Manuel archéologique

Qu'est-ce que l'archéologie?

L'archéologie est une science, une discipline. Elle se concentre sur l'étude des cultures humaines du passé ainsi que les événements qui les concernaient. Il y a deux branches principales de l'archéologie, notamment historique et pré-historique. La plupart des informations sont découvertes par les archéologues pendant les fouilles. Alors l'archéologie rassasie la curiosité de l'homme de mieux connaître ses origines et sa nature.

Référence: Epp, Henry. "Long Ago Today". Saskatchewan Archaeological Society. 1991.


Un manuel primaire de l'archéologie en Saskatchewan
préparé pour le "Archaeology Caravan" en 1994 par
Saskatchewan Archaeological Society


La Saskatchewan est habitée depuis au moins de 10,000 ans. L'objectif de ce manuel est d'offrir aux lecteurs qui ne connaissent pas encore ce grand héritage, tel que la discipline de l'archéologie l'interprète, une introduction brève et commode de l'archéologie en Saskatchewan.

Probablement, des gens curieux qui ont trouvé des roues de tentes sur la prairie native ou des outils de pierres dans les champs, se demandaient, "Qui a fabriqué ces artefacts? Pourquoi? Comment? Combien de temps a déjà passé depuis l'usage de ces objets? Ces questions motivent les archéologues à étudier le mode de vie d'autrefois. Répondre à ces questions dans une manière scientifique et responsable, c'est pratiquer l'archéologie.

En étudiant d'une manière responsable et scientifique les signes de la présence humaine dans le sol, les archéologues peuvent reconstruire les modes de vie du passé. Traditionnellement, il y a deux classifications diverses de l'archéologie, notamment historique et pré-historique. L'archéologie historique se concentre sur les sites et les artefacts suivant l'exploration Européenne et la documentation de l'histoire, pendant que l'archéologie pré-historique (pré-contact) étudie les époques jusqu'à l'année 1690 A.D. On utilise ces termes parce que la documentation de l'histoire n'est pas complète et pour reconnaître l'impact de l'invasion Européenne sur les autochtones de l'Amérique du nord.

Les archéologues se servent de plusieurs techniques scientifiques pour sonder les modes de vie d'autrefois, dont les fouilles et les études de surface.

Aux fouilles, les archéologues contrôlent le creusement des régions habitées ou modifiées par une population d'autrefois. L'étude scientifique des artefacts et des autres restes de l'activité humaine peuvent exprimer les activités quotidiennes de ces anciens habitants. L'étude de grains de pollen fossilisés ainsi que d'autres dépôts dans le sol permet aux archéologues de reconstruire des anciens environnements écologiques.

Les études de la surface des terres qui contiennent du matériel archéologique sont un moyen important pour en obtenir des informations sur l'orientation de l'habitation de la région. Par exemple, les études de surface qui ont enregistré les sites de rondes de tentes de différentes régions géographiques peuvent être comparées les unes avec les autres pour y découvrir des tendances d'habitation. Quelquefois, les études identifient des sites très importants, dont des configurations de rochers (effigies, cercles de sorcier, etc.), des sculptures sur roc, et des sites de quête visuelle.

 

SITES ARCHÉOLOGIQUES

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Un site est un lieu, n'importe où, qui contient des signes d'activité humaine d'autrefois. Il est classifié et interprété selon plusieurs critères: son emplacement géographique, les artefacts et les traits qu'il contient, les relations d'espace et de temps entre ses artefacts et ses traits, son âge, et son usage. Il y a divers types de sites: habitation, abattage, carrière, enterrement, sculptures sur roc, configurations de rochers, commerciaux, agricoles, transport, et fortification. Quoique la plupart de sites soit trouvé par la découverte des artefacts et des traits, il y a des sites qui ne contient pas de signes de présence humaine. De plus, des régions célébrées dans la tradition orale et la documentation écrite sont quelquefois reconnues comme des sites archéologiques.

