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Le Canada et l'Inde : Potentiel de partenariats

Notes pour une allocution de Kevin G. Lynch,
Greffier du Conseil privé, secrétaire du Cabinet et chef de la fonction publique du Canada

Le 16 mars 2009
Inde

[PDF 574 Ko]


Merci pour votre accueil.

C’est un privilège pour moi de visiter une ville devenue, aux yeux du reste du monde, un exemple de courage et de résilience face aux attaques terroristes, nous offrant à tous et à toutes une démonstration des valeurs de votre société et de la force de votre démocratie. Permettez‑moi de vous exprimer, une fois de plus, les sincères condoléances de tous les Canadiens et de toutes les Canadiennes.
 
C’est aussi un privilège de pouvoir constater personnellement le dynamisme, l’énergie et, à plus d’un niveau, les perspectives d’avenir de l’Inde ici, à Mumbai.

L’Inde participe à la reconfiguration du commerce international et des investissements, et elle y est aidée par son étonnante détermination à développer l’esprit des éléments les plus talentueux parmi ses jeunes. À l’heure actuelle, l’Inde se classe au troisième rang mondial en enseignement supérieur avec 269 universités, plus de 18 000 collèges et près de 10,5 millions d’étudiants.

Les chiffres seuls ne disent pas tout. En effet, le groupe Indian Institutes of Technology (IIT) et le groupe Indian Institutes of Management (IIM) ont bien compris que la clé du succès se trouve dans la qualité de l’éducation et des programmes d’enseignement. Ces instituts ont contribué à orienter, à former et à perfectionner les leaders dont les efforts ont procuré à l’Inde une période de croissance économique remarquable.  

L’un des grands défis auxquels doivent faire face le Canada aussi bien que l’Inde réside dans l’application de normes de qualité toujours plus élevées dans nos maisons d’enseignement et dans le maintien du plus haut niveau d’excellence en recherche, afin de pouvoir répondre aux exigences de marchés mondiaux devenus extrêmement compétitifs. IIT Bombay partage cette vision, et travaille sans cesse à élargir ses horizons, à attirer de nouveaux étudiants et à trouver de nouveaux partenaires. 

Je suis heureux qu’IIT Bombay soit maintenant associé, grâce à des protocoles d’entente, à plusieurs des institutions canadiennes les mieux cotées. Le recteur de l’Université de Waterloo, David Johnston, un homme d’une extraordinaire vision, est fermement engagé dans ce rapprochement avec les établissements d’enseignement supérieur de l’Inde. Il n’est certainement pas le seul. Mme Indira Samarasekera, rectrice de l’Université de l’Alberta, démontre qu’elle est une véritable chef de file canadienne en multipliant les contacts avec les principaux centres de recherche universitaires de l’Inde, et notamment les chercheurs qui y travaillent.

Récemment, M. R.P. Aggarwal, secrétaire à l’enseignement supérieur au ministère du Développement des ressources humaines, a déclaré que l’Inde était à la veille d’une révolution du savoir. Il est également d’avis que si nos deux pays combinent leurs efforts dans ce domaine crucial, et si le Canada fait bénéficier l’Inde du haut degré d’excellence qu’il a atteint en enseignement supérieur, nos relations bilatérales s’en trouveront renforcées à long terme. Je crois aussi très fort en l’établissement de partenariats entre l’Inde et le Canada.

C’est dans cet esprit qu’une délégation parrainée par le Conseil de commerce Canada-Inde a fait une tournée des établissements d’enseignement de l’Inde l’automne dernier, à Mumbai notamment, à la recherche de nouvelles perspectives de jumelage entre collèges et universités indiens et canadiens. Cette initiative doit beaucoup à l’Institut indo-canadien Shastri, maintenant financé conjointement par nos deux pays, qui favorise depuis plusieurs décennies déjà la coopération et les échanges au niveau académique.

