L'utilisation d'une police à espacement constant, comme Courier, améliore l'affichage. ** Contenu du QUOTIDIEN aujourd'hui ** Fichier PDF téléchargeable : http://www.statcan.ca/Daily/Francais/040518/q040518.pdf Site Web : http://www.statcan.ca/Daily/Francais/040518/tq040518.htm 04 05 18 08 30 Le mardi 18 mai 2004. Diffusé à 8 h 30, heure de l'Est COMMUNIQUÉS PRINCIPAUX Investissement direct étranger, 2003 L'investissement direct canadien à l'étranger a diminué de 7,1 % à la fin de 2003, principalement en raison de l'importante appréciation du dollar canadien. Parallèlement, l'investissement direct étranger au Canada a augmenté de 2,5 %. Consommation d'alcool et de drogues au début de l'adolescence, 1998-1999 Le comportement des amis est le facteur d'influence qui a le plus d'impact sur la consommation d'alcool et de drogues au début de l'adolescence. AUTRES COMMUNIQUÉS Indice des prix de la construction d'immeubles d'appartements, premier trimestre de 2004 Enquête sur les véhicules au Canada, quatrième trimestre de 2003  Transporteurs routiers de marchandises pour compte d'autrui, tous les transporteurs, quatrième trimestre de 2003 Produits pétroliers raffinés, mars 2004  Pétrole brut et gaz naturel, mars 2004  NOUVEAUX PRODUITS -------------------------------------------------------------------------------- Investissement direct étranger 2003    L'investissement direct canadien à l'étranger a diminué de 7,1 % à la fin de 2003, principalement en raison de l'importante appréciation du dollar canadien.    La valeur de l'actif détenu à l'étranger par les Canadiens a atteint 399,1 milliards de dollars, en baisse par rapport à la valeur record de 429,6 milliards de dollars enregistrée à la fin de 2002. Cette baisse a mis fin à une série de hausses amorcée en 1948.    Parallèlement, la valeur de l'investissement direct étranger au Canada a augmenté de 2,5 % pour atteindre 357,5 milliards de dollars, en hausse par rapport à la valeur de 348,9 milliards de dollars observée à la fin de 2002.    C'est ainsi que le bilan net des investissements directs, c'est-à-dire la différence entre l'investissement direct canadien à l'étranger et l'investissement direct étranger au Canada, a baissé, passant d'une valeur révisée de 80,7 milliards de dollars en 2002 à 41,6 milliards de dollars à la fin de 2003.    Les actifs américains ne représentaient que 41 % de l'investissement direct canadien total à l'étranger, soit la plus faible proportion jamais enregistrée. Les investisseurs américains représentaient environ 64 % de l'investissement direct étranger au Canada. ______________________________________________________________________ Note aux lecteurs    Les investissements directs (actif et passif) sont les investissements par lesquels les investisseurs d'une économie acquièrent une influence importante sur la gestion d'une entreprise exploitée dans une autre économie. Dans la pratique, au Canada, on juge qu'il y a investissement direct lorsqu'une entreprise détient au moins 10 % des actions avec droit de vote d'une entreprise étrangère. ______________________________________________________________________    La principale raison qui explique l'importante baisse de l'investissement direct à l'étranger est l'appréciation du dollar canadien par rapport aux devises étrangères. Comme les investissements directs canadiens à l'étranger sont libellés en devises étrangères, l'appréciation du dollar a fait baisser de 55,0 milliards de dollars la valeur de l'actif détenu à l'étranger.    En 2003, le dollar canadien s'est apprécié de 17,8 % par rapport au dollar américain, de 9,0 % par rapport à la livre sterling, de 9,1 % par rapport au yen japonais et de 1,7 % par rapport à l'euro. Investissement direct à l'étranger : baisse de l'actif aux États-Unis    La valeur en actif d'investissement direct aux États-Unis a diminué de 32,2 milliards de dollars (-16,3 %), pour atteindre 164,9 milliards de dollars.    Une fois de plus, la baisse est attribuable en majeure partie à l'appréciation du dollar canadien, laquelle a entraîné une diminution accélérée de la part américaine sur le total de l'actif en investissement direct.    