 

TRAITS ET ARTEFACTS

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Les traits sont des objets, dont les âtres, les trous de poteau, les stations d'écaillage de pierre, les roues de pierres, les trous d'ébullition, et les trous d'entreposage. Contrairement aux artefacts, telles que les pointes de flèche qu'on peut déterrer intactes du site, l'identité des traits dépend entièrement de leur emplacement dans un site. Alors, les traits sont des artefacts non-portables.

Les artefacts sont des objets portables qui ont été modifiés, façonnés, ou déplacés par une action humaine. En vue de la gestion de ressources et de l'interprétation, les artefacts sont classifiés selon leur fonctionnement. Quelques-uns qui datent d'une époque spécifique ou d'un endroit unique s'appellent "diagnostic". Pendant les fouilles en Saskatchewan, notamment celles des sites de la période Contact pré-Européen ancien, on trouve que les objets qui se composent du matériel durable, dont l'os, la pierre, ou la céramique, sont les seuls préservés des processus naturels corrosifs. Voici des exemples des types d'artefacts communs.

 

POINTES PROJECTIVES

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Les pointes projectives sont des objets qui ont été attachés, ou emmanchés, à une hampe avec l'intention de la jeter ou de la lancer. Elles sont divisées en trois types selon leur fonctionnement: les pointes de lance, les pointes de fléchette, et les pointes de flèche. Plusieurs archéologues croient que les pointes les plus vieilles trouvées dans la province, telle que la pointe de type Folsom ci-dessous, servaient à mettre un embout aux lances à main de l'époque. Les pointes de lance sont d'habitude les plus grandes et vieilles des trois types de pointes. Les pointes de fléchette ont été plus petites et emmanchées aux hampes de taille intermédiaire. Les fléchettes ont été lancées en utilisant un bâton qui s'appelait "atlatl". Alors qu'on croit que le bâton "atlatl" et les pointes de fléchette ont été utilisés en Saskatchewan jusqu'à il y a 2000 ou 1500 ans, on n'est pas certain de la date de leur premier usage. Les uns croient qu'ils ont été fabriqués par les habitants qui ont utilisé les pointes de type Clovis il y a 11,500 ans; les autres croient que cette technologie a été développée il y a 7,500 ans. Les pointes projectives les plus petites et récentes sont les pointes de flèche qui ont été utilisées par les fabricants des pointes de type Avonlea il y a environ 1,700 ans.

 

OUTILS DE TAILLE, DE RACLOIR, ET DE GRAVURE

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Des écailles tranchantes de tailles diverses, frappées du noyau d'une grande pierre ainsi que des couteaux à deux tranchants ont été des outils de taille et de racloir polyvalents. Des burins servaient des outils de gravure. Des haches de pierre polie servaient à casser du bois. Des racloirs de pierre et d'os ont été utilisés à racler les peaux des animaux.

 

OUTILS DE PERCUSSION ET DE GRINCEMENT

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Des moules de pierre, ou des marteaux servaient à accomplir plusieurs tâches, dont le pilonnage de poteaux et l'exploitation de carrières de pierres. Plusieurs des plus grands mauls sont gravés pour les emmancher. Des pierres de coup sont plus petites. Elles ne sont pas gravés, mais on peut les identifier selon leurs cicatrices d'impact à chaque côté. Ces pierres de coup ont souvent été utilisées pour fabriquer des outils de pierre, un processus qui s'appelle "atelier de taille". Des pilons en forme de cloche servaient à attendrir et à grincer la viande séchée et les baies du pemmican ainsi que les peintures de décoration.

 

FORÊTS ET PERFORATEURS

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Des forets fabriqués de pierre servaient à percer du bois et des os. Des perforateurs, fabriqués de pierre ou d'os, servaient à percer du matériel plus tendre, dont le cuir.

