanaudière (14)
Laurentides (15)
Montérégie (16)
Centre-du-Québec (17)

Q0QCA – Q0QCA – poser si Q0QC=14 (Lanaudière)

Il est possible que votre ville de résidence ne figure pas dans la liste.

Pour des raisons de traitement statistique,seulement certaines villes, en périphérie de l’Ile-de-Montréal, sont identifiées. Si c’est le cas, veuillez choisir la réponse « Autres villes ».

Dans quelle ville demeurez-vous ?

L’Assomption (1)
Charlemagne (2)
L’Épiphanie (3)
Lavaltrie (4)
Mascouche (5)
Repentigny (6)
Saint-Sulpice (7)
Terrebonne (8)
Autres villes de Lanaudière (96)

Q0QCB – Q0QCB – poser si Q0QC=15 (Laurentides)

Il est possible que votre ville de résidence ne figure pas dans la liste.
Pour des raisons de traitement statistique,seulement certaines villes, en périphérie de l’Ile-de-Montréal, sont identifiées. Si c’est le cas, veuillez choisir la réponse « Autres villes ».

Dans quelle ville demeurez-vous?

Blainville (1)
Boisbriand (2)
Bois-des-Filion (3)
Deux-Montagnes (4)
Gore (5)
Kanesatake (6)
Lorraine (7)
Mirabel (8)
Oka (9)
Pointe-Calumet (10)
Rosemère (11)
Saint-Colomban (12)
Sainte-Anne-des-Plaines (13)
Saint-Lin-Laurentides (20)
Sainte-Marthe-sur-le-Lac (14)
Sainte-Thérèse (15)
Saint-Eustache (16)
Saint-Jérôme (17)
Saint-Joseph-du-Lac (18)
Saint-Placide (19)
Autres villes des Laurentides (96)

Q0QCC – Q0QCC – poser si Q0QC=16 (Montérégie)

Il est possible que votre ville de résidence ne figure pas dans la liste.

Pour des raisons de traitement statistique, seulement certaines villes, en périphérie de l’Ile-de-Montréal, sont identifiées. Si c’est le cas, veuillez choisir la réponse « Autres villes ».

Dans quelle ville demeurez-vous?

Beauharnois (1)
Beloeil (2)
Boucherville (3)
Brossard (4)
Candiac (5)
Carignan (6)
Chambly (7)
Châteauguay (8)
Coteau-du-Lac (9)
Delson (10)
Hudson (11)
Kahnawake (12)
La Prairie (13)
Léry (14)
Les Cèdres (15)
Les Coteaux (16)
L’Île-Cadieux (17)
L’Île-Perrot (18)
Longueuil (19)
McMasterville (20)
Mercier (21)
Mont-Saint-Hilaire (22)
Notre-Dame-de-l’Île-Perrot (23)
Otterburn Park (24)
Pincourt (25)
Pointe-des-Cascades (26)
Richelieu (27)
Saint-Amable (28)
Saint-Basile-le-Grand (29)
Saint-Bruno-de-Montarville (30)
Saint-Constant (31)
Sainte-Catherine (32)
Saint-Jean-sur-Richelieu (47)
Sainte-Julie (33)
Saint-Isidore (34)
Saint-Lambert (35)
Saint-Lazare (36)
Saint-Mathias-sur-Richelieu (37)
Saint-Mathieu (38)
Saint-Mathieu-de-Beloeil (39)
Saint-Philippe (40)
Saint-Zotique (41)
Terrasse-Vaudreuil (42)
Varennes (43)
Vaudreuil-Dorion (44)
Vaudreuil-sur-le-Lac (45)
Verchères (46)

Autres villes de la Montérégie (96)

Q0QCD – Q0QCD – poser si Q0QC=3 (Capitale-Nationale)

Il est possible que votre ville de résidence ne figure pas dans la liste.

Pour des raisons de traitement statistique, seulement certaines villes, en périphérie de la ville de Québec sont identifiées. Si c’est le cas, veuillez choisir la réponse « Autres villes ».

Dans quelle ville demeurez-vous ?

