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Faits à l'appui de l'ÉPQQ

FAIT NO. 1

L'activité physique quotidienne contribue au développement d'une ossature saine chez l'enfant, et contribue ainsi à limiter le risque ultérieur d'ostéoporose.

Démonstration
  • Quatre-vingt pour cent des maux de dos sont attribuables au manque d'exercice et à une condition physique inadéquate.
  • Chiropractic in Canada, 1988
  • Des études démontrent que l'exercice joue un rôle plus important que la consommation du lait dans le développement de l'ossature.
  • Houston, 1983
  • Étant donné que la pratique régulière de l'activité physique durant l'adolescence contribue à rehausser le pic de la masse osseuse, celle-ci joue un rôle important dans la limitation des risques ultérieurs d'ostéoporose.
  • Bailey et Martin, 1994
  • Les adolescents et adolescentes qui sont physiquement actifs et actives ont une ossature en meilleure santé, par comparaison à celle de leurs pairs moins actifs.
  • Sallis et Patrick, 1994
  • Les activités physiques quotidiennes avec charge, y compris celles pratiquées durant de brefs intervalles au cours de l'adolescence, jouent un rôle clé dans le développement optimal de l'ossature et son maintien en bonne santé tout au long de la vie.
  • Sallis et Patrick, 1994

    FAIT NO. 2

    Récemment, des études ont démontré une augmentation dans la prévalence de l'obésité infantile attribuable au manque d'activité physique. L'obésité et l'inactivité physique sont deux facteurs de risque des maladies cardio-vasculaires qu'il est possible de prévenir. Une augmentation de la pratique régulière de l'activité physique contribue dès lors à limiter les risques de contracter ces maladies mortelles.

    Démonstration
  • En Amérique du Nord, 40 p. 100 des enfants âgés entre cinq et huit ans sont considérés obèses.
  • Fishburne et Harper-Tarr, 1992
  • Au cours des 15 dernières années, la prévalence de l'obésité chez les enfants canadiens âgés entre six et 11 ans, a augmenté de 50 p. 100, et chez ceux âgés de 12 à 17 ans, de 40 p. 100. Entre 40 et 90 p. 100 des enfants souffrant d'embonpoint deviennent obèses à l'âge adulte, ce qui en fait des candidats fortement prédisposés à contracter des maladies du coeur et le diabète. Le sédentarisme figure parmi les principales causes de l'obésité.
  • Lechky, 1994
  • Quarante p. 100 des enfants canadiens présentent au moins un facteur de risque les prédisposant aux maladies du coeur - soit une condition physique limitée en raison d'un mode de vie inactif.
  • Fishburne et Harper-Tarr, 1992
  • Les principaux bienfaits retirés de l'activité physique durant l'enfance tiennent dans la prévention ou le report de la morbidité et de la mortalité attribuable aux maladies cardio-vasculaires.
  • Sallis et McKenzie, 1991
  • Les adultes inactifs sont au moins deux fois plus prédisposés à mourir de maladies cardio-vasculaires que ne le sont les adultes actifs. Ce risque relatif se compare au risque relatif associé aux autres principaux facteurs de risque de maladies cardio-vasculaires : le tabagisme, la haute pression et le cholestérol sérique.
  • Berlin et Cloditz, 1990; Powell, Thompson, Caspersen et Kendrick, 1987
  • Plusieurs facteurs de risque associés à l'insuffisance coronarienne et qu'il est possible de prévenir commencent à se manifester très tôt durant l'enfance, notamment l'obésité, l'élévation des lipides du sang, l'hypertension et le manque d'exercice. En fait, les coronaropathies se développent lentement avec l'augmentation et la cumulation des facteurs de risque.
  • Leppo, 1983
  • L'obésité et l'embonpoint (chez les enfants) sont associés à un niveau réduit d'activité physique, et les problèmes d'embonpoint (chez les enfants) sont aussi associés à un niveau réduit d'activité physique. L'exercice est un des rares facteurs qui contribue au maintien du poids corporel à long terme.
  • King et Tribble, 1991

    FAIT NO. 3

    La pratique régulière de l'activité physique rehausse la santé mentale de l'enfant et contribue à sa croissance et à son développement.

