Recherche d’entreprise annuelle 2022-2023 – Phase quantitative - Rapport final

Rapport final

Préparé pour l’Agence du revenu du Canada

Nom du fournisseur : Quorus Consulting Group Inc. Numéro de contrat : CW2266860 Montant du contrat (TVH comprise) : 174 047,12 $ Date d’octroi du contrat : Le 28 décembre 2022 Date de livraison : mai 2023

Numéro d’inscription : POR  105-22

Pour en savoir plus sur ce rapport, veuillez communiquer avec cra-arc.media@cra-arc.gc.ca.  

This report is also available in English.

Droit d’auteur

Recherche d’entreprise annuelle de l’ARC de 2022-2023 – Quantitative

Rapport final Preparé pour l’Agence du revenu du Canada Nom du fournisseur : Quorus Consulting Group Inc. Mai 2023 Ce rapport de recherche sur l’opinion publique présente les résultats d’une étude qualitative menée par Quorus Consulting Group Inc. au nom de l’Agence du revenu du Canada. L’étude quantitative a été menée au moyen de deux phases de collecte de données, d’un sondage téléphonique auprès du grand public, administré entre le 13 février et le 24 mars 2023, et d’un sondage en ligne auprès de petites et moyennes entreprises (PME) et d’intermédiaires fiscaux, administré entre le 16 février et le 17 mars 2023. This publication is also available in English under the title: 2022-2023 CRA Annual Corporate Research – Quantitative Component. Cette publication peut être reproduite à des fins non commerciales uniquement. Une autorisation écrite doit être obtenue au préalable auprès de l’ARC. Pour obtenir plus de renseignements sur le présent rapport, veuillez communiquer avec l’Agence du revenu du Canada par courriel à l’adresse cra-arc.media@cra-arc.gc.ca.

101, promenade du Colonel-By Ottawa ON  K1A 0K2 Canada

Numéro de catalogue : Rv4-126/2023F-PDF Numéro international normalisé du livre (ISBN) : 978-0-660-48708-3 Publications connexes (numéro d’inscription) : Numéro de catalogue :Rv4-126/2023E-PDF

ISBN : 978-0-660-48707-6

Sa Majesté le roi du chef du Canada, représenté par la ministre de l’Agence du revenu du Canada, 2023.

Table des matières

Rapport sommaire

Quorus Consulting Group Inc.
Numéro de contrat : CW2266860
Numéro d’inscription de la ROP : 105-22
Date d’octroi du contrat : Le 28 décembre 2022
Coût du contrat : 174 047,12 $

But et objectifs de l’étude

L’Agence du revenu du Canada mène des recherches annuelles sur la planification stratégique et l’établissement de rapports depuis 2005. La structure de la recherche d’entreprise annuelle (REA) a fait l’objet de diverses modifications au fil des ans afin de refléter les priorités organisationnelles changeantes, les thèmes liés à l’impôt et les changements technologiques. En 2021, la REA a été mise à jour afin d’y intégrer un sondage annuel de base, ainsi que des modules supplémentaires sur le service et l’observation dont l’exécution est fondée sur des échantillons fractionnés. La décision d’exécuter les modules supplémentaires chaque année contribuera à recueillir des résultats de suivi améliorés concernant l’ensemble des thèmes liés au service et à l’observation.
Pour 2023, les objectifs précis de la composante quantitative de la recherche comprenaient les suivants :

Les objectifs variés de la recherche comprenaient notamment :

Utiliser les constatations dans le cadre d’autres initiatives d’établissement de rapports et de suivi d’entreprise, y compris les données nécessaires pour établir l’indice de satisfaction à l’égard du service, l’indice de confiance, ainsi qu’un indicateur de rendement clé concernant l’accès à l’information et la protection des renseignements personnels.

Populations cibles

Il y avait trois publics cibles :

Méthodologie de recherche

Deux modes de collecte de données ont été utilisés pour effectuer cette recherche :

Principales constatations

Perceptions de l’Agence
Perceptions générales

On a demandé aux Canadiens d’évaluer le rendement du gouvernement du Canada en utilisant une échelle de 1 à 10 (où 1 signifiait « médiocre » et 10, « excellent »).

On a demandé aux Canadiens d’évaluer le rendement global de l’Agence en utilisant une échelle de 1 à 10 (où 1 signifiait « médiocre » et 10, « excellent ») et de fournir une explication pour la cote accordée :

Confiance à l’égard de l’Agence

On a demandé aux répondants de décrire la mesure dans laquelle ils font confiance à l’Agence en utilisant une échelle de 1 à 7, où 1 représente un « manque de confiance total » et 7 une « confiance totale » :}

On a demandé aux Canadiens d’indiquer leur niveau d’accord à l’égard d’une série d’énoncés axés sur la confiance. Pour ce faire, ils devaient utiliser une échelle de 1 à 10, la cote 1 signifiant « tout à fait en désaccord » et la cote 10, « tout à fait en accord » :

Voici le calcul d’indice qui a été établi pour obtenir une cote globale permettant d’évaluer les perceptions de la confiance envers l’Agence :

Indice de confiance = SOMME (« Je peux faire confiance à l’Agence pour faire ce qui est juste » + « L’Agence travaille pour le bien de tous les Canadiens » + « J’estime que les employés de l’Agence sont dignes de confiance » + « Les employés de l’Agence sont capables de bien faire leur travail »)/4

Serviabilité de l’Agence

Le sondage, en plus d’évaluer une série d’énoncés axés sur la confiance, demandait aux Canadiens de donner une cote à l’Agence à l’égard d’énoncés axés sur la serviabilité. Pour ce faire, ils devaient utiliser la même échelle de 1 à 10, 1 signifiant « tout à fait en désaccord » et 10, « tout à fait en accord » :

Incidence de la hausse du coût de la vie

En utilisant la même échelle de 1 à 10, 1 étant « tout à fait en désaccord » et 10 étant « tout à fait d’accord », on a demandé aux Canadiens de fournir leur niveau d’accord pour déterminer si l’augmentation du coût de la vie avait une incidence négative sur les finances de leur ménage.
La plupart des Canadiens interrogés étaient tout à fait d’accord (cotes de 8 à 10) que les finances de leur ménage étaient touchées de façon négative (70 %), tandis que plus d’un cinquième des répondants (22 %) ont fourni une cote neutre (cotes de 4 à 7), pour une cote moyenne de 8,1. En revanche, très peu (7 %) ont indiqué que les finances de leur ménage n’ont pas été touchées par la hausse du coût de la vie.

Accès à l’information et protection des renseignements personnels

En utilisant la même échelle de 1 à 10, 1 étant « tout à fait en désaccord » et 10 étant « tout à fait d’accord », on a demandé aux Canadiens d’indiquer leur niveau de confiance à l’égard de l’Agence pour traiter leurs renseignements respectifs de façon appropriée :

Égalité et équité

On a demandé aux Canadiens d’indiquer, en fonction de leurs perceptions de l’Agence, leur niveau d’accord avec une série d’énoncés sur l’égalité et l’équité. Pour ce faire, ils devaient utiliser une échelle de 1 à 10, la cote 1 signifiant « tout à fait en désaccord » et la cote 10, « tout à fait en accord » :

Ouverture et transparence

On a demandé aux Canadiens d’indiquer, en fonction de leurs perceptions de l’Agence, leur niveau d’accord avec une série d’énoncés sur l’ouverture et la transparence. Pour ce faire, ils devaient utiliser une échelle de 1 à 10, la cote 1 signifiant « tout à fait en désaccord » et la cote 10, « tout à fait en accord » :

Déclarations de revenus

Près de neuf répondants de la population générale sur dix (89 %) ont indiqué qu’ils avaient envoyé à l’Agence une déclaration de revenus des particuliers au cours de la dernière année. Les deux tiers des déclarants (68 %) ont indiqué avoir reçu de l’aide pour préparer leur déclaration de revenus, y compris 81 % de ce sous-ensemble qui ont eu recours à un préparateur de déclarations de revenus ou à un comptable, et 18 % se sont tournés vers des amis ou des proches pour obtenir de l’aide. La plupart des déclarants (81 %) ont indiqué avoir produit leur déclaration de revenus en ligne; 12 % ont indiqué avoir envoyé leur déclaration par la poste.

On a demandé aux PME canadiennes de décrire leur approche à l’égard de la production de leurs déclarations de revenus d’entreprise. Plus précisément, on leur a demandé d’indiquer si elles recouraient à des services internes ou externes tout au long du processus de production. Plus de deux répondants sur cinq (42 %) utilisait exclusivement des services externes, tandis que 31 % s’appuyaient exclusivement sur des ressources internes. Les 25 % restants ont utilisé une combinaison des deux.

En ce qui concerne la planification fiscale plus précisément, 34 % ont dit utiliser des ressources internes exclusivement, 33 % ont dit utiliser des services externes exclusivement et 29 % une combinaison des deux.

On a demandé aux PME de coter leur niveau de satisfaction à l’égard de l’Agence en fonction de leur dernière expérience de production des déclarations de revenus. Pour ce faire, elles devaient utiliser une échelle de 1 à 10, 1 signifiant « complètement insatisfait » et 10, « complètement satisfait ». Une majorité d’entre elles (70 %) ont attribué un niveau de satisfaction élevé (cotes de 8 à 10), tandis que 25 % ont attribué une cote moyenne (cotes de 4 à 7), pour une cote de satisfaction globale moyenne de 7,9.

On a également demandé aux intermédiaires fiscaux de coter, à l’aide de la même échelle, leur niveau de satisfaction globale en fonction de leur dernière expérience de production des déclarations de revenus. La moitié des intermédiaires fiscaux (50 %) ont attribué une cote de satisfaction élevée, tandis que 41 % ont attribué une cote moyenne, pour une cote de satisfaction globale moyenne de 7,1.

Interaction avec l’Agence

Interaction au cours des 12 derniers mois

On a demandé aux Canadiens s’ils avaient interagi avec l’Agence au cours des 12 derniers mois – il pourrait s’agir de toute interaction avec l’Agence qui a eu lieu en ligne, par téléphone ou par la poste pour une raison quelconque. Parmi les groupes démographiques, certaines différences intéressantes sont ressorties :

On a demandé aux personnes qui avaient interagi avec l’Agence au cours des 12 derniers mois comment elles avaient interagi le plus récemment avec l’Agence :

Objectif de l’interaction

Les raisons de communiquer avec l’Agence au cours des 12 derniers mois étaient assez variées dans les trois publics cibles :

Satisfaction à l’égard du service

On a demandé aux Canadiens qui avaient indiqué avoir eu une communication avec l’Agence au cours des 12 derniers mois de préciser, en fonction de leur expérience de l’Agence, leur niveau d’accord avec une série d’énoncés sur la satisfaction à l’égard du service. Pour ce faire, ils devaient utiliser une échelle de 1 à 10, la cote 1 signifiant « tout à fait en désaccord » et la cote 10, « tout à fait en accord ».

Le calcul de l’indice de satisfaction à l’égard du service a été élaboré afin de produire une cote globale pour évaluer l’expérience des clients avec les services de l’Agence. Les questions qui composent l’indice de satisfaction à l’égard du service ont été posées à ceux qui ont interagi avec l’Agence au cours des 12 derniers mois. L’indice est calculé comme il est indiqué ci-dessous :

Indice de satisfaction à l’égard du service = SOMME DE (« Le service offert par l’Agence était facile à accéder » + « Le service offert par l’Agence a été offert en temps opportun » + « Les renseignements que j’ai reçus étaient exacts » + « Les renseignements que j’ai reçus étaient complets » + « Les renseignements que j’ai reçus étaient faciles à comprendre » + « Le représentant de l’Agence a pris le temps de comprendre ma situation » + « Le représentant de l’Agence était professionnel » + « Le représentant de l’Agence était poli »)/8

La plupart des PME (77 %) et la plupart des intermédiaires fiscaux (80 %) qui avaient communiqué eux-mêmes avec l’Agence au cours de la dernière année estimaient que celle-ci avait réussi à répondre à leurs besoins lors de leur plus récente communication.

En comparant le service à la clientèle de l’Agence à celui des institutions financières, 42 % des PME et 53 % des intermédiaires fiscaux ont donné une cote à peu près identique. Par ailleurs, les PME étaient tout aussi susceptibles de percevoir le service de l’Agence plus favorablement (41 % estimaient que l’Agence offrait un meilleur service), même si seulement 26 % des intermédiaires fiscaux étaient du même avis.

Exécution des services

Confiance sans aide externe

On a demandé aux entreprises canadiennes qui avaient eu recours à un service externe de préparation de déclarations de revenus d’indiquer leur niveau de confiance dans leur capacité de traiter leurs déclarations de revenus sans aide externe. Les répondants ont indiqué leur niveau de confiance sur une échelle de 1 à 10, 1 signifiant « aucune confiance » et 10, « extrêmement confiant ». Plus de deux PME sur cinq (44 %) ont indiqué un niveau élevé de confiance (cotes de 8 à 10), tandis que 26 % ont indiqué un niveau modéré de confiance (cotes de 4 à 7) pour une cote de confiance moyenne de 6,2.

Préférences de contact lors des interactions avec l’Agence

On a demandé aux PME et aux intermédiaires fiscaux comment ils souhaiteraient recevoir le service ou les renseignements lorsqu’ils ont besoin de renseignements de base de la part de l’Agence. Les deux principales méthodes pour les deux publics cibles consistaient à consulter les pages sur l’impôt de Canada.ca (34 % chez les PME et 38 % chez les intermédiaires fiscaux) et à communiquer avec l’Agence par téléphone (18 % chez les PME et 20 % chez les intermédiaires fiscaux).
Lorsqu’il s’agit de leur moyen privilégié de recevoir des services ou des renseignements lorsqu’ils ont besoin de précisions sur les renseignements envoyés par l’Agence, le téléphone est de loin le moyen le plus privilégié pour les deux publics cibles : 38 % chez les PME et 40 % chez les intermédiaires fiscaux. La fonction de clavardage en ligne était loin derrière parmi les PME (13 %), tandis que les pages sur l’impôt du site Web Canada.ca se classaient au deuxième rang parmi les intermédiaires fiscaux (16 %).
Le téléphone est encore une fois le grand favori lorsque les répondants ont été invités à décrire leur moyen privilégié de recevoir un service ou des renseignements pour obtenir de l’aide sur une question fiscale personnelle (34 % chez les PME et 44 % chez les intermédiaires fiscaux).

Confiance à l’égard du règlement des désaccords fiscaux

On a demandé aux PME et aux intermédiaires fiscaux dans quelle mesure ils estimaient que tout désaccord potentiel avec l’Agence pourrait être résolu (en utilisant une échelle de 1 à 10, 1 signifiant « pas du tout confiant » et 10 signifiant « extrêmement confiant »).

En utilisant la même échelle de confiance, on a demandé aux PME et aux intermédiaires fiscaux dans quelle mesure ils seraient confiants que le processus de l’Agence serait mené de façon équitable en cas de désaccord au sujet de leurs déclarations d’entreprise.

Exécution des services

On a demandé aux Canadiens d’indiquer leur niveau d’accord à l’égard d’une série d’énoncés axés sur la prestation de services. Pour ce faire, ils devaient utiliser une échelle de 1 à 10, la cote 1 signifiant « tout à fait en désaccord » et la cote 10, « tout à fait en accord » :

Inscription aux services en ligne

Plus des deux tiers des Canadiens sondés (68 %) ont indiqué qu’ils sont inscrits au service Mon dossier de l’Agence. Parmi les entreprises, 62 % ont déclaré être inscrites au service Mon dossier d’entreprise de l’Agence, 29 % ne l’étaient pas et 9 % ont indiqué qu’elles n’étaient pas certaines ou avaient refusé de répondre. Parmi les intermédiaires fiscaux, 55 % étaient inscrits au service en ligne Représenter un client de l’Agence.

On a demandé aux abonnés au portail Mon dossier d’entreprise dont la plus récente communication avec l’Agence a eu lieu par téléphone d’expliquer pourquoi ils n’avaient pas utilisé le portail fiscal sécurisé. En ce qui concerne plus d’une personne sur dix, le besoin de clarifications liées aux renseignements reçus de l’Agence était ce qui les a incités à opter pour une conversation téléphonique (14 %). Environ un cinquième des PME (20 %) ont mentionné la commodité de communiquer avec l’Agence par téléphone, tandis que 14 % ont fait référence à diverses préoccupations liées à la sécurité ou de confidentialité en lien avec l’utilisation du portail en ligne.

Une question semblable a été posée aux utilisateurs du portail Représenter un client. Le tiers de ces intermédiaires fiscaux (32 %) ont mentionné qu’ils devaient accéder à des renseignements précis, tandis que 18 % ont précisément indiqué la nécessité d’obtenir des précisions sur les renseignements reçus de l’Agence. La commodité a été citée par un quart (27 %) des intermédiaires fiscaux pour avoir communiqué avec l’Agence par téléphone.

Processus liés à l’impôt des entreprises

En examinant qui traite la correspondance de l’Agence, un peu plus de la moitié des PME (56 %) ont déclaré être responsables de la lecture et du traitement des lettres reçues de l’Agence, tandis que moins (36 %) lisent personnellement la lettre et la remettent à leur comptable ou à leur secteur des finances pour qu’il l’a traite. Parmi les répondants qui fourniraient la lettre à leur comptable, 40 % avaient des employés dédiés pour traiter avec l’Agence en leur nom.

Utilisation et satisfaction à l’égard des renseignements fiscaux sur le site Web Canada.ca

Des proportions importantes parmi les segments des PME (71 %) et des intermédiaires fiscaux (84 %) avaient déjà visité le site Web Canada.ca pour obtenir des renseignements fiscaux. Voici les résultats obtenus en ce qui concerne les utilisateurs du site Web :

Fardeau en matière de production de déclarations de revenus

On a demandé aux entreprises et aux intermédiaires fiscaux d’indiquer leur niveau d’accord avec une série de mesures liées à la production de déclarations de revenus. Pour ce faire, ils devaient utiliser une échelle de 1 à 10, la cote 1 signifiant « tout à fait en désaccord » et la cote 10, « tout à fait en accord » :

On a ensuite demandé aux entreprises et aux intermédiaires fiscaux d’évaluer la mesure dans laquelle le respect de leurs obligations fiscales représentait un fardeau. Pour ce faire, ils devaient utiliser une échelle de 1 à 10, 1 signifiant « pas du tout un fardeau » et 10, « énorme fardeau » :

Attitudes à l’égard de l’observation fiscale

L’équité

On a demandé à tous les participants de l’étude de préciser si l’impôt qu’ils payent est représentatif des services qu’ils ont reçus du gouvernement canadien :

Attraper les fraudeurs fiscaux

Les perceptions suivantes concernent la fraude fiscale ont été explorées :

On a ensuite demandé aux entreprises et aux intermédiaires fiscaux d’évaluer le niveau d’effort déployé par l’Agence pour réduire la fraude fiscale par les entreprises au Canada :

On a demandé aux Canadiens d’évaluer la probabilité que les fraudeurs fiscaux se fassent prendre par l’Agence. Pour ce faire, ils devaient utiliser une échelle de 1 à 10, 1 signifiant « pas du tout probable » et 10, « très probable ».

On a demandé aux PME canadiennes et aux intermédiaires fiscaux d’évaluer la probabilité que les entreprises qui trichent dans leurs déclarations de revenus se fassent pendre par l’Agence. Pour ce faire, elles devaient utiliser une échelle de 1 à 10, 1 signifiant « pas du tout probable » et 10, « très probable ».

On a demandé aux entreprises canadiennes et aux intermédiaires fiscaux d’évaluer la probabilité qu’elles dénoncent une entreprise qui pourrait pratiquer la fraude fiscale. Pour ce faire, elles devaient utiliser une échelle de 1 à 10, 1 signifiant « pas du tout probable » et 10, « très probable ».

Pour mieux comprendre les perceptions liées aux fraudeurs fiscaux qui se font prendre, on a demandé aux répondants dans quelle mesure ils étaient d’accord avec deux énoncés précis en utilisant une échelle de 1 à 10, 1 étant « tout à fait en désaccord » et 10 étant « tout à fait d’accord » :

Perceptions de la fraude fiscale

On a demandé aux Canadiens d’indiquer leur niveau d’accord à l’égard d’une série d’énoncés axés sur la fraude fiscale. Pour ce faire, ils devaient utiliser une échelle de 1 à 10, la cote 1 signifiant « tout à fait en désaccord » et la cote 10, « tout à fait en accord ».

Il y avait un intérêt particulier à évaluer la façon dont les répondants perçoivent le traitement des personnes riches par l’Agence (sans préciser ou définir les « riches »). Pour ce faire, on a demandé aux répondants dans quelle mesure ils étaient d’accord avec deux énoncés en utilisant une échelle de 1 à 10, 1 étant « tout à fait en désaccord » et 10 étant « tout à fait d’accord » :

Gravité de l’évitement fiscal et de la fraude

On a demandé aux Canadiens d’indiquer la mesure dans laquelle une série de comportements d’évitement fiscal étaient considérés comme de la fraude fiscale. Pour ce faire, ils devaient utiliser une échelle de 1 à 10, 1 signifiant « pas du tout un cas de fraude fiscale » et 10, « grave cas de fraude fiscale » :

On a ensuite demandé aux entreprises et aux intermédiaires fiscaux qui avaient attribué une cote de 5 ou moins à au moins un comportement d’évitement fiscal d’évaluer la gravité de l’évitement fiscal en fonction du montant d’argent non payé. Pour ce faire, ils ont utilisé une échelle de 1 à 10, 1 signifiant « pas du tout un cas de fraude fiscale » et 10, « grave cas de fraude ».

Enfin, on a demandé aux PME et aux intermédiaires fiscaux d’évaluer l’importance des efforts de recouvrement en cas d’évitement fiscal. Pour ce faire, elles devaient utiliser une échelle de 1 à 10, 1 signifiant « pas du tout important » et 10, « très important » :

Attestation de neutralité politique

Par la présente, j’atteste, à titre d’agent principal de Quorus Consulting Group Inc., que les produits livrables respectent entièrement les exigences en matière de neutralité politique du gouvernement du Canada énoncées dans la Politique sur les communications et l’image de marque fédérale et la Directive sur la gestion des communications – Annexe C.
Plus précisément, les produits livrables ne comprennent pas d’information sur les intentions de vote électoral, les préférences quant aux partis politiques, les positions des partis ou l’évaluation de la performance d’un parti politique ou de ses dirigeants.

Signé,

Le 24 avril 2023
Rick Nadeau, Président
Quorus Consulting Group Inc.

Résultats détaillés

But et objectifs de l’étude

Depuis 2005, l’Agence mène tous les ans des recherches par sondage aux fins de planification et d’établissement de rapports stratégiques. La structure de la REA a fait l’objet de diverses modifications au fil des ans afin de refléter les priorités organisationnelles changeantes, les thèmes liés à l’impôt et les changements technologiques. En 2021, la REA a été mise à jour afin d’y intégrer un sondage annuel de base, ainsi que des modules supplémentaires sur le service et l’observation dont l’exécution est fondée sur des échantillons fractionnés. La décision d’exécuter les modules supplémentaires chaque année contribuera à recueillir des résultats de suivi améliorés concernant l’ensemble des thèmes liés au service et à l’observation.
Pour 2023, les objectifs précis de la composante quantitative de la recherche comprenaient les suivants :

Les données fournissent à l’Agence des renseignements généraux et contextuels sur les perceptions du public et des entreprises à l’égard de l’Agence. Avec cette information, l’Agence évaluera des facteurs, comme la confiance et la satisfaction à l’égard de l’Agence, contextualisera d’autres renseignements sur l’étude, transmettra de l’information fondée sur des données probantes pour la prise de décisions stratégiques et fournira des renseignements pour décrire les résultats sur la mobilisation et la gestion de la réputation.
Les autres objectifs de la recherche comprennent les suivants :

Utiliser les constatations dans le cadre d’autres initiatives d’établissement de rapports et de suivi d’entreprise, y compris les données nécessaires pour établir l’indice de satisfaction à l’égard du service, l’indice de confiance, ainsi qu’un indicateur de rendement clé concernant l’accès à l’information et la protection des renseignements personnels.

Populations cibles

Il y avait trois publics cibles :

Remarques à l’intention du lecteur :
  • Tout au long du rapport, les résultats en caractères gras dans les tableaux de données de la population générale indiquent une différence significative sur le plan statistique. Les résultats en caractères gras dans les tableaux de données des entreprises et des intermédiaires fiscaux suggèrent des différences notables, mais ne peuvent pas être considérés comme des différences significatives sur le plan statistique, car le sondage auprès de ces segments n’a pas été mené à l’aide d’un échantillon probabiliste; dans ce cas, il s’agissait d’un panel en ligne disponible sur le marché. Une marge d’erreur ne peut pas être calculée si un échantillon probabiliste n’est pas utilisé et, par conséquent, les différences ne peuvent pas être considérées comme significatives sur le plan statistique.
  • Pour la population générale, les résultats pour les sous-groupes ont une plus grande marge d’erreur d’échantillonnage que pour l’échantillon global en raison de leurs plus petites tailles d’échantillon. Les constatations pertinentes découlant de sous-groupes d’échantillon de moins de 25 personnes doivent être considérées prudemment et sont indiquées tout au long du rapport.
  • Le rapport présente des résultats liés à des questions assorties d’une échelle allant de 1 à 10. Pour faciliter la lecture, ces résultats sont regroupés dans trois catégories, soit les résultats positifs (de 8 à 10), les résultats neutres (de 4 à 7) et les résultats négatifs (de 1 à 3).

Constatations découlant de la recherche quantitative

Perceptions de l’Agence

Population générale

Perceptions générales

On a d’abord demandé aux Canadiens d’évaluer le rendement global du gouvernement du Canada en utilisant une échelle de 1 à 10, où 1 signifiait « médiocre » et 10, « excellent ». Plus du cinquième des répondants (21 %) estimaient que le rendement global est bon (cotes de 8 à 10), tandis qu’une majorité (56 %) des répondants ont attribué des cotes neutres (cotes de 4 à 7). Plus du cinquième des Canadiens (22 %) décrivaient le rendement global comme étant médiocre (cotes de 1 à 3). Ces évaluations se traduisent par une cote moyenne de 5,6, soit une cote neutre.

Tableau 1. Rendement global du gouvernement du Canada

Base : (Population générale) Tous les répondants (n = 2 407)

Cote globale  Total
N = 2 407
ATL
N = 262
Qc
N = 553
ON/
NU
N = 800
MB
Sask.
N = 263
Alb.
T.-N.-O.
N = 219
C.-B.
Yn
N = 310
18 – 24
N = 134
25 – 34
N = 262
35 – 49
N = 537
50 – 64
N = 649
65+
N = 814
8 – 10 (bon) 21 % 23 % 23 % 21 % 22 % 14 % 24 % 28 % 20 % 19 % 16 % 26 %
4 – 7 (neutre) 56 % 50 % 62 % 57 % 43 % 51 % 52 % 61 % 57 % 57 % 55 % 52 %
1 – 3 (médiocre) 22 % 26 % 12 % 21 % 35 % 32 % 24 % 10 % 19 % 22 % 28 % 21 %
Je ne sais pas/Refus 2 % < 1 % 3 % 1 % 1 % 3 % 1 % 1 % 4 % 2 % 1 % 1 %
Moyenne 5,6 5,4 6,1 5,6 5,0 4,8 5,5 6,3 5,7 5,5 5,1 5,7
BG-0. Pour commencer, comment évalueriez-vous le rendement global du gouvernement du Canada dans son ensemble? Veuillez utiliser une échelle de 1 à 10, où 1 signifie que vous êtes « tout à fait insatisfait » et où 10 signifie que vous êtes « tout à fait satisfait ».

Les comparaisons notables des sous-groupes en ce qui concerne les cotes de rendement moyennes du gouvernement du Canada comprenaient ce qui suit :

On a ensuite demandé aux Canadiens d’évaluer le rendement global de l’Agence en utilisant une échelle de 1 à 10, où 1 signifiait « médiocre » et 10, « excellent ». Moins d’un répondant sur trois (30 %) estimait que le rendement de l’Agence est bon (cotes de 8 à 10), tandis que plus de la moitié (56 %) des répondants ont attribué des cotes neutres (cotes de 4 à 7). Environ un Canadien sur dix (10 %) décrivait le rendement global comme étant médiocre (cotes de 1 à 3). Ces évaluations se traduisent par une cote moyenne de 6,3, soit une cote neutre, pour les Canadiens.

Tableau 2. Rendement global de l’Agence

Base : (Population générale) Tous les répondants (n = 2 407)

Cote globale  Total
N = 2 407
ATL
N = 262
Qc
N = 553
ON/
NU
N = 800
MB
Sask.
N = 263
Alb.
T.-N.-O.
N = 219
C.-B.
Yn
N = 310
18 – 24
N = 134
25 – 34
N = 262
35 – 49
N = 537
50 – 64
N = 649
65+
N = 814
8 – 10 (bon) 30 % 33 % 32 % 30 % 28 % 30 % 30 % 30 % 27 % 31 % 27 % 36 %
4 – 7 (neutre) 56 % 52 % 58 % 56 % 55 % 53 % 55 % 54 % 60 % 53 % 58 % 53 %
1 – 3 (médiocre) 10 % 11 % 5 % 10 % 12 % 14 % 12 % 8 % 9 % 12 % 11 % 7 %
Je ne sais pas/Refus 4 % 4 % 5 % 4 % 5 % 4 % 3 % 8 % 4 % 3 % 4 % 3 %
Moyenne 6,3 6,3 6,7 6,3 6,1 6,1 6,1 6,6 6,3 6,3 6,2 6,5
BG-1. Comment évalueriez-vous le rendement global de l’Agence? Veuillez utiliser une échelle de 1 à 10, où 1 signifie que vous êtes « tout à fait insatisfait » et où 10 signifie que vous êtes « tout à fait satisfait ». 

À la suite d’une comparaison du rendement global de l’Agence dans l’ensemble des sous-groupes pertinents, les tendances suivantes sont ressorties :

On a ensuite demandé aux répondants d’expliquer pourquoi ils avaient fourni leur cote. Les cotes globales étaient principalement attribuables à un manque de problèmes liés aux interactions avec l’Agence (20 %), suivies par la réceptivité au moment d’être contacté (10 %), une aversion générale à l’égard du paiement de l’impôt (9 %), une marge d’amélioration générale (8 %) et un bon service à la clientèle (8 %).

Tableau 3. Raison de l’évaluation du rendement global

Base : (Population générale) Répondants qui ont fourni une évaluation valide (n = 2 315)

Raison de l’évaluation  Total
N = 2 315
8 – 10
Bon
N = 747
4 – 7
Neutre

N = 1 332
1 – 3
Faible  
N = 236
Fait du bon travail/jamais eu de problème 20 % 40 % 12 % 1 %
Pas réactive/longs temps d’attente/difficile à joindre 10 % 4 % 12 % 16 %
Perçoit trop d’impôt/n’aime pas payer des impôts 9 % 2 % 10 % 27 %
Toujours des améliorations à apporter 8 % 5 % 11 % 3 %
Bon service à la clientèle (général) 8 % 16 % 4 % 1 %
Processus compliqué, inefficace ou lent 5 % 2 % 6 % 8 %
Mauvais service à la clientèle (général) 5 % 2 % 4 % 14 %
Facile à joindre/rapide/réactive 3 % 7 % 2 %  -
Renseignements difficiles à comprendre ou trop compliqués 3 % 1 % 4 % 5 %
Connu des problèmes (général) 3 % 1 % 3 % 9 %
Piètre qualité des services en ligne ou du site Web 3 % 2 % 3 % 5 %
Politiques ou pratiques inéquitables (général) 3 % 1 % 3 % 7 %
Fournit trop peu de prestations ou de crédits (général) 3 % 1 % 3 % 6 %
Méfiant à l’égard de l’organisation/manque de transparence 2 % < 1 % 2 % 9 %
Fournit des paiements ou des remboursements réguliers 2 % 4 % 2 % 1 %
Facile d’accéder aux renseignements et de les comprendre 2 % 5 % 1 %  -
Services en ligne ou site Web conviviaux 2 % 4 % 1 %  -
Connu des problèmes concernant les prestations d’urgence liées à la COVID-19 1 % < 1 % 2 % 4 %
Mauvaise résolution des problèmes 1 % < 1 % 2 % 1 %
Difficile de trouver des renseignements 1 % 1 % 2 % < 1 %
Fait des erreurs 1 % < 1 % 1 % 2 %
Processus efficace de production des déclarations de revenus 1 % 3 % 1 % < 1 %
Processus équitable/échéances faciles à respecter 1 % 2 % 1 %
Problèmes liés à la sécurité ou à la protection des renseignements personnels 1 % < 1 % 1 % 1 %
Mauvais service à la clientèle au centre d’appels < 1 %  - < 1 % 1 %
Connu des problèmes concernant les pensions < 1 % < 1 % < 1 % < 1 %
Autre 3 % 2 % 3 % 5 %
Je ne sais pas/Refus 16 % 14 % 19 % 4 %
B-2. Pourquoi évaluez-vous le rendement de l’Agence en donnant une cote de [RÉPONSE À BG-1] sur 10? POSER LA QUESTION : Y a-t-il d’autres raisons?

Lorsque l’on compare les raisons pour lesquelles les répondants jugent le rendement global comme étant bon (cotes de 8 à 10), neutre (cotes de 4 à 7) ou médiocre (cotes de 1 à 3), les tendances suivantes ressortent :

Confiance à l’égard de l’Agence

On a demandé aux répondants de décrire la mesure dans laquelle ils font confiance à l’Agence en utilisant une échelle de 1 à 7, où 1 représente un « manque de confiance total » et 7 une « confiance totale » : Près de la moitié des Canadiens (49 %) ont exprimé leur confiance à l’égard de l’Agence (cotes de 6 à 7), tandis qu’un peu moins de Canadiens (44 %) ont donné une cote neutre (cotes de 3 à 5). En revanche, seuls quelques Canadiens se méfient de l’Agence (6 %). Dans l’ensemble, les résultats ont généré une cote moyenne modérément élevée de 5,3.

Tableau 4. Confiance générale à l’égard de l’Agence

Base : (Population générale) Tous les répondants (n = 2 407)

Cote de confiance (sur 7)  Total
N = 2 407
ATL
N = 262
Qc
N = 553
ON/
NU
N = 800
MB
Sask.
N = 263
Alb.
T.-N.-O.
N = 219
C.-B.
Yn
N = 310
18 – 24
N = 134
25 – 34
N = 262
35 – 49
N = 537
50 – 64
N = 649
65+
N = 814
Confiance (6-7) 49 % 49 % 58 % 47 % 43 % 44 % 45 % 46 % 45 % 46 % 48 % 58 %
Neutre (3-5) 44 % 39 % 38 % 45 % 48 % 47 % 48 % 49 % 49 % 45 % 43 % 36 %
Méfiance (1-2) 6 % 11 % 3 % 7 % 9 % 8 % 7 % 3 % 6 % 8 % 8 % 4 %
Je ne sais pas 1 % 2 % < 1 % 1 % 1 % 1 % 1 % 2 % - 1 % 1 % 1 %
Moyenne (sur 7) 5,3 5,1 5,6 5,2 5,0 5,1 5,2 5,3 5,2 5,2 5,2 5,5
B-4. Dans l’ensemble, dans quelle mesure faites-vous confiance à l’Agence du revenu du Canada? Veuillez évaluer l’Agence sur une échelle de 1 à 7, où 1 signifie que vous « ne lui faites pas confiance du tout » et 7 signifie que vous « lui faites entièrement confiance ».

À la suite d’une comparaison de la confiance globale envers l’Agence dans l’ensemble des sous-groupes pertinents, les tendances suivantes sont ressorties :

On a demandé aux Canadiens dans quelle mesure ils étaient d’accord avec une série d’énoncés liés à la confiance en fonction de leurs perceptions de l’Agence. On leur a demandé d’utiliser une échelle de 1 à 10, 1 étant « tout à fait en désaccord » et 10, « tout à fait d’accord ».

