L'utilisation d'une police à espacement constant, comme Courier, améliore l'affichage. ** Contenu du QUOTIDIEN aujourd'hui ** Fichier PDF téléchargeable : http://www.statcan.ca/Daily/Francais/040601/q040601.pdf Site Web : http://www.statcan.ca/Daily/Francais/040601/tq040601.htm 04 06 01 08 30 Le mardi 1er juin 2004. Diffusé à 8 h 30, heure de l'Est COMMUNIQUÉS PRINCIPAUX Enquête pilote sur les crimes motivés par la haine, 2001 et 2002 Une enquête pilote menée auprès de 12 grands services de police de partout au pays a permis de dénombrer 928 affaires de crimes motivés par la haine en 2001 et en 2002, dont plus de la moitié ont été motivés par la race ou l'origine ethnique. La religion se classait au deuxième rang des motifs de haine les plus courants, suivie de l'orientation sexuelle. AUTRES COMMUNIQUÉS Investissement en construction résidentielle, premier trimestre de 2004 Population des entreprises employeurs, premier trimestre de 2004 Indice des prix des entrées dans l'agriculture, 2003  Énergie électrique, mars 2004 Charbon et coke, mars 2004 NOUVEAUX PRODUITS -------------------------------------------------------------------------------- Enquête pilote sur les crimes motivés par la haine 2001 et 2002    Selon une enquête pilote, 12 grands services de police de partout au pays ont déclaré 928 affaires de crimes motivés par la haine en 2001 et en 2002. Alors qu'un seul motif figurait dans la majorité de ces affaires, dans certains cas, plus d'un motif a été consigné. Dans l'ensemble, plus de la moitié de ces crimes motivés par la haine avaient pour motif la race ou l'origine ethnique (57 %). La religion s'est classée au deuxième rang des motifs de haine les plus courants, figurant dans 43 % des affaires. L'orientation sexuelle était le motif mentionné dans environ un dixième des affaires.    Les Noirs et les Asiatiques du Sud figuraient parmi les personnes les plus souvent visées dans les affaires de crimes motivés par la haine de la race ou de l'origine ethnique. La majorité des affaires motivées par la religion avaient un caractère antisémite et elles étaient suivies des affaires ciblant les musulmans.    Dans l'enquête pilote, les personnes et les établissements juifs formaient le plus grand des groupes visés. Le quart des 928 affaires de crimes motivés par la haine déclarées par les 12 services de police participants étaient de nature antisémite.    Parmi les types les plus courants de crimes motivés par la haine figuraient les méfaits ou le vandalisme (29 %), les voies de fait (25 %), les menaces (20 %) et la propagande haineuse (13 %). Ces types d'infractions variaient selon le motif du crime motivé par la haine.    Un peu plus de la moitié (53 %) des crimes motivés par la haine à caractère racial ou ethnique étaient des infractions contre la personne, notamment les voies de fait ou l'emploi de menaces, le harcèlement criminel et le vol qualifié. Dans le cas de crimes motivés par la haine de la religion, environ les deux tiers étaient des actes de vandalisme, des incendies criminels, d'autres infractions contre les biens ou de la propagande haineuse. ______________________________________________________________________ Note aux lecteurs    Le Centre canadien de la statistique juridique, en collaboration avec 12 grands services de police au Canada et grâce au financement accordé dans le cadre du Projet de recherche sur les politiques du gouvernement, a mené une enquête pilote sur les crimes motivés par la haine au Canada. Cette enquête visait à évaluer la possibilité de recueillir des données nationales sur les crimes motivés par la haine auprès des services de police.    Le présent communiqué repose sur la publication Juristat qui présente les résultats de cette enquête pilote non représentative, qui a permis de recueillir des données sur les crimes motivés par la haine signalés à la police en 2001 et en 2002.    Les services de police ayant participé sont ceux de Calgary, d'Edmonton, de la région de Halton, de Montréal, d'Ottawa, de Regina, de Sudbury, de Toronto, de Waterloo, de Windsor et de Winnipeg, ainsi que la Gendarmerie royale du Canada (excluant les détachements de la Colombie-Britannique). Ces services regroupés représentaient environ 43 % du volume national de criminalité mesuré dans le cadre du Programme de déclaration uniforme de la criminalité.    