Societas Criticus, Revue de critique sociale et politique

On n'est pas vache…on est critique !


D.I. revue d’actualité et de culture

Où la culture nous émeut !


Regard sur le Monde d'une perspective montréalaise !

On est sceptique, cynique, ironique et documenté !


Revues en ligne, version archive pour bibliothèques

Vol. 20 05, du 2018-06-19 au 2018-08-11. En mode été (préélectoral).


Depuis 1999!













www.societascriticus.com

Cette revue est éditée à compte d'auteurs.


societascriticus@yahoo.ca

CP 37308

Succ Marquette

Montréal (QC) H2E 3B5


Le Noyau !


Michel Handfield, M.Sc. Sociologie (U de M), cofondateur et éditeur;

Gaétan Chênevert, M.Sc. (U de Sherbrooke), cofondateur et pensif de service;

Luc Chaput, diplômé de l'Institut d'Études Politiques de Paris, recherche et support documentaire.

Sylvie Dupont, lectrice et correctrice d'épreuves.


ISSN : 1701-7696


Soumission de texte: societascriticus@yahoo.ca. Si votre texte est en pièce jointe, le sauvegarder sans les notes automatiques.


Note de la rédaction



Nous avons placé notre correcteur à « graphie rectifiée » de façon à promouvoir la nouvelle orthographe: www.orthographe-recommandee.info/. Il est presque sûr que certaines citations et références sont modifiées en fonction de l’orthographe révisée sans que nous nous en rendions compte vu certains automatismes parfois, comme de corriger tous les mots identiques! Ce n'est pas un sacrilège que de relire les classiques du français en français moderne. On n'y comprendrait parfois peu si on les avait laissés dans la langue du XVIe siècle par exemple. L'important est de ne pas trafiquer les idées ou le sens des citations, ce que n'implique généralement pas la révision ou le rafraichissement orthographique de notre point de vue.


Les paragraphes sont justifiés pour favoriser la compatibilité des différents formats que nous offrons aux bibliothèques (collection.nlc-bnc.ca/100/201/300/societas_criticus; collections.banq.qc.ca/ark:/52327/61248) avec différents appareils. Ceci favorise aussi la consultation du site sur portables.


« Work in progress » et longueur des numéros (2013-06-18)


Comme il y a un délai entre la mise en ligne et la production du pour bibliothèques, il se peut que quelques fautes d’orthographe, de ponctuation ou de graphie aient été corrigées, mais le texte n’est pas changé à quelques virgules près! On a beau lire un texte plus d'une fois, quand on vient de l’écrire on ne voit pas toujours certaines coquilles. On peut cependant les voir en préparant ce n°.


La longueur des varie en fonction des textes que nous voulons regrouper, par exemple pour un festival de films. Si nous visons les 30 pages pour des raisons de lecture, notamment sur téléphone intelligent, certains peuvent en avoir plus ou moins pour des raisons techniques, comme de le terminer avant le début d'un festival ou de regrouper tous les textes sur un même sujet. Renseignements pris, la question de la taille à respecter pour envoyer un aux bibliothèques est beaucoup plus grande qu'avant. Cette limitation ne se pose donc plus pour nous.



Index


Societas Criticus, revue de critique sociale et politique



Nos Éditos Facebook du 2018-06-20 au 2018-07-11


Un insecte qui ressemble à un œuf avec des ailes

À tous mes amis Facebook qui mettent ce message… suivi de « Pour le cellulaire »

Si c'est ça un projet de droite...

Le principe de précaution

C'est systémique : le système recrute pour assurer sa reproduction

Environnement : le plus petit dénominateur commun. On ne comprend pas.

Pas besoin de me ficher, je vous le dis tout de go !

Sérieux l'environnement

Que peut faire d'autre le vice-président Trump?

Pour une mondialisation sociale et solidaire

Ce qui devrait être versus ce qui est ! (Sur L’étalement urbain)

La relativité s’applique !

Pourquoi on n’investit pas autrement dans le transport au ministère des Transports?

S'il y avait pénurie, on leur donnerait cette formation

Des valeurs conservatrices

Climat et conservateurs

Les États-Unis, une part de l’Amérique, mais pas l’Amérique !

Conservateurs : attention, danger



Nos brèves du 2018-06-19 au 2018-08-11


Pas toujours sécuritaire la loi, un cas en particulier qui m’agace

On recule aux États-Unis

Vélo-consommateur !

Le bicycle et l’économie

Religion n’est pas vérité absolue

Y a-t-il d'autres partis?

Les bibliothèques...

Urbain !

L'internet ou l'utilisateur?

Montréal, la verte !

Sociologue !

Toronto contre la droite « conservatriste » !

Changement climatique et alimentation animale

Petite visite au Cap-de-la-Madeleine…

De droite ou de gauche?

Debout les amis !

À voir !

Une comète est passée

Des problèmes appellent des solutions plus grandes que les États

Une ville à visage humain

Imaginez des canaux à Montréal

Symposium de corneilles !

Le changement, un idéal?



Travail d'équilibre !




D.I., Delinkan Intellectuel, revue d’actualité et de culture



Avis




Commentaires livresques : « La virginité en question ou les jeunes filles sans âge »


Mon FIJM 2018 - avec un mot sur les échanges culturels !


Google contre WikiLeaks. La rencontre choc de deux monstres d’Internet.




Societas Criticus, revue de critique sociale et politique


Vous trouverez ici des éditos, essais et reportages de la revue Societas Criticus.


Index



Nos Éditos Facebook du 2018-06-20 au 2018-07-11 /Vol. 20 No. 05 (en version corrigée et, parfois, augmentée)


Societas Criticus, revue de critique sociale et politique, Vol. 20 no 05, Éditos : www.societascriticus.com


Ces commentaires ont d’abord été publiés directement sur Facebook, n’étant pas devant mon ordinateur au moment de les écrire et ne voulant pas perdre une idée. Ils ont été rédigés en mangeant, en métro, en autobus ou en vélo sur ma tablette ou mon cellulaire ! Ce n’est pas parce que ce fut d’abord rédigé sur Facebook que ça enlève de la valeur au texte. Mais, ça explique qu’il soit parfois corrigé et augmenté pour publication ici.


Un insecte qui ressemble à un œuf avec des ailes

À tous mes amis Facebook qui mettent ce message… suivi de « Pour le cellulaire »

Si c'est ça un projet de droite...

Le principe de précaution

C'est systémique : le système recrute pour assurer sa reproduction

Environnement : le plus petit dénominateur commun. On ne comprend pas.

Pas besoin de me ficher, je vous le dis tout de go !

Sérieux l'environnement

Que peut faire d'autre le vice-président Trump?

Pour une mondialisation sociale et solidaire

Ce qui devrait être versus ce qui est ! (Sur L’étalement urbain)

La relativité s’applique !

Pourquoi on n’investit pas autrement dans le transport au ministère des Transports?

S'il y avait pénurie, on leur donnerait cette formation

Des valeurs conservatrices

Climat et conservateurs

Les États-Unis, une part de l’Amérique, mais pas l’Amérique !

Conservateurs : attention, danger




Un insecte qui ressemble à un œuf avec des ailes (Michel Handfield, Facebook, 2018-08-09 et 10)



Voici une photo d'un insecte qui ressemble à un œuf avec des ailes. Vu sur Saint-Laurent près du parc Jarry. Je m'en allais au gym. J'ai envoyé un mot par votre adresse de courriel (insectarium de Montréal) et le tout m'est revenu avec un formulaire à remplir. J'imagine que c'est une espèce plutôt cachée. Mais, si c'était une espèce étrangère et menaçante pour ici, ça fait un long processus de signalement je trouve.




Ça peut être une espèce de nuit qui s'était accrochée à un endroit visible. Par contre, avec le réchauffement climatique, des espèces du Sud peuvent aussi s'étendre vers le nord.


Faut pas paniquer non plus, car on voit aussi de plus en plus d'oiseaux... qui mangent aussi des insectes. Faut d’abord penser à l'environnement et surtout pas trop aux insecticides, car ça attaque aussi les insectes utiles. Mais, nos gouvernements réduisent les lois dans la lignée de Trump. Il en fait du dommage celui-là...


On est de plus en plus motorisé et les gros véhicules ont la cote en ce moment. On ne veut pas entendre parler de la taxe carbone non plus. Tout ça fait partie du problème.


Les scientifiques le disent depuis longtemps, mais, je pense que la majorité croit davantage en l'horoscope, à la pensée positive et aux religions qu'en la science ! Pourtant, tout ça se tient. Si on perd des abeilles, on perd de la fertilisation, on perd des fruits et légumes…


Sur ce dernier point, voir « Les abeilles jouent un rôle crucial dans la sécurité alimentaire (FAO) » : https://news.un.org/fr/story/2018/05/1014412



Index éditos Facebook 20/05




À tous mes amis Facebook qui mettent ce message… (Michel Handfield, Facebook, 2018-08-09 et 10)


« Bonjour mes amis FB!

Moi aussi, j'ai décidé de contourner la modification de l'algorithme Facebook... »


Bien plus simple:


Dans le menu du haut de page de Facebook, à l’extrême droite, à côté du « ? » il y a a flèche pointée vers le bas. Cliquez dessus : Préférences du fil de nouvelles / Choisir qui afficher en premier / Tout.


C'est aussi simple que ça. Pas besoin de demander un bonjour…


Pour le cellulaire (je suis en Android) – ajouté le 2018-08-10


Ξ / Paramètres / Paramètres du fil d'actualités / Préférence du fil d'actualités / Choisir qui voir.