Bien sûr, le renforcement des liens qui nous unissent dépasse largement le simple cadre académique. Il prend racine dans notre appartenance au Commonwealth, nos démocraties parlementaires, nos fédérations, et nos codes de loi. La constitution remarquable dont l’Inde s’est dotée en 1950 s’inspire de la constitution canadienne, en ce qui a trait à l’exercice du pouvoir judiciaire notamment. La Cour suprême de l’Inde et celle du Canada poursuivent d’ailleurs une tradition fructueuse de rencontres et d’échanges d’idées.

Plus important encore, nos liens reposent sur une même détermination à mettre en place une société pluraliste qui accepte les différences ethniques, accueille favorablement la diversité religieuse, et célèbre la diversité culturelle.

Le pluralisme indien est le résultat de 5000 ans d’accommodements réciproques et aujourd’hui, l’Inde est parmi les nations les plus diversifiées du globe au point de vue des régions, des ethnicités, des langues et des religions. L’expérience du Canada n’est certes pas aussi ancienne, mais notre engagement est aussi fort. Le multiculturalisme canadien est né d’une accélération de l’immigration, et de nos jours, il existe peu d’endroits sur Terre où l’on ne se reconnaît pas dans le Canada.

C’est ce que peuvent certainement confirmer les Indiens et les Canadiens d’origine indienne, et ils sont aujourd’hui près d’un million, dont les ancêtres sont arrivés au Canada il y a plus d’un siècle. Aujourd’hui, cette communauté dynamique constitue le plus important regroupement d’immigrants indiens dans tous les pays de l’hémisphère occidental réunis, proportionnellement à leur population générale. Les Indo‑Canadiens ont contribué à notre enrichissement en tant que nation, renforcé notre économie, et ils témoignent de façon éclatante de la vitalité du multiculturalisme.

Dans un monde où les distances s’estompent, où, plus que jamais, les technologies de l’information rapprochent les humains et les pays, la foi en la diversité représente un atout majeur pour l’Inde comme pour le Canada. De bien des façons, le monde surveille ce qui se passe dans des pays comme les nôtres pour tirer des leçons de notre expérience afin de développer des sociétés multiculturelles. Noter notre expérience, anticiper leur avenir, et reconnaître la voie à suivre dans ce village mondial, font de nous des voisins.

Aujourd’hui, j’aimerais vous entretenir un moment des liens qui se sont tissés entre l’Inde et le Canada, et de ce qui peut nous amener à vouloir les resserrer. Un mot, pour commencer, sur un Canada que vous ne connaissez peut-être pas, un Canada où il se passe des choses que vous ne soupçonnez peut-être pas.

Pour beaucoup de personnes, quand ils pensent au Canada, ils voient un pays immense, couvert de montagnes majestueuses aux neiges éternelles, de lacs magnifiques, de vastes forêts et de champs de blé qui se perdent dans l’horizon.

Le Canada, c’est tout ça et beaucoup plus! C’est un territoire aux proportions gigantesques; il se classe au deuxième rang mondial pour la superficie. Notre « extrême-Sud » se situe plus au Sud encore que la ville de Rome et au Nord, nous touchons presque au Pôle Nord. La frontière que nous partageons avec les États-Unis traverse tout un continent et relie deux océans. Cette proximité avec le plus important de tous les marchés mondiaux ouvre des possibilités innombrables aux entreprises canadiennes, de même qu’aux entreprises étrangères installées au Canada.

Demeurer concurrentiel tout en étant si près des Etats-Unis a fait du secteur privé au Canada, un des plus dynamiques au monde; une réalité qu’est venu souligner l’impressionnant essor des investissements commerciaux indiens au cours des deux dernières années dans une variété de secteurs  : sidérurgique, pharmaceutique, bancaire et consultatif.

Le Canada est extrêmement riche en ressources, de l’agriculture à l’exploitation forestière, de la pêche à l’extraction minière. Nos sables bitumineux nous placent au deuxième rang mondial parmi les réserves pétrolières avérées, et nous sommes le plus important exportateur d’énergie vers les États-Unis.