L'investissement direct canadien à l'étranger ne cesse de s'étendre à différents pays.    La valeur de l'investissement direct canadien dans tous les pays, à l'exclusion des États-Unis, s'est légèrement accrue de 1,7 milliard de dollars par rapport à la fin de 2002, pour passer à 234,2 milliards de dollars.    Le réinvestissement de fonds par les sociétés mères canadiennes ainsi qu'une importante acquisition au quatrième trimestre ont plus que compensé l'appréciation du dollar par rapport aux autres devises principales au cours de l'année.    L'investissement direct canadien en France s'est accru considérablement, soit de 7,1 milliards de dollars (ou de 157 %), pour passer à 11,6 milliards de dollars à la fin de 2003. Il s'agit du gain d'investissement le plus important pour un seul pays.    La France se retrouve maintenant parmi les cinq pays de prédilection des investisseurs directs canadiens. Elle suit les États-Unis, le Royaume-Uni, la Barbade et l'Irlande, laquelle constitue le pays de destination qui a connu la plus forte hausse sur une période de quatre ans.    À la fin de 2003, l'actif en investissement direct détenu à l'étranger se trouvait principalement dans l'industrie de la finance et des assurances (42 %), et dans celle des minéraux métalliques (12 %). Hausse de l'investissement direct étranger au Canada    La hausse de 2,5 % de l'investissement direct étranger au Canada est attribuable en majeure partie à l'injection de capitaux dans les exploitations actuelles par les sociétés mères qui se trouvent à l'étranger. La composante «acquisitions» de l'investissement direct étranger au Canada a été légèrement négative en 2003.    Les investisseurs américains détenaient 228,4 milliards de dollars sous forme d'investissement direct à la fin de 2003, en hausse de 5,2 milliards de dollars. À la fin de 2003, le bilan net des investissements directs entre le Canada et les États-Unis était de -63,5 milliards de dollars, soit un creux record.    Le bilan net des investissements directs avec les États-Unis n'a jamais été positif, ce qui signifie que l'actif des investisseurs américains au Canada a toujours été supérieur à celui des investisseurs canadiens au sud de la frontière.    Pour une quatrième année consécutive, les pays investisseurs directs les plus importants au Canada étaient les États-Unis, la France, le Royaume-Uni, les Pays-Bas et le Japon. Ensemble, ces cinq pays détenaient un peu plus de 87 % de l'investissement direct au Canada à la fin de 2003.    L'industrie de la finance et des assurances représentait 19 % de l'investissement direct étranger au Canada à la fin de 2003, suivie de l'industrie de l'énergie, qui représentait 17 % du total. Données stockées dans CANSIM : tableaux 376-0038 et 376-0051 à 376-0054. Définitions, source de données et méthodes : numéro d'enquête 1537.    Pour des renseignements généraux ou pour obtenir des données, communiquez avec le Service à la clientèle (613) 951-1855 (infobalance@statcan.ca). Pour en savoir davantage sur les concepts, les méthodes et la qualité des données, communiquez avec Éric Simard (613) 951-7244 (Eric.Simard@statcan.ca), Division de la balance des paiements.     -------------------------------------------------------------------------------- Tableau : Positions d'investissement direct étranger en fin d'année _________________________________________________________________________ 2000 2001 2002 2003 _________________________________________________________________________ Milliards Milliards Milliards Milliards de dollars de dollars de dollars de dollars ---------- ---------- ---------- ---------- Investissement direct canadien à l'étranger États-Unis 177,9 190,5 197,1 164,9 Royaume-Uni 35,2 39,8 40,2 40,7 France 4,6 3,8 4,5 11,6 Pays-Bas 10,5 12,0 11,1 10,7 Japon 5,6 7,0 9,5 9,1 Tous les autres pays 122,7 145,8 167,2 162,1 Total 356,5 398,9 429,6 399,1 Investissement direct étranger au Canada États-Unis 193,7 220,2 223,2 228,4 Royaume-Uni 24,0 26,5 27,6 27,1 France 37,0 31,5 31,3 31,6 Pays-Bas 15,3 13,7 14,0 15,3 Japon 8,0 7,9 8,9 9,7 Tous les autres pays 41,1 41,2 43,9 45,4 Total 319,1 341,0 348,9 357,5 _________________________________________________________________________ -------------------------------------------------------------------------------- Consommation d'alcool et de drogues au début de l'adolescence 1998-1999    Le comportement des amis est le facteur d'influence qui a le plus d'impact sur la consommation d'alcool et de drogues au début de l'adolescence, selon une nouvelle étude.    