Index éditos Facebook 20/05



Si c'est ça un projet de droite… (Michel Handfield, Facebook, 2018-08-06)


« « The normalisation of far-right politics is already leading to chaos and vandalism on our streets. Fascist thugs attacking bookshops is the logical conclusion to a political movement that rejects facts and experts. We need to be vigilant, » Lammy tweeted. » (1, 2)


Réfléchissons avant qu'il ne soit trop tard.


Notes


1. https://en.wikipedia.org/wiki/David_Lammy


2. Alison Flood, Ukip suspends three members over socialist bookshop attack, theguardian.com, Aug. 7Th, 2018 :

https://www.theguardian.com/books/2018/aug/06/socialist-bookshop-support-after-rightwingers-attack-bookmarks



Index éditos Facebook 20/05



Le principe de précaution (Michel Handfield, Facebook, 2018-08-05)


Mais, on aime mieux croire des cons qui nous promettent la richesse en exploitant le pétrole et le gaz de schiste, les sables bitumineux, etc., au risque de nous mettre en danger. Le principe de précaution, ils ne connaissent pas !


C’était mon mot au sujet du texte de l’Agence France-Presse, Le changement climatique risque de transformer la Terre en « étuve », lapresse.ca, 6 aout 2018 :

http://www.lapresse.ca/environnement/201808/06/01-5192121-le-changement-climatique-risque-de-transformer-la-terre-en-etuve.php



Aussi :


ALAIN LAFOREST/TVA NOUVELLES, Belle proposition, mais les apparatchiks du Parti ne les suivront probablement pas…, journaldequebec.com, 6 aout 2018 :

https://www.journaldequebec.com/2018/08/06/les-jeunes-liberaux-veulent-bannir-les-voitures-a-essence-dici-32-ans-1


Index éditos Facebook 20/05



C'est systémique : le système recrute pour assurer sa reproduction. (Michel Handfield, Facebook, 2018-08-04)



La première chose à faire serait de réformer les ressources humaines qui établissent les critères d'embauche et les examens...


Ces gens, qui planifient, ont été embauchés selon des critères et ont souvent des bonus parce qu'ils y répondent. Alors, si le problème se reproduit d'année en année, pourquoi ne pas d’abord regarder de ce côté?


J'ai déjà postulé pour un poste en recherche au gouvernement et l'examen portait sur l'alimentation végétarienne : lisez le texte, quel est le meilleur titre selon vous... Bref, c’était le genre de questions auxquelles nous devions répondre, sans rapport avec l’emploi postulé. Dans les consignes on nous disait d’ailleurs ceci : « Prenez des chances, l'examen est fait pour éliminer du monde, pas pour connaitre vos connaissances ou vos compétences ». Je le comprends : on était tous diplômés universitaires, alors ce n’était pas ce qui était mesuré. Ce qu’on cherchait, ce n’était probablement pas des spécialistes non plus, mais des gens qui sont malléables, car tu peux être dans un poste 6 mois et aller dans complètement dans autre chose après au gré des changements de priorités, de politiques et de gouvernements. Alors, oubliez le suivi par une même personne sur la durée d’un dossier. Et ça peut donner ces aberrations que les médias dénoncent régulièrement. Mais, ça explique l’esprit de la fonction publique.


Avant de chercher le positif, comme certains le souhaitent, corrigeons d’abord le négatif. Un moins moins donne un plus en mathématique ! Cela a un certain sens je trouve.


Cet examen je l'avais raté par un point ou deux. Ils demandaient 10 ans d'expérience que je n'avais pas (j'avais été accepté à l’examen parce que ne voyant pas en trois dimensions, je ne pouvais donc pas passer par la filière normale dans ce cas-là). Deux ans plus tard, j'ai été invité à un autre concours, vu que j'étais près de la note de passage la première fois. La deuxième fois, je l'ai réussi. Je recevais ensuite des affichages pour des postes de la haute fonction publique. J’ai toujours tenté ma chance, mais cela demandait des années d’expériences que je n’avais pas. Puis, après quelques années, ils ont fermé la liste, car la majorité des personnes retenues avaient été placées. Probablement des gens qui étaient déjà dans la fonction publique, avec les autorisations et les normes demandées, car, à l’examen, on n’était que quelques-uns de l’extérieur de la machine gouvernementale. Je n'avais pas les années d'expérience et le bon vouloir ne suffit pas toujours pour obtenir une entrevue. Sur ces quelques années, je n’ai eu qu’une fois une entrevue, pour un poste temporaire, mais je n’ai pas été retenu. De toute façon l’organisme en question a été fermé quelques mois plus tard d’un trait de plume gouvernemental.


La fonction publique, c’est un monde en soit puis-je conclure.



C’était ma réflexion suite à la lecture de Richard Martineau, Le Festival des gnochons, journaldemontreal.com, 4 aout 2018 :

https://www.journaldemontreal.com/2018/08/04/le-festival-des-gnochons



Index éditos Facebook 20/05




Environnement : le plus petit dénominateur commun. On ne comprend pas. (Michel Handfield, Facebook, 2018-08-01 et 02)


À quand l'insertion de la science dans la constitution pour qu'on cesse de donner préséance aux croyances et aux idéologies dans des questions aussi graves? Et, à quand la création d'un parlement de l'Amérique décisionnel sur ces questions? Tant pis si les États-Unis n'embarquent pas. Les autres pays représentent aussi une masse de la population de l'Amérique.


Faut pas suivre Trump. Point barre. (Facebook, 2018-08-08)


C’était mon mot suite au texte de La Presse Canadienne/Ottawa, Ottawa assouplit les seuils d'émissions de carbone, lapresse.ca, 1er aout 2018 :

http://www.lapresse.ca/actualites/politique/politique-canadienne/201808/01/01-5191561-ottawa-assouplit-les-seuils-demissions-de-carbone.php


Et mon mot du 8/08 concernait ce texte de Mia Rabson - La Presse canadienne à Ottawa, Les règles canadiennes sur les émissions des automobiles seront revues, ledevoir.com, 7 août 2018 :

https://www.ledevoir.com/economie/533991/automobile-les-regles-canadiennes-sur-les-emissions-seront-revues


Autres textes


- Kerry Sheridan - Agence France-Presse à Tampa, Les GES à un niveau record en 2017, ledevoir.com, 2 août 2018 :

https://www.ledevoir.com/societe/environnement/533612/des-gaz-a-effet-de-serre-a-des-niveaux-record-dans-le-monde-en-2017


- Alexandre Shields et Hélène Buzzetti, Taxe sur le carbone : Ottawa se plie « aux pressions de l’industrie », ledevoir.com, 2 août 2018 : https://www.ledevoir.com/societe/environnement/533664/ottawa-se-plie-aux-pressions-de-l-industrie


- Gérard Bérubé, Le fléchissement carbonique du fédéral, ledevoir.com, 2 août 2018 : https://www.ledevoir.com/economie/533665/analyse-le-flechissement-carbonique-du-federal


- Guillaume Lepage, Le Canada parmi les mauvais joueurs, ledevoir.com, 4 août 2018 : https://www.ledevoir.com/societe/environnement/533850/environnement-mode-de-vie


Index éditos Facebook 20/05



Pas besoin de me ficher, je vous le dis tout de go ! (Michel Handfield, Facebook, 2018-07-28)


Avis au PLQ et aux autres partis politiques : si vous voulez de l'information sur moi en voici. Je suis de tendance libérale sociale; pour une économie sociale, solidaire et respectueuse de l'environnement, bref de centre gauche. Mondialiste aussi. Pas un parti n’est totalement dans mes cordes, mais j’ai des intérêts pour certains points de chacun, mais aussi contre. Mon secteur a vu son député libéral décider de ne pas se représenter après un peu plus d’un mandat. Si le PLQ croit avoir besoin de nouvelles idées pour se recentrer un peu plus vers le libéralisme social, je suis dans Viau. Mais, ça ne se fera pas. (1) Sinon, j'ai les Verts, peut-être le NPD-Québec ou Québec Solidaire (quoi que son repositionnement plus indépendantiste m’agace un peu) pour voter pour du changement.



C’était ma réflexion suite à la lecture d’Hugo Joncas, Partis politiques : ils vous ont tous fichés, journaldemontreal.com, 28 juillet 2018 :

https://www.journaldemontreal.com/2018/07/28/partis-politiques-ils-vous-ont-tous-fiches



Note


1. Élu député de la circonscription de Viau aux élections partielles du 9 décembre 2013 et réélu aux élections générales du 7 avril 2014, David HEURTEL ne se représente pas à l’élection de l’automne 2018. Ce sera Frantz Benjamin qui se présentera pour le PLQ dans Viau. Voir :



- http://www.assnat.qc.ca/fr/deputes/heurtel-david-14883/index.html

- https://fr.wikipedia.org/wiki/David_Heurtel

- https://plq.org/fr/communiques/frantz-benjamin-candidat-liberal-viau/

- https://en.wikipedia.org/wiki/Frantz_Benjamin



Index éditos Facebook 20/05




Sérieux l'environnement (Michel Handfield, Facebook, 2018-07-22)


Pour les climatosceptiques, défenseurs de l'automobile entre autres, quelques références :


- Sarah Marsh and Matthew Taylor, Asthma deaths rise 25% amid growing air pollution crisis, theguardian.com, July 18th, 2018:

https://www.theguardian.com/environment/2018/jul/18/asthma-deaths-rise-25-amid-growing-air-pollution-crisis


- Amélie Bottollier-Depois - Agence France-Presse à Paris, Vers des canicules de plus en plus fréquentes, ledevoir.com, 25 juillet 2018 :

https://www.ledevoir.com/societe/environnement/533067/vers-des-canicules-de-plus-en-plus-frequentes


- Amélie Bottollier-Depois - Agence France-Presse à Paris, Des records de chaleur dans tout l’hémisphère nord, ledevoir.com, 27 juillet 2018 :

https://www.ledevoir.com/societe/environnement/533211/des-records-de-chaleur-dans-tout-l-hemisphere-nord


Index éditos Facebook 20/05



Que peut faire d'autre le vice-président Trump? (Michel Handfield, Facebook, 2018-07-18)


Et, en revenant d’Helsinki, en Finlande, il a lu le mot que lui a préparé son Président, Poutine ! Farce à part, quand les citoyens d'un pays se méfient de l'État, se disent « Rebel », défendent leur individualité contre le collectif, revendiquent le droit d'avoir des armes à feu pour se défendre de l'État, leur État, peut-on encore parler d'un pays ou juste d'un territoire-marché où le chaos est toujours au coin de la prochaine rue à guetter?


