L'utilisation d'une police à espacement constant, comme Courier, améliore l'affichage. ** Contenu du QUOTIDIEN aujourd'hui ** Fichier PDF téléchargeable : http://www.statcan.ca/Daily/Francais/040325/q040325.pdf Site Web : http://www.statcan.ca/Daily/Francais/040325/tq040325.htm 04 03 25 08 30 Le jeudi 25 mars 2004. Diffusé à 8 h 30, heure de l'Est COMMUNIQUÉS PRINCIPAUX Comptes du bilan national, quatrième trimestre de 2003 La valeur nette nationale a progressé à un rythme plus élevé au quatrième trimestre, atteignant 124 700 $ par habitant. Cette progression est attribuable à une nouvelle baisse de la dette extérieure nette et à une hausse du patrimoine national. En chiffres annuels, le patrimoine national a augmenté de 4,9 %, et de 7,1 % si l'on tient compte de la hausse de la valeur des ressources naturelles. Étude : Taux de mises à pied permanentes, 1983 à 1999 Contrairement à la perception populaire, la majeure partie des travailleurs n'étaient pas plus susceptibles de perdre leur emploi dans les années 1990 que leurs homologues dans les années 1980. Toutefois, les entreprises ont embauché beaucoup moins de travailleurs dans les années 1990. Par conséquent, la probabilité pour un travailleur de trouver un nouvel emploi à la suite d'une mise à pied a chuté considérablement. AUTRES COMMUNIQUÉS Étude : Dollar et termes internationaux de l'échange, 2003 Services de conseils en gestion et de conseils scientifiques et techniques, 2002 Tableaux thématiques et guides de l'utilisateur du recensement, 2001 Stocks de viandes froides et congelées, mars 2004 PRODUIT EN VEDETTE L'Observateur économique canadien, mars 2004 NOUVEAUX PRODUITS -------------------------------------------------------------------------------- Comptes du bilan national Quatrième trimestre de 2003    La valeur nette nationale a atteint 4,0 billions de dollars à la fin du quatrième trimestre de 2003, soit 124 700 $ par habitant, comparativement à 123 000 $ au troisième trimestre. La progression de la valeur nette nationale est attribuable à la diminution de la dette extérieure nette et à la croissance soutenue du patrimoine national    La valeur nette nationale s'est accrue de 1,6 % (taux désaisonnalisé) au quatrième trimestre, un taux plus élevé qu'au trimestre précédent. Un des facteurs clés a été la diminution de la dette extérieure nette, la dette des non-résidents envers les Canadiens ayant augmenté à un taux considérablement plus élevé que la dette des Canadiens envers les non-résidents.    La baisse de la dette extérieure nette au quatrième trimestre découle en grande partie de l'augmentation importante des actifs en investissements directs canadiens à l'étranger. La baisse enregistrée au troisième trimestre tenait pour sa part à la vente d'obligations canadiennes (passifs) par les non-résidents. Ajoutons que ces baisses font suite à des hausses significatives de la dette extérieure nette durant les deux premiers trimestres de l'année, hausse attribuable à l'appréciation de notre monnaie durant cette période. ______________________________________________________________________ Note aux lecteurs    Les comptes du bilan national regroupent les bilans des divers secteurs de l'économie. Ils se composent des actifs non financiers dans les divers secteurs de l'économie et de l'encours des engagements financiers. Le patrimoine national est la somme des actifs non financiers, soit les actifs produits, les terrains entourant les bâtiments et les terres agricoles, de tous les secteurs de l'économie. La valeur nette nationale est le patrimoine moins la dette extérieure nette (l'endettement envers les non-résidents moins la dette de ces derniers à notre égard - le bilan des investissements internationaux du Canada). Elle représente également la somme de la valeur nette des particuliers, des sociétés et des administrations publiques.    Les séries trimestrielles disponibles remontent au premier trimestre de 1990. Pour le moment, seules certaines séries sont offertes sur une base désaisonnalisée. Le texte présente des données qui ne sont pas ajustées pour tenir compte des variations saisonnières, à moins d'avis contraire.    Les données relatives aux investissements canadiens dans des titres négociables étrangers (investissements à l'étranger) peuvent, dans le cas de certains secteurs des investisseurs institutionnels, différer de celles provenant des enquêtes de Statistique Canada, en particulier pour les années récentes. Cette différence tient à l'écart de plus en plus marqué entre la valeur comptable des titres négociables étrangers détenus par des investisseurs canadiens et la valeur comptable sous-jacente des sociétés étrangères dont les actions sont détenues et négociées. Cette situation persistera au cours des prochains trimestres, car les Comptes du bilan national continueront d'être fondés sur le même concept que le Bilan des investissements internationaux en ce qui touche l'évaluation des investissements canadiens dans les titres de participation étrangers. Cependant, le problème sera réglé, car l'on passera, tant pour les Comptes du bilan national que pour le Bilan des investisseme! nts internationaux, à une méthode d'évaluation commune des titres négociables fondée sur leur valeur marchande.    