L'utilisation d'une police à espacement constant, comme Courier, améliore l'affichage. ** Contenu du QUOTIDIEN aujourd'hui ** Fichier PDF téléchargeable : http://www.statcan.ca/Daily/Francais/050425/q050425.pdf Site Web : http://www.statcan.ca/Daily/Francais/050425/tq050425.htm 05 04 25 08 30 Le lundi 25 avril 2005. Diffusé à 8 h 30, heure de l'Est Communiqués principaux Étude : Le travail peu rémunéré et les familles économiquement vulnérables, 1980 à 2004 Bien que, de nos jours, les travailleurs soient plus scolarisés et qu'ils aient plus d'expérience que leurs homologues du début des années 1980, les probabilités d'occuper un emploi peu rémunéré sont demeurées à peu près les mêmes au cours des 20 dernières années. Cependant, la plupart des travailleurs peu rémunérés ne vivent pas dans des familles à faible revenu. Autres communiqués Étude : Revue provinciale annuelle des livraisons manufacturières, 2004 Finances publiques consolidées : actif et passif, 31 mars 2003 Finances publiques locales : actifs et passifs, 31 décembre 2002 Indices des prix des services d'hébergement des voyageurs, premier trimestre de 2005 Ventes de gaz naturel, février 2005  Panneaux de particules, de lamelles orientées et de fibres, février 2005 Nouveaux produits -------------------------------------------------------------------------------- Étude : Le travail peu rémunéré et les familles économiquement vulnérables 1980 à 2004    Bien que, de nos jours, les travailleurs soient plus scolarisés et qu'ils aient plus d'expérience que leurs homologues du début des années 1980, les probabilités d'occuper un emploi peu rémunéré sont demeurées à peu près les mêmes au cours des 20 dernières années. Cependant, la plupart des travailleurs peu rémunérés ne vivent pas dans des familles à faible revenu.    Entre 1981 et 2004, le pourcentage d'employés adultes (âgés de 25 à 64 ans) qui avaient un grade universitaire est passé de 14 % à 24 %. En raison de leur vieillissement, les travailleurs adultes ont également gagné en expérience.    Cependant, le pourcentage d'employés adultes qui occupaient des emplois payant moins de 10,00 $ l'heure (en dollars de 2001) est demeuré à peu près le même entre 1981 et 2004, étant passé de 17 % à 16 % au cours de cette période.    Entre-temps, la majorité des travailleurs peu rémunérés ne vivaient pas dans des familles à faible revenu. En 1980 et en 2000, 70 % de ceux qui travaillaient à temps plein vivaient dans des familles dont le revenu était supérieur au seuil de faible revenu de Statistique Canada.    Voilà quelques-unes des conclusions d'une étude qui résume certains des travaux de recherche effectués récemment par Statistique Canada sur le travail peu rémunéré et les familles économiquement vulnérables.    Bien que les probabilités de vivre dans une famille à faible revenu n'aient pas augmenté dans l'ensemble pour les travailleurs peu rémunérés, les nouveaux immigrants et les adultes qui ont un niveau de scolarité peu élevé sont de plus en plus vulnérables sur le plan économique.    Cette situation s'explique par le fait que les probabilités que ces personnes occupent des emplois peu rémunérés et qu'elles vivent dans des familles à faible revenu ont augmenté.    Par exemple, 6 % des nouveaux immigrants âgés de 35 à 54 ans et travaillant à temps plein étaient peu rémunérés et vivaient dans une famille à faible revenu en 1980. En 2000, ce pourcentage avait doublé, étant passé à 12 %.    Les membres de quatre groupes risquaient fort de se retrouver dans cette position : les gens sans diplômes d'études secondaires, les nouveaux immigrants, les personnes seules (qui vivent seules ou avec des cohabitants) et les mères seules.    Même si ces gens ne représentaient que 37 % de tous les travailleurs à temps plein, ils constituaient 71 % des employés à temps plein qui occupaient des emplois peu rémunérés et qui vivaient dans une famille à faible revenu en 2000. Peu de variation dans la proportion de travailleurs qui occupent des emplois peu rémunérés    Entre 1981 et 2004, le pourcentage de travailleurs âgés de 25 à 64 ans ayant un emploi payant moins de 8,00 $ l'heure est passé de 9 % à 7 %.    