L'utilisation d'une police à espacement constant, comme Courier, améliore l'affichage. ** Contenu du QUOTIDIEN aujourd'hui ** Fichier PDF téléchargeable : http://www.statcan.ca/Daily/Francais/051013/q051013.pdf Site Web : http://www.statcan.ca/Daily/Francais/051013/tq051013.htm 05 10 13 08 30 Le jeudi 13 octobre 2005. Diffusé à 8 h 30, heure de l'Est Communiqués Commerce international de marchandises du Canada, août 2005  En août, les exportations de marchandises canadiennes vers l'étranger ont affiché leur sixième augmentation mensuelle en huit mois, un résultat qui est en grande partie attribuable à la montée en flèche des prix du gaz naturel. Les importations de produits énergétiques ont également progressé, ayant atteint un sommet de 3,0 milliards de dollars alors que la demande d'essence a culminé en août. Enquête longitudinale auprès des immigrants du Canada, 2003 Deux ans après leur arrivée au Canada, les immigrants en âge d'activité maximale avaient réalisé d'importants progrès quant à leur intégration à la population active, mais faisaient toujours face à certaines difficultés, selon les données du deuxième cycle d'une enquête longitudinale examinant la façon dont les nouveaux arrivants s'adaptent avec le temps au mode de vie du Canada. Conditions économiques actuelles Enquête annuelle des transporteurs par eau, 2003 Indices de prix des exportations et des importations, août 2005 Nouveaux produits -------------------------------------------------------------------------------- Commerce international de marchandises du Canada Août 2005     En août, les exportations de marchandises canadiennes vers l'étranger ont affiché leur sixième augmentation mensuelle en huit mois, un résultat qui est en grande partie attribuable à la montée en flèche des prix du gaz naturel.    Les importations de produits énergétiques ont également progressé, ayant atteint un sommet de 3,0 milliards de dollars alors que la demande d'essence a culminé en août.    Les répercussions prévues des tempêtes qui approchaient sur la production dans le golfe du Mexique ont contribué à la majoration des prix des produits énergétiques en août. L'ouragan Katrina, qui a touché terre au cours de la dernière semaine d'août, a entraîné une hausse des prix alors que plusieurs usines de transformation de gaz naturel et des raffineries de pétrole de la côte de la Louisiane ont été endommagées. ______________________________________________________________________ Note aux lecteurs    Le commerce de marchandises est une des composantes du compte courant de la balance des paiements du Canada, qui inclut également le commerce des services.    Révisions    Les données sur le commerce de marchandises sont généralement révisées sur une base régulière, chaque mois de l'année en cours. Les données fondées sur des documents de douane sont révisées chaque trimestre dans le cas de l'année de données précédente.    Divers facteurs rendent ces révisions nécessaires, notamment la réception tardive des documents relatifs aux importations et aux exportations, la présence de renseignements erronés dans les documents de douane, le remplacement des estimations par les chiffres réels, la reclassification des marchandises à la lumière de renseignements plus récents et la correction des variations saisonnières.    Les données révisées peuvent être consultées dans les tableaux appropriés de CANSIM. ______________________________________________________________________    En tout, les entreprises canadiennes ont exporté pour 38,0 milliards de dollars de marchandises, ce qui représente un gain de 1,5 % par rapport à juillet. Par contre, les importations ont régressé de 0,4 % pour s'établir à un peu plus de 32,4 milliards de dollars, la hausse des importations de produits énergétiques ayant été insuffisante pour compenser les reculs dans tous les autres secteurs.    Pour cette raison, l'excédent commercial du Canada vis-à-vis du reste du monde s'est chiffré à près de 5,6 milliards de dollars, en hausse par rapport au niveau révisé de 4,9 milliards de dollars observé en juillet. L'excédent commercial vis-à-vis des États-Unis a grimpé pour passer à près de 8,9 milliards de dollars, tandis que le déficit commercial vis-à-vis des pays autres que les États-Unis s'est établi à 3,3 milliards de dollars.    Les exportations canadiennes de gaz naturel ont atteint 3,3 milliards de dollars en août, soit plus que les 2,9 milliards de dollars enregistrés le mois précédent. Le sommet de 4,4 milliards de dollars a été atteint en janvier 2001. L'augmentation d'août est attribuable à la hausse des prix, qui a contrebalancé un repli de 4,6 % des volumes. Les exportations de pétrole brut ont également progressé.    Les importations provenant de l'Union européenne ont grimpé de 2,7 % grâce à une montée soudaine des importations d'essence. En août, on a observé une diminution des importations canadiennes de marchandises en provenance de tous les grands marchés commerciaux sauf l'Union européenne. Exportations : le gaz naturel est en forte hausse en août    Les exportations du Canada ont augmenté dans trois secteurs principaux en août, soit ceux de l'énergie, des produits agricoles et de la pêche, et celui de l'automobile.    