Ce n’est pas tout  : le Canada possède aussi une économie très développée, fondée sur les technologies de pointe. Notre secteur manufacturier représente une portion plus importante de notre PIB que l’agriculture, la pêche et l’extraction minière réunies. Notre secteur tertiaire, très haut de gamme, compte pour près de 70 % de notre PIB. Le Canada fait excellente figure sur la scène internationale en optoélectronique, en nanotechnologie, en génomique, en aérospatiale ainsi que du côté des technologies de l’information et des communications. Si vous êtes de ceux et celles qui ne peuvent plus se passer de leur BlackBerry, vous devez remercier une entreprise canadienne  : Research in Motion.

C’est vraiment au milieu des années 1990 que nous avons pris le virage de l’innovation, après avoir décidé de revitaliser les capacités de recherche de nos universités, d’investir dans les sciences et technologies d’avant-garde, d’attirer chez nous les meilleurs chercheurs au monde, et de faire de l’innovation le moteur principal de la croissance de notre productivité.

Maintenant que l’Inde cherche à élargir ses horizons, je me permets d’attirer votre attention sur les points forts du Canada  : un rendement fiscal parmi les meilleurs, la dette la moins élevée et le taux d’imposition des sociétés le plus bas de tous les pays du G7, ainsi qu’un taux d’inflation qui se maintient à tout juste 2 % depuis dix ans.

L’avantage canadien inclus aussi : un secteur financier solide; un régime de réglementation financière efficace; un régime de pension qui repose sur des assises solides sur le plan actuariel; un système de soins de santé complet administré par l’État. Le Canada a aussi une main-d’œuvre hautement scolarisée, ce dont nous avons tout lieu de nous enorgueillir. Selon le World Competition Yearbook, sur les 50 pays étudiés, le Canada est celui qui compte le plus fort pourcentage de sa population possédant un diplôme collégial ou universitaire.

Par conséquent, quand vous pensez au Canada, vous devriez voir un pays dynamique et moderne, avec des régions diversifiées et fort de sa réussite économique. Un pays dont la prospérité repose sur son ingéniosité autant que sur ses ressources.

Tous ces éléments ne peuvent que favoriser l’établissement de partenariats entre l’Inde et le Canada, dans le milieu gouvernemental, en affaires, en recherche et en éducation.

Nos deux pays sont partenaires au sein du G20. Nous devons relever ensemble les énormes défis que comporte la première récession mondiale synchronisée qui nous frappe depuis les 60 dernières années et gérer les faiblesses de plus en plus grandes des marchés financiers internationaux. Aucun de ces problèmes n’a pris naissance en Inde ou au Canada. Cependant, pour les régler efficacement, tous les pays du G20 devront travailler de concert afin de stimuler la demande globale, de résoudre les problèmes des systèmes financiers, d’éviter les pressions protectionnistes et de réduire les incertitudes. Nos deux pays peuvent tirer grandement profit de systèmes multilatéraux renforcés et peuvent travailler ensemble au développement de ces systèmes.

Dans le domaine de l’éducation, nous établissons ces partenariats entre nos établissements d’enseignement au niveau des étudiants. L’an dernier, 7000 étudiants indiens qui souhaitaient poursuivre des études supérieures à l’étranger sont venus au Canada. C’est une excellente nouvelle, mais il est dans l’intérêt des deux pays de hausser ce chiffre qui ne représente que 5 % du nombre total d’Indiens qui étudient à l’étranger.

En ce qui a trait à la recherche, nos deux pays ont signé il y a trois ans un accord de coopération scientifique et technologique. C’était le début d’un partenariat extrêmement dynamique qui s’étend maintenant à tout le spectre scientifique et a englobé le lancement récent de dix nouvelles initiatives en sciences et technologies, qui totalisent plus de 17 millions de dollars.

En janvier dernier, les ministres du commerce de l’Inde et du Canada ont fait une annonce importante selon laquelle nos deux pays entameront sous peu des pourparlers sur une possible entente commerciale.
 