Au Canada, la définition de crime motivé par la haine découle des articles du Code criminel sur la propagande haineuse et sur l'objectif et les principes de la détermination de la peine. Les crimes motivés par la haine sont des infractions ayant été «motivée(s) par un parti pris, des préjugés ou de la haine, fondés sur des facteurs tels que la race, l'origine nationale ou ethnique, la langue, la couleur, la religion, le sexe, l'âge, la déficience intellectuelle ou physique, l'orientation sexuelle ou tout autre facteur similaire». ______________________________________________________________________    Les individus ciblés en raison de leur orientation sexuelle étaient plus susceptibles que ceux de certains autres groupes d'être victimes de crimes avec violence, notamment de voies de fait et de menaces. Victimes : les crimes motivés par la haine ont des répercussions importantes    Certains aspects des crimes motivés par la haine, tels que la crainte d'être la victime d'un crime motivé par la haine à caractère ethnoculturel, ont également été mesurés par l'Enquête sur la diversité ethnique (EDE), qui a servi à examiner les répercussions de ces crimes sur les minorités visibles et sur les diverses confessions religieuses.    L'EDE a révélé qu'en 2002, 5 % des Canadiens de 15 ans et plus craignaient de devenir la victime d'un crime motivé par la haine à caractère ethnoculturel. Ce pourcentage atteignait 11 % au sein de la population des minorités visibles. Le degré de crainte de victimisation indiqué par les membres des religions hindoue, juive et musulmane était également supérieur à celui de la population en général.    En 2001 et en 2002, les victimes ont été identifiées dans plus de 80 % des 928 affaires de crimes motivés par la haine déclarées par les 12 services de police participants. Il s'agissait presque toujours d'une seule victime.    Il y a eu, au total, 794 victimes, qui étaient âgées, en moyenne, de 36 ans, et dont les deux tiers étaient des hommes.    L'enquête pilote a permis de conclure que, dans les cas où l'on a pu déterminer la relation entre la victime et l'accusé, 83 % des victimes ne connaissaient pas l'auteur de l'infraction. En outre, 15 % des victimes ont déclaré que l'auteur présumé était une simple connaissance ou une relation d'affaires.    La moitié (49 %) des 447 crimes avec violence motivés par la haine, l'agresseur a menacé d'utiliser la force physique. Il a effectivement employé la force dans 34 % des affaires. Un type d'arme quelconque, le plus souvent un couteau ou un instrument tranchant, a servi dans environ 17 % des affaires de crimes avec violence. Des armes de type arme à feu, notamment les fusils à plomb, étaient impliqués dans trois cas de crime avec violence.    Dans l'ensemble, le quart des victimes de crime avec violence ont été blessées par suite d'un crime motivé par la haine. Dans 45 % de ces affaires, les blessures étaient mineures. Environ 7 % des victimes ont subi des blessures graves, deux d'entre elles étant décédées. Pour les autres 48 %, le degré de gravité des blessures était inconnu.    Environ 46 % des gais et des lesbiennes qui ont été victimes de crimes motivés par la haine ont subi des blessures par suite de l'affaire. Cette proportion était d'environ le double de celle des victimes de crimes motivés par la haine en général (25 %). Le suspect est inculpé dans environ la moitié des affaires    Étant donné la nature même de certains types d'infractions motivées par la haine, il est plus difficile d'identifier un suspect. Cela s'applique particulièrement aux cas de graffiti, d'autres actes de vandalisme ou d'affaires comportant des messages anonymes de haine.    L'enquête pilote a permis de conclure que l'identification de l'auteur présumé s'est faite dans un peu moins de la moitié (48 %) des 928 affaires de crimes motivés par la haine. Une seule personne a été accusée dans la majorité de ces affaires (86 %).    