 

VAISSEAUX CÉRAMIQUES

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Les pots d'argile les plus vieux qui contiennent du sable datent d'environ il y a 2,000 ans dans les dossiers archéologiques, associés aux artefacts de type Besant. On utilise les dimensions et les formes, les méthodes de construction, et les marques décoratives pour identifier les différents types de céramiques. Tel que les pointes projectives, il y a des types de poterie qui sont "diagnostiques", selon leur époque et leur emplacement.

  

L'ART PORTABLE ET NON-PORTABLE

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L'art portable fait référence aux objets artistiques qui peuvent être déménagés facilement, dont les sculptures et les gravures. Les pictogrammes, ou les peintures sur roc stationnaire, ainsi que les pétroglyphes, ou les images gravées sur roc stationnaire, sont les deux types principales de l'art non-portable en Saskatchewan.

 

CHRONOLOGIE DE POINTES PROJECTIVES DU SUD DE LA SASKATCHEWAN

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On croit que la région de l'Amérique du nord entre les frontières de la province de la Saskatchewan est habitée par des humains depuis la dernière retraite de la glace près d'il y a 11,500 ans. Quelques archéologues proposent que cette habitation date de plus longtemps, notamment il y a 20- 35,000 ans avant le présent, pendant les périodes de chaleur intermittentes de la dernière période glaciaire. Cependant, l'évidence sans équivoque d'une telle occupation n'existe pas encore. Alors, la chronologie de l'habitation de la Saskatchewan couramment acceptée commence à la fin de la dernière période glaciaire, avec l'apparence de la technologie distinctive de type Clovis.

La présence humaine en Saskatchewan est souvent divisée en trois périodes de temps, en vue de la commodité et d'une justification empirique. Des changements drastiques du climat correspondent aux changements dans la technologie lithique entre la première période et la moyenne période. L'apparition de l'arc et des flèches ainsi que la fabrication de poterie identifie la transition de la moyenne période à la dernière période.

 

La première période, il y a 11,500 à 7,500 ans

La période de la première occupation humaine commence il y a environ 11,500 ans, alors qu'on est probablement plus précis en séparant les classifications de la première (Clovis) et de la deuxième (Folsom) technologie de pointe des dernières technologies Palée-indiennes de la première période. Les technologies de type Clovis et de type Folsom signifient l'activité humaine de l'époque Pléistocène. La fin de cette époque a été marquée par l'extinction massive des gros gibiers chassés par les habitants. En même temps, les prairies s'étendaient au nord et les bisons devenaient plus nombreux, en tant qu'espèce de provision des indiens de la plaine.

Plusieurs traditions de pointes projectives en forme de Lancéolé sont enregistrées dans les dossiers archéologiques après celles de type Folsom. Le groupe de type Lancéolé Straight se compose des pointes de style Agate Basin et de style Hell Gap, qui datent d'environ il y a 10,300 à 8,000 ans.

Les pointes de type Lancéolé Stemmed, dont les pointes Eden et Scottsbluff (une partie du "Cody complex") datent d'il y a 9,500 à 8,500 ans. D'habitude, la queue de ces pointes est limitée et ainsi produit une lame large.

Les pointes de type Late Lancéolé datent des dernières 1,000 années de la première période, il y a 8,000 à 7,000 ans. Leur base concave ainsi que leur écaillage parallèle-oblique séparent ses pointes en forme de feuille des celles de type Lancéolé Straight.

 

La moyenne période, il y a 7,500 à 1,900 ans

Le milieu climatique au début de la moyenne période est devenu plus aride que celui de la première période. Quelques archéologues suggèrent que les habitants de la plaine du nord étaient peu nombreux, même inexistants, à l'époque, mais des études récentes supportent le contraire. Un nouveau groupe de pointes projectives distinctives et diverses, appelé "Early Side-notched", a débuté il y a environ 7,500 ans et a duré jusqu'à il y a environ 5,000 ans avant le présent. Beaucoup de ces pointes sont indiscernables des pointes encochées à côté et au coin qui datent de plusieurs milles ans plus tard. Cependant, les pointes de type Early Side-notched sont d'habitude plus grandes.