Entre-temps, la proportion de travailleurs ayant un emploi payant entre 8,00 $ et 9,99 $ l'heure a légèrement augmenté, étant passée de 8 % à 9 %. La proportion de travailleurs adultes occupant des emplois payant moins de 10,00 $ l'heure est donc demeurée à peu près la même.    La proportion de travailleurs adultes occupant des emplois peu rémunérés n'a pas chuté dans l'ensemble, bien que le pourcentage d'employés adultes détenteurs d'un grade universitaire ait augmenté au cours de cette période.    Autrement dit, certains travailleurs ayant un niveau de scolarité donné avaient, à la fin des années 1990, un salaire inférieur à celui de leurs homologues du début des années 1980. ______________________________________________________________________ Note aux lecteurs    Le présent communiqué est fondé sur un document de recherche intitulé «Le travail peu rémunéré et les familles économiquement vulnérables depuis 20 ans», qui paraît aujourd'hui.    L'étude résume les conclusions tirées de plusieurs études menées récemment par Statistique Canada concernant le travail peu rémunéré et les familles économiquement vulnérables au Canada. Dans cette étude, les travailleurs peu rémunérés sont définis comme ceux qui occupent des emplois payant moins de 10,00 $ l'heure (en dollars de 2001) ou les employés à temps plein gagnant moins de 375 $ par semaine (en dollars de 2000).    Pour l'année de référence 1980, l'étude définit les nouveaux immigrants comme ceux qui sont arrivés au Canada entre 1975 et 1979. De même, pour l'année de référence 2000, le terme «nouveaux immigrants» désigne ceux qui sont arrivés au Canada entre 1995 et 1999. ______________________________________________________________________    Par exemple, les jeunes Canadiens (âgés de 25 à 34 ans) ayant un diplôme d'études secondaires ou moins ont vu leur salaire réel chuter au cours des 20 dernières années. De même, les nouveaux immigrants âgés, quel que soit leur niveau de scolarité, ont également vu leur salaire diminuer pendant la même période. La plupart des travailleurs peu rémunérés ne vivent pas dans des familles à faible revenu    En 2000, environ 30 % des employés à temps plein (y compris ceux âgés de moins de 25 ans) gagnant moins de 375 $ par semaine (en dollars de 2000) vivaient dans des familles dont le revenu était inférieur au seuil de faible revenu (SFR) de Statistique Canada. Ce pourcentage était le même qu'en 1980.    La stabilité de la fréquence des unités à faible revenu chez les travailleurs peu rémunérés occulte deux tendances qui se compensent.    Le nombre croissant de personnes seules et de familles monoparentales (qui ne peuvent compter sur un autre soutien de famille pour augmenter le revenu familial) tend à faire augmenter le pourcentage de travailleurs peu rémunérés dans des familles à faible revenu de deux à trois points de pourcentage.    Cependant, cette augmentation est compensée par le nombre croissant de familles à deux soutiens et l'expérience acquise sur le marché du travail par les travailleurs peu rémunérés, deux facteurs qui ont tendance à faire augmenter le revenu familial chez les employés à faible revenu. La vulnérabilité économique augmente dans certaines familles    Dans l'ensemble, seuls 5 % des employés à temps plein peu rémunérés vivaient dans une famille à faible revenu en 2000, soit le même pourcentage qu'en 1980.    Cependant, certaines familles sont de plus en plus vulnérables sur le plan économique.    Par exemple, la proportion de nouveaux immigrants qui travaillent à temps plein, qui sont peu rémunérés et qui vivent dans des familles à faible revenu a augmenté, étant passée de 9 % en 1980 à 12 % en 2000.    