L'utilisation d'une police à espacement constant, comme Courier, améliore l'affichage. ** Contenu du QUOTIDIEN aujourd'hui ** Fichier PDF téléchargeable : http://www.statcan.ca/Daily/Francais/040608/q040608.pdf Site Web : http://www.statcan.ca/Daily/Francais/040608/tq040608.htm 04 06 08 08 30 Le mardi 8 juin 2004. Diffusé à 8 h 30, heure de l'Est COMMUNIQUÉS PRINCIPAUX Commerce du Canada avec la Chine, 1995 à 2004 Un nouveau rapport révèle que la bouillante économie chinoise, maintenant la deuxième plus grande au monde, après celle des États-Unis, a eu un impact important sur les tendances des échanges du Canada au cours des cinq dernières années. AUTRES COMMUNIQUÉS Étude : Les unions interculturelles, 1991 à 2001 Télédiffusion, 2003 Production d'oeufs et volaille, avril 2004  Restaurants, traiteurs et tavernes, mars 2004 PRODUIT EN VEDETTE Tendances sociales canadiennes, Été 2004 NOUVEAUX PRODUITS -------------------------------------------------------------------------------- Commerce du Canada avec la Chine 1995 à 2004    Un nouveau rapport révèle que la bouillante économie chinoise, maintenant la deuxième plus grande au monde, après celle des États-Unis, a eu un impact important sur les tendances des échanges du Canada au cours des cinq dernières années.    Du côté des importations, la Chine est devenue le deuxième pays fournisseur du Canada en importance après les États-Unis. La Chine a devancé le Japon et le Mexique comme source d'importations tant pour le Canada que pour les États-Unis.    Pour ce qui est des exportations, la demande de la Chine pour les matières premières nécessaires à la construction de nouvelles usines, de tours à bureaux et d'appartements a mené à une montée subite de nos exportations et à une poussée des cours des matières premières fournies par nos entreprises.    Entre 1995 et 2003, les exportations du Canada vers la Chine ont augmenté de 37,4 %. Pendant la même période, nos importations en provenance de la Chine ont quadruplé.    En 1995, le déficit commercial du Canada avec la Chine était d'à peine 1,2 milliard de dollars. En 2003, il a bondi pour s'établir à presque 13,8 milliards de dollars.    Le secteur extérieur chinois représente environ le quart de son PIB, soit cinq fois plus qu'en 1978, lorsque la mise en vigueur des réformes économiques a progressivement ouvert la Chine au reste du monde. En 2003 seulement, la Chine a grimpé de trois places sur la liste de l'Organisation mondiale du commerce pour atteindre le troisième rang avec une part de 5,3 % des importations mondiales. Importations : les biens d'investissement devancent les biens de consommation pour la première fois    Les marchandises en provenance de la Chine ont représenté presque 6 % des importations du Canada en 2003 (et 16 % des importations en dehors des États-Unis) comparativement à seulement 2 % en 1995. Chacun des 21 groupes principaux de produits a contribué à cette augmentation.    Par comparaison, en 2003, les importations en provenance du Mexique ne représentaient plus que 66 % de celles en provenance de la Chine, en raison, en partie, des importations en provenance du Mexique qui plafonnent depuis 2000. Les importations en provenance de la Chine ont fortement augmenté.    Au début de 2004, pour la première fois, la part des biens d'investissement des importations en provenance de la Chine a dépassé celle des biens de consommation, malgré les baisses de prix des biens d'investissement. Deux groupes étaient en tête, soit l'équipement électronique et la machinerie mécanique.    Les biens d'investissement ont représenté 44,8 % de toutes les importations en provenance de la Chine en 2004, soit une proportion deux fois plus grande que celle de près de 20 % enregistrée en 1993. Par ailleurs, la part des biens de consommation en provenance de la Chine a diminué de 65 % en 1993 pour s'établir à 40 %. Les jouets ont dominé la catégorie des biens de consommation.    Le reste des importations du Canada sont réparties parmi cinq autres groupes, dont la proportion a peu changé pendant les années 1990. Il s'agit des matières industrielles, des produits agricoles, des automobiles, des produits forestiers et de l'énergie.    La facture du Canada pour ses importations en provenance de la Chine a également monté en raison de la baisse du taux de change au cours de la dernière décennie. La Chine a maintenu un taux de change fixe avec les États-Unis et la dépréciation du dollar canadien a augmenté le coût des importations avant 2003.    