    Démonstration
  • L'activité physique est constamment associée à l'amélioration de l'estime de soi, de la perception de soi, et à l'allégement de l'anxiété et du stress et des symptômes associés à la dépression.
  • Calfas et Taylor, 1994
  • L'exercice contribue à diminuer l'anxiété, la dépression et la tension, et a des effets bénéfiques sur l'état émotif des jeunes gens et des personnes âgées. Chez l'enfant, l'activité physique entraîne une amélioration de l'estime de soi et de la perception de ses propres compétences physiques, des facteurs variables qui permettent aux enfants de surmonter le stress psychique.
  • DeMarco et Sidney, 1989
  • L'activité physique pratiquée de façon modérée et à intervalles réguliers contribue à alléger les symptômes associés aux dépressions légères ou moyennes et les névroses d'angoisse en rehaussant l'estime de soi, les habiletés sociales, la santé mentale et peut-être les fonctions cognitives et l'état général de bien-être.
  • Katz, Adler, Mazzarella et Ince, 1985

    FAIT NO. 4

    La pratique régulière de l'activité physique rehausse le rendement académique.

    Démonstration
  • Dans les deux heures qui suivent une séance d'exercice, on constate chez les gens une meilleure capacité de concentration, de mémorisation et d'apprentissage, une créativité rehaussée, une meilleure capacité à résoudre des problèmes et une meilleure humeur.
  • Taylor et Taylor, 1989
  • Chez l'enfant, l'apprentissage du mouvement est étroitement lié à son développement intellectuel, émotif, esthétique, physique et moteur. En d'autres termes, l'éducation physique est indispensable au développement complet de la personne.
  • Fishburne et Haslam, 1992
  • Des améliorations dans la discipline, le rendement académique et la conception de soi sont quelques-uns des bienfaits associés à la pratique régulière de l'activité physique.
  • Fishburne et Boras, 1989
  • Une activité physique pratiquée de façon modérée à vigoureuse influence favorablement le rendement en classe des élèves dans des tâches comme les mathématiques, la lecture, la mémorisation et le classement.
  • Keays, 1993
  • Dans les cas où davantage de temps est consacré à l'éducation physique, le rendement académique n'en est pas affecté.
  • Maynard, Coonan, Worsley, Dwyer et Baghurst, 1987

    FAIT NO. 5

    On note un déclin marqué dans la pratique habituelle de l'activité physique durant l'adolescence.

    Démonstration
  • Chez les enfants, la pratique habituelle de l'activité physique est moindre que ce qu'elle était par le passé et, surtout, on constate un déclin marqué de cette pratique dès le passage à l'adolescence.
  • Weiss, 1993; Rowland, 1990; Sallis, Buono, Roby, Micale et Nelson, 1991
  • Lorsque l'éducation physique devient facultative au programme d'études, de nombreux enfants réduisent leur niveau d'activité habituel. Le nombre d'élèves qui s'inscrivent volontairement aux cours d'éducation physique diminue, et on note une tendance accentuée des jeunes filles à se détourner de l'activité physique.
  • DeMarco et Sidney, 1989
  • Au cours de l'adolescence, les filles comme les garçons consacrent moins de temps à l'activité physique, et cette tendance se poursuit une fois ces derniers adultes. Compte tenu de cette tendance à la baisse, les adolescents et adolescentes qui aujourd'hui se conforment aux normes en matière d'activité physique présentent le risque de devenir sédentaires une fois adultes.
  • Sallis et Patrick, 1994
  • Plusieurs études effectuées en Europe démontrent un déclin prononcé du niveau d'activité physique habituel chez les jeunes entre l'âge de six et 18 ans.
  • Freedson et Rowland, 1992

    FAIT NO. 6

    Il est important d'éduquer, d'encourager et de motiver les enfants à participer régulièrement à l'activité physique parce que les habitudes acquises durant l'enfance se transposent dans la vie adulte.