En fait, en 2000, les probabilités que les nouveaux immigrants vivent dans des familles à faible revenu étaient 2,5 fois plus élevées que chez leurs homologues nés au Canada. Ce ratio est beaucoup plus élevé que le ratio correspondant de 1,4 observé en 1980.    Les familles où les deux conjoints ont un diplôme d'études secondaires ou moins sont également de plus en plus vulnérables sur le plan économique.    Chez les jeunes couples dont les deux conjoints sont nés au Canada (hommes âgés de 25 à 34 ans) et ont un niveau de scolarité peu élevé, les gains des hommes ont enregistré une baisse variant de 15 % à 28 % entre 1980 et 2000. Malgré l'augmentation des gains des conjoints, le revenu d'emploi de ces familles a diminué d'un pourcentage ayant varié de 6 % à 15 %. La vulnérabilité économique est très concentrée    Alors que 5 % des employés à temps plein étaient peu rémunérés et vivaient dans des familles à faible revenu en 2000, les personnes seules (vivant seules ou avec d'autres cohabitants), les mères seules, les gens titulaires d'un diplôme d'études secondaires ou moins et les nouveaux immigrants risquaient beaucoup plus de se trouver dans cette position que les autres travailleurs.    Par exemple, 25 % des femmes seules âgées de moins de 40 ans et travaillant à temps plein recevaient une faible rémunération et vivaient dans une famille à faible revenu en 2000. Le pourcentage correspondant pour leurs homologues masculins était de 17 %.    Même s'ils ne constituaient que 37 % des travailleurs à temps plein, les gens appartenant à ces quatre groupes représentaient 71 % des employés à temps plein qui étaient peu rémunérés et qui vivaient dans une famille à faible revenu en 2000. Les probabilités de quitter le bas de l'échelle salariale n'ont pas augmenté    Pour certains travailleurs, les emplois peu rémunérés peuvent représenter un tremplin vers des emplois mieux payés à mesure qu'ils acquièrent de l'expérience sur le marché du travail et qu'ils recherchent des emplois. C'est particulièrement vrai pour les travailleurs bien scolarisés, qui généralement quittent le bas de l'échelle salariale plus rapidement que leurs homologues ayant des niveaux de scolarité inférieurs.    Étant donné que les travailleurs peu rémunérés ont augmenté leur niveau de scolarité au cours des 20 dernières années, les probabilités de quitter le bas de l'échelle salariale devraient avoir augmenté avec le temps.    Ce n'est pas ce qu'on observe. Chez les hommes âgés de 30 ans ou plus, les probabilités de quitter le bas de l'échelle salariale n'ont pas augmenté vraiment pendant la période de 1996 à 2000 par rapport à la période de 1985 à 1989, deux périodes où les conditions du marché du travail étaient comparables.    Par exemple, environ 45 % des hommes peu rémunérés âgés de 30 à 39 ans ont quitté le bas de l'échelle salariale entre 1985 et 1989. Pour la période de 1996 à 2000, ce pourcentage n'a pas augmenté de façon sensible.    Chez les femmes, les probabilités de quitter le bas de l'échelle salariale au cours de cette période sont demeurées également à peu près les mêmes. Seules les femmes âgées de 25 à 29 ans ont nettement gagné en mobilité verticale. Dans leur cas, les probabilités de s'affranchir de conditions de faible rémunération ont augmenté d'environ six points de pourcentage de 1985-1989 à 1996-2000.    Le document de recherche Le travail peu rémunéré et les familles économiquement vulnérables depuis 20 ans (11F0019MIF2005248, gratuit) est maintenant accessible en ligne. Une version abrégée de cette étude intitulée Sommaire : Le travail peu rémunéré et les familles économiquement vulnérables depuis 20 ans (11F0019MIF2005249, gratuit) est également disponible. À partir de la page d'accueil, sélectionnez Études, sous Parcourir les périodiques et les séries analytiques, choisissez Gratuits et payants, puis, sous Séries, sélectionnez Direction des études analytiques.    