Par ailleurs, le Canada s'est tourné vers les marchés qui produisent à un coût inférieur. Par exemple, en 2003, près de 50 % des importations de chaussures provenaient de la Chine, de même que plus de 40 % des importations de cuir. Les ressources naturelles se classent en tête des exportations    Les exportations du Canada vers la Chine sont entraînées par les ressources qui, bon an, mal an, expliquent environ quatre cinquièmes de ses expéditions vers la Chine.    Encore récemment, en 1992, le blé a dominé les livraisons vers la Chine, représentant 60 % des exportations. Depuis lors, la part du blé a glissé pour atteindre seulement 10 %. Par ailleurs, les exportations de produits chimiques et d'engrais ont augmenté, ayant bénéficié du remplacement des céréales par des produits qui permettaient aux Chinois de faire pousser le blé sur leur territoire.    Le blé a été détrôné par les gains rapides des matières industrielles, qui représentent 45 % des exportations, et par les produits forestiers (24 %). Les parts des produits automobiles, de l'énergie et des biens de consommation sont demeurées beaucoup plus faibles.    Les exportations de matières industrielles ont pris leur envol parallèlement à la production industrielle chinoise durant les années 1990. Les métaux ont occupé une place de choix, atteignant 16 % des exportations vers la Chine au début de 2004. Elles sont constituées surtout de fer et d'acier (6 %) et de nickel (4 %).    La croissance a été très forte également en ce qui a trait aux produits forestiers, lesquels représentent presque le tiers des exportations de ressources vers la Chine, comparativement à 10 % seulement en 1992. La Chine est maintenant le premier pays importateur de pâte de bois au monde et le Canada est au premier rang des pays exportateurs.    La pâte de bois a représenté à elle seule près du cinquième des exportations canadiennes vers la Chine en 2003. La croissance aurait été encore beaucoup plus importante si les prix s'étaient maintenus au niveau de 1995 au lieu de baisser de 40 % entre 1995 et 1997 et de conserver ce bas niveau par la suite.    Dans l'ensemble, la demande de la Chine pour les matières premières de toutes natures a tellement augmenté ces dernières années qu'en plus d'avoir atteint la première place des pays importateurs de pâte de bois, elle se retrouve maintenant derrière seulement le Japon et les États-Unis pour ses importations de bois, et n'a que les États-Unis qui la devance dans ses importations de fer et d'acier et dans sa demande de produits pétroliers.    La croissance rapide de la demande chinoise est donc devenue un facteur très important expliquant l'envolée récente du prix des marchandises. C'est notamment le cas des métaux et des huiles et des gras, dont les prix ont bondi respectivement de 54,0 % et de 28,8 % au cours de l'année se terminant en mai 2004. Le Canada, un important pays exportateur net de ressources, s'est trouvé en bonne position pour bénéficier de la poussée de la demande. Définitions, source de données et méthodes : numéro d'enquête 2201.    Le septième article de la série Aperçus sur l'économie canadienne, intitulé Le commerce du Canada avec la Chine, no 7, (11-624-MIF2004007, gratuit) est maintenant offert en ligne. À la page Nos produits et services, sous Parcourir les publications Internet, choisissez Gratuites, puis Comptes nationaux.    Pour plus de renseignements ou pour en savoir davantage sur les concepts, les méthodes et la qualité des données, communiquez avec Francine Roy au (613) 951-3627 (oec@statcan.ca), Groupe de l'analyse de conjoncture. -------------------------------------------------------------------------------- Étude : Les unions interculturelles 1991 à 2001    Les unions entre partenaires de différentes origines ethniques, religions ou minorités visibles représentent encore une faible proportion du total des unions au Canada, mais elles ont gagné du terrain au cours de la dernière décennie, selon un nouveau rapport qui paraît aujourd'hui dans la publication Tendances sociales canadiennes.    Ce rapport analyse les données du recensement et démontre qu'en 2001, on estimait que 14,1 millions de personnes vivaient en couple : elles étaient mariées ou vivaient en union libre.    