Les données utilisées dans le cadre de cette étude ont été recueillies auprès de 4 296 adolescents âgés de 12 à 15 ans qui ont participé à l'Enquête longitudinale nationale sur les enfants et les jeunes de 1998-1999.    Les deux tiers des adolescents qui ont déclaré que tous leurs amis ou la plupart d'entre eux consommaient de l'alcool avaient, eux-mêmes, été ivres au moins une fois. Par contre, 8 % seulement de ceux qui ont déclaré n'avoir que quelques amis ou aucun ami consommant de l'alcool s'étaient soûlés.    De même, les quatre cinquièmes (82 %) des adolescents dont tous les amis ou la plupart d'entre eux fumaient de la marijuana en avaient fait de même. Par ailleurs, 7 % seulement de ceux dont les amis ne fumaient pas de marijuana l'avaient fait.    L'étude révèle également que le comportement des pairs est lié à la consommation d'alcool et de drogues chez les adolescents. Cependant, il est impossible de déterminer comment s'exerce cette relation de cause à effet. Par exemple, l'amitié peut entraîner l'apprentissage par imitation et le renforcement des comportements. Mais il se pourrait aussi que, selon le dicton, qui se ressemble s'assemble et que les adolescents recherchent des amis dont les habitudes à l'égard de l'alcool et de la drogue soient les mêmes que les leurs. Association entre certains styles parentaux et la consommation d'alcool et de drogues    D'autres études ont démontré clairement l'existence d'un lien entre la consommation d'alcool et de drogues des jeunes et celle des parents. Dans la présente étude, l'influence des pairs semble être un facteur de risque plus important de consommation d'alcool et de drogues à l'adolescence que la consommation parentale d'alcool.    Si l'on tient compte de l'effet d'autres facteurs, les adolescents vivant dans une famille où la consommation d'alcool est une source de tension ne sont pas plus susceptibles de boire au point de se soûler, ni de prendre des drogues que ceux vivant dans une famille où l'alcoolisme n'est pas un problème. ______________________________________________________________________ Note aux lecteurs    La présente étude est fondée sur 4 296 adolescents de 12 à 15 ans qui ont participé à l'Enquête longitudinale nationale sur les enfants et les jeunes de 1998-1999. Elle révèle une forte association entre le comportement des pairs et la consommation individuelle d'alcool et de drogues. ______________________________________________________________________    Par contre, l'hostilité parentale exerçait une influence sur le comportement des adolescents. Si l'on tient compte de l'effet d'autres facteurs, la cote exprimant le risque qu'un adolescent se soûle et prenne d'autres drogues est relativement élevée si les interactions avec les parents sont caractérisées par du harcèlement, l'application incohérente de règlements, des menaces et de la colère. L'hostilité parentale ne peut toutefois être décrite comme étant à l'origine de la consommation d'alcool ou de drogues. Il se pourrait que l'attitude des parents à l'égard de l'adolescent ait changé après l'apparition de problèmes comportementaux, comme la consommation d'alcool ou de drogues.    Selon l'étude, la cote exprimant le risque de prendre de la drogue est presque deux fois plus élevée pour les adolescents qui vivent dans une famille recomposée que pour ceux qui vivent dans d'autres familles. Rôle important de l'attitude à l'égard des études dans la consommation d'alcool    Les adolescents qui ont déclaré avoir des résultats mauvais ou très mauvais à l'école étaient deux fois plus susceptibles d'avoir consommé de l'alcool au point de se soûler que ceux qui ont dit obtenir de bonnes notes.    