D'autres études de la Division de l'analyse des entreprises et du marché du travail peuvent être consultées gratuitement à la page Mise à jour des études analytiques de notre site Web (11-015-XIF).    Pour plus de renseignements ou pour en savoir davantage sur les concepts, les méthodes et la qualité des données, communiquez avec René Morissette au (613) 951-3608 ou avec Garnett Picot au (613) 951-8214, Division de l'analyse des entreprises et du marché du travail. -------------------------------------------------------------------------------- Étude : Revue provinciale annuelle des livraisons manufacturières 2004    La situation des fabricants canadiens s'est améliorée en 2004 par rapport à la piètre performance enregistrée l'année précédente, en dépit des préoccupations généralisées concernant l'augmentation de la valeur du dollar canadien ainsi que la montée en flèche des prix du pétrole brut, qui ont atteint des niveaux records à la fin de l'année.    En 2004, les livraisons totales ont connu leur augmentation la plus rapide depuis les années d'essor du tournant du millénaire.    Au total, les fabricants canadiens ont livré pour 592,2 milliards de dollars de biens, en hausse de 8,5 % par rapport à 2003. Il s'agit du gain annuel le plus important depuis 1999, année au cours de laquelle les livraisons avaient augmenté de 16 %, et 2000, où elles avaient connu une hausse de 10 %. Il s'agissait aussi d'une reprise marquée par rapport à la baisse de 0,8 % enregistrée en 2003.    Les livraisons de seulement quatre provinces se sont accrues à un rythme moins élevé que la moyenne nationale, soit l'Île-du-Prince-Édouard, la Nouvelle-Écosse, le Québec et l'Ontario. Toutes les provinces ont déclaré des livraisons records.    Des prix industriels ayant atteint des sommets, un dollar s'étant situé à ses niveaux les plus élevés en plus de dix ans et la montée en flèche de la demande étrangère figuraient parmi les facteurs clés qui ont influencé le secteur de la fabrication en 2004.    La forte demande internationale et intérieure a alimenté la hausse des prix industriels de divers biens, y compris les produits en acier et les produits en bois, tandis que le pétrole brut atteignait brièvement la barre des 55 $US le baril à la fin d'octobre, un niveau record à ce moment-là.    Au cours du dernier trimestre de 2004, le dollar canadien a aussi atteint son niveau le plus élevé en 12 ans par rapport à la devise américaine, ce qui a suscité des préoccupations généralisées, le secteur canadien de la fabrication dépendant dans une large mesure du commerce extérieur.    Même si les fabricants canadiens ont connu un début d'année prodigieux, celle-ci s'est terminée sur une note moins reluisante. Au dernier trimestre, les livraisons ont commencé à baisser en raison de la diminution du nombre de commandes. Dans la plupart des provinces, les gains ont été réalisés au cours des huit premiers mois de l'année.    En Ontario, le centre industriel du pays, les livraisons ont crû de 7,0 %, en raison de l'activité soutenue dans les secteurs des véhicules automobiles et des pièces, ainsi que de la fabrication d'aliments et de produits chimiques. L'an dernier, l'Ontario a été à l'origine de 52 % des livraisons du secteur de la fabrication au pays.    Le secteur de la fabrication de la Saskatchewan a affiché une croissance record en 2004, les livraisons ayant fait un bond de 21,9 % pour se fixer à 9,6 milliards de dollars. Il s'agit de la croissance la plus rapide au pays.    Cette croissance a été généralisée. Les industries traditionnelles de la Saskatchewan, axées sur les ressources, sont venues en tête, les prix élevés des produits industriels ayant contribué à faire un succès de 2004. Les fabricants de produits du bois et de produits chimiques, en particulier, ont affiché des gains exceptionnels.    