Nous avons accompli beaucoup de progrès, et nous en accomplirons encore. Il faut continuer de regarder vers l’avenir. Nous avons déjà en commun une histoire et des traditions, des valeurs et des liens familiaux. L’Inde et le Canada conviennent aussi que l’éducation supérieure, les sciences et technologies et l’esprit d’entreprise contribuent à stimuler nos économies et à améliorer la qualité de vie de nos citoyens.

Nous avons plus encore à nous offrir mutuellement dans ce vaste marché mondial qui favorise les débouchés économiques, les liens d’investissement, les projets de recherche conjoints et beaucoup d’autres possibilités de partenariats.

À l’heure où l’Inde et le Canada doivent relever les défis urgents de la récession mondiale, gardons à l’esprit les progrès colossaux que nous pouvons encore réaliser ainsi que l’opportunité qui nous est offerte de renforcer nos partenariats.

Merci.


Canada-Inde : Profil et perspective

L'Inde et le Canada : un bref profil

Image : Carte du Canada

Canada : 2007

Superficie 9 984 670 km2
Population 32,9 millions
PIB nominal 1 539 milliards $US
PIB par habitant 46 737 $US

Image : Carte de l'Inde

Inde : 2007

Superficie 3 287 263 km2
Population 1,12 milliard
PIB nominal 1 181 milliards $US
PIB par habitant 1 051 $US

L'Inde et le Canada - Qu'avons-nous en commun

  • Pays du Commonwealth caractérisés par des traditions démocratiques bien ancrées, par des régimes de gouvernement qui s'inspirent du modèle britannique et par la diversité
  • Liens entre les populations :
    • Un million de Canadiens d'origine indienne
  • Liens commerciaux annuels (2007) en dollars canadiens :
    • Exportations canadiennes vers l'Inde : 1,762 milliard
    • Exportations indiennes vers le Canada : 1,979 milliard
  • Liens d'investissement (2007) en dollars canadiens :
    • Le Canada en Inde : 207 millions
    • L'Inde au Canada : 446 millions

L'Inde et le Canada. Nous sommes parmi les douze premières économies dans le monde

Selon le produit intérieur brut aux taux de change courants (en billions de dollars US)

Tableau 1 : Produits intérieurs bruts mondiaux

Source : Fonds monétaire international, Perspectives de l'économie mondiale, octobre 2008.

Perspective canadienne

Au cours de la dernière décennie, le Canada a connu la plus forte croissance de tous les pays du G7, le plus faible ratio de la dette nette au PIB, une inflation basse et stable, et un niveau de vie élevé.

Tableau 2 : Statistiques économiques des pays du G-7

Source : Fonds monétaire international, Perspectives de l'économie mondiale, Octobre 2008.
1 Perspectives économiques de l'OCDE, no 83 (juin 2008); Réserve fédérale américaine, Flow of Funds Accounts of the United States (juin 2008); calculs du ministère des Finances. La valeur américaine est ajustée pour exclure certaines obligations des régimes de retraite des fonctionnaires afin de faciliter la comparaison avec la mesure de la dette des autres pays.

Mais le Canada, tout comme l'Inde, fait face à la première récession mondiale généralisée en plus de 60 ans

Évolution des prévisions moyennes du secteur privé concernant la croissance du PIB réel en 2009

Tableau 3 : Évolution des prévisions moyennes du secteur privé concernant la croissance du PIB réel en 2009

Source : Blue Chip Economic Indicators - De janvier 2008 à janvier 2009.

Redressement au Canada en 2010

Le secteur privé prévoit un redressement au Canada en 2010. Le budget 2009 du gouvernement, qui est conforme aux mesures du FMI/G20 pour s'attaquer à la récession mondiale, comporte un plan économique visant à appuyer le système financier et à stimuler l'économie.

Perspective économique des pays du G7 pour 2009 et 2010

Tableau 4 : Perspective économique des pays du G7 pour 2009 et 2010

Sources : Ministère des Finances du Canada, Budget 2009 (Canada et États-Unis) FMI, Perspectives de l'économie mondiale, Mise à jour du 28 janvier 2009 (France, Italie, Allemagne, Japon et le Royaume-Uni).