Une mesure annuelle du patrimoine national incluant certaines ressources naturelles choisies est offerte dans CANSIM, tableau 378-0005. Les estimations des ressources naturelles sont mises à jour une fois par année, lors de la diffusion du quatrième trimestre. ______________________________________________________________________    La hausse du patrimoine national (+0,9 % au taux désaisonnalisé) a également contribué à la progression de la valeur nette nationale au quatrième trimestre. Par ailleurs, le taux de croissance des actifs non financiers s'est atténué au quatrième trimestre, découlant de la chute des dépenses de consommation en biens durables et d'un marché de la revente de biens résidentiels légèrement en baisse. La valeur nette des ménages augmente, mais on observe une hausse du fardeau de l'endettement    La valeur nette des ménages a progressé de 1,1 % (taux désaisonnalisé) comparativement à une hausse de 0,8 % au troisième trimestre, la croissance des actifs ayant légèrement dépassé celle des passifs.    La dette contractée par les ménages (crédit à la consommation et hypothèques) s'est élevée à 102,90 $ pour chaque 100 $ de revenu disponible, malgré une plus faible demande de fonds au quatrième trimestre. Toutefois, les bas taux d'intérêt au cours du trimestre ont eu des effets modérateurs sur la hausse du fardeau de l'endettement. Le fléchissement du niveau d'endettement des sociétés rend compte de la vigueur persistante des bénéfices non répartis    Les forts bénéfices non répartis ont continué de donner lieu à de bons résultats au chapitre des emprunts nets durant le trimestre, la situation financière des sociétés s'améliorant encore. Les sociétés dégagent des excédents et injectent des fonds dans l'économie depuis 13 trimestres consécutifs.    La baisse du niveau d'endettement a été particulièrement importante dans le cas des sociétés non financières privées au quatrième trimestre. La tendance à la baisse du ratio d'endettement, qui prévaut depuis longtemps, s'est poursuivie. Les revenus et les importantes émissions de titres de participation (y compris de la part des fiducies de revenu), qui reflètent entre autres la hausse des cours des actions, ont contribué au raffermissement de la situation financière des sociétés. L'endettement sur les marchés de crédit (les prêts, les obligations, les effets à court terme) a augmenté, en raison d'importantes émissions obligataires par les sociétés, ce qui a toutefois été contrebalancé en partie par l'incidence qu'a eue l'appréciation du dollar au niveau des emprunts libellés en dollars américains. Il convient de souligner que le ratio de la dette à court terme à la dette à long terme a poursuivi sa tendance à la baisse, tandis que la liquidité a continué de s'améliorer d! ans le secteur. La situation financière des administrations publiques s'est améliorée    La dette nette a diminué dans l'ensemble, que ce soit au niveau de l'administration fédérale ou de celles des provinces, reflétant les positions de surplus au niveau fédéral et de déficit au niveau des provinces. La dette nette des administrations publiques a diminué par rapport au produit intérieur brut, mais cette baisse a été plus marquée au niveau fédéral, à la suite de la réduction de 0,9 % de l'encours de la dette sur les marchés de crédit. Sommaire annuel, 2003 La situation financière des secteurs a fluctué, les ménages ayant perdu du terrain par rapport aux sociétés et aux administrations publiques    Les actifs des ménages ont connu une croissance moins rapide qu'en 2002, en raison d'un marché du logement moins vigoureux et d'une épargne plus faible. Ce fléchissement de l'épargne tient principalement à une plus faible hausse du revenu, ce qui s'est traduit par des emprunts soutenus et par une accumulation moins forte d'actifs financiers. L'accumulation d'actifs a également été freinée par les pertes sur placements libellés en devises étrangères des caisses de retraite et des fonds de placement, étant donné l'appréciation rapide du dollar canadien par rapport au dollar américain. L'endettement a augmenté à un rythme moins rapide que l'année précédente mais a néanmoins fait grimper encore à de nouveaux sommets le ratio d'endettement, compte tenu du ralentissement de la croissance du revenu. Le taux d'augmentation de la valeur nette des ménages (+3,2 %) a été plus bas qu'en 2002, où il atteignait 5,3 %.    La situation financière des sociétés s'est améliorée en 2003, en raison de la progression monumentale des bénéfices non répartis par rapport aux faibles taux d'acquisitions de capital non financier. Les résultats records ainsi obtenus au chapitre de l'emprunt net ont permis de raffermir encore les bilans, les capitaux propres continuant d'augmenter en proportion de la dette, de sorte que l'endettement des sociétés est descendu à des niveaux que l'on n'avait pas vus depuis les années 1970.    