Notes et références:

1Jules LeChevallier, o.m.i. — Saint-Laurent de Grandin. — Vannes : Imprimerie Lafolye et J. de Lamarzelle, 1930. — P. 46



2Jean-Guy Quenneville. — «Onésime Dorval, institutrice». — Perspectives sur la Saskatchewan. — Regina : Société historique de la Saskatchewan, 1983. — P. 133



3Solange Lavigne. — Kaleidoscope, Many Cultures : One Faith, The Roman Catholic Diocese of Prince Albert, 1891-1991. — Prince Albert : Diocèse de Prince Albert, 1990. — Traduction. — P. 517



4Le «Northcote» a été utilisé par les troupes du général Middleton durant la bataille de Batoche en 1885; la carcasse de ce bateau à vapeur se trouve aujourd’hui à Cumberland House.



5Mgr Vital Grandin est né en France en 1829. Il est ordonné prêtre en 1854 dans la congrégation des Oblats de Marie-Immaculée. La même année il arrive dans les territoires de la Terre de Rupert. En 1871, le diocèse de Saint-Albert est créé et Vital Grandin en devient le premier évêque.



6 Albert Lacombe fut surnommé «Bon Coeur» par les chefs de la tribu des Pieds-Noirs. Il est né en 1824 à Saint-Sulpice au Québec. Dès 1853, Albert Lacombe est chargé de la mission de Saint-Albert. Durant la rébellion de 1885, il réussira à convaincre les Pieds-Noirs de ne pas se joindre aux Métis et de garder leur neutralité.



7Alexis André est né en France en 1833. Il est ordonné prêtre dans la congrégation des Oblats de Marie-Immaculée en 1860 et est arrivé dans l’Ouest canadien en 1861. Il a fondé des missions à Saint-Paul des Métis en Alberta, au Fort Carlton, au Fort Pitt, à Saint-Laurent-de-Grandin et à Stobart (Duck Lake). En 1885, Alexis André était le prêtre-confesseur de Louis Riel à Regina.



8Jean-Guy Quenneville. — «Onésime Dorval, institutrice». — P. 134



9Stobart fut le premier nom donné à Duck Lake. Un nommé Stobart avait ouvert un magasin à cet endroit. Le père Alexis André venait juste de fonder une paroisse à Stobart en 1876.



10Marie Darmour était une jeune orpheline que Mlle Onésime Dorval avait adoptée avant de quitter le Québec pour s’en venir dans l’Ouest. Mlle Darmour resta avec Mlle Dorval jusqu’en 1883, date à laquelle elle partit terminer ses études au couvent des Fidèles Compagnes de Jésus à Prince Albert.



11Georgine Hudon était l’enseignante que Mlle Dorval allait remplacer à Saint-Laurent de Grandin en 1881.



12Codex historicus de la mission de Saint-Laurent-de-Grandin [microforme]. — [Regina] : Archives de la Saskatchewan. — R-9.45



13Solange Lavigne. — Kaleidoscope, Many Cultures : One Faith, The Roman Catholic Diocese of Prince Albert, 1891-1991. —P. 518



14Fort Lamoureux est un ancien poste de traite situé sur la rivière Saskatchewan-Nord à 20 kilomètres environ du Fort des Prairies (Edmonton).



15Jean-Guy Quenneville. — «Onésime Dorval, institutrice». — P. 134



16Codex historicus de la mission de Saint-Laurent-de-Grandin [microforme]



17Les bateaux utilisés sur la rivière Saskatchewan-Nord à cette époque sont les «barques York».



18Chaque missionnaire oblat dans le Nord-Ouest à cette époque avait une petite chapelle portative, dans une boîte de la grosseur d’un carton à chapeau. Dans cette chapelle, il y avait les instruments essentiels pour dire la messe.



19Codex historicus de la mission de Saint-Laurent-de-Grandin [microforme]



20Solange Lavigne. — Kaleidoscope, Many Cultures : One Faith, The Roman Catholic Diocese of Prince Albert, 1891-1991. —P. 518



21Le père Vital Fourmond est né en France en 1828. Il est ordonné prêtre en 1852. Il arrive dans le Nord-Ouest en 1868 et l’année suivante est accepté dans la congrégation des Oblats de Marie-Immaculée.



22Jules LeChevallier, o.m.i. — Saint-Laurent de Grandin. — P. 45



23Jules LeChevallier, o.m.i. — Saint-Laurent de Grandin. — P. 45



24Masure: une habitation misérable, délabrée.



25Codex historicus de la mission de Saint-Laurent-de-Grandin [microforme] Cette masure misérable fut démolie en 1883 et remplacée par un hangar avec annexe qui allait servir de couvent aux religieuses de la congrégation des Fidèles Compagnes de Jésus.



26Codex historicus de la mission de Saint-Laurent-de-Grandin [microforme] Cette masure misérable fut démolie en 1883 et remplacée par un hangar avec annexe qui allait servir de couvent aux religieuses de la congrégation des Fidèles Compagnes de Jésus.



27Le frère Jean-Pierre-Marie Piquet est né en France près de Lourdes et on dit qu’il avait connu Sainte Bernadette Soubirous. Il arrive à Saint-Laurent en 1879. Il y établit la première petite grotte.



28Jean-Guy Quenneville. — «Onésime Dorval, institutrice». — P. 134



29Jules LeChevallier, o.m.i. — Saint-Laurent de Grandin. — P.134



30En 1882, le lieutenant-gouverneur, Edgar Dewdney, avait transféré la capitale des Territoires de Battleford à Pile of Bones («Tas d’os» aujourd'hui Regina). Chez les Cris, on appelait la région Oskana.



31Le père Julien Moulin avait ouvert un premier bureau de poste à Batoche en 1884. Ceci pour éviter que les Métis vivant sur la rive est de la rivière soient obligés de payer le bac pour traverser la rivière afin de se rendre au magasin Stobart à Duck Lake où leur courrier était livré.



32Diane Payment. — Batoche 1870-1910. — Saint-Boniface : Éditions du blé, 1983. — (Collection Soleil). — P. 53



33Diane Payment. — Batoche 1870-1910. — Saint-Boniface : Éditions du blé, 1983. — (Collection Soleil). — p. 54



34Diane Payment. — Batoche 1870-1910. — Saint-Boniface : Éditions du blé, 1983. — (Collection Soleil). — p. 55



35Cette formation a été importante pour Rosario Gareau. Plus tard, lorsqu'il était fermier à Bellevue, il a gardé des livres de compte de son exploitation agricole, ce qui nous donne une excellente idée des sources de revenus et de dépenses en Saskatchewan entre 1920 et 1945. Ces documents sont en dépôt aux Archives de la Saskatchewan.