La valeur des exportations de gaz naturel a bondi de 13,2 % en août alors que les incertitudes relatives à l'offre ont fait grimper les prix. La dévastation de la côte du golfe du Mexique pendant la dernière semaine d'août a stimulé la montée en perturbant l'approvisionnement en gaz naturel.    La hausse des exportations de gaz naturel a été accompagnée d'une croissance de 0,8 % des exportations de pétrole brut. Comme pour le gaz naturel, le volume des exportations de pétrole brut a reculé et ce sont les prix qui expliquent la hausse. Le prix du baril de pétrole brut a atteint 66,80 $ US à la mi-août et 70,85 $ US le 29 août, à la suite du passage de Katrina.    Pour ce qui est du secteur de l'agriculture et de la pêche, tous les grands groupes ont affiché des hausses, sauf la catégorie des autres céréales non moulues. La montée des exportations de canola et d'orge a dominé la progression.    En août, les livraisons d'animaux vivants vers les États-Unis ont affiché une progression fulgurante de 50,7 %, leur total s'étant établi à 164,1 millions de dollars. Il s'agit de leur plus haut niveau depuis avril 2003, soit le mois précédant la découverte d'un cas de maladie de la vache folle. Bien que les exportations de porcs aient été en hausse, ce sont celles de bovins vivants qui ont représenté la grande majorité de l'augmentation des exportations d'animaux vivants. L'embargo américain sur le bétail vivant âgé de moins de 30 mois a été levé à la mi-juillet.    Les exportations de produits de l'automobile ont grimpé de 2,8 %, cette hausse ayant été attribuable à une augmentation de 11,0 % des livraisons de voitures particulières et de châssis. Ce rétablissement des exportations de voitures particulières pour l'ensemble de l'industrie a fait suite à une période estivale où les niveaux de production ont été inférieurs à la normale.    En revanche, les exportations ont chuté dans le secteur des biens industriels et dans celui des machines et de l'équipement. En effet, les exportations de métaux et d'alliages ont reculé de 7,0 % en raison des arrêts d'exploitation et des grèves. Les exportations d'aluminium, quant à elles, ont enregistré une faible hausse de 4,2 % alors que l'industrie a augmenté sa capacité.    Les exportations de minerais métalliques ont monté en flèche (+44,7 %) pour s'établir à un niveau record de 790,7 millions de dollars. Les prix des minerais métalliques sont demeurés élevés depuis le début de 2005. L'augmentation de la demande dans les autres pays de l'Organisation de coopération et de développement économiques explique cette progression.    En août, les exportations de produits chimiques ont retrouvé leur niveau habituel, alors qu'elles avaient progressé en juillet à la suite d'une importante livraison d'uranium à destination de l'Union européenne.    Le bois d'oeuvre et les produits connexes ont poursuivi leur chute vertigineuse, ayant diminué de 5,9 %. Il s'agit du sixième repli consécutif affiché par ce groupe de marchandises. En général, les prix du bois d'oeuvre, qui se sont effondrés après avoir atteint un niveau record en mai 2004, sont établis en dollars américains. Ainsi, l'appréciation du dollar canadien a eu pour conséquence de réduire le revenu des producteurs canadiens de bois d'oeuvre. Importations : la demande d'essence fait grimper les produits énergétiques à un niveau record    Les importations ont connu une légère diminution de 0,4 % en août, tous les secteurs ayant connu de faibles reculs, sauf celui des produits énergétiques qui a progressé de 7,7 % pour se chiffrer à un sommet de 3,0 milliards de dollars.    Une augmentation des importations d'essence a entraîné une montée de 44,5 % des importations de pétrole et de charbon. Bien que la hausse des volumes ait représenté les deux tiers du gain, la majoration des prix a également contribué à l'accroissement de la valeur.    De plus, les importations de charbon et d'autres produits connexes ont grimpé de 12,6 %, s'étant établies à 358,0 millions de dollars. Les centrales au charbon ont accru leur production afin de répondre à la demande croissante d'électricité.    Les importations de produits de l'automobile ont reculé de 1,2 %. La diminution des importations de camions et d'autres véhicules automobiles et la baisse des importations de voitures particulières et de châssis ont contribué de façon égale à cette baisse.    Les importations de biens industriels ont baissé de 2,6 %. Les replis sont survenus dans l'ensemble du secteur.    Pour un deuxième mois consécutif, les importations de machines et d'équipement sont demeurées stables. Cette stabilité fait suite à une forte croissance au cours des deux premiers trimestres de 2005. Pendant cette période, les industries telles que celles du pétrole et du gaz, de l'exploitation minière et du transport ont importé davantage de machines afin de mener à bien leurs activités d'expansion. Données stockées dans CANSIM : tableaux 228-0001 à 228-0003 et 228-0033 à 228-0046. Définitions, source de données et méthodes : numéros d'enquête, y compris ceux des enquêtes connexes, 2201, 2202 et 2203.    