Pour l'ensemble des administrations publiques, l'augmentation des excédents, jumelée à la baisse de la valeur des emprunts libellés en devises étrangères, a conduit à une chute de la dette nette et à une hausse de la valeur nette. Le bilan national continue de s'améliorer, mais à un rythme plus lent qu'en 2002    Le fait de combiner le bilan des ménages, celui des sociétés et celui des administrations publiques offre une perspective plus vaste de l'économie. L'épargne nationale a augmenté plus lentement qu'en 2002, et les prix de différents actifs non financiers ont diminué durant l'année. Ces facteurs, conjugués à une hausse de la dette extérieure nette, ont fait descendre le taux de croissance de la valeur nette nationale à 4,6 %, comparativement à 6,4 % en 2002.    Le patrimoine national a augmenté de 4,9 % en 2003, contre 5,9 % en 2002. Le ralentissement a été particulièrement notable à l'égard de deux catégories d'actifs non financiers. Les gains moins marqués au regard des biens immobiliers résidentiels vont de pair avec un marché du logement dont le rythme de croissance, effréné en 2002, s'est ralenti quelque peu. Quant à la progression nettement moins forte des stocks de biens durables, elle découle d'une croissance plus lente des dépenses relatives à des articles coûteux. Ces dépenses ont fléchi particulièrement dans le cas des automobiles. Les actifs en ressources naturelles ont bondi en 2003    La valeur des actifs faisant partie d'une sélection de ressources naturelles (le bois d'oeuvre, l'énergie et les ressources minérales) a augmenté de 18,0 % en 2003 pour atteindre 778 milliards de dollars. La hausse est presque entièrement attribuable à l'augmentation de 37,8 % de la valeur des actifs énergétiques, ceux-ci représentant plus de la moitié du patrimoine constitué par les ressources naturelles. À cet égard, les prix plus élevés du gaz naturel ont constitué le facteur principal. La valeur des stocks de bois d'oeuvre, qui représentent près de 40 % des actifs de cette catégorie, a enregistré une hausse plus modeste (+3,5 %).    Le patrimoine national, calculé en incluant les ressources naturelles, soit une définition plus large, s'est accru de 6,8 %, comparativement à 4,7 % en 2002. Données stockées dans CANSIM : tableaux 378-0003 à 378-0008. Définitions, source de données et méthodes : numéro d'enquête 1806.    Le numéro du quatrième trimestre de 2003 des Comptes du bilan national (13-214-XIF, 23 $ / 49 $) est maintenant en vente. Voir Pour commander les produits.    Le numéro du quatrième trimestre de 2003 de La revue trimestrielle des comptes économiques canadiens, vol. 2, no 4 (13-010-XIF, gratuit) est maintenant accessible en ligne. À la page Nos produits et services, sous Parcourir les publications Internet choisissez Gratuites, puis Comptes nationaux.    On peut aussi se procurer l'ensemble complet des comptes du bilan national sur disquette dès 8 h 30 le jour de la diffusion. La disquette (13-214-DDB, 321 $ / 1 284 $) est aussi en vente, à prix réduit (13-214-XDB, 65 $ / 257 $), sept jours ouvrables après la parution officielle. Pour acheter ces produits, communiquez avec l'agent des Services à la clientèle au (613) 951-3810 (iead-info-dcrd@statcan.ca), Division des revenus et dépenses.    Pour plus de renseignements ou pour en savoir davantage sur les concepts, les méthodes et la qualité des données, communiquez avec l'agent d'information au (613) 951-3640, Division des comptes des revenus et dépenses. -------------------------------------------------------------------------------- Tableau : Comptes du bilan national(1) _______________________________________________________________________________ Troisième Quatrième Premier trimestre de trimestre de trimestre de 2002 2002 2003 _______________________________________________________________________________ Valeur nette nationale données non données non données non désaisonnalisées désaisonnalisées désaisonnalisées ---------------- ---------------- ---------------- Patrimoine national 3 921 3 968 4 010 1,1 1,2 1,1 Dette nette extérieure -204 -184 -214 ... ... ... Valeur nette nationale 3 717 3 784 3 796 1,4 1,8 0,3 Valeur nette nationale par habitant (en dollars) 118 100 120 100 120 300 1,2 1,7 0,2 ---------------- ---------------- ---------------- Valeur nette données données données désaisonnalisées désaisonnalisées désaisonnalisées ---------------- ---------------- ---------------- Secteur des individuels 3 496 3 560 3 562 0,1 1,8 0,1 + Secteur des entreprises 429 431 438 7,3 0,5 1,6 + Secteur des administrations publiques -211 -207 -197 ... ... ... = Valeur nette nationale 3 713 3 784 3 803 1,2 1,9 0,5 _______________________________________________________________________________ _______________________________________________________________________________ Deuxième Troisième Quatrième trimestre de trimestre de trimestre de 2003 2003 2003 _______________________________________________________________________________ Valeur nette nationale données non données non données non désaisonnalisées désaisonnalisées désaisonnalisées ---------------- ---------------- ---------------- Patrimoine national 4 077 4 118 4 164 1,7 1,0 1,1 Dette nette extérieure -233 -219 -206 ... ... ... Valeur nette nationale 3 844 3 900 3 958 1,3 1,5 1,5 Valeur nette nationale par habitant (en dollars) 121 500 123 000 124 700 1,0 1,2 1,4 ---------------- ---------------- ---------------- Valeur nette données données données désaisonnalisées désaisonnalisées désaisonnalisées ---------------- ---------------- ---------------- Secteur des individuels 3 604 3 633 3 674 1,2 0,8 1,1 + Secteur des entreprises 431 438 448 -1,6 1,6 2,3 + Secteur des administrations publiques -185 -176 -165 ... ... ... = Valeur nette nationale 3 851 3 895 3 958 1,3 1,1 1,6 _______________________________________________________________________________ _____________________________________________________________ 2002 2003 _____________________________________________________________ Valeur nette nationale données non données non désaisonnalisées désaisonnalisées ---------------- ---------------- Patrimoine national 3 968 4 164 5,9 4,9 Dette nette extérieure -184 -206 ... ... Valeur nette nationale 3 784 3 958 6,4 4,6 Valeur nette nationale par habitant (en dollars) 120 100 124 700 5,4 3,8 ---------------- ---------------- Valeur nette données données désaisonnalisées désaisonnalisées ---------------- ---------------- Secteur des individuels 3 560 3 674 5,4 3,2 + Secteur des entreprises 431 448 5,6 3,9 + Secteur des administrations publiques -207 -165 ... ... = Valeur nette nationale 3 784 3 958 6,4 4,6 _____________________________________________________________ 1 La première ligne représente la série elle-même, exprimée en milliards de dollars. La deuxième ligne représente la variation d'un période à l'autre, en pourcentage. ... N'ayant pas lieu de figurer. -------------------------------------------------------------------------------- Étude : Taux de mises à pied permanentes 1983 à 1999    Contrairement à la perception populaire, la majeure partie des travailleurs n'étaient pas plus susceptibles de perdre leur emploi dans les années 1990 que leurs homologues dans les années 1980, selon une nouvelle étude.    Toutefois, les entreprises ont embauché beaucoup moins de travailleurs dans les années 1990. Par conséquent, la probabilité pour un travailleur de trouver un nouvel emploi à la suite d'une mise à pied a chuté considérablement.    Parmi les résultats clés de l'étude figure une baisse généralisée du nombre de travailleurs qui ont quitté leur emploi de façon permanente au cours des années 1980 et 1990. Cela est probablement le résultat, au moins en partie, de la diminution des taux d'embauche. En 1989, 9,2 % des travailleurs ont démissionné de leur emploi de façon permanente. Une décennie plus tard, cette proportion était de 7,3 %.    Étant donné que de nombreux employés n'étaient pas plus susceptibles de perdre leur emploi, mais ont choisi de travailler plus longtemps pour le même employeur, la stabilité d'emploi, mesurée par la durée complète moyenne d'emploi, s'est accrue entre les années 1980 et 1990.    L'ensemble de données servant à mesurer l'évolution des taux de mises à pied est le Fichier de données longitudinales sur la main-d'oeuvre créé par la Division de l'analyse des entreprises et du marché du travail de Statistique Canada. Il s'agit d'un échantillon aléatoire formé de 10 % de l'ensemble des travailleurs, qui permet l'examen des mises à pied pour des groupes démographiques détaillés, entre 1983 et 1999. Certains groupes de travailleurs ont vu leur probabilité de mise à pied augmenter    L'étude a permis de déterminer qu'en 1989, 5,9 % des employés au Canada ont perdu leur emploi de façon permanente. En 1999, qui a été une année comparable du point de vue de la situation du marché du travail, la proportion correspondante n'était pas plus élevée, se situant à 5,7 %.    Dans l'ensemble, les hommes et les femmes n'ont connu que peu de changements quant à leur probabilité d'être mis à pied de façon permanente. En 1989, 7,7 % des employés de sexe masculin ont perdu leur emploi de façon permanente, comparativement à 7,5 % en 1999. Les chiffres correspondants pour les femmes sont de 3,8 % et de 3,9 % respectivement. ______________________________________________________________________ Note aux lecteurs    Le présent communiqué est fondé sur un document de recherche intitulé «Les taux de mises à pied permanentes ont-ils augmenté au Canada?», qui paraît aujourd'hui.    Les mises à pied permanentes se produisent lorsque les travailleurs ne retournent pas travailler pour le même employeur au cours de la même année ou l'année suivante. Le concept de mises à pied permanentes ne s'applique qu'aux travailleurs employés, et non aux travailleurs indépendants. Entre 1983 et 1999, les employés ont représenté de 83 % à 86 % de l'emploi total.    