Ville de Québec (1)
Boischatel (2)
Château-Richer (3)
Fossambault-sur-le-Lac (4)
L’Ancienne-Lorette (5)
L’Ange-Gardien (6)
Lac-Beauport (7)
Lac-Delage (8)
Lac-Saint-Joseph (9)
Neuville (10)
Notre-Dame-des-Anges (11)
Saint-Augustin-de-Desmaures (12)
Saint-François-de-l’Île-d’Orléans (13)
Saint-Gabriel-de-Valcartier (14)
Saint-Jean-de-l’Île-d’Orléans (15)
Saint-Laurent-de-l’Île-d’Orléans (16)
Saint-Pierre-de-l’Île-d’Orléans (17)
Sainte-Brigitte-de-Laval (18)
Sainte-Catherine-de-la-Jacques-Cartier (19)
Sainte-Famille (20)
Sainte-Pétronille (21)
Shannon (22)
Stoneham-et-Tewkesbury (23)
Wendake (24)
Autres villes de la Capitale-Nationale (96)

Q0QCE – Q0QCE – poser si Q0QC=12 (Chaudière-Appalaches)

Il est possible que votre ville de résidence ne figure pas dans la liste à la prochaine question.

Pour des raisons de traitement statistique, seulement certaines villes, en périphérie de la ville de Québec sont identifiées. Si c’est le cas, veuillez choisir la réponse « Autres villes ».

Dans quelle ville demeurez-vous ?

Ville de Lévis (1)
Beaumont (2)
Saint-Antoine-de-Tilly (5)
Saint-Henri (3)
Saint-Lambert-de-Lauzon (4)
Autres villes de Chaudière-Appalaches (96)

Q0QCF – Q0QCF – poser si Q0QCD=1

Veuillez indiquer votre arrondissement derésidence :
Arrondissement LaCité-Limoilou (1)
Arrondissement Sainte-Foy-Sillery-Cap-Rouge (2)
Arrondissement Les Rivières (3)
Arrondissement Beauport (4)
Arrondissement Charlesbourg (5)
Arrondissement La Haute-St-Charles (Lac-Saint-Charles, Saint-Émile, Loretteville, Les Châtels, Val-Bélair) (6)

Q0QCG – Q0QCG – poser si Q0QCE=1

Veuillez indiquer votre arrondissement de résidence :

Desjardins (1)
Chutes-de-la-Chaudière-Est (2)
Chutes-de-la-Chaudière-Ouest (3)
Sexe – Sexe – poser à tous
Êtes-vous de sexe :

Note : comme indiqué par Statistique Canada, les Canadiens transgenres, transsexuels et intersexués doivent indiquerle sexe (masculin ou féminin) auquel ils s’identifient le plus.

Masculin (1)
Féminin (2)
Autre (96)
Je préfère ne pas répondre (99)

Age – Age – poser à tous

Quel âge avez-vous?
Moins de 18 ans (0)
De 18 à 24 ans (1)
De 25 à 34 ans (2)
De 35 à 44 ans (3)
De 45 à 54 ans (4)
De 55 à 64 ans (5)
De 65 à 74 ans (6)
75 ans ou plus (7)
Je préfère ne pas répondre (9)

Langu – Langu – poser à tous

Quelle est la langue que vous avez appriseen premier lieu à la maison dans votre enfance et que vous comprenez toujours ?

Français (1)
Anglais (2)
Autre (3)
Français et anglais (7)
Français et autres (4)
Anglais et autres (5)
Autres et autres (6)
Je préfère ne pas répondre (9)

Enfa – Enfa – poser à tous

Y a-t-il des enfants de moins de 18 ans vivant dans votre ménage?
Oui (1)
Non (2)
Je préfère ne pas répondre (9)

Scol – Scol – poser à tous

Quel est le niveau de scolarité le plus élevé que vous ayez atteint?

Primaire (8e année ou moins) (1)
Études secondaires non terminées (2)
Diplôme d’études secondaires ou l’équivalent (formation technique, certificats, attestations ou diplômes de perfectionnement) (3)
Apprentissage enregistré ou diplôme ou certificat d’une école demétiers (4)
Collège, CEGEP, ou certificat ou diplôme non universitaire (5)
Certificat universitaire ou diplôme inférieur au baccalauréat (6)
Baccalauréat (7)
Certificat universitaire supérieur au baccalauréat (9)
Je préfère ne pas répondre (8)

Q1 – Q1 – Poser à tous

Lequel des énoncés suivants correspond lemieux à votre situation actuelle? (Sélectionnez toutes les réponses quis’appliquent.)

