Francophonie jeunesse de l'Alberta

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On s'applique et on s'implique

FJA offre aux jeunes des occasions de se familiariser avec le processus démocratique.

Que ce soit pour prendre position face aux événements ou pour réagir aux propos des politiciens, FJA a écrit des lettres, fait signer des pétitions, envoyé des communiqués et préparé des déclarations pour les médias.

L'Assemblée générale annuelle (AGA) est souvent le théâtre d'impressionnantes campagnes électorales où les participants doivent faire valoir leurs mérites lors d'un discours, le tout se soldant évidemment par un vote secret.


Daniel Dallaire livre ses impressions sur le Rond Point 1989.		Le vote lors de l'Assemblée générale annuelle en 1991.


Monique Beaunoyer se présente au poste de vice-présidente en 1994.		La période de questions pour l'exécutif sortant en 1988.


Paul Dumont se présente au poste de vice-président en 1984.

On parlemente

Le premier Parlement jeunesse de l'Alberta (PJA) devient réalité le 25 septembre 1992, sept ans après que le projet ait été proposé par les délégués envoyés au Parlement jeunesse national. Un an plus tôt, FJA avait accueilli le premier Parlement franco-canadien de l'Ouest réunissant des jeunes des quatre provinces de l'Ouest et des Territoires.

« On ne vise pas nécessairement à former des politiciens mais, étant donné que la politique touche tout le monde, on veut habituer les jeunes à regarder les projets du gouvernement d'un œil plus critique » - Denise Lavallée, août 1992.


Le gouverneur général, Léo Piquette, et le premier ministre, Yvan Champagne, lors d'un mini-parlement dans le cadre de la Rencontre franco-jeunesse IV.


Les participants du Ve Parlement franco-canadien de l'Ouest à Winnipeg en 1995.


Le ministre de l'Éducation, Todd Richer, s'adresse au président du PJA 1994.		L'honorable ministre de la Justice, Martin Brault, semble s'amuser des propos de l'opposition. (PJA 1995)

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