De ce nombre, quelque 452 000 personnes formaient des couples dont l'un des partenaires appartenait à une minorité visible et l'autre non, ou encore, les partenaires appartenaient à deux minorités visibles.    Ces données représentaient une augmentation de 35 % par rapport à 1991, soit plus de trois fois la hausse de 10 % pour toutes les personnes vivant en couple. En 2001, les unions interculturelles représentaient 3,2 % de toutes les personnes vivant en couple au Canada, comparativement à 2,6 % 10 ans plus tôt.    Le nombre d'unions interculturelles a augmenté pour diverses raisons. Un des facteurs clés est la croissance de la diversité culturelle du Canada. En 2001, il y avait plus de représentants des minorités visibles au Canada que jamais, créant ainsi un plus grand bassin de partenaires potentiels.    Les 4,0 millions de personnes appartenant à une minorité visible au Canada en 2001 représentaient plus de 13 % de la population, soit plus de deux fois la faible proportion de 5 % enregistrée en 1981.    Les types d'unions libres ou d'unions interculturelles les plus courants étaient ceux formés d'un membre d'une minorité visible et d'une personne n'appartenant pas à une minorité visible. En 2001, 394 300 personnes formaient de tels couples, représentant 2,8 % de toutes les personnes formant des couples, en hausse de 2,4 % par rapport à 1991.    De ces couples, 53 % étaient constitués d'une femme appartenant à une minorité visible et d'un homme qui n'appartenait pas à une minorité visible, et l'inverse a été observé chez 47 % de ces couples.    Les Japonais représentaient la minorité visible la plus susceptible de cohabiter en union libre avec une personne non japonaise ou d'épouser cette personne. Les deuxième et troisième groupes les plus courants étaient les Latino-Américains et les Noirs.    Les Sud-Asiatiques et les Chinois étaient les moins susceptibles de former un couple à l'extérieur de leur groupe.    Les unions interculturelles représentaient 7 % de toutes les personnes en couple à Vancouver, 6 % à Toronto et 3 % à Montréal. Cependant, dans le groupe des 20 à 29 ans, les proportions doublaient, se chiffrant à 13 % à Vancouver, à 11 % à Toronto et à 6 % à Montréal.    Les personnes vivant dans des unions interculturelles ont tendance à être plus jeunes et à être nées à l'étranger. Elles vivent souvent en région urbaine et ont un niveau supérieur de scolarité.    Les unions interculturelles étaient également plus susceptibles d'être des relations d'union libre que des mariages. Ceci est peut-être dû à l'âge, puisque les unions libres sont plus fréquentes chez les jeunes personnes, et les minorités visibles ont également un profil d'âge plus jeune que la population en général.    En 2001, environ 4 % des unions libres étaient interculturelles, comparativement à 2,9 % de tous les mariages.    Dans la population en général, 57 % de tous les couples avaient des enfants, comparativement à 59 % des couples formés d'un membre d'une minorité visible et d'un membre n'appartenant pas à une minorité visible. Environ 69 % des couples formés de deux minorités visibles avaient des enfants. Définitions, source de données et méthodes : numéro d'enquête 3901.    Le rapport intitulé «Les unions interculturelles» est offert gratuitement en ligne et se retrouve également dans l'édition d'été 2004 de Tendances sociales canadiennes, no 73 (11-008-XIF, 9 $ / 29 $; 11-008-XPF, 12 $ / 39 $) qui est maintenant en vente. Voir Pour commander les produits.    Pour plus de renseignements, communiquez avec Josée Normand au (613) 951-4165 (cstsc@statcan.ca), Division des statistiques sociales, du logement et des familles. -------------------------------------------------------------------------------- Télédiffusion 2003    Les recettes du secteur de la télédiffusion ont dépassé la barre des 5 milliards de dollars pour la première fois l'an dernier en raison de la forte performance de la télévision privée conventionnelle et de la télévision spécialisée.    De façon globale, les recettes d'exploitation ont atteint 5,2 milliards de dollars, en hausse de 8,8 % par rapport à 2002.    Les recettes de la télévision conventionnelle privée ont augmenté de 10,6 %, soit le premier gain à deux chiffres depuis 1988, pendant que celles des chaînes spécialisées montaient de 11,9 %.    