L'utilisation d'une police à espacement constant, comme Courier, améliore l'affichage. ** Contenu du QUOTIDIEN aujourd'hui ** Fichier PDF téléchargeable : http://www.statcan.ca/Daily/Francais/061107/q061107.pdf Site Web : http://www.statcan.ca/Daily/Francais/061107/tq061107.htm 06 11 07 08 30 Le mardi 7 novembre 2006. Diffusé à 8 h 30, heure de l'Est Communiqués Effectifs universitaires, 2004-2005 Le nombre d'étudiants inscrits dans les universités canadiennes a dépassé le cap du million pour la première fois au cours de l'année scolaire 2004-2005, en raison de la double cohorte en Ontario, d'une augmentation du nombre d'étudiants étrangers et d'une hausse du nombre de jeunes adultes. Étude : Comment les travailleurs perçoivent leur navette quotidienne pour aller et revenir du travail, 2005 Pour la plupart des travailleurs, le navettage quotidien pour se rendre au travail et en revenir est, au mieux, un mal nécessaire, au pire, un cauchemar quotidien, n'est-ce pas? Pas nécessairement, selon une nouvelle étude. Grades, diplômes et certificats universitaires décernés, 2004 Commercialisation de la propriété intellectuelle dans le secteur de l'enseignement supérieur, 2005 Statistiques sur la survie au cancer, 1992 à 1998 Nouveaux produits -------------------------------------------------------------------------------- Effectifs universitaires 2004-2005 Le nombre d'étudiants inscrits dans les universités canadiennes a dépassé le cap du million pour la première fois au cours de l'année scolaire 2004-2005, en raison de la double cohorte en Ontario, d'une augmentation du nombre d'étudiants étrangers et d'une hausse du nombre de jeunes adultes. On a compté au total 1,01 million d'étudiants inscrits à l'université. Il s'agissait de la septième année de suite où les inscriptions ont atteint un sommet. Cependant, la hausse par rapport à l'année scolaire précédente n'a été que de 2,1 %, ce qui représente la plus faible augmentation observée depuis le début de la décennie. L'accroissement enregistré en 2004-2005 a été essentiellement attribuable aux étudiants de 18 à 24 ans, dont le nombre s'est accru de 2,9 % pour s'établir à un peu plus de 654 000. Ils ont représenté 64 % des inscriptions totales, en hausse comparativement à 59 % une décennie plus tôt. En déclin au milieu des années 1990, les effectifs universitaires ont commencé à remonter vers la fin de la décennie. Ce changement est surtout attribuable à l'augmentation du nombre d'étudiants de 18 à 24 ans, dont le taux de croissance a dépassé celui des effectifs totaux. Entre 1998-1999 et 2004-2005, ces jeunes adultes ont été à l'origine des trois quarts de la hausse du nombre total d'inscriptions, ce qui est probablement le fait de la génération de l'écho-boom, formée des personnes nées entre 1980 et 1995. En outre, un nombre sans précédent de 75 200 étudiants provenant d'autres pays se sont inscrits à des programmes dans les universités canadiennes en 2004-2005, en hausse de 7,3 % par rapport à l'année précédente. Les étudiants étrangers ont formé 7,4 % de l'ensemble des effectifs étudiants. La moitié des étudiants étrangers venaient de l'Asie, et parmi ces derniers, 46,4 % étaient originaires de la Chine. De plus, on a continué à ressentir les effets de la double cohorte de l'Ontario, qui a eu une incidence marquée sur les effectifs au cours de l'année scolaire 2003-2004. Les inscriptions ont crû cette année-là de 6,4 %, soit la plus forte hausse observée en 28 ans. ______________________________________________________________________ Note aux lecteurs Les données sur les effectifs universitaires pour 2004-2005 sont tirées des renseignements du Système d'information amélioré sur les étudiants (SIAE) et du Système d'information statistique sur la clientèle universitaire (SISCU). Les données sur le domaine d'études ont été codées selon la nouvelle Classification des programmes d'enseignement (CPE). Avant l'adoption du SIAE, la classification du SISCU pour le codage des domaines d'études universitaires était utilisée. On peut obtenir sur demande les tableaux de conversion du SISCU au CPE et du CPE au SISCU. Les données sur le niveau des programmes, ainsi que sur le statut d'immigration et le pays de citoyenneté, ont été codées selon la nouvelle classification du SIAE. Des tableaux de conversion sont également offerts pour ces variables. Pour les fins du présent communiqué, un étudiant étranger est défini comme un étudiant non canadien qui ne possède pas le statut de «résident permanent» et qui a dû obtenir l'autorisation du gouvernement canadien pour entrer au Canada avec l'intention de poursuivre des études. Les données historiques sur les effectifs débutant en 1992-1993 ont été converties en utilisant les définitions de variables et les jeux de codes du SIAE afin de maintenir la continuité historique des séries statistiques. Pour les établissements du Québec et la plupart des établissements en Alberta, les codes de la CPE attribués aux programmes sont sujets à révision. Les données sont sujettes à révision. ______________________________________________________________________ En 2002-2003, deux cohortes d'étudiants ont terminé leurs études secondaires en Ontario en même temps, en raison de l'élimination de la 13e année (cours préuniversitaire de l'Ontario) dans le programme d'études. Les femmes continuent d'être plus nombreuses que les hommes, surtout au premier cycle En 2004-2005, les femmes étaient toujours beaucoup plus nombreuses que les hommes dans les universités canadiennes, bien que le rythme de croissance des inscriptions ait quelque