Pendant que le climat aride de la moyenne période devenait plus semblable à celui d'aujourd'hui, un autre style de pointe a vu le jour. La pointe de type Oxbow, avec sa base concave et ses côtés encochés, date d'environ il y a 5,000 à 3,100 ans.

Malgré les différences stylistiques entre les pointes de type Hanna, McKean, et Duncan, on croit que ces trois types de pointe distincts forment un groupe relatif qui date d'il y a 4,100 à 3,100 ans. Les pointes de type McKean en forme de Lancéolé ont une base prononcée et encochée; les pointes de type Duncan ont d'habitude une base concave et évasée; les pointes de type Hanna ont des encoches aux côtés larges et sans profondeur.

Le dernier style de pointe de la moyenne période s'appelle "Pelican Lake". Les encoches profondes au coin près de la base produisent un contour pointu. La base est souvent arrondie, mais quelquefois plate. Quelques pointes de type Pelican Lake sont assez petites. Alors, quelques archéologues suggèrent qu'elles servaient de pointes de flèche plutôt que de pointes de fléchettes du bâton "atlatl". Le style de pointe "Pelican Lake" date d'il y a 3,300 à 1,900 ans. Pourtant, la transition complète à l'arc et des flèches en tant qu'arme principale marque l'inauguration de la dernière période d'habitation humaine en Saskatchewan.

 

La dernière période, il y a 2,000 à 170 ans

On croit que l'arc et des flèches a remplacé la fléchette et son bâton "atlatl" en tant qu'arme principale de la plaine du nord environ il y a 2,000 ans. En même temps, on a vue l'apparition de la poterie, ou la technologie céramique, dans les dossiers archéologiques. Les céramiques les plus vieilles ont été déterrées des sites de fouilles qui contenaient aussi des pointes projectives de style Besant. Ces pointes datent d'il y a 2,000 à 1,150 ans. La plupart de ces plus grandes pointes encochées à côté sont probablement trop grandes d'avoir servi de pointes de flèche. Alors, on croit que les fabricants des pointes de style Besant étaient les derniers à utiliser la fléchette et le bâton "atlatl" en chassant le bison.

Comme le style Besant, un autre style de pointe témoigne que les fabricants de ces pointes triangulaires encochées à côté se servaient de l'arc et des flèches. Les pointes de type Avonlea, qui datent d'il y a 1,800 à 1,100 ans, sont d'habitude minces et bien-écaillées et portent de petites encoches aux côtés sans profondeur près d'une base peu concave.

Les deux derniers styles de pointe utilisés à la plaine du nord s'appellent collectivement "Late Side-notched" ou "Old Women's". Individuellement, ils s'appellent "Prairie Side-notched" et "Plains Side-notched", qui datent d'il y a 1,100 à 900 ans et 800 à 300 ans respectivement.

 

 

DATATION DE FOSSILE

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Dans la datation de fossiles, on utilise des "horloges" radio-métriques, c'est-à-dire, des éléments de types instables qui se changent (se désintègrent) spontanément au fur et à mesure en comparaison aux autres éléments. Les deux horloges les plus importantes à la datation de fossiles sont l'uranium 238 qui se désintègre au plomb 206, ainsi que le potassium 40 qui se désintègre à l'argon 40. Uranium 238 - 4,500 m.y. -1/2 vie.

Référence:
Radinsky, Leonard B. The Evolution of Vertebrate Design. The University of Chicago Press (1987). p. 4.


Datation par thermoluminescence

Une quantité d'énergie minute s'accumule dans les minéraux en conséquence des dommages continuels des éléments radioactifs incorporés et environnementaux. En chauffant les minéraux, on peut libérer une portion de l'énergie piégée en forme de lumière, un processus qui s'appelle thermoluminescence (TL). Cette lumière se diminue quand un morceau céramique est mis au feu ou un sédiment est exposé au soleil avant l'enterrement. Des lors, le TL commence à s'accumuler encore. En comparaissant le TL à la radiation incidente, on peut calculer une gamme d'âges. Les limites praticables de la datation par TL sont de 200 ans à 100000 ans, ou plus dans les circonstances uniques.