Au cours de la période de deux ans, la police a consigné les caractéristiques de 520 des 537 auteurs présumés. L'âge moyen des auteurs présumés était de 29 ans et ils étaient majoritairement des hommes (84 %). Les femmes constituaient seulement 10 % des auteurs présumés, tandis que le sexe de 5 % de ces derniers n'a pas été consigné.    Dans l'ensemble, moins d'un auteur présumé sur dix avait déjà pris part à des activités criminelles.    Bien que la majorité des personnes accusées de crimes motivés par la haine par les 12 services de police participants aient été impliquées dans des cas isolés, 4 % avaient déjà participé à des crimes motivés par la haine et 3 % avaient des liens avec une bande ou un groupe extrémiste. Les types d'infractions varient selon le motif du crime motivé par la haine    Un peu plus de la moitié (52 %) des 928 affaires de crimes motivés par la haine consignées dans cette enquête étaient des infractions contre la personne, tandis que 31 % étaient des infractions contre les biens. Les autres crimes motivés par la haine ont été classés dans les «autres» violations (17 %), dont la majorité était de la propagande haineuse.    Parmi les infractions, les crimes motivés par la haine les plus fréquents étaient notamment les méfaits ou le vandalisme, qui représentaient 29 % des affaires, suivis des voies de fait (25 %), des menaces (20 %) et de la propagande haineuse (13 %).    Les types d'infractions variaient selon le motif. Les crimes motivés par la haine à caractère racial ou ethnique étaient plus susceptibles de consister en des voies de fait (29 %), des méfaits ou du vandalisme (26 %), des menaces (17 %) ou de la propagande haineuse (17 %).    Dans le cas de crimes motivés par la haine de la religion, plus du tiers avait trait à des méfaits ou à du vandalisme (36 %), suivis de la propagande haineuse et de l'emploi de menaces, qui représentaient chacun 23 % des affaires.    Les individus ciblés en raison de leur orientation sexuelle étaient plus susceptibles que les autres victimes de crimes motivés par la haine de subir un crime avec violence. Les victimes de crimes motivés par la haine de l'orientation sexuelle ont subi des voies de fait dans 41 % des affaires, suivies des méfaits et du vandalisme, qui représentaient un peu plus du quart (27 %), et des menaces (14 %). -------------------------------------------------------------------------------- Tableau : Affaires de crimes motivés par la haine, selon le motif, 12 grands services de police au Canada() 2001-2002 _________________________________________________ Motif % du Nombre total(1) _________________________________________________ Total des affaires 928 100 Race ou origine ethnique 528 57 Noire 156 17 De l'Asie du Sud(2) 96 10 Ethnicité ou race multiple(3) 84 9 Arabe ou de l'Asie occidentale(4) 72 8 Autre race ou origine ethnique(5) 59 6 De l'Asie orientale ou du Sud-Est(6) 47 5 Blanche 45 5 Race ou origine ethnique inconnue 18 2 Autochtone(7) 7 1 Religion 398 43 Juive 229 25 Islamique 102 11 Inconnue 45 5 Autre(8) 35 4 Catholique 12 1 Aucune religion 0 0 Orientation sexuelle 95 10 Gai ou lesbienne 88 9 Inconnue 7 1 Autre(9) 2 0 Bisexuelle 2 0 Hétérosexuelle 0 0 Langue 12 1 Anglais 6 1 Français 3 0 Autre 2 0 Inconnue 2 0 Sexe 8 1 Âge 4 0 Incapacité 6 1 Physique 3 0 Inconnue 2 0 Autre 1 0 Mentale 0 0 Autre motif(10) 14 2 Motif inconnu(11) 26 3 _________________________________________________ 1. En raison des réponses multiples, il se peut que la somme des pourcentages dépasse 100. 2. Comprend les affaires ciblant les personnes des Indes orientales, les Pakistanais et les Sri-Lankais. 3. Comprend les affaires ciblant plusieurs catégories raciales ou ethniques, notamment les affaires anti-immigration et celles qui sont perpétrées par des membres de groupes militants pour la suprématie blanche. 4. Comprend les affaires ciblant les Arabes, les Afghans, les Iraniens et les Iraquiens. 5. Comprend les Latino-Américains, les Européens et les autres groupes non déjà mentionnés. 6. Comprend les Chinois, les Philippins, les Cambodgiens, les Indonésiens, les Laotiens, les Vietnamiens, les Japonais et les Coréens. 7. Comprend les Indiens de l'Amérique du Nord, les Métis et les Inuits. 