L'utilisation d'une police à espacement constant, comme Courier, améliore l'affichage. ** Contenu du QUOTIDIEN aujourd'hui ** Fichier PDF téléchargeable : http://www.statcan.ca/Daily/Francais/040521/q040521.pdf Site Web : http://www.statcan.ca/Daily/Francais/040521/tq040521.htm 04 05 21 08 30 Le vendredi 21 mai 2004. Diffusé à 8 h 30, heure de l'Est COMMUNIQUÉS PRINCIPAUX Performance de la productivité du travail par industrie, 2003 La productivité du travail dans le secteur de la fabrication a fortement ralenti en 2003. La croissance de la productivité dans le secteur de la fabrication s'est limitée à 1,2 %, en comparaison à 2,8 % en 2002. Dix des vingt industries qui composent ce secteur ont enregistré une décroissance de leur productivité, tandis qu'un autre quart a subi un ralentissement de la croissance de sa productivité. Commerce de détail annuel, 2002 Dans l'ensemble, 2002 a été une année record pour les détaillants en magasin, leurs recettes, leurs marges bénéficiaires et leurs bénéfices d'exploitation ayant été à la hausse. L'augmentation des stocks des concessionnaires de véhicules automobiles a été la seule ombre au tableau. AUTRES COMMUNIQUÉS Étude : L'innovation dans les petites entreprises, 2002 Utilisation par les industries primaires et manufacturières de matériel et de systèmes innovateurs pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, 2002  Stocks de viande de volaille congelée, 1er mai 2004  Ventes de gaz naturel, mars 2004  Acier en formes primaires, données hebdomadaires, semaine se terminant le 15 mai 2004  NOUVEAUX PRODUITS CALENDRIER DES COMMUNIQUÉS : 23 au 28 mai -------------------------------------------------------------------------------- Performance de la productivité du travail par industrie 2003    La productivité du travail a fortement ralenti en 2003 dans le secteur de la fabrication. La croissance de la productivité dans le secteur de la fabrication s'est limitée à 1,2 % en 2003, en comparaison à 2,8 % en 2002. Dix des vingt industries qui composent ce secteur ont enregistré une décroissance de leur productivité, tandis qu'un autre quart a subi un ralentissement de la croissance de sa productivité.    La vigueur du dollar au cours de l'année 2003 a eu un effet négatif sur la production du secteur de la fabrication qui a fléchi de 0,5 %. Parallèlement, les heures travaillées ont connu une baisse plus prononcée, affichant un recul de 1,7 %. L'appréciation rapide du dollar canadien face au dollar américain a amené les entreprises exportatrices de produits manufacturiers à adapter leurs coûts d'opération.    Tout comme le secteur de la fabrication, la plupart des autres industries du secteur des entreprises ont enregistré une décroissance de leur productivité du travail ou un net ralentissement. Onze des quinze grands groupes industriels qui composent le secteur des entreprises étaient dans cette situation. Par contre, le secteur de l'agriculture, de la foresterie, de la pêche et de la chasse, celui des services professionnels, celui des arts, des spectacles et des loisirs et celui des autres services commerciaux ont connu une accélération du rythme de la croissance de leur productivité du travail en 2003.    Plusieurs événements ont eu des répercussions négatives sur l'activité économique en 2003 et ont contribué au ralentissement du taux de croissance de la productivité du travail de l'ensemble du secteur des entreprises, qui a affiché une hausse d'à peine 0,1 %. Il s'agit du plus faible gain annuel au cours des six dernières années alors que l'accroissement annuel moyen a été de 1,9 %.    La croissance de la productivité est une composante essentielle de la prospérité à long terme des canadiens. Elle mesure l'efficacité avec laquelle les ressources humaines sont utilisées dans le processus de production. Presque toutes les industries ont accusé un ralentissement de la productivité    En 2003, les performances en matière de productivité des groupes d'industries ont oscillé entre une baisse de 6,3 % enregistrée dans le secteur de l'extraction minière, de pétrole et de gaz et une croissance de 8,8 % observée dans le secteur de l'agriculture, de la foresterie, de la pêche et de la chasse.    Après avoir reculé de 2,2 % en 2002, la productivité du travail dans le secteur de l'agriculture, de la foresterie, de la pêche et de la chasse a rebondi de 8,8 % en 2003. Il s'agit de la meilleure performance parmi toutes les industries. Celle-ci est surtout attribuable aux meilleures récoltes enregistrées dans l'ouest du pays.    Avec une progression de 3,9 % en 2003, le commerce de gros vient au deuxième rang. Toutefois, ce taux demeure inférieur à celui de 6,6 % observé en 2002. Les autres groupes d'industries tels que «les autres services» (+3,6 %), les services professionnels (+2,9 %), les arts, les spectacles et les loisirs (+2,2 %) ainsi que le commerce de détail (+1,6 %) suivaient.    