Plan d'action économique du Canada

  • Cadre de financement exceptionnel de 200 milliards $
  • Plan national d'investissement dans l'infrastructure de 20 milliards $ pour stimuler la demande globale
  • Plan de soutien à l'adaptation de 20 milliards $ pour appuyer les travailleurs, les secteurs et les collectivités touchées
  • Plan financier quinquennal pour revenir à l'équilibre budgétaire

Cadre financier solide

Un cadre financier solide demeure un élément clé du plan économique à long terme du Canada.

Le ratio de la dette nette de l'ensemble des administrations publiques au PIB du Canada est le plus faible de tous les pays du G7

Tableau 5 : Le ratio de la dette nette de l'ensemble des administrations publiques au PIB du Canada est le plus faible de tous les pays du G7

Source : Perspective économique de l'OCDE no 84 (décembre 2008). Les projections de l'OCDE ont été rajustées afin de prendre en compte les mesures des plans de stimulation annoncés depuis novembre 2008; les estimations relatives aux plans de stimulation proviennent de différentes sources gouvernementales nationales. Les données ne tiennent pas compte des garanties de crédit ou des prêts. Les mesures du plan de stimulation des États-Unis s'élèvent, selon l'hypothèse appliquée, à 825 milliards $US, répartis à parts égales entre 2009 et 2010.

Contrôle de la dette fédérale

Tableau 6 : Contrôle de la dette fédérale

Sources : Ministère des Finances du Canada, Budget 2009

Pourquoi faire des affaires au Canada...

  • Un système financier stable conjugué à des règlements stricts et à une surveillance rigoureuse
  • La primauté du droit et des systèmes de réglementation indépendants, efficaces et efficients
  • La plus importante proportion de la population ayant une éducation postsecondaire de tous les pays de l'OCDE
  • Un régime national de soins de santé pour tous les Canadiens et un régime national de retraite (RPC/RRQ) entièrement capitalisé sur une base actuarielle
  • Une infrastructure nationale efficace et d'importants travaux de modernisation en cours
  • Un système universitaire solide avec des universités de recherche de calibre international et le financement public de la recherche de pointe

...et une forte dotation en ressources naturelles...

  • Le Canada est l'un des plus grands producteurs d'énergie au monde. Il est :
    • le 7e producteur de pétrole au monde (le 2e pour ce qui est des réserves de pétrole)
    • le plus important exportateur de pétrole brut aux États-Unis (2,5 millions de barils par jour)
    • le 3e producteur de gaz naturel au monde
    • le plus important exportateur de gaz naturel aux États-Unis
    • le plus grand producteur d'hydroélectricité au monde
    • le plus important exportateur d'électricité aux États-Unis (provenant en grande partie d'énergie hydroélectrique et nucléaire propre)
  • Le Canada est l'un des premiers producteurs mondiaux de minerais. Il se classe :
    • au premier rang dans la production mondiale de potasse et d'uranium
    • au deuxième rang dans la production mondiale d'amiante, de soufre, de nickel, de zinc et de gypse
    • au troisième rang dans la production mondiale de titane, d'aluminium, de cuivre et de platine

...et l'accent sur la compétitivité

Tableau 7 : Accent sur la compétitivité

L'expérience de vie, de travail au Canada : qu'en est-il?

  • Un système d'éducation publique solide (classé parmi les cinq premiers pays de l'OCDE)
  • Une bonne infrastructure publique (réseaux routiers, de métro, ferroviaires, aériens, etc.)
  • Des villes sûres et propres : trois villes parmi les 20 premières dans le monde à cet égard (Vancouver, Toronto et Ottawa)
  • La diversité géographique et un attachement profond à l'environnement
  • La stabilité, la paix et la primauté du droit
  • Le multiculturalisme et une population multiethnique
  • Des bases culturelles solides (Festival international du film de Toronto, tournage de films au Canada par Bollywood, notamment « Pardes », « Neal and Nikki », « Taal » et « Kismat Konnection »)