8. Comprend le protestantisme, le christianisme orthodoxe oriental, le bouddhisme, l'hindouisme, le sikhisme et les autres religions non déjà mentionnées. 9. Comprend les transsexuels, les travestis et les personnes ayant une orientation sexuelle qui ne font pas partie des autres catégories. 10. Comprend les affaires de crimes motivés par la haine dont le motif est connu, mais qui n'entrent pas dans une des catégories déjà mentionnées. 11. Comprend les affaires qui, selon les services de police, ont une composante de haine, mais dont le motif réel est inconnu. Les crimes motivés par la haine sont plus susceptibles d'être signalés à la police    Selon l'Enquête sociale générale de 1999, près de la moitié (45 %) des victimisations déclarées par les répondants relatives aux crimes motivés par la haine ont été signalées à la police. Les affaires motivées par la haine étaient plus susceptibles d'être signalées que les autres types de crimes. En effet, seulement 37 % des affaires dans lesquelles la victime ne voyait aucun lien entre l'incident et un motif de haine ont été signalées à la police.    La différence entre les taux de déclaration peut être attribuable en partie au fait que dans près de la moitié des affaires de crimes motivés par la haine, l'auteur était un étranger et que les victimes étaient plus susceptibles de signaler à la police un incident perpétré par un étranger.    De plus, une proportion plus forte de crimes motivés par la haine sont, de par leur nature, violents. La gravité de l'infraction influe sur la décision de la victime de la signaler à la police. 11 septembre : une augmentation des crimes motivés par la haine pour une courte période    Les 12 services de police participant à l'enquête pilote ont conclu qu'il y a eu une augmentation de courte durée du nombre de crimes motivés par la haine signalés à la suite des attaques terroristes qui ont eu lieu le 11 septembre 2001 aux États-Unis.    Dans l'ensemble, 15 % des crimes motivés par la haine survenus après les attaques et pendant la période de l'enquête pilote ont été associés par la police aux événements du 11 septembre 2001. Près des trois quarts de ces affaires ont eu lieu dans les deux mois suivant les attaques.    Les services de police ont signalé 232 crimes motivés par la haine pendant ces deux mois, soit trois fois le chiffre de 67 enregistré au cours de la même période de deux mois en 2000.    Les deux tiers (68 %) des affaires de crimes motivés par la haine que la police a associées aux événements étaient de nature violente, dont des voies de fait, du harcèlement criminel et des menaces. En outre, 23 % des affaires étaient des infractions contre les biens. Le vandalisme était présent dans 92 % des infractions contre les biens.    Les 9 % restants des affaires de crimes motivés par la haine associées au 11 septembre ont été classés dans les «autres» affaires, comme la propagande haineuse.    La religion et la race ou l'origine ethnique étaient susceptibles dans presque la même mesure d'être la cible de ces infractions. À peu près 30 % des affaires avaient pour victimes des musulmans, 27 %, des juifs, 15 %, des Américains et 13 %, des Arabes ou des Asiatiques occidentaux.    La publication Juristat : Les crimes motivés par la haine au Canada, 2001-2002, vol. 24, no 4 (85-002-XIF, 9 $ / 75 $; 85-002-XPF, 11 $ / 100 $) est maintenant en vente. Voir Pour commander les produits.    Pour plus amples renseignements ou pour en savoir davantage sur les concepts, les méthodes et la qualité des données, communiquez avec la Sous-section de l'information et des services à la clientèle au (613) 951-9023 ou composez sans frais le 1 800 387-2231, Centre canadien de la statistique juridique. -------------------------------------------------------------------------------- Investissement en construction résidentielle Premier trimestre de 2004    La valeur totale des investissements en construction résidentielle a atteint 13,8 milliards de dollars au premier trimestre de 2004, en hausse de 15,4 % par rapport au premier trimestre de 2003, une année exceptionnelle en ce qui a trait à la construction résidentielle. La croissance a été engendrée par des dépenses accrues dans les trois composantes de l'investissement en construction résidentielle à savoir les dépenses pour les nouveaux logements, les rénovations et les coûts d'acquisition.    