C’était mon mot suite au texte de Richard Martineau, Trump, un gros pas de muscle, journaldemontreal.com, 18 juillet 2018:

http://www.journaldemontreal.com/2018/07/18/trump-un-gros-pas-de-muscle


Hyperlien supplémentaire :


Une analyse de Christian Latreille, correspondant à Washington, La mystérieuse relation Trump-Poutine, Zone International – ICI.Radio-Canada.ca, 17 juillet 2018 : https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1113141/mysterieuse-relation-trump-poutine-analyse-christian-latreille


Index éditos Facebook 20/05



Pour une mondialisation sociale et solidaire (Michel Handfield, Facebook, 2018-07-16)


Intéressant, mais je ne suis pas contre la mondialisation. Je suis pour une mondialisation tournée vers une économie sociale et solidaire. Ce n'est pas le cas actuellement, où l'on ne tient compte que des entreprises capitalistes, surtout dans l’unilatéralisme Trumpien. Là aussi, je serai plutôt pour le multilatéralisme.



C’était mon mot suite au texte de DENIS BOULANGER, GUERRE COMMERCIALE : LES IDIOTS N’ONT PAS TOUJOURS TORT, LA PRESSE+, Édition du 16 juillet 2018, section DÉBATS, écran 5 : http://plus.lapresse.ca/screens/97267b62-4ce1-49d5-a8e9-2e76df0b9205__7C___0.html



Index éditos Facebook 20/05



Ce qui devrait être versus ce qui est ! (Michel Handfield, Facebook, 2018-07-14)



Moi, je gèlerais tous développements sur des terres en friche, vacantes et boisées, hors de l'île de Montréal, et je mettrais un moratoire sur ceux de l'ile; toutes rénovations de ponts devraient se voir retirer une voie dans chaque direction pour du transport en commun par autobus hybride, tramway ou trolleybus, car on ne peut réduire l'usage de l'automobile sans réduire la place qu'on lui fait. Dans le même ordre d'idées, on ferme les autoroutes qui séparent les citoyens du fleuve pour en faire des voies urbaines avec une place privilégiée aux transports en commun et actif.



On se plaint du climat et de la dégradation de l’environnement, mais, me présenter à une élection, je ne serais pas élu avec une telle proposition. Inversement, je proposerais des stationnements, des routes et de l'asphalte sur le fleuve que je ne serais non seulement élu, mais ma caisse de campagne déborderait probablement. C'est ça la « real poilitik » comme disent les Allemands.



C’était mon mot au sujet du texte de Luc-Normand Tellier, Professeur émérite au Département d’études urbaines et touristiques à l’ESG-UQAM, Le Devoir/ledevoir.com, IDÉES,  Montréal doit freiner de façon radicale son étalement urbain, 14 juillet 2018 :

https://www.ledevoir.com/opinion/idees/532405/montreal-doit-freiner-de-facon-radicale-son-etalement-urbain


Index éditos Facebook 20/05



La relativité s’applique ! (Michel Handfield, Facebook, 2018-07-13)


L'Homme à l'image de Dieu, au-dessus des autres sur l'échelle des animaux.... serait « aussi bête qu'une souris » ! Rien de plus....


C’était mon mot suite au texte d’Ivan Couronne, Lorsqu'il s'est investi, l'humain peut être aussi bête qu'une souris, lapresse.ca : 13 juillet 2018 :

www.lapresse.ca/sciences/medecine/201807/13/01-5189411-lorsquil-sest-investi-lhumain-peut-etre-aussi-bete-quune-souris.php


Index éditos Facebook 20/05



Pourquoi n’investit-on pas autrement dans le transport au ministère des Transports? (Michel Handfield, Facebook, 2018-07-04)


Pourquoi, au lieu d'investir dans de nouveaux ponts et de nouvelles autoroutes, on ne fait pas des réseaux de trains légers et de tramways interurbains? Existe la 30 sur la Rive-Sud, alors la mini autoroute sur le long du fleuve (1) ne pourrait-elle pas être transformée en réseau de transport léger sans autos, avec pistes cyclables et piétonnes par exemple?


Suite à un autre article (2) ne devrait-on pas plutôt enlever, sur les ponts et autoroutes où c'est possible, une voie dans chaque direction pour les remplacer par un système de transport collectif efficace : trains légers, tramway ou trolleybus?


C’était mon mot suite à la caricature de Serge Chapleau, Entrave à la circulation dans l’échangeur Turcot, LA PRESSE+, Édition du 4 juillet 2018 :

section DÉBATS, écran 3 http://plus.lapresse.ca/screens/3db83e41-66c1-4231-a8db-77c876804804__7C___0.html


Notes


1. La 132, merci Google !


2.Pierre-André Normandin, Le monde municipal en veut trop, dénoncent des environnementalistes, lapresse.ca, 4 juillet 2018 :

www.lapresse.ca/environnement/politique-verte/201807/04/01-5188231-le-monde-municipal-en-veut-trop-denoncent-des-environnementalistes.php


Index éditos Facebook 20/05



S'il y avait pénurie, on leur donnerait cette formation (Michel Handfield, Facebook, 2018-07-03)


Plein de diplômés n’ayant pas d'emplois à leur mesure ont pourtant des capacités d'apprentissage et n’auraient besoin que de peu de formation pour pourvoir des postes parallèles à leur formation, mais on ne les engage pas. S'il y avait pénurie, on leur donnerait cette formation de quelques heures à quelques semaines, parfois un peu plus, plutôt que de faire du recrutement à l'étranger, ce qui est beaucoup plus couteux. Voilà une autre preuve qui va dans le sens de ce que dit Joseph Facal dans « Le grand mensonge », journaldemontreal.com, 3 juillet 2018 : www.journaldemontreal.com/2018/07/03/le-grand-mensonge



À lire aussi :


Joseph Facal, Le grand mensonge (2), journaldemontreal.com, 26 juillet 2018:

https://www.journaldemontreal.com/2018/07/26/le-grand-mensonge-2



Index éditos Facebook 20/05



Des valeurs conservatrices (Michel Handfield, Facebook, 2018-06-29)


Plusieurs se cherchaient une maison depuis la fin de l'Union nationale (1). Ils l'ont trouvé à la CAQ qui propose une forme d'union nationale entre le Québec et le Canada. Ce n'est pas mon cas malgré mes 60 ans. Je suis libéral-social-démocrate-environnementaliste. Je regarde le Parti vert, le NPD Québec et Québec solidaire, mais je suis aussi pour un parlement de l'Amérique comme il y a un parlement européen.



C’était mon mot suite au texte de Mario Dumont, Les cheveux blancs veulent du changement, journaldemontreal.com, 29 juin 2018 :

http://www.journaldemontreal.com/2018/06/29/les-cheveux-blancs-veulent-du-changement


Note


1. https://fr.wikipedia.org/wiki/Union_nationale_(Québec)


Index éditos Facebook 20/05



Climat et conservateurs (Michel Handfield, Facebook, 2018-06-26)


Mais, ils ne comprennent rien de rien. Bref, je suis d'accord avec George. Et, je cite: « Quand on est con, on est con ». À écouter : https://youtu.be/7rUyfaiZHVQ


C’était mon mot suite au texte de Manon Cornellier, Climat : courte vue, ledevoir.com, 26 juin 2018 :

https://www.ledevoir.com/opinion/editoriaux/531088/conservateurs-et-climat-courte-vue


Index éditos Facebook 20/05



Les États-Unis, une part de l’Amérique, mais pas l’Amérique !



- On voit bien que les États-Unis, ce n'est pas l'Amérique, mais un pays de l'Amérique. Appelons ses habitants les États-Uniens ! (Michel Handfield, Facebook, 2018-06-23)


- Quand tu te dis président de l'Amérique tu dois aider à trouver des solutions aux problèmes de l'Amérique, non t’isoler de l’Amérique et de rêver de faire un mur autour des États-Unis ! (Michel Handfield, Facebook, 2018-06-20)


C’était mes mots suite à la lecture de quelques chroniques :


- PATRICK LAGACÉ, L’AMÉRIQUE M’INQUIÈTE (2), LA PRESSE+, Édition du 20 juin 2018, section ACTUALITÉS, écran 3 : http://plus.lapresse.ca/screens/8756ce6b-1c65-43f9-bdf6-a898d5471a1a__7C___0.html



- PATRICK LAGACÉ, L’AMÉRIQUE M’INQUIÈTE, LA PRESSE+, Édition du 12 juin 2018, section ACTUALITÉS, écran 3 : http://plus.lapresse.ca/screens/e41edb0e-d24d-4e74-b0ac-86fe9a6a886b__7C___0.html


- FRANÇOIS CARDINAL, RELATIONS CANADA–ÉTATS-UNIS : L’ARME SECRÈTE DE TRUMP, LA PRESSE+, Édition du 23 juin 2018, section DÉBATS, écran 2 : http://plus.lapresse.ca/screens/47304bdf-995e-4b76-87f5-0d99e59be746__7C___0.html


Index éditos Facebook 20/05



Conservateurs : attention, danger (Michel Handfield, Facebook, 2018-06-20)


Je me méfie plus des conservateurs que des autres, car ils rejettent la science et l'environnement.