Plus de la moitié des Canadiens (54 %) étaient tout à fait d’accord (cotes de 8 à 10) pour dire que les employés de l’Agence étaient dignes de confiance, tandis que la moitié étaient d’accord pour dire que les employés de l’Agence sont capables de bien faire leur travail (50 %). Plus de deux répondants sur cinq estiment que l’Agence travaille au profit de tous les Canadiens (44 %) et qu’ils font confiance à l’Agence pour faire ce qui est juste (43 %).

La cote d’accord moyenne la plus élevée a été notée pour l’énoncé « J’estime que les gens de l’Agence sont dignes de confiance » (7,3), tandis que la cote moyenne la plus faible était pour savoir si l’Agence travaille au profit de tous les Canadiens et si les répondants font confiance à l’Agence pour faire ce qui est juste (6,7 respectivement). Dans l’ensemble, toutes les mesures de confiance mesurées ont donné lieu à une cote d’accord moyenne qui se situait dans la fourchette neutre (entre 4 et 7).

Tableau 5. Perceptions de la fiabilité

Base : (Population générale) Tous les répondants (n = 2 407)

Énoncés d’impression 8 – 10 4 – 7 1 – 3 SP/RR Moyenne
Je crois que les employés de l’Agence sont dignes de confiance (B-3c.) 54 % 35 % 7 % 3 % 7,3
Les employés de l’Agence sont capables d’exercer leurs fonctions convenablement (B-3d.) 50 % 38 % 8 % 5 % 7,1
L’Agence travaille dans l’intérêt de tous les Canadiens (B-3b.) 44 % 39 % 15 % 2 % 6,7
L’Agence est digne de confiance pour prendre les bonnes mesures (B-3a.) 43 % 43 % 12 % 2 % 6,7
B-3. Comment évalueriez-vous l’Agence pour chacun des énoncés suivants en fonction de vos impressions générales? Veuillez utiliser une échelle de 1 à 10, où 1 signifie que vous êtes  « tout à fait en désaccord » et 10 signifie que vous êtes « tout à fait d’accord ».

Un calcul d’indice a été établi pour obtenir une cote globale permettant d’évaluer les perceptions de la confiance à l’égard de l’Agence à l’aide des mesures suivantes :


Indice de confiance = SOMME (« Je peux faire confiance à l’Agence pour faire ce qui est juste » + « L’Agence travaille pour le bien de tous les Canadiens » + « J’estime que les employés de l’Agence sont dignes de confiance » + « Les employés de l’Agence sont capables de bien faire leur travail »)/4

Lors de l’évaluation des cotes globales de l’indice de confiance, 37 % ont une cote élevée de l’indice de confiance (cotes de 8 à 10), tandis que 52 % ont une cote neutre de l’indice de confiance (cotes de 4 à 7). Environ 1 répondant sur 10 (10 %) ont une cote faible de l’indice de confiance (cotes de 1 à 3). Le calcul de l’indice de confiance a donné lieu à une cote moyenne de 6,9.

Tableau 6. Calculs de l’indice de confiance

Base : (Population générale) Tous les répondants (n = 2 407)

Cote de l’indice de confiance  Total
N = 2 407
ATL
N = 262
Qc
N = 553
ON/
NU
N = 800
MB
Sask.
N = 263
Alb.
T.-N.-O.
N = 219
C.-B.
Yn
N = 310
18 – 24
N = 134
25 – 34
N = 262
35 – 49
N = 537
50 – 64
N = 649
65+
N = 814
8-10 37 % 38 % 44 % 37 % 34 % 34 % 32 % 49 % 36 % 38 % 33 % 38 %
4-<8 52 % 49 % 51 % 51 % 52 % 52 % 56 % 46 % 55 % 50 % 53 % 52 %
1-<4 10 % 13 % 5 % 12 % 14 % 13 % 11 % 5 % 9 % 12 % 13 % 9 %
Je ne sais pas < 1 % - < 1 % < 1 % - < 1 % 1 % - - < 1 % 1 % 1 %
Moyenne 6,9 6,8 7,5 6,8 6,6 6,7 6,6 7,6 7,1 6,9 6,6 6,9

En ce qui concerne les cotes d’accord globales de l’indice de confiance, les comparaisons dignes de mention entre les sous-groupes comprennent les suivantes :

  • Les répondants vivant au Québec (7,5) avaient un indice de confiance moyen plus élevé que ceux qui vivaient en Ontario (6,8), au Canada atlantique (6,8), en Alberta (6,7), en Colombie-Britannique (6,6) ou au Manitoba et en Saskatchewan (6,6).
  • Les jeunes Canadiens âgés de 18 à 24 ans (7,6) avaient une cote moyenne de l’indice de confiance qui était supérieure à celle des répondants de 25 à 34 ans (7,1), de 35 à 49 ans (6,9), de 50 à 64 ans (6,6) ou de 65 ans ou plus (6,9).
  • Les femmes étaient plus susceptibles d’avoir un indice de confiance moyen plus élevé que les hommes (7,0 par rapport à 6,8).
  • Les Canadiens ayant fait des études universitaires (7,1) ont attribué des cotes plus élevées que ceux ayant fait des études secondaires (6,8), une école de métiers ou un collège (6,7).
  • Les étudiants (7,5), ceux qui travaillent à temps partiel (7,3), les Canadiens sans emploi (6,9), ceux qui travaillent à temps plein (6,9) ou les Canadiens à la retraite (6,9) ont attribué des cotes moyennes plus élevées que ceux qui étaient des travailleurs indépendants (6,3).
  • Les répondants qui sont nés à l’extérieur du Canada ont attribué une cote plus élevée que ceux qui sont nés au Canada (7,5 par rapport à 6,7).
  • Ceux dont le revenu du ménage était de 40 000 $ ou moins ont attribué des cotes plus élevées en moyenne que ceux dont le revenu était de 150 000 $ ou plus (7,1 par rapport à 6,7).
  • En général, les Canadiens qui évaluaient le rendement global de l’Agence comme étant bon (cotes de 8 à 10) [8,4] ont attribué une cote plus élevée que ceux qui ont indiqué que le rendement global était neutre (cotes de 4 à 7) [6,8] ou médiocre (cotes de 1 à 3) [3,5].
  • Les répondants dont la communication récente avec l’Agence a eu lieu par téléphone (7,1) ou par l’intermédiaire du portail fiscal Mon dossier (7,0) avaient tendance à fournir des cotes plus élevées que ceux dont la communication a eu lieu par la poste (6,5).

Serviabilité de l’Agence

En plus d’évaluer une série d’énoncés axés sur la confiance, le sondage visait à demander aux Canadiens leurs points de vue sur quelques énoncés axés sur la serviabilité. Pour ce faire, ils devaient utiliser la même échelle de 1 à 10, 1 signifiant « tout à fait en désaccord » et 10, « tout à fait en accord ».
Pas tout à fait la moitié des Canadiens ont convenu que l’Agence facilite le processus de production des déclarations de revenus (47 %), et 41 % était fortement en accord que l’Agence est serviable de manière générale.

Tableau 7. Perceptions de la serviabilité

Base : (Population générale) Tous les répondants (n = 2 407)

Énoncés d’impression 8 – 10 4 – 7 1 – 3 SP/RR Moyenne
L’Agence facilite le processus de production de mes déclarations de revenus. (B-3f) 47 % 37 % 12 % 4 % 6,9
L’Agence est serviable. (B-3h) 41 % 43 % 13 % 4 % 6,6
B-3. Comment évalueriez-vous l’Agence pour chacun des énoncés suivants en fonction de vos impressions générales? Veuillez utiliser une échelle de 1 à 10, où 1 signifie que vous êtes  « tout à fait en désaccord » et 10 signifie que vous êtes « tout à fait d’accord ».

Les différences supplémentaires entre les sous-groupes comprennent les suivantes :

  • Les personnes qui ont communiqué avec l’Agence par téléphone ou en ligne étaient plus susceptibles de fournir des cotes plus élevées pour chaque mesure de serviabilité que celles dont la communication a eu lieu par la poste :
    • L’Agence facilite le processus de production de ma déclaration de revenus (6,8 par téléphone, 6,9 en ligne, par rapport à 6,3 par courrier).
    • L’Agence est serviable (6,8, 6,7, par rapport à 6,0).
  • Les Canadiens qui vivent au Québec ont donné une cote plus favorable à l’Agence pour chaque mesure de serviabilité par rapport à ceux des autres régions du pays :
    • L’Agence facilite le processus de production de ma déclaration de revenus (7,3 Québec par rapport à 6,6 région de l’Atlantique, 6,8 Ontario, 6,6 Manitoba/Saskatchewan, 6,7 Alberta, 6,5 Colombie-Britannique).
    • L’Agence est serviable (7,2 par rapport à 6,5, 6,4, 6,3, 6,5 et 6,3).
  • Les répondants nés à l’extérieur du Canada avaient tendance à fournir des cotes plus élevées pour chaque mesure par rapport à ceux qui sont nés au Canada :
    • L’Agence facilite le processus de production de mes déclarations de revenus (7,6 par rapport à 6,6).
    • L’Agence est serviable (7,4 par rapport à 6,3).
  • Les répondants âgés de 18 à 24 ans (7,6) étaient plus susceptibles d’être d’accord que l’Agence est serviable par rapport à ceux âgés de 25 à 34 ans (6,6), de 35 à 49 ans (6,5), de 50 à 64 ans (6,4) ou de 65 ans ou plus (6,6).
  • Les femmes étaient plus susceptibles d’être d’accord que l’Agence facilite le processus de production des déclarations de revenus par rapport aux hommes (7,0 par rapport à 6,7).
  • Les personnes ayant des études universitaires étaient plus susceptibles d’être d’accord que l’Agence est serviable par rapport à celles qui ont fait des études dans une école de métiers ou un collège (6,8 par rapport à 6,4).
  • Les Canadiens ayant un revenu de ménage de moins de 40 000 $ (6,9), de 40 000 $ à moins de 80 000 $ (6,7), ou de 80 000 $ à moins de 150 000 $ (6,6) étaient plus susceptibles d’être d’accord que l’Agence est serviable par rapport à ceux qui gagnent un revenu de 150 000 $ ou plus (6,1).

Incidence de la hausse du coût de la vie.

En utilisant la même échelle de 1 à 10, 1 étant « tout à fait en désaccord » et 10 étant « tout à fait d’accord », on a demandé aux Canadiens si l’augmentation du coût de la vie avait une incidence négative sur les finances de leur ménage.
Près des trois quarts des Canadiens avaient un niveau élevé d’accord (cotes de 8 à 10) selon lequel les finances de leur ménage étaient touchées de façon négative (70 %). Un autre 22 % ont dit que l’incidence sur leurs finances a été modérée (cotes de 4 à 7), tandis que 7 % ont indiqué que l’incidence a été relativement faible (cotes de 1 à 3). Ces classements ont donné lieu à une cote moyenne de 8,1, ce qui représente une cote d’accord moyenne élevée.

Tableau 8. Perceptions des finances des ménages

Base : (Population générale) Tous les répondants (n = 2 407)

L’augmentation du coût de la vie a une incidence négative sur les finances de mon ménage. (B-3o)  Total
N = 2 407
< 40 000 $
N = 579
40 000 $ – moins de 80 000 $
N = 623
80 000 $ – moins de 150 000 $
N = 591
150 000 $ et plus
N = 333
8 – 10 70 % 71 % 71 % 72 % 63 %
4 – 7 22 % 20 % 22 % 21 % 25 %
1 – 3 7 % 7 % 5 % 6 % 11 %
Je ne sais pas/Refus 2 % 1 % 2 % 1 % 1 %
Moyenne 8,1 8,2 8,3 8,2 7,6
B-3. Comment évalueriez-vous l’Agence pour chacun des énoncés suivants en fonction de vos impressions générales? Veuillez utiliser une échelle de 1 à 10, où 1 signifie que vous êtes « tout à fait en désaccord » et 10 signifie que vous êtes « tout à fait d’accord ».

Les différences notables entre les sous-groupes comprennent ce qui suit :

  • Les Canadiens ayant un revenu de ménage de moins de 40 000 $ (8,2), de 40 000 $ à moins de 80 000 $ (8,3), ou de 80 000 $ à moins de 150 000 $ (8,2) étaient plus susceptibles d’être d’accord que l’augmentation du coût de la vie a une incidence négative sur les finances de leur ménage par rapport à ceux qui gagnent 150 000 $ ou plus (7,6).
  • Les personnes vivant en Alberta (8,8) se démarquent comme étant particulièrement susceptibles d’être d’accord que l’inflation a une incidence sur leurs finances par rapport aux Canadiens qui vivent au Québec (7,9), en Ontario (8,0), en Colombie-Britannique (8,2) et au Canada atlantique (8,3).
  • Les Canadiens âgés de 18 à 24 ans (8,2), de 25 à 34 ans (8,5), de 35 à 49 ans (8,5) et de 50 à 64 ans (8,1) étaient plus susceptibles d’être d’accord que ceux âgés de 65 ans ou plus (7,5).
  • Les répondants ayant fait des études dans une école de métiers ou un collège (8,3) ou une université (8,2) étaient plus susceptibles d’être d’accord que ceux ayant un diplôme d’études secondaires (7,9).
  • Les Canadiens qui ont évalué le rendement global du gouvernement comme étant médiocre (cotes de 1 à 3) (8,5) étaient plus susceptibles d’être d’accord que ceux qui ont évalué le rendement comme étant neutre (cotes de 4 à 7) (8,1) ou bon (cotes de 8 – 10) (7,8).

Information et protection des renseignements personnels

En utilisant une échelle de 1 à 10, 1 étant « tout à fait en désaccord » et 10 étant « tout à fait d’accord », on a demandé aux Canadiens d’évaluer leur niveau de confiance à l’égard de l’Agence en ce qui a trait au traitement de leurs renseignements personnels de façon appropriée.
Près de trois répondants sur cinq avaient un niveau de confiance élevé (59 %, cotes de 8 à 10), tandis que 30 % ont exprimé une confiance modérée (cotes de 4 à 7). En revanche, une personne sur dix (9 %) a exprimé un faible niveau de confiance à l’égard de l’Agence qui traite les renseignements personnels de façon appropriée (cotes de 1 à 3). Ces cotes ont donné lieu à une cote d’accord moyenne de 7,4, ce qui représente une cote d’accord modérément élevée.

Tableau 9. Protection des renseignements personnels

Base : (Population générale) Tous les répondants (n = 2 407)

Énoncés d’impression 8 – 10 4 – 7 1 – 3 SP/RR Moyenne
J’ai confiance que l’Agence traitera mes renseignements personnels de manière appropriée. (B-3l) 59 % 30 % 9 % 2 % 7,4
B-3. Comment évalueriez-vous l’Agence pour chacun des énoncés suivants en fonction de vos impressions générales? Veuillez utiliser une échelle de 1 à 10, où 1 signifie que vous êtes « tout à fait en désaccord » et 10 signifie que vous êtes « tout à fait d’accord ».

Parmi les groupes démographiques, certaines différences intéressantes sont ressorties :

  • Les répondants vivant au Québec (7,9) ont encore une fois donné une cote plus positive à l’Agence par rapport à ceux qui vivent en Colombie-Britannique (7,3), en Ontario (7,3), en Alberta (7,3), au Canada atlantique (7,3), ou au Manitoba ou en Saskatchewan (7,2).
  • Les Canadiens âgés de 18 à 24 ans (8,0) ont attribué des cotes moyennes plus élevées que ceux de 35 à 49 ans (7,4), de 50 à 64 ans (7,1) ou de 65 ans ou plus (7,5).
  • Les Canadiens ayant fait des études universitaires (7,7) ont attribué des cotes plus élevées que ceux ayant fait des études secondaires (7,4), et des études dans une école de métiers ou un collège (7,1).
  • Les répondants nés à l’extérieur du Canada ont attribué une cote plus élevée que ceux nés au Canada (7,8 par rapport à 7,3).
  • Les étudiants (7,9), les répondants qui travaillent à temps partiel (7,8), à temps plein (7,5) ou les retraités (7,4) ont fourni des cotes moyennes plus élevées que ceux qui étaient des travailleurs indépendants (6,8).
  • Les Canadiens qui ont évalué le rendement global de l’Agence comme étant bon (cotes de 8 à 10) [8,8] ont attribué une cote moyenne plus élevée que ceux qui ont indiqué que le rendement global était neutre (cotes de 4 à 7) [7,3] ou médiocre (cotes de 1 à 3) [4,1].

Égalité et équité

On a demandé aux Canadiens dans quelle mesure ils étaient d’accord avec une série d’énoncés liés à l’égalité et à l’équité en fonction de leurs perceptions de l’Agence. On leur a demandé d’utiliser une échelle de 1 à 10, 1 étant « tout à fait en désaccord » et 10, « tout à fait d’accord ».
Près des trois quarts des répondants (73 %) étaient tout à fait d’accord que les personnes reconnues coupables de fraude fiscale devraient faire face à des pénalités égales, peu importe qui elles sont. Six répondants sur dix (63 %) ont également convenu que l’Agence suppose que les contribuables déclarent leurs impôts avec exactitude, à moins qu’il y ait une preuve du contraire, tandis que beaucoup moins d’entre eux ont convenu que l’Agence traite les contribuables de façon équitable (38 %) et que l’Agence traite tout le monde de la même façon (38 %).

Tableau 10. Perceptions de l’égalité et de l’équité

Base : (Population générale) Tous les répondants (n = 2 407)/échantillon fractionné, module de service (n = 1 202)/module d’observation (1 205)

Énoncés d’impression 8 – 10 4 – 7 1 – 3 SP/RR Moyenne
Les personnes reconnues coupables de fraude fiscale devraient faire face à la même pénalité, peu importe qui elles sont. (F-6i) 73 % 14 % 10 % 2 % 8,2
L’Agence présume que les contribuables déclarent leurs impôts avec exactitude jusqu’à preuve du contraire. (E-5a) 63 % 26 % 4 % 7 % 7,9
L’ARC traite les contribuables avec équité. (B-3i) 38 % 42 % 16 % 4 % 6,4
L’Agence traite tout le monde de la même façon. (B-3n) 38 % 37 % 17 % 8 % 6,3
B-3. Comment évalueriez-vous l’Agence pour chacun des énoncés suivants en fonction de vos impressions générales? Veuillez utiliser une échelle de 1 à 10, où 1 signifie que vous êtes « tout à fait en désaccord » et 10 signifie que vous êtes « tout à fait d’accord »./F-6. Veuillez indiquer si vous êtes d’accord ou en désaccord avec chacun des énoncés suivants. Veuillez utiliser une échelle de 1 à 10, où 1 signifie que vous êtes « tout à fait en désaccord » et 10 signifie que vous êtes « tout à fait d’accord ». /E-5. Je vais maintenant vous lire quelques énoncés. Pour chacun des énoncés, veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d’accord ou en désaccord sur une échelle de 1 à 10, où 1 signifie « tout à fait en désaccord » et 10 signifie « tout à fait d’accord ».

Lors de la comparaison des cotes moyennes entre les sous-groupes pertinents, les éléments suivants sont ressortis :

  • Les répondants qui ont évalué le rendement global de l’Agence comme étant bon (cotes de 8 à 10) étaient plus susceptibles d’être d’accord que :
    • L’Agence suppose que les contribuables déclarent leurs impôts avec exactitude (8,8 par rapport à 7,7 de ceux qui évaluent l’Agence entre 4 et 7, et 5,6 de ceux qui évaluent l’Agence entre 1 et 3).
    • L’Agence traite les contribuables de façon équitable (8,0 par rapport à 6,2 et 2,7, respectivement).
    • L’Agence traite tout le monde de la même façon (7,9 par rapport à 6,1 et 3,0).
  • Les Québécois étaient plus susceptibles d’être d’accord avec les énoncés suivants que ceux du Canada atlantique, de l’Ontario, du Manitoba, de la Saskatchewan, de l’Alberta ou de la Colombie-Britannique :
    • L’Agence traite tout le monde de la même façon (7,0 par rapport à 5,9, 6,2, 6,0, 6,4 et 5,9).
    • L’Agence traite les contribuables de façon équitable (6,9 par rapport à 6,3, 6,3, 6,1, 6,4, 6,1).
  • Les répondants qui sont nés à l’extérieur du Canada étaient plus susceptibles de convenir que :
    • L’Agence suppose que les contribuables déclarent leurs impôts avec exactitude (8,1 par rapport à 7,8 de ceux qui sont nés au Canada).
    • L’Agence traite tout le monde de la même façon (7,1 par rapport à 6,0, respectivement).
    • L’Agence traite les contribuables de façon équitable (7,0 par rapport à 6,2).

Ouverture et transparence

On a demandé aux Canadiens d’indiquer, en fonction de leurs perceptions de l’Agence, leur niveau d’accord avec une série d’énoncés sur l’ouverture et la transparence. Pour ce faire, ils devaient utiliser une échelle de 1 à 10, la cote 1 signifiant « tout à fait en désaccord » et la cote 10, « tout à fait en accord » :
Environ la moitié des répondants étaient tout à fait d’accord (cotes de 8 à 10) que l’Agence se tient responsable des renseignements écrits qu’elle fournit (55 %) et que l’Agence appuie l’accessibilité des produits du gouvernement et du service à la clientèle (49 %). Plus d’un cinquième des répondants (21 %) étaient tout à fait d’accord pour dire que l’Agence est transparente quant à la façon dont elle poursuit ceux qui pourraient devoir de l’impôt, tandis que autant (23 %) étaient en désaccord (cotes de 1 à 3). Dans l’ensemble, chaque mesure d’ouverture et de transparence a reçu une cote d’accord moyenne qui se situe dans la fourchette neutre.

Tableau 11. Perceptions d’ouverture et de transparence
Base : (Population générale) Échantillon fractionné, module de service (n = 1 202)/module d’observation (1 205)

Énoncés d’impression 8 – 10 4 – 7 1 – 3 SP/RR Moyenne
L’Agence se tient responsable des renseignements écrits qu’elle fournit. (E-5e) 55 % 30 % 6 % 10 % 7,6
L’Agence appuie le fait de rendre les produits du gouvernement et le service à la clientèle accessibles pour tous. (E-5f) 49 % 36 % 8 % 7 % 7,2
L’Agence est transparente avec le public quant à la façon dont elle poursuit ceux qui pourraient devoir de l’impôt. (F-6j) 21 % 44 % 23 % 12 % 5,4
F-6. Veuillez indiquer si vous êtes d’accord ou en désaccord avec chacun des énoncés suivants. Veuillez utiliser une échelle de 1 à 10, où 1 signifie que vous êtes « tout à fait en désaccord » et 10 signifie que vous êtes « tout à fait d’accord ». /E-5. Je vais maintenant vous lire quelques énoncés. Pour chacun des énoncés, veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d’accord ou en désaccord sur une échelle de 1 à 10, où 1 signifie « tout à fait en désaccord » et 10 signifie « tout à fait d’accord ».

Une analyse supplémentaire des sous-groupes de ces énoncés révèle ce qui suit :

  • Les répondants qui sont nés à l’extérieur du Canada avaient tendance à fournir des cotes plus élevées pour les énoncés suivants que ceux qui sont nés au Canada :
    • L’Agence se tient responsable des renseignements écrits qu’elle fournit (8,2 par rapport à 7,4).
    • L’Agence appuie l’accessibilité des produits et des services (7,9 par rapport à 6,9).
    • L’Agence est transparente quant à la poursuite de ceux qui pourraient devoir de l’impôt (6,2 par rapport à 5,1).
  • Les Canadiens vivant au Québec étaient plus susceptibles d’être d’accord avec les énoncés suivants que ceux vivant au Canada atlantique, en Ontario, au Manitoba, en Saskatchewan, en Alberta ou en Colombie-Britannique :
    • L’Agence se tient responsable des renseignements écrits (8,3 par rapport à 7,6, 7,4, 6,9, 7,2, 7,7).
    • L’Agence est transparente quant à la poursuite de ceux qui pourraient devoir de l’impôt (6,0 par rapport à 5,2, 5,2, 5,0, 5,3, 5,1).
  • Les répondants dont le revenu du ménage était inférieur à 40 000 $ (7,6) ont fourni des cotes moyennes plus élevées pour les produits du gouvernement et le service à la clientèle accessibles que ceux qui gagnent 80 000 $ à 150 000 $ (7,1), ou 150 000 $ ou plus (7,0).
  • Ceux qui gagnent moins de 40 000 $ (5,9) étaient également plus susceptibles de fournir des cotes plus élevées en moyenne pour la transparence publique par rapport à ceux qui gagnent de 40 000 $ à moins de 80 000 $ (5,3), de 80 000 $ à 150 000 $ (5,2), ou 150 000 $ ou plus (4,9).
  • Les répondants ayant fait des études universitaires ont obtenu des cotes moyennes plus élevées en matière de responsabilisation que ceux ayant fait des études secondaires (7,8 par rapport à 7,2).
  • Inversement, les personnes ayant fait des études secondaires (5,9) étaient plus susceptibles de croire que l’Agence est transparente avec le public par rapport à celles qui ont fait des études à une école de métiers ou à un collège (5,3) ou des études universitaires (5,2).
  • Les répondants âgés de 18 à 24 ans (6,4) étaient plus susceptibles de fournir une cote moyenne plus élevée pour la transparence avec le public que ceux âgés de 25 à 34 ans (5,4), de 35 à 49 ans (5,4), de 50 à 64 ans (4,9) ou de 65 ans ou plus (5,3).

Petites et moyennes entreprises (PME)

Perceptions générales

On a d’abord demandé aux petites et moyennes entreprises (PME) d’évaluer le rendement global du gouvernement du Canada en utilisant une échelle de 1 à 10, où 1 signifiait « médiocre » et 10, « excellent ». Plus de deux répondants sur cinq (43 %) estimaient que le rendement global est bon (cotes de 8 à 10), et une proportion semblable (40 %) a attribué des cotes neutres (cotes de 4 à 7). En revanche, très peu d’entre eux ont décrit le rendement global comme étant médiocre (15 %, cotes de 1 à 3). Ces évaluations se traduisent par une cote moyenne de 6,5, soit une cote neutre.

Tableau 12. Rendement global du gouvernement du Canada

Base : (PME) Tous les répondants (n = 806)

Cote globale  Total
N = 806
En activité depuis 10 ans ou moins
N = 445
En activité depuis plus de 10 ans
N = 357
Propriétaire unique
N = 396
Partenariat
N = 139
Entreprise constituée en société
N = 118
8 – 10 (bon) 43 % 51 % 34 % 34 % 61 % 12 %
4 – 7 (neutre) 40 % 37 % 44 % 48 % 32 % 50 %
1 – 3 (médiocre) 15 % 11 % 21 % 16 % 6 % 35 %
Je ne sais pas/Refus 2 % 1 % 2 % 2 % - 3 %
Moyenne 6,5 7,0 6,0 6,2 7,6 4,7
BB-0. Pour commencer, comment évalueriez-vous le rendement global du gouvernement du Canada dans son ensemble? Veuillez utiliser une échelle de 1 à 10, où 1 signifie que vous êtes « tout à fait insatisfait » et où 10 signifie que vous êtes « tout à fait satisfait ».

À la suite d’une comparaison du rendement global du gouvernement du Canada dans l’ensemble des sous-groupes pertinents, les tendances suivantes sont ressorties :

On a demandé aux PME canadiennes de fournir une cote sur le rendement global de l’Agence en utilisant une échelle de 1 à 10, où 1 signifiait « médiocre » et 10, « excellent ». La moitié des répondants (52 %) estimaient que le rendement de l’Agence est bon (cotes de 8 à 10), tandis que 37 % des répondants ont attribué des cotes neutres (cotes de 4 à 7). Moins d’un répondant sur dix (9 %) décrivait le rendement global comme étant médiocre (cotes de 1 à 3). Ces cotes ont donné lieu à une cote moyenne de 7,1 pour les PME.

Tableau 13. Rendement global de l’Agence

Base : (PME) Tous les répondants (n = 806)

Cote globale  Total
N = 806
En activité depuis 10 ans ou moins
N = 445
En activité depuis plus de 10 ans
N = 357
Propriétaire unique
N = 396
Partenariat
N = 139
Entreprise constituée en société
N = 118
8 – 10 (bon) 52 % 63 % 40 % 45 % 71 % 19 %
4 – 7 (neutre) 37 % 29 % 47 % 43 % 24 % 58 %
1 – 3 (médiocre) 9 % 8 % 11 % 9 % 4 % 22 %
Je ne sais pas/Refus 1 % 1 % 2 % 2 % 1 % 1 %
Moyenne 7,1 7,6 6,6 6,8 8,0 5,5
BB-1. Comment évalueriez-vous le rendement global de l’Agence? Veuillez utiliser une échelle de 1 à 10, où 1 signifie que vous êtes « tout à fait insatisfait » et où 10 signifie que vous êtes « tout à fait satisfait ».

À la suite d’une comparaison du rendement global de l’Agence parmi les sous-groupes pertinents, les tendances suivantes sont ressorties :

On a ensuite demandé aux répondants d’expliquer leur cote. Les cotes globales étaient surtout attribuables à l’expérience de service à la clientèle (bon service à la clientèle – 28 %; mauvais service à la clientèle – 20 %), au mauvais rendement global (8 %) et à la qualité ou fonctionnalité du site Web de l’Agence (6 %).

Tableau 14. Raison de l’évaluation du rendement global

Base : (PME) Répondants qui ont fourni une évaluation valide (n = 795)

Raison de l’évaluation  Total
N = 795
8 – 10
Bon
N = 422
4 – 7 Neutre
N = 299
1 – 3
Faible  
N = 74
Bon service ou service à la clientèle 28 % 39 % 17 % 7 %
Mauvais service ou service à la clientèle 20 % 4 % 34 % 57 %
Rendement inefficace ou médiocre 8 % 4 % 11 % 19 %
Site Web médiocre 6 % 2 % 12 % 9 %
Mentions négatives (« prend trop de temps », « je les déteste », etc.) 5 % 1 % 6 % 22 %
Facilité d’utilisation, simplicité ou traitement facile 5 % 8 % 2 % -
Service lent 4 % < 1 % 8 % 9 %
Neutre 4 % 2 % 7 % -
Bon site Web ou portail en ligne 3 % 4 % 2 % -
Sécuritaire ou fiable 2 % 3 % 1 % -
Bonne réputation 1 % 1 % - -
Mentions positives (« bon », « j’aime », « excellent », etc.) 1 % 1 % < 1 % -
L’économie s’améliore < 1 % < 1 % - -
Rien 32 % 45 % 19 % 8 %
Autre 1 % 1 % 2 % 1 %
B-2. Pourquoi évaluez-vous le rendement de l’Agence en donnant une cote de [RÉPONSE À BB-1] sur 10?

Lorsque l’on compare les réponses entre les répondants qui ont attribué une bonne cote à l’Agence (cotes de 8 à 10), une cote neutre (cotes de 4 à 7) ou une cote médiocre (cotes de 1 à 3), les tendances suivantes ressortent :

Confiance à l’égard de l’Agence

On a demandé aux répondants de décrire la mesure dans laquelle ils font confiance à l’Agence en utilisant une échelle de 1 à 7, où 1 représente un « manque de confiance total » et 7 une « confiance totale ». Près de la moitié des PME canadiennes interrogées (48 %) ont exprimé un niveau élevé de confiance à l’égard de l’Agence (cotes de 6 à 7), tandis que 43 % ont exprimé un niveau de confiance modéré (cotes de 3 à 5). Moins d’une PME sur dix a exprimé un faible niveau de confiance (8 %), ce qui donne une cote moyenne neutre de 5,1.

Tableau 15. Confiance globale envers l’Agence

Base : (PME) Tous les répondants (n = 806)

Cote de confiance (sur 7)  Total
N = 806
En activité depuis 10 ans ou moins
N = 445
En activité depuis plus de 10 ans
N = 357
Propriétaire unique
N = 396
Partenariat
N = 139
Entreprise constituée en société
N = 118
Confiance (6-7) 48 % 56 % 37 % 44 % 59 % 22 %
Neutre (3-5) 43 % 36 % 50 % 46 % 37 % 58 %
Méfiance (1-2) 8 % 6 % 10 % 9 % 3 % 19 %
Je ne sais pas 2 % 1 % 2 % 2 % 1 % 2 %
Moyenne (sur 7) 5,1 5,4 4,7 5,0 5,5 4,1
B-4. Dans l’ensemble, dans quelle mesure faites-vous confiance à l’Agence du revenu du Canada? Veuillez évaluer l’Agence sur une échelle de 1 à 7, où 1 signifie que vous « ne lui faites pas confiance du tout » et 7 signifie que vous « lui faites entièrement confiance ».

En comparant les cotes de confiance moyennes entre les sous-groupes, les tendances suivantes sont ressorties :

On a demandé aux PME canadiennes interrogées d’indiquer, en fonction de leurs perceptions de l’Agence, leur niveau d’accord avec une série d’énoncés axés sur la fiabilité. Pour ce faire, elles devaient utiliser une échelle de 1 à 10, la cote 1 signifiant « tout à fait en désaccord » et la cote 10, « tout à fait en accord ».

Près de trois PME canadiennes interrogées sur cinq étaient fortement d’accord pour dire que les employés de l’Agence étaient dignes de confiance (57 %) et qu’ils étaient capables de bien faire leur travail (56 %). Au moins la moitié d’entre eux ont également convenu qu’ils font confiance à l’Agence pour faire ce qui est juste (53 %) et que l’Agence travaille au profit de tous les Canadiens (51 %).

Tableau 16. Perceptions de la fiabilité

Base : (PME) Tous les répondants (n = 806)

Énoncés d’impression 8 – 10 4 – 7 1 – 3 SP/RR Moyenne
Je crois que les employés de l’Agence sont dignes de confiance (B-3c.) 57 % 30 % 9 % 3 % 7,3
Les employés de l’Agence sont capables d’exercer leurs fonctions convenablement (B-3d.) 56 % 31 % 9 % 4 % 7,3
L’Agence est digne de confiance pour prendre les bonnes mesures (B-3a.) 53 % 31 % 13 % 3 % 7,0
L’Agence travaille dans l’intérêt de tous les Canadiens (B-3b.) 51 % 32 % 14 % 3 % 7,0
B-3. Comment évalueriez-vous l’Agence pour chacun des énoncés suivants en fonction de vos impressions générales? Veuillez utiliser une échelle de 1 à 10, où 1 signifie que vous êtes « tout à fait en désaccord » et 10 signifie que vous êtes « tout à fait d’accord ».

Un calcul d’indice a été établi pour obtenir une cote globale qui saisit les perceptions de la confiance à l’égard de l’Agence en se basant sur les résultats obtenus à l’aide des mesures suivantes :


Indice de confiance = SOMME (« Je peux faire confiance à l’Agence pour faire ce qui est juste » + « L’Agence travaille pour le bien de tous les Canadiens » + « J’estime que les employés de l’Agence sont dignes de confiance » + « Les employés de l’Agence sont capables de bien faire leur travail »)/4 Lors de l’évaluation des cotes globales de l’indice de confiance, la moitié des PME interrogées ont une cote élevée de l’indice de confiance (cotes de 8 à 10), 37 % ont une cote neutre (cotes de 4 à 7), tandis que 12 % ont des cotes d’indice faibles (1 à 3). La cote moyenne de l’indice de confiance est de 6,8 pour les PME.