Les taux hypothécaires très avantageux, la création de 235 000 emplois depuis le mois d'août 2003 et la forte confiance des consommateurs ont eu des répercussions positives sur la demande pour de nouveaux logements. L'augmentation de la valeur des logements a également eu un impact positif sur la valeur des investissements en construction résidentielle.    Les investissements en construction de logements neufs ont totalisé 7,1 milliards de dollars au premier trimestre de 2004, en hausse de 14,3 % par rapport au premier trimestre de 2003. La hausse la plus marquée (en dollars) a été observée dans les dépenses pour de nouveaux appartements/condominiums (+32,3% pour une valeur de 1,5 milliard de dollars). La poursuite des travaux pour les nombreux projets d'appartements/condominiums débutés à la fin de 2003, conjuguée à la hausse de la valeur moyenne des unités de logements, a contribué à cette hausse. Les dépenses d'investissements dans la construction de nouveaux logements unifamiliaux ont également connu une hausse marquée (+7,2% pour une valeur de 4,4 milliards de dollars).    Les dépenses en rénovations effectuées aux logements déjà existants se sont chiffrées à 5,3 milliards de dollars, en hausse de 14,2 % par rapport au premier trimestre de 2003. Les coûts d'acquisition ont quant à eux augmenté de 26,5 % pour s'établir à 1,4 milliard de dollars.    La plus forte hausse (en dollars) parmi les provinces est survenue au Québec, où les investissements ont bondi de 30,3 %, passant de 2,4 milliards de dollars à 3,2 milliards de dollars, étant donné la forte demande pour des logements neufs. La hausse a également été très prononcée en Colombie-Britannique (+32,7 %) grâce autant aux investissements pour les nouveaux logements que pour les rénovations. Nota : L'investissement en construction résidentielle se divise en trois composantes principales. La première est la construction résidentielle neuve, qui comprend les logements individuels, les maisons jumelées, les maisons en rangée et les appartements, les chalets, les maisons mobiles et les unités additionnelles de logements créées à partir d'anciens immeubles non résidentiels ou d'autres types d'immeubles résidentiels (transformations). Les rénovations forment la deuxième composante de l'investissement en construction résidentielle. Cette composante est constituée des améliorations et des modifications apportées à des logements existants. La troisième composante fait référence aux coûts d'acquisition, qui désignent la valeur des services liés à la vente de logements neufs. Ces coûts comprennent la taxe de vente, les frais de développement de terrain et les services ainsi que les frais d'étude de dossier pour fins d'assurance hypothécaire et la prime s'y rattachant.    L'exclusion des coûts de transferts de propriété du total de l'investissement présenté dans ce communiqué et dans le tableau 026-0013 de CANSIM fait en sorte que les chiffres diffèrent de ceux publiés dans les Comptes économiques nationaux (tableau de CANSIM 380-0010). Données stockées dans CANSIM : tableau 026-0013. Définitions, source de données et méthodes : numéro d'enquête 5016.    Pour plus de renseignements ou pour en savoir davantage sur les concepts, les méthodes et la qualité des données, communiquez avec Étienne Saint-Pierre au (613) 951-2025 (bdp_information@statcan.ca), Division de l'investissement et du stock de capital. -------------------------------------------------------------------------------- Tableau : Investissement en construction résidentielle _____________________________________________________________ Provinces et territoires Premier trimestre de 2003 au Premier Premier premier trimestre trimestre trimestre de 2003 de 2004 de 2004 _____________________________________________________________ en en millions millions de dollars de dollars var. en % ---------- ---------- ---------- Canada 11 930,4 13 765,1 15,4 Terre-Neuve-et-Labrador 92,0 114,1 24,1 Île-du-Prince-Édouard 38,1 34,6 -9,3 Nouvelle-Écosse 270,6 302,6 11,8 