Je possède personnellement un drone ou un autre aéromodèle que je fais voler à des fins créatives. (1)
Je possède personnellement un drone ou un autre aéromodèle que je fais voler à des fins professionnelles ou de recherche. (2)
Je ne possède pas de drone ou autre aéromodèle, mais j’en fais voler à des fins récréatives. (3)
Je ne possède pas de drone ou autre aéromodèle, mais j’en fais voler à des fins professionnelles ou de recherche. (4)
Je ne possède pas personnellement de drone ou d’aéromodèle, mais une autre personne de mon foyer en possède. (5) [conclure]
Aucune personne dans mon foyer, moi compris, ne possède en ce moment de drone ou d’aéromodèle. (6) [conclure]
Je ne sais pas. (98) [conclure]
Je préfère ne pas répondre. (99) [conclure]

Q2B – Q2B – poser à tous

Vous avez indiqué que vous faisiez voler des drones à des fins professionnelles ou de recherche et/ou à des fins récréatives. Pendant combien d’heures par semaine, en moyenne, faites-vousvoler des drones?

Moins d’une heure (1)
Entre 1 et 4 heures (2)
Entre 5 et 9 heures (3)
Entre 10 et 14 heures (4)
15 heures ou plus (5)
Je ne sais pas. (98)
Je préfère ne pas répondre. (99)

Q2 – Q2 – demander à ceux qui fontvoler des drones à des fins récréatives ET professionnelles

Vous avez indiqué que vous faisiez volerdes drones à des fins professionnelles ou de recherche et à des fins récréatives. Sur la base du nombre total d’heures que vous passez à faire voler des drones, quel pourcentage consacrez-vous à une utilisation professionnelle, d’une part, et à une utilisation récréative, d’autre part?

% à des fins récréatives (1)
% à des finsprofessionnelles (2)

Q2REF – Q2REF – demander à ceux qui font voler des dronesà des fins récréatives et professionnelles

Je ne sais pas.(998)

Je préfère ne pas répondre. (999)

Terminer Condition f(‘Q1’).any(‘1’,’3’)&& f(‘Q1’).any(‘2’,’4’)

Q3 – Q3 – utilisateurs récréatifs seulement

Quelle utilisation faites-vous généralement de votre drone ou aéromodèle?

Juste pour leplaisir de le faire voler (1)

Pour prendre des vidéos ou des photos (2)

Pour une autre utilisation (veuillez préciser) (96)

Je ne sais pas. (98)

Je préfère ne pas répondre. (99)

Q4 – Q4 – poser à tous

Où faites-vous le plus souvent voler votre drone ou aéromodèle? (Sélectionnez toutes les réponses qui s’appliquent.)

Dans une zone urbaine (1)
En banlieue (2)
En milieu rural (3)
Je ne sais pas. (98)
Je préfère ne pas répondre. (99)

Q5 – Q5 – utilisateurs professionnels seulement

Quelle est la principale raison pour laquelle vous faites voler un drone à des fins professionnelles ou de recherche?

À des fins derecherche, de recherche universitaire ou autre (1)
À des fins agricoles (étude ou inspection de zones) (2)
À des fins immobilières (3)
Pour inspecter des bâtiments, des structures ou des toits (étude dezones, balayage de périmètres) (4)
Pour inspecter des infrastructures (pipelines, lignes électriques, voies ferrées, autoroutes) (5)
Pour faire des films ou prendre des vidéos ou des photos (6)
Pour une autre utilisation (veuillez préciser) (96)
Je ne sais pas. (98)
Je préfère ne pas répondre. (99)

Q6 – Q6 – poser si Q1=1, 2

Combien de drones possédez-vous en ce moment?

Insérez un nombre

Q6REF – Q6REF – poser si Q1=1, 2

Je ne sais pas.(998)
Je préfère ne pas répondre. (999)

Q7 – Q7 – poser si Q1=1, 2

Où avez-vous acheté le drone ou l’aéromodèle que vous faites voler le plus souvent?

Dans un commerce dedétail (achat en magasin) (1)
En ligne, auprès d’un commerce de détail (2)
En ligne, sur un site Web spécialisé dans les drones (3)
D’occasion (p. ex. d’un ami, en ligne sur Kijiji, etc.) (4)
Je l’ai construit moi-même à partir d’un ensemble prêt-à-monter. (5)
Je l’ai construit moi-même à partir de pièces détachées. (6)
Autre (veuillez préciser) (96)
Je ne sais pas. (98)
Je préfère ne pas répondre. (99)

Q8 – Q8 – poser si Q1=1, 2 / ne pas poser si Q7=6

Quel est le modèle ou la marque de votre drone ou aéromodèle que vous faites voler le plus souvent?