C’était mon mot suite à la lecture de PAUL JOURNET, TARIFICATION DU CARBONE LA BOUCANE DES CONSERVATEURS, LA PRESSE+, Édition du 20 juin 2018, section DÉBATS, écran 2 : http://plus.lapresse.ca/screens/8e532d62-66a0-4822-b510-ded6f869469b__7C___0.html


Index éditos Facebook 20/05




Index



Nos brèves du 2018-06-19 au 2018-08-11 /Vol. 20 No. 05 (en version corrigée et, parfois, augmentée)



Societas Criticus, revue de critique sociale et politique, Vol. 20 no 05, Le Journal/Fil de presse : www.societascriticus.com



Différents commentaires sur des évènements et des nouvelles sur lesquelles je souhaite attirer l’attention pour différentes raisons. Le titre ou le commentaire explique pourquoi.



Pas toujours sécuritaire la loi, un cas en particulier qui m’agace

On recule aux États-Unis

Vélo-consommateur !

Le bicycle et l’économie

Religion n’est pas vérité absolue

Y a-t-il d'autres partis?

Les bibliothèques...

Urbain !

L'internet ou l'utilisateur?

Montréal, la verte !

Sociologue !

Toronto contre la droite « conservatriste » !

Changement climatique et alimentation animale

Petite visite au Cap-de-la-Madeleine…

De droite ou de gauche?

Debout les amis !

À voir !

Une comète est passée

Des problèmes appellent des solutions plus grandes que les États

Une ville à visage humain

Imaginez des canaux à Montréal

Symposium de corneilles !

Le changement, un idéal?




Index brèves


Pas toujours sécuritaire la loi, un cas en particulier qui m’agace (Michel Handfield, Facebook, 2018-08-11)



Le marquage hachuré, je le trouve problématique, car si j'arrête sur la jaune, plus sécuritaire quand il y a 6 voies à traverser, je suis dans le marquage. Si je passe, celui à droite de l'autre côté des 6 voies risque de partir. Pourquoi ce marquage? À cause des véhicules de plus en plus longs, dont les trains routiers. Le problème est l'allongement des véhicules.



Un petit ajout : j'ai l'habitude d'arrêter quand la lumière tombe jaune et que j'ai la distance pour arrêter de façon sécuritaire. Donc pas quand je suis déjà engagé dans l'intersection. Mais, même si moi je peux m'arrêter comme il le faut, je ne calcule pas le nombre de fois qu'on me dépasse pour passer sur la jaune, voir le rouge !



Rachelle Mc Duff, Des infractions routières à la tonne, journaldemontreal.com, 11 aout 2018 : https://www.journaldemontreal.com/2018/08/11/des-infractions-routieres-a-la-tonne



Index brèves




On recule aux États-Unis. Espérons que le Canada ne les suivra pas encore. (Michel Handfield, Facebook, 2018-08-08)


RADIO-CANADA AVEC LE MONDE ET THE GUARDIAN, Les États-Unis ouvrent la porte à un retour de l'amiante, Zone International – ICI.Radio-Canada.ca, 7 aout 2018: https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1116844/etats-unis-amiante-utilisation-fabrication-evaluation-epa




Index brèves



Vélo-consommateur ! (Michel Handfield, Facebook, 2018-08-06)




Bravo Home Depot Beaubien. On peut magasiner pour des rénovations en vélo. J'ai trouvé ce que je cherchais (une marche de fibre de verre).













En passant, la piste qui conduit au marché central fut refaite d'une travée à double sens à 2 voies, une dans chaque sens. Il le faut, car de plus en plus de consommateurs utilisent le vélo en milieu urbain. Photo prise le 2018-07-31






Index brèves



Le bicycle et l’économie (Michel Handfield, Facebook, 2018-06-24)


Faudrait peut-être regarder cela ici aussi : Carlton Reid, UK cycling is worth more than the steel industry – where's the strategy?, theguardian.com, Jun. 16Th, 2018: https://www.theguardian.com/environment/bike-blog/2018/jun/16/uk-cycling-steel-industry-strategy



Index brèves




Religion n’est pas vérité absolue (Michel Handfield, Facebook, 2018-08-05)


Les religions devraient être vues à travers les cours d'histoire et de géographie, avec mise en perspective.


C’était mon mot suite au texte de David Riendeau, 20 années de désillusions, journaldemontreal.com, 5 aout 2018 :

https://www.journaldemontreal.com/2018/08/05/20-annees-de-desillusions


Index brèves



Y a-t-il d'autres partis? (Michel Handfield, Facebook, 2018-08-02)


« Oui, bon, le gouvernement conservateur a décidé d’implanter le système Phénix au Canada en 2016 alors que l’Australie avait perdu des centaines de millions de dollars avec le même maudit système neuf ans plus tôt, mais qu’est-ce que vous voulez qu’on vous dise... » (Richard Martineau, La faute à personne, journaldemontreal.com, 1er aout 2018:

https://www.journaldemontreal.com/2018/08/01/la-faute-a-personne)


Alors, les conservateurs en remplacement du PLC? Y a-t-il d'autres partis si on veut faire du changement? Me semble que la liste en comprend quelques autres peu regardés.


Index brèves



Les bibliothèques... (Michel Handfield, Facebook, 2018-07-31)


Les bibliothèques, ce n'est pas nouveau même si ça se renouvèle. Symbole d'utilité sociale.


C’était mon mot suite au texte d’Alison Flood, 'Spectacular' ancient public library discovered in Germany, theguardian.com, July 31st, 2018:

https://www.theguardian.com/books/2018/jul/31/spectacular-ancient-public-library-discovered-in-germany



Index brèves



Urbain ! (Michel Handfield, Facebook, 2018-07-31)




Piste multi le long de la voie ferrée près de Saint-Laurent/Rosemont. Sous le viaduc Rosemont/Van-Horne.










Index brèves



L'internet ou l'utilisateur? (Michel Handfield, Facebook, 2018-07-31)



Comme autrefois on pouvait acheter « Le Devoir » ou un tabloïde parlant de la nouvelle vie d'Elvis sur une ile quelconque à l'épicerie, on peut lire « Le Devoir », « The Guardian », le « Journal de Montréal » ou autres pour se forger une idée. On peut aussi choisir les « fake news » sur certains sites. Bref, c'est l'humain qui décide. Et, comme la facilité lui a toujours plu, ceci explique la montée du populisme, de droite ou de gauche.



C’était mon mot suite au texte de Lise Ravary, Internet rend-il nono?, journaldemontreal.com, 31 juillet 2018:

https://www.journaldemontreal.com/2018/07/31/internet-rend-il-nono




Index brèves




Montréal, la verte ! (Michel Handfield, Facebook, 2018-07-29)



Arrivé à Montréal, de retour de Chambly, par le chemin du même nom, une chose nous a frappé moi et Sylvie : on a vu plus d'arbres sur la rue De-Lorimier que sur le chemin de Chambly au point que je me suis stationné sur la rue De-Lorimier, entre Beaubien et Saint-Zotique, pour faire quelques photos.









Index brèves



Sociologue ! (Michel Handfield, Facebook, 2018-07-28)


Bonne explication. Sociologue ! Le problème, on en engage peu. J'en sais de quoi.


C’était mon mot suite au texte de Joseph Facal, Tirer dans le dos des siens, journaldemontreal.com, 28 juillet 2018:

https://www.journaldemontreal.com/2018/07/28/tirer-dans-le-dos-des-siens


Index brèves



Toronto contre la droite « conservatriste » ! (Michel Handfield, Facebook, 2018-07-27)


Les villes devraient avoir un statut de gouvernement dans la constitution, car, loin d'être « une création de la province » comme on dit au Québec, elles leurs sont bien souvent antérieures. J'appuie le maire de Toronto.


C’était mon mot suite au texte de Zone Politique – ICI.Radio-Canada.ca, Doug Ford ampute le conseil municipal de Toronto; le maire et les conseillers divisés, 27 juillet 2018 : https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1115018/reduction-conseillers-municipaux-toronto-doug-ford-reactions-john-tory



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Changement climatique et alimentation animale (Michel Handfield, Facebook, 2018-07-24)



Pas drôle. Moi qui donne des mauvaises herbes à mon lapin, j'ai d'ailleurs remarqué l'absence de pissenlit sur mon gazon. Par chance, j'ai d'autres mauvaises herbes. Mais, c'est une mauvaise herbe que je lui donnais, car l'hiver je lui en achète justement.



C’était mon mot suite au texte de Pierre-Alexandre Maltais, Sans foin, ses vaches ne passeront pas l’hiver, journaldemontreal.com, 24 juillet 2018 : https://www.journaldemontreal.com/2018/07/24/sans-foin-ses-vaches-ne-passeront-pas-lhiver



Index brèves



Petite visite au Cap-de-la-Madeleine… (Michel Handfield, Facebook, 2018-07-23)



Ça permet de faire de la photo !