Exception faite des secteurs de l'agriculture, de la foresterie, de la pêche et la chasse, le secteur de la fabrication constitue le seul autre groupe d'industries du secteur produisant des biens à enregistrer une hausse de sa productivité en 2003. Au cours des trois dernières années, la croissance annuelle moyenne de la productivité du travail dans la fabrication a augmenté de 2,0 %, soit moins de la moitié de celle de 4,4 % observée entre 1997 et 2000.    La hausse de la productivité des industries de la fabrication enregistrée en 2003 a été soutenue principalement par la reprise de la croissance de la productivité dans la fabrication des produits informatiques et électroniques (+8,4 %) ainsi que dans la fabrication de matériel, d'appareils et de composants électriques (+1,3 %). Ces deux industries manufacturières avaient connu des baisses de leur productivité au cours des deux années précédentes.    En ce qui a trait au secteur de la fabrication dans son ensemble, la production par heure travaillée a augmenté dans sept des vingt industries manufacturières de la classification à trois chiffres, des gains annuels variant entre 0,8 % et 5,7 %. Parmi ce groupe, les fabricants de produits minéraux non métalliques, les industries de l'impression et d'activité connexe de soutien et celles de la première transformation des métaux ont toutes affiché des gains de productivité d'au moins 3,5 %.    En dépit de l'effervescence du marché immobilier, le secteur des finances, des assurances, des services immobiliers et de la location n'a enregistré aucune croissance de sa productivité en 2003. Les sept industries à deux chiffres restantes qui composent le secteur des entreprises ont vu leur productivité reculer en 2003. Les coûts unitaires de la main-d'oeuvre sont en hausse dans plusieurs industries    Les coûts unitaires de la main-d'oeuvre, un indicateur qui permet de mesurer les changements relatifs entre la rémunération horaire et la productivité, se sont détériorés dans la plupart des industries en 2003. En réaction à la piètre performance de la productivité du travail, onze des quinze grands groupes industriels ont enregistré des hausses de leurs coûts de main-d'oeuvre en 2003.    Les industries qui ont enregistré de meilleures performances au chapitre de coûts unitaires de la main-d'oeuvre ont été, en général, celles qui ont connu la croissance de productivité la plus élevée. Le secteur de l'agriculture, de la foresterie, de la pêche et de la chasse affiche ainsi la meilleure performance au chapitre des coûts unitaires de la main-d'oeuvre.    Après avoir enregistré une hausse de 9,7 % en 2002, les coûts unitaires de la main-d'oeuvre dans le secteur de l'agriculture, de la foresterie, de la pêche et de la chasse ont baissé considérablement, soit de 16,5 % en 2003. Cette forte baisse est survenue principalement dans les cultures agricoles et l'élevage ainsi que dans l'exploitation forestière.    D'autres baisses ont été observées dans le secteur des arts, des spectacles et des loisirs (-3,6 %), suivi des services d'hébergement et de la restauration (-2,8 %), et du commerce de gros (-0,7 %).    En revanche, la progression des coûts unitaires de la main-d'oeuvre s'est accélérée dans la plupart des autres industries du secteur des entreprises. Dans la fabrication, les coûts unitaires de la main-d'oeuvre se sont accrus de 2,3 % en 2003, à la suite d'un recul de 0,2 % enregistré en 2002.    Lorsque le taux de change a été pris en compte, l'appréciation du dollar canadien a entraîné une forte hausse des coûts unitaires de la main-d'oeuvre dans la fabrication. Mesurés en dollars américains, les coûts unitaires de la main-d'oeuvre dans la fabrication ont fait un bond de 14,7 % en 2003. Cette forte appréciation, survenue en une aussi courte période, a contribué à la détérioration de la compétitivité des exportations de biens manufacturés vers les États-Unis.    Une série de tableaux sur la croissance de la productivité et les variables connexes pour le secteur des entreprises et ses 15 principales branches d'activité, est offerte dans la nouvelle publication dynamique intitulée Les comptes canadiens de productivité (15-003-XIF, gratuite) qui sera accessible en ligne le 26 mai prochain. Données stockées dans CANSIM : tableaux 383-0013 et 383-0015. Définitions, source de données et méthodes : numéro d'enquête 1402.    Pour plus de renseignements au sujet de la productivité, consultez la page Aperçu du programme de recherche et une description des publications de notre site Web ou communiquez avec Jean-Pierre Maynard au (613) 951-3654 (maynard@statcan.ca), Division de l'analyse microéconomique. Télécopieur : (613) 951-3292.     -------------------------------------------------------------------------------- Tableau : Croissance annuelle de la productivité du travail dans les industries manufacturières de la classification à trois chiffres 1998 à 2003 _________________________________________________________________________ 1998 1999 2000 2001 _________________________________________________________________________ Total du secteur de la fabrication 1,7 5,7 6,0 -1,8 Aliments 3,7 -4,4 7,7 5,1 Boissons et produits du tabac 8,4 -3,5 5,8 -2,2 Vêtements -2,9 -2,1 6,1 -5,6 Produits en cuir et produits analogues -4,0 -3,2 30,4 -8,0 Usines de textiles et de produits textiles 8,7 0,4 8,8 -8,6 Produits en bois 5,6 0,6 9,8 9,3 Papier -1,3 7,4 7,3 -8,5 Impression et activités connexes de soutien -4,9 0,1 13,5 3,5 Produits du pétrole et du charbon 4,3 -2,7 -10,4 3,6 Produits chimiques 1,6 2,6 15,3 7,1 Produits en caoutchouc et en plastique -0,4 3,6 3,0 5,2 Produits minéraux non métalliques 2,1 4,0 5,6 2,7 Première transformation des métaux 4,5 2,5 6,9 5,8 Produits métalliques -1,0 6,7 4,4 -3,6 Machines -2,5 4,8 6,2 -3,6 Produits informatiques et électroniques 8,7 43,0 10,3 -20,1 Matériel, appareils et composants électriques 10,8 -6,9 26,7 -10,1 Matériel de transport 2,2 14,8 4,1 -3,4 Meubles et produits connexes 3,5 3,0 9,0 -6,6 Activités diverses 4,7 -4,5 3,2 -5,1 _________________________________________________________________________ _________________________________________________ 2002 2003 _________________________________________________ Total du secteur de la fabrication 2,8 1,2 Aliments 0,6 0,8 Boissons et produits du tabac 0,4 -4,4 Vêtements 4,6 -0,9 Produits en cuir et produits analogues -37,8 -8,3 Usines de textiles et de produits textiles -6,4 -5,8 Produits en bois 10,3 3,4 Papier 10,9 0,9 Impression et activités connexes de soutien -1,4 3,7 Produits du pétrole et du charbon 16,8 -2,3 Produits chimiques 7,0 -1,2 Produits en caoutchouc et en plastique 8,8 2,6 Produits minéraux non métalliques 3,4 5,7 Première transformation des métaux 6,3 3,5 Produits métalliques 1,1 -1,1 Machines -2,8 -2,7 Produits informatiques et électroniques -4,4 8,4 Matériel, appareils et composants électriques -1,1 1,3 Matériel de transport 2,5 1,2 Meubles et produits connexes -0,2 -1,0 Activités diverses 4,3 -2,4 _________________________________________________ -------------------------------------------------------------------------------- Commerce de détail annuel 2002    Une farouche concurrence et des prix à la baisse pour certaines marchandises vendues au détail n'ont pas empêché les détaillants en magasin de connaître une autre solide année en 2002. Pour les magasins de détail, les résultats ont été exceptionnels cette année-là et leurs revenus totaux d'exploitation ont atteint 344 milliards de dollars, en hausse de 6,6 % par rapport à 2001. Les profits des recettes d'exploitation sont généralisés    Cette progression a été généralisée dans les grandes catégories de commerce de détail. Les centres de rénovation et les quincailleries ont affiché les meilleurs gains (+20,9 %) en 2002, grâce à des dépenses toujours importantes en rénovation de l'habitation. Suivaient les magasins d'appareils électroniques et ménagers qui ont enregistré une hausse de 13,5 %, en raison principalement des faibles coûts de financement et d'une demande accrue sur le marché de l'habitation.    En 2002, les magasins indépendants ont continué à occuper la plus grande place dans le commerce de détail avec environ 59 % des revenus totaux d'exploitation. Chez les détaillants indépendants, les concessionnaires de véhicules automobiles neufs ont enregistré plus du tiers (37,5 %) du total des revenus d'exploitation.    Les magasins à succursales représentaient le reste (41 %). Dans le sous-secteur des magasins à succursales, les supermarchés détenaient la plus grande part (22,3 %) des revenus totaux d'exploitation. Augmentation négligeable de la marge brute du commerce de détail    La marge brute en proportion des revenus d'exploitation de l'ensemble des détaillants a légèrement augmenté, passant de 26,2 % en 2001 à 26,6 % en 2002. Ce sont les magasins de bière, de vin et de spiritueux qui ont vu leur marge s'accroître le plus en pourcentage, celle-ci étant passée, au cours de la même période, de 40,0 %  à 47,7 %. Cette forte augmentation est attribuable à des ventes de spiritueux, qui représentent une plus grande marge que la bière ou le vin, qui ont été proportionnellement supérieures. On a relevé d'autres gains pour les magasins de matériel et de logiciels, les détaillants de meubles, les concessionnaires de véhicules automobiles neufs et les concessionnaires de véhicules automobiles d'occasion et de plaisance et de pièces.    Dans l'ensemble, les magasins à succursales ont présenté des marges brutes bien supérieures (32,9 %) à celles des magasins indépendants (22,2 %). En ce qui a trait aux magasins à succursales, la marge la plus élevée en pourcentage a été observée dans les magasins de bière, de vin et de spiritueux (50,8 %). Dans le cas des magasins indépendants, le groupe des magasins de chaussures et d'accessoires vestimentaires et des bijouteries dominait à cet égard (44,3 %). Enfin, les concessionnaires de véhicules automobiles neufs avaient la marge brute la plus basse (13,6 %) pour les deux types de magasins. ______________________________________________________________________ Note aux lecteurs    Le présent communiqué combine les données de deux enquêtes : l'Enquête annuelle sur le commerce de détail en magasin, qui couvre les points de vente au détail indépendants, et l'Enquête annuelle sur les magasins à succursales, qui couvre les détaillants à succursales.    