Tableau 17. Calculs de l’indice de confiance

Base : (PME) Tous les répondants (n = 806)

Cote de l’indice de confiance  Total
N = 806
En activité depuis 10 ans ou moins
N = 445
En activité depuis plus de 10 ans
N = 357
Propriétaire unique
N = 396
Partenariat
N = 139
Entreprise constituée en société
N = 118
8 – 10 50 % 58 % 40 % 42 % 65 % 21 %
4 à < 8 37 % 33 % 43 % 44 % 29 % 50 %
1 à < 4 12 % 9 % 16 % 14 % 5 % 28 %
Je ne sais pas < 1 % - < 1 % < 1 % 1 % 1 %
Moyenne 6,8 7,2 6,3 6,5 7,6 5,3

En ce qui concerne les cotes globales de l’indice de confiance, les comparaisons dignes de mention entre les sous-groupes comprennent les suivantes :

Serviabilité de l’Agence

En plus d’évaluer une série de mesures axées sur la confiance, le sondage visait à demander aux PME canadiennes interrogées d’indiquer leur niveau d’accord avec une série d’énoncés axés sur la serviabilité. Pour ce faire, elles devaient utiliser la même échelle de 1 à 10, 1 signifiant « tout à fait en désaccord » et 10, « tout à fait en accord ».
Près des deux tiers des PME interrogées étaient tout à fait d’accord (cotes de 8 à 10) que l’Agence traite les déclarations de revenus de leur entreprise en temps opportun (65 %), tandis que 62 % étaient tout à fait d’accord pour dire que les renseignements arrivent à temps pour leur entreprise. Environ la moitié des répondants étaient tout à fait d’accord pour dire que l’Agence fournit suffisamment de renseignements pour respecter leurs obligations fiscales d’entreprise (56 %), que l’Agence facilite le processus de production de déclarations de revenus d’entreprise (56 %), que l’Agence est généralement serviable (51 %) et que l’Agence travaille fort pour aider les Canadiens avec leurs questions fiscales (49 %).

Tableau 18. Perceptions de la serviabilité

Base : (PME) Tous les répondants (n = 806)

Énoncés d’impression 8 – 10 4 – 7 1 – 3 SP/RR Moyenne
L’Agence traite mes déclarations de revenus d’entreprise en temps opportun. (B-3g) 65 % 27 % 5 % 2 % 7,8
Les renseignements fournis par l’Agence pour mon entreprise arrivent à temps. (B-3k) 62 % 30 % 6 % 2 % 7,6
L’Agence fournit suffisamment de renseignements afin que votre entreprise puisse respecter ses obligations fiscales. (B-3j) 56 % 35 % 8 % 2 % 7,4
L’Agence facilite le processus de production de mes déclarations de revenus d’entreprise. (B-3f) 56 % 31 % 10 % 2 % 7,2
L’Agence est serviable. (B-3h) 51 % 34 % 13 % 2 % 7,0
L’Agence travaille de façon soutenue pour aider les Canadiens à régler leurs questions d’impôt et de prestations (B-3e). 49 % 35 % 13 % 3 % 6,9
B-3. Comment évalueriez-vous l’Agence pour chacun des énoncés suivants en fonction de vos impressions générales? Veuillez utiliser une échelle de 1 à 10, où 1 signifie que vous êtes « tout à fait en désaccord » et 10 signifie que vous êtes « tout à fait d’accord ».

En ce qui concerne les diverses mesures de serviabilité, les différences entre les sous-groupes comprennent les suivantes :

Traiter les renseignements d’entreprise

En utilisant la même échelle de 1 à 10, 1 étant « tout à fait en désaccord » et 10 étant « tout à fait d’accord », on a demandé aux PME canadiennes interrogées d’évaluer leur niveau de confiance à l’égard de l’Agence pour traiter leurs renseignements d’entreprise de façon appropriée.
La majorité des répondants (62 %) ont exprimé un niveau de confiance élevé (cotes de 8 à 10), tandis que 27 % ont accordé une cote de confiance plus modérée (cotes de 4 à 7) et 9 % ont indiqué un faible niveau de confiance (cotes de 1 à 3). Ces cotes ont donné lieu à un niveau de confiance de 7,5 pour les PME, ce qui représente une cote d’accord neutre.

Tableau 19. Perceptions des renseignements personnels

Base : (PME) Tous les répondants (n = 806)

Énoncés d’impression 8 – 10 4 – 7 1 – 3 SP/RR Moyenne
J’ai confiance que l’Agence traitera les renseignements de mon entreprise de manière appropriée. (B-3l) 62 % 27 % 9 % 1 % 7,5
B-3. Comment évalueriez-vous l’Agence pour chacun des énoncés suivants en fonction de vos impressions générales? Veuillez utiliser une échelle de 1 à 10, où 1 signifie que vous êtes « tout à fait en désaccord » et 10 signifie que vous êtes « tout à fait d’accord ».

Parmi les différents groupes démographiques, certaines différences intéressantes sont ressorties :

Égalité et équité

On a demandé aux PME canadiennes interrogées d’indiquer, en fonction de leurs perceptions de l’Agence, leur niveau d’accord avec une série d’énoncés sur l’égalité et l’équité. Pour ce faire, ils devaient utiliser une échelle de 1 à 10, la cote 1 signifiant « tout à fait en désaccord » et la cote 10, « tout à fait en accord ».
Plus des trois quarts (77 %) étaient tout à fait d’accord (cotes de 8 à 10) que les personnes reconnues coupables de fraude fiscale devraient faire face à des pénalités égales, peu importe qui elles sont. Environ trois répondants sur cinq étaient tout à fait d’accord pour dire que l’Agence suppose que les contribuables déclarent leurs impôts avec exactitude (60 %), tandis qu’environ la moitié estiment que l’Agence traite les contribuables de façon équitable (49 %) et traite tout le monde de la même façon (49 %).
La cote d’accord moyenne la plus élevée parmi les mesures d’égalité et d’équité a été observée pour les personnes reconnues coupables de fraude fiscale, peu importe leur identité (8,4), tandis que les autres mesures ont reçu un niveau d’accord moyen (cotes de 4 à 7).

Tableau 20. Perceptions de l’égalité et de l’équité

Base : (PME) Tous les répondants (n = 806)/échantillon fractionné, module de service (n = 415)/module d’observation (391)

Énoncés d’impression 8 – 10 4 – 7 1 – 3 SP/RR Moyenne
Les personnes reconnues coupables de fraude fiscale devraient faire face à la même pénalité, peu importe qui elles sont. (F-6h) 77 % 15 % 4 % 3 % 8,4
L’Agence présume que les contribuables déclarent leurs impôts avec exactitude jusqu’à preuve du contraire. (E-5a) 60 % 27 % 5 % 7 % 7,7
L’Agence traite les contribuables de façon équitable (B-3i). 49 % 34 % 13 % 3 % 6,8
L’Agence traite tout le monde de la même façon. (B-3n) 49 % 26 % 17 % 8 % 6,8
B-3. Comment évalueriez-vous l’Agence pour chacun des énoncés suivants en fonction de vos impressions générales? Veuillez utiliser une échelle de 1 à 10, où 1 signifie que vous êtes « tout à fait en désaccord » et 10 signifie que vous êtes « tout à fait d’accord »./F-6. Veuillez indiquer si vous êtes d’accord ou en désaccord avec chacun des énoncés suivants. Veuillez utiliser une échelle de 1 à 10, où 1 signifie que vous êtes « tout à fait en désaccord » et 10 signifie que vous êtes « tout à fait d’accord ». /E-5. Je vais maintenant vous lire quelques énoncés. Pour chacun des énoncés, veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d’accord ou en désaccord sur une échelle de 1 à 10, où 1 signifie « tout à fait en désaccord » et 10 signifie « tout à fait d’accord ».

Lors de la comparaison des cotes moyennes, les tendances suivantes sont ressorties parmi les sous-groupes pertinents :

Ouverture et transparence

On a demandé aux PME canadiennes interrogées d’indiquer, en fonction de leurs perceptions de l’Agence, leur niveau d’accord avec une série d’énoncés sur l’ouverture et la transparence. Pour ce faire, ils devaient utiliser une échelle de 1 à 10, la cote 1 signifiant « tout à fait en désaccord » et la cote 10, « tout à fait en accord ».
Près de trois répondants sur cinq (58 %) étaient tout à fait d’accord (cotes de 8 à 10) que l’Agence se tient responsable des renseignements écrits qu’elle fournit et que l’Agence appuie l’accessibilité des produits du gouvernement et du service à la clientèle (56 %). Près de la moitié des répondants (47 %) ont convenu que l’Agence est transparente quant à la façon dont elle poursuit ceux qui pourraient devoir de l’impôt, tandis que 20 % estimaient que l’Agence n’était pas transparente (cotes de 1 à 3).
Dans l’ensemble, chaque mesure d’ouverture et de transparence a reçu un niveau neutre d’accord moyen parmi les PME (cotes de 4 à 7).

Tableau 21. Perceptions d’ouverture et de transparence

Base : (PME) Échantillon fractionné, module de service (n = 415)/module d’observation (391)

Énoncés d’impression 8 – 10 4 – 7 1 – 3 SP/RR Moyenne
L’Agence se tient responsable des renseignements écrits qu’elle fournit. (E-5e) 58 % 26 % 8 % 8 % 7,6
L’Agence appuie le fait de rendre les produits du gouvernement et le service à la clientèle accessibles pour tous. (E-5g) 56 % 30 % 8 % 6 % 7,5
L’Agence est transparente avec le public quant à la façon dont elle poursuit ceux qui pourraient devoir de l’impôt. (F-6i) 47 % 23 % 20 % 10 % 6,6
F-6. Veuillez indiquer si vous êtes d’accord ou en désaccord avec chacun des énoncés suivants. Veuillez utiliser une échelle de 1 à 10, où 1 signifie que vous êtes « tout à fait en désaccord » et 10 signifie que vous êtes « tout à fait d’accord ». /E-5. Je vais maintenant vous lire quelques énoncés. Pour chacun des énoncés, veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d’accord ou en désaccord sur une échelle de 1 à 10, où 1 signifie « tout à fait en désaccord » et 10 signifie « tout à fait d’accord ».

D’autres comparaisons de sous-groupes entre ces énoncés ont révélé ce qui suit :

Intermédiaires fiscaux

Perceptions générales

On a d’abord demandé aux intermédiaires fiscaux canadiens d’évaluer le rendement global du gouvernement du Canada en utilisant une échelle de 1 à 10, où 1 signifiait « médiocre » et 10, « excellent ». Environ un quart des répondants (28 %) estimaient que le rendement global est bon (cotes de 8 à 10), tandis que plus de la moitié (55 %) des répondants ont attribué des cotes neutres (cotes de 4 à 7). En revanche, seulement 16 % des intermédiaires fiscaux ont évalué le rendement global du gouvernement du Canada comme étant médiocre (cotes de 1 à 3). Ces évaluations se traduisent par une cote moyenne de 6,0, soit une cote neutre.

Tableau 22. Rendement global du gouvernement du Canada

Base : (Intermédiaires fiscaux) Tous les répondants (n = 810)

Cote globale  Total
N = 810
En activité depuis 10 ans ou moins
N = 427
En activité depuis plus de 10 ans
N = 363
Communication au cours des 12 derniers mois
N = 506
Aucune communication au cours des 12 derniers mois
N = 251
8 – 10 (bon) 28 % 31 % 25 % 31 % 25 %
4 – 7 (neutre) 55 % 52 % 58 % 52 % 59 %
1 – 3 (médiocre) 16 % 16 % 17 % 17 % 14 %
Je ne sais pas/Refus 1 % 1 % 1 % 1 % 2 %
Moyenne 6,0 6,1 5,8 6,0 6,0
BB-0. Pour commencer, comment évalueriez-vous le rendement global du gouvernement du Canada dans son ensemble? Veuillez utiliser une échelle de 1 à 10, où 1 signifie que vous êtes « tout à fait insatisfait » et où 10 signifie que vous êtes « tout à fait satisfait ».

À la suite d’une comparaison du rendement global du gouvernement du Canada dans les sous-groupes pertinents, les tendances suivantes sont ressorties des cotes de rendement moyennes :

On a demandé aux intermédiaires fiscaux canadiens d’évaluer le rendement global de l’Agence en utilisant une échelle de 1 à 10, où 1 signifiait « médiocre » et 10, « excellent ». Le tiers des répondants (34 %) estimaient que le rendement de l’Agence est bon (cotes de 8 à 10), tandis que 51 % des répondants ont attribué des cotes neutres (cotes de 4 à 7). Plus d’un répondant sur dix (14 %) décrivait le rendement global comme étant médiocre (cotes de 1 à 3). Ces évaluations se traduisent par une cote moyenne de 6,4, soit une cote neutre, pour les intermédiaires fiscaux.

Tableau 23. Rendement global de l’Agence

Base : (Intermédiaires fiscaux) Tous les répondants (n = 810)

Cote globale  Total
N = 810
En activité depuis 10 ans ou moins
N = 427
En activité depuis plus de 10 ans
N = 363
Communication au cours des 12 derniers mois
N = 506
Aucune communication au cours des 12 derniers mois
N = 251
8 – 10 (bon) 34 % 35 % 33 % 35 % 36 %
4 – 7 (neutre) 51 % 52 % 51 % 49 % 54 %
1 – 3 (médiocre) 14 % 13 % 15 % 16 % 9 %
Je ne sais pas/Refus < 1 % < 1 % 1 % - 1 %
Moyenne 6,4 6,5 6,2 6,3 6,6
BB-1. Comment évalueriez-vous le rendement global de l’Agence? Veuillez utiliser une échelle de 1 à 10, où 1 signifie que vous êtes « tout à fait insatisfait » et où 10 signifie que vous êtes « tout à fait satisfait ».

À la suite d’une comparaison du rendement global de l’Agence dans les sous-groupes pertinents, les tendances suivantes sont ressorties des cotes de rendement moyennes :

En fonction de leur évaluation du rendement global, les répondants ont ensuite été invités à expliquer leur raisonnement. Les cotes globales sont surtout attribuables à l’expérience de service à la clientèle (bon service à la clientèle – 29 %; mauvais service à la clientèle – 29 %), à l’inefficacité générale (13 %), à la lenteur du service (8 %), aux mentions négatives (7 %) et à la qualité ou à la fonctionnalité du site Web de l’Agence (7 %).

Tableau 24. Raison de l’évaluation du rendement global

Base : (Intermédiaires fiscaux) Répondants qui ont fourni une évaluation valide (n = 806)

Raison de l’évaluation  Total
N = 806
8 – 10
Bon
N = 279
4 – 7 Neutre
N = 417
1 – 3
Faible  
N = 110
Bon service ou service à la clientèle 29 % 56 % 19 % 1 %
Mauvais service ou service à la clientèle 29 % 11 % 34 % 55 %
Rendement inefficace ou médiocre 13 % 5 % 15 % 21 %
Service lent 8 % 3 % 9 % 15 %
Mentions négatives (« prend trop de temps », « je les déteste », etc.) 7 % 2 % 8 % 15 %
Site Web médiocre 7 % 3 % 8 % 11 %
Neutre 5 % 5 % 5 % 4 %
Mentions positives (« bon », « j’aime », « excellent », etc.) 3 % 5 % 2 % -
Facilité d’utilisation, simplicité ou traitement facile 2 % 6 % 1 % -
Bon site Web ou portail en ligne 2 % 3 % 2 % -
Sécuritaire ou fiable 2 % 4 % 1 % -
Les emplois à faible rémunération ont plus de besoins < 1 % - < 1 % -
L’économie s’améliore < 1 % < 1 % - -
Rien 14 % 15 % 14 % 8 %
Autre 1 % 1 % 1 % 1 %
Je ne sais pas/Refus < 1 % - 1 % 1 %
B-2. Pourquoi évaluez-vous le rendement de l’Agence en donnant une cote de [RÉPONSE À BB-1] sur 10?

Lorsque l’on compare les raisons pour lesquelles les répondants jugent le rendement global comme étant bon (cotes de 8 à 10), neutre (cotes de 4 à 7) ou médiocre (cotes de 1 à 3), les tendances suivantes ressortent :

Confiance à l’égard de l’Agence

On a demandé aux répondants de décrire la mesure dans laquelle ils font confiance à l’Agence en utilisant une échelle de 1 à 7, où 1 représente un « manque de confiance total » et 7 une « confiance totale ». Près du tiers des intermédiaires fiscaux canadiens interrogés (32 %) ont exprimé leur confiance en l’Agence (cotes de 6 à 7), et la plupart (57 %) ont fourni une cote neutre (cotes de 3 à 5). Moins d’un Canadien sur dix a accordé une cote de 1 à 2 à l’Agence (9 %), ce qui a donné une cote moyenne neutre de 4,7.

Tableau 25. Confiance globale envers l’Agence

Base : (Intermédiaires fiscaux) Tous les répondants (n = 810)

Cote de confiance (sur 7)  Total
N = 810
En activité depuis 10 ans ou moins
N = 427
En activité depuis plus de 10 ans
N = 363
Communication au cours des 12 derniers mois
N = 506
Aucune communication au cours des 12 derniers mois
N = 251
Confiance (6-7) 32 % 31 % 33 % 33 % 31 %
Neutre (3-5) 57 % 57 % 56 % 55 % 60 %
Méfiance (1-2) 9 % 10 % 9 % 11 % 6 %
Je ne sais pas 2 % 2 % 2 % 1 % 2 %
Moyenne
(sur 7)
4,7 4,7 4,7 4,7 4,7
B-4. Dans l’ensemble, dans quelle mesure faites-vous confiance à l’Agence du revenu du Canada? Veuillez évaluer l’Agence sur une échelle de 1 à 7, où 1 signifie que vous « ne lui faites pas confiance du tout » et 7 signifie que vous « lui faites entièrement confiance ».

À la suite d’une comparaison de la confiance globale envers l’Agence dans les sous-groupes pertinents, les tendances suivantes sont ressorties des cotes de confiance moyennes :

On a demandé aux intermédiaires fiscaux d’indiquer, en fonction de leurs perceptions de l’Agence, leur niveau d’accord avec une série d’énoncés axés sur la confiance. Pour ce faire, ils devaient utiliser une échelle de 1 à 10, la cote 1 signifiant « tout à fait en désaccord » et la cote 10, « tout à fait en accord ».
Près de la moitié des intermédiaires fiscaux sont fortement d’accord (cotes de 8 à 10) pour dire que les employés de l'Agence étaient à la fois dignes de confiance (45 %) et capables de bien faire leur travail (45 %). Deux autres intermédiaires fiscaux sur cinq sont d’accord pour dire que l’Agence fait ce qui est juste (43 %) et qu’elle travaille pour le bien de tous les Canadiens (40 %).
Dans l’ensemble, la cote moyenne pour chacune des quatre mesures mises à l’essai se situait dans le niveau neutre d’accord (cotes de 4 à 7).

Tableau 26. Perceptions de la fiabilité

Base : (Intermédiaires fiscaux) Tous les répondants (n = 810)

Énoncés d’impression 8 – 10 4 – 7 1 – 3 SP/RR Moyenne
Je crois que les employés de l’Agence sont dignes de confiance (B-3c.) 45 % 42 % 12 % 1 % 6,7
Les employés de l’Agence sont capables d’exercer leurs fonctions convenablement (B-3d.) 45 % 41 % 12 % 1 % 6,7
L’Agence est digne de confiance pour prendre les bonnes mesures (B-3a.) 43 % 42 % 14 % 1 % 6,5
L’Agence travaille dans l’intérêt de tous les Canadiens (B-3b.) 40 % 43 % 16 % 1 % 6,4
B-3. Comment évalueriez-vous l’Agence pour chacun des énoncés suivants en fonction de vos impressions générales? Veuillez utiliser une échelle de 1 à 10, où 1 signifie que vous êtes « tout à fait en désaccord » et 10 signifie que vous êtes « tout à fait d’accord ».

Un calcul d’indice a été établi pour obtenir une cote globale afin d’évaluer les perceptions de la confiance à l’égard de l’Agence en se basant sur les résultats obtenus à l’aide des mesures suivantes :

Indice de confiance = SOMME (« Je peux faire confiance à l’Agence pour faire ce qui est juste » + « L’Agence travaille pour le bien de tous les Canadiens » + « J’estime que les employés de l’Agence sont dignes de confiance » + « Les employés de l’Agence sont capables de bien faire leur travail »)/4 Lors de l’évaluation des cotes globales de l’indice de confiance, plus d’un tiers des intermédiaires fiscaux canadiens (34 %) ont fourni une cote élevée de l’indice de confiance (cotes de 8 à 10), tandis que 53 % ont fourni une cote neutre (cotes de 4 à 7) et 13 % ont fourni une cote de confiance faible (cotes de 1 à 3). La cote moyenne de l’indice de confiance est de 6,2.

Tableau 27. Calculs de l’indice de confiance

Base : (Intermédiaires fiscaux) Tous les répondants (n = 810)

Cote de l’indice de confiance  Total
N = 810
En activité depuis 10 ans ou moins
N = 427
En activité depuis plus de 10 ans
N = 363
Communication au cours des 12 derniers mois
N = 506
Aucune communication au cours des 12 derniers mois
N = 251
8 – 10 34 % 35 % 33 % 35 % 34 %
4 à < 8 53 % 54 % 51 % 51 % 57 %
1 à < 4 13 % 11 % 16 % 14 % 9 %
Je ne sais pas < 1 % - < 1 % - < 1 %
Moyenne 6,2 6,4 6,1 6,2 6,4

En ce qui concerne les cotes globales de l’indice de confiance, les comparaisons dignes de mention entre les sous-groupes comprennent les suivantes :

Les intermédiaires fiscaux dont le but de la communication la plus récente consistait à obtenir des renseignements généraux ont fourni des cotes moyennes plus élevées que ceux dont la communication était liée à une vérification, à un différend ou à un examen (6,8 par rapport à 5,8).

Serviabilité de l’Agence

En plus d’évaluer une série d’énoncés axés sur la confiance, le sondage visait à demander aux intermédiaires fiscaux canadiens d’indiquer leur niveau d’accord avec des énoncés liés à la serviabilité. Pour ce faire, ils devaient utiliser la même échelle de 1 à 10, 1 signifiant « tout à fait en désaccord » et 10, « tout à fait en accord ».

Près de la moitié des intermédiaires fiscaux étaient fortement d’accord pour dire que l’Agence traite les déclarations de revenus de leurs clients en temps opportun (48 %). Environ deux répondants sur cinq étaient d’accord pour dire que les renseignements de l’Agence arrivent à temps pour les clients (44 %) et qu’ils s’avèrent suffisants pour respecter les obligations fiscales des clients (42 %), tandis que des proportions semblables conviennent que l’Agence est serviable (43 %), facilite le processus de production des déclarations de revenus des entreprises (42 %) et travaille fort pour aider les Canadiens (41 %).

La capacité de l’Agence à traiter les déclarations de revenus de ses clients en temps opportun (6,9) a été légèrement supérieure aux autres mesures lors de l’examen des cotes moyennes.

Tableau 28. Perceptions de la serviabilité

Base : (Intermédiaires fiscaux) Tous les répondants (n = 810)

Énoncés d’impression 8 – 10 4 – 7 1 – 3 SP/RR Moyenne
L’Agence traite les déclarations des entreprises en temps opportun. (B-3-g) 48 % 41 % 10 % 2 % 6,9
Les renseignements fournis par l’Agence pour mes clients d’entreprise arrivent à temps. (B-3k) 44 % 43 % 10 % 3 % 6,8
L’Agence est serviable. (B-3h) 43 % 41 % 15 % 1 % 6,6
L’Agence fournit suffisamment de renseignements afin que vos clients d’entreprises puissent respecter leurs obligations fiscales. (B-3j) 42 % 44 % 11 % 2 % 6,8
L’Agence facilite le processus de production des déclarations de revenus des entreprises. (B-3f) 42 % 43 % 13 % 2 % 6,7
L’Agence travaille de façon soutenue pour aider les Canadiens à régler leurs questions d’impôt et de prestations (B-3e). 41 % 46 % 13 % 1 % 6,5
B-3. Comment évalueriez-vous l’Agence pour chacun des énoncés suivants en fonction de vos impressions générales? Veuillez utiliser une échelle de 1 à 10, où 1 signifie que vous êtes « tout à fait en désaccord » et 10 signifie que vous êtes « tout à fait d’accord ».

En ce qui concerne les diverses mesures de serviabilité, les autres comparaisons entre les sous-groupes comprennent les suivantes :

Information et protection des renseignements personnels

En utilisant la même échelle de 1 à 10, 1 étant « tout à fait en désaccord » et 10 étant « tout à fait d’accord », on a demandé aux intermédiaires fiscaux canadiens interrogés de fournir leur niveau de confiance à l’égard de l’Agence pour traiter les renseignements d’entreprise de leurs clients de façon appropriée.
Près de la moitié des répondants des intermédiaires fiscaux ont indiqué qu’ils font confiance à l’Agence pour ce qui est de l’accès aux renseignements de leurs clients opérationnels (cotes de 8 à 10) (46 %). Presque autant (44 %) ont fourni une cote neutre [cotes de 4 à 7], tandis que moins de 1 sur 10 (9 %) ont fourni un faible niveau d’accord [cotes de 1 à 3]. Ces évaluations se traduisent par une cote moyenne de 7,0 pour les intermédiaires fiscaux.

Tableau 29. Perceptions des renseignements personnels

Base : (Intermédiaires fiscaux) Tous les répondants (n = 810)

Énoncés d’impression 8 – 10 4 – 7 1 – 3 SP/RR Moyenne
J’ai confiance que l’Agence traitera les renseignements de mes clients d’entreprise de manière appropriée. (B-3l) 46 % 44 % 9 % 2 % 7,0
B-3. Comment évalueriez-vous l’Agence pour chacun des énoncés suivants en fonction de vos impressions générales? Veuillez utiliser une échelle de 1 à 10, où 1 signifie que vous êtes « tout à fait en désaccord » et 10 signifie que vous êtes « tout à fait d’accord ».

D’autres comparaisons de sous-groupes parmi les cotes d’accord moyennes comprennent ce qui suit :

Égalité et équité

On a demandé aux intermédiaires fiscaux canadiens interrogés d’indiquer, en fonction de leurs perceptions de l’Agence, leur niveau d’accord avec une série d’énoncés sur l’égalité et l’équité. Pour ce faire, ils devaient utiliser une échelle de 1 à 10, la cote 1 signifiant « tout à fait en désaccord » et la cote 10, « tout à fait en accord ».
Près des deux tiers des répondants (65 %) avaient un niveau élevé d’accord (cotes de 8 à 10) selon lequel les personnes reconnues coupables de fraude fiscale devraient faire face à des pénalités égales, peu importe qui elles sont. Près de la moitié des répondants ont convenu que l’Agence suppose que les contribuables déclarent leurs impôts avec exactitude (49 %). Toutefois, moins d’entre eux ont convenu que l’Agence traite les contribuables de façon équitable (40 %) ou qu’elle offre un traitement égal à tous (40 %).

Tableau 30. Perceptions de l’égalité et de l’équité

Base : (Intermédiaires fiscaux) Tous les répondants (n = 810)/échantillon fractionné, module de service (n = 393)/module d’observation (417)

Énoncés d’impression 8 – 10 4 – 7 1 – 3 SP/RR Moyenne
Les personnes reconnues coupables de fraude fiscale devraient faire face à la même pénalité, peu importe qui elles sont. (F-6h) 65 % 26 % 6 % 3 % 7,9
L’Agence présume que les contribuables déclarent leurs impôts avec exactitude jusqu’à preuve du contraire. (E-5a) 49 % 39 % 8 % 3 % 7,2
L’Agence traite les contribuables de façon équitable (B-3i). 40 % 43 % 16 % 2 % 6,3
L’Agence traite tout le monde de la même façon. (B-3n) 40 % 40 % 17 % 4 % 6,3
B-3. Comment évalueriez-vous l’Agence pour chacun des énoncés suivants en fonction de vos impressions générales? Veuillez utiliser une échelle de 1 à 10, où 1 signifie que vous êtes « tout à fait en désaccord » et 10 signifie que vous êtes « tout à fait d’accord »./F-6. Veuillez indiquer si vous êtes d’accord ou en désaccord avec chacun des énoncés suivants. Veuillez utiliser une échelle de 1 à 10, où 1 signifie que vous êtes « tout à fait en désaccord » et 10 signifie que vous êtes « tout à fait d’accord ». /E-5. Je vais maintenant vous lire quelques énoncés. Pour chacun des énoncés, veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d’accord ou en désaccord sur une échelle de 1 à 10, où 1 signifie « tout à fait en désaccord » et 10 signifie « tout à fait d’accord ».

Lors de la comparaison des cotes moyennes entre l’égalité et l’équité, les tendances suivantes sont ressorties parmi les sous-groupes pertinents :

Ouverture et transparence

On a demandé aux intermédiaires fiscaux canadiens interrogés d’indiquer, en fonction de leurs perceptions de l’Agence, leur niveau d’accord avec une série d’énoncés sur l’ouverture et la transparence. Pour ce faire, ils devaient utiliser une échelle de 1 à 10, la cote 1 signifiant « tout à fait en désaccord » et la cote 10, « tout à fait en accord ».
Près de la moitié des répondants avaient un niveau élevé d’accord (cotes de 8 à 10) selon lequel l’Agence se tient responsable des renseignements écrits qu’elle fournit (48 %) et que l’Agence appuie l’accessibilité des produits du gouvernement et du service à la clientèle pour tous (48 %). Les intermédiaires fiscaux étaient deux fois plus susceptibles d’être d’accord (34 %) que l’Agence est transparente quant à la façon dont elle poursuit ceux qui pourraient devoir de l’impôt, que d’être en désaccord (cotes de 1 à 3) [16 %].

Tableau 31. Perceptions d’ouverture et de transparence

Base : (Intermédiaires fiscaux) échantillon fractionné, module de service (n = 393)/module d’observation (417)

Énoncés d’impression 8 – 10 4 – 7 1 – 3 SP/RR Moyenne
L’Agence se tient responsable des renseignements écrits qu’elle fournit. (E-5e) 48 % 36 % 11 % 5 % 7,0
L’Agence appuie le fait de rendre les produits du gouvernement et le service à la clientèle accessibles pour tous. (E-5g) 48 % 38 % 12 % 2 % 6,9
L’Agence est transparente avec le public quant à la façon dont elle poursuit ceux qui pourraient devoir de l’impôt. (F-6i) 34 % 41 % 16 % 9 % 6,2
F-6. Veuillez indiquer si vous êtes d’accord ou en désaccord avec chacun des énoncés suivants. Veuillez utiliser une échelle de 1 à 10, où 1 signifie que vous êtes « tout à fait en désaccord » et 10 signifie que vous êtes « tout à fait d’accord ». /E-5. Je vais maintenant vous lire quelques énoncés. Pour chacun des énoncés, veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d’accord ou en désaccord sur une échelle de 1 à 10, où 1 signifie « tout à fait en désaccord » et 10 signifie « tout à fait d’accord ».

D’autres comparaisons de sous-groupes parmi les cotes d’accord moyennes pour les mesures d’ouverture et de transparence comprennent ce qui suit :

Déclarations de revenus

Population générale

Pour évaluer le processus par lequel les Canadiens abordent leurs déclarations de revenus des particuliers, on a demandé aux répondants de préciser s’ils avaient participé à ce processus au cours de la dernière année. Près de neuf Canadiens sur dix (89 %) précisaient avoir envoyé une déclaration de revenus des particuliers au cours de la dernière année, tandis qu’un sur dix (10 %) ne l’a pas fait.

Tableau 32. Déclaration de revenus des particuliers produite au cours de la dernière année

Base : (Population générale) Tous les répondants (n = 2 407)

Production d’une déclaration de revenus des particuliers  Total
N = 2 407
ATL
N = 262
Qc
N = 553
ON/
NU
N = 800
MB
Sask.
N = 263
Alb.
T.-N.-O.
N = 219
C.-B.
Yn
N = 310
18 – 24
N = 134
25 – 34
N = 262
35 – 49
N = 537
50 – 64
N = 649
65+
N = 814
Oui 89 % 87 % 94 % 86 % 85 % 89 % 91 % 73 % 86 % 92 % 92 % 91 %
Non 10 % 12 % 6 % 13 % 12 % 11 % 8 % 24 % 12 % 7 % 8 % 8 %
Je ne sais pas/
Refus
1 % 1 % < 1 % 1 % 2 % - 1 % 3 % 1 % < 1 % < 1 % < 1 %
CG-1. Avez-vous envoyé une déclaration de revenus [QUÉBEC SEULEMENT : fédérale] au cours de la dernière année?

Les comparaisons entre les sous-groupes pertinents révèlent les tendances suivantes chez les Canadiens qui produisent des déclarations de revenus des particuliers :

On a demandé aux Canadiens qui avaient produit une déclaration de revenus des particuliers au cours de la dernière année de préciser s’ils avaient reçu de l’aide en ce qui concerne le processus de production. Plus des deux tiers des répondants (68 %) avaient reçu de l’aide pour préparer leur déclaration de revenus, tandis que près du tiers (32 %) avaient préparé eux-mêmes leur déclaration.

Tableau 33. Aide pour produire une déclaration de revenus au cours de la dernière année

Base : (Population générale) Répondants qui ont produit une déclaration de revenus au cours de la dernière année (n=2 167)

Production de déclarations de revenus des particuliers  Total
N = 2 167
ATL
N = 232
Qc
N = 521
ON/
NU
N = 705
MB
Sask.
N = 229
Alb.
T.-N.-O.
N = 199
C.-B.
Yn
N = 281
18 – 24
N = 97
25 – 34
N = 227
35 – 49
N = 493
50 – 64
N = 597
65+
N = 742
Préparée sans aide 32 % 37 % 26 % 31 % 31 % 36 % 35 % 24 % 35 % 34 % 35 % 26 %
J’ai reçu de l’aide. 68 % 63 % 74 % 68 % 69 % 64 % 65 % 76 % 65 % 66 % 64 % 74 %
Je ne sais pas/
Refus
< 1 % - < 1 % < 1 % - - - - - < 1 % < 1 % -
CG-2.Avez-vous préparé vous-même votre déclaration de revenus la plus récente, ou avez-vous demandé l’aide de quelqu’un d’autre? Si vous avez utilisé un logiciel d’impôt, cela est considéré comme remplir votre déclaration par vous-même.

Voici les tendances observées chez les Canadiens qui ont reçu de l’aide pour préparer leur déclaration de revenus des particuliers :

On a demandé aux Canadiens qui avaient reçu de l’aide en ce qui concerne le processus de préparation de leur déclaration de revenus des particuliers de préciser la source de cette aide. Plus de quatre répondants sur cinq (81 %) ont sollicité l’aide d’un préparateur de déclarations de revenus professionnel ou d’un comptable, tandis que près du cinquième (18 %) s’est tourné vers des amis ou des membres de la famille pour obtenir de l’aide. Une petite minorité de répondants (2 %) ont reçu de l’aide dans le cadre d’un programme de bénévoles.

Tableau 34. Source de l’aide pour produire une déclaration de revenus au cours de la dernière année

Base : (Population générale) Répondants qui ont reçu de l’aide pour produire leur déclaration de revenus au cours de la dernière année (n = 1 484)

Source de l’aide pour produire une déclaration de revenus des particuliers Total
(n = 1 484)
Atlantique
(n = 149)
Qc
(n = 384)
Ont./
Nt
(n = 485)
Man./
Sask.
(n = 157)
Alb./
T.N.-O.
(n = 129)
C.-B./
Yn
(n = 180)
De 18 
à 24 ans
(n = 75)
De 25
 à 34 ans
(n = 146)
De 35 à 49 ans
(n = 325)
De 50 à 64 ans
(n = 386)
65 ans et plus
(n = 546)
Préparateur de déclarations de revenus ou comptable 81 % 75 % 78 % 82 % 88 % 79 % 84 % 69 % 79 % 83 % 85 % 80 %
Membre de la famille ou ami 18 % 25 % 21 % 18 % 15 % 15 % 16 % 41 % 19 % 17 % 12 % 17 %
Programme des bénévoles pour aider les gens à remplir leurs déclarations de revenus 2 % 3 % 2 % 2 % 1 % 4 % 3 % - 2 % 2 % 3 % 3 %
Autre 1 % 1 % < 1 % 1 % - 3 % 1 % - 1 % 1 % 1 % 1 %
Je ne sais pas/je refuse de répondre 1 % 1 % < 1 % 1 % - - - - 1 % 1 % < 1 % 1 %
CG-3.Qui vous a aidé?