DJI (1)
Parrot (2)
3DR (3)
Yuneec (4)
EHang (5)
Walkera (6)
Syma (7)
Autel Robotics (8)
Blade (9)
Great Planes (10)
Sig (11)
Top Flite (12)
Horizon Hobby (13)
Autre modèle ou marque (veuillez préciser) (96)

Je ne sais pas. (98)

Je préfère ne pas répondre. (99)

Q9A – Q9A – poser si Q1=1, 2

Connaissez-vous le poids de votre drone ou aéromodèle?

Oui : insérer le poids en système métrique (grammes) (1)
Oui : insérer le poids en système impérial (livres) (2)

Q9AREF – Q9AREF – poser si Q1=1, 2

Non, je ne connaispas le poids de mon drone. (998)
Je préfère ne pas répondre. (999)

Q10 – Q10 – poser à tous

Faites-vous, en ce moment, partie d’un clubou d’un groupe consacré aux drones ou aéromodèles?

Oui – veuillez préciser (96)
Non (95)
Non, mais je suis en processus de recherche (97)
Je ne sais pas. (98)
Je préfère ne pas répondre. (99)

Q11 – Q11 – poser à tous

Comment avez-vous appris à faire voler undrone ou un aéromodèle?

J’ai appris toutseul (essais et erreurs). (1)
C’est un ami ou un collègue qui m’a appris. (2)
J’ai regardé des vidéos éducatives (sur YouTube ou parl’intermédiaire d’une compagnie de drones). (3)
Je me suis inscrit à un cours de pilotage de drone. (4)
Je me suis référé au guide d’instructions ou au manuel. (5)
Autre (veuillez préciser) (96)
Je ne sais pas. (98)
Je préfère ne pas répondre. (99)

Q12 – Q12 – poser si Q11=4

Vous avez indiqué avoir suivi un cours de pilotage de drone. De quel type de cours s’agissait-il?

Un cours en ligne (1)
Un cours en classe (p. ex. dans une école ou dans un centre communautaire) (2)
Je ne sais pas. (98)
Je préfère ne pas répondre. (99)

Q13 – Q13 – poser à tous

Avez-vous un certificat de pilote de drone émis par le gouvernement du Canada?

Oui (1)
Non (2)
Je suis en voie d’en obtenir un. (3)
Je ne sais pas. (98)
Je préfère ne pas répondre. (99)

Q14 – Q14 – poser à tous

Avez-vous déjà suivi une formation ou vuune vidéo éducative portant spécifiquement sur la sécurité en matière de pilotage de drones ou d’aéromodèles au Canada?

Oui (1)
Non (2)
Je ne sais pas. (98)
Je préfère ne pas répondre. (99)

Q15 – Q15 – poser à tous

Avez-vous déjà suivi une formation ou vu une vidéo éducative sur la réglementation de Transports Canada en matière desécurité des drones?

Oui (1)
Non (2)
Je ne sais pas. (98)
Je préfère ne pas répondre. (99)

Q16 – Q16 – poser à tous

Avez-vous déjà recherché de l’informationsur la réglementation du gouvernement canadien visant les drones et les aéromodèles?

Oui (1)
Non (2)
Je ne sais pas. (98)
Je préfère ne pas répondre. (99)

Q17 – Q17 – poser si Q16=1

Si oui, comment avez-vous fait pour accéder à cette information? (Sélectionnez toutes les réponses qui s’appliquent)

J’ai utilisé un moteur de recherche (p. ex. Google, Bing, Yahoo, etc.) (1)
Je me suis rendu sur le site Web du gouvernement du Canada. (2)
J’ai consulté une publication, un article ou un magazine amateur destiné aux utilisateurs de drones. (3)
J’ai demandé à un détaillant spécialisé (en ligne ou en magasin).(4)
Je me suis rendu sur le site Web de Transports Canada. (5)
J’ai fait une recherche sur les médias sociaux. (6)
J’ai cherché une vidéo d’influenceur sur le pilotage de drone portant sur la réglementation. (7)
J’ai eu recours à d’autres sources (veuillez préciser).(96)
Je ne sais pas. (98)
Je préfère ne pas répondre. (99)

Q17B – Q17B – poser si=6

Vous avez indiqué que vous aviez trouvé del’information sur la réglementation du gouvernement canadien encadrant l’utilisation des drones ou des aéromodèles au moyen de recherches sur les médias sociaux. Veuillez préciser quelle(s) plateforme(s). (Sélectionnez toutes les réponses qui s’appliquent.)