 

Échantillons propices aux études archéologiques

D'habitude, on soumet un artefact accompagné d'un échantillon du sol environnant. Cela laisse une erreur de datation de 12 à 14%. Pour baisser le nombre d'erreurs, on peut étudier une strate ou un trait spécifique en analysant plusieurs artefacts et leur sol environnant; ainsi, une erreur de 8 à 10% est possible. Quelquefois, il n'y a qu'un artefact isolé qui est disponible à analyser; ainsi, on confronte une erreur de 20%.

 

Quantités des échantillons à envoyer

Échantillon archéologique

Poids optimum

Poids minimum

Quantité estimée du poids optimum

Artefacts

20 à 30 grammes

10 grammes

Un morceau carré de 3 cm

Grès chauffé

20 à 30 grammes

10 grammes

Un morceau rond, 1 cm de diamètre

Sol environnant

10 à 20 grammes

10 grammes

Une boîte de pellicule photographique remplie

Applications de la datation par TL

 ...dans l'archéologie

1. Lorsqu'il n'y a aucun échantillon de radiocarbone disponible.

2. Lorsqu'une date de radiocarbone contraste l'évidence archéologique.

3. Les sites dérangés d'associations de charbon-céramique incertaines.

4. Artefacts des enquêtes préliminaires ou de reconnaissance.

5. Céramiques des archives ou des collections de musée.

 

...dans les études sédimentaires

1. Détermination des proportions de la déposition du sédiment.

2. Datation des échantillons au-dessus des limites de radiocarbone.

3. Corrélation des unités séparées géographiquement.

4. Des exemples de matériel propice (quand les conditions de déposition sont remplies) incluent le loess, les dépôts de la plage, les sédiments marins, et les dunes.

 

SI VOUS AVEZ DES QUESTIONS SUR L'ARCHÉOLOGIE

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La nature ainsi que les activités humaines modifient le surface du sol, en exposant continuellement des artefacts archéologiques. D'ailleurs, des traits de surface, dont des cairns de pierre ou des pétroglyphes, attendent la découverte dans les locaux isolés et non-innovés. Si vous découvrez un objet qui a l'air archéologique, il y a plusieurs départements qui pourraient vous aider à en trouver des informations. Premièrement, c'est un minéral, soit enterré au complet ou partiellement, ou c'est un trait intact comme une roue de tente, etc. ne le dérangez pas - prenez une photo ou deux (avec un autre objet qui serve d'échelle), et contactez un des départements suivants pour faire identifier votre trouvaille.

Si vous trouver un artefact (ou si vous avez déjà une collection d'artefacts) et vous voudrez les faire identifier, amenez l'artefact à un des départements archéologiques ou envoyez-en une bonne photo. Surtout, on ne devrait pas collecter des artefacts en vue de la curiosité ou du ramassage personnel. Il faut que l'emplacement exact de chaque artefact déterré du sol de la Saskatchewan soit enregistré, ainsi que les dossiers confiés à une institution publique.

Toutes les fouilles, les dérangements de sites archéologiques, et la collection d'artefacts en Saskatchewan sont réglés par une loi provinciale qui s'appelle "Saskatchewan Heritage Property Act", sous l'administration du secteur gouvernemental "Heritage Branch of the Provincial Government".

