La programmation

À travers les années, la vie académique fut influencée par la pauvreté et l’isolement de la communauté. À cause de ces conditions, les résultats académiques des élèves n’étaient jamais complètement satisfaisants alors les supérieurs travaillaient souvent la révision des programmes. Par exemple, les deux supérieurs, le père Chiasson en 1910 et le père Quélo en 1930-1931, structuraient le programme du baccalauréat afin qu’il ressemble plus à celui des Collèges classiques du Québec.

En préparation pour le cours classique, il y avait deux programmes essentiels; le cours commercial et le cours préparatoire.
Le cours commercial était parmi les cours les plus anciens du Collège. Il enseignait aux Acadiens les moyens les plus élémentaires de faire les affaires.
Le cours préparatoire a toujours été une nécessité pédagogique à Sainte-Anne. Au début, très peu d’étudiants pouvaient entrer directement dans le cours classique, il fallait passer par des cours de transition.

Le corps professoral


Les pères Eudistes n’avaient pas toujours la formation requise pour les tâches qui leur étaient demandées. Il n’y a, avant 1960, aucun personnel de soutien pour le travail général des cours. Il n’y avait aucun secrétaire-dactylo, alors les professeurs préparaient les examens à la main n'ayant que peu d’instruments de travail.



Les Supérieurs




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