De la même façon, les jeunes intéressés par les études étaient moins susceptibles d'avoir déclaré s'être soûlés que ceux dont l'engagement scolaire était plus faible. Par contre, ni l'une ni l'autre de ces mesures liées aux études n'est associée à la consommation précoce de drogues. Expérimentation précoce    Dans l'ensemble, 42 % des adolescents âgés de 12 à 15 ans ont dit avoir consommé au moins un verre d'alcool, c'est-à-dire une bouteille de bière ou de boisson rafraîchissante au vin, ou un verre de vin, à un moment donné de leur vie. À l'âge de 15 ans, la proportion était de 66 %.    Plus du cinquième (22 %) de ces adolescents ont dit s'être soûlés au moins un fois. Parmi ceux de 15 ans, la proportion était de 44 %.    En outre, environ le cinquième (19 %) a indiqué avoir déjà fumé de la marijuana. De nouveau, la proportion chez les adolescents de 15 ans a grimpé pour atteindre 38 %.    L'âge moyen auquel les adolescents ont dit avoir bu leur premier verre d'alcool était de 12,4 ans et la différence entre les garçons et les filles était faible. L'âge moyen auquel les adolescents ont dit s'être soûlés pour la première fois correspondait à environ un an de plus, soit à peine 13 ans.    L'âge moyen auquel a débuté l'inhalation de colle était d'à peine plus de 12 ans. Pour les autres drogues, y compris la marijuana et les hallucinogènes, l'âge moyen de la première utilisation était plus avancé, allant de 13,1 à 13,8 ans. Définitions, source de données et méthodes : numéro d'enquête 4450.    L'étude intitulée «Consommation d'alcool et de drogues au début de l'adolescence» est publiée intégralement dans le numéro de mai 2004 de Rapports sur la santé, vol. 15, no 3 (82-003-XIF, 17 $ / 48 $; 82-003-XPF, 22 $ / 63 $) qui est maintenant en vente. Voir Pour commander les produits.    Pour plus de renseignements ou pour en savoir davantage sur les méthodes, les concepts et la qualité des données, communiquez avec Tina Hotton au (416) 946-8106 (Tina.Hotton@utoronto.ca), Centre canadien de la statistique juridique et centre de données de recherche de Statistique Canada à l'Université de Toronto.    Ce numéro comprend aussi l'article «Information sur la santé : déclaration par procuration», qui examine comment le fait d'accepter que l'information au sujet d'une personne sélectionnée pour répondre à une enquête soit fournie par une autre personne influe sur l'estimation des problèmes de santé.    Ce numéro marque aussi le lancement d'une nouvelle section intitulée «Santé en bref». On y retrouve des renseignements descriptifs récents provenant de diverses enquêtes et bases de données. Dans ce numéro, les sujets abordés sont l'utilisation de fauteuils roulants et d'autres appareils d'aide à la mobilité, les blessures et la consommation prénatale d'un supplément d'acide folique.    Pour plus de renseignements sur Rapports sur la santé, communiquez avec Christine Wright au (613) 951-1765, Division de la statistique de la santé. -------------------------------------------------------------------------------- Indice des prix de la construction d'immeubles d'appartements Premier trimestre de 2004    L'indice composite des prix de la construction d'immeubles d'appartements (1997=100) a atteint 120,6 au premier trimestre, en hausse de 2,0 % par rapport au quatrième trimestre et de 4,1 % par rapport au premier trimestre de 2003. Il s'agit de la variation en pourcentage d'une année à l'autre la plus élevée depuis le premier trimestre de 2001, alors qu'une hausse de 4,5 % avait été enregistrée.    Vancouver a connu la plus forte variation trimestrielle (+3,8 %), suivie de Calgary (+1,7 %), d'Ottawa-Gatineau (partie ontarienne) et d'Edmonton (+1,6 % chacun), de Halifax (+1,5 %), de Toronto (+1,4 %) et de Montréal (+1,3 %).    