Le numéro d'août de la publication Le commerce international de marchandises du Canada, vol. 59, no 8 (65-001-XIB, 15 $ / 151 $) est maintenant en vente. Voir Pour commander les produits. Cette publication contient des tableaux ventilés par groupe de marchandises et par pays, sur une base douanière. Les données du compte courant (qui incluent les statistiques du commerce de marchandises, les opérations au chapitre des services, les revenus de placements et les transferts) sont publiées tous les trimestres dans Balance des paiements internationaux du Canada (67-001-XIF, 32 $/100 $).    Les données sur le commerce de marchandises sont offertes en format PDF le matin de la diffusion.    Pour plus de renseignements sur les produits et les services, communiquez avec Anne Couillard au (613) 951-6867 ou composez sans frais le 1 800 294-5583. Pour en savoir davantage sur les concepts, les méthodes et la qualité des données, communiquez avec Bernard Lupien au (613) 951-6872, Division du commerce international.     -------------------------------------------------------------------------------- Tableau : Commerce de marchandises _______________________________________________________________ Juillet 2005(r) Août 2005 _______________________________________________________________ données données désaisonnalisées, désaisonnalisées, en dollars en dollars courants courants ----------------- ----------------- en millions de en millions de dollars dollars ----------------- ----------------- Marchés principaux Exportations États-Unis 30 500 30 670 Japon 887 817 Union européenne 2 589 2 531 Autres pays de l'OCDE(1) 1 035 1 370 Tous les autres pays 2 408 2 593 Total 37 420 37 981 Importations États-Unis 21 872 21 776 Japon 873 872 Union européenne 3 028 3 110 Autres pays de l'OCDE(1) 2 109 2 045 Tous les autres pays 4 648 4 612 Total 32 530 32 415 Balance États-Unis 8 628 8 894 Japon 14 -55 Union européenne -439 -579 Autres pays de l'OCDE(1) -1 074 -675 Tous les autres pays -2 240 -2 019 Total 4 890 5 566 Groupes principaux de marchandises Exportations Produits de l'agriculture et de la pêche 2 438 2 663 Produits énergétiques 7 206 7 645 Produits forestiers 2 926 2 907 Biens industriels 7 042 6 895 Machines et équipement 7 901 7 777 Produits de l'automobile 7 131 7 333 Autres biens de consommation 1 452 1 449 Transactions spéciales commerciales(2) 697 658 Autres ajustements de la balance des paiements 625 654 Importations Produits de l'agriculture et de la pêche 1 825 1 823 Produits énergétiques 2 803 3 020 Produits forestiers 265 243 Biens industriels 6 538 6 367 Machines et équipement 9 325 9 288 Produits de l'automobile 6 690 6 608 Autres biens de consommation 4 124 4 058 Transactions spéciales commerciales(2) 370 439 Autres ajustements de la balance des paiements 591 569 _______________________________________________________________ _______________________________________________________________ Juillet à août Août 2004 à août 2005 2005 _______________________________________________________________ données données désaisonnalisées, désaisonnalisées, en dollars en dollars courants courants ----------------- ----------------- var. en % var. en % ----------------- ----------------- Marchés principaux Exportations États-Unis 0,6 1,4 Japon -7,9 -4,1 Union européenne -2,2 -7,3 Autres pays de l'OCDE(1) 32,4 33,3 Tous les autres pays 7,7 11,0 Total 1,5 2,1 Importations États-Unis -0,4 2,1 Japon -0,1 8,2 Union européenne 2,7 0,6 Autres pays de l'OCDE(1) -3,0 6,6 Tous les autres pays -0,8 20,3 Total -0,4 4,6 Balance États-Unis ... ... Japon ... ... Union européenne ... ... Autres pays de l'OCDE(1) ... ... Tous les autres pays ... ... Total ... ... Groupes principaux de marchandises Exportations Produits de l'agriculture et de la pêche 9,2 -3,3 Produits énergétiques 6,1 27,8 Produits forestiers -0,6 -15,7 Biens industriels -2,1 4,1 Machines et équipement -1,6 -1,1 Produits de l'automobile 2,8 -4,1 Autres biens de consommation -0,2 1,5 Transactions spéciales commerciales(2) -5,6 -5,2 Autres ajustements de la balance des paiements 4,6 -14,3 Importations Produits de l'agriculture et de la pêche -0,1 2,8 Produits énergétiques 7,7 45,7 Produits forestiers -8,3 -9,3 Biens industriels -2,6 0,8 Machines et équipement -0,4 4,7 Produits de l'automobile -1,2 -1,2 Autres biens de consommation -1,6 1,4 Transactions spéciales commerciales(2) 18,6 4,3 Autres ajustements de la balance des paiements -3,7 0,4 _______________________________________________________________ _______________________________________________________________ Janvier à août Janvier à août 2004 2005 _______________________________________________________________ données données désaisonnalisées, désaisonnalisées, en dollars en dollars courants courants ----------------- ----------------- en