Les magasins de détail peuvent être classés en deux grands groupes : les magasins à succursales (y compris les grands magasins) et les détaillants indépendants. Un magasin à succursales est un organisme exploitant quatre points de vente au détail ou plus qui font partie de la même classe industrielle et qui appartiennent également à un même propriétaire, à n'importe quel moment de l'année de l'enquête, tandis qu'un détaillant indépendant exploite moins de quatre emplacements. Cette catégorisation diffère du concept d'exploitation franchisée ou sous marque, où l'entreprise (parfois un magasin à succursales mais plus souvent un détaillant indépendant) est autorisée à vendre un produit ou un service particulier sous une appellation commerciale annoncée.    Les données du présent communiqué sont fondées sur le Système de classification des industries de l'Amérique du Nord (SCIAN). Les résultats peuvent différer de ceux publiés ailleurs selon la Classification type des industries de 1980 (CTI). Le SCIAN englobe, dans le secteur du commerce de détail, les établissements qui étaient classés dans le commerce de gros dans la CTI de 1980, comme les marchands de matériaux de construction, les magasins d'ordinateurs et de logiciels et les magasins de fournitures de bureau et de papeterie. Dans le SCIAN, les établissements ayant pour activité principale la réparation d'automobiles sont classés dans les services.    On obtient la marge brute en soustrayant le coût des ventes du total des revenus d'exploitation. Le ratio s'exprime sous forme de pourcentage du total des revenus d'exploitation. Cette mesure s'appelle également la rentabilité d'exploitation.    On obtient le bénéfice d'exploitation en soustrayant du total des revenus d'exploitation le total des dépenses d'exploitation, majorées pour tenir compte du coût des ventes (les stocks d'ouverture, plus les achats et les coûts directs moins les stocks de fermeture). Le ratio s'exprime sous forme de pourcentage du total des revenus d'exploitation.    On obtient le ratio dépenses-revenus d'exploitation en divisant le total des dépenses d'exploitation par le total des revenus d'exploitation. Ce rapport s'exprime sous forme de pourcentage du total des revenus d'exploitation. ______________________________________________________________________ Le ratio dépenses-revenus demeure stable    Si les revenus d'exploitation étaient en plein essor, les détaillants ont su contrôler leurs dépenses en 2002. Dans l'ensemble, le ratio dépenses-revenus d'exploitation est demeuré pour ainsi dire inchangé, se situant à 20,1 %. Il s'établissait à 20,0 % en 2001. Les valeurs ont été supérieures à la moyenne nationale pour 12 des 19 principaux groupes de commerce de détail. Elles se situaient entre un maximum de 39,3 % pour les magasins de vêtements et un minimum de 21,7 % pour les dépanneurs et les magasins d'alimentation spécialisés. De tous les grands groupes, c'est celui des concessionnaires de véhicules automobiles neufs qui a affiché le ratio le plus bas (9,9 %) en 2002. Amélioration des revenus d'exploitation des détaillants    La croissance des revenus d'exploitation des détaillants s'est traduite par de meilleurs bénéfices en 2002. Les bénéfices d'exploitation ont dépassé 22 milliards de dollars, en hausse comparativement à environ 20 milliards de dollars en 2001. Globalement, ils sont passés de 6,2 % des revenus d'exploitation en 2001 à 6,6 % en 2002. Le peloton de tête était formé des groupes suivants : les magasins de bière, de vin et de spiritueux, les magasins de chaussures et d'accessoires vestimentaires et les bijouteries, les concessionnaires de véhicules automobiles neufs, les centres de rénovation et les quincailleries. Malgré cette progression générale des marges bénéficiaires, il y a de grands groupes de commerce qui se sont moins bien tirés d'affaire en 2002 qu'en 2001 dont les magasins de fournitures de tout genre, d'accessoires de maison, de matériel et de logiciels, d'articles de sport, de passe-temps et de musique et de livres. Mis à part les concessionnaires de véhicules automobiles, les détaillants réduisent leurs stocks    Dans l'ensemble, les stocks se sont accrus de 10,0 % en 2002 pour atteindre 47,7 milliards de dollars. Cette accumulation est en grande partie attribuable aux concessionnaires de véhicules automobiles neufs et aux concessionnaires de véhicules d'occasion et de plaisance et de pièces. À la faveur d'une amélioration de la demande en 2002, ces groupes ont haussé leurs stocks de 17,5 %.    