peu ralenti. Au total, 585 200 femmes étaient inscrites à l'université, en hausse de 2,0 % par rapport à l'année scolaire précédente, tandis que le nombre d'hommes inscrits s'établissait à 429 000, en hausse de 2,3 %. Les femmes ont représenté 58 % de l'ensemble des inscriptions, comparativement à 56 % en 1994-1995 et à 51 % en 1984-1985. Le nombre d'étudiants au premier cycle s'est établi à 785 800, en hausse de 2,0 % par rapport à l'année scolaire précédente, et de 19,4 % par rapport à 1994-1995. Au premier cycle, le nombre d'inscriptions chez les hommes a connu une légère progression de 2,4 % en 2004-2005. Chez les femmes, la hausse correspondante observée était de 1,7 %. Elles ont représenté près de 59 % de l'ensemble des inscriptions. Quelque 92 100 étudiants étaient inscrits à un programme de maîtrise en 2004-2005, en hausse de 3,1 % par rapport à l'année précédente, et de presque 33 % comparativement à 10 ans auparavant. Les femmes ont représenté environ 53 % des inscriptions, soit une proportion qui est demeurée relativement stable au cours de la dernière décennie. Les inscriptions au doctorat ont grimpé de 7,9 % pour s'établir à 34 500 en 2004-2005. Il s'agit de la plus forte hausse des inscriptions observée parmi les différents programmes menant à un grade, ce qui inclut les programmes du baccalauréat et de la maîtrise. Les hommes sont toujours plus nombreux que les femmes dans les programmes menant à l'obtention d'un doctorat, mais leur proportion a décliné parce que le rythme de croissance de leurs inscriptions a diminué. En 2004-2005, les hommes ont représenté 54 % des inscriptions au doctorat, comparativement à 61 % en 1994-1995. Les effectifs d'étudiants à temps plein atteignent un sommet Le nombre d'étudiants à temps plein dans les universités s'est accru de 2,6 % en 2004-2005, atteignant un sommet de 757 000. Il y a eu une hausse des inscriptions à temps plein dans six provinces en 2004-2005, les progressions les plus importantes ayant été enregistrées en Ontario (+5,4 %) et au Manitoba (+4,3 %). Les autres provinces qui ont connu une augmentation des inscriptions à temps plein sont Terre-Neuve-et-Labrador, l'Île-du-Prince-Édouard, le Québec et l'Alberta. Les provinces où les inscriptions à temps plein ont le plus diminué sont la Saskatchewan (-6,4 %) et le Nouveau-Brunswick (-3,3 %). Le nombre d'inscriptions à temps partiel dans les universités a grimpé de 0,9 % pour atteindre 257 500. Les hausses les plus marquées ont été observées en Colombie-Britannique (+14,1 %) et en Alberta (+6,2 %). Les inscriptions à temps partiel ont fléchi dans trois provinces, tout particulièrement en Nouvelle-Écosse (-5,9 %). L'Ontario et la Saskatchewan ont enregistré des diminutions inférieures à 2,0 %. Les étudiants étrangers sont à l'origine du quart des hausses enregistrées dans les inscriptions La hausse d'environ 5 100 inscriptions d'étudiants étrangers observée dans les universités canadiennes en 2004-2005 a représenté environ le quart des progressions enregistrées dans le nombre total d'inscriptions à l'université. Les étudiants étrangers ont représenté un peu plus de 7,4 % des effectifs totaux en 2004-2005, soit près du double de la proportion enregistrée 10 ans auparavant. Plusieurs facteurs peuvent expliquer cette hausse. Au nombre de ceux-ci figurent la forte croissance économique dans les principaux pays asiatiques, comme la Chine, les nouvelles stratégies de marketing des universités pour contrecarrer la concurrence des établissements des autres pays, les changements dans les politiques d'immigration, et les ententes des provinces avec d'autres pays pour attirer les étudiants étrangers. À l'échelon provincial, l'Ontario, la Colombie-Britannique et le Québec ont attiré environ 75 % des étudiants étrangers. Les augmentations les plus marquées des effectifs d'étudiants étrangers depuis 2003-2004 ont été enregistrées en Ontario (+2 700) et en Colombie-Britannique (+1 400), alors qu'au Québec leur nombre restait inchangé. Les étudiants asiatiques ont été à l'origine de la plus grande partie de la croissance totale du nombre d'étudiants étrangers inscrits aux universités canadiennes. Les inscriptions des étudiants originaires de la Chine se sont accrues de 60 %, atteignant un sommet de 17 600. Les universités canadiennes ont aussi continué d'accueillir bon nombre d'étudiants de l'Inde, de la Corée du Sud, du Japon et de Hong Kong. Il y a eu une augmentation en 2004-2005 du nombre d'étudiants originaires de tous ces pays. Dans l'ensemble, quelque 17,0 % des étudiants étrangers venaient de l'Europe, et 18,5 %, des Amériques et des Caraïbes. Environ la moitié des étudiants européens inscrits au Canada venaient de la France. Les Américains (56 %) étaient majoritaires chez les étudiants originaires des Amériques. La proportion de femmes chez les étudiants étrangers s'accroît lentement. En 2004-2005, elle s'est établie à 45 % des étudiants étrangers, comparativement à 40 % une décennie plus tôt. Il y a eu une hausse des inscriptions d'étudiants étrangers dans tous les domaines d'études, et plus particulièrement dans celui des sciences sociales et de comportements, et droit, et dans celui du commerce, de la gestion et de l'administration publique. Le secteur des sciences sociales et de comportements, et droit est à l'origine de la plupart des nouvelles inscriptions Près de 18 % des nouvelles inscriptions dans les universités canadiennes en 2004-2005 se sont faites dans le domaine des sciences sociales et de comportements, et droit. En hausse depuis 2002, cette proportion était la plus forte