millions de en millions de dollars dollars ----------------- ----------------- Marchés principaux Exportations États-Unis 234 461 237 950 Japon 6 771 6 658 Union européenne 18 117 18 861 Autres pays de l'OCDE(1) 9 539 9 615 Tous les autres pays 18 095 19 506 Total 286 985 292 592 Importations États-Unis 166 501 172 220 Japon 6 646 7 255 Union européenne 23 990 25 339 Autres pays de l'OCDE(1) 14 763 16 224 Tous les autres pays 28 067 34 907 Total 239 967 255 946 Balance États-Unis 67 960 65 730 Japon 125 -597 Union européenne -5 873 -6 478 Autres pays de l'OCDE(1) -5 224 -6 609 Tous les autres pays -9 972 -15 401 Total 47 018 36 646 Groupes principaux de marchandises Exportations Produits de l'agriculture et de la pêche 21 086 19 838 Produits énergétiques 44 791 51 177 Produits forestiers 26 615 24 518 Biens industriels 51 262 55 664 Machines et équipement 61 744 63 100 Produits de l'automobile 60 814 57 216 Autres biens de consommation 11 660 11 676 Transactions spéciales commerciales(2) 5 309 5 370 Autres ajustements de la balance des paiements 3 699 4 030 Importations Produits de l'agriculture et de la pêche 14 212 14 613 Produits énergétiques 15 533 21 450 Produits forestiers 2 088 2 133 Biens industriels 47 919 52 252 Machines et équipement 69 137 73 056 Produits de l'automobile 51 655 51 988 Autres biens de consommation 31 512 32 822 Transactions spéciales commerciales(2) 3 473 3 105 Autres ajustements de la balance des paiements 4 434 4 530 _______________________________________________________________ ____________________________________________ Janvier-août 2004 à janvier- août 2005 ____________________________________________ données désaisonnalisées, en dollars courants ----------------- var. en % ----------------- Marchés principaux Exportations États-Unis 1,5 Japon -1,7 Union européenne 4,1 Autres pays de l'OCDE(1) 0,8 Tous les autres pays 7,8 Total 2,0 Importations États-Unis 3,4 Japon 9,2 Union européenne 5,6 Autres pays de l'OCDE(1) 9,9 Tous les autres pays 24,4 Total 6,7 Balance États-Unis ... Japon ... Union européenne ... Autres pays de l'OCDE(1) ... Tous les autres pays ... Total ... Groupes principaux de marchandises Exportations Produits de l'agriculture et de la pêche -5,9 Produits énergétiques 14,3 Produits forestiers -7,9 Biens industriels 8,6 Machines et équipement 2,2 Produits de l'automobile -5,9 Autres biens de consommation 0,1 Transactions spéciales commerciales(2) 1,1 Autres ajustements de la balance des paiements 8,9 Importations Produits de l'agriculture et de la pêche 2,8 Produits énergétiques 38,1 Produits forestiers 2,2 Biens industriels 9,0 Machines et équipement 5,7 Produits de l'automobile 0,6 Autres biens de consommation 4,2 Transactions spéciales commerciales(2) -10,6 Autres ajustements de la balance des paiements 2,2 ____________________________________________ r Données révisées. 1. Comprend l'Australie, le Canada, la Corée du Sud, l'Islande, le Mexique, la Norvège, la Nouvelle-Zélande, la Suisse et la Turquie. 2. Particulièrement les transactions de faible valeur, les coûts de réparation des équipements et les marchandises retournées vers le pays d'origine. ... N'ayant pas lieu de figurer. -------------------------------------------------------------------------------- Enquête longitudinale auprès des immigrants du Canada 2003    Deux ans après leur arrivée au Canada, les immigrants en âge d'activité maximale avaient réalisé d'importants progrès quant à leur intégration à la population active, mais faisaient toujours face à certaines difficultés, selon les données du deuxième cycle d'une enquête longitudinale examinant la façon dont les nouveaux arrivants s'adaptent avec le temps au mode de vie du Canada.    De nouvelles données recueillies dans le cadre de l'Enquête longitudinale auprès des immigrants du Canada (ELIC) montrent que 80 % des immigrants de 25 à 44 ans ont eu au moins un emploi pendant leurs deux premières années au Canada.    Il s'agit d'une nette amélioration par rapport aux résultats du premier cycle, où la situation des nouveaux arrivants avait été examinée six mois après leur arrivée. Il avait alors été déterminé que 56 % des immigrants de 25 à 44 ans avaient occupé au moins un emploi.    Parmi les immigrants qui avaient trouvé un emploi, plusieurs ont travaillé pendant leurs deux premières années au pays. Plus de la moitié d'entre eux (58 %) avaient travaillé pendant 18 mois ou plus, et les trois quarts, pendant plus d'une année. ______________________________________________________________________ Note aux lecteurs    Le présent communiqué est basé sur un rapport établi d'après les données du deuxième cycle de l'Enquête longitudinale auprès des immigrants du Canada (ELIC). L'enquête vise à étudier la façon dont les nouveaux immigrants s'adaptent au mode de vie du Canada au fil du temps. Lors du premier cycle, environ 12 000 immigrants représentant 164 200 personnes de 15 ans et plus ont été interviewés entre avril 2001 et mai 2002, soit approximativement six mois après leur arrivée.    