La richesse de l'Alberta en ressources naturelles a permis aux livraisons de la province d'afficher la deuxième plus forte hausse provinciale, soit 16,0 %, pour passer à 53,2 milliards de dollars pour l'année. Définitions, source de données et méthodes : numéro d'enquête 2101.    L'article analytique intitulé La fabrication en 2004 : revue annuelle par province (11-621-MIF2005025, gratuit) est maintenant accessible en ligne dans la série Analyse en bref (11-621-MIF). Pour accéder à cette série analytique, aller à la page Nos produits et services, sous Parcourir les publications Internet, choisissez Gratuites, puis Commerce.    Pour plus de renseignements ou pour en savoir davantage sur les concepts, les méthodes et la qualité des données, communiquez avec Daniela Ravindra au (613) 951-3514, Division de la fabrication, de la construction et de l'énergie. -------------------------------------------------------------------------------- Finances publiques consolidées : actif et passif 31 mars 2003    La dette nette consolidée, définie comme l'excédent du passif sur l'actif financier des administrations publiques fédérale, provinciales, territoriales et locales, a atteint 794,5 milliards de dollars au 31 mars 2003, en baisse de 2,2 milliards de dollars, ou de 2,8 %, par rapport à celle enregistrée au 31 mars 2002.    La dette nette de l'administration publique fédérale a baissé de 8,2 milliards de dollars alors que celle des administrations publiques provinciales et territoriales et locales a augmenté de 6,0 milliards de dollars.    La dette nette consolidée de ces administrations publiques a représenté 65,4 % du produit intérieur brut (PIB) en 2003, en baisse comparativement à 71,0 % en 2002. Cette diminution était principalement attribuable à la croissance du PIB. -------------------------------------------------------------------------------- Tableau : Dette nette consolidée des administrations publiques générales fédérale, provinciales, territoriales et locales au 31 mars ______________________________________________________________________ Année Dette PIB au Population nette Par premier au consolidée % du PIB habitant trimestre 1(er)avril ______________________________________________________________________ en en millions millions en de dollars $ de dollars milliers ---------- ---------- ---------- ---------- 1991 532 636 78,5 19 066 678 172 27 936 1992 593 797 85,7 21 008 692 940 28 265 1993 667 196 93,3 23 331 714 776 28 597 1994 739 122 98,5 25 571 750 696 28 905 1995 797 582 99,5 27 304 801 904 29 211 1996 836 993 102,1 28 358 819 976 29 515 1997 851 118 98,1 28 543 867 828 29 819 1998 847 318 93,4 28 167 906 904 30 082 1999 848 660 89,4 27 993 949 136 30 317 2000 832 687 79,9 27 215 1 042 100 30 597 2001 800 373 71,8 25 891 1 115 408 30 913 2002 796 743 71,0 25 483 1 121 528 31 266 2003 794 509 65,4 25 168 1 214 880 31 568 ______________________________________________________________________ -------------------------------------------------------------------------------- Tableau : Dette nette consolidée des administrations publiques générales provinciales, territoriales et locales au 31 mars 2003  _____________________________________________________________ Province Dette Population nette Par au consolidée habitant 1(er)avril _____________________________________________________________ en millions en de dollars $ milliers ---------- ---------- ---------- Terre-Neuve-et-Labrador 10 279 19 805 519 Île-du-Prince-Édouard 1 214 8 861 137 Nouvelle-Écosse 12 222 13 072 935 Nouveau-Brunswick 6 315 8 409 751 Québec 111 606 14 927 7 477 Ontario 99 686 8 166 12 207 Manitoba 10 529 9 085 1 159 Saskatchewan 9 018 9 063 995 Alberta -11 536 -3 666 3 147 Colombie-Britannique 18 871 4 558 4 140 Yukon -278 -9 267 30 Territoires du Nord-Ouest -181 -4 310 42 Nunavut 272 9 379 29 _____________________________________________________________    Il s'agit de la septième baisse consécutive depuis 1996, alors que ce rapport entre le PIB et la dette nette se situait à 102,1 %.    