 

Voici les départements d'archéologues professionnels qui pourraient répondre à vos questions sur l'archéologie:

1. Heritage Branch, department of Municipal Government, Régina (Composez: 787-5772)

2. Department of Anthropology, University of Regina, Régina (Composez: 585-4189)

3. Royal Saskatchewan Museum, Archaeology & Ethnology Section, Régina (Composez: 787-8166)

4. Department of Anthropology and Archaeology, University of Saskatchewan (Composez: 966-4175)

5. Saskatchewan Archaeological Society, Saskatoon (Composez: 664-4124)

 

EXPOSITIONS ARCHÉOLOGIQUES EN SASKATCHEWAN

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Les institutions suivantes ouvrent leurs portes au public pendant toute l'année (en majorité) et offrent des opportunités d'auto-apprentissage de l'archéologie:

1. Harris and District Museum - ce petit musée à Harris offre une bonne exposition sur la colonisation ainsi que sur l'archéologie pré-historique de la région. Composez: 656-4707

2. Herschel Petroglyphs Municipal Heritage Site - 3km à l'ouest d'Herschel. Deux rochers de pétroglyphes ainsi qu'une collection de Rondes de tente; voyez les panneaux. Composez: 377-2014 (Herschel Village Office)

3. Kindersley Plains Museum - la Salle d'archéologie présente des étalages sur l'archéologie de l'ouest de la Saskatchewan. Composez: 463-6620

4. Regina - Royal Saskatchewan Museum First Nations Gallery - cette galerie fait honneur aux autochtones de la Saskatchewan, d'autrefois et du présent, dont les cultures demeurent vitales et dynamiques au cours de siècles de changements environnementaux et sociaux. Heures d'ouverture: 1er mai jusqu'à la fête du travail: 9h00 à 20h30 tous les jours. Composez: 787-8164.

5. Saskatoon - Wanuskewin Heritage Park - 7 km au nord de Saskatoon, ce parc se compose d'un grand centre interprétatif, des sentiers, des présentations sonores-visuelles, et des activités sur l'archéologie et sur l'histoire culturelle des indiens de la plaine du nord. Composez: 931-6767.

6. St. Victor Petroglyphs Provincial Park - le site de sculptures sur roc pré-historique le plus grand de la Saskatchewan se trouve 3 km au sud du village de St-Victor; voyez des panneaux. Composez: 787-9573 (Provincial Historic Parks, Regina)

7. Vidora Museum - ce musée contient plusieurs expositions d'artefacts pré-historiques de la région. Composez le 299-4882 pour une réservation.

 

 

THE SASKATCHEWAN ARCHAEOLOGY SOCIETY

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Le "Saskatchewan Archaeological Society" est un organisme à but non-lucratif culturel et provincial, voué à la procuration de recherche, de publication, et de programmes de conservation pédagogiques en archéologie. Le membership est disponible à tous ceux qui sont intéressés à promouvoir l'usage et le plaisir responsable du patrimoine archéologique de la Saskatchewan. En tant qu'un membre du SAS, on supporte la cause de la conservation archéologique.

Le SAS publie un journal une fois par deux mois, des livres et des études sur occasion, offre des tournées d'autobus et des séminaires annuels, et entreprend d'autres activités spéciales de recherche et d'éducation publique.

Chaque année le SAS anime une fouille pédagogique, qui est divisée en sessions de quatre jours. D'habitude, la fouille a lieu au grand site "Camp Rayner" à "Lake Diefenbaker", les premiers dix jours du mois de juillet.

De plus, le SAS loue des trousses archéologiques qui s'appellent "Archaeo-Kits" et qui contiennent des ensembles d'artefacts actuels et répliqués, vouées à l'apprentissage ou à la démonstration; des diapositives; ainsi que des vidéos sur l'archéologie en Saskatchewan. Le bureau provincial gère aussi une bibliothèque pour les membres du SAS, et vend des ainsi des livres archéologiques.

Pour plus d'informations, contactez ou visitez l'adresse suivante. Notre boîte vocale et notre télécopieur sont disponibles 24 heures sur 24, si vous voudriez laisser un message.

 

Saskatchewan Archaeological Society
5, 816 avenue 1 nord
Saskatoon (Saskatchewan)
S7K 1Y3
Téléphone: (306) 664-4124
Télécopieur: (306) 665-1928



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