Au deuxième cycle de l'ELIC, environ 9 300 immigrants du premier cycle, représentant 160 800 personnes, ont été interviewés de nouveau en 2003, soit deux ans après leur arrivée. Il s'agissait de personnes qui étaient demeurées au Canada pendant deux ans et que Statistique Canada a pu localiser. Le troisième cycle de l'ELIC est actuellement en cours; il permet de recueillir des renseignements auprès des mêmes immigrants quatre ans après leur arrivée.    Bien que l'ELIC recueille des renseignements sur de nombreux sujets, le présent rapport porte sur l'intégration des immigrants au marché du travail. L'analyse est donc limitée aux 6 000 immigrants qui étaient dans le groupe d'âge d'activité maximale (25 à 44 ans), représentant 106 600 personnes. Les immigrants qui avaient entre 15 et 24 ans ou plus de 45 ans n'ont pas été pris en considération afin d'éliminer de l'analyse les effets qu'auraient pu avoir les étudiants, les personnes entrant tardivement sur le marché du travail et les retraités.    De plus, une importance particulière est accordée aux demandeurs principaux de la catégorie des travailleurs qualifiés, étant donné que ces personnes sont admises au Canada en raison de leur haut niveau de compétences sur le marché du travail. Enfin, l'intégration au marché du travail est examinée pendant les deux premières années au Canada, définies approximativement comme les 24 à 28 mois qui se sont écoulés entre l'arrivée et le moment de la deuxième interview dans le cadre de l'ELIC.    Les résultats de ce communiqué sont donnés au niveau du Canada. Cependant, des estimations sont aussi disponibles, sur demande, pour Montréal, Ottawa-Gatineau, Toronto, Calgary et Vancouver. ______________________________________________________________________    Un immigrant sur cinq n'avait pas eu d'emploi pendant cette période. La majorité de ces personnes étaient des femmes (74 %). Plusieurs d'entre elles se retrouvaient dans la catégorie des conjoints et personnes à charge des immigrants de la catégorie économique ou étaient des immigrantes de la catégorie du regroupement familial.    Lors du premier cycle de l'ELIC, environ 12 000 immigrants avaient été interviewés entre avril 2001 et mai 2002, six mois après leur arrivée. Pendant le deuxième cycle, 9 300 de ces mêmes immigrants ont été interviewés en 2003, soit deux ans après leur arrivée.    Après deux ans, la plupart des nouveaux venus n'avaient pas trouvé un emploi dans la profession visée. Parmi ceux qui avaient trouvé un emploi, 33 % avaient travaillé dans la profession visée pendant leur première année au Canada, et une autre tranche de 9 % en avait fait autant pendant la deuxième année.    En outre, les nouveaux arrivants faisaient toujours face à des obstacles. Après six mois au pays, la plus importante difficulté que devaient surmonter les immigrants en âge d'activité maximale était leur manque d'expérience de travail au Canada. Or, cela constituait toujours le plus important problème après deux ans.    De nombreux immigrants ont également déclaré, une fois de plus, que le plus sérieux problème était la difficulté à faire accepter ou reconnaître leurs titres de compétences acquis à l'étranger, comme les diplômes ou les grades obtenus dans leur pays d'origine.    Cependant, malgré ces difficultés, la plupart des nouveaux arrivants ont déclaré être satisfaits de leur emploi. Les taux d'emploi des nouveaux arrivants se rapprochaient de la moyenne nationale    Dans l'ensemble, plus les immigrants du groupe d'âge d'activité maximale avaient résidé longtemps au Canada, plus leur taux d'emploi se rapprochait de la moyenne nationale, selon les données de l'ELIC.    Vingt-six semaines après leur arrivée, 50 % de tous les immigrants âgés de 25 à 44 ans avaient un emploi. Cette proportion était inférieure de 30 points de pourcentage au taux d'emploi d'environ 80 % chez toute la population du Canada de 25 à 44 ans. Cet écart n'est pas surprenant compte tenu du fait que les immigrants avaient disposé d'une période limitée pour s'intégrer à la population active et qu'il leur avait fallu composer avec de nombreuses activités d'établissement.    Après 52 semaines, le taux d'emploi chez les immigrants en âge d'activité maximale se situait à 58 %. Cela ramenait l'écart à 23 points de pourcentage.    Après 104 semaines ou deux ans, le taux d'emploi chez les immigrants du groupe d'âge d'activité maximale s'établissait à 63 %, soit 18 points de pourcentage sous le taux national de 81 %.    Les immigrants admis à titre de demandeurs principaux dans la catégorie des travailleurs qualifiés affichaient un dossier encore meilleur au chapitre de l'emploi. Vingt-six semaines après leur arrivée, l'écart qui les séparait de la population canadienne sur le plan de l'emploi était de 20 points de pourcentage. Après 52 semaines, cet écart avait diminué à 12 points et, après deux ans, à 8 points.    