La dette nette par habitant est passée de 25 483 $ en 2002 à 25 168 $. La dette nette par habitant la plus élevée a été enregistrée en 1997, cette dernière s'étant établie à 28 543 $.    Terre-Neuve-et-Labrador a enregistré la dette nette par habitant la plus élevée en 2003 (19 805 $), suivie du Québec (14 927 $) et de la Nouvelle-Écosse (13 072 $).    L'Alberta, le Yukon et les Territoires du Nord-Ouest n'ont pour leur part enregistré aucune dette nette, leurs actifs financiers ayant excédé leurs passifs de 3 666 $, de 9 267 $ et de 4 310 $ par habitant, respectivement. Nota : L'actif financier consolidé et la dette nette des administrations provinciales et locales de l'Ontario au 31 mars 2002 ont été révisés.    Le Système de gestion financière (SGF) permet une présentation normalisée de la comptabilité publique pour les administrations publiques fédérale, provinciales et locales au Canada. Les systèmes comptables des différentes administrations publiques ne sont pas directement comparables en raison des différences de politiques et de structures des administrations publiques proprement dites.    Le SGF ajuste les données des comptes publics des administrations publiques et d'autres enregistrements pour produire des données détaillées permettant des comparaisons entre administrations publiques ainsi que des agrégats nationaux qui sont cohérents dans le temps. Autrement dit, les statistiques basées sur le SGF peuvent ne pas correspondre aux chiffres publiés dans les états financiers des administrations publiques. Données stockées dans CANSIM : tableaux 385-0014 et 385-0017. Définitions, source de données et méthodes : numéros d'enquête, y compris ceux des enquêtes connexes, 1702, 1709 et 1723.    Des données sont fournies sous forme de tableaux sur mesure. Pour plus de renseignements sur les produits et services de la Division des institutions publiques, communiquez avec Jo-Anne Thibault au (613) 951-0767 (jo-anne.thibault@statcan.ca).    Les données sur la dette garantie par les administrations provinciales et territoriales n'apparaissent plus au tableau CANSIM 385-0014 mais, au tableau CANSIM 385-0026 (Dette garantie par les administrations provinciales et territoriales).    Pour plus de renseignements, communiquez avec Robert Larocque au (613) 951-1836 ou avec Terry Moore au (613) 951-5195, Division des institutions publiques. -------------------------------------------------------------------------------- Finances publiques locales : actifs et passifs 31 décembre 2002    La dette nette des administrations publiques locales, définie comme l'excédent du passif sur l'actif financier, s'est chiffrée à 12,1 milliards de dollars au 31 décembre 2002, en baisse de 4 % ou de 486 millions de dollars par rapport à celle de l'année précédente.    Leur actif financier s'établissait à 52,1 milliards de dollars et le total du passif à 64,2 milliards de dollars.    Parmi les provinces, les dettes nettes par habitant les plus élevées des administrations publiques locales se sont situées au Québec (2 177 dollars), à Terre-Neuve-et-Labrador (1 480 dollars) et au Nouveau-Brunswick (525 dollars).    Les administrations publiques locales de l'Ontario, de la Saskatchewan, de l'Alberta, de la Colombie-Britannique, du Yukon et du Nunavut ont rapporté, pour leur part, encore un actif financier supérieur au passif.    