En ce qui concerne les répondants qui ont demandé de l’aide pour produire leur déclaration de revenus des particuliers, les constatations découlant des sous-groupes pertinents comprennent les suivantes :

En plus de chercher à comprendre la façon dont les Canadiens préparent leurs déclarations de revenus, on a demandé à ceux-ci de décrire la méthode qu’ils utilisaient pour produire leurs déclarations de revenus des particuliers. Plus de quatre répondants sur cinq (81 %) ont produit leurs déclarations de revenus en ligne, tandis que plus d’un sur dix (12 %) l’ont fait par la poste.

Tableau 35. Méthode utilisée pour produire une déclaration de revenus au cours de la dernière année

Base : (Population générale) Répondants qui ont produit une déclaration de revenus au cours de la dernière année (n = 2 167)

Méthode utilisée pour produire une déclaration de revenus  Total
N = 2 167
ATL
N = 232
Qc
N = 521
ON/
NU
N = 705
MB
Sask.
N = 229
Alb.
T.-N.-O.
N = 199
C.-B.
Yn
N = 281
18 – 24
N = 97
25 – 34
N = 227
35 – 49
N = 493
50 – 64
N = 597
65+
N = 742
En ligne 81 % 81 % 75 % 83 % 82 % 86 % 80 % 65 % 82 % 86 % 85 % 75 %
Par la poste  12 % 12 % 17 % 10 % 11 % 8 % 14 % 21 % 9 % 8 % 11 % 18 %
Autre façon 3 % 3 % 4 % 3 % 4 % 3 % 3 % 6 % 3 % 3 % 3 % 4 %
Je ne sais pas/
Refus
3 % 4 % 3 % 4 % 3 % 3 % 3 % 8 % 6 % 3 % 1 % 3 %
CG-4. De quelle façon avez-vous soumis votre déclaration de revenus la plus récente?

Lors de la comparaison de la méthode de production entre les sous-groupes, les différences notables comprennent ce qui suit :

Petites et moyennes entreprises (PME)

On a demandé aux PME canadiennes interrogées de décrire leur approche à l’égard de la production de leurs déclarations de revenus d’entreprise. Plus précisément, on leur a demandé d’indiquer si elles recouraient à des services internes ou externes tout au long du processus de production. Plus de deux PME sur cinq (42 %) ont déclaré utiliser un service de préparation de déclarations de revenus externe, comparativement à 25 % qui n’utilisaient que des ressources internes pour produire des déclarations de revenus d’entreprise. Près du tiers des entreprises (31 %) ont décrit une approche combinée, consistant à utiliser à la fois des ressources internes et des services externes.

Tableau 36. Approche à l’égard de la production des déclarations de revenus d’entreprise

Base : (PME) Tous les répondants (n = 806)

Production des déclarations de revenus d’entreprise  Total
N = 806
En activité depuis 10 ans ou moins
N = 445
En activité depuis plus de 10 ans
N = 357
Propriétaire unique
N = 396
Partenariat
N = 139
Entreprise constituée en société
N = 118
J’utilise un service externe de préparation de déclarations de revenus. 42 % 40 % 45 % 41 % 41 % 51 %
J’utilise des ressources internes pour préparer les documents d’impôt. 31 % 35 % 25 % 30 % 39 % 16 %
J’utilise une combinaison de services internes et externes. 25 % 24 % 27 % 26 % 19 % 32 %
Je ne sais pas/Refus 2 % 1 % 3 % 3 % 1 % 1 %
CB-2.Lorsque vous produisez des déclarations de revenus des sociétés, votre entreprise :

Les tendances dignes de mention observées chez les PME canadiennes interrogées comprennent les suivantes :

En plus d’inviter les PME canadiennes interrogées à décrire leur approche à l’égard de la production de déclarations de revenus d’entreprise, on leur a demandé de préciser leur approche à l’égard de la planification fiscale, qu’il s’agisse d’une approche interne, d’une approche externe ou d’une combinaison des deux. Plus du tiers des PME (34 %) ont choisi de toujours préparer leurs déclarations de revenus à l’interne, tandis qu’un tiers (33 %) ont décrit une approche axée sur un service externe. Plus du quart (29 %) ont déclaré utiliser une approche combinée à l’égard de la planification fiscale.

Tableau 37. Approche à l’égard de la planification fiscale

Base : (PME) Tous les répondants (n = 806)

Approche à l’égard de la planification fiscale  Total
N = 806
En activité depuis 10 ans ou moins
N = 445
En activité depuis plus de 10 ans
N = 357
Propriétaire unique
N = 396
Partenariat
N = 139
Entreprise constituée en société
N = 118
J’utilise des ressources internes pour la planification fiscale. 34 % 37 % 31 % 36 % 36 % 24 %
J’utilise un service externe pour la planification fiscale. 33 % 29 % 37 % 29 % 29 % 42 %
J’utilise une combinaison de services internes et externes. 29 % 31 % 27 % 29 % 33 % 31 %
Je ne sais pas/
Refus
4 % 3 % 5 % 5 % 2 % 3 %
CB-3.Qu’en est-il de la planification fiscale? Votre entreprise...

Voici d’autres comparaisons entre les sous-groupes en ce qui concerne la planification fiscale des entreprises :

Après avoir invité les PME canadiennes à décrire leur approche à l’égard de la production des déclarations de revenus et leur processus de préparation des déclarations de revenus, on a demandé à celles-ci de donner une cote de satisfaction globale en fonction de leur dernière expérience de production des déclarations de revenus. La satisfaction a été évaluée sur une échelle de 1 à 10, 1 signifiant « complètement insatisfait » et 10, « complètement satisfait ». Près des trois quarts des PME (70 %) étaient très satisfaites (cotes de 8 à 10), tandis qu’un quart          (25 %) ont fourni une cote modérée (cotes de 4 à 7). Très peu (4 %) ont fourni une cote de satisfaction globale de 3 ou moins. La cote de satisfaction globale pour la dernière déclaration de revenus se situe à 7,9.

Tableau 38. Satisfaction globale à l’égard de la dernière expérience de production de déclarations de revenus

Base : (PME) Tous les répondants (n = 806)

Cote de satisfaction globale  Total
N = 806
En activité depuis 10 ans ou moins
N = 445
En activité depuis plus de 10 ans
N = 357
Propriétaire unique
N = 396
Partenariat
N = 139
Entreprise constituée en société
N = 118
8 – 10 70 % 74 % 66 % 67 % 82 % 47 %
4 – 7 25 % 22 % 29 % 27 % 17 % 41 %
1 – 3 4 % 3 % 5 % 4 % 1 % 11 %
Je ne sais pas 1 % 1 % 1 % 2 % - 2 %
Moyenne 7,9 8,1 7,8 7,9 8,4 6,9
C-5. Dans l’ensemble, dans quelle mesure étiez-vous satisfait de votre expérience la plus récente en matière de déclaration de revenus? Veuillez utiliser une échelle de 1 à 10, où 1 signifie que vous êtes « tout à fait insatisfait » et où 10 signifie que vous êtes « tout à fait satisfait ».

Comparativement à leurs homologues démographiques, la satisfaction globale à l’égard de la dernière expérience de production de déclarations de revenus est particulièrement élevée chez :

Intermédiaires fiscaux

On a également demandé aux intermédiaires fiscaux canadiens de coter leur niveau de satisfaction globale en fonction de leur dernière expérience de production des déclarations de revenus. La satisfaction a été évaluée sur une échelle de 1 à 10, 1 signifiant « complètement insatisfait » et 10, « complètement satisfait ». La moitié des intermédiaires fiscaux interrogés ont indiqué un niveau élevé de satisfaction (cotes de 8 à 10) (50 %), tandis que plus de deux sur cinq [41 %] ont attribué une cote modérée (cotes de 4 à 7). Moins d’un intermédiaire fiscal sur dix (8 %) a indiqué un niveau de satisfaction globale faible (cotes de 1 à 3). Les intermédiaires fiscaux canadiens ont indiqué, en moyenne, un niveau de satisfaction globale modéré (7,1).

Tableau 39. Satisfaction globale à l’égard de la dernière expérience de production de déclarations de revenus

Base : (Intermédiaires fiscaux) Tous les répondants (n = 810)

Cote de satisfaction globale  Total
N = 810
En activité depuis 10 ans ou moins
N = 427
En activité depuis plus de 10 ans
N = 363
Communication au cours des 12 derniers mois
N = 506
Aucune communication au cours des 12 derniers mois
N = 251
8 – 10 50 % 49 % 50 % 50 % 51 %
4 – 7 41 % 42 % 40 % 40 % 43 %
1 – 3 8 % 8 % 9 % 10 % 5 %
Je ne sais pas 1 % < 1 % 1 % < 1 % 1 %
Moyenne 7,1 7,1 7,2 7,1 7,3
C-5. Dans l’ensemble, dans quelle mesure étiez-vous satisfait de votre expérience la plus récente en matière de déclaration de revenus? Veuillez utiliser une échelle de 1 à 10, où 1 signifie que vous êtes « tout à fait insatisfait » et où 10 signifie que vous êtes « tout à fait satisfait ».

Les intermédiaires fiscaux qui ont évalué le rendement global de l’Agence comme étant bon (cotes de 8 à 10) (8,8) ont attribué une cote de satisfaction plus élevée, en moyenne, que ceux qui ont indiqué que le rendement global était neutre (cotes de 4 à 7) (6,8) ou médiocre (cotes de 1 à 3) (4,3).

Les personnes vivant en Ontario (7,3), en Alberta (7,3), au Québec (7,2), au Canada atlantique (7,2) ou en Colombie-Britannique (7,0) étaient plus susceptibles d’accorder des cotes moyennes plus élevées que celles vivant au Manitoba ou en Saskatchewan (6,2).

Les répondants qui étaient inscrits au service Représenter un client avaient tendance à attribuer des cotes moyennes plus élevées que ceux qui n’étaient pas inscrits (7,5 par rapport à 7,0).

Communication avec l’Agence

Population générale

Interaction au cours des 12 derniers mois

On a demandé aux Canadiens s’ils ont eu une interaction directe avec l’Agence au cours des 12 derniers mois. Plus de deux répondants sur cinq (42 %) ont communiqué avec l’Agence. À l’inverse, 57 % n’ont eu aucune forme de communication avec l’Agence au cours des 12 derniers mois.

Tableau 40. Communication avec l’Agence au cours des 12 derniers mois

Base : (Population générale) Tous les répondants (n = 2 407)

Communication avec l’Agence au cours des 12 derniers mois  Total
N = 2 407
ATL
N = 262
Qc
N = 553
ON/
NU
N = 800
MB
Sask.
N = 263
Alb.
T.-N.-O.
N = 219
C.-B.
Yn
N = 310
18 – 24
N = 134
25 – 34
N = 262
35 – 49
N = 537
50 – 64
N = 649
65+
N = 814
Oui 42 % 41 % 35 % 43 % 40 % 44 % 51 % 35 % 45 % 45 % 47 % 35 %
Non 57 % 58 % 64 % 56 % 59 % 54 % 48 % 63 % 53 % 54 % 52 % 64 %
Je ne sais pas/
Refus
1 % 1 % 1 % 1 % 1 % 3 % < 1 % 2 % 2 % 1 % 1 % 1 %
D-1. Avez-vous interagi avec l’Agence au cours des 12 derniers mois? Pensez à toute interaction directe que vous avez eue avec l’Agence. Il peut s’agir d’une interaction qui a eu lieu en ligne, par téléphone ou par la poste.

À la suite d’une comparaison des communications avec l’Agence dans les sous-groupes pertinents, les tendances suivantes sont ressorties :

On a demandé aux Canadiens qui ont eu une interaction avec l’Agence au cours des 12 derniers mois de préciser le moyen de communication utilisé. La plupart des interactions ont eu lieu par téléphone (42 %), tandis que plusieurs se rappellent avoir utilisé le portail fiscal Mon dossier de l’Agence (27 %). Près d’un cinquième des Canadiens (17 %) ont communiqué avec l’Agence par la poste, alors que 10 % ont interagi avec l’Agence en ligne. Les communications en personne (1 %), les courriels (1 %) et les télécopies (< 1 %) étaient beaucoup moins courantes.

Tableau 41. Moyen de communication avec l’Agence au cours des 12 derniers mois

Base : (Population générale) Répondants qui ont eu une communication avec l’Agence au cours de la dernière année (n = 982)

Moyen de communication avec l’Agence  Total
N = 982
ATL
N = 104
Qc
N = 192
ON/
NU
N = 341
MB
Sask.
N = 108
Alb.
T.-N.-O.
N = 95
C.-B.
Yn
N = 142
18 – 24
N = 48
25 – 34
N = 117
35 – 49
N = 229
50 – 64
N = 302
65+
N = 284
Par téléphone 42 % 44 % 50 % 40 % 52 % 42 % 35 % 32 % 40 % 47 % 43 % 42 %
Portail fiscal sécurisé Mon dossier de l’Agence 27 % 26 % 24 % 29 % 19 % 28 % 29 % 30 % 32 % 27 % 25 % 24 %
Par la poste  17 % 16 % 14 % 19 % 13 % 15 % 18 % 18 % 8 % 15 % 18 % 24 %
Pages de l’impôt du site Web Canada.ca 10 % 8 % 7 % 9 % 9 % 13 % 16 % 16 % 17 % 8 % 9 % 7 %
En personne 1 % 1 % 2 % 1 % 2 % - 1 % - - 1 % 1 % 1 %
Par courriel 1 % 1 % 1 % 1 % 2 % - 1 % 2 % - 1 % 1 % 1 %
Par télécopieur  < 1 % - - 1 % 1 % - - - 1 % < 1 % - -
Autre façon 1 % 3 % 2 % < 1 % 2 % - - - 2 % 1 % 1 % < 1 %
Je ne sais pas/
Refus
1 % 1 % 1 % 1 % 1 % 2 % - 2 % 1 % < 1 % 1 % < 1 %
D-2.De quelle façon avez-vous récemment interagi avec l’Agence?

En ce qui concerne le moyen de communication avec l’Agence, les principales constatations liées aux segments comprennent les suivantes :

Raison de l’interaction

On a demandé aux Canadiens qui avaient interagi avec l’Agence au cours de la dernière année d’en décrire le but. L’impôt sur le revenu des particuliers était une priorité, comme l’ont mentionné deux répondants sur cinq (40 %), tandis que moins d’entre eux affirment que le but de leur interaction la plus récente consistait à fournir des renseignements généraux non liés à la production de déclarations de revenus (18 %), à d’autres prestations ou crédits (16 %) ou des éléments liés à leur service Mon dossier (15 %). De plus, environ un répondant sur dix a demandé des précisions sur les renseignements envoyés par l’Agence (11 %), ou sur une communication liée à une vérification, à un différend ou à un examen (8 %).

Tableau 42. But de la communication avec l’Agence au cours des 12 derniers mois

Base : (Population générale) Répondants qui avaient interagi avec l’Agence au cours de la dernière année (n = 982)

But de la communication avec l’Agence  Total
N = 982
ATL
N = 104
Qc
N = 192
ON/
NU
N = 341
MB
Sask.
N = 108
Alb.
T.-N.-O.
N = 95
C.-B.
Yn
N = 142
18 – 24
N = 48
25 – 34
N = 117
35 – 49
N = 229
50 – 64
N = 302
65+
N = 284
Impôt sur le revenu des particuliers 40 % 27 % 29 % 46 % 37 % 34 % 45 % 34 % 35 % 42 % 43 % 39 %
Renseignements généraux autres que ceux concernant la production de vos déclarations 18 % 21 % 22 % 15 % 16 % 17 % 22 % 25 % 18 % 16 % 19 % 16 %
Autres prestations et crédits 16 % 10 % 15 % 15 % 20 % 21 % 17 % 10 % 22 % 21 % 12 % 13 %
Votre compte en ligne de l’Agence (Mon dossier) 15 % 12 % 19 % 14 % 15 % 19 % 13 % 17 % 17 % 19 % 13 % 13 %
Des précisions au sujet de renseignements fournis par l’Agence 11 % 10 % 10 % 13 % 11 % 11 % 9 % 8 % 14 % 6 % 13 % 15 %
Une vérification, un différend ou un examen 8 % 12 % 9 % 8 % 10 % 6 % 7 % 5 % 7 % 9 % 7 % 11 %
Taxe d’affaires (p. ex., déclaration de la TVH) 2 % 4 % 2 % 1 % 1 % 3 % 1 % - 3 % 3 % 2 % < 1 %
Supplément unique à l’Allocation canadienne pour le logement 2 % 5 % 2 % 1 % 1 % 3 % 2 % 13 % 1 % 2 % - < 1 %
Prestation dentaire canadienne 1 % - 2 % - 1 % 1 % 1 % - 1 % 1 % < 1 % -
Autre 3 % 6 % 3 % 1 % 2 % 6 % 2 % 8 % 3 % 3 % 2 % 2 %
Je ne sais pas/Refus 2 % 2 % 1 % 2 % 1 % 2 % 2 % 2 % - 3 % 1 % 2 %
D-3.Maintenant, veuillez réfléchir à la raison pour laquelle vous avez interagi avec l’Agence. Votre interaction LA PLUS RÉCENTE était-elle pour…?

En ce qui concerne le but de l’interaction avec l’Agence, les constatations liées aux sous-segments comprennent les suivantes :

Satisfaction à l’égard du service

On a demandé aux Canadiens qui avaient indiqué avoir eu une communication avec l’Agence au cours des 12 derniers mois de préciser, en fonction de leur expérience de l’Agence, leur niveau d’accord avec une série d’énoncés sur la satisfaction à l’égard du service. Pour ce faire, ils devaient utiliser une échelle de 1 à 10, la cote 1 signifiant « tout à fait en désaccord » et la cote 10, « tout à fait en accord ».
Les trois quarts des répondants avaient un niveau élevé d’accord (cotes de 8 à 10) pour dire que le représentant de l’Agence était professionnel (75 %) et courtois (74 %), mais moins (67 %) estimaient que le représentant de l’Agence avait pris le temps de comprendre leur situation. En ce qui concerne les renseignements, 73 % ont convenu qu’ils étaient exacts, 68 % estimaient qu’ils étaient complets, et six sur dix (60 %) ont dit qu’ils étaient faciles à comprendre. De plus, plus de la moitié de ceux qui ont interagi avec l’Agence ont convenu que le service était rapide (57 %) et facile d’accès (54 %).

Les indicateurs suivants font l’objet d’un niveau d’accord moyen élevé (cotes de 8 à 10) :

Les autres indicateurs font l’objet d’un niveau d’accord moyen modéré (cotes de 4 à 7) :

Tableau 43. Perceptions de la satisfaction à l’égard du service

Base : (Population générale) Les répondants qui ont interagi avec l’Agence et qui ont fourni leur méthode de communication avec l’Agence ou ont fourni un but valide pour leur interaction la plus récente (n = 980) (Les énoncés en caractères gras se limitent à ceux dont la méthode de communication était par téléphone ou en personne (n = 434)).

Énoncés d’impression 8 – 10 4 – 7 1 – 3 S.O. SP/RR Moyenne
Le représentant de l’Agence était professionnel. 75 % 16 % 3 % 4 % 2 % 8,5
Le représentant de l’Agence était poli. 74 % 13 % 4 % 6 % 2 % 8,6
Les renseignements que j’ai reçus étaient exacts. 73 % 15 % 7 % 4 % 2 % 8,3
Les renseignements que j’ai reçus étaient complets. 68 % 20 % 9 % 3 % 1 % 8,0
Le représentant de l’Agence a pris le temps de comprendre ma situation. 67 % 19 % 11 % 2 % 2 % 7,9
Les renseignements que j’ai reçus étaient faciles à comprendre. 60 % 28 % 9 % 2 % < 1 % 7,7
Le service offert par l’Agence a été offert en temps opportun 57 % 27 % 13 % 3 % 1 % 7,3
Le service offert par l’Agence était facile d’accès 54 % 30 % 13 % 3 % 1 % 7,2
D-5. Veuillez maintenant me dire si vous êtes en accord ou en désaccord avec les énoncés suivants par rapport à cette expérience de service, en utilisant une échelle de 1 à 10, où 1 signifie que vous êtes tout à fait en désaccord et 10 signifie que vous êtes tout à fait d’accord. Veuillez indiquer « pas applicable » si un énoncé ne s’applique pas à votre expérience de service.

Le calcul de l’indice de satisfaction à l’égard du service a été élaboré afin de produire une cote globale pour évaluer l’expérience des clients avec les services de l’Agence. Les questions qui composent l’indice de satisfaction à l’égard du service ont été posées à ceux qui ont interagi avec l’Agence au cours des 12 derniers mois. L’indice est calculé comme il est indiqué ci-dessous :

Indice de satisfaction à l’égard du service = SOMME DE (« Le service offert par l’Agence était facile à accéder » + « Le service offert par l’Agence a été offert en temps opportun » + « Les renseignements que j’ai reçus étaient exacts » + « Les renseignements que j’ai reçus étaient complets » + « Les renseignements que j’ai reçus étaient faciles à comprendre » + « Le représentant de l’Agence a pris le temps de comprendre ma situation » + « Le représentant de l’Agence était professionnel » + « Le représentant de l’Agence était poli »)/8

L’évaluation des cotes globales de l’indice de satisfaction à l’égard du service permet de constater que près de trois Canadiens sur cinq (57 %) ont attribué une cote d’accord élevée (cotes de 8 à 10), tandis que plus du tiers (37 %) sont comptabilisés comme ayant attribué une cote neutre (cotes de 4 à 7). Moins de 1 répondant sur 10 (6 %) a attribué une cote d’accord faible (cotes de 1 à 3). Le calcul de l’indice de satisfaction à l’égard du service permet d’établir une cote d’accord moyenne de 7,8 pour les Canadiens.

Tableau 44. Calculs de l’indice de satisfaction à l’égard du service

Base : (Population générale) Les répondants qui ont interagi avec l’Agence et qui ont fourni leur méthode de communication avec l’Agence ou ont fourni un but valide pour leur interaction la plus récente à l’exception de ceux qui ont sélectionné « Non applicable » pour tous les énoncés (n = 978).

Cote de l’indice de satisfaction à l’égard du service  Total
N = 978
ATL
N = 102
Qc
N = 191
ON/
NU
N = 340
MB
Sask.
N = 108
Alb.
T.-N.-O.
N = 95
C.-B.
Yn
N = 142
18 – 24
N = 48
25 – 34
N = 117
35 – 49
N = 228
50 – 64
N = 300
65+
N = 283
8 – 10 57 % 57 % 60 % 58 % 57 % 53 % 56 % 55 % 65 % 59 % 54 % 54 %
4 à < 8 37 % 34 % 37 % 36 % 30 % 41 % 40 % 41 % 29 % 36 % 41 % 38 %
1 à < 4 6 % 9 % 3 % 6 % 13 % 6 % 4 % 3 % 6 % 5 % 5 % 7 %
Je ne sais pas < 1 % - < 1 % - - - - - - - - < 1 %
Moyenne 7,8 7,5 8,1 7,8 7,5 7,7 7,7 7,9 8,0 7,8 7,8 7,7

En ce qui concerne les cotes d’accord globales de l’indice de satisfaction à l’égard du service, les comparaisons dignes de mention entre les sous-groupes comprennent les suivantes :

Petites et moyennes entreprises (PME)

Interaction au cours des 12 derniers mois

On a demandé aux PME canadiennes interrogées si elles avaient interagi avec l’Agence au cours des 12 derniers mois pour une raison quelconque. Près de trois répondants sur cinq (57 %) ont déclaré avoir interagi avec l’Agence par rapport à 38 % qui n’ont eu aucune forme de communication avec l’Agence au cours des 12 derniers mois.

Tableau 45. Interaction avec l’Agence au cours des 12 derniers mois

Base : (PME) Tous les répondants (n = 806)

Communication avec l’Agence au cours des 12 derniers mois  Total
N = 806
En activité depuis 10 ans ou moins
N = 445
En activité depuis plus de 10 ans
N = 357
Propriétaire unique
N = 396
Partenariat
N = 139
Entreprise constituée en société
N = 118
Oui 57 % 63 % 49 % 52 % 64 % 59 %
Non 38 % 33 % 45 % 43 % 29 % 34 %
Je ne me souviens pas 5 % 4 % 6 % 6 % 7 % 7 %
D-1. Avez-vous interagi avec l’Agence au cours des 12 derniers mois? Pensez à toute interaction directe que vous avez eue avec l’Agence. Il peut s’agir d’une interaction qui a eu lieu en ligne, par téléphone ou par la poste.

Par rapport à leurs homologues démographiques, les interactions avec l’Agence étaient particulièrement répandues chez les personnes suivantes :

On a demandé aux PME canadiennes interrogées qui avaient communiqué avec l’Agence au cours des 12 derniers mois de préciser le moyen de communication utilisé. Près du tiers des interactions avec l’Agence ont eu lieu au téléphone (32 %), alors que 23 % ont eu lieu par l’intermédiaire de portail du compte Mon dossier d’entreprise. Plus d’un cinquième des entreprises (21 %) ont interagi avec l’Agence par la poste, tandis qu’une entreprise sur dix (14 %) a communiqué par l’intermédiaire des pages sur l’impôt du site Web Canada.ca. D’autres formes d’interaction étaient beaucoup moins courantes.

Tableau 46. Moyen de communication avec l’Agence au cours des 12 derniers mois

Base : (PME) Répondants qui ont eu une interaction avec l’Agence au cours de la dernière année (n = 456)

Moyen de communication avec l’Agence  Total
N = 456
En activité depuis 10 ans ou moins
N = 280
En activité depuis plus de 10 ans
N = 175
Propriétaire unique
N = 204
Partenariat
N = 89
Entreprise constituée en société
N = 70
Par téléphone 32 % 29% 37% 35% 37% 39%
Portail fiscal sécurisé Mon dossier d’entreprise de l’Agence 23 % 19% 30% 25% 10% 37%
Par la poste  21 % 26% 13% 17% 25% 16%
Pages de l’impôt du site Web Canada.ca 14 % 15% 13% 14% 11% 9%
En personne 4 % 4% 4% 2% 10% -
Par télécopieur  4 % 5% 1% 2% 6% -
Autre 1 % 1% 2% 2% 1% -
Je ne me souviens pas 1 % 1% 1% 2% - -
D-2.De quelle façon avez-vous récemment interagi avec l’Agence?

Les entreprises en activité depuis plus de 10 ans étaient plus susceptibles d’avoir utilisé le portail Mon dossier d’entreprise pour interagir avec l’Agence, par rapport à celles en activité depuis 10 ans ou moins (30 % par rapport à 19 %).

Les entreprises constituées en société avaient tendance à utiliser le portail Mon dossier d’entreprise par rapport aux sociétés de personnes (37 % par rapport à 10 %).

Raison de l’interaction

On a demandé aux entreprises qui avaient eu une interaction avec l’Agence au cours de la dernière année de décrire le but de leurs plus récentes communications. Les résultats étaient mitigés, avec plus d’un tiers des répondants qui ont cité des renseignements liés à Mon dossier d’entreprise (37 %), à la TPS/TVH (36 %) ou à l’impôt des entreprises (36 %). Plus d’un quart des répondants cherchaient des renseignements généraux non liés à la production de déclarations de revenus des entreprises (27 %), tandis que 25 % souhaitaient obtenir des précisions sur les renseignements envoyés par l’Agence. Plus d’un cinquième des entreprises étaient en contact lié à la paie (23 %), tandis qu’un cinquième a mentionné une communication liée à une vérification, à un différend ou à un examen (20 %).

Tableau 47. But de la communication avec l’Agence au cours des 12 derniers mois

Base : (PME) Répondants qui ont eu une communication avec l’Agence au cours de la dernière année (n = 456)

But de la communication avec l’Agence  Total
N = 456
En activité depuis 10 ans ou moins
N = 280
En activité depuis plus de 10 ans
N = 175
Propriétaire unique
N = 204
Partenariat
N = 89
Entreprise constituée en société
N = 70
Votre compte en ligne de l’Agence, Mon dossier d’entreprise 37 % 41 % 31 % 33 % 31 % 36 %
TPS/TVH 36 % 41 % 29 % 34 % 39 % 23 %
Impôt des entreprises 36 % 35 % 38 % 30 % 39 % 34 %
Des renseignements généraux autres que ceux concernant la production de déclarations de revenus des entreprises 27 % 31 % 20 % 26 % 35 % 11 %
Des précisions au sujet de renseignements fournis par l’Agence 25 % 27 % 23 % 22 % 21 % 19 %
Paie 23 % 27 % 18 % 18 % 26 % 14 %
Une vérification, un différend ou un examen 20 % 20 % 18 % 17 % 31 % 6 %
Une autre raison < 1 % < 1 % 1 % < 1 % - 1 %
Je ne me souviens pas < 1 % < 1 % - < 1 % - -
D-3.Maintenant, veuillez réfléchir à la raison pour laquelle vous avez interagi avec l’Agence. Votre interaction LA PLUS RÉCENTE était-elle pour…?

En ce qui concerne le but de l’interaction avec l’Agence, les constatations liées aux différences entre les sous-segments comprennent les suivantes :

Satisfaction à l’égard du service

On a demandé aux entreprises qui avaient indiqué avoir eu une interaction avec l’Agence au cours de la dernière année de préciser, en fonction de leur expérience de service, leur niveau d’accord avec une série d’énoncés sur la satisfaction à l’égard du service. Pour ce faire, ils devaient utiliser une échelle de 1 à 10, la cote 1 signifiant « tout à fait en désaccord » et la cote 10, « tout à fait en accord ».
Environ les trois quarts des répondants étaient d’accord (cotes de 8 à 10) que le représentant de l’Agence était courtois (78 %), professionnel (75 %), et 69 % étaient d’avis que le représentant avait pris le temps de comprendre leur situation. En ce qui concerne les renseignements fournis par l’Agence, environ sept répondants sur dix ont convenu que les renseignements fournis étaient complets (73 %), exacts (70 %) et faciles à comprendre (69 %). Les deux tiers ont convenu que le service de l’Agence était en temps opportun (66 %) et qu’il était facile d’y accéder (66 %).

Tableau 48. Perceptions de la satisfaction à l’égard du service

Base : (PME) Les répondants qui ont interagi avec l’Agence au cours de la dernière année et qui ont fourni leur méthode de communication avec l’Agence ou qui ont fourni un but valide pour leur interaction la plus récente (n = 455)(Les énoncés en caractères gras se limitent à ceux dont la méthode de communication était par téléphone ou en personne (n = 164))

Énoncés d’impression 8 – 10 4 – 7 1 – 3 S.O. SP/RR Moyenne
Le représentant de l’Agence était poli. 78 % 15 % 5 % 1 % 1 % 8,2
Le représentant de l’Agence était professionnel. 75 % 18 % 5 % - 1 % 8,1
Les renseignements que j’ai reçus étaient complets. 73 % 17 % 8 % 2 % 1 % 8,0
Les renseignements que j’ai reçus étaient exacts. 70 % 18 % 6 % 3 % 3 % 8,1
Les renseignements que j’ai reçus étaient faciles à comprendre. 69 % 24 % 5 % 2 % < 1 % 8,0
Le représentant de l’Agence a pris le temps de comprendre ma situation. 69 % 21 % 9 % - 1 % 7,7
Le service offert par l’Agence a été offert en temps opportun 66 % 23 % 7 % 3 % < 1 % 7,8
Le service offert par l’Agence était facile d’accès 66 % 22 % 10 % 1 % < 1 % 7,6
D-5. Veuillez maintenant me dire si vous êtes en accord ou en désaccord avec les énoncés suivants par rapport à cette expérience de service, en utilisant une échelle de 1 à 10, où 1 signifie que vous êtes tout à fait en désaccord et 10 signifie que vous êtes tout à fait d’accord. Veuillez indiquer « pas applicable » si un énoncé ne s’applique pas à votre expérience de service.

Le calcul de l’indice de satisfaction à l’égard du service a été élaboré afin de produire une cote globale pour évaluer l’expérience des clients avec les services de l’Agence. Les questions qui composent l’indice de satisfaction à l’égard du service ont été posées à ceux qui ont interagi avec l’Agence au cours des 12 derniers mois. L’indice est calculé comme il est indiqué ci-dessous :

Indice de satisfaction à l’égard du service = SOMME DE (« Le service offert par l’Agence était facile à accéder » + « Le service offert par l’Agence a été offert en temps opportun » + « Les renseignements que j’ai reçus étaient exacts » + « Les renseignements que j’ai reçus étaient complets » + « Les renseignements que j’ai reçus étaient faciles à comprendre » + « Le représentant de l’Agence a pris le temps de comprendre ma situation » + « Le représentant de l’Agence était professionnel » + « Le représentant de l’Agence était poli »)/8

L’évaluation des cotes globales de l’indice de satisfaction à l’égard du service permet de constater que les deux tiers des entreprises (66 %) ont attribué une cote d’accord élevée (cotes de 8 à 10), tandis que 27 % ont attribué une cote neutre (cotes de 4 à 7). Seulement 6 % ont donné lieu à une cote d’accord de faible niveau (1 à 3). Le calcul de l’indice de satisfaction à l’égard du service permet d’établir une cote d’accord moyenne de 7,6 pour les PME canadiennes.

Tableau 49. Calculs de l’indice de satisfaction à l’égard du service

Base : (Population générale) Les répondants qui ont interagi avec l’Agence et qui ont fourni leur méthode de communication avec l’Agence ou ont fourni un but valide pour leur interaction la plus récente à l’exception de ceux qui ont sélectionné « Non applicable » pour tous les énoncés (n = 454).

Cote de l’indice de satisfaction à l’égard du service  Total
N = 454
En activité depuis 10 ans ou moins
N = 278)
En activité depuis plus de 10 ans
N = 175
Propriétaire unique
N = 203
Partenariat
N = 89
Entreprise constituée en société
N = 69)
8 – 10 66 % 71 % 59 % 60 % 73 % 45 %
4 à < 8 27 % 24 % 33 % 33 % 22 % 42 %
1 à < 4 6 % 5 % 9 %  7 % 4 % 13 %
Moyenne 7,6 7,8 7,3 7,3 7,9 6,6

Comparativement à leurs homologues démographiques, les cotes de l’indice de satisfaction à l’égard du service étaient considérablement plus élevées chez les PME dans les sous-groupes suivants :

On a demandé aux entreprises canadiennes qui avaient communiqué avec l’Agence au cours de la dernière année si celle-ci avait réussi à répondre à leurs besoins lors de leur communication la plus récente. Plus de trois quarts des PME (77 %) estiment que leurs besoins ont été satisfaits, tandis que 20 % pensent le contraire.

Tableau 50. Besoins satisfaits lors de la communication la plus récente parmi les répondants qui ont communiqué avec l’Agence

Base : (PME) Répondants qui ont eu une communication avec l’Agence au cours de la dernière année (n = 456)

Besoins satisfaits lors de la communication avec l’Agence  Total
N = 456
En activité depuis 10 ans ou moins
N = 280
En activité depuis plus de 10 ans
N = 175
Propriétaire unique
N = 204
Partenariat
N = 89
Entreprise constituée en société
N = 70
Oui 77 % 78 % 75 % 78 % 74 % 73 %
Non 20 % 20 % 20 % 18 % 25 % 19 %
Je ne sais pas 3 % 3 % 5 % 3 % 1 % 9 %
D-6a. Avez-vous obtenu ce dont vous aviez besoin lors de cet appel?

Ceux qui étaient inscrits au service Mon dossier d’entreprise étaient plus susceptibles d’avoir vu leurs besoins satisfaits par rapport à ceux qui n’étaient pas inscrits (82 % par rapport à 61 %).
On a ensuite demandé aux répondants qui avaient eu une forme d’interaction avec l’Agence au cours de la dernière année de comparer le niveau de service à la clientèle qu’ils avaient reçu d’autres institutions financières. Plus de deux répondants sur cinq étaient d’avis que l’Agence offrait un meilleur service (41 %) par rapport aux autres institutions financières avec lesquelles ils font affaire ou que le service était à peu près le même (42 %). Moins d’un cinquième des entreprises (16 %) estimaient que le service était pire.

