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Nathalie Lewis

Rédactrice

Docteur en sociologie, Professeure régulier, Département Sociétés, territoires et développement de l’Université du Québec à Rimouski (Québec, Canada), chercheure au GRIDEQ et au Centre de recherche sur le développement territorial (CRDT), chercheure à la Chaire de recherche sur la forêt habitée et co-responsable de l’axe Ressources naturelles, développement territorial durable et coopération de l’Alliance de recherche Université-Communauté (ARUC) Développement territorial et coopération.

Nathalie Lewis

Depuis 1993, Nathalie Lewis s’intéresse aux dynamiques sociales entre les sociétés locales et les ressources naturelles, particulièrement en milieu rural sur les questions forestières et de ressources partagées. D’un point de vue théorique, elle s’intéresse à la question du patrimoine naturel et à la gestion des biens communs ainsi qu’aux questions de justice environnementale.

Après une thèse (La gestion intégrée de l’eau en France…) en sociologie à l’Université d’Orléans (France) sous la direction de Jean-Paul Deléage soutenue en 2001 et un passage (2002-2006) à titre de chargée de recherche comme sociologue au Cemagref de Bordeaux, institut de recherche publique, elle est aujourd’hui professeure à l’Université du Québec à Rimouski.

Au sein du Cemagref, Madame Lewis s’est, entre autres, intéressée au lien forêt et société. À ce titre, elle a coordonné (2002-2008) une enquête nationale financée par l’Office national des forêts (ONF) de France sur le lien forêt et société, Identification et compréhension des attentes sociales vis-à-vis de la forêt publique et contribution au bilan patrimonial de la forêt domaniale. En parallèle, elle a joint des travaux sur la biodiversité forestière et le bois mort (2005-2006) et fut membre du réseau européen Cost E-33 Forest Recreation and Nature Tourism, à titre de représentante des forêts publiques françaises.

Depuis janvier 2006, Nathalie Lewis est professeure de sociologie à l’UQAR elle poursuit ses travaux de réflexion sur la patrimonialisation de l’environnement et l’impact de cette nouvelle « injonction » sur les habitants. À titre d’enseignante en Développement social et analyse des problèmes sociaux (BA) ainsi qu’en Développement régional et territorial (Maîtrise et doctorat), elle s’intéresse particulièrement aux liens réels entre les communautés (humaines) locales et l’environnement qui les entoure. Des travaux de recherche sont lancés à cet effet sur le territoire du Bas-Saint-Laurent et de la Gaspésie. Dans cet esprit, elle est co-responsable de l’axe Ressources naturelles, développement territorial durable et coopération de l’Alliance de recherche Université-Communauté (ARUC) Développement territorial et coopération.