Nouveau-Brunswick 155,6 185,8 19,4 Québec 2 439,2 3 177,8 30,3 Ontario 4 914,4 5 247,6 6,8 Manitoba 249,9 299,0 19,6 Saskatchewan 206,5 262,3 27,0 Alberta 1 754,4 1 748,1 -0,4 Colombie-Britannique 1 768,5 2 347,4 32,7 Yukon 12,0 8,4 -30,3 Territoires-du-Nord-Ouest 21,2 30,6 44,2 Nunavut 8,0 6,8 -14,5 _____________________________________________________________ Nota : Les données peuvent ne pas correspondre aux totaux en raison de l'arrondissement. -------------------------------------------------------------------------------- Population des entreprises employeurs Premier trimestre de 2004    Près de 1 019 700 entreprises avaient des employés au premier trimestre de 2004, en hausse de 0,3 % par rapport au quatrième trimestre de 2003, alors que le nombre d'employeurs était d'environ 1 016 300. -------------------------------------------------------------------------------- Tableau : Population d'entreprises employeurs, selon la province, le territoire ou la région _____________________________________ var. en % _____________________________________ Terre-Neuve et Labrador 2,01 île-du-Prince-Édouard 0,24 Nouvelle-Écosse 0,77 Nouveau-Brunswick 0,56 Québec -1,14 Ontario 0,70 Manitoba 1,24 Saskatchewan 0,56 Alberta 0,93 Colombie-Britannique 1,19 Yukon 2,73 Territoires du Nord- Ouest et Nunavut 0,59 Région de l'Atlantique 0,96 Région des Prairies 0,93 Territoires 1,41 Canada 0,33 _____________________________________    On note une augmentation dans toutes les provinces (sauf au Québec) et dans tous les territoires. La Colombie-Britannique, l'Alberta et l'Ontario ont affiché les hausses les plus importantes, soit de 1,2 %, de 0,9 % et de 0,7 %, respectivement. D'autre part, le Québec a affiché une baisse de 1,1 %.    Des données concernant le Nunavut et les Territoires du Nord-Ouest seront disponibles séparément après la collecte d'un nombre suffisant de données trimestrielles. Données stockées dans CANSIM : tableau 178-0001. Définitions, source de données et méthodes : numéro d'enquête 1105.    Pour plus de renseignements ou pour en savoir davantage sur les concepts, les méthodes et la qualité des données, communiquez avec Joanne Proulx au (613) 951-9006 (joanne.proulx@statcan.ca), Division du Registre des entreprises. Télécopieur : (613) 951-0104. -------------------------------------------------------------------------------- Indice des prix des entrées dans l'agriculture 2003 (données provisoires)    L'Indice des prix des entrées dans l'agriculture pour l'ensemble du Canada s'est établi à 132,7 en 2003, en hausse de 3,2 % comparativement à 2002. Les hausses des prix des machines agricoles et des véhicules automobiles (+9,4 %) et des cultures agricoles (+14,0 %) sont les principaux facteurs à l'origine de cette augmentation. Ces hausses ont été atténuées par la baisse des prix des élevages d'animaux (-3,4 %).    En 2003, les prix des entrées dans l'agriculture ont augmenté de 4,8 % dans les provinces de l'Ouest comparativement à une hausse de 2,0 % dans les provinces de l'Est. La croissance plus forte de l'Ouest par rapport à l'Est s'explique surtout par la différence dans la hausse des prix des cultures agricoles où l'Ouest a augmenté de 18,8 % et l'Est de 6,8 %. Données stockées dans CANSIM : tableau 328-0014. Définitions, source de données et méthodes : numéro d'enquête 2305.    Pour plus de renseignements ou pour en savoir davantage sur les concepts, les méthodes et la qualité des données, communiquez avec les Services à la clientèle au (613) 951-9606 (infounit@statcan.ca), Division des prix. Télécopieur : (613) 951- 1539. -------------------------------------------------------------------------------- Tableau : Indices des prix des entrées dans l'agriculture (1992=100) _________________________________________________________________________ 2002 à Est Est 2003 Ouest _________________________________________________________________________ 2002 2003(p) var. en % 2002 ---------- ---------- ---------- ---------- Total des entrées dans l'agriculture 126,2 128,8 2,1 130,9 Bâtiments et clôtures 124,3 124,2 -0,1 121,6 Machines agricoles et véhicules automobiles 145,9 159,3 9,2 140,7 Cultures agricoles 128,3 137,0 6,8 