enregistrée parmi tous les domaines d'études. Le nombre d'étudiants inscrits dans ce domaine a atteint un sommet de 178 100, en hausse de 13 300 par rapport à l'année scolaire précédente. Il s'agissait de la plus forte augmentation enregistrée, tous domaines d'études confondus. Pour la deuxième fois depuis 2002, le nombre d'inscriptions dans le domaine des sciences sociales et de comportements, et droit a été supérieur à celui des inscriptions dans le domaine du commerce, de la gestion et de l'administration publique. Ce domaine a compté 162 900 inscriptions, progressant de 2 400 depuis 2003-2004. Les trois principaux domaines d'études (les sciences sociales et de comportements, et droit; le commerce, la gestion et l'administration publique; et les sciences humaines) ont continué de représenter 48 % de l'ensemble des inscriptions. Le nombre d'étudiants dans le domaine de la santé, des parcs, de la récréation et du conditionnement s'est accru de 6 100, tandis que dans celui des sciences physiques et de la vie, et technologies, il a augmenté de 4 700. Les inscriptions ont reculé dans trois domaines, soit dans celui de l'éducation; des mathématiques, de l'informatique et des sciences de l'information; et dans celui des sciences humaines. La plus forte baisse a été observée en éducation, ayant enregistré 4 200 inscriptions en moins. Dans le domaine des mathématiques, de l'informatique et des sciences de l'information, le déclin reflétait la diminution soutenue qui est observée dans les inscriptions aux cours d'informatique et de sciences de l'information depuis le sommet de 2001-2002. Entre 2001-2002 et 2004-2005, le nombre d'inscriptions dans ce domaine a chuté de 22,8 % Données stockées dans CANSIM : tableau 477-0013. Définitions, source de données et méthodes : numéro d'enquête 5017. Les tableaux de données sont aussi accessibles à partir du module Tableaux sommaires de notre site Web. Pour obtenir des renseignements généraux, pour commander des données ou pour en savoir davantage sur les concepts, les méthodes et la qualité des données, communiquez avec les Services à la clientèle au 613-951-7608 ou composez sans frais le 1-800-307-3382 (educationstats@statcan.ca), Culture, tourisme et Centre de la statistique de l'éducation. Télécopieur : 613-951-9040. -------------------------------------------------------------------------------- Tableau : Effectifs universitaires selon le régime d'études ______________________________________________________________________ 1999- 2002- 2003- 2000(r) 2003(r) 2004(r) 2004-2005 ______________________________________________________________________ Total(1) 847 500 933 900 993 200 1 014 500 Hommes 363 800 397 200 419 500 429 000 Femmes 483 600 536 600 573 500 585 200 Temps plein(1) 592 700 675 500 738 000 757 000 Hommes 262 600 294 200 319 300 327 700 Femmes 330 100 381 300 418 600 429 200 Temps partiel(1) 254 800 258 400 255 300 257 500 Hommes 101 200 103 000 100 200 101 300 Femmes 153 500 155 400 154 900 156 100 1er cycle(1) 650 400 719 100 770 400 785 800 Temps plein(1) 495 100 563 600 617 500 632 000 Hommes 213 600 238 300 258 900 265 600 Femmes 281 500 325 200 358 500 366 300 Temps partiel(1) 155 300 155 500 152 900 153 800 Hommes 60 300 60 800 58 800 59 800 Femmes 94 900 94 700 94 100 94 000 2(e) et 3(e) cycles(1) 116 300 135 000 142 600 148 800 Temps plein(1) 80 200 92 600 101 100 105 600 Hommes 41 100 47 300 51 800 53 400 Femmes 39 200 45 300 49 300 52 200 Temps partiel(1) 36 100 42 400 41 500 43 100 Hommes 16 600 19 300 18 600 19 100 Femmes 19 500 23 100 22 900 24 100 ______________________________________________________________________ __________________________________________________ 1999- 1999- 2000 à 2004- 2000 à 2004- 2005 2005 __________________________________________________ variation variation en % réelle ------------ ------------ Total(1) 19,7 167 000 Hommes 17,9 65 200 Femmes 21,0 101 600 Temps plein(1) 27,7 164 300 Hommes 24,8 65 100 Femmes 30,0 99 100 Temps partiel(1) 1,1 2 700 Hommes 0,1 100 Femmes 1,7 2 600 1er cycle(1) 20,8 135 400 Temps plein(1) 27,7 136 900 Hommes 24,3 52 000 Femmes 30,1 84 800 Temps partiel(1) -1,0 -1 500 Hommes -0,8 -500 Femmes -0,9 -900 2(e) et 3(e) cycles(1) 27,9 32 500 Temps plein(1) 31,7 25 400 Hommes 29,9 12 300 Femmes 33,2 13 000 Temps partiel(1) 19,4 7 000 Hommes 15,1 2 500 Femmes 23,6 4 600 __________________________________________________ r révisé 1. La somme des chiffres peut ne pas correspondre exactement aux totaux indiqués en raison de l'exclusion des catégories «sexe inconnu» et «autre niveau d'études» ou en raison de l'arrondissement des chiffres à la centaine près. -------------------------------------------------------------------------------- Tableau : Effectifs universitaires selon le domaine d'études et le sexe _________________________________________________________________________ 1999-2000 1999- 2003- à 2004- 2000(r) 2004(r) 2004-2005 2005 _________________________________________________________________________ variation en % ---------- Total(1) 847 500 993 200 1 014 500 19,7 Hommes 363 800 419 500 429 000 17,9 Femmes 483 600 573 500 585 200 21,0 Perfectionnement et initiation aux loisirs(1) 0 100 0 ... Hommes 0 0 0 ... Femmes 0 0 0 ... Éducation(1) 66 300 76 800 72 600 9,5 Hommes 16 800 18 600 17 400 3,6 Femmes 49 400 58 200 55 100 11,5 Arts visuels et d'interprétation, et technologie des communications(1) 25 400 34 000 35 500 39,8 Hommes 8 700 11 500 12 000 37,9 Femmes 16 800 22 400 23 500 39,9 Sciences humaines(1) 119 400 147 900 145 100 21,5 Hommes 45 100 54 500 54 900 21,7 Femmes 