    Démonstration
  • La promotion de l'activité physique auprès des jeunes vise entre autres l'objectif suivant : rehausser leurs chances de demeurer actifs et actives et en bonne santé une fois adultes. On croit en effet qu'il est davantage probable que les jeunes qui, durant l'adolescence, contractent l'habitude de participer à l'activité physique auront tendance à maintenir cette pratique une fois adultes.
  • Sallis et Patrick, 1994
  • Il est important d'encourager les jeunes à pratiquer régulièrement l'activité physique de sorte qu'ils et elles en acquièrent très tôt l'habitude et maintiennent cette habitude une fois adultes.
  • Freedson, 1992
  • Le degré d'activité physique et de condition physique développé durant l'enfance tend à se maintenir à l'âge adulte, étape à laquelle se manifeste l'incidence négative du sédentarisme.
  • Blair, 1992; Freedson et Roland, 1992
  • On admet généralement, sans que cela n'ait été démontré, que l'habitude de pratiquer quotidiennement l'activité physique chez les adultes dépend des habitudes de participation, de la qualité de l'activité physique et de la perception de l'activité physique développées durant l'enfance.
  • Weiss et Petlichkoff, 1989

    FAIT NO. 7

    La participation régulière à l'activité physique a une incidence positive sur le comportement et le mode de vie sain adoptés par les jeunes.

    Démonstration
  • La participation à l'activité physique durant les années de scolarisation est fortement associée à des résultats positifs, et la non-participation, à la déliquance et à la criminalité.
  • Marsh, 1990
  • Par rapport à leurs pairs moins actifs, les enfants et les jeunes qui sont physiquement actifs et actives s'adonnent moins au tabagisme et à la consommation d'alcool.
  • Campbell, 1988
  • Chez les jeunes, une excellente condition physique est associée à une diminution du tabagisme et de la consommation d'alcool, à des habitudes alimentaires saines et à une meilleure estime de soi.
  • Guzman, 1992
  • Les programmes pour les jeunes axés sur l'activité physique contribuent à prévenir les comportements asociaux, très coûteux. Dans le cadre d'un projet pilote mené dans des localités isolées du Nord du Manitoba, on a constaté une baisse de 17 p. 100 des incidents criminels dans les localités associées au programme, par comparaison à une hausse supérieure à plus de 10 p. 100 dans les localités n'ayant pas bénéficié du programme.
  • Winther et Currie, 1987
  • Les loisirs (y compris l'activité physique) peuvent offrir un exutoire au mode de vie monotone et souvent destructif associé au chômage et au décrochage, une situation que vivent tant de jeunes autochtones. Il s'agit d'un contexte favorable pour développer des habiletés physiques, sociales et émotives et acquérir de l'assurance. Les dirigeants autochtones et les membres professionnels du milieu de l'éducation et de la criminologie estiment en effet que le manque d'activités récréatives dans la plupart des communautés autochtones contribue au sentiment d'ennui, favorise des épisodes d'expérimentation des drogues et de l'alcool et d'autres types de comportement autodestructeurs.
  • Gouvernement du Canada, 1994

    FAIT NO. 8

    Dans le milieu scolaire, l'éducation physique n'est pas perçue comme une composante essentielle et unique de l'apprentissage chez l'enfant, ce qu'elle est pourtant. Bon nombre d'auteurs et d'auteures s'entendent pour reconnaître la nécessité d'une éducation physique quotidienne de qualité dans le programme d'études.