Instagram (1)
Facebook (2)
LinkedIn (3)
Twitter (4)
Autre (veuillez préciser) (96)
Je ne sais pas. (98)
Je préfère ne pas répondre. (99)

Q18 – Q18 – poser si Transport Canada pas sélectionné (#5) à Q17

Avez-vous déjà consulté les pages du siteWeb de Transports Canada portant sur les drones?
Oui (1)
Non (2)
Je ne sais pas. (98)
Je préfère ne pas répondre. (99)

Q19 – Q19 – poser si Q18=1

Veuillez indiquer ce que vous cherchiez exactement lorsque vous avez consulté des pages du site Web de Transports Canada portant sur les drones.

De l’information sur les règles et règlements actuels (1)
Comment immatriculer mon drone (2)
Comment obtenir un certificat de pilote de drone (3)
Comment choisir le bon drone (4)
De l’information sur les écoles de pilotage de drones (5)
Autre (veuillez préciser) (96)
Je ne sais pas. (98)
Je préfère ne pas répondre. (99)

Q20 – Q20 – poser à tous

Comment évalueriez-vous votre niveau deconnaissances de la réglementation de Transports Canada encadrant l’utilisation des drones et des aéromodèles?

Très bon (1)
Bon (2)
Pas très bon (3)
Aucune connaissance (4)
Je ne sais pas. (98)
Je préfère ne pas répondre. (99)

Q21 – Q21 – poser à tous

Étiez-vous au courant des règles suivantes actuellement en vigueur au Canada sur les drones ou aéromodèles?

Oui (1)
Non (2)
Je ne sais pas. (98)
Je préfère ne pas répondre. (99)
Vous devez faire voler votre drone à une altitude maximale de 90 mètres (300 pieds). (1)
Vous devez faire voler votre drone à au moins 5,6 kilomètres des aérodromes et à au moins 1,9 kilomètres des héliports. (2)
Vous devez faire voler votre drone à l’extérieur d’un espace aérien contrôlé. (3)
Vous devez faire voler votre drone à au moins 9 kilomètres d’un danger naturel ou d’une zone sinistrée. (4)
Vous devez garder votre drone dans votre champ de vision. (5)
Vous devez demander à Transports Canada un certificat d’opérations aériennes spécialisées OU bénéficier d’une exemption si le pilotage de votre drone présente peu de risques. (6)

Q22 – Q22 – poser à tous

Connaissez-vous ou avez-vous entendu parlerde la NOUVELLE réglementation sur les drones qui entrera en vigueur le 1er juin 2019?

Oui (1)
Non (2)
Je ne sais pas. (98)
Je préfère ne pas répondre. (99)

Q23 – Q23 – poser si Q22=1

Veuillez expliquer dans vos propres motsles changements que cette nouvelle réglementation entraînera lorsqu’elle entrera en vigueur.

Votre réponse :

(96)

Je ne sais pas. (98)

Je préfère ne pas répondre. (99)

Q24 – Q24 – poser à tous

Avant de répondre à ce sondage, saviez-vousque ces changements allaient entrer en vigueur en juin 2019?

Oui (1)
Non (2)
Je ne sais pas. (98)
Je préfère ne pas répondre. (99)
Vous devez faire voler votre drone à moins de 122 mètres (400 pieds) d’altitude. (1)
Vous devez garder votre drone dans votre champ de vision. (2)
Vous devez immatriculer votre drone s’il pèse 250 g ou plus, mais moins de 25 kg. (3)
Vous devez obtenir un certificat de pilote de drone pour le type d’opérations que vous souhaitez (de base ou avancées). (4)
Vous devez inscrire le numéro d’immatriculation de Transports Canada sur votre drone. (5)
Vous devez faire voler votre drone loin des passants, à une distance minimale de 30 mètres, àmoins que vous ayez un certificat de pilote – opérations avancées. (6)
Vous devez faire voler votre drone à l’extérieur d’un espace aérien contrôlé, à moins que vousayez un certificat de pilote – opérations avancées. (7)
Vous devez faire voler votre drone loin des situations d’urgence (p. ex. feux de forêt). (8)

Q25 – Q25 – poser à tous

Si Transports Canada souhaite s’assurer quevous avez accès à toutes les informations pertinentes portant sur l’utilisation sécuritaire d’un drone au Canada, quelle serait pour eux la meilleure manièrede vous faire parvenir ces informations?