74 300 93 400 90 300 21,5 Sciences sociales et de comportements, et droit(1) 132 500 164 800 178 100 34,4 Hommes 47 600 56 900 61 300 28,8 Femmes 84 900 107 900 116 900 37,7 Commerce, gestion et administration publique(1) 134 400 160 500 162 900 21,2 Hommes 60 300 73 400 75 500 25,2 Femmes 74 100 87 200 87 300 17,8 Sciences physiques et de la vie, et technologies(1) 79 300 91 700 96 400 21,6 Hommes 36 700 40 700 42 700 16,3 Femmes 42 600 51 000 53 700 26,1 Mathématiques, informatique et sciences de l'information(1) 41 600 44 200 40 900 -1,7 Hommes 29 400 32 300 29 900 1,7 Femmes 12 100 11 900 11 000 -9,1 Architecture, génie et technologies connexes(1) 67 400 85 800 86 500 28,3 Hommes 52 000 66 500 67 300 29,4 Femmes 15 400 19 200 19 100 24,0 Agriculture, ressources naturelles et conservation(1) 16 400 14 600 14 600 -11,0 Hommes 8 100 6 600 6 600 -18,5 Femmes 8 300 8 000 8 100 -2,4 Santé, parcs, récréation et conditionnement(1) 74 800 91 900 98 000 31,0 Hommes 24 200 26 200 27 900 15,3 Femmes 50 700 65 700 70 000 38,1 Services personnels, de protection et de transport 400 1 300 1 700 325,0 Hommes 300 800 1 000 233,3 Femmes 100 500 700 600,0 Autres(1) 89 700 79 600 82 200 -8,4 Hommes 34 700 31 400 32 500 -6,3 Femmes 54 900 48 200 49 700 -9,5 _________________________________________________________________________ _____________________________________ 2003-2004 à 2004- 2005 _____________________________________ variation en % ---------- Total(1) 2,1 Hommes 2,3 Femmes 2,0 Perfectionnement et initiation aux loisirs(1) -100,0 Hommes ... Femmes ... Éducation(1) -5,5 Hommes -6,5 Femmes -5,3 Arts visuels et d'interprétation, et technologie des communications(1) 4,4 Hommes 4,3 Femmes 4,9 Sciences humaines(1) -1,9 Hommes 0,7 Femmes -3,3 Sciences sociales et de comportements, et droit(1) 8,1 Hommes 7,7 Femmes 8,3 Commerce, gestion et administration publique(1) 1,5 Hommes 2,9 Femmes 0,1 Sciences physiques et de la vie, et technologies(1) 5,1 Hommes 4,9 Femmes 5,3 Mathématiques, informatique et sciences de l'information(1) -7,5 Hommes -7,4 Femmes -7,6 Architecture, génie et technologies connexes(1) 0,8 Hommes 1,2 Femmes -0,5 Agriculture, ressources naturelles et conservation(1) 0,0 Hommes 0,0 Femmes 1,3 Santé, parcs, récréation et conditionnement(1) 6,6 Hommes 6,5 Femmes 6,5 Services personnels, de protection et de transport 30,8 Hommes 25,0 Femmes 40,0 Autres(1) 3,3 Hommes 3,5 Femmes 3,1 _____________________________________ r révisé ... n'ayant pas lieu de figurer 1. La somme des chiffres peut ne pas correspondre exactement aux totaux indiqués en raison de l'exclusion des catégories «sexe inconnu» et en raison de l'arrondissement des chiffres à la centaine près. -------------------------------------------------------------------------------- Tableau : Effectifs universitaires selon la province _______________________________________________________________________ 1999-2000 1999- 2003- à 2004- 2000(r) 2004(r) 2004-2005 2005 _______________________________________________________________________ variation en % ---------- Canada(1) 847 500 993 200 1 014 500 19,7 Terre-Neuve-et-Labrador 16 300 17 600 18 000 10,4 Île-du-Prince-Édouard 3 100 3 900 4 000 29,0 Nouvelle-Écosse 37 600 44 800 43 500 15,7 Nouveau-Brunswick 22 400 25 600 24 900 11,2 Québec 237 900 260 100 263 400 10,7 Ontario 312 300 397 800 413 400 32,4 Manitoba 30 700 38 000 39 300 28,0 Saskatchewan 31 500 34 600 32 800 4,1 Alberta 81 600 86 100 88 100 8,0 Colombie-Britannique 74 300 85 000 87 000 17,1 Temps plein Canada 592 700 738 000 757 000 27,7 Terre-Neuve-et-Labrador 13 500 14 400 14 900 10,4 Île-du-Prince-Édouard 2 600 3 300 3 400 30,8 Nouvelle-Écosse 30 000 36 200 35 600 18,7 Nouveau-Brunswick 18 200 21 100 20 400 12,1 Québec 137 700 161 800 164 900 19,8 Ontario 237 200 316 100 333 200 40,5 Manitoba 20 900 27 800 29 000 38,8 Saskatchewan 23 900 26 500 24 800 3,8 Alberta 55 500 65 000 65 700 18,4 Colombie-Britannique 53 100 65 800 65 100 22,6 Temps partiel Canada 254 800 255 300 257 500 1,1 Terre-Neuve-et-Labrador 2 800 3 100 3 200 14,3 Île-du-Prince-Édouard 500 600 600 20,0 Nouvelle-Écosse 7 600 8 500 8 000 5,3 Nouveau-Brunswick 4 100 4 400 4 500 9,8 Québec 100 100 98 300 98 500 -1,6 Ontario 75 100 81 700 80 200 6,8 Manitoba 9 800 10 200 10 300 5,1 Saskatchewan 7 500 8 100 8 000 6,7 Alberta 26 000 21 100 22 400 -13,8 Colombie-Britannique 21 200 19 200 21 900 3,3 _______________________________________________________________________ ___________________________________ 2003-2004 à 2004- 2005 ___________________________________ variation en % ---------- Canada(1) 2,1 Terre-Neuve-et-Labrador 2,3 Île-du-Prince-Édouard 2,6 Nouvelle-Écosse -2,9 Nouveau-Brunswick -2,7 Québec 1,3 Ontario 3,9 Manitoba 3,4 Saskatchewan -5,2 Alberta 2,3 Colombie-Britannique 2,4 Temps plein Canada 2,6 Terre-Neuve-et-Labrador 3,5 Île-du-Prince-Édouard 3,0 Nouvelle-Écosse -1,7 Nouveau-Brunswick -3,3 Québec 1,9 Ontario 5,4 Manitoba 4,3 Saskatchewan -6,4 Alberta 1,1 Colombie-Britannique -1,1 Temps partiel Canada 0,9 Terre-Neuve-et-Labrador 3,2 Île-du-Prince-Édouard 0,0 Nouvelle-Écosse -5,9 Nouveau-Brunswick 2,3 Québec 0,2 Ontario -1,8 Manitoba 1,0 Saskatchewan -1,2 Alberta 6,2 Colombie-Britannique 14,1 ___________________________________ r révisé 1. La somme des chiffres peut ne pas correspondre exactement aux totaux indiqués en raison de l'arrondissement des chiffres à la centaine près. -------------------------------------------------------------------------------- Étude : Comment les travailleurs perçoivent leur navette quotidienne pour aller et revenir du travail 