Résumé:
Une des orthodoxies de la mission professorale de la communication est que la grande partie des différences basée sur les genres entre le masculin et le féminin, en ce qui concerne l’expérience en salle de presse, peut être basée sur la démographie. Les arguments présentés dans cet article contestent cette orthodoxie par la comparaison des résultats obtenus lors de deux sondages nationaux qui ont mesuré la progression professionnelle de la presse canadienne et des journalistes de la télévision. Le premier sondage a eu lieu en 1975 et le deuxième en 1995. La preuve historique démontre une baisse des inégalités structurales basée sur le genre, cependant elle identifie aussi le maintien de la présence des préjugés basés sur le genre à propos de la combinaison des obligations du travail et de la famille. D’après l’auteur, ces préjugés encouragent la reproduction systémique de partialité qui se trouve dans la salle de presse et qui influence encore la profession journalistique contemporaine par une manifestation de la définition du genre à trois niveaux : comme un système de classification, comme une structure de structuration et comme une idéologie.
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