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Liste des œuvres
Nature, comme sublime, faire le vent
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Nature, comme sublime, faire le vent
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Nature, comme sublime, faire le vent, 1994-1995
Nature, comme sublime, faire le vent, 1994-1995

Nature, comme sublime, faire le vent, 1994-1995


Nature, comme sublime, faire le vent, 1994-1995

Nature, comme sublime, faire le vent, 1994-1995

Formation : 1991 Master in Fine Arts, Université de Québec à Montréal, Montréal, Québec.
1985 Bachelor in Fine Arts, Université de Québec à Montréal, Montréal, Québec.

Expositions solos : 1997 Centre Culturel Canadien, Ambassade du Canada, Paris, France.
1997 Centre d'Art Contemporain de Basse-Normandie, Rouville, France.
1995 Les ateliers s'exposent, Montréal, Québec.
1995 Expression, Centre d'exposition de St-Hyacinthe.
- Nature, pour mémoire, Espace 522, Édifice Belgo
1991 Un jardin de mémoires, Espace 114, Édifice Belgo
1987 Seuil, Musée du Bas-Saint-Lauent, Québec.

Expositions collectives : 1996 Centre d'Art contemporain de Beauvais, Beauvais, France.
1995 Galerie Arts Technologiques, Montréal, Québec
1990 Femmes de parole et écologie, Maison de la culture Côte-des-Neiges, Montréal, Québec; Expression Centre d'exposition de St-Hyacinthe, St-Hyacinthe, Québec; Galerie de la bibliothèque Gabrielle Roy, Québec, Québec; Galerie Port Maurice, Saint-Léonard, Québec; Centre d'exposition de Gatineau, Gatineau, Québec.

Oeuvre publique : 1990-1992 Foresville, Québec. Conception d'un jardin de cinq km le long des rives du fleuve St-Laurent avec intégration de couleur et de cinq sculptures illustrant l'histoire de l'hydroélectricité au Canada.

Nature, comme sublime, faire le vent:
Bois et paysage, nature et culture : l’Arbre, lien entre ciel et terre, entre l’homme et la nature, est ici la ligne dominante d’un art dont l’expression s’enracine dans l’architecture avec une intelligence aïgue des énergies à l’œuvre dans l’univers, rendant perceptibles leurs processus les plus infinis (croissance, érosion, «souffle», «geste» végétal). Participant à la fois d’un animisme primitif, la sculpture est, ici d’abord, «l’invention» des forces vives de la matière rendue à son état de nature : la carcasse de l’Arbre qui se meurt et se transforme, l’acier extorqué des entrailles de la terre qui conserve et maintient en vie, le geste photographique qui s’approprie l’objet réel en en faisant une image iconographique.

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