Vancouver (+4,9 %) a aussi enregistré la plus forte augmentation d'une année à l'autre par rapport au premier trimestre de 2003, suivie d'Ottawa-Gatineau (partie ontarienne) (+4,5 %), de Halifax et de Toronto (+4,0 % chacun), de Montréal (+3,7 %), d'Edmonton (+2,9 %) et de Calgary (+2,7 %). -------------------------------------------------------------------------------- Tableau : Indice des prix de la construction d'immeubles d'appartements1  (1997 = 100) _____________________________________________________________ Premier Quatrième trimestre trimestre de 2003 de 2003 au au Premier premier premier trimestre trimestre trimestre de 2004 de 2004 de 2004 _____________________________________________________________ var. en % var. en % ---------- ---------- Indice composite 120,6 4,1 2,0 Halifax 116,1 4,0 1,5 Montréal 120,4 3,7 1,3 Ottawa-Gatineau, partie ontarienne 125,6 4,5 1,6 Toronto 128,1 4,0 1,4 Calgary 123,2 2,7 1,7 Edmonton 121,0 2,9 1,6 Vancouver 114,9 4,9 3,8 _____________________________________________________________ 1. Il est possible de consulter en ligne les subdivisions de recensement qui font partie des régions métropolitaines de recensement. Nota : Les indices des prix de la construction d'immeubles d'appartements donnent une indication de la variation des coûts de construction nouvelle dans six régions métropolitaines de recensement (RMR) dont Halifax, Montréal, Toronto, Calgary, Edmonton et Vancouver et la partie ontarienne de la RMR d'Ottawa-Gatineau. En plus des indices de chacune des régions métropolitaines de recensement et de l'indice composite, il y a d'autres ventilations des variations de coûts par groupe de métiers dans le bâtiment, soit la structure, l'architecture, la mécanique et l'électricité. Ces indices de prix sont établis à partir d'enquêtes menées auprès d'entrepreneurs généraux et de sous-traitants spécialisés qui fournissent des renseignements sur diverses catégories de coûts (les matériaux, la main-d'oeuvre, l'équipement, les taxes, les frais généraux et les bénéfices) pertinents aux devis de construction détaillés inclus dans les enquêtes. Données stockées dans CANSIM : tableau 327-0040. Définitions, source de données et méthodes : numéros d'enquête, y compris ceux des enquêtes connexes, 2317 et 2330.    Le numéro du premier trimestre de 2004 de Statistiques des prix des immobilisations (62-007-XPB, 26 $ / 85 $) paraîtra en juillet 2004.    Pour plus de renseignements ou pour en savoir davantage sur les concepts, les méthodes et la qualité des données, communiquez avec Rebecca McDougall au (613) 951-9606 (infounit@statcan.ca), Division des prix. Télécopieur : (613) 951-1539. -------------------------------------------------------------------------------- Enquête sur les véhicules au Canada Quatrième trimestre de 2003     Les véhicules faisant partie de la population-cible de l'Enquête sur les véhicules ont parcouru 73,9 milliards de kilomètres au quatrième trimestre de 2003. De ces véhicules, ceux dont le poids était inférieur à 4 500 kg (et qui n'étaient pas utilisés comme autobus) ont parcouru 67,5 milliards de kilomètres, ou 91 % du total pour le trimestre.    L'Enquête mesure l'activité de tous les véhicules routiers enregistrés au Canada, sauf certains véhicules tels que les motocyclettes, les engins de chantier et le matériel d'entretien des routes.    Les estimations totales de véhicules-kilomètres sont offertes par province et par territoire. Les estimations de passagers-kilomètres sont offertes par province seulement. Définitions, source de données et méthodes : numéro d'enquête 2749.    Le numéro du quatrième trimestre de 2003 de la publication Enquête sur les véhicules au Canada (53F0004XIF, gratuit) est maintenant accessible en ligne. À la page Nos produits et services, sous Parcourir les publications Internet, choisissez Gratuites, puis Transport et entreposage.    Pour plus de renseignements ou pour en savoir davantage sur les concepts, les méthodes et la qualité des données, communiquez avec les Services à la clientèle en composant sans frais le 1 866 500-8400 (statistiquesdutransport@statcan.ca), Division des transports. -------------------------------------------------------------------------------- Transporteurs routiers de marchandises pour compte d'autrui, tous les transporteurs Quatrième trimestre de 2003    Le nombre estimatif de transporteurs routiers de marchandises pour compte d'autrui domiciliés au Canada (ceux dont les recettes annuelles atteignent 1 million de dollars ou plus) est passé à 2 736 au quatrième trimestre de 2003 comparativement à 2 855 au quatrième trimestre de 2002. Leurs recettes d'exploitation ont totalisé 5,31 milliards de dollars et leurs dépenses d'exploitation ont atteint 4,99 milliards de dollars, en hausse de 3,1 % et de 3,3 % respectivement par rapport au quatrième trimestre de 2002.    