Dans le présent communiqué, les grandes entreprises sont celles qui comptent 500 employés ou plus, tandis que les petites entreprises sont celles qui comptent moins de 20 employés.    On compare les taux de mises à pied permanentes de 1989 à ceux de 1999. En 1999, le taux de chômage était de 7,6 %, soit presque identique à ceux de 7,5 % en 1989 et de 7,4 % en février 2004. ______________________________________________________________________    Même si les taux de mises à pied permanentes n'ont pas connu de tendance à la hausse, certains groupes de travailleurs ont vu leur probabilité de mise à pied augmenter.    Deux groupes, soit les hommes âgés de 55 à 64 ans et les femmes âgées de 35 à 44 ans, ont connu une hausse de leurs taux de mises à pied permanentes. Les taux pour ce groupe d'hommes sont passés de 7,4 % en 1989 à 8,1 % en 1999, tandis que les taux à l'intérieur de ce groupe de femmes sont passés de 3,2 % à 3,7 %.    Toutefois, pour tous les autres hommes et femmes, les taux de mises à pied permanentes ont diminué ou n'ont augmenté que légèrement. Risque accru de perte d'emploi dans les grandes entreprises    La probabilité de mise à pied permanente a aussi augmenté dans les grandes entreprises du secteur privé, c'est-à-dire celles comptant 500 employés ou plus. En 1989, 3,3 % des hommes et 1,9 % des femmes travaillant dans ces entreprises ont perdu leur emploi de façon permanente. Les proportions correspondantes ont été de 4,0 % et de 2,5 % en 1999. Par contre, dans les petites entreprises, les taux de mises à pied permanentes ont diminué ou n'ont que peu varié.    Même si les pertes d'emploi n'ont pas augmenté de façon marquée chez les petits employeurs, les hommes et les femmes travaillant dans des petites entreprises en 1999, c'est-à-dire dans celles comptant moins de 20 employés, ont connu des taux de mises à pied permanentes de 12,8 % et de 7,3 % respectivement. C'est donc dire qu'ils étaient presque trois fois plus susceptibles de perdre leur emploi que leurs homologues travaillant dans des grandes entreprises.    Les taux de mises à pied permanentes ont évolué différemment selon la branche d'activité. Les entreprises du secteur de la fabrication, de la construction et des industries primaires n'ont pas vu leurs taux de mises à pied augmenter durant les années 1990, contrairement aux entreprises des services aux entreprises et des services de distribution. Diminution de la probabilité de trouver un emploi à la suite d'une mise à pied    Étant donné que la sécurité d'emploi est fonction de la probabilité pour un travailleur de trouver un nouvel emploi à la suite d'une mise à pied, ainsi que du risque de perdre son emploi, l'étude a aussi examiné l'évolution des taux d'embauche au cours des deux dernières décennies.    Même si la probabilité pour un travailleur de perdre son emploi n'a pas augmenté de façon substantielle au cours des années 1990, sa probabilité de trouver un nouvel emploi à la suite d'une mise à pied, du point de vue des taux d'embauche, a chuté considérablement.    De 1985 à 1989, 25 % des emplois existants au cours d'une année donnée ont été comblés par des employés nouvellement embauchés, c'est-à-dire par des personnes qui ne travaillaient pas pour l'entreprise l'année précédente. Ce taux d'embauche est passé à 21 % entre 1995 et 1999.    Les taux d'embauche ont fléchi de façon bien plus marquée dans les petites entreprises que dans les grandes. Dans les petites entreprises, les taux d'embauche ont diminué de 23 % entre le milieu des années 1980 et le milieu des années 1990. En revanche, ils n'ont diminué que de 4 % dans les grandes entreprises.    La diminution des taux d'embauche n'a pas été uniforme dans les différents groupes d'âge des travailleurs. Les hommes et les femmes âgés de 25 à 34 ans ont enregistré un repli des taux moyens d'embauche d'au moins 15 % entre ces deux périodes. Toutefois, les hommes âgés de 45 à 54 ans ont vu leurs taux d'embauche augmenter de 10 %. Les employés conservent leur emploi plus longtemps    Étant donné que les entreprises ont embauché moins de travailleurs, les employés ont quitté leur emploi beaucoup mois souvent. La baisse dans les taux de démission a été généralisée. Les hommes et les femmes de tous les groupes d'âge ont quitté leur emploi moins fréquemment au cours des années 1990. Chez les hommes, les taux sont passés de 8,9 % en 1989 à 7,2 % en 1999, et chez les femmes, de 9,6 % à 7,4 %.    Étant donné que les travailleurs plus âgés quittent généralement leur emploi moins fréquemment que leurs homologues plus jeunes, une part de cette baisse des taux de démission est probablement attribuable au vieillissement de la main-d'oeuvre.    Toutefois, l'étude a déterminé que même lorsque l'on tient compte de l'effet de l'âge, parmi d'autres facteurs, on voit que les travailleurs âgés de 35 ans et plus ont réduit leur propension à démissionner de 0,5 point à 1,3 point, soit au moins 16 % en termes relatifs.    