Tableau 51. Le service à la clientèle par rapport aux expériences auprès d’autres institutions financières

Base : (PME) Répondants qui ont eu une communication avec l’Agence au cours de la dernière année (n = 456)

Expérience auprès de l’Agence  Total
N = 456
En activité depuis 10 ans ou moins
N = 280
En activité depuis plus de 10 ans
N = 175
Propriétaire unique
N = 204
Partenariat
N = 89
Entreprise constituée en société
N = 70
Meilleure 41 % 49 % 28 % 33 % 53 % 10 %
À peu près la même chose 42 % 41 % 44 % 44 % 40 % 54 %
Pire 16 % 9 % 26 % 21 % 7 % 31 %
Je ne sais pas 2 % 1 % 2 % 2 % - 4 %
D-7.Selon votre expérience, diriez-vous que le niveau du service à la clientèle offert par l’Agence est meilleur, à peu près semblable ou pire que le service que vous pourriez recevoir des institutions financières avec lesquelles vous faites affaire?

Voici d’autres constatations découlant des sous-groupes pertinents :

Intermédiaires fiscaux

On a demandé aux intermédiaires fiscaux canadiens s’ils avaient interagi avec l’Agence au cours des 12 derniers mois pour une raison quelconque. Plus de trois répondants sur cinq (62 %) ont eu un contact avec l’Agence, tandis que 31 % n’ont eu aucune forme de communication au cours des 12 derniers mois.

Interaction au cours des 12 derniers mois

Tableau 52. Interaction avec l’Agence au cours des 12 derniers mois

Base : (Intermédiaires fiscaux) Tous les répondants (n = 810)

Communication avec l’Agence au cours des 12 derniers mois  Total
N = 810
En activité depuis 10 ans ou moins
N = 427)
En activité depuis plus de 10 ans
N = 363)
Inscrit au service Représenter un client
N = 216)
Non inscrit au service Représenter un client
N = 145
Oui 62 % 65 % 60 % 76 % 50 %
Non 31 % 29 % 33 % 19 % 44 %
Je ne sais pas/Refus 7 % 6 % 7 % 5 % 6 %
D-1. Avez-vous interagi avec l’Agence au cours des 12 derniers mois? Pensez à toute interaction directe que vous avez eue avec l’Agence. Il peut s’agir d’une interaction qui a eu lieu en ligne, par téléphone ou par la poste.

À la suite d’une comparaison des communications avec l’Agence dans les sous-groupes pertinents, les tendances suivantes sont ressorties :

On a demandé aux intermédiaires fiscaux canadiens interrogés qui avaient communiqué avec l’Agence au cours des 12 derniers mois de préciser le moyen de communication utilisé. Les interactions étaient les plus susceptibles d’avoir lieu par téléphone (48 %), tandis que plus d’un cinquième ont eu lieu par l’intermédiaire du site Web Canada.ca (22 %). Un autre a16 % a mentionné le service Représenter un client, tandis que près d’une entreprise sur dix (8 %) a communiqué avec l’Agence par la poste. Les communications en personne et par télécopieur étaient beaucoup moins courantes (2 % respectivement).

Tableau 53. Moyen de communication avec l’Agence au cours des 12 derniers mois

Base : (Intermédiaires fiscaux) Répondants qui ont eu une communication avec l’Agence au cours de la dernière année (n = 506)

Moyen de communication avec l’Agence  Total
N = 506
En activité depuis 10 ans ou moins
N = 279
En activité depuis plus de 10 ans
N = 217
Inscrit au service Représenter un client
N = 164)
Non inscrit au service Représenter un client
N = 73
Par téléphone 48 % 47 % 51 % 45 % 56 %
Pages de l’impôt du site Web Canada.ca 22 % 23 % 21 % 25 % 18 %
Portail fiscal sécurisé Représenter un client de l’Agence 16 % 13 % 20 % 21 % 10 %
Par la poste  8 % 11 % 5 % 5 % 8 %
En personne 2 % 3 % 2 % 3 % 3 %
Par télécopieur 2 % 3 % 1 % 1 % 3 %
Autre 1 % <1 % 1 % - 3 %
Je ne me souviens pas < 1 % 1 % - 1 % -
D-2. De quelle façon avez-vous récemment interagi avec l’Agence?

Les entreprises en activité depuis plus de 10 ans étaient plus susceptibles d’interagir avec l’Agence par l’intermédiaire du service Représenter un client par rapport à celles en activité depuis 10 ans ou moins (20 % par rapport à 13 %).

Raison de l’interaction

On a demandé aux répondants des intermédiaires fiscaux de préciser le type de client qu’ils représentaient lors de leur plus récente interaction avec l’Agence. Plus de la moitié des répondants ont indiqué qu’ils représentaient un particulier (52 %), suivi d’environ deux répondants sur cinq dont la communication était au nom d’une entreprise (40 %). Les intermédiaires fiscaux agissant au nom d’une succession ou d’une fiducie (4 %), ou d’un organisme de bienfaisance ou à but non lucratif (1 %) étaient beaucoup moins courants.

Tableau 54. Type de client représenté lors de la communication la plus récente

Base : (Intermédiaires fiscaux) Répondants qui ont eu une communication avec l’Agence au cours de la dernière année (n = 506)

Type de client représenté  Total
N = 506
En activité depuis 10 ans ou moins
N = 279
En activité depuis plus de 10 ans
N = 217
Inscrit au service Représenter un client
N = 164)
Non inscrit au service Représenter un client
N = 73
Un particulier 52 % 52 % 53 % 49 % 60 %
Une entreprise 40 % 39 % 41 % 46 % 29 %
Une succession ou une fiducie 4 % 6 % 2 % 4 % 4 %
Un organisme de bienfaisance ou à but non lucratif 1 % 1 % 2 % 1 % -
Autre 1 % 1 % 1 % - 3 %
Je ne sais pas 1 % 1 % < 1 % - 4 %
D-3a.Veuillez réfléchir au sujet de votre interaction la plus récente avec l’Agence du revenu du Canada. Quel type de client représentiez-vous?

Les répondants qui étaient inscrits au service Représenter un client étaient plus susceptibles d’agir au nom d’une entreprise que ceux qui n’étaient pas inscrits (46 % par rapport à 29 %).
On a demandé aux intermédiaires fiscaux qui avaient eu une interaction avec l’Agence au cours de la dernière année de décrire le but de leurs plus récentes communications. Plus du quart des répondants ont communiqué avec l’Agence au sujet de l’impôt personnel de leur client (29 %) ou de l’impôt des entreprises (27 %). Un peu moins d’entre eux ont déclaré avoir communiqué avec l’Agence au sujet de leur compte Représenter un client (24 %) pour obtenir des renseignements généraux non liés à l’impôt des entreprises (23 %) ou pour obtenir des précisions sur les renseignements envoyés par l’Agence (21 %). Moins d’un cinquième ont été en contact au sujet d’une vérification, d’un différend ou d’un examen (16 %).

Tableau 55. But de la communication avec l’Agence au cours des 12 derniers mois

Base : (Intermédiaires fiscaux) Répondants qui ont eu une communication avec l’Agence au cours de la dernière année (n = 506)

But de la communication avec l’Agence  Total
N = 506
En activité depuis 10 ans ou moins
N = 279
En activité depuis plus de 10 ans
N = 217
Inscrit au service Représenter un client
N = 164)
Non inscrit au service Représenter un client
N = 73
Impôts personnels d’un client 29 % 31 % 27 % 32 % 29 %
Impôt des entreprises 27 % 27 % 28 % 30 % 15 %
Votre compte en ligne de l’Agence, Représenter un client 24 % 25 % 23 % 27 % 25 %
Des renseignements généraux autres que ceux concernant la production de déclarations de revenus des entreprises 23 % 26 % 19 % 20 % 21 %
Des précisions au sujet de renseignements fournis par l’Agence 21 % 24 % 17 % 22 % 19 %
Une vérification, un différend ou un examen 16 % 15 % 19 % 21 % 11 %
Remboursement < 1 % - < 1 % - -
Une autre raison 1 % < 1 % 1 % 1 % 2 %
Je ne me souviens pas 2 % 1 % 2 % 1 % 2 %
D-3.Maintenant, veuillez réfléchir à la raison pour laquelle vous avez interagi avec l’Agence. Votre interaction LA PLUS RÉCENTE était-elle pour…?

En ce qui concerne le but de l’interaction avec l’Agence, les constatations liées aux sous-segments comprennent les suivantes :

Satisfaction à l’égard du service

On a demandé aux intermédiaires fiscaux qui ont eu une interaction avec l’Agence de préciser, en fonction de leur expérience de service, leur niveau d’accord avec une série d’énoncés sur la satisfaction à l’égard du service. Pour ce faire, ils devaient utiliser une échelle de 1 à 10, la cote 1 signifiant « tout à fait en désaccord » et la cote 10, « tout à fait en accord ».
La plupart d’entre eux avaient un niveau élevé d’accord (cotes de 8 à 10) que le représentant de l’Agence avait été courtois (61 %) et professionnel (59 %). Bien que près de la moitié des répondants aient estimé que le représentant avait pris le temps de comprendre leur situation (49 %). En ce qui concerne les renseignements fournis par l’Agence, plus de la moitié des répondants étaient tout à fait d’accord pour dire que les renseignements fournis étaient exacts (58 %), faciles à comprendre (56 %) et complets (54 %). Environ la moitié des répondants des intermédiaires fiscaux ont convenu que le service était facile d’accès (48 %) et opportun (47 %).

Tableau 56. Perceptions de la satisfaction à l’égard du service

Base : (intermédiaires fiscaux) Les répondants qui ont interagi avec l’Agence et qui ont fourni leur méthode de communication avec l’Agence ou ont fourni un but valide pour leur interaction la plus récente (n = 505) (Les énoncés en caractères gras se limitent à ceux dont la méthode de communication était par téléphone ou en personne (n = 255))

Énoncés d’impression 8 – 10 4 – 7 1 – 3 S.O. SP/RR Moyenne
Le représentant de l’Agence était poli. 61 % 30 % 8 % 1 % < 1 % 7,5
Le représentant de l’Agence était professionnel. 59 % 30 % 10 % 1 % < 1 % 7,4
Les renseignements que j’ai reçus étaient exacts. 58 % 31 % 9 % 1 % 1 % 7,5
Les renseignements que j’ai reçus étaient faciles à comprendre. 56 % 33 % 11 % < 1 % < 1 % 7,3
Les renseignements que j’ai reçus étaient complets. 54 % 32 % 12 % 1 % 1 % 7,1
Le représentant de l’Agence a pris le temps de comprendre ma situation. 49 % 36 % 13 % 1 % 1 % 6,9
Le service offert par l’Agence était facile d’accès 48 % 36 % 15 % 1 % 1 % 6,8
Le service offert par l’Agence a été offert en temps opportun 47 % 36 % 16 % 1 % < 1 % 6,7
D-5. Veuillez maintenant me dire si vous êtes en accord ou en désaccord avec les énoncés suivants par rapport à cette expérience de service, en utilisant une échelle de 1 à 10, où 1 signifie que vous êtes tout à fait en désaccord et 10 signifie que vous êtes tout à fait d’accord. Veuillez indiquer « pas applicable » si un énoncé ne s’applique pas à votre expérience de service.

Le calcul de l’indice de satisfaction à l’égard du service a été élaboré afin de produire une cote globale pour évaluer l’expérience des clients avec les services de l’Agence. Les questions qui composent l’indice de satisfaction à l’égard du service ont été posées à ceux qui ont interagi avec l’Agence au cours des 12 derniers mois. L’indice est calculé comme il est indiqué ci-dessous :

Indice de satisfaction à l’égard du service = SOMME DE (« Le service offert par l’Agence était facile à accéder » + « Le service offert par l’Agence a été offert en temps opportun » + « Les renseignements que j’ai reçus étaient exacts » + « Les renseignements que j’ai reçus étaient complets » + « Les renseignements que j’ai reçus étaient faciles à comprendre » + « Le représentant de l’Agence a pris le temps de comprendre ma situation » + « Le représentant de l’Agence était professionnel » + « Le représentant de l’Agence était poli »)/8

En examinant les cotes de l’indice de satisfaction à l’égard du service, 43 % des intermédiaires fiscaux se situent dans la fourchette de 8 à 10, tandis que près de la moitié (46 %) ont obtenu une cote neutre (cotes de 4 à 7). À peu près 1 répondant sur 10 (11 %) a attribué une cote d’accord faible (cotes de 1 à 3). Le calcul de l’indice de satisfaction à l’égard du service permet d’établir une cote d’accord moyenne de 6,6 pour les PME canadiennes.

Tableau 57. Calculs de l’indice de satisfaction à l’égard du service

Base : (intermédiaires fiscaux) Les répondants qui ont interagi avec l’Agence et qui ont fourni leur méthode de communication avec l’Agence ou ont fourni un but valide pour leur interaction la plus récente à l’exception de ceux qui ont sélectionné « Non applicable » pour tous les énoncés (n = 505).

Cote de l’indice de satisfaction à l’égard du service  Total
N = 505
En activité depuis 10 ans ou moins
N = 278)
En activité depuis plus de 10 ans
N = 217
Inscrit au service Représenter un client
N = 164)
Non inscrit au service Représenter un client
N = 73
8 – 10 43 % 43 % 43 % 51 % 33 %
4 à < 8 46 % 50 % 41 % 41 % 49 %
1 à < 4 11 % 6 % 16 %  9 % 16 %
Je ne sais pas < 1 % < 1 % - - 1 %
Moyenne 6,6 6,8 6,4 7,0 6,1

En ce qui concerne les cotes d’accord globales de l’indice de satisfaction à l’égard du service, les comparaisons dignes de mention entre les sous-groupes comprennent les suivantes :

On a demandé aux intermédiaires fiscaux canadiens qui avaient contacté l’Agence au cours de la dernière année si celle-ci avait réussi à répondre à leurs besoins lors de leur communication la plus récente. Ici, 4 intermédiaires fiscaux sur 5 (80 %) estiment que l’Agence a répondu à leurs besoins, tandis que près d’un cinquième (18 %) n’est pas de cet avis.

Tableau 58. Besoins satisfaits lors de la communication la plus récente parmi les répondants qui ont communiqué avec l’Agence

Base : (Intermédiaires fiscaux) Répondants qui ont eu une communication avec l’Agence au cours de la dernière année (n = 506)

Besoins satisfaits lors de la communication avec l’Agence  Total
N = 506
En activité depuis 10 ans ou moins
N = 279
En activité depuis plus de 10 ans
N = 217
Inscrit au service Représenter un client
N = 164)
Non inscrit au service Représenter un client
N = 73
Oui 80 % 86 % 73 % 83 % 74 %
Non 18 % 13 % 25 % 17 % 25 %
Je ne sais pas 1 % 1 % 2 % - 1 %
D-6a. Avez-vous obtenu ce dont vous aviez besoin lors de cet appel?

En ce qui concerne la satisfaction des besoins avec l’Agence, les constatations liées aux sous-segments comprennent les suivantes :

On a ensuite demandé aux répondants qui avaient interagi avec l’Agence au cours de la dernière année de comparer le niveau de service à la clientèle qu’ils avaient reçu d’autres institutions financières. Un répondant sur cinq (26 %) estime que l’Agence offre un meilleur service que les autres institutions financières avec lesquelles il fait affaire. La plupart des intermédiaires fiscaux (53 %) estiment que le service de l’Agence est à peu près semblable, tandis que le cinquième (20 %) sont d’avis qu’il est pire.

Tableau 59. Le service à la clientèle par rapport aux expériences auprès d’autres institutions financières

Base : (Intermédiaires fiscaux) Répondants qui ont eu une communication avec l’Agence au cours de la dernière année (n = 506)

Expérience auprès de l’Agence  Total
N = 506
En activité depuis 10 ans ou moins
N = 279
En activité depuis plus de 10 ans
N = 217
Inscrit au service Représenter un client
N = 164)
Non inscrit au service Représenter un client
N = 73
Meilleure 26 % 33 % 18 % 31 % 18 %
À peu près la même chose 53 % 56 % 49 % 51 % 58 %
Pire 20 % 11 % 31 % 18 % 23 %
Je ne sais pas 1 % < 1 % 2 % - 1 %
D-7.Selon votre expérience, diriez-vous que le niveau du service à la clientèle offert par l’Agence est meilleur, à peu près semblable ou pire que le service que vous pourriez recevoir des institutions financières avec lesquelles vous faites affaire?

Voici d’autres constatations découlant des sous-groupes pertinents :

Exécution des services

Population générale

Énoncés sur la prestation de services

On a demandé aux Canadiens d’indiquer leur niveau d’accord à l’égard d’une série d’énoncés axés sur la prestation de services. Pour ce faire, ils devaient utiliser une échelle de 1 à 10, la cote 1 signifiant « tout à fait en désaccord » et la cote 10, « tout à fait en accord ».
Plus de quatre répondants sur cinq (79 %) sont fortement d’accord (cotes de 8 à 10) pour dire que lorsqu’ils communiquent avec l’Agence par téléphone, ils sont en mesure d’être servis dans la langue officielle de leur choix. Moins de la moitié des répondants (45 %) sont d’accord pour dire qu’ils savent comment accéder aux prestations et aux crédits d’impôt auxquels ils ont droit.

Tableau 60. Perceptions du service

Base : (Population générale) Échantillon fractionné, module de service (n = 1 202)

Énoncés d’impression 8 – 10 4 – 7 1 – 3 SP/RR Moyenne
Lorsque je communique avec l’Agence par téléphone, je suis en mesure d’être servi dans la langue officielle de mon choix, c’est-à-dire le français ou l’anglais. 79 % 8 % 3 % 10 % 9,1
Je sais comment accéder aux prestations et aux crédits d’impôt auxquels j’ai droit. 45 % 34 % 15 % 6 % 6,7
E-5. Je vais maintenant vous lire quelques énoncés. Pour chacun des énoncés, veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d’accord ou en désaccord sur une échelle de 1 à 10, où 1 signifie « tout à fait en désaccord » et 10 signifie « tout à fait d’accord ».

En ce qui concerne les indicateurs de service, les comparaisons entre les sous-groupes pertinents comprennent les suivantes :

Inscription aux services en ligne

On a demandé aux Canadiens de préciser s’ils étaient actuellement inscrits au portail fiscal sécurisé Mon dossier de l’Agence. Plus des deux tiers des répondants (68 %) ont déclaré avoir un compte actif, alors que plus d’un quart (29 %) n’en avait pas.

Tableau 61. Inscription au service en ligne Mon dossier de l’Agence

Base : (Population générale) Échantillon fractionné : module de service, tous les répondants (n = 1 202)

Inscrit au service Mon dossier  Total
N = 1 202
ATL
N = 138
Qc
N = 271
ON/
NU
N = 399
MB
Sask.
N = 137
Alb.
T.-N.-O.
N = 103
C.-B.
Yn
N = 154
18 – 24
N = 69
25 – 34
N = 119
35 – 49
N = 266
50 – 64
N = 329
65+
N = 412
Oui 68 % 72 % 68 % 69 % 77 % 62 % 67 % 56 % 87 % 78 % 68 % 54 %
Non 29 % 26 % 30 % 29 % 16 % 36 % 29 % 41 % 12 % 19 % 30 % 42 %
Je ne sais pas/
Refus
3 % 2 % 2 % 3 % 8 % 2 % 4 % 3 % 1 % 3 % 3 % 4 %
E-6. Êtes-vous inscrit au service en ligne Mon dossier de l’Agence? Ce service vous permet entre autres de faire le suivi de votre remboursement, de voir ou de modifier votre déclaration, de vérifier les versements de vos prestations et de vos crédits, d’afficher votre plafond de cotisation à un REER, de vous inscrire au dépôt direct et de recevoir votre courrier en ligne.

Dans les différents groupes démographiques, les sous-ensembles suivants étaient beaucoup plus susceptibles de dire qu’ils étaient inscrits à Mon dossier par rapport à leurs homologues démographiques :

Petites et moyennes entreprises (PME)

Confiance sans aide externe

On a demandé aux entreprises canadiennes qui avaient eu recours à un service externe de préparation de déclarations de revenus d’indiquer leur niveau de confiance dans leur capacité de traiter leur déclaration de revenus sans aide externe. Les répondants ont indiqué leur niveau de confiance sur une échelle de 1 à 10, 1 signifiant « aucune confiance » et 10, « extrêmement confiant ».

Plus de deux cinquièmes des PME (44 %) ont indiqué un niveau élevé de confiance (cotes de 8 à 10), tandis qu’environ le quart (26 %) a indiqué un niveau modéré de confiance (cotes de 4 à 7). Toutefois, 29 % ont décrit un faible niveau de confiance (cotes de 1 à 3) dans la capacité de leur entreprise à traiter ses déclarations de revenus sans aide externe. Cela donne lieu à une cote de confiance moyenne de 6,2.

Tableau 62. Confiance dans la capacité de traiter les déclarations de revenus d’entreprise sans aide extérieure

Base : (PME) Échantillon fractionné, module de service, répondants qui ont eu recours à un service externe de préparation de déclarations de revenus (n = 187)(Mise en garde : Sous-groupes d’échantillon de petite taille.))

Cote de confiance  Total
N = 187
En activité depuis 10 ans ou moins
N = 97
En activité depuis plus de 10 ans
N = 90
Propriétaire unique
N = 100
Partenariat
N = 25
Entreprise constituée en société
N = 33)
8 – 10 44 % 58 % 30 % 36 % 68 % 12 %
4 – 7 26 % 24 % 29 % 32 % 8 % 36 %
1 – 3 29 % 19 % 40 % 31 % 24 % 52 %
Je ne sais pas 1 % - 1 % 1 % - -
Moyenne 6,2 7,1 5,3 5,8 7,3 4,2
E-1. Vous avez indiqué plus tôt que vous aviez utilisé un service de préparation de déclarations de revenus externe. Quel serait votre niveau de confiance si on vous demandait de préparer et de soumettre les déclarations pour votre entreprise sans aide externe? Veuillez utiliser une échelle de 1 à 10, où 1 signifie que vous n’auriez aucune confiance et 10 signifie que vous auriez beaucoup de confiance.

Préférences de contact lors des interactions avec l’Agence

On a ensuite demandé aux entreprises de décrire comment elles préféreraient recevoir le service ou les renseignements lors de différentes circonstances quand elles traitent avec l’Agence. Lorsqu’il s’agit de recevoir des renseignements de base, la visite des pages sur l’impôt du site Web Canada.ca est la mieux classée, selon 34 % des répondants. Près d’un cinquième (18 %) préférerait communiquer avec l’Agence par téléphone, tandis qu’un sur dix choisirait une fonction de clavardage en ligne (11 %) ou l’envoi d’un courriel à l’Agence (10 %) pour obtenir des renseignements de base. Les autres mentions étaient inférieures à ce seuil.

Tableau 63. Source de service privilégiée pour des renseignements de base

Base : (PME) Échantillon fractionné : module de service, tous les répondants (n = 415)

Source privilégiée pour des renseignements de base  Total
N = 415
En activité depuis 10 ans ou moins
N = 230
En activité depuis plus de 10 ans
N = 185
Propriétaire unique
N = 214
Partenariat
N = 63
Entreprise constituée en société
N = 63
Consulter les pages de l’impôt du site Web Canada.ca 34 % 30 % 40 % 38 % 16 % 54 %
Communiquer avec l’Agence par téléphone 18 % 18 % 18 % 18 % 24 % 10 %
Communiquer avec l’Agence au moyen d’une fonction de clavardage en ligne 11 % 13 % 8 % 14 % 8 % 5 %
Envoyer un courriel à l’Agence 10 % 10 % 10 % 9 % 16 % 11 %
Communiquer avec l’Agence par l’intermédiaire des médias sociaux 8 % 8 % 8 % 6 % 11 % 6 %
Demander au conseiller financier ou au comptable de communiquer avec l’Agence 7 % 8 % 6 % 6 % 5 % 8 %
Envoyer une lettre à l’Agence 5 % 7 % 3 % 4 % 14 % 2 %
Envoyer une télécopie à l’Agence 4 % 5 % 3 % 2 % 6 % -
Je ne sais pas 2 % 2 % 3 % 3 % - 5 %
E-2. Vous verrez maintenant des situations où vous pourriez avoir à traiter avec l’Agence. Pour chacune d’entre elles, indiquez comment vous SOUHAITERIEZ recevoir le service ou les renseignements de l’Agence, si vous vouliez des renseignements de base.

Voici d’autres comparaisons entre les sous-groupes en ce qui concerne la réception de renseignements généraux :

On a ensuite demandé aux entreprises de décrire comment elles souhaiteraient recevoir le service ou les renseignements lorsqu’elles ont besoin de précisions sur des renseignements envoyés par l’Agence. Dans ces circonstances, la principale réponse a été de communiquer avec l’Agence par téléphone, comme l’ont sélectionné près de deux PME sur cinq (38 %). La fonction de clavardage en ligne (13 %), les courriels (12 %) ou le fait de demander à un conseiller financier ou à un comptable de communiquer avec l’Agence (10 %) constituaient un volet secondaire, sélectionné par au moins une personne sur dix, tandis que d’autres sources étaient mentionnées par moins de personnes.

Tableau 64. Source privilégiée de service ou de renseignements pour obtenir des précisions sur des renseignements envoyés par l’Agence

Base : (PME) Échantillon fractionné : module de service, tous les répondants (n = 415)

Source privilégiée pour obtenir des précisions sur des renseignements envoyés par l’Agence  Total
N = 415
En activité depuis 10 ans ou moins
N = 230
En activité depuis plus de 10 ans
N = 185
Propriétaire unique
N = 214
Partenariat
N = 63
Entreprise constituée en société
N = 63
Communiquer avec l’Agence par téléphone 38 % 35 % 43 % 41 % 33 % 49 %
Communiquer avec l’Agence au moyen d’une fonction de clavardage en ligne 13 % 15 % 10 % 14 % 10 % 11 %
Envoyer un courriel à l’Agence 12 % 13 % 11 % 14 % 8 % 10 %
Demander au conseiller financier ou au comptable de communiquer avec l’Agence 10 % 8 % 13 % 12 % 8 % 11 %
Consulter les pages de l’impôt du site Web Canada.ca 9 % 8 % 10 % 7 % 13 % 13 %
Envoyer une lettre à l’Agence 8 % 10 % 7 % 3 % 21 % 2 %
Envoyer une télécopie à l’Agence 4 % 5 % 2 % 3 % 2 % 2 %
Communiquer avec l’Agence par l’intermédiaire des médias sociaux 3 % 4 % 2 % 1 % 6 % -
Je ne sais pas 2 % 2 % 3 % 3 % - 3 %
E-2. Vous verrez maintenant des situations où vous pourriez avoir à traiter avec l’Agence. Pour chacune d’entre elles, indiquez comment vous SOUHAITERIEZ recevoir le service ou les renseignements de l’Agence, si vous aviez besoin de précisions sur des renseignements que l’Agence vous a envoyés.

Voici d’autres comparaisons entre les sous-groupes en ce qui concerne la réception de précisions sur des renseignements envoyés par l’Agence :

On a ensuite demandé aux entreprises de décrire comment elles souhaiteraient recevoir le service ou les renseignements lorsqu’elles ont besoin d’aide concernant une situation fiscale personnelle. Plus du tiers des PME (34 %) ont précisé qu’elles préféreraient communiquer avec l’Agence par téléphone. Près d’un cinquième des entreprises préféreraient demander à un conseiller financier ou à un comptable de communiquer avec l’Agence (17 %) ou de consulter les pages sur l’impôt du site Web Canada.ca (15 %). Plus d’une personne sur dix communiquerait avec l’Agence par courriel (11 %), tandis que moins de personnes communiqueraient avec l’Agence par la poste (7 %) ou utiliseraient une fonction de clavardage en ligne (6 %). D’autres mentions comprennent l’envoi d’une télécopie à l’Agence (4 %) ou la communication avec l’Agence par l’intermédiaire des médias sociaux (3 %).

Tableau 65. Source de service privilégiée pour obtenir de l’aide concernant une situation fiscale personnelle

Base : (PME) Échantillon fractionné : module de service, tous les répondants (n = 415)

Source privilégiée pour obtenir de l’aide concernant une situation fiscale personnelle  Total
N = 415
En activité depuis 10 ans ou moins
N = 230
En activité depuis plus de 10 ans
N = 185
Propriétaire unique
N = 214
Partenariat
N = 63
Entreprise constituée en société
N = 63
Communiquer avec l’Agence par téléphone 34 % 31 % 37 % 40 % 29 % 35 %
Demander au conseiller financier ou au comptable de communiquer avec l’Agence 17 % 16 % 18 % 22 % 10 % 19 %
Consulter les pages de l’impôt du site Web Canada.ca 15 % 12 % 18 % 12 % 16 % 24 %
Envoyer un courriel à l’Agence 11 % 13 % 9 % 10 % 21 % 10 %
Envoyer une lettre à l’Agence 7 % 8 % 5 % 5 % 11 % 5 %
Communiquer avec l’Agence au moyen d’une fonction de clavardage en ligne 6 % 7 % 5 % 6 % 5 % 5 %
Envoyer une télécopie à l’Agence 4 % 5 % 3 % 1 % 5 % -
Communiquer avec l’Agence par l’intermédiaire des médias sociaux 3 % 4 % 2 % 1 % 2 % -
Je ne sais pas 3 % 4 % 3 % 4 % 3 % 3 %
E-2. Vous verrez maintenant des situations où vous pourriez avoir à traiter avec l’Agence. Pour chacune d’entre elles, indiquez comment vous SOUHAITERIEZ recevoir le service ou les renseignements de l’Agence, si vous aviez besoin d’aide pour une situation fiscale personnelle (intermédiaires fiscaux : pour un client), comme les impôts dus sur un héritage.

Voici d’autres comparaisons entre les sous-groupes en ce qui concerne la réception d’aide concernant une situation fiscale personnelle :

Confiance à l’égard du règlement des désaccords fiscaux

On a demandé aux PME d’évaluer leur niveau de confiance à l’égard du règlement de tout désaccord éventuel avec l’Agence. Les répondants ont indiqué leur niveau de confiance sur une échelle de 1 à 10, 1 signifiant « aucune confiance » et 10, « extrêmement confiant ».

Environ la moitié des PME (52 %) étaient très confiantes (cotes de 8 à 10) qu’elles seraient en mesure de résoudre un désaccord en lien avec leur impôt d’entreprise, tandis que 31 % ont fourni un niveau de confiance modéré (cotes de 4 à 7). Plus de 1 répondant sur 10 (13 %) s’est dit peu confiant (cotes de 1 à 3) que le problème serait réglé. Ce résultat représente une cote de confiance moyenne de 7,0.

Tableau 66. Confiance perçue à l’égard du règlement des désaccords fiscaux avec l’Agence

Base : (PME) Échantillon fractionné : module de service, tous les répondants (n = 415)

Cote de confiance  Total
N = 415
En activité depuis 10 ans ou moins
N = 230
En activité depuis plus de 10 ans
N = 185
Propriétaire unique
N = 214
Partenariat
N = 63
Entreprise constituée en société
N = 63
8 – 10 52 % 61 % 41 % 42 % 76 % 21 %
4 – 7 31 % 27 % 35 % 38 % 11 % 49 %
1 – 3 13 % 9 % 19 % 15 % 11 % 24 %
Je ne sais pas 4 % 3 % 5 % 6 % 2 % 6 %
Moyenne 7,0 7,5 6,3 6,6 7,8 5,4
E-3. Si vous aviez un désaccord avec l’Agence au sujet [PME : de vos impôts d’entreprise] [Intermédiaires fiscaux : des impôts d’un client ou d’une entreprise], dans quelle mesure êtes-vous confiant que la situation se règlerait? Veuillez utiliser une échelle de 1 à 10, où 1 signifie que vous n’auriez aucune confiance et 10 signifie que vous auriez beaucoup de confiance.

En ce qui concerne la confiance, voici d’autres constatations liées aux sous-segments :

On a demandé aux entreprises de se servir de la même échelle de confiance pour préciser la mesure dans laquelle elles étaient confiantes que le processus serait exécuté de façon équitable en cas de désaccord avec l’Agence au sujet de leurs impôts d’entreprise. Plus de la moitié des intermédiaires fiscaux (51 %) ont indiqué un niveau élevé de confiance (cotes de 8 à 10), tandis que plus du tiers (35 %) ont indiqué un niveau modéré de confiance (cotes de 4 à 7). Plus de 1 répondant sur 10 (12 %) s’est dit peu confiant (cotes de 1 à 3) que le processus serait équitable. Ce résultat représente une cote de confiance moyenne de 7,0.

Tableau 67. Confiance perçue à l’égard du caractère équitable du processus de règlement des désaccords fiscaux avec l’Agence

Base : (PME) Échantillon fractionné : module de service, tous les répondants (n = 415)

Cote de confiance  Total
N = 415
En activité depuis 10 ans ou moins
N = 230
En activité depuis plus de 10 ans
N = 185
Propriétaire unique
N = 214
Partenariat
N = 63
Entreprise constituée en société
N = 63
8 – 10 51 % 60 % 39 % 43 % 76 % 17 %
4 – 7 35 % 30 % 42 % 42 % 16 % 51 %
1 – 3 12 % 7 % 18 % 12 % 6 % 27 %
Je ne sais pas 3 % 4 % 1 % 3 % 2 % 5 %
Moyenne 7,0 7,6 6,4 6,8 8,1 5,2
E-4. Si vous aviez un désaccord avec l’Agence au sujet [PME : de vos impôts d’entreprise][Intermédiaires fiscaux : des impôts d’un client ou d’une entreprise], dans quelle mesure êtes-vous confiant que le processus serait exécuté de façon équitable?

En ce qui concerne la confiance, voici des constatations pertinentes liées aux sous-segments :

Énoncés sur la prestation de services

On a demandé aux entreprises d’indiquer, en fonction de leurs perceptions de l’Agence, leur niveau d’accord avec une série d’énoncés sur la prestation de services. Pour ce faire, elles devaient utiliser une échelle de 1 à 10, la cote 1 signifiant « tout à fait en désaccord » et la cote 10, « tout à fait en accord ».

Les trois quarts des PME (76 %) sont fortement d’accord (cotes de 8 à 10) pour dire que lorsqu’ils communiquent avec l’Agence par téléphone, ils sont en mesure d’être servis dans la langue officielle de leur choix. Plus de la moitié des répondants ont convenu que l’Agence offre des services en ligne qui répondent à leurs besoins (55 %) et qu’ils savent comment accéder aux prestations et aux crédits fiscaux auxquels leur entreprise a droit (51 %). Près de la moitié des répondants a déclaré se sentir bien informée des services que l’Agence a à offrir (49 %).

Tableau 68. Perceptions du service

Base : (PME) Échantillon fractionné : module de service, tous les répondants (n = 415)

Énoncés d’impression 8 – 10 4 – 7 1 – 3 SP/RR Moyenne
Lorsque je communique avec l’Agence par téléphone, je suis en mesure d’être servi dans la langue officielle de mon choix, c’est-à-dire le français ou l’anglais. 76 % 15 % 4 % 5 % 8,5
L’Agence offre des services en ligne qui répondent à vos besoins. 55 % 34 % 8 % 3 % 7,3
Je sais comment accéder aux prestations et aux crédits d’impôt auxquels mon entreprise a droit. 51 % 35 % 10 % 3 % 7,0
Je me sens bien informé des services offerts par l’Agence. 49 % 37 % 12 % 2 % 6,9
E-5. Pour chacun des énoncés suivants, veuillez indiquer si vous êtes d’accord ou en désaccord, en utilisant une échelle de 1 à 10, où 1 signifie « tout à fait en désaccord » et 10, « tout à fait d’accord ».