En revanche, les recettes de la télévision publique et non commerciale ont modestement progressé de 3,4 %.    Les recettes de la télévision conventionnelle privée ont atteint 2,1 milliards de dollars à la suite d'une baisse de 0,5 % en 2002. De plus, la marge bénéficiaire (avant intérêts et impôts) de ce segment de l'industrie est passée à 14,3 % en 2003 comparativement à 9,4 % l'année précédente. Il s'agit du meilleur résultat depuis 1999.    La télévision spécialisée a connu une autre année de forte croissance des recettes l'an dernier. En particulier, les recettes publicitaires ont atteint 606,2 millions de dollars, en hausse de 19,2 %, dépassant les gains de 16,1 % en 2002 et de 15,1 % en 2001.    La télévision spécialisée a accaparé 21,3 % du marché publicitaire télévisé l'an dernier, poursuivant une progression continue qui a débuté lors de la création du secteur. La proportion croissante des heures d'écoute des Canadiens consacrées aux canaux spécialisés canadiens explique en bonne partie ce déplacement de marché.    La marge bénéficiaire du secteur spécialisé s'est établie à 12,6 % en 2003, en progression par rapport à la marge de 8,4 % réalisée l'année précédente. Malgré cette augmentation, la marge bénéficiaire de ce segment demeure en dessous de la moyenne de l'industrie pour la seconde année consécutive, principalement en raison des pertes provoquées par le lancement des chaînes numériques en 2002.    Les chaînes numériques créent lentement leur créneau dans le paysage télévisuel canadien. Leur clientèle a augmenté pour atteindre une moyenne d'environ 500 000 abonnés par chaîne à la fin d'août 2003, en hausse de 34,8 % par rapport à l'année précédente. Les recettes des canaux numériques ont atteint 100,1 millions de dollars, soit plus du double de celles de 2002.    On prévoyait que les premières années seraient financièrement difficiles. Ensemble, les chaînes numériques ont subi des pertes avant intérêts et impôts de 85,2 millions de dollars en 2003, tout de même considérablement moindres que celles de 140,5 millions de dollars en 2002.    Les recettes de la télévision payante ont progressé de 4,3 % comparativement à un gain de 16,3 % en 2002 et de 33,8 % en 2001. La télévision payante a tout de même réussi à augmenter sa marge bénéficiaire (avant intérêts et impôts) en 2003, la faisant passer à 26,4 % comparativement à 24,2 % l'année précédente. C'est de très loin le segment le plus rentable de cette industrie. Données stockées dans CANSIM : tableau 357-0001. Définitions, source de données et méthodes : numéro d'enquête 2724.    Le numéro de 2003 de Radiodiffusion et télécommunications, vol. 34, no 2 (56-001-XIF, 11 $ / 35 $) est maintenant en vente. Voir Pour commander les produits.    Pour plus de renseignements ou pour en savoir davantage sur les concepts, les méthodes et la qualité des données, communiquez avec Daniel April au (613) 951-3177 (daniel.april@statcan.ca) ou avec Dany Gravel au (613) 951-0390 (dany.gravel@statcan.ca), Division des sciences, de l'innovation et de l'information électronique. -------------------------------------------------------------------------------- Production d'oeufs et volaille Avril 2004 (données provisoires)    La production d'oeufs était estimée à 45,2 millions de douzaines en avril, en baisse de 4,5 % par rapport à avril 2003.    La production de viande de volaille a atteint 87,4 millions de kilogrammes en avril, en hausse de 1,3 % par rapport à avril 2003. Données stockées dans CANSIM : tableaux 003-0022, 003-0038 et 003-0039. Définitions, source de données et méthodes : numéros d'enquête, y compris ceux des enquêtes connexes, 3424, 3425 et 5039.    Le numéro d'avril 2004 de la publication Production d'oeufs (23-003-XIB, gratuite) est maintenant accessible en ligne. À la page Nos produits et services, sous Parcourir les publications Internet, choisissez Gratuites, puis Agriculture.    Pour plus de renseignements ou pour en savoir davantage sur les concepts, les méthodes et la qualité des données, communiquez avec Debbie Dupuis au (613) 951-2553 (debbie.dupuis@statcan.ca), Division de l'agriculture. -------------------------------------------------------------------------------- Restaurants, traiteurs et tavernes Mars 2004    En mars, les recettes totales estimatives des restaurants, des traiteurs et des tavernes se sont élevées à 2,87 milliards de dollars, en hausse de 5,6 % par rapport aux estimations de mars 2003. Données stockées dans CANSIM : tableau 355-0001. Définitions, source de données et méthodes : numéro d'enquête 2419.    