Parmi toutes les personnes en âge d'activité maximale, les taux d'emploi sont les plus élevés chez les titulaires d'un diplôme universitaire. Dans ce contexte, il convient de souligner que la vaste majorité (87 %) des demandeurs principaux de la catégorie des travailleurs qualifiés de 25 à 44 ans étaient titulaires d'un grade universitaire à leur arrivée. Ce pourcentage correspondait à plus de trois fois la proportion pour tous les Canadiens dans ce groupe d'âge (25 %), selon les données de l'Enquête sur la population active. De modestes gains pour ce qui est de trouver un emploi dans la profession envisagée    Trouver un emploi ne signifiait pas nécessairement trouver le bon emploi. Parmi ceux qui avaient trouvé un travail, environ quatre sur dix occupaient un emploi dans la profession qu'ils comptaient exercer.    La situation était quelque peu meilleure chez les demandeurs principaux de la catégorie des travailleurs qualifiés âgés de 25 à 44 ans. Ces personnes sont choisies en fonction de certains critères, dont le niveau de scolarité, les aptitudes linguistiques et les compétences professionnelles. Les immigrants de cette catégorie sont réputés être plus susceptibles de réussir sur le marché du travail et de participer à l'économie canadienne.    La vaste majorité des membres de ce groupe, soit 90 % ou environ 45 000 personnes, avaient trouvé un emploi pendant leurs deux premières années au Canada. Parmi ceux-ci, un peu moins de la moitié (48 %) avaient trouvé un emploi dans la profession visée.    Environ la moitié de ces 45 000 travailleurs qualifiés avaient l'intention de travailler dans le secteur des sciences naturelles et appliquées ainsi que dans des professions connexes. Quarante-neuf pour cent de ces personnes avaient effectivement trouvé un emploi dans ce secteur à la fin de la période de deux ans. Le manque d'expérience de travail au Canada était toujours crucial    Le plus important obstacle à la recherche d'un emploi déclaré par les immigrants en âge d'activité maximale six mois après leur arrivée était leur manque d'expérience de travail au Canada. Cela représentait toujours un obstacle majeur après deux ans.    Parmi les 65 600 immigrants en âge d'activité maximale qui cherchaient un emploi 6 à 24 mois après leur arrivée, 71 % ou 46 500 avaient rencontré au moins un problème.    Chez ces personnes, environ une sur quatre citait l'absence d'expérience de travail au Canada comme le plus important problème. Environ le cinquième d'entre elles ont déclaré que la difficulté à faire accepter ou reconnaître leur expérience de travail ou leurs titres de compétences acquis à l'étranger était le plus important problème. La barrière linguistique était le plus important obstacle pour 15 % de ces immigrants, tandis qu'un manque d'emploi était cité par 14 % d'entre elles.    Les travailleurs qualifiés admis à titre de demandeurs principaux qui avaient rencontré des problèmes ont avant tout cité le manque d'expérience de travail au Canada (26 %) ou la difficulté à faire accepter ou reconnaître leur expérience de travail ou leurs titres de compétences acquis à l'étranger (23 %). Seulement 9 % ont déclaré que la barrière linguistique était le problème le plus important.    Parmi les réfugiés qui avaient rencontré des difficultés, 28 % ont déclaré que la barrière linguistique était le plus sérieux problème, tandis que 25 % ont précisé que le principal obstacle était l'absence d'expérience de travail au Canada.    Malgré ces difficultés, la proportion de nouveaux arrivants qui se sont dits satisfaits de leur emploi était passée de 74 % six mois après l'arrivée à 84 % deux ans après l'arrivée.    Le degré de satisfaction face à l'emploi était supérieur dans le cas des personnes qui avaient pu mettre leur formation à profit, qui occupaient un emploi dans la profession envisagée ou qui travaillaient à temps plein. Définitions, source de données et méthodes : numéro d'enquête 4422.    La publication Enquête longitudinale auprès des immigrants du Canada : progrès et défis des nouveaux immigrants sur le marché du travail, 2003 (89-615-XIF, gratuite) est maintenant accessible dans notre site Web. À la page Nos produits et services, sous Parcourir nos publications Internet, choisissez Gratuites puis Conditions sociales.    Pour plus de renseignements ou pour en savoir davantage sur les concepts, les méthodes et la qualité des données, communiquez avec la ligne Info-médias de Statistique Canada au (613) 951-4636, Division des communications et des services de bibliothèque. -------------------------------------------------------------------------------- Conditions économiques actuelles    L'influence grandissante du secteur des ressources, plus particulièrement des sous-secteurs de l'énergie et de l'extraction, s'est manifestée par plusieurs tendances liées entre elles qui se sont accentuées au cours de l'été, selon l'évaluation des conditions économiques actuelles du numéro d'octobre de L'Observateur économique canadien.    Les cours des produits de base ont battu de nouveaux records (citons notamment le pétrole, le gaz et le cuivre), ce qui a fait monter nos exportations et qui a porté le marché boursier à des niveaux presque inégalés. Cela devait aussi aider à faire passer au dollar canadien la barre des 86 cents américains.    