Le paiement le plus important jamais
effectué en remboursement de la dette
Le 20 septembre 2000
Le gouvernement a annoncé aujourd’hui que l’excédent
budgétaire pour 1999-2000 atteindra 12,3 milliards $.
La totalité de cette somme sera appliquée au remboursement
de la dette. Il s’agit du plus important versement sur la dette dans l’histoire
du Canada.
Cet excédent est le troisième que le gouvernement fédéral
ait enregistré de suite, ce qui ne s’était pas vu depuis plus de 50 ans.
Il y a quelques années, nous avions dit que nous allions
détruire la carte de crédit du gouvernement fédéral. Maintenant nous
remboursons la dette accumulée sur cette carte de crédit.
Ce paiement record sur la dette n’est qu’un autre
dividende de la gestion économique et financière extrêmement efficace et
équilibrée que le gouvernement libéral continue d’offrir aux Canadiens.
Au cours des trois dernières années, nous avons réduit la
dette de près de 19 milliards $. Ainsi, au lieu de verser
1 milliard $ en intérêts chaque année, nous pourrons consacrer
cette somme aux plus grandes priorités des Canadiens, comme les services de
santé, l’accès à l’enseignement supérieur, la promotion du savoir et de
l’innovation et la réduction des impôts.
Depuis que nous avons équilibré le budget, pas moins des
deux tiers de toutes les nouvelles dépenses ont été affectées à la santé,
à l’éducation et à l’innovation.
Grâce aux excédents budgétaires, nous avons les moyens d’effectuer
l’investissement additionnel que nous avons annoncé de
23 milliards $ dans le plan d’action en matière de santé qui
permettra de préserver et de renouveler le régime d’assurance-maladie.
Nous pouvons aussi accélérer les baisses d’impôt de
58 milliards $ que nous avons déjà prévues dans notre Plan
quinquennal de réduction des impôts.
Et nous pouvons maintenir le fardeau de la dette sur une
trajectoire descendante.
En 1995, le ratio de la dette au PIB était de 71 % –
un sommet absolu. Il est maintenant tombé à 58,9 % – une baisse de plus
de 12 points de pourcentage.
En plus, d’après le plan financier compris dans le budget
de 2000, il passera sous le seuil de 50 % d’ici 2004-2005.
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