Voici d’autres constatations pertinentes concernant divers sous-groupes :

Inscription aux services en ligne

On a demandé aux entreprises canadiennes de préciser si elles étaient actuellement inscrites au portail fiscal sécurisé Mon dossier d’entreprise de l’Agence. La plupart des PME (62 %) avaient un compte Mon dossier d’entreprise, tandis que près d’une PME sur trois (29 %) n’en avait pas. En revanche, seulement 9 % ont indiqué qu’elles n’étaient pas certaines d’être inscrites au portail fiscal sécurisé de l’Agence, ou ont refusé de répondre.

Tableau 69. Inscription au service en ligne Mon dossier d’entreprise de l’Agence

Base : (PME) Échantillon fractionné : module de service, tous les répondants (n = 415)

Inscription à Mon dossier d’entreprise  Total
N = 415
En activité depuis 10 ans ou moins
N = 230
En activité depuis plus de 10 ans
N = 185
Propriétaire unique
N = 214
Partenariat
N = 63
Entreprise constituée en société
N = 63
Oui 62 % 61 % 63 % 57 % 63 % 78 %
Non 29 % 33 % 24 % 31 % 32 % 11 %
Je ne sais pas/
Refus
9 % 6 % 13 % 12 % 5 % 11 %
E-6. Vous êtes-vous inscrit au service en ligne [PME : Mon dossier d’entreprise][Intermédiaires fiscaux : Représenter un client] de l’Agence?

Parmi les entreprises, les plus susceptibles d’être inscrites au portail fiscal sécurisé Mon dossier d’entreprise comprenaient :

On a demandé aux entreprises canadiennes dont la plus récente communication avec l’Agence s’était déroulée par téléphone de décrire la raison pour laquelle elles n’avaient pas utilisé le portail fiscal sécurisé Mon dossier d’entreprise. Un quart des entreprises (27 %) ont mentionné l’accès à l’information, dont 14 % qui ont indiqué la nécessité d’obtenir des précisions sur les renseignements reçus de l’Agence. Un autre 20 % a mentionné la « commodité » pour communiquer avec l’Agence par téléphone. De plus, au moins un répondant sur dix a mentionné des préoccupations en matière de sécurité ou de protection des renseignements personnels en utilisant le portail en ligne (14 %), ou des difficultés à accéder au portail en ligne (12 %). Les mentions supplémentaires comprenaient divers besoins en matière de services (18 %).

Tableau 70. Raison d’avoir communiqué avec l’Agence par téléphone au lieu d’avoir utilisé le service en ligne Mon dossier d’entreprise

Base : (PME) Échantillon fractionné, module de service, répondants qui ont communiqué avec l’Agence par téléphone (n = 51)

Raisons de l’appel Total
N = 51
Renseignements (réseau) 27 %
  Il est beaucoup plus facile d’obtenir ou de rassembler les bons renseignements 8 %
  Je n’ai pas pu obtenir les bons renseignements au moyen de Mon dossier d’entreprise 2 %
  Je n’ai pas pu trouver de réponses sur le site Web 2 %
  Taxes/renseignements fiscaux 2 %
  Précisions (sous-réseau) 14 %
    Je voulais des précisions approfondies sur des demandes de renseignements ou des réponses claires 12 %
    Meilleure compréhension ou plus d’explications 2 %
Commodité (réseau) 20 %
  C’était plus pratique, plus facile ou plus simple 8 %
  J’aime mieux parler à un humain qu’utiliser un service en ligne ou une fonction de clavardage 8 %
  Je veux une transaction plus rapide 4 %
Divers (réseau) 18 %
  Besoin d’aide immédiate/résolution immédiate des problèmes 10 %
  C’est plus efficace ou efficient 6 %
  Ne répond pas aux courriels 2 %
Sécurité ou protection des renseignements personnels (réseau) 14 %
 La question concerne des factures, un paiement ou des affaires financières 8 %
 Demande de renseignements délicate et nécessitant une attention personnelle (impôts, entreprise, prestations, etc.) 6 %
Accès (réseau) 12 %
  J’ai de la difficulté à accéder au site ou mon compte a été verrouillé 10 %
Employé en congé 2 %
Autre 8 %
Je ne sais pas/Refus 2 %
E-7. Vous avez indiqué plus tôt que votre dernier contact était par téléphone. Quelle est la principale raison pour laquelle vous avez décidé d’appeler au lieu d’utiliser le portail [PME : Mon dossier d’entreprise][Intermédiaires fiscaux : Représenter un client]?

Processus liés à l’impôt des entreprises

On a demandé aux entreprises canadiennes de décrire la façon dont elles traitaient les lettres de l’Agence qui leur étaient adressées. La plupart (56 %) ont indiqué assumer la responsabilité de lire et de traiter les lettres reçues de l’Agence. Plus du tiers (36 %) ont indiqué qu’ils lisaient habituellement la lettre personnellement et qu’ils la remettaient à leur comptable ou à leur secteur des finances pour qu’il la traite. Moins d’entreprises ont déclaré avoir transmis immédiatement des lettres reçues de l’Agence à leur comptable ou à leur secteur des finances sans les lire personnellement (6 %).

Tableau 71. Processus de réception des lettres de l’Agence adressées à l’entreprise

Base : (PME) Échantillon fractionné : module de service, tous les répondants (n = 415)

Processus de réception d’une lettre  Total
N = 415
En activité depuis 10 ans ou moins En activité depuis plus de 10 ans Entreprise à propriétaire unique
(n = 214)
Société de personnes
(n = 63)
Entreprise constituée en société
Je la lirais et m’en occuperais moi-même 56 % 57 % 56 % 62 % 54 % 57 %
Je la lirais et la donnerais à mon comptable ou à mon service financier pour qu’il s’en occupe 36 % 34 % 39 % 32 % 40 % 37 %
Je la donnerais à mon comptable ou à mon service financier sans la lire 6 % 7 % 3 % 3 % 5 % 5 %
Je ne sais pas/Refus 2 % 2 % 2 % 2 % 2 % 2 %
EB-8. Si vous receviez une lettre de l’Agence adressée à votre entreprise, que seriez-vous le plus susceptible de faire?

On a demandé aux répondants qui remettraient la lettre de l’Agence à leur comptable s’ils avaient un ou plusieurs employés dédiés qui traitaient avec l’Agence. Environ deux entreprises sur cinq (40 %) avaient du personnel spécialisé pour traiter avec l’Agence au nom de l’organisation, tandis que 57 % n’en avaient pas.

Tableau 72. Employés dédiés qui traitent avec l’Agence au nom de l’organisation

Base : (PME) Échantillon fractionné : module de service, répondants qui remettraient la lettre à leur comptable (n = 174)

Employés dédiés qui traitent avec l’Agence Total
(n = 174)
En activité depuis 10 ans ou moins En activité depuis plus de 10 ans Entreprise à propriétaire unique
(n = 76)
Société de personnes
(n = 28)
Entreprise constituée en société
Oui 40 % 43 % 37 % 33 % 57 % 27 %
Non 57 % 55 % 61 % 64 % 43 % 65 %
Je ne sais pas/Refus 2 % 2 % 3 % 3 % - 8 %
EB-9. Votre organisation a-t-elle des employés dédiés qui traitent avec l’Agence au nom de votre organisation?

On a demandé aux entreprises canadiennes de préciser la fréquence à laquelle elles exécutaient une série d’activités opérationnelles en ligne. Parmi les services compris, les services bancaires en ligne (70 %) étaient les plus susceptibles d’être utilisés fréquemment, suivis des paiements en ligne (59 %). Pas tout à fait la moitié des PME canadiennes interrogées ont également déclaré recevoir des factures par voie électronique (46 %) ou faire des achats en ligne (45 %) sur une base fréquente. Plus de deux entreprises sur cinq effectuent fréquemment l’envoi de factures par voie électronique (42 %), tandis que plus d’un tiers maintiennent fréquemment le site Web d’une entreprise (39 %), ainsi que l’envoi ou la réception de transferts électroniques (38 %).

Tableau 73. Fréquence d’exécution d’activités opérationnelles en ligne

Base : (PME) Échantillon fractionné : module de service, tous les répondants (n = 415)

Fréquence des activités opérationnelles Fréquemment Parfois Rarement Jamais Je ne sais pas
Services bancaires en ligne 70 % 20 % 6 % 3 %  
Effectuer des paiements en ligne 59 % 29 % 7 % 4 %  
Recevoir des factures par voie électronique 46 % 33 % 13 % 7 % 1 %
Faire des achats en ligne 45 % 39 % 10 % 5 %  
Envoyer des factures par voie électronique 42 % 28 % 15 % 13 % 1 %
Maintenir un site Web d’entreprise 39 % 20 % 12 % 27 % 1 %
Envoyer ou recevoir des transferts d’argent électronique (virements électroniques) 38 % 36 % 17 % 9 % -
E-10. Veuillez indiquer si votre entreprise fait chacune des activités suivantes fréquemment, parfois, rarement ou jamais.

En ce qui concerne les activités opérationnelles en ligne, voici des constatations pertinentes liées aux sous-segments :

Maintenir un site Web d’entreprise (47 % contre 28 %).

Utilisation et satisfaction à l’égard des renseignements fiscaux sur le site Web Canada.ca

On a demandé aux entreprises si elles avaient déjà consulté le site Web Canada.ca pour obtenir des renseignements liés aux impôts. Plus des deux tiers des PME (71 %) ont indiqué avoir consulté le site pour y chercher des renseignements liés aux impôts, tandis qu’un quart ne l’a pas fait.

Tableau 74. Déjà consulté le site Web Canada.ca pour y chercher des renseignements liés aux impôts

Base : (PME) Échantillon fractionné : module de service, tous les répondants (n = 415)

Déjà consulté le site Web Canada.ca Total
(n = 415)
En activité depuis 10 ans ou moins
(n = 230)
En activité depuis plus de 10 ans
(n = 185)
Entreprise à propriétaire unique
(n = 214)
Société de personnes
(n = 63)
Entreprise constituée en société
(n = 63)
Oui 71 % 73 % 70 % 71 % 68 % 73 %
Non 25 % 23 % 26 % 23 % 30 % 22 %
Je ne sais pas/Refus 4 % 4 % 4 % 6 % 2 % 5 %
E-11. Avez-vous déjà consulté les pages sur l’impôt du site Web Canada.ca pour y chercher des renseignements liés aux impôts?

Dans l’ensemble de l’échantillon de PME, les personnes les plus susceptibles d’avoir visité le site Web de l’impôt sur Canada.ca comprenaient ce qui suit :

On a demandé aux entreprises qui avaient consulté le site Web Canada.ca pour y chercher des renseignements liés aux impôts d’indiquer leur niveau d’accord avec une série d’indicateurs liés au site Web. Pour ce faire, elles devaient utiliser une échelle de 1 à 10, 1 signifiant « Tout à fait en désaccord » et 10, « Tout à fait en accord ». Plus de la moitié des répondants (55 %) sont fortement d’accord (cotes de 8 à 10) pour dire que le site Web fournit les renseignements dont ils ont besoin. Près de la moitié a convenu que les renseignements fournis étaient faciles à comprendre (49 %) et à trouver (46 %).

Chaque indicateur a fait l’objet d’un niveau d’accord moyen modéré au sein des PME canadiennes.

Tableau 75. Perceptions du site Web Canada.ca

Base : (PME) Échantillon fractionné : module de service, répondants qui ont consulté le site Web Canada.ca pour y chercher des renseignements liés aux impôts (n = 296)

Énoncés d’impression 8 – 10 4 – 7 1 – 3 SP/RR Moyenne
Le site Web vous fournit les renseignements dont vous avez besoin. 55 % 36 % 7 % 1 % 7,3
Les renseignements fournis sur les pages sur l’impôt du site Web Canada.ca sont faciles à comprendre. 49 % 41 % 9 % < 1 % 7,1
Il est facile de trouver les renseignements que je cherche. 46 % 39 % 16 % - 6,7
E-12.Dans quelle mesure êtes-vous d’accord ou en désaccord avec les énoncés suivants au sujet des pages sur l’impôt du site Web Canada.ca?

En ce qui concerne les indicateurs d’évaluation du site Web, les constatations découlant des sous-groupes pertinents comprennent les suivantes :

Fardeau en matière de production de déclarations de revenus

On a demandé aux entreprises d’indiquer leur niveau d’accord avec une série d’indicateurs liés à la perception en matière de production de déclarations de revenus. Pour ce faire, elles devaient utiliser une échelle de 1 à 10, la cote 1 signifiant « tout à fait en désaccord » et la cote 10, « tout à fait en accord ». Près de la moitié des PME (49 %) étaient fortement d’accord (cotes de 8 à 10) pour dire qu’au cours de la dernière année, ils avaient passé moins de temps à chercher les renseignements nécessaires pour remplir leurs obligations fiscales. Plus de deux entreprises sur cinq sont fortement d’accord pour dire que l’Agence prend en considération leurs besoins lorsqu’elle élabore des produits et des services (42 %), et que les nouveaux produits et services répondent aux impératifs liés aux affaires (42 %).

Tableau 76. Perceptions du processus de production des déclarations de revenus d’entreprise

Base : (PME) Échantillon fractionné : module de service, tous les répondants (n = 415)

Énoncés d’impression 8 – 10 4 – 7 1 – 3 SP/RR Moyenne
Au cours de la dernière année, j’ai mis moins de temps à chercher les renseignements dont j’avais besoin pour remplir les obligations de mon entreprise auprès de l’Agence. 49 % 35 % 12 % 4 % 6,9
L’Agence prend en considération les besoins des entreprises lorsqu’elle élabore de nouveaux produits et services. 42 % 34 % 11 % 13 % 6,9
L’Agence élabore de nouveaux produits et services qui répondent bien aux impératifs liés aux affaires. 42 % 34 % 11 % 13 % 6,8
EB-13. En pensant à [PME : votre entreprise] [Intermédiaires fiscaux : vos clients d’entreprise], veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d’accord ou en désaccord avec les énoncés suivants.

En ce qui concerne les indicateurs liés aux déclarations de revenus d’entreprise, les constatations découlant des sous-groupes pertinents comprennent les suivantes :

On a demandé aux entreprises d’évaluer la mesure dans laquelle le respect de leurs obligations fiscales représentait un fardeau. Pour ce faire, elles devaient utiliser une échelle de 1 à 10, 1 signifiant « pas du tout un fardeau » et 10, « énorme fardeau ». La majorité des répondants ont fourni une cote de fardeau de haut niveau (cotes de 8 à 10) (40 %) ou une cote modérée (cotes de 4 à 7) (37 %). Les 22 % restants ont indiqué qu’ils respectaient leurs obligations en matière de production de déclarations de revenus des entreprises entre 1 et 3. Ce résultat représente une cote de confiance moyenne de 6,2, soit une cote neutre.

Tableau 77. Fardeau perçu du respect des obligations de l’entreprise en matière de production de déclarations

Base : (PME) Échantillon fractionné : module de service, tous les répondants (n = 415)

Cote de fardeau Total
(n = 415)
En activité depuis 10 ans ou moins
(n = 230)
En activité depuis plus de 10 ans
(n = 185)
Entreprise à propriétaire unique
(n = 214)
Société de personnes
(n = 63)
Entreprise constituée en société
(n = 63)
8 – 10 40 % 45 % 35 % 29 % 52 % 30 %
4 – 7 37 % 36 % 38 % 44 % 27 % 43 %
1 – 3 22 % 18 % 27 % 26 % 21 % 25 %
Je ne sais pas 1 % 1 % 1 % 1 % - 2 %
Moyenne 6,2 6,4 5,9 5,5 6,8 5,7
EB-14. Sur une échelle de 1 à 10, à quel point est-ce un fardeau pour [PME : votre entreprise de respecter ses obligations en matière de production de déclarations][Intermédiaires fiscaux : vous de respecter les obligations en matière de production de déclarations pour vos clients d’entreprises]?

Voici d’autres comparaisons entre les sous-groupes en ce qui concerne les cotes moyennes de fardeau :

Intermédiaires fiscaux

Préférences de contact lors des interactions avec l’Agence

On a demandé aux intermédiaires fiscaux de décrire comment elles préféreraient recevoir le service ou les renseignements lors de différentes circonstances quand elles traitent avec l’Agence. En ce qui concerne la réception de renseignements de base, près de 2 intermédiaires fiscaux sur 5 (38 %) ont précisé qu’ils préféreraient visiter les pages sur l’impôt sur le site Web Canada.ca, tandis que 20 % choisiraient de communiquer avec l’Agence par téléphone. Un plus petit nombre communiquerait avec l’Agence au moyen d’une fonction de clavardage en ligne (12 %) ou lui enverrait un courriel (10 %). D’autres mentions comprennent la communication avec l’Agence par l’intermédiaire des médias sociaux (8 %); par la poste (6 %) ou par l’envoi d’une télécopie à l’Agence (4 %).

Tableau 78. Source de service privilégiée pour des renseignements de base

Base : (Intermédiaires fiscaux) Échantillon fractionné : module de service, tous les répondants (n = 393)

Source privilégiée pour des renseignements de base Total
(n = 393)
En activité depuis 10 ans ou moins En activité depuis plus de 10 ans Communication au cours des 12 derniers mois Aucune communication au cours des 12 derniers mois
Consulter les pages de l’impôt du site Web Canada.ca 38 % 34 % 43 % 36 % 43 %
Communiquer avec l’Agence par téléphone 20 % 19 % 22 % 23 % 13 %
Communiquer avec l’Agence au moyen d’une fonction de clavardage en ligne 12 % 13 % 12 % 12 % 13 %
Envoyer un courriel à l’Agence 10 % 12 % 8 % 11 % 10 %
Communiquer avec l’Agence par l’intermédiaire des médias sociaux 8 % 8 % 7 % 9 % 7 %
Envoyer une lettre à l’Agence 6 % 8 % 3 % 4 % 8 %
Envoyer une télécopie à l’Agence 4 % 4 % 3 % 4 % 2 %
Je ne sais pas 2 % 2 % 2 % 1 % 4 %
E-2. Vous verrez maintenant des situations où vous pourriez avoir à traiter avec l’Agence. Pour chacune d’entre elles, indiquez comment vous SOUHAITERIEZ recevoir le service ou les renseignements de l’Agence, si vous vouliez des renseignements de base.

Voici d’autres comparaisons entre les sous-groupes en ce qui concerne la réception de renseignements généraux :

On a ensuite demandé aux intermédiaires fiscaux de décrire comment ils souhaiteraient recevoir le service ou les renseignements lorsqu’ils ont besoin de précisions sur des renseignements envoyés par l’Agence. Cette fois-ci, la communication par téléphone était une priorité (40 %), alors que visiter les pages sur l’impôt du site Web Canada.ca (16 %) ou envoyer un courriel à l’Agence (15 %) étaient des moyens moins priorisés. Environ une personne sur dix préférerait communiquer avec l’Agence au moyen d’une fonction de clavardage en ligne (12 %) ou par la poste (9 %) lorsqu’il s’agit de demander des précisions, tandis que les autres mentions sont inférieures à ce seuil.

Tableau 79. Source privilégiée de service ou de renseignements pour obtenir des précisions sur des renseignements envoyés par l’Agence

Base : (Intermédiaires fiscaux) Échantillon fractionné : module de service, tous les répondants (n = 393)

Source privilégiée pour obtenir des précisions sur des renseignements envoyés par l’Agence Total
(n = 393)
En activité depuis 10 ans ou moins En activité depuis plus de 10 ans Communication au cours des 12 derniers mois Aucune communication au cours des 12 derniers mois
Communiquer avec l’Agence par téléphone 40 % 36 % 43 % 41 % 33 %
Consulter les pages de l’impôt du site Web Canada.ca 16 % 16 % 15 % 13 % 23 %
Envoyer un courriel à l’Agence 15 % 16 % 13 % 14 % 17 %
Communiquer avec l’Agence au moyen d’une fonction de clavardage en ligne 12 % 9 % 15 % 12 % 11 %
Envoyer une lettre à l’Agence 9 % 11 % 7 % 10 % 5 %
Communiquer avec l’Agence par l’intermédiaire des médias sociaux 5 % 5 % 4 % 5 % 3 %
Envoyer une télécopie à l’Agence 2 % 3 % 1 % 2 % 2 %
Je ne sais pas 2 % 2 % 2 % 1 % 4 %
E-2. Vous verrez maintenant des situations où vous pourriez avoir à traiter avec l’Agence. Pour chacune d’entre elles, indiquez comment vous SOUHAITERIEZ recevoir le service ou les renseignements de l’Agence, si vous aviez besoin de précisions sur des renseignements que l’Agence vous a envoyés.

Voici d’autres comparaisons entre les sous-groupes en ce qui concerne la réception de précisions sur des renseignements envoyés par l’Agence :

On a ensuite demandé aux intermédiaires fiscaux de décrire comment ils souhaiteraient recevoir le service ou les renseignements lorsqu’ils ont besoin d’aide concernant une situation fiscale personnelle. Plus de deux intermédiaires fiscaux sur cinq (44 %) ont précisé qu’ils préféreraient communiquer avec l’Agence par téléphone. Plus d’un intermédiaire fiscal sur dix consulterait les pages de l’impôt du site Web Canada.ca (14 %) ou communiquerait avec l’Agence avec la fonction du clavardage en ligne (12 %). Environ une personne sur dix communiquerait avec l’Agence par courriel (10 %) ou par la poste (7 %). D’autres réponses mentionnent la communication avec l’Agence par l’intermédiaire des médias sociaux (5 %) ou envoyer une télécopie à l’Agence (4 %).

Tableau 80. Source de service privilégiée pour obtenir de l’aide concernant une situation fiscale personnelle

Base : (Intermédiaires fiscaux) Échantillon fractionné : module de service, tous les répondants (n = 393)

Source privilégiée pour obtenir de l’aide concernant une situation fiscale personnelle Total
(n = 393)
En activité depuis 10 ans ou moins En activité depuis plus de 10 ans Communication au cours des 12 derniers mois Aucune communication au cours des 12 derniers mois
Communiquer avec l’Agence par téléphone 44 % 40 % 49 % 45 % 40 %
Consulter les pages de l’impôt du site Web Canada.ca 14 % 15 % 13 % 14 % 12 %
Communiquer avec l’Agence au moyen d’une fonction de clavardage en ligne 12 % 14 % 11 % 14 % 10 %
Envoyer un courriel à l’Agence 10 % 12 % 8 % 9 % 15 %
Envoyer une lettre à l’Agence 7 % 6 % 7 % 7 % 8 %
Communiquer avec l’Agence par l’intermédiaire des médias sociaux 5 % 6 % 5 % 5 % 7 %
Envoyer une télécopie à l’Agence 4 % 4 % 4 % 5 % 3 %
Je ne sais pas 2 % 2 % 3 % 1 % 5 %
E-2. Vous verrez maintenant des situations où vous pourriez avoir à traiter avec l’Agence. Pour chacune d’entre elles, indiquez comment vous SOUHAITERIEZ recevoir le service ou les renseignements de l’Agence, si vous aviez besoin d’aide pour une situation fiscale personnelle (intermédiaires fiscaux : pour un client), comme les impôts dus sur un héritage.

Voici d’autres comparaisons entre les sous-groupes en ce qui concerne la réception d’aide concernant une situation fiscale personnelle :

Confiance à l’égard du règlement des désaccords fiscaux

On a demandé aux intermédiaires fiscaux canadiens d’évaluer leur niveau de confiance à l’égard du règlement de tout désaccord éventuel avec l’Agence. Les répondants ont indiqué leur niveau de confiance sur une échelle de 1 à 10, 1 signifiant « aucune confiance » et 10, « extrêmement confiant ».

Plus de deux intermédiaires fiscaux sur cinq ont fourni un niveau de confiance élevé (cotes de 8 à 10) (43 %) ou un niveau de confiance modéré (cotes de 4 à 7) (43 %). Plus de 1 répondant sur 10 (12 %) s’est dit peu confiant (cotes de 1 à 3) que le désaccord serait réglé. Ce résultat représente une cote de confiance moyenne de 6,6.

Tableau 81. Confiance perçue à l’égard du règlement des désaccords fiscaux avec l’Agence

Base : (Intermédiaires fiscaux) Échantillon fractionné : module de service, tous les répondants (n = 393)

Cote de confiance Total
(n = 393)
En activité depuis 10 ans ou moins En activité depuis plus de 10 ans Communication au cours des 12 derniers mois Aucune communication au cours des 12 derniers mois
8 – 10 43 % 42 % 43 % 45 % 39 %
4 – 7 43 % 43 % 43 % 38 % 52 %
1 – 3 12 % 12 % 13 % 16 % 7 %
Je ne sais pas 2 % 2 % 1 % 1 % 2 %
Moyenne 6,6 6,6 6,6 6,6 6,7
E-3. Si vous aviez un désaccord avec l’Agence au sujet [PME : de vos impôts d’entreprise] [Intermédiaires fiscaux : des impôts d’un client ou d’une entreprise], dans quelle mesure êtes-vous confiant que la situation se règlerait? Veuillez utiliser une échelle de 1 à 10, où 1 signifie que vous n’auriez aucune confiance et 10 signifie que vous auriez beaucoup de confiance.

En moyenne, les cotes de confiance étaient plus élevées dans les sous-groupes suivants :

À l’aide de la même échelle de confiance, on a demandé aux répondants d’évaluer leur niveau de confiance que le processus de résolution serait mené de façon équitable en cas de désaccord. Environ deux intermédiaires sur cinq (40 %) ont indiqué un niveau élevé de confiance (cotes de 8 à 10), tandis qu’environ la moitié (46 %) ont indiqué un niveau modéré de confiance (cotes de 4 à 7). Moins de répondant (11 %) ont indiqué être peu confiant (cotes de 1 à 3) que le processus serait exécuté de façon équitable. Ce résultat représente une cote de confiance moyenne de 6,6, soit une cote neutre.

Tableau 82. Confiance perçue à l’égard du caractère équitable du processus de règlement des désaccords fiscaux avec l’Agence

Base : (Intermédiaires fiscaux) Échantillon fractionné : module de service, tous les répondants (n = 393)

Cote de confiance Total
(n = 393)
En activité depuis 10 ans ou moins En activité depuis plus de 10 ans Communication au cours des 12 derniers mois Aucune communication au cours des 12 derniers mois
8 – 10 40 % 42 % 38 % 42 % 37 %
4 – 7 46 % 45 % 47 % 42 % 55 %
1 – 3 11 % 10 % 12 % 13 % 7 %
Je ne sais pas 3 % 2 % 2 % 2 % 2 %
Moyenne 6,6 6,7 6,5 6,6 6,7
E-4. Si vous aviez un désaccord avec l’Agence au sujet [PME : de vos impôts d’entreprise][Intermédiaires fiscaux : des impôts d’un client ou d’une entreprise], dans quelle mesure êtes-vous confiant que le processus serait exécuté de façon équitable?

Les constatations pertinentes des sous-groupes pour ce qui est de l’équité perçue de la résolution d’un désaccord fiscal comprennent ce qui suit :

Énoncés sur la prestation de services

On a demandé aux intermédiaires fiscaux d’indiquer, en fonction de leurs perceptions de l’Agence, leur niveau d’accord avec une série d’énoncés sur la prestation de services. Pour ce faire, ils devaient utiliser une échelle de 1 à 10, la cote 1 signifiant « tout à fait en désaccord » et la cote 10, « tout à fait en accord ».

Plus de quatre répondants sur cinq (67 %) sont fortement d’accord (cotes de 8 à 10) pour dire que lorsqu’ils communiquent avec l’Agence par téléphone, ils sont en mesure d’être servis dans la langue officielle de leur choix. La moitié des intermédiaires fiscaux ont convenu qu’ils savent comment accéder aux prestations et aux crédits fiscaux auxquels leurs clients ont droit (50 %), tandis que 47 % estiment que l’Agence offre des services en ligne qui répondent à leurs besoins. Un autre 43 % des intermédiaires fiscaux ont convenu qu’ils étaient bien informés au sujet des services que l’Agence a à offrir.

Tableau 83. Perceptions du service

Base : (Intermédiaires fiscaux) Échantillon fractionné : module de service, tous les répondants (n = 393)

Énoncés d’impression 8 – 10 4 – 7 1 – 3 SP/RR Moyenne
Lorsque je communique avec l’Agence par téléphone, je suis en mesure d’être servi dans la langue officielle de mon choix, c’est-à-dire le français ou l’anglais. 67 % 26 % 5 % 2 % 8,0
Je sais comment accéder aux prestations et aux crédits d’impôt auxquels mes clients ont droit. 50 % 41 % 7 % 2 % 7,3
L’Agence offre des services en ligne qui répondent à vos besoins. 47 % 42 % 10 % 1 % 6,9
Je me sens bien informé des services offerts par l’Agence. 43 % 45 % 11 % 1 % 6,7

Voici d’autres constatations pertinentes concernant divers sous-groupes :

Inscription aux services en ligne

On a demandé aux intermédiaires fiscaux canadiens de préciser s’ils étaient actuellement inscrits au portail fiscal sécurisé Représenter un client de l’Agence. Plus de la moitié des intermédiaires fiscaux (55 %) ont déclaré avoir un compte, tandis que plus d’un tiers (37 %) n’en avait pas. Moins d’un intermédiaire fiscal sur dix (8 %) n’était pas certain d’utiliser le portail fiscal sécurisé de l’Agence ou a refusé de répondre.

Tableau 84. Inscription au service en ligne Représenter un client de l’Agence

Base : (Intermédiaires fiscaux) Échantillon fractionné : module de service, tous les répondants (n = 393)

Inscription au service Représenter un client Total
(n = 393)
En activité depuis 10 ans ou moins
(n = 203)
En activité depuis plus de 10 ans
(n = 178)
Communication au cours des 12 derniers mois
(n = 256)
Aucune communication au cours des 12 derniers mois
(n = 115)
Oui 55 % 55 % 57 % 64 % 37 %
Non 37 % 39 % 35 % 29 % 56 %
Je ne sais pas/Refus 8 % 6 % 7 % 7 % 8 %
E-6. Vous êtes-vous inscrit au service en ligne [PME : Mon dossier d’entreprise][Intermédiaires fiscaux : Représenter un client] de l’Agence?

Dans l’ensemble des sous-groupes démographiques, les personnes suivantes étaient plus susceptibles de déclarer être inscrites aux services en ligne Représenter un client :

On a demandé aux intermédiaires fiscaux canadiens dont la plus récente communication avec l’Agence s’était déroulée par téléphone de décrire la raison pour laquelle ils n’avaient pas utilisé le portail fiscal sécurisé Représenter un client (RUC). Près du tiers des répondants (32 %) ont mentionné l’accès à l’information, et près du cinquième (18 %) a précisément indiqué la nécessité d’obtenir des précisions sur les renseignements reçus de l’Agence. Un quart des intermédiaires fiscaux (27 %) qui ont choisi d’interagir avec l’Agence par téléphone mentionnent la « commodité » comme raisonnement derrière l’utilisation de ce moyen d’interaction, tandis que plus d’un sur dix (12 %) a mentionné des problèmes liés à l’accès au site ou au verrouillage de son compte. Les préoccupations en matière de sécurité ou de protection des renseignements personnels qui utilisent le portail en ligne ont été mentionnées par une personne sur dix (9 %).

Tableau 85. Raison d’avoir communiqué avec l’Agence par téléphone au lieu d’avoir utilisé le service en ligne Représenter un client

Base : (Intermédiaires fiscaux) Échantillon fractionné, module de service, répondants qui ont communiqué avec l’Agence par téléphone (n = 74)

Raisons de l’appel Total
(n = 74)
Renseignements (réseau) 32 %
  Il est beaucoup plus facile d’obtenir ou de rassembler les bons renseignements 5 %
  Je n’ai pas pu obtenir les bons renseignements au moyen de RUC. 5 %
  Taxes/renseignements fiscaux 3 %
  Je n’ai pas pu trouver de réponses sur le site Web 1 %
  Précisions (sous-réseau) 18 %
    Je voulais des précisions approfondies sur des demandes de renseignements ou des réponses claires 12 %
    Meilleure compréhension ou plus d’explications 5 %
Commodité (réseau) 27 %
   Je veux une transaction plus rapide 11 %
   C’était plus pratique, plus facile ou plus simple 9 %
   J’aime mieux parler à un humain qu’utiliser un service en ligne ou une fonction de clavardage 7 %
Accès (réseau) 12 %
   J’ai de la difficulté à accéder au site ou mon compte a été verrouillé 12 %
Sécurité ou protection des renseignements personnels (réseau) 9 %
 Demande de renseignements délicate et nécessitant une attention personnelle (impôts, entreprise, prestations, etc.) 9 %
Divers (réseau) 9 %
  Besoin d’aide immédiate/résolution immédiate des problèmes 7 %
  On m’a demandé d’appeler, un appel est nécessaire ou je ne fais que rappeler 1 %
  C’est plus efficace ou efficient 1 %
Autre 5 %
Je ne sais pas/Refus 4 %
E-7. Vous avez indiqué plus tôt que votre dernier contact était par téléphone. Quelle est la principale raison pour laquelle vous avez décidé d’appeler au lieu d’utiliser le portail [PME : Mon dossier d’entreprise][Intermédiaires fiscaux : Représenter un client]?

Utilisation et satisfaction à l’égard des renseignements fiscaux sur le site Web Canada.ca

On a demandé aux intermédiaires fiscaux d’indiquer s’ils avaient déjà consulté le site Web Canada.ca pour obtenir des renseignements liés aux impôts. Plus de quatre intermédiaires fiscaux sur cinq (84 %) ont indiqué avoir consulté le site pour obtenir des renseignements fiscaux, tandis que plus d’un sur dix (13 %) ne l’a pas fait.

Tableau 86. Déjà consulté le site Web Canada.ca pour y chercher des renseignements liés aux impôts

Base : (Intermédiaires fiscaux) Échantillon fractionné : module de service, tous les répondants (n = 393)

Déjà consulté le site Web Canada.ca Total
(n = 393)
En activité depuis 10 ans ou moins
(n = 203)
En activité depuis plus de 10 ans
(n = 178)
Communication au cours des 12 derniers mois
(n = 256)
Aucune communication au cours des 12 derniers mois
(n = 115)
Oui 84 % 83 % 87 % 88 % 78 %
Non 13 % 13 % 12 % 10 % 19 %
Je ne sais pas/Refus 3 % 4 % 1 % 2 % 3 %
E-11. Avez-vous déjà consulté les pages sur l’impôt du site Web Canada.ca pour y chercher des renseignements liés aux impôts?

Les répondants qui ont indiqué être inscrits au portail fiscal sécurisé Représenter un client ont plus tendance que ceux qui ne sont pas inscrits à avoir déjà consulté le site Web Canada.ca (91 % par rapport à 77 %).

On a demandé aux intermédiaires fiscaux qui avaient consulté le site Web Canada.ca pour y chercher des renseignements liés aux impôts d’indiquer leur niveau d’accord avec une série d’indicateurs liés au site Web. Pour ce faire, ils devaient utiliser une échelle de 1 à 10, 1 signifiant « Tout à fait en désaccord » et 10, « Tout à fait en accord ». Plus de la moitié des répondants (53 %) sont fortement d’accord (cotes de 8 à 10) pour dire que le site Web fournit les renseignements dont ils ont besoin. Près de la moitié des intermédiaires fiscaux ont convenu que les renseignements fournis étaient faciles à comprendre (49 %), tandis que plus de deux répondants sur cinq estimaient que les renseignements étaient faciles à trouver (44 %).