Si on exclut les concessionnaires de véhicules neufs et les concessionnaires de véhicules d'occasion et de plaisance et de pièces, les détaillants ont augmenté leurs stocks à peu près au même rythme que leurs revenus totaux d'exploitation. Les stocks de fermeture sont passés de 28,9 milliards de dollars en 2001 à 30,7 milliards de dollars en 2002. L'accumulation était bien répartie, puisque 13 des 16 groupes de commerce avaient accru ou maintenu leurs stocks. Les magasins de matériel et de logiciels, les magasins de matériaux de construction spécialisés et d'articles de jardinage et les dépanneurs et les magasins d'alimentation spécialisés avaient, quant à eux, réduit leurs stocks à la fin de l'exercice 2002 par rapport à 2001. Les provinces et les territoires affichent une hausse de leurs revenus d'exploitation    Les revenus d'exploitation ont augmenté en 2002 dans l'ensemble des provinces et des territoires. Le groupe formé du Yukon, des Territoires du Nord-Ouest et du Nunavut et l'Alberta ont mené le mouvement avec des hausses respectives de 12,3 % et 7,6 %. Ces bons résultats sont principalement attribuables à une solide progression de la construction résidentielle et de la vente de produits ménagers et à l'accroissement des ventes d'automobiles. Le Manitoba suivait avec une augmentation de 7,5 % des revenus d'exploitation, devançant l'Ontario (+7,0 %). Définitions, source de données et méthodes : numéros d'enquête, y compris ceux des enquêtes connexes, 2446 et 2448.    Pour obtenir des données ou des renseignements généraux, communiquez avec les Services à la clientèle au (613) 951-3549 ou composez sans frais le 1 877 421-3067 (detaillantsinfo@statcan.ca). Pour plus de renseignements ou pour en savoir davantage sur les concepts, les méthodes et la qualité des données, communiquez avec Augustine Akuoko-Asibey au (613) 951-7330 (augustine.akuoko-asibey@statcan.ca), Division de la statistique du commerce.     -------------------------------------------------------------------------------- Tableau : Commerce de détail selon le groupe de commerce 2002 _____________________________________________________________________ Revenus Dépenses Marge d'exploitation d'exploitation brute _____________________________________________________________________ en en millions en millions millions de dollars de dollars de dollars -------------- -------------- ---------- Total 344 423 69 066 91 681 Concessionnaires d'automobiles neuves 77 577 7 687 10 551 Concessionnaires de véhicules automobiles d'occasion, de plaisance et de pièces 15 189 2 849 3 528 Magasins de meubles 7 873 2 545 3 068 Magasins d'accessoires de maison 4 296 1 426 1 682 Magasins d'ordinateurs et de logiciels 2 635 630 692 Magasins d'appareils électroniques et d'électroménagers 8 382 2 310 2 641 Centres de rénovation et quincailleries 13 797 2 559 3 893 Magasins de matériaux de construction spécialisés et de jardinage 4 932 1 316 1 491 Supermarchés 54 679 10 764 13 319 Dépanneurs et magasins d'alimentation spécialisés 12 312 2 675 3 284 Magasins de bière, de vin et de spiritueux 12 390 1 725 5 914 Pharmacies et magasins de produits de soins personnels 21 887 5 598 6 787 Stations-service 29 330 3 835 7 403 Magasins de vêtements 15 153 5 952 6 767 Magasins de chaussures, bagages et bijouteries 5 133 1 986 2 391 Magasins d'articles de sport, de passe-temps, de musique et libraires 9 225 3 067 3 405 Magasins de marchandises diverses 38 817 8 014 10 284 Magasins de détail divers 10 818 4 127 4 580 _____________________________________________________________________ __________________________________________________________ Revenus Bénéfice d'exploitation, d'exploitation 2001 à 2002 __________________________________________________________ en millions de dollars var. en % -------------- --------------- Total 22 615 6,6 Concessionnaires d'automobiles neuves 2 864  7,3  Concessionnaires de véhicules automobiles d'occasion, de plaisance et de pièces 679  9,3  Magasins de meubles 523  8,0  Magasins d'accessoires de maison 256  7,2  Magasins d'ordinateurs et de logiciels 63 -4.0 Magasins d'appareils électroniques et d'électroménagers 331  13,5  Centres de rénovation et quincailleries 1 334  20,9  Magasins de matériaux de construction spécialisés et de jardinage 175  10,8  Supermarchés 2 555  6,5  Dépanneurs et magasins d'alimentation spécialisés 609  5,7  Magasins de bière, de vin et de spiritueux 4 189  9,9  Pharmacies et magasins de produits de soins personnels 1 189  7,5  Stations-service 3 568  1,0  Magasins de vêtements 816  2,4  Magasins de chaussures, bagages et bijouteries 405  4,4  Magasins d'articles de sport, de passe-temps, de musique et libraires 338  3,9  Magasins de marchandises diverses 2 269  4,1  Magasins de détail divers 452  5,8  __________________________________________________________ -------------------------------------------------------------------------------- Tableau : Commerce de détail selon la province et le territoire 2002 _____________________________________________________________________________ Nombre de magasins, Nombre de Revenus Marge 2001 à magasins d'exploitation brute 2002 _____________________________________________________________________________ en en millions millions