Le document de recherche Les taux de mises à pied permanentes ont-ils augmenté au Canada? (11F0019MIF2004218, gratuit) est maintenant accessible en ligne. À partir de la page d'accueil sélectionnez Études, sous Parcourir les périodiques et les séries analytiques, choisissez Gratuits et payants, puis, sous Séries, sélectionnez direction des études analytiques. Une version abrégée de ce rapport sera incluse demain dans L'emploi et le revenu en perspective.    Pour plus de renseignements ou pour en savoir davantage sur les concepts, les méthodes et la qualité des données, communiquez avec René Morissette au (613) 951-3608, Division de l'analyse des entreprises et du marché du travail.     -------------------------------------------------------------------------------- Tableau : Taux de mises à pied permanentes au Canada, selon certaines caractéristiques(1) 1989 à 1999 _________________________________________________ 1989 1999 _________________________________________________ % % ---------- ---------- Ensemble des employés 5,9 5,7 Hommes 7,7 7,5 Femmes 3,8 3,9 Hommes de 15 à 24 ans 8,3 7,6 Hommes de 25 à 34 ans 8,1 7,8 Hommes de 35 à 44 ans 7,1 7,3 Hommes de 45 à 54 ans 6,7 7,0 Hommes de 55 à 64 ans 7,4 8,1 Femmes de 15 à 24 ans 4,3 4,3 Femmes de 25 à 34 ans 4,0 4,2 Femmes de 35 à 44 ans 3,2 3,7 Femmes de 45 à 54 ans 3,1 3,3 Femmes de 55 à 64 ans 3,5 3,6 Par province Terre-Neuve-et-Labrador 15,8 18,0 Île-du-Price-Édouard 12,2 14,3 Nouvelle-Écosse 8,2 8,7 Nouveau-Brunswick 11,4 11,2 Québec 7,3 6,5 Ontario 3,9 3,9 Manitoba 4,4 4,4 Saskatchewan 5,7 5,5 Alberta 6,1 5,9 Colombie-Britannique 7,2 6,7 Par secteur d'activité Construction et industries primaires 20,5 20,0 Fabrication 5,9 5,4 Services de distribution 4,2 4,8 Services aux entreprises 4,2 5,1 Services aux consommateurs 4,4 4,7 Services publics 2,0 2,3 Par taille d'entreprise : secteur privé Hommes de 15 à 64 ans 1 à 19 employés 13,4 12,8 20 à 99 employés 10,2 9,5 100 à 499 employés 9,1 7,6 500 employés ou plus 3,3 4,0 Femmes de 15 à 64 ans 1 à 19 employés 7,5 7,3 20 à 99 employés 4,9 5,1 100 à 499 employés 3,9 3,8 500 employés ou plus 1,9 2,5 _________________________________________________ 1 Emplois donnant lieu à une rémunération d'au moins 500 $ en dollars constants de 1989 (ou 621 $ en dollars constants de 1999). -------------------------------------------------------------------------------- Étude : Dollar et termes internationaux de l'échange 2003    La forte appréciation du dollar canadien par rapport au dollar américain l'an dernier a presque immédiatement touché négativement les compagnies canadiennes, selon une nouvelle étude qui examine la récente hausse marquée des termes de l'échange du Canada et leur impact sur l'économie.    Les termes du commerce extérieur du Canada, définis comme le ratio des prix à l'exportation aux prix à l'importation, ont favorisé les importateurs au détriment des exportations.    L'emploi a baissé dans les usines, et les revenus d'investissement à l'étranger ont diminué une fois convertis en monnaie nationale. Cependant, l'expérience récente aux États-Unis suggère qu'un dollar en progression a aussi des effets positifs, en partie parce qu'il exerce une pression à la baisse sur les prix. Il réduit ainsi la facture d'importation de biens de consommation et d'investissement et libère des fonds qui peuvent être alloués à plus de dépenses ou des dépenses d'investissement de biens de haute technologie et d'autres biens visant à améliorer la productivité.    Le dollar canadien a connu un revirement marqué l'an dernier, augmentant de presque 20% de décembre 2002 à décembre 2003. Les termes de l'échange du Canada et le taux d'échange avec les États-Unis suivent en gros la même direction. Les termes de l'échange ont habituellement varié au Canada en raison du prix des exportations de marchandises, l'énergie en particulier.    Mais en 2003, l'inverse s'est produit puisque une hausse du dollar a donné lieu à une baisse de 12 % du prix des importations alors que les prix à l'exportation n'ont baissé que de 7 %.    Il en est résulté que les termes de l'échange du Canada ont accru notre pouvoir d'achat sur les marché internationaux. Depuis 2001, les Canadiens ont besoin d'exporter 9,6 % moins de biens et de services pour chaque 100 dollars d'importations.    Les termes de l'échange au Canada et aux États-Unis sont presque le miroir l'un de l'autre, ce qui traduit l'importance à la fois du taux de change et des prix des marchandises sur la détermination des termes de l'échange. Les termes de l'échange au Canada ont davantage fluctué.    La hausse du dollar canadien s'est traduite par des baisses fortes et étendues des prix à l'importation l'an dernier. Les baisses de prix ont atteint 15,2 % dans le cas des machines et de l'équipement et 12,6 % dans le cas des biens de consommation.    Ensemble, ces deux secteurs ont représenté 42 % des importations en 2003. C'est aussi dans ces deux secteurs où les termes de l'échange se sont de loin le plus améliorés, car la baisse des prix à l'exportation dans ces groupes était beaucoup moins importante. Les termes de l'échange ont augmenté de 13,6 % dans le cas des biens de consommation et de 10,1% pour ce qui est des biens d'investissement.    