Tableau 87. Perceptions du site Web Canada.ca

Base : (Intermédiaires fiscaux) Échantillon fractionné : module de service, répondants qui ont consulté le site Web Canada.ca pour y chercher des renseignements liés aux impôts (n = 330)

Énoncés d’impression 8 – 10 4 – 7 1 – 3 SP/RR Moyenne
Le site Web vous fournit les renseignements dont vous avez besoin. 53 % 40 % 5 % - 7,3
Les renseignements fournis sur les pages sur l’impôt du site Web Canada.ca sont faciles à comprendre. 49 % 42 % 8 % - 7,1
Il est facile de trouver les renseignements que je cherche. 44 % 45 % 11 % - 6,9
E-12. Dans quelle mesure êtes-vous d’accord ou en désaccord avec les énoncés suivants au sujet des pages sur l’impôt du site Web Canada.ca?

Les intermédiaires fiscaux qui étaient inscrits au service Représenter un client avaient tendance à fournir des cotes d’accord moyennes plus élevées pour les mesures suivantes que celles qui n’étaient pas inscrites :

Fardeau en matière de production de déclarations de revenus

On a demandé aux intermédiaires fiscaux d’indiquer leur niveau d’accord avec une série d’indicateurs liés à la perception en matière de production de déclarations de revenus. Pour ce faire, ils devaient utiliser une échelle de 1 à 10, la cote 1 signifiant « tout à fait en désaccord » et la cote 10, « tout à fait en accord ». Environ deux répondants sur cinq avaient un niveau élevé d’accord (cotes de 8 à 10) sur le fait que l’Agence tient compte de leurs besoins lors de l’élaboration de produits et de services (40 %). Près de deux intermédiaires fiscaux sur cinq ont convenu qu’ils ont passé moins de temps à chercher les renseignements requis pour respecter les obligations fiscales des entreprises au cours de la dernière année (39 %) et que les nouveaux produits et services sont conformes aux réalités de la conduite des affaires (38 %).

En examinant les cotes d’accord moyennes, chaque mesure a reçu une cote neutre entre 4 et 7.

Tableau 88. Perceptions du processus de production des déclarations de revenus d’entreprise

Base : (Intermédiaires fiscaux) Échantillon fractionné : module de service, tous les répondants (n = 393)

Énoncés d’impression 8 – 10 4 – 7 1 – 3 SP/RR Moyenne
L’Agence prend en considération les besoins des entreprises lorsqu’elle élabore de nouveaux produits et services. 40 % 46 % 8 % 6 % 6,8
Au cours de la dernière année, j’ai mis moins de temps à chercher les renseignements dont j’avais besoin pour remplir les obligations de mes clients d’entreprise auprès de l’Agence. 39 % 45 % 11 % 5 % 6,6
L’Agence élabore de nouveaux produits et services qui répondent bien aux impératifs liés aux affaires. 38 % 46 % 12 % 5 % 6,6
EB-13. En pensant à [PME : votre entreprise] [Intermédiaires fiscaux : vos clients d’entreprise], veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d’accord ou en désaccord avec les énoncés suivants.

Les tendances des sous-groupes suivants sont ressorties parmi les cotes d’accord moyennes pour les énoncés du processus de production de déclarations de revenus des entreprises :

On a demandé aux intermédiaires fiscaux d’évaluer la mesure dans laquelle le respect de leurs obligations fiscales représentait un fardeau. Pour ce faire, ils devaient utiliser une échelle de 1 à 10, 1 signifiant « pas du tout un fardeau » et 10, « énorme fardeau ». Plus du quart des intermédiaires fiscaux (26 %) ont indiqué un niveau élevé de fardeau (cotes de 8 à 10), tandis que près de la moitié (48 %) a attribué une cote modérée (cotes de 4 à 7). Plus d’un répondant sur cinq (22 %) a indiqué que le respect des obligations de leur entreprise en matière de production de déclarations représentait un faible niveau de fardeau (cotes de 1 à 3). Ce résultat représente une cote de confiance moyenne de 5,6.

Tableau 89. Fardeau perçu du respect des obligations de l’entreprise en matière de production de déclarations

Base : (Intermédiaires fiscaux) Échantillon fractionné : module de service, tous les répondants (n = 393)

Cote de fardeau Total
(n = 393)
En activité depuis 10 ans ou moins
(n = 203)
En activité depuis plus de 10 ans
(n = 178)
Communication au cours des 12 derniers mois
(n = 256)
Aucune communication au cours des 12 derniers mois
(n = 115)
8 – 10 26 % 28 % 25 % 29 % 21 %
4 – 7 48 % 53 % 44 % 48 % 50 %
1 – 3 22 % 18 % 28 % 23 % 24 %
Je ne sais pas 3 % 2 % 3 % 1 % 5 %
Moyenne 5,6 5,9 5,4 5,7 5,4
EB-14. Sur une échelle de 1 à 10, à quel point est-ce un fardeau pour [PME : votre entreprise de respecter ses obligations en matière de production de déclarations][Intermédiaires fiscaux : vous de respecter les obligations en matière de production de déclarations pour vos clients d’entreprises]?

Attitudes à l’égard de l’observation fiscale

Population générale

Équité

On a demandé aux Canadiens de préciser si l’impôt qu’ils payaient était représentatif des services qu’ils recevaient des gouvernements. La plupart des répondants étaient d’avis qu’ils avaient payé trop d’impôt, y compris 33 % qui estimaient avoir payé beaucoup trop cher et 23 % qui estimaient avoir payé un peu trop cher, tandis qu’un tiers (35 %) estimaient avoir payé à peu près le bon montant. Peu d’entre eux (5 %) estimaient avoir payé trop peu.

Tableau 90. Impôt que les Canadiens paient par rapport aux services reçus des gouvernements

Base : (Population générale) Échantillon fractionné : module d’observation fiscale, tous les répondants (n = 1 205)

Impôt et services reçus Total
(n = 1 205)
Atlantique
(n = 124)
Qc
(n = 282)
Ont./
Nt
(n = 401)
Man./
Sask.
(n = 126)
Alb./
T.N.-O.
(n = 116)
C.-B./
Yn
(n = 156)
De 18 
à 24 ans
(n = 65)
De 25 
à 34 ans
(n = 143)
De 35 à 49 ans
(n = 271)
De 50 à 64 ans
(n = 320)
65 ans et plus
(n = 402)
Beaucoup trop 33 % 35 % 33 % 31 % 42 % 34 % 33 % 26 % 32 % 38 % 36 % 28 %
Un peu trop 23 % 22 % 20 % 24 % 25 % 29 % 18 % 31 % 22 % 24 % 24 % 18 %
Juste assez 35 % 32 % 39 % 33 % 24 % 29 % 42 % 30 % 36 % 31 % 31 % 44 %
Trop peu 5 % 5 % 5 % 5 % 6 % 4 % 4 % 3 % 4 % 6 % 5 % 5 %
Je ne sais pas/
Je refuse de répondre
5 % 6 % 3 % 6 % 3 % 4 % 3 % 10 % 5 % 2 % 5 % 6 %
F-5. Si vous comparez l’impôt payé par l’ensemble des Canadiens et Canadiennesaux services offerts par les gouvernements, pensez-vous qu’ilspaient trop d’impôt, juste assez d’impôt ou pas assez d’impôt?

D’autres comparaisons de sous-groupes révèlent les différences importantes suivantes :

Attraper les fraudeurs fiscaux

On a demandé aux Canadiens d’évaluer la probabilité que les fraudeurs fiscaux se fassent prendre par l’Agence. Pour ce faire, ils devaient utiliser une échelle de 1 à 10, 1 signifiant « pas du tout probable » et 10, « très probable ». Le quart des répondants ont attribué une cote de probabilité élevée (cotes de 8 à 10) (25 %), tandis que la moitié a attribué une cote modérée (cotes de 4 à 7) (50 %). Peu d’entre eux (17 %) se disaient d’avis que la probabilité que les fraudeurs fiscaux se fassent prendre au Canada est faible (cotes de 1 à 3). Il est ainsi possible d’établir une cote de probabilité moyenne de 5,8, soit une cote neutre.

Tableau 91. Probabilité perçue que les fraudeurs fiscaux se font prendre au Canada

Base : (Population générale) Échantillon fractionné : module d’observation fiscale, tous les répondants (n = 1 205)

Probabilité que les fraudeurs fiscaux se font prendre Total
(n = 1 205)
Atlantique
(n = 124)
Qc
(n = 282)
Ont./
Nt
(n = 401)
Man./
Sask.
(n = 126)
Alb./
T.N.-O.
(n = 116)
C.-B./
Yn
(n = 156)
De 18
 à 24 ans
(n = 65)
De 25
 à 34 ans
(n = 143)
De 35 à 49 ans
(n = 271)
De 50 à 64 ans
(n = 320)
65 ans et plus
(n = 402)
8 – 10 25 % 23 % 28 % 22 % 31 % 24 % 27 % 32 % 28 % 27 % 20 % 22 %
4 – 7 50 % 52 % 51 % 50 % 40 % 51 % 51 % 49 % 51 % 51 % 48 % 51 %
1 – 3 17 % 18 % 14 % 18 % 24 % 18 % 13 % 12 % 14 % 14 % 25 % 15 %
Je ne sais pas/
Je refuse de répondre
8 % 8 % 8 % 10 % 5 % 7 % 9 % 7 % 7 % 8 % 7 % 12 %
Moyenne 5,8 5,6 6,1 5,6 5,8 5,8 6,1 6,4 6,0 6,0 5,3 5,8
F-3. Sur une échelle de 1 à 10, où « 1 » signifie « Pas du tout probable » et « 10 » signifie « Très probable », selon vous, dans quelle mesure les Canadiens et les Canadiennes qui trichent dans leurs déclarations de revenus sont-ils susceptibles de se faire prendre?

Dans l’ensemble de la population, les personnes les plus susceptibles de croire que les fraudeurs fiscaux se feront prendre comprennent :

Pour mieux comprendre les perceptions liées à la probabilité que des fraudeurs fiscaux se fassent prendre, on a demandé aux répondants dans quelle mesure ils étaient d’accord que l’Agence attrape réellement ceux qui commettent de la fraude fiscale. Comparables aux résultats présentés ci-dessus, 27 % sont tout à fait d’accord que l’Agence attrape ceux qui commettent de la fraude fiscale.

Tableau 92. Perception d’attraper les fraudeurs fiscaux

Base : (Population générale) Tous les répondants (n = 2 407)

Énoncés d’impression 8 – 10 4 – 7 1 – 3 SP/RR Moyenne
L’Agence attrape les fraudeurs fiscaux. (B-3m) 27 % 43 % 18 % 12 % 5,9
B-3. Comment évalueriez-vous l’Agence pour chacun des énoncés suivants en fonction de vos impressions générales? Pour chaque énoncé, veuillez utiliser une échelle de 1 à 10, où 1 signifie que vous êtes tout à fait en désaccord et 10 signifie que vous êtes tout à fait d’accord.


Les constatations découlant des sous-groupes pertinents concernant ces énoncés comprennent les suivantes :

Perceptions de la fraude fiscale

On a présenté aux Canadiens une série d’énoncés liés à la fraude fiscale et on leur a demandé dans quelle mesure ils étaient d’accord ou en désaccord  avec chacun d’eux en utilisant une échelle de 1 à 10, 1 étant « tout à fait en désaccord » et 10 étant « tout à fait d’accord ».

Près de des deux tiers des répondants (63 %) sont d’accord (cotes de 8 à 10) pour dire que la fraude fiscale réduit les fonds disponibles pour les services essentiels.

De plus, environ le tiers (34 %) étaient fortement d’accord que les pénalités sont efficaces pour décourager la fraude fiscale future, tandis que 40 % étaient modérément d’accord (cotes de 4 à 7) et 33 % étaient d’avis que l’Agence devrait publier une liste des personnes reconnues coupables d’infractions fiscales (alors que 31 % des répondants étaient plutôt d’accord). Un tiers (32 %) étaient fortement d’accord que l’Agence n’aura jamais connaissance d’un revenu reçu en argent comptant s’il n’est pas déclaré dans une déclaration de revenus d’une entreprise, tandis que 39 % étaient modérément d’accord.

Les énoncés qui, d’une certaine façon, toléraient la fraude fiscale ont obtenu des niveaux d’accord beaucoup plus faibles. Premièrement, 19 % des répondants étaient fortement d’accord pour dire qu’il est acceptable que les gens paient comptant pour des biens et des services afin d’éviter de payer la TPS ou la TVH, tandis que deux fois plus d’entre eux étaient fortement en désaccord (42 %). De même, 15 % des répondants étaient tout à fait d’accord pour dire qu’il est acceptable que les gens ne déclarent pas les revenus reçus en espèces, tandis que plus de la moitié de tous les répondants étaient fortement en désaccord (53 %).

Tous les indicateurs font l’objet d’un niveau d’accord moyen modéré (cotes de 4 à 7), à l’exception de l’énoncé « il est acceptable pour les gens de ne pas déclarer le revenu reçu en espèces », qui a reçu un faible niveau d’accord moyen (3,8).

Tableau 93. Perceptions de la fraude fiscale

Base : (Population générale) Échantillon fractionné : module d’observation fiscale, tous les répondants (n = 1 205)

Énoncés d’impression 8 – 10 4 – 7 1 – 3 SP/RR Moyenne
Lorsqu’il est question de fraude fiscale, les fonds disponibles pour les services essentiels, notamment les soins de santé et l’éducation, sont réduits. 63 % 22 % 9 % 5 % 7,8
Les pénalités sont efficaces pour décourager la fraude fiscale future. 34 % 40 % 17 % 9 % 6,2
L’Agence devrait publier une liste des personnes reconnues coupables par les tribunaux d’infractions fiscales. 33 % 31 % 32 % 4 % 5,5
L’Agence n’aura jamais connaissance d’un revenu reçu en argent comptant s’il n’est pas déclaré dans une déclaration de revenus. 32 % 39 % 20 % 8 % 5,9
Il est acceptable pour les particuliers de payer des produits et services en argent comptant pour éviter de payer la TPS/TVH. 19 % 32 % 42 % 6 % 4,5
Il est acceptable, pour un particulier, de ne pas déclarer un revenu reçu en argent comptant. 15 % 28 % 53 % 4 % 3,8
F-6. Veuillez me dire si vous êtes d’accord ou en désaccord avec chacun des énoncés suivants. Pour chaque énoncé, veuillez utiliser une échelle de 1 à 10, où 1 signifie que vous êtes tout à fait en désaccord et 10 signifie que vous êtes tout à fait d’accord.

Les constatations découlant des sous-groupes pertinents concernant ces énoncés comprennent les suivantes :

Il y avait un intérêt particulier à évaluer la façon dont les répondants perçoivent le traitement des personnes riches par l’Agence (sans préciser ou définir les « riches »). Pour ce faire, on a demandé aux répondants dans quelle mesure ils étaient d’accord avec deux énoncés en utilisant une échelle de 1 à 10, 1 étant « tout à fait en désaccord » et 10 étant « tout à fait d’accord » : Les résultats révèlent que 63 % des répondants sont tout à fait d’accord (cotes de 8 à 10) pour dire que les gens riches ont plus de facilité à commettre une fraude fiscale que les Canadiens de la classe moyenne, et près de la moitié (49 %) sont tout à fait d’accord que l’Agence s’en prend aux Canadiens de la classe moyenne, mais qu’elle ferme les yeux sur la fraude des riches contribuables et des sociétés. Les cotes d’accord moyennes étaient modérément élevées pour les deux énoncés (7,8 et 7,1, respectivement).

Tableau 94. Perceptions du traitement des personnes riches

Base : (Population générale) Échantillon fractionné : module d’observation fiscale, tous les répondants (n = 1 205)

Énoncés d’impression 8 – 10 4 – 7 1 – 3 SP/RR Moyenne
Il est plus facile pour les personnes riches de pratiquer la fraude fiscale que pour les Canadiens de la classe moyenne. 63 % 22 % 9 % 6 % 7,8
L’Agence s’en prend aux Canadiens de la classe moyenne, mais ferme les yeux sur la fraude des riches contribuables et des sociétés. 49 % 32 % 12 % 7 % 7,2
F-6. Veuillez me dire si vous êtes d’accord ou en désaccord avec chacun des énoncés suivants. Pour chaque énoncé, veuillez utiliser une échelle de 1 à 10, où 1 signifie que vous êtes tout à fait en désaccord et 10 signifie que vous êtes tout à fait d’accord.

Les constatations découlant des sous-groupes pertinents concernant ces énoncés comprennent les suivantes :

Gravité de l’évitement fiscal et de la fraude

On a demandé aux Canadiens d’indiquer la mesure dans laquelle une série de comportements d’évitement fiscal étaient considérés comme de la fraude fiscale. Pour ce faire, ils devaient utiliser une échelle de 1 à 10, 1 signifiant « pas du tout un cas de fraude fiscale » et 10, « grave cas de fraude fiscale ».

Près de quatre répondants sur cinq (79 %) sont d’avis que la production de fausses déclarations pour les programmes de prestations représente un grave cas de fraude fiscale (cotes de 8 à 10). Près des trois quarts (70 %) étaient d’avis que le fait de ne pas réclamer des biens ou des revenus étrangers représentait un grave cas de fraude fiscale. Environ les deux tiers des répondants étaient d’avis que les éléments suivants étaient des cas de fraude fiscale graves : recevoir un crédit pour don de bienfaisance qui était plus élevé que le don (68 %), ne pas enregistrer son entreprise (67 %), et réaliser un profit grâce à l’achat ou à la vente de cryptomonnaie sans le déclarer (61 %).

Au moins la moitié des personnes interrogées étaient d’avis que le fait de ne pas réclamer les revenus provenant de la location d’une chambre ou d’une maison sur un site Web de location en ligne (59 %), d’être payé en argent comptant pour éviter de payer l’impôt sur le revenu (58 %) ou de sous-estimer le revenu gagné en argent comptant (55 %) représentait de graves cas de fraude fiscale. En revanche, la proportion de personnes qui estimaient que le fait d’obtenir une « aubaine » sur les réparations de la maison ou de la voiture en échange d’argent comptant représentait une fraude grave a baissé à environ le tiers (36 %).

Tableau 95. Perceptions de comportements d’évitement fiscal

Base : (Population générale) Échantillon fractionné : module d’observation fiscale, tous les répondants (n = 1 205)

Comportements d’évitement fiscal 8 – 10 4 – 7 1 – 3 SP/RR Moyenne
Production de fausses déclarations pour les programmes de prestations 79 % 14 % 4 % 3 % 8,7
Omission de déclarer des biens ou des revenus à l’étranger, y compris ceux qui sont mis à l’abri dans des paradis fiscaux 70 % 16 % 6 % 7 % 8,3
Obtention d’un crédit d’impôt pour don de bienfaisance plus élevé que le don en question 68 % 22 % 6 % 4 % 8,1
Non-enregistrement d’une entreprise 67 % 23 % 5 % 5 % 8,2
Ne pas déclarer les profits obtenus en achetant ou en vendant de la cryptomonnaie, c’est-à-dire une monnaie numérique comme le bitcoin 61 % 21 % 8 % 11 % 7,9
Ne pas réclamer les revenus provenant de la location d’une chambre ou d’une maison sur un site Web de location en ligne 59 % 28 % 8 % 6 % 7,7
Travailler et recevoir une rémunération en argent comptant pour éviter de payer de l’impôt sur le revenu 58 % 31 % 9 % 2 % 7,5
Sous-estimation du revenu gagné en argent comptant 55 % 34 % 8 % 3 % 7,4
Obtention d’une « aubaine » sur des réparations (maison ou automobile) en échange d’argent comptant 36 % 43 % 17 % 4 % 6,3
F-8. Sur une échelle de 1 à 10, où « 1 » signifie « pas du tout un cas de fraude fiscale » et « 10 » signifie « grave cas de fraude fiscale », quelle cote accorderiez-vous aux comportements suivants?

Les constatations supplémentaires découlant des sous-groupes concernant ces comportements comprennent les suivantes :

Petites et moyennes entreprises (PME)

Équité

On a demandé aux entreprises interrogées si le niveau d’impôt que les entreprises canadiennes paient est représentatif des services reçus des gouvernements. La majorité des répondants estiment qu’ils paient trop (57 %), y compris une répartition égale entre ceux qui ont dit payer beaucoup trop (28 %) et ceux qui croient qu’ils paient un peu trop (29 %). Une proportion semblable (28 %) estimait que les montants qu’ils payaient en impôts étaient justes et 9 % jugeaient qu’ils n’étaient pas suffisamment élevés.

Tableau 96. Impôt que les entreprises canadiennes paient par rapport aux services reçus des gouvernements

Base : (PME) Échantillon fractionné : module d’observation fiscale, tous les répondants (n = 391)

Impôt et services reçus Total
(n = 391)
En activité depuis 10 ans ou moins
(n = 215)
En activité depuis plus de 10 ans
(n = 172)
Entreprise à propriétaire unique
(n = 182)
Société de personnes
(n = 76)
Entreprise constituée en société
(n = 55)
Beaucoup trop 28 % 30 % 26 % 20 % 20 % 35 %
Un peu trop 29 % 24 % 35 % 27 % 29 % 33 %
Juste assez 28 % 32 % 22 % 26 % 41 % 25 %
Trop peu 9 % 9 % 10 % 15 % 9 % 4 %
Je ne sais pas/
Je refuse de répondre
7 % 5 % 8 % 12 % 1 % 4 %
F-5. Si vous comparez l’impôt payé par l’ensemble des entreprises canadiennesaux services offerts par les gouvernements, pensez-vous qu’elles paienttrop d’impôt, juste assez d’impôt ou trop peu d’impôt?

D’autres comparaisons de sous-groupes révèlent ce qui suit :

Attraper les fraudeurs fiscaux

Lorsqu’on leur a demandé d’évaluer dans quelle mesure la fraude fiscale des entreprises était courante au Canada (en utilisant une échelle de 1 à 10, 1 signifiant « pas du tout courante » et 10, « très courante »), près de la moitié (49 %) des PME interrogées estimaient que la fraude fiscale par les entreprises est courante (cotes de 8 à 10), tandis que 34 % estimaient qu’elle était modérément courante (cotes de 4 à 7). Environ un répondant sur dix (8 %) considérait que la fraude fiscale des entreprises était rare au Canada (cotes de 1 à 3). Cela donne une cote moyenne de 7,3, ce qui représente une cote modérément élevée.

Tableau 97. Degré perçu de fraude fiscale par les entreprises au Canada

Base : (PME) Échantillon fractionné : module d’observation fiscale, tous les répondants (n = 391)

Mesure dans laquelle la fraude fiscale est courante Total
(n = 391)
En activité depuis 10 ans ou moins
(n = 215)
En activité depuis plus de 10 ans
(n = 172)
Entreprise à propriétaire unique
(n = 182)
Société de personnes
(n = 76)
Entreprise constituée en société
(n = 55)
8 – 10 49 % 54 % 44 % 38 % 63 % 27 %
4 – 7 34 % 34 % 34 % 42 % 28 % 44 %
1 – 3 8 % 6 % 9 % 8 % 4 % 16 %
Je ne sais pas/
Je refuse de répondre
9 % 6 % 13 % 12 % 5 % 13 %
Moyenne 7,3 7,5 7,1 6,8 7,9 6,2
F-1. Sur une échelle de 1 à 10, où « 1 » signifie « pas du tout courant » et « 10 » signifie « très courant », selon vous, dans quelle mesure la fraudefiscale par les entreprises est-elle courante au Canada? Les constatations pertinentes découlant des sous-groupes comprennent les suivantes :

Plusieurs répondants d’entreprise (39 %) estiment que l’Agence consacre les efforts nécessaires pour réduire la fraude fiscale par les entreprises. Pas autant de répondants étaient d’avis que l’Agence déployait trop peu d’efforts (26 %) ou encore trop d’efforts (15 %) pour réduire la fraude fiscale par les entreprises. Les 20 % restants des répondants n’étaient pas certains ou ont refusé de répondre.

Tableau 98. Perceptions des efforts de l’Agence pour réduire la fraude fiscale par les entreprises

Base : (PME) Échantillon fractionné : module d’observation fiscale, tous les répondants (n = 391)

Efforts déployés pour réduire la fraude fiscale Total
(n = 391)
En activité depuis 10 ans ou moins
(n = 215)
En activité depuis plus de 10 ans
(n = 172)
Entreprise à propriétaire unique
(n = 182)
Société de personnes
(n = 76)
Entreprise constituée en société
(n = 55)
Pas assez d’efforts 26 % 23 % 30 % 25 % 28 % 27 %
Juste assez d’efforts 39 % 41 % 37 % 36 % 39 % 36 %
Trop d’efforts 15 % 20 % 10 % 11 % 24 % 4 %
Je ne sais pas/
Je refuse de répondre
20 % 17 % 23 % 27 % 9 % 33 %
F-2. Pensez-vous que l’Agence du revenu du Canada en fait trop, pas assez ou juste assez pour réduire la fraude fiscale parles entreprises?

D’autres comparaisons de sous-groupes révèlent ce qui suit :

On a demandé aux PME canadiennes d’évaluer la probabilité que les entreprises qui trichent dans leurs déclarations de revenus se fassent prendre par l’Agence. Pour ce faire, elles devaient utiliser une échelle de 1 à 10, 1 signifiant « pas du tout probable » et 10, « très probable ». La moitié des répondants étaient d’avis que la probabilité était élevée (cotes de 8 à 10) [50 %], tandis qu’un tiers estimaient que la probabilité était modérée (cotes de 4 à 7) [33 %] et 8 % ont estimé que la probabilité était faible (cotes de 1 à 3). Cela donne une cote de probabilité moyenne de 7,3, ce qui représente une cote modérément élevée.

Tableau 99. Probabilité perçue que les entreprises qui trichent dans leurs déclarations de revenus se font prendre au Canada

Base : (PME) Échantillon fractionné : module d’observation fiscale, tous les répondants (n = 391)

Probabilité que les fraudeurs fiscaux se font prendre Total
(n = 391)
En activité depuis 10 ans ou moins
(n = 215)
En activité depuis plus de 10 ans
(n = 172)
Entreprise à propriétaire unique
(n = 182)
Société de personnes
(n = 76)
Entreprise constituée en société
(n = 55)
8 – 10 50 % 57 % 41 % 36 % 66 % 33 %
4 – 7 33 % 33 % 34 % 38 % 30 % 47 %
1 – 3 8 % 7 % 10 % 12 % 3 % 11 %
Je ne sais pas/
Je refuse de répondre
9 % 4 % 15 % 14 % 1 % 9 %
Moyenne 7,3 7,5 6,9 6,7 7,9 6,6
F-3. Sur une échelle de 1 à 10, où « 1 » signifie « Pas du tout probable » et « 10 » signifie « Très probable », selon vous, dans quelle mesure les entreprises canadiennes qui trichent dans leurs déclarations de revenus sont-elles susceptibles de se faire prendre?

En ce qui concerne la probabilité que les entreprises qui trichent dans leurs déclarations de revenus se fassent prendre par l’Agence, les constatations découlant des sous-groupes pertinents comprennent les suivantes :

On a demandé aux entreprises d’indiquer la probabilité de signaler qu’une entreprise qu’elles connaissent pratique la fraude fiscale. Pour ce faire, elles devaient utiliser une échelle de 1 à 10, 1 signifiant « pas du tout probable » et 10, « très probable ». Devant une situation où ils soupçonnent qu’une entreprise pratique la fraude fiscale, 47 % ont indiqué d’être susceptibles de la dénoncer (cotes de 8 à 10). Lorsque les répondants étaient certains que l’entreprise pratiquait la fraude fiscale, le pourcentage passait à 58 %.

Tableau 100. Probabilité perçue de dénoncer les entreprises qui trichent dans leurs déclarations de revenus

Base : (PME) Échantillon fractionné : module d’observation fiscale, tous les répondants (n = 391)

Situation de la sensibilisation à la fraude fiscale 8 – 10 4 – 7 1 – 3 SP/RR Moyenne
Certitude que l’entreprise pratique la fraude fiscale 58 % 25 % 9 % 8 % 7,5
Soupçon que l’entreprise pratique la fraude fiscale 47 % 26 % 16 % 10 % 6,7
F-4. Pensez à une situation où une entreprise quevous connaissez pratique peut-être la fraude fiscale. Sur une échelle de 1 à 10, où « 1 » signifie « Pas du tout probable » et « 10 » signifie « Très probable », quelle est la probabilité que vous dénonciez cette entreprise si…?

Les constatations suivantes des sous-groupes sont dignes de mention :

Pour mieux comprendre les perceptions liées aux fraudeurs fiscaux d’entreprise qui se font prendre, on a demandé aux répondants dans quelle mesure ils étaient d’accord avec deux énoncés précis en utilisant une échelle de 1 à 10, 1 étant « tout à fait en désaccord » et 10 étant « tout à fait d’accord » : Faisant écho aux résultats présentés plus tôt dans le présent rapport concernant la probabilité que des fraudeurs fiscaux se fassent prendre, 46 % des entreprises sont tout à fait d’accord pour dire que l’Agence attrape ceux qui commettent de la fraude fiscale. Cela dit, une proportion semblable (46 %) croit que l’Agence n’aura jamais connaissance d’un revenu reçu en argent comptant s’il n’est pas déclaré dans une déclaration de revenus d’une entreprise.

Tableau 101. Perception d’attraper les fraudeurs fiscaux

Base : (PME) Tous les répondants (n = 806)/échantillon fractionné : module d’observation fiscale, tous les répondants (n = 391)

Énoncés d’impression 8 – 10 4 – 7 1 – 3 SP/RR Moyenne
L’Agence attrape les fraudeurs fiscaux. (B-3m) 46 % 30 % 13 % 11 % 6,9
L’Agence n’aura jamais connaissance d’un revenu reçu en argent comptant s’il n’est pas déclaré dans une déclaration de revenus d’une entreprise. (F-6c) 46 % 25 % 21 % 8 % 6,4
B-3. Comment évalueriez-vous l’Agence pour chacun des énoncés suivants en fonction de vos impressions générales? Pour chaque énoncé, veuillez utiliser une échelle de 1 à 10, où 1 signifie que vous êtes tout à fait en désaccord et 10 signifie que vous êtes tout à fait d’accord./F-6. Veuillez indiquer si vous êtes d’accord ou en désaccord avec chacun des énoncés suivants. Pour chaque énoncé, veuillez utiliser une échelle de 1 à 10, où 1 signifie que vous êtes tout à fait en désaccord et 10 signifie que vous êtes tout à fait d’accord.

Les constatations suivantes des sous-groupes sont dignes de mention :

Perceptions de la fraude fiscale

On a demandé aux entreprises dans quelle mesure elles étaient d’accord avec une série d’énoncés liés à la fraude fiscale en utilisant une échelle de 1 à 10, 1 étant « tout à fait en désaccord » et 10 étant « tout à fait d’accord ».
Environ les trois quarts des entreprises (72 %) sont tout à fait d’accord (cotes de 8 à 10) pour dire que la fraude fiscale des entreprises réduit l’argent disponible pour les services essentiels. Presque le même nombre (67 %) sont tout à fait d’accord que les entreprises qui ne paient pas d’impôt sur tous les revenus ou qui ne perçoivent pas la TPS ou la TVH ont un avantage injuste par rapport aux entreprises qui le font. Un peu moins (62 %) ont convenu qu’il est acceptable que l’Agence utilise des renseignements accessibles au public (comme les médias sociaux) pour attraper les entreprises qui commettent des fraudes fiscales, tandis que 59 % ont convenu que l’Agence devrait publier une liste des personnes reconnues coupables d’infractions fiscales devant les tribunaux. Au moins la moitié (52 %) étaient tout à fait d’accord que les pénalités sont efficaces pour décourager la fraude fiscale.
Le fort accord baisse à 32 % lorsqu’il s’agit de croire qu’il est acceptable pour les entreprises de ne pas déclarer les revenus reçus en espèces.

Tableau 102. Perceptions de la fraude fiscale

Base : (PME) Échantillon fractionné : module d’observation fiscale, tous les répondants (n = 391)

Énoncés d’impression 8 – 10 4 – 7 1 – 3 SP/RR Moyenne
La fraude fiscale auprès des entreprises réduit les fonds disponibles pour les services essentiels, notamment les soins de santé et l’éducation. 72 % 19 % 6 % 2 % 8,2
Les entreprises qui ne paient pas l’impôt sur tous leurs revenus, ou qui ne perçoivent pas la TPS/TVH, ont un avantage injuste par rapport à celles qui le font. 67 % 22 % 5 % 6 % 8,1
Il est acceptable que l’Agence utilise des informations accessibles au public, comme les médias sociaux, pour aider à repérer les entreprises qui ne paient pas leur juste part d’impôts. 62 % 20 % 11 % 6 % 7,7
L’Agence devrait publier une liste des personnes reconnues coupables par les tribunaux d’infractions fiscales. 59 % 20 % 15 % 6 % 7,2
Les pénalités sont efficaces pour décourager la fraude fiscale future. 52 % 27 % 12 % 9 % 7,1
Il est acceptable pour une entreprise de ne pas déclarer un revenu reçu en argent comptant. 32 % 19 % 46 % 3 % 4,7
F-6.   Veuillez indiquer si vous êtes d’accord ou en désaccord avec chacun des énoncés suivants. Pour chaque énoncé, veuillez utiliser une échelle de 1 à 10, où 1 signifie que vous êtes tout à fait en désaccord et 10 signifie que vous êtes tout à fait d’accord.

Les constatations découlant des sous-groupes pertinents concernant ces énoncés comprennent les suivantes :

Ceux qui estimaient que l’Agence en faisait trop peu pour attraper les fraudeurs fiscaux étaient les moins susceptibles d’être d’accord que les pénalités sont efficaces pour décourager la fraude fiscale future (6,4).
Les entreprises qui estiment que l’Agence en fait trop peu pour attraper les entreprises qui trichent dans leurs déclarations de revenus étaient également plus susceptibles d’être d’accord avec les énoncés suivants comparativement à celles qui estimaient que l’Agence consacrait les efforts nécessaires :

Les pénalités sont efficaces pour décourager la fraude fiscale future (7,6 par rapport à 6,6).

Gravité de l’évitement fiscal et de la fraude

On a demandé aux entreprises d’indiquer la mesure dans laquelle une série de comportements d’évitement fiscal étaient considérés comme de la fraude fiscale. Pour ce faire, elles devaient utiliser une échelle de 1 à 10, 1 signifiant « pas du tout un cas de fraude fiscale » et 10, « grave cas de fraude fiscale ».

Une grande majorité (83 %) des répondants étaient d’avis que la production de fausses déclarations pour les programmes de prestations représente un grave cas de fraude fiscale (cotes de 8 à 10). Environ les trois quarts des répondants ont considéré les énoncés suivants comme de graves cas de fraude : payer des employés en argent comptant pour éviter les impôts sur la paie (77 %), ne pas demander des biens ou des revenus étrangers (77 %), sous-déclarer un revenu en espèces (75 %), recevoir un crédit pour dons de bienfaisance qui était plus élevé que le don (74 %) et les dépenses déclarées en trop (73 %).

De plus, environ les deux tiers des répondants considéraient que les activités suivantes constituent de graves cas de fraude : ne pas réclamer de l’argent provenant de la location de chambres ou de maisons à l’aide de sites Web en ligne (70 %), ne pas enregistrer son entreprise (69 %) et réaliser un profit en achetant ou en vendant de la cryptomonnaie sans le déclarer (68 %). Un peu plus de la moitié (55 %) était d’avis que le fait de ne pas réclamer les cadeaux reçus par les influenceurs sur les médias sociaux était un grave cas de fraude fiscale.

La cote moyenne pour toutes les mesures était élevée (cotes de 8 à 10), à l’exception de l’énoncé « ne pas réclamer les cadeaux reçus par les influenceurs sur les médias sociaux », qui a obtenu une cote modérée de 7,3.