    Démonstration
  • Des quelque 15 000 écoles canadiennes, seulement 847 d'entre elles reconnues officiellement par l'ACSEPLD offrent des programmes d'éducation physique qui répondent aux critères du programme d'ÉPQQ.
  • ACSEPLD a, 1995
  • De nombreuses éudes confirment le lien indissociable entre le corps et l'esprit dans l'apprentissage et le développement, néanmoins les éducateurs et éducatrices tardent à donner suite aux résultats de ces recherches et continuent à se détourner d'un programme d'études qui garantirait un équilibre entre les diverses matières au programme.
  • Fishburne et Harper-Tarr, 1992; Fishburne et Haslam, 1992
  • L'éducation physique et l'éducation santé constituent un puissant agent de prévention des maladies du coeur et d'autres maladies liées au mode de vie. On peut comparer l'absence d'une éducation physique quotidienne dans le programme d'études au refus des autorités en charge de la santé publique de dispenser un vaccin qui pourrait prévenir diverses maladies dégénératives ou à leur décision d'en autoriser sporadiquement l'administration. Une telle situation ne manquerait pas de provoquer, à forte raison, une révolte de la population. Il devrait en être de même pour l'éducation physique quotidienne.
  • Pipe, 1992
  • Compte tenu du grand nombre d'enfants qu'il est possible d'atteindre à l'école et l'importance de contracter à un jeune âge l'habitude de bien s'alimenter et de faire de l'exercice, les écoles doivent devenir le point focal vers lequel doivent tendre les efforts nationaux en matière de promotion de la santé et de prévention des maladies.
  • Simons-McKenzie, 1991; McGinnis, Kanner et DeGraw, 1991
  • Les programmes scolaires d'éducation physique sont les seuls contextes qui permettent d'enseigner virtuellement à tous les enfants les activités physiques contribuant à la santé et nécessaires au maintien d'une bonne condition physique tout au long de la vie, ainsi que les habiletés requises pour pouvoir se divertir à l'âge adulte dans la pratique d'activités physiques axées sur le sport.
  • Sallis et MacKenzie, 1991; McGinnis, Kanner et DeGraw, 1991
  • L'éducation physique à l'école étant l'endroit le plus pertinent pour promouvoir les activités physiques axées sur la santé et le sport, il est indispensable que les responsables de l'élaboration des programmes, les responsables des départements d'éducation physique, et les éducateurs et éducatrices physiques se soucient de la condition physique de l'enfance et de la jeunesse dans la planification, l'élaboration et la mise en oeuvre des programmes.
  • Quinn et Stand, 1993
  • Tous les adolescents et adolescentes devraient s'adonner quotidiennement à l'activité physique, ou pratiquement tous les jours, dans le contexte de jeux individuels et en équipe, de sports, de leur travail, de leur transport, de leurs loisirs, de l'éducation physique, des programmes organisés d'exercice, dans le contexte familial, scolaire et communautaire.
  • Sallis et Patrick, 1994

    FAIT NO. 9

    À l'échelle nationale, le nombre de spécialistes et de conseillers et conseillères compétents en éducation physique ne cesse de diminuer.

    Démonstration
  • Entre 1982 et 1994, seulement en Colombie-Britannique, le nombre de postes de conseillers et conseillères pédagogiques en éducation physique est passé de 33 à 12.
  • ACSEPLD d, 1994
  • Les emplois de conseillers et conseillères pédagogiques reposent pour la plupart sur des ententes contractuelles annuelles ou bisannuelles plutôt que d'être des postes permanents, d'où le manque de continuité.
  • ACSEPLD d, 1994
  • Moins de la moitié des éducateurs et éducatrices physiques ont un diplôme en éducation physique ou l'équivalent.
  • Sondage national sur l'intégration des élèves physiquement handicapés, 1986
  • Dix-neuf p. 100 des éducateurs et éducatrices physiques n'ont jamais suivi de formation quelconque en éducation physique.
  • Sondage national sur l'intégration des élèves physiquement handicapés, 1986

    FAIT NO. 10

    On note un manque d'uniformité et des inégalités dans les programmes d'éducation physique offerts à l'échelle du pays; les programmes d'ÉPQQ pourraient contribuer à aplanir ces inégalités déplorables.