de dollars de dollars var. en % -------------- ---------- ---------- Canada 201 995 344 423 91 681 4,3 Terre-Neuve et Labrador 3 834 5 386 1 337 3,2 Île-du-Prince-Édouard 985 1 398 351 -1,2 Nouvelle-Écosse 6 065 10 014 2 688 1,4 Nouveau-Brunswick 4 949 8 049 1 973 2,0 Québec 50 768 78 023 20 134 1,0 Ontario 74 754 130 631 36 128 7,1 Manitoba 6 424 11 872 3 031 3,3 Saskatchewan 6 516 10 221 2 656 2,9 Alberta 20 215 42 056 10 562 3,7 Colombie-Britannique 26 946 45 589 12 465 5,4 Yukon, Territoires du Nord Ouest et Nunavut 26 946 1 185 356 5,5 _____________________________________________________________________________ __________________________________________________________ Revenus d'exploitation, Revenus 2001 à 2002 d'exploitation __________________________________________________________ répartition var. en % en % --------------- -------------- Canada 6,6 100,0 Terre-Neuve et Labrador 3,4 1,6 Île-du-Prince-Édouard 2,4 0,4 Nouvelle-Écosse 5,5 2,9 Nouveau-Brunswick 5,9 2,3 Québec 6,1 22,7 Ontario 7,0 37,9 Manitoba 7,5 3,4 Saskatchewan 5,9 3,0 Alberta 7,6 12,2 Colombie-Britannique 5,8 13,2 Yukon, Territoires du Nord Ouest et Nunavut 12,3 0,3 __________________________________________________________ -------------------------------------------------------------------------------- Étude : L'innovation dans les petites entreprises 2002    L'innovation technologique se fait au même rythme dans les petites entreprises que dans les grandes, selon une nouvelle étude.    Toutefois, les petits innovateurs technologiques sont nettement moins susceptibles d'utiliser les technologies de l'information et des communications (TIC) plus complexes, plus nouvelles et, parfois, davantage axées sur les ressources, comme les intranets et les extranets.    L'utilisation de TIC exige une mise à jour à laquelle il faut affecter des compétences spécialisées maison ou des ressources facilement accessibles engagées à contrat, ce qui peut être considéré comme représentant un coût supplémentaire alors que les avantages perçus sont faibles, selon l'étude qui a analysé les données de l'Enquête sur le commerce électronique et la technologie de 2002.    De façon générale, les petites entreprises sont moins susceptibles d'avoir une présence sur le Web que les grandes. Toutefois, les petits innovateurs technologiques comptant d'un à 19 employés à temps plein sont presque deux fois plus susceptibles d'avoir un site Web sur Internet et trois fois plus susceptibles de faire du commerce sur Internet que leurs homologues non-innovateurs.    Les petites entreprises qui ont fait l'acquisition de technologies et qui ont affiché des ventes de nouveaux produits étaient plus susceptibles d'avoir une présence sur le Web que leurs homologues qui ont vendu de nouveaux produits seulement ou qui ont seulement acquis de nouvelles technologies.    La méthode la plus facilement accessible d'acquisition de nouvelles technologies, soit l'achat de technologies de série, est également la méthode la plus souvent utilisée par les entreprises de toutes tailles. Les petites entreprises ont tendance à ne pas utiliser les méthodes plus complexes et considérées comme plus coûteuses d'acquisition de nouvelles technologies qui peuvent être moins rentables pour elles. Définitions, source de données et méthodes : numéro d'enquête 4225.    Le document de travail Les entreprises innovatrices : les petites entreprises (88F0006XIF2004010, gratuit) est maintenant accessible en ligne.    Pour plus de renseignements ou pour en savoir davantage sur les concepts, les méthodes et la qualité des données, communiquez avec Louise Earl au (613) 951-2880, Division des sciences, de l'innovation et de l'information électronique. -------------------------------------------------------------------------------- Utilisation par les industries primaires et manufacturières de matériel et de systèmes innovateurs pour réduire les émissions de gaz à effet de serre 2002 (données provisoires)    Le présent communiqué porte sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre par les industries primaires et manufacturières du Canada. Les données ont été recueillies au moyen de l'Enquête sur les dépenses de protection de l'environnement de 2002.    Environ le quart des entreprises dans 16 industries primaires et manufacturières ont utilisé du matériel ou des systèmes innovateurs entre 2000 et 2002 pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, et 13 % de ces entreprises ont qualifié d'importante l'incidence sur leurs émissions.    Les industries liées aux combustibles fossiles étaient les plus innovatrices sur le plan de l'adoption de matériel ou de systèmes nouveaux ou sensiblement améliorés pour réduire les émissions de gaz à effet de serre. L'industrie du transport par pipeline s'est classée au premier rang, 71 % des répondants déclarant avoir adopté de tels systèmes innovateurs. Elle était suivie de près par l'industrie de l'extraction de pétrole et de gaz (65 %) et de l'industrie de la distribution de gaz naturel (58 %). Juste un peu plus du tiers des entreprises de l'industrie des produits du pétrole et du charbon (39 %) et celle des usines de pâtes à papier, de papier et de carton (35 %) ont adopté du matériel ou des systèmes nouveaux ou sensiblement améliorés.    