Le numéro de mars 2004 de la publication Statistiques des restaurants, traiteurs et tavernes (63-011-XIF, 7 $ / 59 $) paraîtra sous peu.    Pour plus de renseignements ou pour en savoir davantage sur les concepts, les méthodes et la qualité des données, communiquez avec Alain Mbassegue au (613) 951-2011, Division des industries de service. -------------------------------------------------------------------------------- PRODUIT EN VEDETTE : Tendances sociales canadiennes Été 2004 Chaque trimestre, Tendances sociales canadiennes regroupe des données provenant de diverses sources afin de cerner les nouvelles tendances et questions sociales. Le numéro de l'été 2004 comprend cinq articles. L'article vedette, intitulé «Les unions interculturelles», utilise les données tirées des recensements de la population de 2001 et de 1991 pour déterminer la prévalence des unions interculturelles au Canada ainsi que pour répondre à plusieurs questions liées à ces unions. Dans l'article «Les minorités visibles au sein de la population active : 20 ans de changements», on utilise les données des recensements de 1981 à 2001 pour étudier les taux d'emploi et de chômage chez les personnes de 25 à 54 ans appartenant à une minorité visible et celles qui n'appartiennent pas à une minorité visible. «Les enfants témoins de violence familiale» trace un profil des enfants âgés de 4 à 7 ans qui ont été témoins de violence à la maison afin d'évaluer les effets concurrents et à long terme de la violence sur les niveaux d'agressivité et d'anxiété observés chez les enfants qui ont été témoins de violence familiale en 1994-1995. «La migration entre les régions rurales et les régions urbain! es dans les années 1990» décrit les profils d'émigration interne des adultes de 20 à 65 ans dans les années 1990, en comparant les migrants des régions rurales et urbaines et les distances des déménagements, soit la migration entre collectivités, entre régions ou entre provinces. Enfin, «Contre vents et marées : un profil des joueurs excessifs et de ceux qui risquent de le devenir» utilise des données tirées du cycle 1.2 de l'Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes (Santé mentale et bien-être) afin d'étudier le comportement lié aux jeux de hasard et les caractéristiques des joueurs sans problème, des joueurs à risque et des joueurs excessifs. Ce numéro de Tendances sociales canadiennes contient aussi les plus récents indicateurs sociaux ainsi que des renseignements sur les produits et les services offerts par Statistique Canada. Le numéro de l'été 2004 de Tendances sociales canadiennes, no 73 (11-008-XIF, 9 $ / 29$; 11-008-XPF, 12 $ / 39 $) est maintenant en vente. Voir Pour commander les produits. Pour plus de renseignements, communiquez avec Susan Crompton au (613) 951-2556 (cstsc@statcan.ca), Division de la statistique sociale, du logement et des familles. -------------------------------------------------------------------------------- NOUVEAUX PRODUITS Infomat, revue hebdomadaire, 8 juin 2004 Numéro au catalogue : 11-002-XIF (100 $). Tendances sociales canadiennes, été 2004, no 73 Numéro au catalogue : 11-008-XIF (9 $/29 $). Tendances sociales canadiennes, été 2004, no 73 Numéro au catalogue : 11-008-XPF (12 $/39 $). Aperçus sur l'économie canadienne : Commerce du Canada avec la Chine, no 7 Numéro au catalogue : 11-624-MIF2004007 (gratuit). Production d'oeufs, avril 2004 Numéro au catalogue : 23-003-XIB (gratuit). Radiodiffusion et télécommunications, vol. 34, no 2 Numéro au catalogue : 56-001-XIF (11 $/35 $). Indices des prix de l'industrie, avril 2004, vol. 30, no 4 Numéro au catalogue : 62-011-XIF (19 $/175 $). Indices des prix de l'industrie, avril 2004, vol. 30, no 4 Numéro au catalogue : 62-011-XPF (24 $/233 $). Les prix sont en dollars canadiens et n'incluent pas les taxes de vente. Des frais de livraison supplémentaires s'appliquent aux envois à l'extérieur du Canada. Les numéros au catalogue se terminant par : -XIB ou -XIF représentent la version électronique offerte sur Internet, -XMB ou -XMF, la version microfiche, -XPB ou -XPF, la version papier, -XDB ou -XDF, la version électronique sur disquette et -XCB ou -XCF, la version électronique sur CD-ROM.