Au quatrième trimestre, les recettes et les dépenses d'exploitation moyennes ont augmenté par rapport au même trimestre en 2002, soit de 7,2 % pour les revenus et 7,7 % pour les dépenses. Les dépenses moyennes ont atteint 1,82 million de dollars comparativement à 1,69 million de dollars au quatrième trimestre de 2002. L'augmentation des dépenses est attribuable à la hausse des achats de service de transport et des autres dépenses et, dans une moindre mesure, à la croissance des salaires et des traitements de même que des paiements aux chauffeurs contractants. Des baisses moyennes par transporteur ont toutefois été observées pour les dépenses de dépréciation (-16,6 %) et pour le carburant (-4,5 %). Le ratio d'exploitation (les dépenses d'exploitation divisées par les recettes d'exploitation) est demeuré inchangé à 0,94.    Les recettes du camionnage pour compte d'autrui pour le trafic intérieur de marchandises ont progressé de 13,2 % pour se fixer à plus de 3,44 milliards de dollars comparativement à 3,04 milliards de dollars enregistré il y a un an. À l'opposé, les recettes provenant des mouvements internationaux de marchandises en provenance du Canada ont diminué de 13,2 % alors que les recettes provenant du mouvement de marchandises à destination du Canada ont diminué de près de 21 %. Données stockées dans CANSIM : tableau 403-0002. Définitions, source de données et méthodes : numéro d'enquête 2748.    Pour plus de renseignements ou pour en savoir davantage sur les concepts, les méthodes et la qualité des données, communiquez avec Denis Pilon au (613) 951-2707 (denis.pilon@statcan.ca), Division des transports. Télécopieur : (613) 951-0579. -------------------------------------------------------------------------------- Produits pétroliers raffinés Mars 2004 (données provisoires)    Il est maintenant possible de consulter les données sur la production, les stocks et les ventes intérieures de produits pétroliers raffinés pour mars 2004. D'autres données choisies sur ces produits sont aussi disponibles. Définitions, source de données et méthodes : numéro d'enquête 2150.    Pour plus de renseignements ou pour en savoir davantage sur les concepts, les méthodes et la qualité des données, communiquez avec l'agent de diffusion au (613) 951-9497 ou composez sans frais le 1 866 873-8789 (energ@statcan.ca), Division de la fabrication, de la construction et de l'énergie. -------------------------------------------------------------------------------- Pétrole brut et gaz naturel Mars 2004 (données provisoires)    Il est maintenant possible de consulter les données provinciales sur la production de pétrole brut et gaz naturel marchand pour mars 2004. Données stockées dans CANSIM : tableaux 126-0001 et 131-0001. Définitions, source de données et méthodes : numéro d'enquête 2198.    Pour plus de renseignements ou pour en savoir d'avantage sur les concepts, les méthodes et la qualité des données, communiquez avec l'agent de diffusion au (613) 951-9497 ou composez sans frais le 1 866 873-8789 (energ@statcan.ca), Division de la fabrication, de la construction et de l'énergie. -------------------------------------------------------------------------------- NOUVEAUX PRODUITS Infomat, revue hebdomadaire, 18 mai 2004 Numéro au catalogue : 11-002-XIF (100 $). Enquête sur les véhicules au Canada : trimestrielle, quatrième trimestre de 2003 Numéro au catalogue : 53F0004XIF (gratuit). Rapports sur la santé, 2003, vol. 15, no 3 Numéro au catalogue : 82-003-XIF (17 $/48 $). Rapports sur la santé, 2003, vol. 15, no 3 Numéro au catalogue : 82-003-XPF (22 $/63 $). Les prix sont en dollars canadiens et n'incluent pas les taxes de vente. Des frais de livraison supplémentaires s'appliquent aux envois à l'extérieur du Canada. Les numéros au catalogue se terminant par : -XIB ou -XIF représentent la version électronique offerte sur Internet, -XMB ou -XMF, la version microfiche, -XPB ou -XPF, la version papier, -XDB ou -XDF, la version électronique sur disquette et -XCB ou -XCF, la version électronique sur CD-ROM.