Résumé:
Dans cet article, l’influence catalyseur du projet de loi C-61, une modification proposée à la Loi canadienne du droit d’auteur, ainsi que d’autres développements d’activisme au Canada relié aux politiques des TICs sont examinées. Ce discours traite du rôle des universitaires et des activistes dans la stimulation des discussions publiques à propos des politiques reliés aux TICs avec une attention particulière apportée à trois moments clés de la politique communicationnelle au Canada: le développement de “l’autoroute de l’information” des années mi-1990 et en particulier les activités du Comité consultatif sur l’autoroute de l’information; la création du Groupe d’étude sur le cadre réglementaire des télécommunications en 2005; et le débat courant concernant le sujet de la neutralité. Cette analyse démontre comment les sujets de la politique numérique ésotérique sont maintenant perçus par la population canadienne comme étant dignes de leurs efforts. Cela suggère que les politiciens ne peuvent pas éviter les inquiétudes de leurs électeurs concernant les enjeux politiques tels que la formulation du trafic, l’étranglement, l’utilisation équitable et les mesures d’anti-contournement. Dans cette même perspective, les universitaires qui travaillent dans le domaine des politiques de communication ne devraient pas ignorer le rôle des citoyens, des groupes populaires et des organisations à but non lucratif de rechercher activement une voix dans les multiples structures de l’élaboration des politiques.
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