Hicham Adra a ouvert la réunion et souhaité la bienvenue aux participants. Les membres ont été informés que TPSGC a un nouveau sous-ministre, George Da Pont, et que Lisa Campbell est la nouvelle sous-ministre adjointe de la Direction générale des approvisionnements. Les membres ont approuvé la version préliminaire du cadre de référence distribué avant la réunion et ont convenu que la prochaine réunion, qui aura lieu au début du mois de juin pour éviter la période des vacances d’été, tiendrait lieu de la réunion en personne pour cette année. À la suite de la discussion lors de la dernière réunion, Claire a fait une rapide mise à jour sur le cadre d’intégrité, a remercié les membres pour leur franchise au cours de la discussion et a réaffirmé la volonté du gouvernement de nous consulter, même si elle n’a pas pu confirmer le moment.
Normand Masse, directeur général du Secteur de la gestion de l’approvisionnement en services et en technologies, a fourni une mise à jour sur les progrès accomplis par le sous-comité, notamment la création d’un groupe de chefs de file pour traiter chacun des sept problèmes prioritaires identifiés à partir d’une liste détaillée des principales préoccupations exprimées par les fournisseurs. Il a expliqué que le groupe recherchait des mesures à effet rapide et que la modernisation prochaine de divers outils pourrait être une occasion d’appliquer quelques solutions. En outre, il a expliqué que le dialogue entamé entre le secteur industriel et les chefs de file du gouvernement responsables de chacun des outils d’achat constituait déjà un progrès en soi. À la question concernant le calendrier et les résultats particuliers, il a précisé que la prochaine réunion serait axée sur des solutions, et les membres du sous-comité présents ont fait écho à son explication que certains problèmes figurant sur la liste seront plus faciles à résoudre que d’autres, et que certains étant des problèmes de longue date nécessiteront des solutions complexes. Les membres ont souligné qu’ils étaient réalistes dans leurs attentes. Il a été remarqué que les problèmes se retrouvaient dans les conclusions tirées de la récente consultation menée auprès des fournisseurs. Les coprésidents ont proposé une approche de gestion de projet pour faire le suivi des progrès accomplis par rapport aux divers problèmes, et qu’une telle approche pourrait également être appliquée à d’autres travaux du sous-comité.
Sylvie Girard, directrice générale intérimaire du Secteur de la politique, risque, intégrité et gestion stratégique, a expliqué que la discussion au sujet de l’approche proposée sera reportée afin de donner au sous-comité la possibilité de discuter de la proposition ainsi que d’accommoder un membre intéressé qui ne pouvait pas participer à la téléconférence. Dans l’intervalle, Sylvie a confirmé que les Services partagés Canada (SPC) et le Secrétariat du Conseil du Trésor (SCT) s’étaient mis d’accord concernant la participation, les SPC devenant un membre à part entière du sous-comité. Le sous-comité tiendra une réunion au mois de mars, au cours de laquelle Sylvie estime qu’ils pourront examiner les pratiques en matière de gestion des risques (et les incompatibilités potentielles dans son application) et déterminer les sources d’irritation les plus courantes. Ce groupe participera également à l’examen des groupes de biens et de services. D’ici au mois de juin, Sylvie s’est engagée à ce que la liste des irritants soit définie et éventuellement quelques recommandations, comme certaines seraient plus faciles à donner suite que d’autres. Les membres présents ont convenu que ce travail semble avancer dans la bonne direction.
Claire a commencé en expliquant la différence entre les deux initiatives de consultation : l’étude du Bureau des petites et moyennes entreprises (BPME) sur la participation des PME, une activité menée régulièrement pour consulter les fournisseurs sur les services qu’offre le BPME et les obstacles auxquels ils font face; et l’initiative de consultation auprès des fournisseurs menée en novembre 2014, qui visait à obtenir directement les commentaires des fournisseurs sur la façon d’améliorer le processus d’approvisionnement. Elle a indiqué qu’un plan d’action était en train d’être élaboré pour donner suite aux conclusions de l’initiative de consultation. Elle a exprimé l’engagement de TPSGC de prendre des mesures en fonction de ce qui a été entendu et de faire appel aux fournisseurs pour s’assurer que les mesures prises correspondent aux besoins et sont réalistes. Lynn Ménard a présenté un diaporama résumant les commentaires et suggestions des fournisseurs recueillis à la suite de l’initiative de consultation. Les membres ont exprimé une très grande satisfaction à l’égard du résumé, indiquant que celui-ci était très représentatif des commentaires qu’ils reçoivent de leurs membres, se concentrant sur des choses comme les achats stratégiques et l’innovation. En ce qui concerne l’étude sur la participation des PME, Lynn a expliqué que l’ébauche du questionnaire a été partagée avec les membres en janvier et quelques-uns se sont engagés à envoyer leurs commentaires et à discuter de la manière d’accroitre la portée du BPME pour s’assurer que les fournisseurs et les non-fournisseurs participent au sondage. Les membres ont fait des suggestions à propos d’explorer des moyens non conventionnels d’atteindre ces groupes et d’accroitre la portée par le bouche-à-oreille. Il a été également suggéré de vérifier avec les SPC, qui entreprennent également une étude socioéconomique auprès des PME.
L’ordre du jour de la prochaine réunion inclura : une discussion sur le sous-comité de la gestion des risques, une mise à jour sur la transformation du Programme des approvisionnements (y compris la transformation numérique), et une nouvelle mise à jour sur les consultations auprès des fournisseurs qui sont en cours. Les membres peuvent également communiquer avec Hicham Adra s’ils ont des points supplémentaires à inscrire à l’ordre du jour.
Le secrétariat du CCF communiquera avec les membres au sujet d’un certain nombre de questions administratives, notamment à savoir si leur bureau est équipé d’un système de vidéoconférence et possiblement l’élaboration d’un programme d’activités à long terme.
La prochaine réunion aura lieu au début de juin 2015.