Ces statistiques sont basées sur des données publiées dans les rapports annuels des municipalités et des commissions scolaires ainsi que sur certains rapports des administrations publiques provinciales et territoriales en date du 31 décembre 2002. Des données provenant de ces sources ont été converties au Système de gestion financière de Statistique Canada. Nota : Les statistiques de l'actif de l'Ontario pour 2001 ont été révisées. Par conséquent, la position financière de l'Ontario et l'actif et la position financière du Canada pour 2001 ont aussi été révisées. -------------------------------------------------------------------------------- Tableau : Dette nette des administrations publiques locales _________________________________________________________________________ Dette Dette Dette Par nette nette nette habitant _________________________________________________________________________ en en en millions millions millions de dollars de dollars de dollars $ ---------- ---------- ---------- ---------- 1992 1997 2002 1992 ---------- ---------- ---------- ---------- Terre-Neuve-et-Labrador 657 681 768 1 133 Île-du-Prince-Édouard 115 37 64 871 Nouvelle-Écosse 435 366 334 471 Nouveau-Brunswick 326 373 394 436 Québec 14 214 15 187 16 276 1 989 Ontario 1 287 1 251 -2 925 121 Manitoba 778 765 312 698 Saskatchewan -400 -636 -859 -398 Alberta 2 558 277 -961 962 Colombie-Britannique 2 450 2 217 -1 248 692 Yukon -5 -18 -16 3 Territoires-du-Nord- Ouest 29 14 3 460 Nunavut ... ... -6 ... Total 22 444 20 514 12 136 785 _________________________________________________________________________ _________________________________________________ Par Par habitant habitant _________________________________________________ $ $ ---------- ---------- 1997 2002 ---------- ---------- Terre-Neuve-et-Labrador 1 256 1 480 Île-du-Prince-Édouard 272 467 Nouvelle-Écosse 393 357 Nouveau-Brunswick 497 525 Québec 2 083 2 177 Ontario 110 -240 Manitoba 673 269 Saskatchewan -625 -863 Alberta 96 -305 Colombie-Britannique 557 -301 Yukon -563 -533 Territoires-du-Nord- Ouest 209 71 Nunavut ... -207 Total 682 384 _________________________________________________ ... N'ayant pas lieu de figurer.    Le Système de gestion financière (SGF) permet une présentation normalisée de la comptabilité publique pour les administrations publiques fédérale, provinciales et locales au Canada. Les systèmes comptables des différentes administrations publiques ne sont pas directement comparables en raison des différences de politiques et de structures des administrations publiques proprement dites.    Le SGF ajuste les données des comptes publics des administrations publiques et d'autres enregistrements pour produire des données détaillées permettant des comparaisons entre administrations publiques ainsi que des agrégats nationaux compatibles qui sont cohérents dans le temps. Autrement dit, les statistiques basées sur le SGF peuvent ne pas correspondre aux chiffres publiés dans les états financiers des administrations publiques. Données stockées dans CANSIM : tableaux 385-0014, 385-0017 et 385-0026. Définitions, source de données et méthodes : numéros d'enquête, y compris ceux des enquêtes connexes, 1702, 1709 et 1723.    Des données sont fournies sous forme de tableaux spéciaux et sur mesure. Pour plus de renseignements sur les produits et services de la Division des institutions publiques, communiquez avec Jo-Anne Thibault au (613) 951-0767 (jo-anne.thibault@statcan.ca).    Pour plus de renseignements, communiquez avec Aldo Diaz au (613) 951-8563 ou avec Diana-Lynn Walters au (613) 951-1833, Division des institutions publiques. -------------------------------------------------------------------------------- Indices des prix des services d'hébergement des voyageurs Premier trimestre de 2005    Il est maintenant possible de consulter les indices mensuels qui mesurent la variation des prix des services d'hébergement pour le premier trimestre de 2005. Ces indices reflètent les changements des prix des chambres pour une nuit ou des séjours à court terme, sans repas ou autre service, et excluant les taxes indirectes. Les indices sont offerts pour le Canada, les provinces et les territoires et par groupe principal de clientèle. Données stockées dans CANSIM : tableau 326-0013. Définitions, source de données et méthodes : numéro d'enquête 2336.    