Ces événements se sont préparés au niveau des prix et sur les marchés financiers au cours des deux dernières années. Aujourd'hui, ils ont de plus en plus d'incidence sur l'économie réelle de la production, de l'emploi et de l'investissement.    En juillet, l'énergie et les mines ont été à elles seules à l'origine de plus de la moitié de la croissance du produit intérieur brut, sans tenir compte de la constante remontée des investissements des entreprises qu'ont causé les ressources. Les permis de construction non résidentielle ont dépassé en septembre le sommet atteint plus tôt cette année.    Les ressources n'ont montré leur vigueur plus éloquemment que dans les exportations. Tant l'énergie que les produits industriels (où dominent les métaux) ont devancé cet été les automobiles en importance, montant aux deuxième et troisième rangs derrière les machines et le matériel. Aussi récemment qu'en 2004, l'énergie occupait le quatrième rang avec presque 10 points de moins que les automobiles.    L'énergie a surtout été soutenue par la hausse des prix, bien que la production énergétique se soit fortement accrue en juillet et paraisse prête à s'élever encore rapidement jusqu'à la fin de l'année. L'extraction a été soutenue, elle, par une vive croissance de la demande de cuivre, de nickel, de potasse et de minerai de fer en provenance de la Chine.    Par ailleurs, les exportations d'automobiles ont fléchi en valeur absolue depuis le début de l'année, en partie à cause de la valorisation du dollar canadien et du renchérissement de l'essence. Il reste que l'accroissement des revenus tirés des ressources a plus que compensé cette perte.    On a de solides raisons de prévoir que l'énergie et l'extraction prédomineront encore cet automne. En septembre, les travaux d'agrandissement de la première aluminerie en importance en Amérique du Nord se sont achevés au Québec et l'exploitation de nickel de Voisey's Bay a débuté avant la date annoncée. Quant à l'exploitation des sables pétrolifères qui avait connu des difficultés de production toute l'année, elle est presque revenue à une pleine production. En novembre, la plateforme pétrolière White Rose au large de Terre-Neuve entrera en service. Ces deux projets ajouteront quelque 100 000 barils par jour à la production canadienne, qui est d'une valeur annuelle de presque 5 milliards de dollars en prix courants. Définitions, source de données et méthodes : numéros d'enquête, y compris ceux des enquêtes connexes, 1301, 1901, 2201 et 2306.    Le numéro de la version en ligne d'octobre de L'Observateur économique canadien, vol. 18, no 10 (11-010-XIB, 19 $ / 182 $) est maintenant en vente. Voir Pour commander les produits.    Pour plus de renseignements sur L'Observateur économique canadien, à partir de la page Le Canada en statistiques de notre site Web, choisissez Comptes nationaux. Sur cette page, cliquez sur la publicité de L'Observateur économique canadien. Pour plus de renseignements ou pour en savoir davantage sur les concepts, les méthodes et la qualité des données, communiquez avec Philip Cross au (613) 951-9162 (oec@statcan.ca), Groupe de l'analyse de conjoncture. -------------------------------------------------------------------------------- Enquête annuelle des transporteurs par eau 2003    Les dépenses ont augmenté presque autant que les recettes en 2003 pour les 104 transporteurs maritimes pour compte d'autrui.    Les transporteurs pour compte d'autrui ont réalisé des bénéfices de 113 millions de dollars alors que leurs recettes se sont chiffrées à 2,5 milliards de dollars. Les recettes totales réalisées par ces transporteurs ont été supérieures de 6,8 % à celles de 2002, alors que les dépenses n'ont augmenté que de 6,0 %. La majeure partie de ces recettes (97 %) a été attribuable aux activités relatives au transport.    Les dépenses liées au transport ont représenté 95 % des dépenses totales des transporteurs pour compte d'autrui, les rémunérations ayant constitué presque un quart de ces dépenses.    Les transporteurs pour compte d'autrui ont enregistré un passif de 1,8 milliard de dollars et un actif de 2,6 milliards de dollars en 2003. Le ratio d'endettement des transporteurs est resté le même qu'en 2002, soit de 2,5.    Durant la même période, les transporteurs gouvernementaux ont réalisé des recettes de 761 millions de dollars et ont engagé des dépenses de 769 millions de dollars. Les principales sources de recettes étaient les activités de transport (88 %). Les principales dépenses ont été effectuées pour l'exploitation des navires (97 %).    