Par conséquent, malgré une hausse marquée du volume d'importations, le déficit commercial en biens d'investissement a peu varié en dollars courants puisque les prix ont baissé. Parallèlement, le déficit au chapitre des biens de consommation est demeuré pratiquement inchangé, se situant à 29 milliards de dollars, alors que les consommateurs se sont procuré bien davantage de produits importés à des prix plus bas.    Ces écarts entre les prix à l'exportation et à l'importation permettent d'envisager la possibilité d'un produit intérieur brut qui pourrait bénéficier de la hausse du dollar. La baisse des prix des importations pourrait ainsi mettre les consommateurs en position de substituer à leurs achats davantage de biens importés moins chers, donc d'accroître les fonds qu'ils peuvent affecter à d'autres dépenses, et mettre les entreprises en situation d'investir davantage.    Les exportateurs ont souffert quant à eux d'une perte de leurs revenus à l'exportation bien que la tendance n'ait pas été universelle, surtout pour les ressources.    L'étude spéciale «Termes d'échange, PIB et devises» est offerte gratuitement en ligne. Elle se retrouve également dans le numéro de mars 2004 de L'Observateur économique canadien, vol. 17, no 3 (11-010-XIB, 19 $ / 182 $; 11-010-XPB, 25 $ / 243 $) qui est maintenant en vente. Voir Pour commander les produits.    Pour plus de renseignements ou pour en savoir avantage sur les concepts, les méthodes et la qualité des données, communiquez avec Francine Roy au (613) 951-3627 (oec@statcan.ca), Groupe de l'analyse économique de conjoncture. -------------------------------------------------------------------------------- Services de conseils en gestion et de conseils scientifiques et techniques 2002    Ce sont les activités des services de conseils scientifiques et techniques qui ont été à la base de la croissance des recettes du secteur des services de conseils en 2002. Les recettes d'exploitation de ce secteur ont atteint 8,3 milliards de dollars, soit une augmentation de 4,3 % par rapport à 2001.    Les activités des services de conseils scientifiques et techniques ont représenté 61% de l'augmentation de 344 millions de dollars des recettes totales. Cette hausse a touché principalement les conseils en santé et sécurité, en agriculture et en infrastructure dans les provinces non côtières, tandis que, dans les provinces côtières, elle s'est produite principalement dans le secteur des conseils liés à l'aquaculture.    Les services de conseils en gestion ont continué de dominer ce secteur, représentant près de 80 % du total des recettes d'exploitation, en baisse toutefois par rapport à la proportion de 82 % enregistrée en 2002, du fait de la croissance plus forte des conseils scientifiques et des conseils en environnement.    Les salaires et traitements ont continué d'être le principal poste des dépenses d'exploitation, représentant 39 cents de chaque dollar gagné en 2002, en baisse par rapport aux 42 cents en 2001. Comme on l'a observé dans d'autres secteurs, les entreprises optent pour la souplesse qu'offrent les employés contractuels, plutôt que de s'engager à l'égard d'employés salariés. Les dépenses liées aux honoraires versés aux sous-traitants et aux experts-conseils ont fait un bond de 8 % en 2002.    Le coût du capital humain a progressé d'un autre 16 %, une fois combinés les honoraires versés aux sous-traitants et aux experts-conseils et les salaires et traitements, ces deux postes représentant ensemble 55 cents de chaque dollar gagné en 2002. La contribution importante des associés et des propriétaires qui travaillent dans le secteur n'est pas comprise dans la mesure du capital humain.    La marge bénéficiaire d'exploitation avant impôts de ce secteur a été de 18,5 % en 2002, en baisse légère par rapport à celle de 2001, qui était de 19,0 %. Données stockées dans CANSIM : tableau 360-0001. Définitions, source de données et méthodes : numéro d'enquête 4717.    Pour plus de renseignements au sujet de cette enquête, ou pour en savoir davantage sur les concepts, les méthodes ou la qualité des données de cette diffusion, veuillez communiquer avec Randy Smadella (613-951-3472; télécopieur 613-951-6696; randy.smadella@statcan.ca), Division des industries de service. -------------------------------------------------------------------------------- Tableaux thématiques et guides de l'utilisateur du recensement 2001    D'autres tableaux thématiques se rapportant aux thèmes «Peuples autochtones du Canada», «Population active du Canada : travail rémunéré», «Population active du Canada : travail non rémunéré», «Scolarité et fréquentation scolaire au Canada» et «Religions au Canada» (pour divers échelons géographiques), ainsi que trois guides de l'utilisateur, sont maintenant offerts gratuitement en ligne.    À partir de la page Recensement, sélectionnez Données, puis Tableaux thématiques, ou pour consulter un des guides, sélectionnez Référence, puis Rapports techniques et guides de l'utilisateur du Recensement de 2001.    