2005 Pour la plupart des travailleurs, le navettage quotidien pour se rendre au travail et en revenir est, au mieux, un mal nécessaire, au pire, un cauchemar quotidien, n'est-ce pas? Pas nécessairement, selon une nouvelle étude. Dans l'étude, publiée aujourd'hui dans Tendances sociales canadiennes, on détermine si la navette est vraiment une expérience déplaisante et on identifie les facteurs qui peuvent la rendre plaisante. Les données proviennent de l'Enquête sociale générale de 2005 sur l'emploi du temps. On a constaté que les travailleurs étaient proportionnellement plus nombreux à aimer faire la navette (38 %) qu'à ne pas aimer la faire (30 %). En effet, un travailleur sur six, soit environ 16 % d'entre eux, a même déclaré qu'il aimait beaucoup faire la navette pour se rendre au travail. Environ 3 % des travailleurs ont dit que la navette était leur activité favorite de la journée. Pour plusieurs, le temps qu'ils consacraient à faire la navette était le seul temps de la journée qui leur appartenait. Se rendre au travail et en revenir n'était pas l'activité la plus déplaisante pour bon nombre de travailleurs. Une plus grande proportion d'entre eux a déclaré préférer la navette à d'autres activités comme le ménage et l'épicerie. Dans cette étude, on a également découvert que les travailleurs qui prenaient le transport en commun étaient plus susceptibles de ne pas aimer faire la navette que ceux qui prenaient la voiture. En outre, plus une personne aimait son travail, plus elle était susceptible d'aimer faire la navette et d'être disposée à subir les frustrations inhérentes au navettage. Cette corrélation était l'une des plus fortes de l'étude. Les travailleurs qui enfourchaient leur bicyclette pour se rendre au travail étaient ceux qui étaient les plus susceptibles d'aimer faire la navette, selon l'étude. ______________________________________________________________________ Note aux lecteurs Cette étude est basée sur les données du cycle 19 de l'Enquête sociale générale menée en 2005. On a demandé à près de 20 000 personnes de 15 ans et plus de remplir un journal quotidien des différentes activités effectuées pendant une journée donnée, et ce, dans les 10 provinces. Les personnes choisies pour la présente étude étaient celles qui avaient fait la navette entre la maison et le travail le jour précédant l'entrevue téléphonique de l'enquête, ou l'avant-veille, dans certains cas. ______________________________________________________________________ En 2005, 19 % des travailleurs ayant fait la navette à bicyclette ont déclaré que cette activité avait été la plus plaisante de leur journée. Chez les personnes ayant fait la navette en voiture, la proportion correspondante n'était que de 2 %. Toutefois, les cyclistes ne représentaient qu'environ 1 % des navetteurs, selon le Recensement de 2001, comparativement à 81 % des navetteurs se rendant au travail en voiture, en camion ou en fourgonnette. La durée de la navette et le lieu de résidence étaient deux facteurs liés à la satisfaction des navetteurs Les deux facteurs principaux influant sur le niveau d'appréciation du navettage étaient la durée du trajet et le lieu de résidence, selon l'étude. Par exemple, les travailleurs qui mettaient 120 minutes et plus à se rendre et à revenir du travail étaient la moitié moins susceptibles d'apprécier faire la navette que ceux qui y consacraient moins de 30 minutes. Les travailleurs qui vivaient dans les plus grandes villes étaient moins susceptibles d'aimer faire la navette que ceux qui habitaient dans des villes plus petites. C'est peut être parce que les travailleurs des grands centres sont plus susceptibles que les autres de faire la navette dans des conditions stressantes. En général, plus la ville est grande, plus le trafic est lourd. L'étude a aussi permis de découvrir que les travailleurs qui aimaient beaucoup leur travail rémunéré étaient six fois plus susceptibles d'aimer faire la navette que ceux qui ne l'aimaient pas. Il en ressort que les travailleurs qui ont hâte de se rendre au travail sont aussi ceux qui semblent le mieux s'accommoder des désagréments liés au navettage, comme la congestion routière, par exemple. Les utilisateurs du transport public sont moins susceptibles d'aimer faire la navette que ceux qui prennent la voiture Les résultats de l'étude ont permis de constater que, dans l'ensemble, les travailleurs ont une attitude relativement positive par rapport au navettage. Cependant, des différences importantes quant au degré d'appréciation ont été découvertes selon le mode de transport utilisé, le groupe d'âge, le lieu de résidence et ainsi de suite. Les utilisateurs du transport en commun étaient moins susceptibles d'aimer faire la navette que ceux qui se rendaient au travail en voiture. En 2005, moins du quart (23 %) des personnes qui ont fait la navette entre la maison et le travail en transport en commun ont déclaré avoir aimé faire la navette, alors que c'était le cas de 39 % des personnes ayant pris la voiture. Cependant, il s'agit d'une situation complexe, pour laquelle bon nombre de facteurs semblent interagir. Une étude antérieure a permis de constater que la durée du trajet est le facteur qui influe le plus sur le niveau de stress des utilisateurs de trains de banlieue. Plus le voyage est long, plus le stress augmente. Cette étude a aussi montré que la principale raison qui explique les différences d'appréciation de la navette tient à la durée moyenne du trajet, les usagers du transport en commun mettant en moyenne plus de temps à se rendre au travail et en revenir que les