    Démonstration
  • Les filles préfèrent les exercices de condition physique et d'aérobie et l'apprentissage d'habiletés, cependant elles n'ont pas accès à de telles activités tout au long de l'année. Les écoles n'ont pas les installations sportives adéquates pour les deux sexes, et les jeunes filles n'ont pas droit à un traitement égal à celui réservé aux garçons dans l'accès aux installations. Dans les écoles, les garçons par comparaison aux filles ont accès à davantage de programmes de sport; on consacre davantage de fonds aux activités destinées aux garçons par rapport à celles destinées aux filles; on manque d'entraîneurs, femmes et hommes, pour les sports intra-muros, et d'un nombre suffisant d'entraîneures et de modèles féminins.
  • DeMarco et Sidney, 1989
  • La période de temps à réserver à l'éducation physique que recommandent les ministères provinciaux de l'éducation varie énormément d'une province à l'autre :
    • -Aucune période minimale exigée en Nouvelle-Écosse;
      -150 minutes par semaine en Saskatchewan et au Manitoba;
      -10 p. 100 du programme d'études en Colombie-Britannique;
      -Plusieurs conseils ou commissions scolaires se contentent d'imposer une seule période d'éducation physique par semaine!
    ACSEPLD b, 1994
  • Le processus d'évaluation en vigueur en éducation physique détourne un grand nombre d'élèves lorsque cette matière devient facultative; au secondaire, il est souvent plus facile d'obtenir une moyenne de 90 p. 100 en mathématiques, qu'une moyenne de 70 p. 100 en éducation physique.
  • ACSEPLD b, 1994
  • Durant les périodes d'éducation physique, plus de 20 p. 100 des élèves ayant une déficience physique intégrés dans les programmes normaux suivent des cours académiques ou font d'autres activités.
  • Sondage national sur l'intégration des élèves physiquement handicapés, 1986
  • L'ÉPQQ insiste sur l'importante d'une éducation physique quotidienne pour TOUS les jeunes Canadiens et Canadiennes.
  • ACSEPLD a, 1994
  • L'ÉPQQ préconise au moins 150 minutes d'éducation physique par semaine dans l'ensemble des provinces.
  • ACSEPLD b, 1994
  • Les programmes d'ÉPQQ reconnaissent à chacun et chacune des chances égales d'apprentissage et de participation.
  • ACSEPLD a, 1994

    FAIT NO. 11

    Une participation accrue des jeunes à l'activité physique contribuera à réduire considérablement les coûts associés aux soins de santé en atténuant les facteurs de risques associés à diverses maladies.

    Démonstration
  • Les jeunes femmes qui bénéficient d'une activité physique accrue et d'un léger apport en calcium encourent trois fois moins de risque de souffrir d'ostéoporose à l'âge de 70 ans. La diminution du nombre de fractures de la hanche attribuées à l'ostéoporose par une activité physique accrue et un apport en calcium peut entraîner des économies considérables.
  • Société d'ostéoporose du Canada, 1992
  • L'activité physique peut contibuer à réduire de 50 p. 100 les risques de cancer du colon.
  • Lee, Paffenbarger et Hsieh, 1991
  • Compte tenu de la prévalence des modes de vie inactifs, il semble qu'un plus grand nombre de vies pourrait être épargné en modifiant les habitudes d'activité physique de la population qu'en apportant des changements à tout autre facteur de risque majeur associé aux maladies cardio-vasculaires.
  • Sallis et McKenzie, 1991
  • La pratique régulière de l'activité physique contribue à réduire de 50 p. 100 le risque relatif de contracter le diabète non insulino-dépendant.
  • Manson, J.E., Natham et Krolewski, 1992
  • La pratique régulière de l'activité physique, lorsqu'elle est bien dosée, constitue un moyen efficace pour prévenir les effets invalidants des maladies du coeur et des accidents cérébrovasculaires.
  • Kuntzleman, Reiff, 1992; Fondation des maladies du coeur du Canada, 1993

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    Cet article a été publié par l'Association canadienne pour la santé, l'education physique, le loisir et la danse. Affiché par l'Association canadienne pour la santé, l'éducation physique, le loisir et la danse, septembre 1996.


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