Index brèves




De droite ou de gauche? (Michel Handfield, Facebook, 2018-07-20)


De droite ou de gauche, si c’était par exemple des coops de vignobles, de distilleries artisanales ou de spécialités? Je pose la question.


C’était mon mot suite au texte de La Presse Canadienne/St. Andrews, Couillard ouvre la porte à la fin du monopole de la SAQ, lapresse.ca, 20 juillet 2018 :

http://www.lapresse.ca/actualites/politique/politique-quebecoise/201807/20/01-5190289-couillard-ouvre-la-porte-a-la-fin-du-monopole-de-la-saq.php


Index brèves



Debout les amis ! (Michel Handfield, Facebook, 2018-07-15)


Fort intéressant comme texte. En auto aussi les gens sont assis des heures durant. Serait-on mieux de densifier les villes et de voyager en transport en commun et actif, ces modes de transport se complétant?


C’était mon mot suite au texte de Laurie Noreau, Faire la guerre à la chaise, ledevoir.com, 14 juillet 2018 :

https://www.ledevoir.com/vivre/532285/faire-la-guerre-a-la-chaise



Index brèves



À voir ! (Michel Handfield, Facebook, 2018-07-14)


https://www.facebook.com/LePharmachien/videos/1305061762960371/


J'ai copié le lien et partagé, car très bien fait. C'est comme « mardi, c'est la journée de.... », mais mardi de quelle date ? Ou, encore, « Signer cette pétition.... », mais qui va voir ce qu'il en retourne avant de partager? Elle n'est plus en ligne depuis 5 ans cette pétition ! J'en reçois, d’autres en reçoivent ! On a beau faire attention, parfois on peut se faire prendre, même si on est avisé.



Index brèves





Une comète est passée (Michel Handfield, Facebook, 2018-07-13, 21h12)


Je viens de voir passer une comète au-dessus de mon quartier (Saint-Michel, Montréal). Une ligne de feu. Impressionnant. Je n'avais pas mon cellulaire (j’étais dans le jardin), mais elle est passée tellement vite que je n'aurais pas eu le temps de la photographier.



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Des problèmes appellent des solutions plus grandes que les États (Michel Handfield, Facebook, 2018-07-12)



Il y a des problèmes locaux, régionaux, nationaux et multinationaux (la pollution par exemple ne s'arrête pas à un poste frontalier ) qui appellent des solutions des mêmes ordres. Ceci étant dit, chaque ordre de gouvernance que l'on fait veut s'approprier les pouvoirs des autres et ne rien céder, voilà le problème à la source de ces conflits.


C’était mon mot suite au texte de Mathieu Bock-Côté, Le Brexit aura-t-il lieu?, journaldemontreal.com, 12 juillet 2018: http://www.journaldemontreal.com/2018/07/12/le-brexit-aura-t-il-lieu



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Enfin, on semble comprendre ce que devrait être une ville à visage humain (Michel Handfield, Facebook, 2018-07-10)


C’était mon mot suite au texte de Pierre-André Normandin, Un chemin de parc plutôt qu'une autoroute dans l'ouest de Montréal, lapresse.ca, 10 juillet 2018 :

http://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/201807/10/01-5189017-un-chemin-de-parc-plutot-quune-autoroute-dans-louest-de-montreal.php



Index brèves




Imaginez des canaux à Montréal (Michel Handfield, Facebook, 2018-07-04)


Imaginez qu'à Montréal, pour réduire le trafic, on décanalise les rivières et plans d'eau qui jonchaient l'ile autrefois (souvent recouvertes par des rues) et qu’on y circule en canot l'été et en ski l'hiver ! Me semble que ça changerait la ville.


Voir la « Liste des rivières et plans d'eau de l'Île de Montréal » : https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_rivi%C3%A8res_et_plans_d%27eau_de_l%27%C3%8Ele_de_Montr%C3%A9al


C’était mon mot suite au texte de Frédéric Guindon, Un quartier unique au Québec permet à ses habitants de circuler sur un réseau de canaux navigables, journaldemontreal.com, 4 juillet 2018 : www.journaldemontreal.com/2018/07/04/video-un-quartier-unique-au-quebec-permet-a-ses-habitants-de-circuler-sur-un-reseau-de-canaux-navigables-avec-ultramar



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Symposium de corneilles ! (Michel Handfield, Facebook, 2018-06-22)




Retour du gym en bixi. En traversant le parc François-Perrault j'ai vu un symposium de corneilles !










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Le changement, un idéal? (Michel Handfield, Facebook, 2018-06-19)


Décourageant, mais faut accepter d'ouvrir les yeux et cesser d'idéaliser le changement. En fait, si votre patron vous congédie, il fait du changement. L'idéaliserez-vous? Poser la question c’est y répondre !


C’était mon mot au sujet du texte d’Antoine Robitaille, « Contradictions » avenir Québec, journaldemontreal.com, 19 juin 2018: www.journaldemontreal.com/2018/06/19/contradictions--avenir-quebec


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Travail d'équilibre !


Societas Criticus, revue de critique sociale et politique, Vol. 20 no 05, Éditos : www.societascriticus.com



Michel Handfield (2018-08-06)



Centré, mais avec un pied un peu à gauche, l’autre un peu à droite avec un peu de mouvement du corps (politique) pour conserver l’équilibre. D’un extrême ou de l’autre, sans balance entre les deux, plantage assuré. C’est valide sur un ballon, c’est valide en politique, c’est valide dans la vie.


Merci Sylvie pour les photos.

Gym, Fit for life, Montréal : https://tongym.com






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D.I., Delinkan Intellectuel, revue d’actualité et de culture


Vous trouverez ici les textes Cinéma, Théâtre, Livres, Expositions et autres regards culturels de la revue Societas Criticus.


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AVIS (révisé le 2014-03-23)


Vous trouverez ici les textes Cinéma, Théâtre, Livres, Expositions et autres regards culturels. Plus simple pour les lecteurs, tant dans le format revue qu’internet, de retrouver tous ces textes sous un même volet.

Les citations sont rarement exactes, car, même si l’on prend des notes, il est rare de pouvoir tout noter. C’est généralement l’essence de ce qui est dit qui est retenue, non le mot à mot.


Si, pour ma part, j'écris commentaires, c'est que par ma formation de sociologue le film est un matériel et nourrit une réflexion qui peut le dépasser. J’accroche sur les problématiques et les questions soulevées. Le film est un matériel sociologique; un révélateur social, psychosocial, socioéconomique ou sociopolitique. C’est ainsi que, pour de très bons films selon la critique plus traditionnelle, je peux ne faire qu’un court texte alors que pour des films décriés en cœur, je peux faire de très longues analyses, car le film me fournit davantage de matériel. Je n’ai pas la même grille ni le même angle d’analyse qu’un cinéphile. Je peux par contre comprendre leur angle. J’encourage donc le lecteur à lire plus d'un point de vue pour se faire une idée.


Lorsque je ne suis pas le public cible, je l’écris tout simplement. Si je n’ai rien à dire ou que je n’ai pas aimé, je passerai mon tour, car pourquoi priverais-je le lecteur de voir un film qui lui tente? Il pourrait être dans de meilleures dispositions que moi. Une critique, ce n’est qu’une indication qu’il faut savoir lire, mais jamais au grand jamais une prescription à suivre à la lettre.


Michel Handfield, d’abord et avant tout sociologue.







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Commentaires livresques : « La virginité en question ou les jeunes filles sans âge »


Reçu le 2017-11-13 : Mihelakis, Eftihia, 2017, « La virginité en question ou les jeunes filles sans âge », « Presses de l’Université de Montréal », Collection « Espace littéraire », 198 pages, version EPUB. Aussi disponible en PDF et format papier. https://pum.umontreal.ca/



D.I., Delinkan Intellectuel, revue d'actualité et de culture, Vol. 20 no 05, Livres : www.societascriticus.com



Quel pouvoir réside dans la virginité ? Comment comprendre le concept de parthénos, qui peut à la fois désigner un adolescent, fille ou garçon, une jeune vierge à marier, une figure tragique ou une puissante déesse ? Et comment les destins d’Antigone, des Érinyes, de Blanche-Neige, de Susan Salmon – l’héroïne angélique du roman populaire d’Alice Sebold – et de Valentine – la jeune punk imaginée par Virginie Despentes – illustrent-ils la temporalité au coeur des idées véhiculées sur les jeunes filles depuis l’Antiquité?


Au moment où plusieurs penseurs annoncent une crise mondiale des rites de passage de l’adolescence, cet essai réfléchit au discours occidental sur la virginité vue par la médecine, la loi, la littérature et la mythologie. Il montre que, loin de culminer avec la disparition du fantasme de la virginité, notre époque perpétue l’institution des filles dociles. L’auteure aborde les visages familiers de la victime angélique, de la vierge sacrée, des soeurs virales et s’attarde à l’image encore inexplorée de la jeune terroriste kamikaze en posant la question ultime : la littérature peut-elle sauver les vierges d’un destin morbide et sacrificiel?


Eftihia Mihelakis est professeure adjointe au Département de langues classiques et modernes à la Brandon University.