personnes prenant la voiture. En comparant ces deux groupes, à durée de trajet égale, les usagers du transport en commun étaient tout aussi susceptibles d'apprécier faire la navette que les personnes ayant pris la voiture. Cependant, ce n'était pas le cas des travailleurs qui utilisaient à la fois la voiture et le transport en commun, et ce, même à durée de trajet égale. Lorsqu'on les comparait à ceux ayant employé la voiture, ils étaient toujours moins susceptibles d'aimer faire la navette. Par conséquent, de tous les navetteurs, ce sont ceux qui prennent le transport en commun et la voiture qui aiment le moins faire la navette. Le fait que ces derniers aient eu à passer d'un mode de transport à l'autre et que l'attente et la frustration de manquer une correspondance se soient ajoutées à leur trajet pourrait expliquer cette différence. Définitions, source de données et méthodes : numéro d'enquête 4503. L'étude «Vous aimez faire la navette? Les perceptions des travailleurs de leur navette quotidienne» est maintenant offerte dans le numéro de novembre 2006 de Tendances sociales canadiennes, vol. 82 (11-008-XWF, gratuit), lequel est accessible à partir du module Publications de notre site Web. Pour obtenir plus de renseignements ou pour en savoir davantage sur les concepts, les méthodes et la qualité des données, communiquez avec les Services à la clientèle au 613-951-5979 (sasd-dssea@statcan.ca), Division de la statistique sociale et autochtone. -------------------------------------------------------------------------------- Grades, diplômes et certificats universitaires décernés 2004 En 2004, les étudiants des universités ont obtenu un nombre sans précédent de baccalauréats et de maîtrises, le nombre global de grades, de diplômes et de certificats s'étant accru pour une sixième année d'affilée. Les universités ont décerné un nombre record de 209 100 grades, diplômes et certificats en 2004, en hausse de 5,3 % par rapport à 2003, et au-delà de 30 000 titres de plus qu'il y a trois ans. Un sommet sans précédent de 168 700 étudiants ont obtenu un grade de premier cycle, en hausse de 4,7 % par rapport à 2003. Il s'agit de la sixième augmentation annuelle consécutive. Un peu plus de 31 600 étudiants ont obtenu une maîtrise en 2004, en hausse de 9,0 % par rapport à l'année précédente. Il s'agit d'une septième augmentation annuelle de suite. Pour la première fois, les diplômes de maîtrise ont représenté au-delà de 15 % de l'ensemble des titres décernés. Le nombre de doctorats décernés a atteint un sommet de 4 200, en hausse de 7,7 % par rapport à 2003. Les doctorats ont représenté 2,0 % de l'ensemble des titres décernés. Entre 1996 et 2004, le nombre de baccalauréats ou autres grades de premier cycle a crû de 15,8 %, ce qui compense un fléchissement global de 6,4 % du nombre de diplômes et certificats de premier cycle observé au cours de la même période. Les femmes demeurent plus nombreuses que les hommes aux cérémonies de collation des grades. Quelque 124 800 femmes ont reçu un grade en 2004. Les femmes ont représenté environ 60 % de l'ensemble des diplômés pour une troisième année d'affilée. Cependant, un nombre record de 57 400 hommes ont obtenu un baccalauréat ou un autre grade de premier cycle en 2004, en hausse de 4,7 % comparativement à l'année précédente. Malgré cette progression, les hommes ont représenté près de 40 % de l'ensemble des personnes ayant obtenu un baccalauréat ou un autre grade de premier cycle. En 2004, les universités ont décerné des diplômes de maîtrise à 15 200 hommes, en hausse de 9,4 % par rapport à 2003, et à 16 300 femmes, en hausse de 7,9 %. Le nombre de grades, de diplômes et de certificats s'est accru dans tous les domaines d'études en 2004, à l'exception de celui de l'agriculture, des ressources naturelles et de la conservation. Les titres décernés dans ce domaine ont diminué de 5,3 %, leur proportion par rapport à l'ensemble des titres revenant au niveau où elle était en 1996, soit à 1,7 %. Le domaine où la croissance a été la plus forte est celui de la santé, des parcs, de la récréation et du conditionnement, où le nombre de titres décernés a augmenté de 11,0 %, ainsi que celui des arts visuels et d'interprétation et de la technologie des communications, où la hausse s'est établie à 9,0 %. Pour la première fois, le nombre de titres décernés dans le domaine des sciences sociales et de comportements, et droit a dépassé la barre des 40 000, se fixant à 41 800. Il s'agit d'une croissance de 6,9 % par rapport à 2003. Pour une troisième année de suite, le domaine du commerce, de la gestion et de l'administration publique s'est classé au premier rang, grâce à 43 200 titres décernés en 2004. Ces titres ont représenté 20,6 % de l'ensemble des titres décernés. Nota : Pour les établissements du Québec et la plupart des établissements de l'Alberta, les codes de la Classification des programmes d'enseignement attribués aux programmes sont en cours de révision. De plus, pour le Québec, les données sur les titres décernés n'incluent pas les microprogrammes et les attestations. Les données sont sujettes à révision. Les données sur le statut d'immigration, le pays de citoyenneté et l'âge devraient être utilisées avec prudence étant donné le niveau élevé de non-réponse. Données stockées dans CANSIM : tableau 477-0014. Définitions, source de données et méthodes : numéro d'enquête 5017. Il est également possible de consulter des tableaux de données à partir du module Tableaux sommaires de notre site Web. Pour obtenir des renseignements généraux, pour commander des données ou pour