Près de neuf entreprises sur 10 ont indiqué que ces méthodes innovatrices avaient une incidence faible (44 %) ou moyenne (44 %) sur leurs émissions globales de gaz à effet de serre. Les autres ont déclaré une incidence importante, l'industrie de la production, du transport et de la distribution d'électricité, où 32 % des répondants ont déclaré une incidence importante, venant en tête, suivie de l'industrie de la distribution de gaz naturel (29 %).    Les questions d'ordre économique étaient à la fois le principal facteur et le principal obstacle pour les entreprises quant à l'adoption de méthodes innovatrices de réduction des émissions de gaz à effet de serre. Plus particulièrement, le rendement suffisant des investissements (54 %) était le principal facteur en ce qui a trait à l'adoption par les entreprises de matériel ou de systèmes nouveaux ou sensiblement améliorés pour réduire les émissions, tandis que le coût élevé du matériel (51 %) et l'absence de financement (33 %) étaient les principaux obstacles. Les entreprises ont cité également comme facteurs importants la politique de l'entreprise (44 %) et les règlements (41 %). Ils ont mentionné aussi, mais moins souvent, les relations publiques (27 %) et les accords volontaires (25 %). Près du quart des entreprises ont déclaré que la pénurie d'information ou de connaissances se rapportant au matériel ou aux systèmes nouveaux ou sensiblement améliorés permettant de ré! duire les émissions de gaz à effet de serre constituait un obstacle. Une proportion semblable d'entreprises ont déclaré qu'il y avait une pénurie de matériel ou de systèmes nouveaux ou sensiblement améliorés disponibles sur le marché.    Entre 90 % et 95 % des entreprises dans les industries de l'extraction du pétrole et du gaz, de la distribution de gaz naturel et du transport par pipeline ont déclaré avoir utilisé du matériel ou des systèmes pour réduire leurs émissions de gaz à effet de serre fugitives ou dans l'air en 2002.    Les entreprises utilisent des procédés et des technologies de conservation de l'énergie pour différentes raisons, par exemple pour réduire les polluants et les coûts ou pour améliorer la productivité. Dans l'Enquête sur les dépenses de protection de l'environnement de 2002, on a demandé aux répondants d'indiquer à partir d'une liste quels procédés ou technologies de conservation de l'énergie ils utilisaient. Dans l'ensemble, les répondants ont mentionné le plus souvent les systèmes ou le matériel de transformation de résidus en énergie (14 %), suivis de la cogénération (9 %) et de l'utilisation de combustibles de substitution (8 %). Bien que, dans l'ensemble, les taux de participation pour ce qui est de la transformation de résidus en énergie et de l'utilisation de combustibles de substitution aient baissé en 2002 comparativement à 2000, l'utilisation d'énergie solaire a augmenté, particulièrement dans les industries de l'extraction de pétrole et de gaz, de l'extraction m! inière, et de la production, du transport et de la distribution d'électricité. Définitions, source de données et méthodes : numéro d'enquête 1903.    Les tableaux de cette diffusion de données sont maintenant offerts sur demande. Des renseignements sur les méthodes de prévention de la pollution et de gestion environnementale utilisées par les industries primaires et manufacturières peuvent également être obtenus.    Pour en savoir davantage sur les concepts, les méthodes et la qualité des données, communiquez avec Bruce Mitchell au (613) 951-5347 ou avec l'agent d'information au (613) 951-0297 (environ@statcan.ca), Division des comptes et de la statistique de l'environnement. -------------------------------------------------------------------------------- Stocks de viande de volaille congelée 1er mai 2004 (données provisoires)    Les stocks de viande de volaille congelée au 1er mai étaient de 51 860 tonnes métriques, en baisse de 3,2 % par rapport au 1er mai 2003. Données stockées dans CANSIM : tableaux 003-0023 et 003-0024. Définitions, source de données et méthodes : numéro d'enquête 3425.    Pour plus de renseignements ou pour en savoir davantage sur les concepts, les méthodes et la qualité des données, communiquez avec Debbie Dupuis au (613) 951-2553 (debbie.dupuis@statcan.ca), Division de l'agriculture. -------------------------------------------------------------------------------- Ventes de gaz naturel Mars 2004 (données provisoires)    Les ventes de gaz naturel ont totalisé 7 457 millions de mètres cubes en mars, en baisse de 8,7 % comparativement à mars 2003. Un temps plus chaud que la normale à travers le pays a contribué au recul des ventes. Le secteur résidentiel a connu une baisse de 14,0 %, alors que le secteur commercial a connu un recul plus important de 15,4 %. Les ventes du secteur industriel (y compris les ventes directes) ont enregistré un déclin de 2,2 %.    