Source : https://pum.umontreal.ca/catalogue/la-virginite-en-question




Commentaires de Michel Handfield (2018-08-03)


La virginité, quel vaste sujet. Culturel, médical et politique ! Voilà comment il est traité dans ce livre qui part d’Hippocrate, 460 à 377 av. J.-C (1), qui a écrit ceci « des jeunes filles lorsque l’époque du mariage est retardée » :


« […] quand l’orifice de l’issue n’est pas ouvert, et que le sang arrive en plus grande abondance, tant par les aliments que par l’accroissement, alors le sang, n’ayant point de sortie, s’élance, vu la quantité, sur le cœur et le diaphragme. Ces parties étant remplies, le cœur devient torpide; à la torpeur succède l’engourdissement, et à l’engourdissement le délire. (2) » (p.30)



C’est une « pathologie physiologique ». Pour la santé de la jeune fille, elle doit être déflorée au plus tôt. Ça ouvrait la porte au mariage forcé, au droit de cuissage (3)… et peut-être même à des formes d’inceste, acceptées et cachées, même si on ne le dit pas dans ce livre. Tout comme le viol peut être commis chez la toute jeune fille, il ne peut l’être sur la fille ou la femme mature que parce qu’elle l’a acceptée. C’était du moins l’opinion des juristes Beck à une autre époque :


« Est victime de viol la fille asexuée, la fille qui n’a en réalité pas de corps, pas de genre. La seule posture crédible qu’elle peut prendre face à l’homme est celle de la peur; c’est la peur qui l’inciterait – je précise ici le ridicule du propos des juristes Beck – au consentement, et non au refus. À cet égard, on doit souligner que pour être une victime valable, la fille ne peut pas être mariée ou déflorée :


« But the consummation of rape, by which is meant a complete, full, and entire coition, which is made without any consent or permission of the woman, seems to be impossible, unless some very extraordinary circumstances occur. For a woman always possesses sufficient power, by drawing back her limbs, and by the force of her hands, to prevent the insertion of the penis, while she can keep her resolution entire. (4) » (p. 49)


Aujourd’hui, on parle même de viol d’une prostituée, car la relation sexuelle doit être clairement consentie en droit et peut être limitée dans le contrat verbal avec le client. Ne pas respecter les limites posées, c’est un viol, même dans le cas d’un acte de prostitution. (5) Reste encore à le prouver; à ce que la prostituée porte plainte; et à ce que la police en tienne compte. Cela montre cependant l’évolution de la société et du droit, du moins sur papier.



Car, si la femme qui marchande son sexe gagne des droits, on lui reproche toujours de marchander son sexe. Par contre, qui reproche à la vierge de marchander sa défloraison? On en entend peut parler, mais cela existe :



« Or, même aujourd’hui, les ventes publiques (souvent en ligne) aux enchères où des filles proposent de se faire dépuceler pour une juste valeur marchande me portent à croire que la virginité – même désirée et performée – a toujours un rapport au capital et à une économie d’échange capitaliste. Grâce à ces ventes aux enchères, la fille vierge est-elle toujours inscrite aujourd’hui dans une économie sexuelle de la perte, doit-elle perdre un statut; et si oui, gagne-t-elle pour autant une autre forme de pouvoir? » (p. 20)




Pas facile à trouver, mais j’ai quand même trouvé quelques cas avec différents mots-clés sur Google. Vous comprendrez que je n’encourage pas ce genre d’échange, donc je n’en dis pas plus. Cependant, comme cela existe, on ne doit pas le cacher. (6) Puis, au moment où je ne m’y attendais pas, un article sur le sujet, dans Le Devoir, à propos d’un film :



« Tandis qu’elle dévoile patiemment tous les rouages d’un système corrompu à la moelle, la misogynie découlant du rigide modèle patriarcal et le lourd héritage de la religion, la scénariste-réalisatrice dépeint un inquiétant tableau de la Chine moderne où la virginité a une valeur marchande. Alors que l’avocate lutte pour faire éclater la vérité, les mères souhaitent taire celle-ci par peur de voir la réputation de leurs filles entachée. » (7)




Mais, ce livre sur « La virginité en question » va plus loin que ce seul aspect de la vierge physique, car la vierge peut aussi être politique ! Un trouble pour la société, car elle pense au lieu d’avoir des enfants et de les élever. Elle peut même se mêler de la chose publique ! La perte de virginité, le devenir femme et enfanter devient alors un moyen de contrôle. Le dépucelage comme moyen de contrôle politique, rien de moins :




« Il s’agit de dresser des corps dans un temps et un espace disciplinaire pour assurer la régularité de l’ordre social. Une «anatomie politique» qui est aussi une «mécanique de pouvoir» articule les manières par lesquelles on peut contrôler des corps «non pas pour qu’ils fassent ce qu’on désire, mais pour qu’ils opèrent comme on veut (8)». Le mariage (et le dépucelage qui contresigne sa matérialisation) peut être pensé comme la trame la plus efficace qui contraint et soutient les gestes de la fille en assurant la reproduction de corps dociles : ceux de l’épouse, de la mère et la reproduction d’enfants qui génèrent la structure familiale nucléaire. La discipline s’assure ainsi de détenir le monopole du pouvoir en fabriquant des corps dociles, soumis et exercés à se mouvoir dans un espace et un temps qui refusent la répartition incontrôlée des individus, «leur circulation diffuse, leur coagulation inutilisable et dangereuse (9) ». (p. 101-2)



Ceci soulève aussi une autre question dans le monde moderne : l’homosexualité féminine. Elles demeurent vierges – si la virginité se définit seulement par la pénétration masculine – mais pas innocentes; peuvent avoir des enfants sans la pénétration d’un homme; et être politisée, voir revendicatrices et vindicatives face au patriarcat. En plus, elles peuvent avoir une sexualité assumée sans hommes. Bref, elles font peur à l’ordre patriarcal et masculin établi, car l’homme se sent menacé dans son utilité et sa virilité :


« La fille fait fatalement trembler ceux qui se risquent dans ses parages, quand elle est tentée par le prolongement d’une forme de virginité, par la masturbation ou les relations homosexuelles. C’est cette possibilité de la transgression qui dérange et ébranle. Le corps de la parthénos symbolise ce qui suscite un tremblement de l’ordre. En ce sens, la parthénos inscrit l’idée des limites au cœur même de l’espace sociohistorique. » (p. 196)



Enfin, ce livre nous montre des modèles de femmes par la littérature. Pour ma part, dans cet ordre d’idée, j’ai surtout aimé le Chapitre 9, « La vierge de l’apocalypse », qui tourne autour de Virginie Despentes. On y parle des « bad girls » (10) et du système du Pouvoir et de la violence. Bref, on est parfois dans la critique politique de l'utopie. Fort intéressant comme chapitre j’ai trouvé.



Sur une note plus personnelle, car une critique ou un commentaire sur un livre ou une œuvre, quelle qu’elle soit, se fait toujours d’un point de vue personnel, j’ai deux remarques à faire pour terminer ce texte.



D’abord, autour des pages 105-7, l’auteure nous parle « de la pensée irigarienne » :


« La fille n’aurait rien à donner à voir, «[e]lle exposerait, exhiberait, la possibilité d’un rien à voir. En tout cas rien d’une forme-pénis, ou substituable au pénis, à regarder» (11). C’est sur ce rien, sur ce vide, ce défaut du visible, que vient s’insérer la tache aveugle de ce «rêve de symétrie» dont nous parle Irigaray et qui construit l’imaginaire de la fille. » (p. 107)




On voit que ce sont des propos féminins parce que les garçons remarquent les filles. Par la sexualisation des seins et des fesses par exemple. Ils les remarquent même comme des abeilles voient les fleurs; de loin ! C'est le garçon qui se trouve plutôt invisible et qui a peur de la comparaison de son organe et de sa performance, je crois. Cette sexualisation du corps de la femme n'est d’ailleurs pas nouvelle puisque des religions font tout pour le cacher et la rendre invisible. Je suis sûr que certains passages auraient été fort différents si ce livre eut été écrit avec un homme et une femme.



Ensuite, et malgré cette remarque, ce livre ne vise pas un public d’un sexe en particulier. Même si je suis un homme, j’ai eu de l’intérêt à le lire, car est-on de son sexe à 100%? En fait, non.



On retient de nos parents, de nos ancêtres, et de la collectivité qui nous entoure et nous influence : amis, voisins, professeurs, vedettes de différents milieux, etc. Bref, ce qui fait ce qu’on est, c’est une série d’interactions, non seulement son sexe. Sur certains points je ressemble davantage à ma mère (j’aime faire la cuisine) qu’à mon père, mais j’ai pris des trucs de mon voisin pour faire ma peinture extérieure, car mon père, même s’il pouvait faire des meubles, n’était pas le meilleur des peintres. J’ai aussi appris à peindre au rouleau en regardant un cousin, car mes parents préféraient le bois verni et la tapisserie. Quant à ma conjointe, sur des choses, elle ressemble davantage à son père qu’à sa mère. Alors, le genre physique, le genre sexuel, et les comportements, c’est beaucoup plus complexe que de tout réduire à un pénis ou un vagin. Ce livre s’adresse donc tant aux femmes, aux hommes qu’aux autres genres intermédiaires que l’on nomme maintenant.




Par contre, c’est un livre universitaire. Le vocabulaire est parfois spécialisé. J’ai d’ailleurs dû chercher un mot en le lisant : le liminaire. (Chapitre 4) « Placé en tête d’un ouvrage, d’un discours. Déclaration liminaire. > Préliminaire. » (Application Le Robert Dixel mobile sur Android.) Ça me fait d’ailleurs penser à ceci, pour les maniaques de la féminisation des mots : avez-vous remarqué que pénis et vagin sont masculins comme verge et vulve sont féminins? Bref, je trouve que ça indique très bien que l’on a chacun, à des degrés divers, une part de masculin et de féminin en nous, que ce soit génétiquement ou culturellement.