Pour plus de renseignements sur ces indices, communiquez avec le Service à la clientèle au (613) 951-9606 ou composez sans frais le 1 866 230-2248 (infounit@statcan.ca). Pour en savoir davantage sur les concepts, les méthodes et la qualité des données communiquez avec Anne Williamson au (613) 951-0708 (anne.williamson@statcan.ca), Division des prix. -------------------------------------------------------------------------------- Ventes de gaz naturel Février 2005 (données provisoires)    Les ventes de gaz naturel ont totalisé 7 893 millions de mètres cubes en février, en baisse de 6,0 % comparativement à février 2004. Les diminutions des volumes des ventes enregistrées dans tous les secteurs ont été attribuables aux températures plus clémentes qu'ont connues la plupart des régions du pays. -------------------------------------------------------------------------------- Tableau : Ventes de gaz naturel _____________________________________________________ Février 2004 à Février Février février 2005p 2004 2005 _____________________________________________________ en en milliers milliers de mètres de mètres cubes cubes var. en % ----------- ----------- ----------- Ventes totales 7 893 151 8 397 301 -6,0 Résidentielles 2 516 400 2 614 002 -3,7 Commerciales 1 743 612 1 902 420 -8,3 Industrielles 1 597 594 1 725 386 -6,4 Directes 2 035 546 2 155 493 ----------- ----------- ----------- données données données cumulatives cumulatives cumulatives ----------- ----------- ----------- 2005(p) 2004 2004 à 2005 ----------- ----------- ----------- en en milliers milliers de mètres de mètres cubes cubes var. en % ----------- ----------- ----------- Ventes totales 17 458 198 18 193 746 -4,0 Résidentielles 5 634 530 5 785 491 -2,6 Commerciales 3 871 180 4 158 009 -6,9 Industrielles 3 573 893 3 699 886 -3,6 Directes 4 378 596 4 550 360 _____________________________________________________ p Données provisoires. Définitions, source de données et méthodes : numéro d'enquête 2149.    Pour plus de renseignements ou pour en savoir davantage sur les concepts, les méthodes et la qualité des données, communiquez avec l'agent de diffusion au (613) 951-9497 ou composez sans frais le 1 866 873-8789 (energ@statcan.ca), Division de la fabrication, de la construction et de l'énergie. -------------------------------------------------------------------------------- Panneaux de particules, de lamelles orientées et de fibres Février 2005    Il est maintenant possible de connaître les données sur les panneaux de particules, de lamelles orientées et de fibres pour février. Données stockées dans CANSIM : tableau 303-0058. Définitions, source de données et méthodes : numéro d'enquête 2141.    Pour plus de renseignements ou pour en savoir davantage sur les concepts, les méthodes et la qualité des données, communiquez avec l'agent de diffusion au (613) 951-9497 ou composez sans frais le 1 866 873-8789 (manufact@statcan.ca), Division de la fabrication, de la construction et de l'énergie. -------------------------------------------------------------------------------- Nouveaux produits Direction des études analytiques documents de recherche : Le travail peu rémunéré et les familles économiquement vulnérables depuis 20 ans, no 248 Numéro au catalogue : 11F0019MIF2005248 (gratuit). Direction des études analytiques documents de recherche : Sommaire : le travail peu rémunéré et les familles économiquement vulnérables depuis 20 ans, no 249 Numéro au catalogue : 11F0019MIF2005249 (gratuit). Analyse en bref : La fabrication en 2004 : revue annuelle par province, 2004, no 25 Numéro au catalogue : 11-621-MIF2005025 (gratuit). Les prix sont en dollars canadiens et n'incluent pas les taxes de vente. Des frais de livraison supplémentaires s'appliquent aux envois à l'extérieur du Canada. Les numéros au catalogue se terminant par : -XIB ou -XIF représentent la version électronique offerte sur Internet, -XMB ou -XMF, la version microfiche, -XPB ou -XPF, la version papier, -XDB ou -XDF, la version électronique sur disquette et -XCB ou -XCF, la version électronique sur CD-ROM.