140,6 Élevage d'animaux 128,0 125,0 -2,3 136,6 Fournitures et services 121,8 129,9 6,7 119,6 Main-d'oeuvre agricole salariée 130,4 128,9 -1,1 126,0 Impôt foncier 84,8 90,0 6,2 127,9 Intérêt 86,7 85,8 -1,1 83,7 Loyer agricole 93,5 98,1 4,9 135,6 _________________________________________________________________________ _________________________________________________________________________ 2002 à Ouest 2003 Canada Canada _________________________________________________________________________ 2003(p) var. en % 2002 2003(p) ---------- ---------- ---------- ---------- Total des entrées dans l'agriculture 137,4 4,9 128,5 132,7 Bâtiments et clôtures 120,9 -0,6 122,8 122,4 Machines agricoles et véhicules automobiles 154,4 9,7 143,5 157,0 Cultures agricoles 167,1 18,8 135,7 154,7 Élevage d'animaux 130,7 -4,3 132,3 127,8 Fournitures et services 125,0 4,6 120,7 127,6 Main-d'oeuvre agricole salariée 129,9 3,1 128,2 129,0 Impôt foncier 136,0 6,3 118,9 126,3 Intérêt 82,7 -1,2 84,9 83,9 Loyer agricole 149,0 9,9 121,8 132,1 _________________________________________________________________________ _____________________________________ 2002 à 2003 _____________________________________ var. en % ---------- Total des entrées dans l'agriculture 3,2 Bâtiments et clôtures -0,4 Machines agricoles et véhicules automobiles 9,4 Cultures agricoles 14,0 Élevage d'animaux -3,4 Fournitures et services 5,7 Main-d'oeuvre agricole salariée 0,7 Impôt foncier 6,3 Intérêt -1,1 Loyer agricole 8,4 _____________________________________ p Données provisoires. -------------------------------------------------------------------------------- Énergie électrique Mars 2004    Il est maintenant possible de consulter les données de mars 2004 sur l'énergie électrique. Données stockées dans CANSIM : tableau 127-0001. Définitions, source de données et méthodes : numéro d'enquête 2151.    Pour plus de renseignements ou pour en savoir davantage sur les concepts, les méthodes et la qualité des données, communiquez avec l'agent de diffusion au (613) 951-9497 ou composez sans frais le 1 866 873-8789 (energ@statcan.ca), Division de la fabrication, de la construction et de l'énergie. -------------------------------------------------------------------------------- Charbon et coke Mars 2004    Il est maintenant possible de consulter les données de mars 2004 sur le charbon et le coke. Données stockées dans CANSIM : tableau 303-0016. Définitions, source de données et méthodes : numéros d'enquête, y compris ceux des enquêtes connexes, 2003 et 2147.    Pour plus de renseignements ou pour en savoir davantage sur les concepts, les méthodes et la qualité des données, communiquez avec l'agent de diffusion au (613) 951-9497 ou composez sans frais le 1 866 873-8789 (energ@statcan.ca), Division de la fabrication, de la construction et de l'énergie. -------------------------------------------------------------------------------- NOUVEAUX PRODUITS Infomat, revue hebdomadaire, 1er juin 2004 Numéro au catalogue : 11-002-XIF (100 $). Extraction de minerais métalliques, 2002 Numéro au catalogue : 26-223-XIB (gratuit). Extraction de minerais non métalliques, 2002 Numéro au catalogue : 26-226-XIB (gratuit). Les indices de mission canadienne à l'étranger, juin 2004 Numéro au catalogue : 62-013-XIF (gratuit). Exportations par marchandise, mars 2004, vol. 61, no 3 Numéro au catalogue : 65-004-XMB (40 $/387 $). Exportations par marchandise, mars 2004, vol. 61, no 3 Numéro au catalogue : 65-004-XPB (84 $/828 $). Juristat : Les crimes motivés par la haine au Canada, vol. 24, no 4 Numéro au catalogue : 85-002-XIF2004004 (9 $/75 $). Juristat : Les crimes motivés par la haine au Canada, vol. 24, no 4 Numéro au catalogue : 85-002-XPF2004004 (11 $/100 $). Les prix sont en dollars canadiens et n'incluent pas les taxes de vente. Des frais de livraison supplémentaires s'appliquent aux envois à l'extérieur du Canada. Les numéros au catalogue se terminant par : -XIB ou -XIF représentent la version électronique offerte sur Internet, -XMB ou -XMF, la version microfiche, -XPB ou -XPF, la version papier, -XDB ou -XDF, la version électronique sur disquette et -XCB ou -XCF, la version électronique sur CD-ROM.