Notes


1. https://fr.wikipedia.org/wiki/Hippocrate


2. Hippocrate, «Des maladies des jeunes filles», In Œuvres complètes d’Hippocrate, traduction nouvelle avec le texte grec en regard, collationné sur les manuscrits et toutes les éditions par E. Littré, Paris, J. B. Baillière et Fils, 1861, p. 467.


3. https://fr.wikipedia.org/wiki/Droit_de_cuissage


4. Theodric R. Beck et John B. Beck, Elements of Medical Jurisprudence, Philadelphie, J. B. Lippincott & Co., 12e édition, 1963 [1823], p. 203

5. Sidonie Sigrist, France : Le viol des prostituées existe, et il n'est pas assez reconnu, Slate.fr, 19 février 2015 : http://www.slate.fr/story/98119/carlton-prostitution-consentement-viol

6. À ce sujet, lire JUSTINE LEUPE, Vendre sa virginité, une tendance qui vaut de l'or, La libre Belgique/lalibre.be, samedi 05 mai 2018 : http://www.lalibre.be/lifestyle/love-sex/vendre-sa-virginite-une-tendance-qui-vaut-de-l-or-5aed7c0dcd7028f079c9d76f


7. Il s’agit là d’une citation tirée d’une critique de film qui touche justement ce sujet. Manon Dumais, « Les anges portent du blanc »: les petites filles modèles, ledevoir.com, CRITIQUE/Cinéma, 28 juillet 2018: https://www.ledevoir.com/culture/cinema/533270/les-petites-filles-modeles


8. Michel Foucault, Surveiller et punir. Naissance de la prison, Paris, Éditions Gallimard, 1975, op. Cit., p 140


9 Ibid., pp. 144-5



10. On peut penser ici au livre de CARDI, Coline et PRUVOST, Geneviève, 2017, Penser la violence des femmes, Paris : La découverte : www.editionsladecouverte.fr. Nous en avons parlé dans « Du Japon, de l’éducation (même ici au Québec !) et de la violence au féminin ! », Societas Criticus, Vol. 19 no 08, Textes ciné et culture/Fantasia 2017.

En PDF à BAnQ : http://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/61248?docref=mFA-aMTVWgCw7tzQSS6GUQ


En HTML et autres formats à BAC :

http://epe.lac-bac.gc.ca/100/201/300/societas_criticus/


11. Luce Irigaray, Speculum de l’autre femme, Paris, Minuit, 1974, p. 53




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Mon FIJM 2018 - avec un mot sur les échanges culturels !



D.I., Delinkan Intellectuel, revue d'actualité et de culture, Vol. 20 no 05, Textes ciné et culture : www.societascriticus.com



Michel Handfield, 2018-07-12, texte et photos (4:3, 16 MP) prises au cellulaire



NDLR Dans le cas de ce texte, les notes sont importantes, car plusieurs apportent des explications complémentaires.




Non, je n’ai pas été voir « SLAV », mais du blues au Festival international de jazz de Montréal : https://www.montrealjazzfest.com/. Pour « SLAV », je ne parlerais pas de racisme (1), mais d’un manque de sensibilité. Quant à l’appropriation culturelle…


Une musique, une fois lancée, peut être reprise, s’étendre et se redéployer en différentes variantes. Par exemple :



« Le blues (/bluz/) est un genre musical, vocal et instrumental dérivé des chants de travail des populations afro-américaines. Le blues est apparu dans le sud des États-Unis au cours du XIXe siècle. C'est un style où le chanteur exprime sa tristesse et ses déboires. » (2)


C’est ainsi que le blues s’est étendu; fut décliné en différentes couleurs, pour élargir sa palette musicale; et repris tant par des blancs que d’autres ethnies qui l’ont adapté et chanté en différentes langues par la suite. (3) Pas surprenant, car « la tristesse et les déboires », pour reprendre les termes de Wikipédia, des laissés pour compte et des masses laborieuses, sous-payées et exploitées, sont universels, d’autant plus que la mondialisation crée « une masse de plus en plus nombreuse d’exclus, poussés à la violence et au repli identitaire » (4) sur son passage.


Mais, le blues ne s’est pas assis sur ses lauriers; il a aussi engendré d’autres genres musicaux dont on perçoit les racines blues si on les écoute bien. Le rock en est d’ailleurs issu (5), mais des rockeurs ont aussi composé et chanté du blues par la suite. Les ponts ne sont pas coupés, loin de là, entre ces genres musicaux.


Au Québec on peut penser à « Offenbach » avec « Mes blues passent plus dans porte » et « Câline de blues » pour ne nommer que ces deux-là. Si Eric Clapton a fait des albums purement blues, on trouve aussi des blues dans Led Zeppelin et les Rolling Stones. Suffit d’un peu d’oreille et d’avoir une connaissance de base du blues pour les trouver.


Il en va de même des chants d’esclaves. Une fois l’esclavage terminé, les gagnepetits, les travailleurs des champs et de manufactures par exemple, ont certainement continué à les chanter. Qu’il y ai eu des canadiens-français et de leurs descendants parmi eux ne serait pas si surprenant non plus, car :


« Entre 1850 et 1920, ils ont été un million à quitter le Québec pour la Nouvelle-Angleterre afin de profiter de la prospérité américaine. Leur apport à l'industrialisation américaine est grand. Pourtant, même s'ils constituaient une main-d'œuvre à bon marché, en particulier dans les grandes usines de textile, ces nouveaux venus qui ne partageaient ni la même langue ni la même religion n'étaient pas tout à fait les bienvenus. » (6)


Qu’ils aient été relégués au bas de l’échelle ne serait pas surprenant, car même ici, malgré qu’ils constituaient la majorité au Québec, le Pouvoir économique était dans les mains des anglophones. Ne parlait-on pas de « Nègre blancs d’Amérique » (7) et ne se faisait-on pas dire « speak white » (8) il n’y a pas si longtemps encore? Tout ça parce que nous ne parlions pas anglais. (9)



Alors, s’identifier au blues et faire un spectacle sur les chants d’esclaves noirs (10) n’est peut-être pas si surprenant que cela, connaissant notre histoire et notre culture de minorité francophone en Amérique du Nord. L’exemple du Zydeco nous éclaire peut-être à ce sujet. (11)


De se faire traiter de « Racist » en anglais aujourd’hui est alors un paradoxe contrintuitif, puisque basé sur la langue du conquérant politique et économique ! Justement le même maitre que ces noirs dénoncent aujourd’hui, mais dans sa langue alors que nous essayons de conserver la nôtre comme signe de résistance à l’État-unisation culturelle. Que dire de plus?


Maintenant, parlons de ce blues que j’ai vu. Ayant des choses à faire, je n’ai été que 4 soirs au Festival de jazz cette année. J’ai choisi d’aller voir des gens que je ne connaissais pas et j’ai aimé mes découvertes. Les voici.


2018-07-07 : Mike Malone Alias Orb Mellon



On revient aux bases du blues : guitare, musique à bouche et podorythmie (taper du pied). Ne manquait que le feu de camp.


Nous avons eu droit à des airs de Mississippi blues... D'ailleurs, une de ses chansons s'intitule « Aberdeen Mississippi Blues ». Voir https://www.youtube.com/watch?v=pYoSIcWc6d0



Page : www.orbmellon.com



2018-07-06 : Layla Zoe


Blues électrique avec parfois du funk. Les cultures, ça fait parfois des échanges et des emprunts pour se bonifier ! C'est comme ça qu’elles s'étendent et nous enrichissent par le fait même.


On a eu droit à du blues-balade, plus doux et langoureux, mais aussi à du blues rock où on entendait parfaitement la musique rouler !



Un peu théâtrale... on pouvait parfois penser à Diane Dufresne, sans les costumes, dans l’expression. Mais, elle n’atteignait pas le niveau de la diva, qui fut maitresse ès art du domaine. En fait, peu peuvent prétendre l’atteindre, surtout si on considère le peu de moyens qu’elle avait à l’époque comparé à aujourd’hui. Rendons à Diane ce qui est à Dufresne !


Page : http://layla.ca/



2018-07-05: Conor Gaines


Belle découverte, électroacoustique énergique, avec le petit plus de la trompette et du saxophone ! Ça donnait un air plus jazzy à ce blues.


Page : www.conorgainsband.com



208-07-04: Dwayne Dixon


Bon spectacle, mais foule réduite. À cause de la période de canicule?


La « bass guitar » nous rentrait dedans !


Page : http://dwanedixon.com/




Notes


1. Ici un mot que j’ai mis en commentaire à un texte de Richard Martineau qui explique de façon ironique le problème que je vois autour de cette question de l’appropriation culturelle dans une société qui défend pourtant le multiculturalisme ! Par contre, je le répète, il y a peut-être eu un manque de sensibilité :


Tous de la même espèce, tous égaux ! (Michel Handfield, Facebook, 2018-07-04, corrigé ici)


Et, pourquoi ne pas interdire aux noirs d'avoir une voiture ou un fusil, une invention de blancs, au nom de l'appropriation culturelle? À courte vue la question se pose, mais scientifiquement, l'origine de l'homme moderne venant d'Afrique, les chants africains ne viennent-ils pas chercher quelque chose dans nos gênes?