Les ventes cumulatives jusqu'à la fin de mars ont connu un recul de 1,4 % comparativement à la même période en 2003. Les secteurs résidentiel (-1,3 %) et commercial (-6,0 %) ont affiché des baisses. Les ventes du secteur industriel (y compris les ventes directes) se sont accrues de 0,8 % depuis le début de l'année. -------------------------------------------------------------------------------- Tableau : Ventes de gaz naturel _____________________________________________________ Mars Mars 2003 2004(p) Mars 2003 à mars 2004 _____________________________________________________ en en milliers milliers de mètres de mètres cubes cubes var. en % ----------- ----------- ----------- Ventes totales 7 457 435 8 163 880 -8,7 Résidentielles 2 082 658 2 423 056 -14,0 Commerciales 1 537 036 1 815 786 -15,4 Industrielles 1 794 529 1 774 521 -2,2 Directes 2 043 212 2 150 517 ----------- ----------- ----------- données données données cumulatives cumulatives cumulatives ----------- ----------- ----------- 2004(p) 2003 2003 à 2004 ----------- ----------- ----------- en en milliers milliers de mètres de mètres cubes cubes var. en % ----------- ----------- ----------- Ventes totales 25 492 307 25 861 620 -1,4 Résidentielles 7 865 416 7 965 690 -1,3 Commerciales 5 694 783 6 055 762 -6,0 Industrielles 5 445 006 5 349 694 0,8 Directes 6 487 102 6 490 474 _____________________________________________________ p Données provisoires. Données stockées dans CANSIM : tableaux 129-0001 à 129-0004. Définitions, source de données et méthodes : numéro d'enquête 2149.    Pour obtenir des données ou des renseignements généraux, communiquez avec l'agent de diffusion au (613) 951-9497 ou composez sans frais le 1 866 873-8789 (energ@statcan.ca). Pour en savoir davantage sur les concepts, les méthodes et la qualité des données, communiquez avec Pierre Després au (613) 951-3579 (pierre.després@statcan.ca) ou avec Lloyd Cundell au (613) 951-7346 (lloyd.cundell@statcan.ca), Division de la fabrication, de la construction et de l'énergie. -------------------------------------------------------------------------------- Acier en formes primaires, données hebdomadaires Semaine se terminant le 15 mai 2004 (données provisoires)    La production d'acier en formes primaires pour la semaine se terminant le 15 mai a atteint 319 416 tonnes métriques, en hausse de 0,8 % par rapport à la production de 316 852 tonnes de la semaine précédente et de 14,5 % comparativement à la production de 278 863 tonnes de la semaine correspondante en 2003.    Le total cumulatif au 15 mai était de 6 127 084 tonnes, en hausse de 1,9 % comparativement aux 6 014 725 tonnes produites au cours de la même période en 2003. Définitions, source de données et méthodes : numéro d'enquête 2131.    Pour plus de renseignements ou pour en savoir davantage sur les concepts, les méthodes et la qualité des données, communiquez avec l'agent de diffusion au (613) 951-9497 ou composez sans frais le 1 866 873-8789 (manufact@statcan.ca), Division de la fabrication, de la construction et de l'énergie. -------------------------------------------------------------------------------- NOUVEAUX PRODUITS Balance des paiements internationaux du Canada, quatrième trimestre de 2003, vol. 51, no 4 Numéro au catalogue : 67-001-XIF (32 $/100 $). Division des sciences, de l'innovation et de l'information électronique, documents de travail : les entreprises innovatrices : les petites entreprises, 2002, no 10 Numéro au catalogue : 88F0006XIF2004010 (gratuit). Les prix sont en dollars canadiens et n'incluent pas les taxes de vente. Des frais de livraison supplémentaires s'appliquent aux envois à l'extérieur du Canada. Les numéros au catalogue se terminant par : -XIB ou -XIF représentent la version électronique offerte sur Internet, -XMB ou -XMF, la version microfiche, -XPB ou -XPF, la version papier, -XDB ou -XDF, la version électronique sur disquette et -XCB ou -XCF, la version électronique sur CD-ROM. -------------------------------------------------------------------------------- CALENDRIER DES COMMUNIQUÉS : 23 au 28 mai (A cause de circonstances imprévisibles, les dates de parution peuvent être modifiées.) _______________________________________________________________________________ Date de Titre Période de parution référence _______________________________________________________________________________ 25 Commerce de gros Mars 2004 25 Commerce de détail Mars 2004 26 Caractéristiques des voyageurs Quatrième internationaux trimestre de 2003 26 Compte des voyages internationaux Premier trimestre de 2004 26 Assurance-emploi Mars 2004 27 Recettes monétaires agricoles Premier trimestre de 2004 27 Revenu agricole net 2003 27 Emploi, rémunération et heures de travail Mars 2004 28 Indices des prix des produits industriels Avril 2004 et des matières brutes 28 Balance des paiements internationaux Premier trimestre de 2004