Cette figure montre un graphique en courbes où l’axe y, qui va d’un million jusqu’à dix milliards par incréments de dix mille dollars, représente la valeur des produits importés. Les valeurs sont calculées selon une échelle logarithmique. L’axe des x représente, de gauche à droite, les années 2001 à 2005.
On a utilisé les données sur le commerce pour la période 2001-2005 pour examiner les importations au Canada de produits susceptibles d'introduire des plantes envahissantes. Mentionnons les animaux vivants, les plantes vivantes (y compris les fleurs coupées et le feuillage décoratif, les légumes et racines comestibles, les fruits et les noix comestibles, les semences, les fruits et les spores pour l'ensemencement), la paille et les écales, le foin, le fourrage, le matériel végétal de nattage tel que le rotin et les produits du bois.
Le graphique comporte onze courbes représentant chacune une région du globe où le Canada importe des produits assortis d’un risque d’introduction d’une plante envahissante. Le graphique indique, par ordre d’importance décroissante, la valeur des importations en provenance des États Unis, d’Amérique du Sud, d’Amérique centrale et des Caraïbes, de l’Europe occidentale, de l’Asie orientale, de l’Asie du Sud Est, de l’Afrique, du Moyen-Orient, de l’Océanie et de l’Australasie, de l’Europe de l’Est et, pour terminer, de la Russie et de la Chine centrale.
Le Canada a importé en moyenne pour 8,44 milliards de dollars de ces produits chaque année entre 2001 et 2005. Comme on le voit à la figure 6, les États-Unis constituent de loin la source la plus importante, représentant 67 % de la valeur totale des importations sur la période de cinq ans. L'Amérique centrale et du Sud et les Caraïbes forment ensemble la deuxième source en importance, avec 16,1 % de la valeur totale, tandis que l'Europe de l'Ouest représentait 6,2 % du total.