Voir https://fr.wikipedia.org/wiki/Origine_africaine_de_l%27homme_moderne




Bref, comment dire qu'on est tous des humains, tous de la même espèce, tous égaux, et que le racisme est culturel pour ensuite se segmenter au nom d'un nouvel antiracisme qui remet des barrières entre nous? J'ai comme un malaise, moi qui fais partie d'un groupe victime de discrimination encore aujourd'hui, sans distinction de race, de langue ou de couleur de peau : LES GAUCHERS, LA VRAIE GAUCHE ! Voir, entre autres:


https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/797549/journee-internationale-gauchers-objet-pour-droitiers-irritants



C’était mon mot au sujet du texte de Richard Martineau, Question au Festival de jazz , journaldemontreal.com, 4 juillet 2018 :

www.journaldemontreal.com/2018/07/04/question-au-festival-de-jazz



2. https://fr.wikipedia.org/wiki/Blues



3. Je pense ici à « KulanJan » de Taj Mahal et Toumani Diabate, qui explore le lien entre le blues et la musique traditionnelle du Mali. (Tad. Libre de « KulanJan explore the common ground between the blues and the great musical traditions of Western Mali. » tel qu’écrit dans le livret accompagnant ce CD, Hannibald Records, 1444)


On peut aussi penser à El Kady, Saudade blues (95002-2 Hibiscus Records), mi-blues, mi-musique du monde, car le blues est adapté pour ne pas dire adopté à différents endroits sur la planète !


4. Bauman, Zygmunt, 1999, Le coût humain de la mondialisation, Paris: Hachette Pluriel


5. Il faut écouter l’album double « The chess blues-rock songbook » du 50e anniversaire de « Chess records » pour le comprendre. Il faut redécouvrir des titres comme « Roll over Beethoven » de Chuck Berry par exemple, reprit par les Beatles et Electric Light Orchestra plus tard. MCA/Chess CHD2-9389.




6. Jean-Michel Leprince, Les Franco-Américains du Maine, une histoire à se réapproprier, Radio-Canada.ca / ZONE LIBRE, diffusion le 7 septembre 2001 : http://ici.radio-canada.ca/actualite/zonelibre/01-09/franco.html



7. https://fr.wikipedia.org/wiki/N%C3%A8gres_blancs_d%27Am%C3%A9rique



8. https://fr.wikipedia.org/wiki/Speak_white



9. En 2008, j’avais postulé pour un poste d’aide en bibliothèque à la Ville de Montréal, qui ne demandait qu’un secondaire 5 (j’ai un bac et une maîtrise en sociologie !), et une des raisons pour lesquelles je n’ai pas été retenu était que mon anglais n’était pas assez fluide. Avec la pratique ce serait venu, mais on n’a pas le temps pour ce genre de chose. Pourtant, on dit que Montréal est la plus grande ville francophone d’Amérique. Me semble qu’un encouragement serait de ne pas défavoriser le français dans l’embauche au profit de l’anglais, surtout que « Les francophones du Québec représentent 19,5 % de la population canadienne » (https://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9mographie_linguistique_du_Qu%C3%A9bec#Les_francophones), mais, par un renversement de situation, on est considéré comme une majorité provinciale ! Par contre, on est minoritaire au plan national et continental et le français semble en régression dans le monde au profit de l’anglais. Il y a quelques nuances sur ce point selon les sites consultés, mais cela n’a pas empêché Airbus de présenter ses nouveaux A220, la C Series de Bombardier, en anglais au siège social du géant européen à Toulouse (France) ! (Sylvain Larocque / Agence QMI, Airbus s’approprie la C Series... et en anglais, 11 juillet 2018, tvanouvelles.ca : www.tvanouvelles.ca/2018/07/11/airbus-sapproprie-la-c-series-et-en-anglais)



10. Je comprends par contre que certains groupes revendiquent une certaine souffrance historique pour faire parler de leurs doléances légitimes, mais la question de l’esclavage est beaucoup plus complexe que ce qu’en disent ces militants et ne se limite pas qu’aux Afro-Américains :


« On trouve en effet des esclaves depuis le Code d’Hammourabi (1750 av. J.-C.) jusqu’à nos jours. Certaines formes d’esclavage se pratiquant toujours, comme l’ont récemment illustré les images tournées par CNN en Libye. »


(…)


« La démonstration de l’anthropologue [Alain Testart] met évidemment à mal la thèse à la mode d’un esclavage essentiellement fondé sur le racisme. Le XVIe siècle raisonne encore en termes religieux, écrit-il. Pas à partir des distinctions de races ou de couleurs ! »



On apprend même que « l’esclavage était là-bas [en Afrique] une réalité familière. Un endetté pouvait être réduit en esclavage, et l’on y vendait ses enfants. »



Il y aurait donc beaucoup à faire en Afrique aussi pour ces groupes contre l’esclavage. Beaucoup plus qu’à Montréal peut-être, puisque l’esclavage existe toujours dans certains coins de l’Afrique (la Libye) tel que rapporté dans cet article de Christian Rioux, Le bon sauvage, ledevoir.com, 18 mai 2018 : https://www.ledevoir.com/opinion/chroniques/528066/le-bon-sauvage. Ce texte de Rioux parle de la réédition de l’ouvrage d’Alain Testart, L’institution de l’esclavage, Bibliothèque des sciences humaines, Gallimard : www.gallimard.fr/Catalogue/GALLIMARD/Bibliotheque-des-Sciences-humaines/L-institution-de-l-esclavage.



Par contre, que leurs gestes attirent notre attention sur certaines discriminations intrinsèques qu’on ne voit même pas (la facilité de travailler avec qui l’on connait, ceux qui partagent les mêmes affinités et valeurs que nous, les amis et bonnes connaissances, bref les gens de nos réseaux) et qui empêchent d’élargir nos horizons et les manquements à l’enseignement de l’histoire, non seulement pour les blancs, mais pour tous, est un plus, car parfois on idéalise ou on diminue certains groupes sans nuances pour se victimiser ou se montrer supérieur, plus pur et plus méritant que l’autre. Mais, si l’on gratte, l’on peut apprendre des choses surprenantes :


« Au passage, Alain Testart s’appuie sur les riches travaux de l’anthropologue québécois Roland Viau, qui a bien connu les Mohawks de Kahnawake. Ils montrent que les Iroquois pratiquaient l’esclavage, et non pas seulement l’adoption des prisonniers comme on l’avait cru. Au début de la colonisation, les Iroquois, qui sont déjà inscrits dans un réseau complexe d’alliances et de commerce, vendront des esclaves aux Hollandais, aux Anglais et aux Français. Chez les Illinois, ce trafic prendra une grande importance. On a même retrouvé des esclaves noirs chez les Creeks d’Alabama. » (Christian Rioux, Ibid)



Bref, il faut toujours faire attention pour ne pas mettre le doigt entre l’Histoire, le révisionnisme historique et la pureté originelle pour des motifs idéologiques, politiques, revendicatifs et vindicatifs ! Cela rend parfois le dialogue impossible, butant sur des croyances et des mythes qui marquent une vision arrêtée du monde et des façons d’agir qui ne peuvent être dépassées ou surmontées. Aucun compromis ni aucun point de rencontre n’est alors possible. C'est une fin de non-recevoir.




11. « Proche de la musique traditionnelle cajun (ou Cadienne) il a puisé dans les racines du blues et du Rhythm ‘n’ Blues. Le zydeco est systématiquement associé à l’accordéon et souvent à la langue française (difficilement compréhensible pour un français). Le terme « zydeco » serait une mauvaise compréhension d’une chanson traditionnelle : Zarico son pa salee (les haricots son pas salés). » (La rédaction, La musique de la Nouvelle-Orléans (Jazz, Blues, Cajun, Ragtime, Zydeco…), courrierdefloride.com, Sep. 3rd, 2016 : http://courrierdefloride.com/2016/09/03/musique-de-nouvelle-orleans-jazz-blues-cajun-ragtime-zydeco/)



Pour un exemple : Zydeco, Multi-interprètes/Blues, Sortie 18 déc. 2012, X5 Music Group. On peut le trouver sur Apple Music.




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Google contre WikiLeaks. La rencontre choc de deux monstres d’Internet.


D.I., Delinkan Intellectuel, revue d'actualité et de culture, Vol. 20 no 05, Livres : www.societascriticus.com


Reçu le 2018-07-03


En juin 2011, Julian Assange reçoit un visiteur inhabituel dans sa petite maison de campagne anglaise en résidence surveillée de Ellingham Hall : le président de Google en personne, Eric Schmidt, venu tout droit de la Silicon Valley.


Le général assiégé de WikiLeaks, la plus audacieuse entreprise d’édition insurrectionnelle connue à ce jour, et l’empereur d’Internet vont croiser le fer : du Printemps arabe aux bitcoins, et des solutions technologiques aux problèmes politiques, tout les oppose. La collision Assange/Schmidt déferlera sur le rôle, le pouvoir et le contrôle de la Toile, la « colonisation digitale » de Google, ses relations avec le gouvernement américain et ses répercussions sur la vie privée, la surveillance de masse et la liberté d’expression. Enregistré sur magnétophone, Eric Schmidt ignorait que Julian Assange ferait un jour un livre de leur confrontation.


Google contre WikiLeaks est l’histoire de l’affrontement entre Schmidt et Assange, et tente de répondre à cette lancinante question : qui a réellement rendu visite à Julian Assange ce jour-là Fascinant et inquiétant, il contient la transcription intégrale de leur face-à-face et des textes additionnels écrits par Assange pour l’occasion, offrant la meilleure source disponible sur sa vision de l’avenir de l’Internet.



Julian Assange est né en 1971 sur l’île Magnétique en Australie. Informaticien et cybermilitant, il est le fondateur et le porte-parole de WikiLeaks. Inscrit sur la liste des personnes les plus recherchées des États-Unis, il vit réfugié à l’ambassade d’Equateur à Londres depuis juin 2012.


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