Campagne publicitaire à la télévision (1)
Publicités en ligne sur des sites Web consacrés aux drones (2)
Collaboration avec des youtubeurs ou des influenceurs (3)
Publicités chez des détaillants spécialisés (en magasin) (4)
Publicités sur les sites Web de détaillants spécialisés en ligne (5)
Plateformes de médias sociaux (p. ex. Facebook, Instagram, YouTube,etc.) (6)
Séances d’information en personne (p. ex. tournée nationale desclubs de drones) (7)
Autre (veuillez préciser) (96)
Je ne sais pas. (98)
Je préfère ne pas répondre. (99)

Q26 – Q26 – poser à tous

Sous quelle forme préféreriez-vous obtenirces informations pour vous assurer de les consulter?
Vidéo en ligne (1)
Contenu Web (2)
Brochure ou guide écrit (3)
Infographie (4)
Autre (veuillez préciser) (96)
Je ne sais pas. (98)
Je préfère ne pas répondre. (99)

Q27 – Q27 – poser à tous

Avez-vous de l’expérience en aviation (leçons de vol, permis de pilote ou autre)?

Oui (1)
Non (2)
Je ne sais pas. (98)
Je préfère ne pas répondre. (99)

Q28 – Q28 – poser à tous

Où allez-vous pour trouver les dernières tendances en matière de drones et d’aéromodèles (p. ex. magazines, Internet, médias sociaux, youtubeurs – veuillez être précis)?

Votre réponse :

(96)
Je ne sais pas. (98)
Je préfère ne pas répondre. (99)

QSCTDEMO – QSCTDEMO

Les prochaines questions serviront à desfins statistiques seulement.

Occup – Occup – poser à tous

Quelle est votre occupation principale actuelle ?

N.B. on parle d’emploi rémunéré seulement.

Même si vous êtes en congé sabbatique, de maternité/paternité, de maladie ou d’accident de travail, veuillez préciser votre emploi.

Employé(e) de bureau (caissier, commis de bureau, commis comptable, secrétaire, etc.) (1)
Personnel spécialisé dans la vente (agent d’assurances, vendeur,commis-vendeur, agent immobilier, courtier immobilier, représentant, etc.) (2)
personnel spécialisé dans les services (agent de sécurité, chauffeur de taxi, coiffeur, cuisinier, esthéticien, membre clergé, militaire, policier, etc.) (3)
Travailleur manuel (agriculteur, emballeur, journalier, manoeuvre, mineur, pêcheur, travailleur forestier, etc.) (4)
Ouvrier spécialisé/semi-spécialisé (briqueteur, chauffeur de camion,électricien, machiniste, mécanicien, peintre, etc.) (5)
Travailleur des sciences & technologies (informaticien, programmeur-analyste,technicien, technicien-audio, technicien de laboratoire, etc.) (6)
Professionnel (archéologue, architecte, artiste, avocat, banquier, biologiste, comptable, consultant, contremaître, dentiste, designer, etc.) (7)
gestionnaire/administrateur/propriétaire (administrateur, directeur, éditeur, entrepreneur, exécutif, gérant, homme / femme d’affaires, politicien,président, travailleur autonome, etc.) (8)
Au foyer (9)
étudiant(e) (à temps plein ou dont les études constituent l’occupation principale) (10)
retraité(e) (pré-retraité, rentier) (11)
Sans emploi (assurance-emploi, aide sociale, etc.) (12)
Autre (96)
Je préfère ne pas répondre (99)

Reven – Reven – poser à tous

Parmi les catégories suivantes, la quelle reflète le mieux le REVENU total avant impôt de tous les membres de votre foyer pour l’année 2018 ?

19 999 $ et moins(1)
De 20 000 $ à 39 999 $ (2)
De 40 000 $ à 59 999 $ (3)
De 60 000 $ à 79 999 $ (4)
De 80 000 $ à 99 999 $ (5)
100 000 $ et plus (6)
Je préfère ne pas répondre (99)

MessComplete – MessComplete

Merci, vous avez complété le sondage.

Transports Canada Drone Survey – Final Questionnaire