en savoir davantage sur les concepts, les méthodes et la qualité des données, communiquez avec les Services à la clientèle au 613-951-7608 ou composez sans frais le 1-800-307-3382 (educationstats@statcan.ca), Culture, tourisme et Centre de la statistique de l'éducation. Télécopieur : 613-951-9040. -------------------------------------------------------------------------------- Tableau : Titres universitaires décernés selon le niveau de programme et le sexe _________________________________________________________________________ 1996 2002(r) 2003(r) 2004 _________________________________________________________________________ Total des titres(1,2) 178 100 186 200 198 500 209 100 Hommes 75 100 75 100 80 000 84 200 Femmes 103 000 111 000 118 500 124 800 Premier cycle Total des grades, certificats et diplômes(1) 149 700 152 300 161 200 168 700 Hommes 60 600 58 700 61 900 64 700 Femmes 89 100 93 600 99 200 104 000 Baccalauréats et premiers grades professionnels(1) 128 000 134 000 140 900 148 200 Hommes 53 000 52 300 54 800 57 400 Femmes 74 900 81 800 86 100 90 800 Certificats et diplômes de premier cycle(1) 21 800 18 300 20 300 20 400 Hommes 7 600 6 400 7 100 7 300 Femmes 14 200 11 900 13 100 13 200 Deuxième et troisième cycles Totaldes grades, certificats et diplômes(1) 27 800 33 100 36 700 39 500 Hommes 14 200 16 100 17 800 19 100 Femmes 13 600 17 000 18 900 20 400 Maîtrises(1) 21 600 26 300 29 000 31 600 Hommes 10 600 12 500 13 900 15 200 Femmes 11 000 13 800 15 100 16 300 Doctorats 3 900 3 700 3 900 4 200 Hommes 2 600 2 100 2 200 2 300 Femmes 1 300 1 600 1 600 1 800 Certificats et diplômes de deuxième et troisième cycles 2 300 3 100 3 800 3 800 Hommes 1 000 1 500 1 700 1 500 Femmes 1 300 1 600 2 200 2 200 Titres non universitaires 500 700 600 900 Hommes 300 300 300 400 Femmes 300 300 300 500 _________________________________________________________________________ _________________________________________________ 1996 à 2003 à 2004 2004 _________________________________________________ variation variation en % en % ---------- ---------- Total des titres(1,2) 17,4 5,3 Hommes 12,1 5,3 Femmes 21,2 5,3 Premier cycle Total des grades, certificats et diplômes(1) 12,7 4,7 Hommes 6,8 4,5 Femmes 16,7 4,8 Baccalauréats et premiers grades professionnels(1) 15,8 5,2 Hommes 8,3 4,7 Femmes 21,2 5,5 Certificats et diplômes de premier cycle(1) -6,4 0,5 Hommes -3,9 2,8 Femmes -7,0 0,8 Deuxième et troisième cycles Totaldes grades, certificats et diplômes(1) 42,1 7,6 Hommes 34,5 7,3 Femmes 50,0 7,9 Maîtrises(1) 46,3 9,0 Hommes 43,4 9,4 Femmes 48,2 7,9 Doctorats 7,7 7,7 Hommes -11,5 4,5 Femmes 38,5 12,5 Certificats et diplômes de deuxième et troisième cycles 65,2 0,0 Hommes 50,0 -11,8 Femmes 69,2 0,0 Titres non universitaires 80,0 50,0 Hommes 33,3 33,3 Femmes 66,7 66,7 _________________________________________________ r révisé 1. Le total inclut les sexes inconnus. 2. La somme des chiffres peut ne pas correspondre aux totaux indiqués en raison de l'arrondissement au centième près. -------------------------------------------------------------------------------- Tableau : Titres universitaires décernés selon le domaine d'études _________________________________________________________________________ 1996 2002(r) 2003(r) 2004 _________________________________________________________________________ Total des titres(1,2) 178 100 186 200 198 500 209 100 Hommes 75 100 75 100 80 000 84 200 Femmes 103 000 111 000 118 500 124 800 Éducation(1) 25 700 23 800 24 900 25 400 Hommes 6 800 5 800 6 100 6 100 Femmes 19 000 18 000 18 900 19 300 Arts visuels et d'interprétation, et technologie des communications 5 200 5 900 6 700 7 300 Hommes 1 800 2 000 2 100 2 500 Femmes 3 400 3 900 4 500 4 900 Sciences humaines(1) 22 400 20 500 22 100 22 400 Hommes 8 300 7 000 7 700 7 800 Femmes 14 100 13 500 14 400 14 500 Sciences sociales et de comportements, et droit(1) 39 000 37 400 39 100 41 800 Hommes 14 600 12 700 13 000 13 800 Femmes 24 400 24 700 26 100 27 900 Commerce, gestion et administration publique(1) 30 100 37 500 40 800 43 200 Hommes 14 300 16 800 18 500 19 500 Femmes 15 800 20 700 22 300 23 700 Sciences physiques et de la vie, et technologies(1) 14 600 14 300 14 700 15 200 Hommes 7 100 6 100 6 200 6 400 Femmes 7 500 8 100 8 500 8 700 Mathématiques, informatique et sciences de l'information(1) 7 000 10 000 10 600 11 100 Hommes 4 700 6 900 7 400 7 700 Femmes 2 300 3 100 3 300 3 300 Architecture, génie et technologies connexes(1) 13 300 14 800 16 400 17 500 Hommes 10 500 11 200 12 200 13 100 Femmes 2 900 3 600 4 100 4 400 Agriculture, ressources naturelles et conservation 3 000 3 700 3 800 3 600 Hommes 1 700 1 700 1 700 1 700 Femmes 1 300 1 900 2 000 1 900 Santé, parcs, récréation et conditionnement physique(1) 16 700 17 200 18 100 20 100 Hommes 5 100 4 500 4 600 4 900 Femmes 11 600 12 700 13 500 15 200 Services personnels, de protection et de transport 100 300 300 400 Hommes 100 200 200 200 Femmes 0 100 100 100 Autres 1 000 900 1 100 1 300 Hommes 300 200 300 400 Femmes 700 700 700 900 _________________________________________________________________________ _________________________________________________ 1996 à 2003 à 2004 2004 _________________________________________________ variation variation en % en % ---------- ---------- Total des titres(1,2) 17,4 5,3 Hommes 12,1 5,3 Femmes 21,2 5,3 Éducation(1) -1,2 2,0 Hommes -10,3 0,0 Femmes 1,6 2,1 Arts visuels et d'interprétation, et technologie des communications 40,4 9,0 Hommes 38,9 19,0 Femmes 44,1 8,9 Sciences humaines(1) 0,0 1,4 Hommes -6,0 1,3 Femmes 2,8 0,7 Sciences sociales et de comportements, et droit(1) 7,2 6,9 Hommes -5,5 6,2 Femmes 14,3 6,9 Commerce, gestion et administration publique(1) 43,5 5,9 Hommes 36,4 5,4 Femmes 50,0 6,3 Sciences physiques et de la vie, et technologies(1) 4,1 3,4 Hommes -9,9 3,2 Femmes 16,0 2,4 Mathématiques, informatique et sciences de l'information(1) 58,6 4,7 Hommes 63,8 4,1 Femmes 43,5 0,0 Architecture, génie et technologies connexes(1) 31,6 6,7 Hommes 24,8 7,4 Femmes 51,7 7,3 Agriculture, ressources naturelles et conservation 20,0 -5,3 Hommes 0,0 0,0 Femmes 46,2 -5,0 Santé, parcs, récréation et conditionnement physique(1) 20,4 11,0 Hommes -3,9 6,5 Femmes 31,0 12,6 Services personnels, de protection et de transport 300,0 33,3 Hommes 100,0 0,0 Femmes ... 