Les rémunérations représentaient presque la moitié (47 %) des coûts associés aux dépenses liées au transport. Les transporteurs gouvernementaux ont enregistré un actif de 1,0 milliard de dollars pour les années 2002 et 2003. Nota : Les données financières dont nous disposons pour les transporteurs gouvernementaux sont considérablement différentes de celles dont nous disposons pour les transporteurs pour compte d'autrui. Bon nombre de transporteurs gouvernementaux ne peuvent présenter que des données financières partielles et appliquent des règles comptables différentes de celles des transporteurs pour compte d'autrui. Il convient donc d'utiliser avec circonspection l'information fournie sur les transporteurs gouvernementaux, particulièrement quand on la compare avec celle sur les transporteurs pour compte d'autrui. -------------------------------------------------------------------------------- Tableau : Recettes et dépenses des transporteurs pour compte d'autrui _____________________________________________________________ 2002 à 2002 2003 2003 _____________________________________________________________ en en milliers milliers de dollars de dollars var. en % ---------- ---------- ---------- Recettes Transport .. 2 387 340 Activités autres que le transport .. 80 156 Recettes totales 2 310 693 2 467 496 6,8 Dépenses Transport .. 2 226 577 Salaires .. 498 781 Activités autres que le transport .. 128 101 Dépenses totales 2 220 755 2 354 678 6,0 _____________________________________________________________ .. Indisponible pour une période de référence précise. -------------------------------------------------------------------------------- Tableau : Recettes et dépenses des transporteurs gouvernementaux _________________________________________________ 2002 2003 _________________________________________________ en en milliers milliers de dollars de dollars ---------- ---------- Recettes Transport .. 667 995 Activités autres que le transport .. 92 836 Recettes totales 702 930 760 831 Dépenses Transport .. 746 466 Salaires .. 351 665 Activités autres que le transport .. 22 584 Dépenses totales 773 319 769 050 _________________________________________________ .. Indisponible pour une période de référence précise. Définitions, source de données et méthodes : numéro d'enquête 2753.    Pour plus de renseignements ou pour en savoir davantage sur les concepts, les méthodes et la qualité des données, communiquez avec Ron Chrétien en composant sans frais le 1 866 500-8400 (statistiquesdutransport@statcan.ca), Division des transports. Télécopieur : (613) 951-0009. -------------------------------------------------------------------------------- Indices de prix des exportations et des importations Août 2005    Il est maintenant possible de connaître les indices de prix pour les exportations et les importations (1997=100) à pondération courante et à pondération fixe sur la base de la balance des paiements. Ces indices portent sur la période allant de janvier 1997 à août 2005 et sont établis pour les cinq sections de produits et les groupes principaux de produits (62 pour les exportations et 61 pour les importations).    Les indices de prix pour les États-Unis (1997=100) à pondération courante et à pondération fixe sur base douanière peuvent aussi être consultés. Ces indices portent sur la période allant de janvier 1997 à août 2005. Les indices pour les dix sections de la Classification type du commerce international pour tous les pays et pour les États-Unis sont également offerts avec ces indices de prix.    Des indices sur base douanière établis pour les cinq sections de produits et les groupes principaux de produits peuvent aussi être obtenus sur demande. Données stockées dans CANSIM : tableaux 228-0001 à 228-0003 et 228-0033 à 228-0046. Définitions, source de données et méthodes : numéros d'enquête, y compris ceux des enquêtes connexes, 2201, 2202 et 2203.    Le numéro d'août de la publication Le commerce international de marchandises du Canada, vol. 59, no 8 (65-001-XIB, 15 $ / 151 $) est maintenant en vente. Voir Pour commander les produits.    Pour plus de renseignements ou pour en savoir davantage sur les concepts, les méthodes et la qualité des données, communiquez avec Anne Couillard au (613) 951-9647 ou composez sans frais le 1 800 294-5583, Division du commerce international. -------------------------------------------------------------------------------- Nouveaux produits L'observateur économique canadien, octobre 2005, vol. 18, no 10 Numéro au catalogue : 11-010-XIB (19 $/182 $). Statistiques des affrètements aériens, 2003 Numéro au catalogue : 51-207-XIB (33 $). Le commerce international de marchandises du Canada, août 2005, vol. 59, no 8 Numéro au catalogue : 65-001-XIB (15 $/151 $). Enquête longitudinale auprès des immigrants du Canada : progrès et défis des nouveaux immigrants sur le marché du travail, 2003 Numéro au catalogue : 89-615-XIF (gratuit). Les prix sont en dollars canadiens et n'incluent pas les taxes de vente. Des frais de livraison supplémentaires s'appliquent aux envois à l'extérieur du Canada. Les numéros au catalogue se terminant par : -XIB ou -XIF représentent la version électronique offerte sur Internet, -XMB ou -XMF, la version microfiche, -XPB ou -XPF, la version papier, -XDB ou -XDF, la version électronique sur disquette et -XCB ou -XCF, la version électronique sur CD-ROM.