Pour plus de renseignements, communiquez avec le centre de consultation régional de Statistique Canada le plus près de votre localité. -------------------------------------------------------------------------------- Stocks de viandes froides et congelées Mars 2004    Au premier jour ouvrable de mars, 88 843 tonnes métriques de viande rouge froide et congelée reposaient dans les entrepôts frigorifiques, en baisse de 1 % comparativement à 89 941 tonnes en février, mais en hausse de 5 % par rapport à 84 953 tonnes  en mars 2003. Les stocks de viande de volaille congelée reposant dans les entrepôts frigorifiques au 1er mars étaient de 47 936 tonnes métriques, en baisse de 8 % par rapport au 1er mars 2003. Données stockées dans CANSIM : tableaux 003-0005 et 003-0041. Définitions, source de données et méthodes : numéro d'enquête 3423.    Le numéro de mars 2004 de la publication Stocks de viandes froides et congelées (23-009-XIF, gratuit) est maintenant accessible en ligne. À la page Nos produits et services, sous Parcourir les publications Internet, choisissez Gratuites, puis Agriculture.    Pour obtenir des données ou des renseignements généraux, composez sans frais le 1 800 465-1991. Pour en savoir davantage sur les concepts, les méthodes et la qualité des données, communiquez avec Barbara McLaughlin au (902) 893-7251 (barbara.mclaughlin@statcan.ca), Division de l'agriculture. -------------------------------------------------------------------------------- PRODUIT EN VEDETTE : L'Observateur économique canadien Mars 2004 Le numéro de mars 2004 de la publication vedette de Statistique Canada portant sur les statistiques économiques, L'Observateur économique canadien, analyse les conditions économiques actuelles, comprend un sommaire des principaux événements économiques de février et présente une étude spéciale ayant pour titre : «Termes d'échange, PIB et devises». Un aperçu statistique séparé fournit également une gamme étendue de tableaux et de graphiques contenant les principaux indicateurs économiques du Canada, des provinces et des grands pays industrialisés. Le numéro de mars 2004 de L'Observateur économique canadien, vol. 17, no 3 (11-010-XIB, 19 $ / 182 $; 11-010-XPB, 25 $ / 243 $) est maintenant en vente. Voir Pour commander les produits. Afin de vous donner l'occasion de lire en version électronique L'Observateur économique canadien, nous vous offrons un accès gratuit au numéro d'août de cette publication. Vous pourrez ainsi, sans engagement de votre part, parcourir cette nouvelle version électronique. Nous vous encourageons également à nous transmettre vos réactions en remplissant et en retournant le questionnaire Enquête auprès des lecteurs. Vous pouvez visiter, en ligne, la page de L'Observateur économique canadien. À partir de la page Le Canada en statistiques, choisissez Conjoncture économique, et sur cette page, vous trouverez la publicité de L'Observateur économique canadien. Pour plus de renseignements, communiquez avec Francine Roy au (613) 951-3627 (oec@statcan.ca), Groupe de l'analyse de conjoncture. -------------------------------------------------------------------------------- NOUVEAUX PRODUITS Direction des études analytiques, documents de recherche : Les taux de mises à pied permanentes ont-ils augmenté au Canada?, no 218 Numéro au catalogue : 11F0019MIF2004218 (gratuit). L'Observateur économique canadien, mars 2004, vol. 17, no 3 Numéro au catalogue : 11-010-XIB (19 $/182 $). L'Observateur économique canadien, mars 2004, vol. 17, no 3 Numéro au catalogue : 11-010-XPB (25 $/243 $). Comptes du bilan national, estimations trimestrielles, quatrième trimestre de 2003 Numéro au catalogue : 13-214-DDB (321 $/1 284 $). Comptes du bilan national, estimations trimestrielles, quatrième trimestre de 2003 Numéro au catalogue : 13-214-XDB (65 $/257 $). Comptes du bilan national, estimations trimestrielles, quatrième trimestre de 2003 Numéro au catalogue : 13-214-XIF (23 $/49 $). La revue des céréales et des graines oléagineuses, janvier 2004, vol. 27, no 1 Numéro au catalogue : 22-007-XIB (12 $/120 $). La revue des céréales et des graines oléagineuses, janvier 2004, vol. 27, no 1 Numéro au catalogue : 22-007-XPB (17 $/160 $). Stocks de viandes froides et congelées, mars 2004 Numéro au catalogue : 23-009-XIF (gratuit). Opérations internationales du Canada en valeurs mobilières, janvier 2004, vol. 70, no 1 Numéro au catalogue : 67-002-XIF (15 $/142 $). Femmes au Canada : une mise à jour du chapitre sur le travail, 2003 Numéro au catalogue : 89F0133XIF (gratuit). Les prix sont en dollars canadiens et n'incluent pas les taxes de vente. Des frais de livraison supplémentaires s'appliquent aux envois à l'extérieur du Canada. Les numéros au catalogue se terminant par : -XIB ou -XIF représentent la version électronique offerte sur Internet, -XMB ou -XMF, la version microfiche, -XPB ou -XPF, la version papier, -XDB ou -XDF, la version électronique sur disquette et -XCB ou -XCF, la version électronique sur CD-ROM.