0,0 Autres 30,0 18,2 Hommes 33,3 33,3 Femmes 28,6 28,6 _________________________________________________ r révisé ... n'ayant pas lieu de figurer 1. Le total inclut les sexes inconnus. 2. La somme des chiffres peut ne pas correspondre aux totaux indiqués en raison de l'arrondissement au centième près. -------------------------------------------------------------------------------- Commercialisation de la propriété intellectuelle dans le secteur de l'enseignement supérieur 2005 (données provisoires) Les universités et les hôpitaux de recherche ont enregistré des hausses modestes de la commercialisation des inventions entre 2004 et 2005. Le nombre d'inventions qui sont entrées dans la filière de commercialisation a augmenté en 2005, selon les données provisoires de l'Enquête sur la commercialisation de la propriété intellectuelle dans le secteur de l'enseignement supérieur. Les chercheurs ont déclaré 1 475 inventions aux universités et aux hôpitaux de recherche canadiens, en hausse de 3 % par rapport à 2004. Pendant la même période, ces établissements ont déposé 1 427 demandes de brevet, en hausse de 13 %, et ont reçu 55 millions de dollars de revenus tirés de la commercialisation de la propriété intellectuelle, en hausse de 8 %. À ce jour, les universités et les hôpitaux de recherche ont créé 1 026 entreprises dérivées pour commercialiser leurs technologies. En 2004 et en 2005, 45 nouvelles entreprises dérivées ont été créées en tout. Ces établissements ne se limitent toutefois pas à lancer des entreprises. En 2005, 30 établissements ont fourni des locaux à 66 entreprises de démarrage. Les universités et les hôpitaux de recherche qui y sont rattachés apportent une contribution importante à l'innovation dans l'économie canadienne. Elles engendrent de nouvelles connaissances et forment des diplômés hautement qualifiés; en outre, une partie de la technologie qu'elles produisent est brevetée et octroyée sous licence à des entreprises pour être intégrée à des produits commerciaux. Certaines de ces entreprises sont des entreprises dérivées, c'est-à-dire qu'elles ont été créées spécifiquement pour octroyer sous licence et commercialiser de la technologie élaborée dans l'établissement institutionnel. Données stockées dans CANSIM : tableau 358-0025. Définitions, source de données et méthodes : numéro d'enquête 4222. Pour obtenir plus de renseignements ou pour en savoir davantage sur les concepts, les méthodes et la qualité des données, communiquez avec Louise Earl au 613-951-2880 (louise.earl@statcan.ca), Division des sciences, de l'innovation et de l'information électronique. Télécopieur : 613-951-9920. -------------------------------------------------------------------------------- Statistiques sur la survie au cancer 1992 à 1998 Des estimations de survie relative à cinq ans pour une longue liste de sièges de cancer sont maintenant offertes pour les cancers diagnostiqués au Canada (excluant le Québec) de 1992 à 1998 (suivi de la mortalité jusqu'à 2003). Définitions, source de données et méthodes : numéro d'enquête 3207. Les tableaux CANSIM présentent des données annuelles et regroupées sur la survie au cancer (pour trois années de données) et sont appuyés d'information supplémentaire sur la méthodologie, d'interprétations d'ordre général et de renseignements complémentaires. Vous pouvez consulter ces tableaux dans la publication Statistiques sur la survie au cancer (82-226-XIF, gratuite), qui est accessible à partir du module Publications de notre site Web. Sous Publications Internet gratuites, choisissez Santé. Pour commander des données ou pour obtenir plus de renseignements, communiquez avec les Services d'information et d'accès aux données au 613-951-1746 (hd-ds@statcan.ca). Pour en savoir davantage sur les concepts, les méthodes et la qualité des données, communiquez avec Michel Cormier au 613-951-1775 (michel.cormier@statcan.ca), Division de la statistique de la santé. -------------------------------------------------------------------------------- Nouveaux produits Tendances sociales canadiennes, no 82 Numéro au catalogue : 11-008-XWF (gratuit). Permis de bâtir, septembre 2006, vol. 50, no 9 Numéro au catalogue : 64-001-XIF (gratuit). L'approche intégrée des enquêtes économiques au Canada, 2006 Numéro au catalogue : 68-514-XIF (gratuit). Statistiques sur la survie au cancer, 1992 à 1998 Numéro au catalogue : 82-226-XIF (gratuit). Les prix sont en dollars canadiens et n'incluent pas les taxes de vente. Des frais de livraison supplémentaires s'appliquent aux envois à l'extérieur du Canada. Les numéros au catalogue se terminant par : -XIB ou -XIF représentent la version électronique offerte sur Internet, -XMB ou -XMF, la version microfiche, -XPB ou -XPF, la version papier, -XDB ou -XDF, la version électronique sur disquette et -XCB ou -XCF, la version électronique sur CD-ROM.