Understanding and enhancing compliance with the second dose of hepatitis B vaccine: a cohort analysis and a randomized controlled trial
John Sellors,*§| MD, MSc; Laura Pickard, MA;
James B. Mahony, PhD; Karen Jackson,§ BScN;
Penny Nelligan,§ BScN, MSc; Mirza Zimic-Vincetic,| MD;
Max Chernesky, PhD
CMAJ 1997;157:143-8
[résumé]
From the Departments of *Clinical Epidemiology and Biostatistics, Medicine and Pathology, McMaster University, Hamilton, Ont., §the HamiltonWentworth Department of Public Health Services, Hamilton, Ont., and |the Health Services Delivery Research Unit, St. Joseph's Community Health Centre, Hamilton, Ont.
Presented at the 10th meeting of the International Society for Sexually Transmitted Diseases Research, Helsinki, Finland, Aug. 29Sept. 1, 1993, and the 61st meeting of the Canadian Association of Clinical Microbiology and Infectious Diseases, Vancouver, BC, Nov. 2125, 1993
This article has been peer reviewed.
Reprint requests to: Dr. John Sellors, Director, Health Services Delivery Research Unit, St. Joseph's Community Health Centre, 2757 King St. E, Hamilton ON L8G 5E4; fax 905 573-4808; sellors@fhs.mcmaster.ca
© 1997 Canadian Medical Association (text and abstract/résumé)
Abstract
Objective: To determine the predictors and extent of noncompliance with a second dose of hepatitis B vaccine and the effectiveness of a compliance enhancement strategy.
Design: Cohort analysis and randomized clinical trial.
Subjects: A total of 256 consecutive adults attending a sexually transmitted diseases clinic from October 1992 to July 1993 who were seronegative for hepatitis B virus and agreed to receive hepatitis B vaccination.
Setting: Hamilton, Ont.
Intervention: Subjects were followed up for 4 months. Those who did not return for the second dose of vaccine by 6 weeks after the first (2 weeks overdue) were randomly assigned to the enhanced intervention group (telephone and mail reminders) or the regular intervention group (mail reminder only). Subjects were considered noncompliant if they did not return for the second dose by 4 months after the first.
Results: The risk of not returning for the second dose of vaccine within 4 months after the first was strongly and linearly associated with level of education (p = 0.004). The noncompliance rate among those with less than a grade 10 education was 50%, grade 1013 education 34%, some college education 15% and some university education 9%. In the randomized controlled trial the enhanced intervention group had twice the compliance rate of the regular intervention group (48% v. 25%; p = 0.008). Subjects with no postsecondary education were highly responsive to the enhanced intervention (relative risk 2.1; p = 0.02) compared with those with a higher level of education (relative risk 1.0; p = 1.0).
Conclusion: Hepatitis B vaccine recipients with lower educational levels are at increased risk of noncompliance with the second dose of vaccine but are highly responsive to telephone reminders.
Résumé
Objectif : Déterminer les prédicteurs et l'étendue de l'inobservance en ce qui concerne une deuxième dose de vaccin contre l'hépatite B, ainsi que l'efficacité d'une stratégie d'amélioration de l'observance.
Conception : Analyse de cohorte et étude clinique randomisée.
Sujets : Au total, 256 adultes consécutifs qui se sont présentés à une clinique sur les maladies transmissibles sexuellement, d'octobre 1992 à juillet 1993, qui
n'étaient pas porteurs du virus de l'hépatite B et qui ont consenti à être vaccinés contre l'hépatite B.
Contexte : Hamilton (Ont.).
Intervention : Le suivi des sujets a duré jusqu'à 4 mois. Ceux qui n'étaient pas revenus recevoir la deuxième dose de vaccin 6 semaines après la première (2 semaines de retard) ont été répartis au hasard entre le groupe des sujets visés par des interventions plus poussées (rappels téléphonique et postal) ou celui des sujets visés par intervention ordinaire (rappel postal seulement). On a considéré que les sujets étaient en situation d'inobservance s'ils n'étaient pas revenus recevoir la deuxième dose 4 mois après la première.
Résultats : On a établi un lien solide et linéaire entre le niveau d'éducation (p = 0,004) et le risque que les intéressés ne reviennent pas recevoir la deuxième dose de vaccin dans les 4 mois suivant la première. Le taux d'inobservance s'est établi à 50 % chez ceux qui avaient moins d'une 10e année, 34 % chez ceux qui avaient d'une 10e à une 13e année, 15 % chez ceux qui avaient fait des études collégiales et 9 % chez ceux qui avaient fait des études universitaires. Au cours de l'étude contrôlée randomisée, les sujets visés par une intervention plus poussée présentaient un taux d'observance 2 fois plus élevé que les sujets visés par une intervention ordinaire (48 % c. 25 %; p = 0,008). Les sujets qui n'avaient pas fait d'études postsecondaires ont très bien réagi aux interventions plus poussées (risque relatif 2,1; p = 0,02) comparativement à ceux qui avaient fait des études plus poussées (risque relatif 1,0; p = 1,0).
Conclusion : Les sujets qui reçoivent un vaccin contre l'hépatite B et ont fait des études moins poussées risquent davantage de ne pas se présenter pour recevoir la deuxième dose de vaccin, mais ils réagissent très bien aux rappels téléphoniques.
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