Tableau 103. Perceptions de comportements d’évitement fiscal

Base : (PME) Échantillon fractionné : module d’observation fiscale, tous les répondants (n = 391)

Comportements d’évitement fiscal 8 – 10 4 – 7 1 – 3 SP/RR Moyenne
Production de fausses déclarations pour les programmes de prestations 83 % 15 % 1 % 1 % 8,8
Omission de déclarer des biens ou des revenus à l’étranger, y compris ceux qui sont mis à l’abri dans des paradis fiscaux 77 % 18 % 3 % 3 % 8,6
Payer des employés en argent comptant pour éviter les impôts sur les salaires 77 % 20 % 2 % 2 % 8,4
Sous-estimation du revenu gagné en argent comptant 75 % 21 % 2 % 2 % 8,4
Obtention d’un crédit d’impôt pour don de bienfaisance plus élevé que le don en question 74 % 22 % 2 % 3 % 8,4
Dépenses réclamées en trop 73 % 24 % 2 % 1 % 8,3
Ne pas réclamer les revenus provenant de la location d’une chambre ou d’une maison sur un site Web de location en ligne 70 % 25 % 3 % 2 % 8,2
Non-enregistrement d’une entreprise 69 % 19 % 5 % 6 % 8,1
Ne pas déclarer les profits obtenus en achetant ou en vendant de la cryptomonnaie, c’est-à-dire une monnaie numérique comme le bitcoin 68 % 20 % 4 % 9 % 8,2
Ne pas réclamer les cadeaux reçus par les influenceurs sur les plateformes de réseaux sociaux 55 % 24 % 12 % 9 % 7,3
F-8.   Sur une échelle de 1 à 10, où « 1 » signifie « pas du tout un cas de fraude fiscale » et « 10 » signifie « grave cas de fraude fiscale », quelle cote accorderiez-vous aux comportements suivants?

En ce qui concerne les comportements liés à la fraude fiscale par les entreprises, les constatations découlant des sous-groupes pertinents comprennent les suivantes :

On a ensuite demandé aux entreprises qui avaient attribué une cote de 5 ou moins à au moins un comportement d’évitement fiscal d’évaluer la gravité de l’évitement fiscal en fonction du montant d’argent non payé. Pour ce faire, elles ont utilisé une échelle de 1 à 10, 1 signifiant « pas du tout un cas de fraude fiscale » et 10, « grave cas de fraude ».

À la question de savoir si le fait d’éviter de payer 1 000 $ à titre d’impôt représente un grave cas de fraude fiscale, 43 % des répondants estimaient que cela représentait un grave cas de fraude fiscale (cotes de 8 à 10), tandis que 21 % ont attribué une cote de 5 ou moins.

On a ensuite demandé à ceux qui avaient attribué une cote de 5 ou moins d’évaluer la gravité si le montant passait à 10 000 $. Compte tenu de ce scénario, 23 % ont estimé que l’action était une fraude grave, tandis que 30 % ont fourni des cotes de 5 ou moins.

On a ensuite demandé à ces quelques répondants (n = 9) d’évaluer la gravité d’éviter de payer 50 000 $ à titre d’impôt. Dans un tel cas, trois répondants estiment qu’il s’agit d’un grave cas de fraude, et cinq répondants ont attribué une cote de 5 ou moins. Ces résultats doivent être traités avec une extrême prudence compte tenu de la très petite taille de l’échantillon en cause.

Tableau 104. Gravité des comportements d’évitement fiscal

Base : (PME) Échantillon fractionné : module d’observation fiscale, répondants ayant attribué une cote de 5 ou moins à au moins un comportement d’évitement fiscal (n = 141)

Comportements d’évitement fiscal 8 – 10 4 – 7 1 – 3 SP/RR Moyenne
L’entreprise est en mesure d’éviter de payer 1 000 $ à titre d’impôt (n = 141) 43 % 49 % 6 % 2 % 7,1
L’entreprise est en mesure d’éviter de payer 10 000 $ à titre d’impôt (n = 30) 23 % 67 % 10 % - 6,1
L’entreprise est en mesure d’éviter de payer 50 000 $ à titre d’impôt (n = 9) 33 % 44 % 22 % - 5,3
FB-9. Vous avez noté [INSÉREZ LE SCÉNARIO ICI] comme n’étant pas un grave cas de fraude fiscale. Veuillez tenir compte du scénario suivant et notez sur une échelle de 1 à 10, où « 1 » signifie « Pas du tout un cas de fraude fiscale » et « 10 » signifie « Grave cas de fraude fiscale ». Quelle cote donneriez-vous :

Enfin, on a demandé aux PME canadiennes d’évaluer l’importance de deux efforts de recouvrement précis de l’Agence en utilisant une échelle de 1 à 10, 1 signifiant « pas du tout important » et 10, « très important ». Plus de 7 répondants sur 10 (72 %) estiment qu’il est assez important (cotes de 8 à 10) que l’Agence recouvre l’impôt impayé lorsque des gens omettent de déclarer des biens ou des revenus étrangers imposables. Une proportion semblable (70 %) estimait qu’il était très important pour l’Agence de recouvrer les impôts impayés lorsque les gens travaillent au noir pour de l’argent comptant.

Tableau 105. Importance des efforts de recouvrement en cas d’évitement fiscal

Base : (PME) Échantillon fractionné : module d’observation fiscale, tous les répondants (n = 391)

Situations d’évitement fiscal 8 – 10 4 – 7 1 – 3 SP/RR Moyenne
Recouvrer l’impôt impayé lorsque les gens ne déclarent pas des biens ou des revenus étrangers imposables 72 % 25 % 2 % 2 % 8,4
Recouvrer l’impôt impayé lorsque les gens travaillent clandestinement pour de l’argent 70 % 22 % 6 % 2 % 8,0
F-10. Sur une échelle de 1 à 10, où 1 signifie « pas du tout important » et 10 signifie « très important », dans quelle mesure est-il important…?

En ce qui concerne les situations d’évitement fiscal, les constatations découlant des sous-groupes pertinents comprennent les suivantes :

Intermédiaires fiscaux

Impôt et services reçus

On a demandé aux intermédiaires fiscaux de comparer le niveau d’impôt les entreprises canadiennes paient par rapport aux services qu’ils ont reçus des gouvernements. Bien qu’un tiers des répondants croient qu’ils paient le bon montant (33 %), une plus grande proportion estime que le niveau d’impôt payé est trop élevé (44 %). Parmi ce dernier groupe, 14 % estiment qu’ils en paient beaucoup trop et 30 % estiment qu’ils en paiement un peu trop. Près d’un cinquième des répondants (17%) étaient d’avis que les entreprises canadiennes paient trop peu d’impôts.

Tableau 106. Impôt que les entreprises canadiennes paient par rapport aux services reçus des gouvernements

Base : (Intermédiaires fiscaux) Échantillon fractionné : module d’observation fiscale, tous les répondants (n = 417)

Impôt et services reçus Total
(n = 417)
En activité depuis 10 ans ou moins
(n = 224)
En activité depuis plus de 10 ans
(n = 185)
Communication au cours des 12 derniers mois
(n = 250)
Aucune communication au cours des 12 derniers mois
(n = 136)
Beaucoup trop 14 % 12 % 17 % 16 % 12 %
Un peu trop 30 % 34 % 25 % 30 % 32 %
Juste assez 33 % 35 % 31 % 30 % 38 %
Trop peu 17 % 14 % 19 % 18 % 13 %
Je ne sais pas/
Je refuse de répondre
6 % 4 % 6 % 5 % 6 %
F-5. Si vous comparez l’impôt payé par l’ensemble des entreprises canadiennesaux services offerts par les gouvernements, pensez-vous qu’elles paienttrop d’impôt, juste assez d’impôt ou trop peu d’impôt?

Les intermédiaires fiscaux exerçant des activités au Québec étaient plus susceptibles de croire que les entreprises paient trop peu d’impôt par rapport à ceux de l’Alberta (23 % par rapport à 8 %).

De plus, les intermédiaires fiscaux qui ont évalué le rendement global de l’Agence comme étant médiocre (cotes de 1 à 3) (37 %) ont plus tendance à estimer payer beaucoup trop d’impôt que ceux qui ont indiqué que le rendement global était neutre (cotes de 4 à 7) (14 %) ou bon (cotes de 8 à 10) (6 %).

Attraper les fraudeurs fiscaux

On a demandé aux intermédiaires fiscaux canadiens d’évaluer la mesure dans laquelle la fraude fiscale par les entreprises était courante au Canada, à leur avis. Pour ce faire, ils devaient utiliser une échelle de 1 à 10, 1 signifiant « pas du tout courante » et 10, « très courante ». Un tiers des personnes interrogées (34 %) estiment que la fraude fiscale par les entreprises est courante (cotes de 8 à 10), tandis que près de la moitié (46 %) sont d’avis qu’elle est modérément courante (cotes de 4 à 7). Beaucoup moins de répondants (13 %) ont décrit la fraude fiscale par les entreprises comme étant peu courante (cotes de 1 à 3) au Canada. Cela donne lieu à une cote de probabilité moyenne de 6,5.

Tableau 107. Degré perçu de fraude fiscale par les entreprises au Canada

Base : (Intermédiaires fiscaux) Échantillon fractionné : module d’observation fiscale, tous les répondants (n = 417)

Mesure dans laquelle la fraude fiscale est courante Total
(n = 417)
En activité depuis 10 ans ou moins
(n = 224)
En activité depuis plus de 10 ans
(n = 185)
Communication au cours des 12 derniers mois
(n = 250)
Aucune communication au cours des 12 derniers mois
(n = 136)
8 – 10 34 % 35 % 32 % 36 % 33 %
4 – 7 46 % 48 % 44 % 47 % 44 %
1 – 3 13 % 9 % 16 % 11 % 15 %
Je ne sais pas/
Je refuse de répondre
7 % 7 % 8 % 6 % 7 %
Moyenne 6,5 6,6 6,3 6,6 6,3
F-1. Sur une échelle de 1 à 10, où « 1 » signifie « pas du tout courant » et « 10 » signifie « très courant », selon vous, dans quelle mesure la fraudefiscale par les entreprises est-elle courante au Canada?

Les intermédiaires fiscaux exerçant des activités au Québec (6,5) et en Ontario (6,8) étaient plus susceptibles de décrire la fraude fiscale des entreprises comme étant plus courante en moyenne par rapport à ceux de l’Alberta (5,7).
Plusieurs intermédiaires fiscaux (47 %) croyaient que l’Agence déploie les efforts nécessaires pour réduire la fraude fiscale par les entreprises. En revanche, près de trois répondants sur dix estiment que l’Agence fait trop peu d’efforts (29 %), tandis que moins de répondants (11 %) ont indiqué que trop d’efforts sont investis. Les 14 % restants des répondants n’étaient pas certains ou ont refusé de répondre.

Tableau 108. Perceptions des efforts de l’Agence pour réduire la fraude fiscale par les entreprises

Base : (Intermédiaires fiscaux) Échantillon fractionné : module d’observation fiscale, tous les répondants (n = 417)

Efforts déployés pour réduire la fraude fiscale Total
(n = 417)
En activité depuis 10 ans ou moins
(n = 224)
En activité depuis plus de 10 ans
(n = 185)
Communication au cours des 12 derniers mois
(n = 250)
Aucune communication au cours des 12 derniers mois
(n = 136)
Pas assez d’efforts 29 % 23 % 36 % 30 % 29 %
Juste assez d’efforts 47 % 55 % 37 % 43 % 57 %
Trop d’efforts 11 % 13 % 8 % 13 % 7 %
Je ne sais pas/je refuse de répondre 14 % 9 % 19 % 15 % 7 %
F-2. Pensez-vous que l’Agence du revenu du Canada en fait trop, pas assez ou juste assez pour réduire la fraude fiscale parles entreprises?

Les constatations notables découlant des sous-groupes comprennent les suivantes :

On a demandé aux intermédiaires fiscaux canadiens d’évaluer la probabilité que les entreprises qui trichent dans leurs déclarations de revenus se fassent prendre par l’Agence. Pour ce faire, ils devaient utiliser une échelle de 1 à 10, 1 signifiant « pas du tout probable » et 10, « très probable ». Plus d’un tiers des répondants (35 %) estiment que la probabilité est élevée (cotes de 8 à 10), tandis que 45 % estiment qu’elle est modérée et 14 % considèrent que la probabilité est faible (cotes de 1 à 3). Cela donne lieu à une cote de probabilité moyenne de 6,3.

Tableau 109. Probabilité perçue que les entreprises qui trichent dans leurs déclarations de revenus se font prendre au Canada

Base : (Intermédiaires fiscaux) Échantillon fractionné : module d’observation fiscale, tous les répondants (n = 417)

Probabilité que les fraudeurs fiscaux se font prendre Total
(n = 417)
En activité depuis 10 ans ou moins
(n = 224)
En activité depuis plus de 10 ans
(n = 185)
Communication au cours des 12 derniers mois
(n = 250)
Aucune communication au cours des 12 derniers mois
(n = 136)
8 – 10 35 % 38 % 32 % 36 % 37 %
4 – 7 45 % 47 % 41 % 44 % 44 %
1 – 3 14 % 8 % 21 % 14 % 14 %
Je ne sais pas/je refuse de répondre 6 % 6 % 6 % 6 % 5 %
Moyenne 6,3 6,6 5,9 6,4 6,2
F-3. Sur une échelle de 1 à 10, où « 1 » signifie « Pas du tout probable » et « 10 » signifie « Très probable », selon vous, dans quelle mesure les entreprises canadiennes qui trichent dans leurs déclarations de revenus sont-elles susceptibles de se faire prendre?

Les constatations pertinentes découlant des sous-groupes comprennent les suivantes :

On a demandé aux intermédiaires fiscaux d’indiquer la probabilité de signaler qu’une entreprise qu’elles connaissent pratique la fraude fiscale. Pour ce faire, elles devaient utiliser une échelle de 1 à 10, 1 signifiant « pas du tout probable » et 10, « très probable ». Devant une situation où ils soupçonnent qu’une entreprise pratique la fraude fiscale, 31 % ont indiqué d’être susceptibles de la dénoncer (cotes de 8 à 10). Lorsque les répondants étaient certains que l’entreprise pratiquait la fraude fiscale, le pourcentage passait à 46 %.

Tableau 110. Probabilité perçue de dénoncer les entreprises qui trichent dans leurs déclarations de revenus

Base : (Intermédiaires fiscaux) Échantillon fractionné : module d’observation fiscale, tous les répondants (n = 417)

Situation de la sensibilisation à la fraude fiscale 8 – 10 4 – 7 1 – 3 SP/RR Moyenne
Certitude que l’entreprise pratique la fraude fiscale 46 % 32 % 14 % 8 % 6,9
Soupçon que l’entreprise pratique la fraude fiscale 31 % 42 % 18 % 8 % 6,1
F-4. Pensez à une situation où une entreprise quevous connaissez pratique peut-être la fraude fiscale. Sur une échelle de 1 à 10, où « 1 » signifie « Pas du tout probable » et « 10 » signifie « Très probable », quelle est la probabilité que vous dénonciez cette entreprise si…?

Les constatations pertinentes découlant des sous-groupes comprennent les suivantes :

Pour mieux comprendre les perceptions liées aux fraudeurs fiscaux d’entreprise qui se font prendre, on a demandé aux répondants dans quelle mesure ils étaient d’accord avec deux énoncés précis en utilisant une échelle de 1 à 10, 1 étant « tout à fait en désaccord » et 10 étant « tout à fait d’accord » : Environ deux intermédiaires fiscaux sur cinq (40 %) sont tout à fait d’accord pour dire que l’Agence attrape ceux qui commettent de la fraude fiscale. Cela dit, une proportion semblable croit que l’Agence n’aura jamais connaissance d’un revenu reçu en argent comptant s’il n’est pas déclaré dans une déclaration de revenus d’une entreprise (35 %).

Tableau 111. Perception d’attraper les fraudeurs fiscaux

Base : (Intermédiaires fiscaux) Tous les répondants (n = 810)/échantillon fractionné : module d’observation fiscale, tous les répondants (n = 417)

Énoncés d’impression 8 – 10 4 – 7 1 – 3 SP/RR Moyenne
L’Agence attrape les fraudeurs fiscaux. (B-3m) 40 % 39 % 16 % 5 % 6,5
L’Agence n’aura jamais connaissance d’un revenu reçu en argent comptant s’il n’est pas déclaré dans une déclaration de revenus d’une entreprise. (F-6c) 35 % 39 % 19 % 8 % 6,0
B-3. Comment évalueriez-vous l’Agence pour chacun des énoncés suivants en fonction de vos impressions générales? /F-6. Veuillez indiquer si vous êtes d’accord ou en désaccord avec chacun des énoncés suivants. Pour chaque énoncé, veuillez utiliser une échelle de 1 à 10, où 1 signifie « tout à fait en désaccord » et 10 signifie « tout à fait d’accord ». d’être d’accord pour dire que l’Agence attrape les fraudeurs fiscaux par rapport aux intermédiaires fiscaux dans la plupart des autres régions.

On a demandé aux intermédiaires fiscaux dans quelle mesure ils étaient d’accord avec une série d’énoncés liés à la fraude fiscale en utilisant une échelle de 1 à 10, 1 étant « tout à fait en désaccord » et 10 étant « tout à fait d’accord ».
La majorité des intermédiaires fiscaux étaient fortement d’accord (cotes de 8 à 10) avec la moitié des énoncés présentés. Plus précisément, 58 % étaient tout à fait d’accord que les entreprises qui fraudent leur impôt sur le revenu réduisent l’argent disponible pour les services essentiels, et 53 % étaient fortement d’accord que les entreprises qui ne paient pas d’impôt sur tous les revenus ou qui ne perçoivent pas la TPS ou la TVH ont un avantage injuste par rapport à celles qui le font et 52 % des répondants étaient tout à fait d’accord avec le fait qu’il est acceptable que l’Agence utilise des renseignements accessibles au public pour attraper les entreprises faisant de la fraude fiscale.

De plus, deux autres cinquièmes des intermédiaires fiscaux étaient fortement d’accord pour dire que l’Agence devrait publier une liste des personnes reconnues coupables d’infractions fiscales (43 %) et que les pénalités sont efficaces pour décourager la fraude fiscale future (40 %). Les intermédiaires fiscaux étaient les moins susceptibles d’être d’accord pour dire qu’il est acceptable pour les entreprises de ne pas déclarer les revenus reçus en espèces (20 %) – avec près de la moitié qui était plutôt entièrement en désaccord avec ce type d’activité (49 %).

Tableau 112. Perceptions de la fraude fiscale

Base : (Intermédiaires fiscaux) Échantillon fractionné : module d’observation fiscale, tous les répondants (n = 417)

Énoncés d’impression 8 – 10 4 – 7 1 – 3 SP/RR Moyenne
La fraude fiscale auprès des entreprises réduit les fonds disponibles pour les services essentiels, notamment les soins de santé et l’éducation. 58 % 33 % 6 % 3 % 7,5
Les entreprises qui ne paient pas l’impôt sur tous leurs revenus, ou qui ne perçoivent pas la TPS/TVH, ont un avantage injuste par rapport à celles qui le font. 53 % 35 % 6 % 6 % 7,4
Il est acceptable que l’Agence utilise des informations accessibles au public, comme les médias sociaux, pour aider à repérer les entreprises qui ne paient pas leur juste part d’impôts. 52 % 32 % 11 % 5 % 7,1
L’Agence devrait publier une liste des personnes reconnues coupables par les tribunaux d’infractions fiscales. 43 % 34 % 18 % 5 % 6,5
Les pénalités sont efficaces pour décourager la fraude fiscale future. 40 % 41 % 14 % 5 % 6,6
Il est acceptable pour une entreprise de ne pas déclarer un revenu reçu en argent comptant. 20 % 29 % 49 % 2 % 4,2
F-6. Veuillez indiquer si vous êtes d’accord ou en désaccord avec chacun des énoncés suivants. Pour chaque énoncé, veuillez utiliser une échelle de 1 à 10, où 1 signifie que vous êtes tout à fait en désaccord et 10 signifie que vous êtes tout à fait d’accord.

Les constatations découlant des sous-groupes pertinents concernant ces énoncés comprennent les suivantes :

Gravité de l’évitement fiscal et de la fraude

On a demandé aux intermédiaires fiscaux d’indiquer la mesure dans laquelle une série de comportements d’évitement fiscal étaient considérés comme de la fraude fiscale. Pour ce faire, ils devaient utiliser une échelle de 1 à 10, 1 signifiant « pas du tout un cas de fraude fiscale » et 10, « grave cas de fraude fiscale ».

Les comportements d’évitement fiscal les plus susceptibles d’être considérés comme de la fraude fiscale comprenaient la production de fausses déclarations pour les programmes de prestations fiscales (65 %) et la non-réclamation de biens ou de revenus étrangers (62 %). Un peu plus de la moitié des répondants considéraient que les activités suivantes constituaient de graves cas de fraude fiscale (cote de 8 à 10) : sous-déclaration du revenu en espèces (57 %), non-inscription de son entreprise (56 %), demande de remboursement de dépenses en trop (56 %), paiement en espèces pour éviter l’impôt sur le revenu (55 %) et ne pas demander de l’argent pour la location de chambres ou de maisons à l’aide de sites Web en ligne (51 %).

De plus, près de la moitié (48 %) étaient fortement d’avis que l’obtention d’un crédit d’impôt pour don de bienfaisance plus élevé que le don en question représente un grave cas de fraude fiscale. Une proportion semblable (47 %) croyait que le fait de réaliser un profit en achetant ou en vendant de la cryptomonnaie sans le déclarer était un grave cas de fraude fiscale. La gravité diminue lorsqu’il s’agit d’obtenir une « aubaine » sur les réparations de la maison ou de la voiture en échange d’argent comptant (39 %) et de ne pas réclamer les cadeaux reçus par les influenceurs sur les plateformes de réseaux sociaux (38 %), même si une proportion considérable est d’avis qu’il s’agit de formes graves de fraude fiscale.

Tableau 113. Perceptions de comportements d’évitement fiscal

Base : (Intermédiaires fiscaux) Échantillon fractionné : module d’observation fiscale, tous les répondants (n = 417)

Comportements d’évitement fiscal 8 – 10 4 – 7 1 – 3 SP/RR Moyenne
Production de fausses déclarations pour les programmes de prestations 65 % 29 % 3 % 2 % 8,1
Omission de déclarer des biens ou des revenus à l’étranger, y compris ceux qui sont mis à l’abri dans des paradis fiscaux 62 % 29 % 6 % 3 % 7,8
Sous-estimation du revenu gagné en argent comptant 57 % 35 % 5 % 2 % 7,5
Non-enregistrement d’une entreprise 56 % 33 % 6 % 5 % 7,6
Dépenses réclamées en trop 56 % 36 % 5 % 2 % 7,4
Travailler et recevoir une rémunération en argent comptant pour éviter de payer de l’impôt sur le revenu 55 % 37 % 6 % 2 % 7,5
Ne pas réclamer les revenus provenant de la location d’une chambre ou d’une maison sur un site Web de location en ligne 51 % 39 % 7 % 3 % 7,3
Promouvoir un programme de dons de bienfaisance alors que les crédits d’impôt dépassent le montant donné 48 % 37 % 8 % 7 % 7,3
Ne pas déclarer les profits obtenus en achetant ou en vendant de la cryptomonnaie, c’est-à-dire une monnaie numérique comme le bitcoin 47 % 37 % 11 % 6 % 7,1
Obtention d’une « aubaine » sur des réparations (maison ou automobile) en échange d’argent comptant 39 % 42 % 14 % 5 % 6,4
Ne pas réclamer les cadeaux reçus par les influenceurs sur les plateformes de réseaux sociaux 38 % 40 % 15 % 7 % 6,4
F-8. Sur une échelle de 1 à 10, où « 1 » signifie « pas du tout un cas de fraude fiscale » et « 10 » signifie « grave cas de fraude fiscale », quelle cote accorderiez-vous aux comportements suivants?

En ce qui concerne les indicateurs liés à la fraude fiscale par les entreprises, les constatations découlant des sous-groupes pertinents comprennent les suivantes :

On a ensuite demandé aux intermédiaires fiscaux qui avaient attribué une cote de 5 ou moins à au moins une activité d’évitement fiscal d’évaluer la gravité de l’évitement fiscal en fonction du montant d’argent non payé. Pour ce faire, ils ont utilisé une échelle de 1 à 10, 1 signifiant « pas du tout un cas de fraude fiscale » et 10, « grave cas de fraude ».

À la question de savoir si le fait d’éviter de payer 1 000 $ à titre d’impôt représente un grave cas de fraude fiscale, 28 % des répondants estimaient que cela représentait un grave cas de fraude fiscale (cotes de 8 à 10), tandis que 40 % ont attribué une cote de 5 ou moins.

On a ensuite demandé à ceux qui avaient attribué une cote de 5 ou moins d’évaluer la gravité si le montant passait à 10 000 $. Compte tenu de ce scénario, 13 % ont estimé que l’action était une fraude grave, tandis que 49 % ont fourni des cotes de 5 ou moins.

On a ensuite demandé à ces répondants (n = 47) d’évaluer la gravité d’éviter de payer 50 000 $ à titre d’impôt. Dans un tel cas, 6 % des répondants estiment qu’il s’agit d’un grave cas de fraude, et 68 % des répondants ont attribué une cote de 5 ou moins.

Tableau 114. Gravité des comportements d’évitement fiscal

Base : (Intermédiaires fiscaux) Échantillon fractionné : module d’observation fiscale, répondants ayant attribué une cote de 5 ou moins à au moins un comportement d’évitement fiscal (n = 238)

Comportements d’évitement fiscal 8 – 10 4 – 7 1 – 3 SP/RR Moyenne
L’entreprise est en mesure d’éviter de payer 1 000 $ à titre d’impôt (n = 238) 28 % 54 % 14 % 4 % 6,0
L’entreprise est en mesure d’éviter de payer 10 000 $ à titre d’impôt (n = 96) 13 % 65 % 21 % 2 % 5,3
L’entreprise est en mesure d’éviter de payer 50 000 $ à titre d’impôt (n = 47) 6 % 60 % 32 % 2 % 4,4
FB-9. Vous avez noté [INSÉREZ LE SCÉNARIO ICI] comme n’étant pas un grave cas de fraude fiscale. Veuillez tenir compte du scénario suivant et notez sur une échelle de 1 à 10, où « 1 » signifie « Pas du tout un cas de fraude fiscale » et « 10 » signifie « Grave cas de fraude fiscale ». Quelle cote donneriez-vous :

Enfin, on a demandé aux intermédiaires fiscaux canadiens d’évaluer l’importance de deux efforts de recouvrement précis de l’Agence en utilisant une échelle de 1 à 10, 1 signifiant « pas du tout important » et 10, « très important ». Une petite majorité (54 %) des répondants estiment qu’il est assez important (cotes de 8 à 10) que l’Agence recouvre l’impôt impayé lorsque des gens omettent de déclarer des biens ou des revenus étrangers imposables. Ce type d’activité a reçu une cote d’importance moyenne de 7,6. Une proportion semblable (54 %) de répondants estiment qu’il est très important pour l’Agence de recouvrer l’impôt impayé lorsque des gens travaillent clandestinement pour de l’argent, ce qui donne une cote d’importance moyenne de 7,3.

Tableau 115. Importance des efforts de recouvrement en cas d’évitement fiscal

Base : (Intermédiaires fiscaux) Échantillon fractionné : module d’observation fiscale, tous les répondants (n = 417)

Situations d’évitement fiscal 8 – 10 4 – 7 1 – 3 SP/RR Moyenne
Recouvrer l’impôt impayé lorsque les gens ne déclarent pas des biens ou des revenus étrangers imposables 54 % 38 % 5 % 3 % 7,6
Recouvrer l’impôt impayé lorsque les gens travaillent clandestinement pour de l’argent 54 % 36 % 8 % 2 % 7,3
F-10. Sur une échelle de 1 à 10, où 1 signifie « pas du tout important » et 10 signifie « très important », dans quelle mesure est-il important…?

Les constatations découlant des sous-groupes pertinents concernant ces efforts comprennent les suivantes :

Facteurs clés des cotes de rendement de l’Agence

Un élément important de cette recherche consiste à déterminer les facteurs qui ont contribué le plus aux cotes de rendement globales de l’Agence.

Une technique multivariable, connue sous le nom de l’analyse de régression, a été utilisée afin de déterminer l’importance de divers facteurs en matière de confiance et de service en vue de la prévision des taux de cotes de rendement globales de l’Agence. Chaque modèle détaillé illustre les diverses caractéristiques et leur incidence relative sur les cotes de rendement globales de l’Agence.

Pour chaque modèle, l’indice de Pratt a été utilisé pour calculer l’importance dérivée de chaque caractéristique précise afin de prédire les cotes de rendement globales de l’Agence. Le produit des coefficients de régression standardisés et des corrélations d’ordre zéro a été calculé pour chaque prédicteur. Ces produits ont ensuite été divisés par l’écart total expliqué par les facteurs clés (r2) pour produire des valeurs d’importance dérivées pour chaque facteur.

Le calcul de l’importance dérivée exclut les répondants qui n’ont pas fourni une cote valide sur une échelle de 0 à 10 pour le rendement global de l’Agence ou les facteurs mis à l’essai dans le modèle.

Les modèles de confiance et de service ont été exécutés de façon indépendante, en raison des différences dans la taille de l’échantillon, car les facteurs de service n’ont été demandés qu’aux personnes qui avaient récemment communiqué avec l’Agence, avec un sous-ensemble de facteurs demandé qu’aux personnes avec qui la communication a eu lieu par téléphone ou en personne. L’analyse a également été effectuée séparément pour chacun des trois publics cibles : les contribuables particuliers, les petites et moyennes entreprises (PME) et les intermédiaires fiscaux.

Plusieurs facteurs ont produit des coefficients de régression négatifs, dont aucun n’a été jugé significatif sur le plan statistique à un niveau de confiance de 95 %.

Chaque modèle est présenté en même temps que les cotes réelles données par la population respective pour chaque caractéristique, dans ce cas, les trois principales cotes de pourcentage (cotes de 8 à 10).

Population générale

Modèle de confiance

Le premier modèle était composé d’une série de facteurs de confiance afin de déterminer leur incidence relative sur les cotes de rendement globales de l’Agence. L’écart total expliqué par le modèle de régression était relativement faible (r2 = 0,53), ce qui explique un peu plus de la moitié des résultats des cotes de rendement globales. Bien que certains facteurs causals pouvant avoir contribué aux cotes de rendement de l’Agence puissent avoir été omis dans le modèle, cela peut également être attribuable à des facteurs qui dépassent la portée de l’influence de l’Agence, à des connaissances limitées ou à un manque de communication récente avec l’Agence.

Tableau 116. Principaux facteurs des cotes de rendement de l’Agence parmi la population générale – facteurs de confiance

Importance dérivée Rendement de l’Agence
r2 = 0,53
Cote (% – cote de 8 à 10)
26 % Je peux faire confiance à l’Agence pour faire ce qui est juste. 43 %
24 % L’Agence est serviable. 41 %
14 % L’Agence traite les contribuables de façon équitable. 38 %
13 % L’Agence travaille pour le bien de tous les Canadiens. 44 %
12 % Les gens de l’Agence sont capables de bien faire leur travail. 50 %
11 % J’ai confiance que l’Agence traitera mes renseignements personnels de manière appropriée. 59 %
9 % L’Agence facilite le processus de production de mes déclarations de revenus. 47 %
-2 % L’Agence attrape les fraudeurs fiscaux. 27 %
-3 % Je crois que les employés de l’Agence sont dignes de confiance. 54 %
-5 % L’Agence traite tout le monde de la même façon. 38 %
Les chiffres en caractères gras indiquent une variable importante.

Le niveau d’importance de chaque caractéristique indique la mesure dans laquelle celle-ci prédit le rendement global de l’Agence. Il y a sept caractéristiques qui représentent en majeure partie l’écart expliqué (confiance, serviabilité, traitement équitable, avantages pour les Canadiens, capacité, traitement des renseignements personnels, et facilité de production), c’est-à-dire qu’elles ont la plus grande incidence sur les cotes de rendement globales de l’Agence. Les améliorations liées à ces facteurs auront la plus grande incidence sur les cotes de rendement globales de l’Agence.

Le modèle présente également les cotes réelles données par la population générale pour chaque caractéristique (trois cotes les plus élevées). Par exemple, 59 % des Canadiens ont attribué une cote de 8, 9 ou 10 sur 10 à l’Agence pour ce qui est de la confiance à l’Agence pour traiter les renseignements personnels, ce qui indique que le rendement de l’Agence à cet égard est plutôt bon. Le modèle démontre également que l’Agence continue d’obtenir un meilleur rendement en ce qui concerne le traitement des renseignements personnels et le fait d’avoir un personnel digne de confiance. Toutefois, l’importance de ces caractéristiques est relativement faible. Ces résultats pourraient découler du fait que les Canadiens s’attendent à ce que le personnel de l’Agence traite leurs renseignements personnels et que l’Agence continue de répondre à cette attente.

Modèle de service

Le deuxième modèle était composé d’une série de facteurs de service afin de déterminer leur incidence relative sur les cotes de rendement globales de l’Agence. L’écart total expliqué par le modèle de régression était très faible (r2 = 0,32), ce qui explique environ un tiers des résultats des cotes de rendement globales. Cela pourrait indiquer que certains facteurs de causalité sont manquants dans le modèle, ce qui pourrait contribuer aux cotes de rendement de l’Agence, ou qu’il pourrait y avoir des facteurs qui ne relèvent pas de la portée de l’influence de l’Agence.

Tableau 117. Principaux facteurs des cotes de rendement de l’Agence parmi la population générale – facteurs de service

Importance dérivée Rendement de l’Agence
r2 = 0,32
Cote (% – cote de 8 à 10)
47 % Le représentant de l’Agence a pris le temps de comprendre ma situation. 67 %
22 % Le service offert par l’Agence était facile à accéder. 54 %
19 % Le service offert par l’Agence a été offert en temps opportun. 57 %
15 % Les renseignements que j’ai reçus étaient faciles à comprendre. 60 %
11 % Le représentant de l’Agence était professionnel. 75 %
8 % Les renseignements que j’ai reçus étaient exacts. 73 %
-6 % Les renseignements que j’ai reçus étaient complets. 68 %
-15 % Le représentant de l’Agence était poli. 74 %
Les chiffres en caractères gras indiquent une variable importante.

Le niveau d’importance de chaque caractéristique indique la mesure dans laquelle celle-ci prédit le rendement global de l’Agence. Il y avait trois caractéristiques qui représentaient la majeure partie de l’écart expliqué : le fait que le représentant de l’Agence a pris le temps de comprendre la situation, la facilité d’accès et le service en temps opportun.

Bien que la facilité d’accès au service ait été parmi les caractéristiques les plus importantes pour la population générale, cette caractéristique a seulement reçu une importance dérivée de 22 % (bien que plus de la moitié des répondants aient donné une cote de 8, 9 ou 10). Cela devrait être considéré comme un secteur prioritaire pour l’Agence. Inversement, les caractéristiques du professionnalisme (75 %) et de la courtoisie du représentant (74 %) ont obtenu une cote élevée, mais elles étaient moins importantes. Ce modèle indique que l’effort perçu et la rapidité d’interaction des services étaient de la plus grande importance lorsqu’on tente d’améliorer les cotes de rendement globales de l’Agence.

Petites et moyennes entreprises (PME)

Modèle de confiance

Le premier modèle était composé d’une série de facteurs de confiance afin de déterminer leur incidence relative sur les cotes de rendement globales de l’Agence. L’écart total expliqué par le modèle de régression était relativement élevé (r2 = 0,74), ce qui explique près des trois quarts des résultats des cotes de rendement globales.

Tableau 118. Principaux facteurs des cotes de rendement de l’Agence parmi les PME – facteurs de confiance

Importance dérivée Rendement de l’Agence
r2 = 0,74
Cote (% – cote de 8 à 10)
22 % L’Agence est serviable. 51 %
20 % L’Agence traite les contribuables de façon équitable. 49 %
16 % Je peux faire confiance à l’Agence pour faire ce qui est juste. 53 %
16 % L’Agence facilite le processus de production de mes déclarations de revenus d’entreprise. 56 %
12 % Les gens de l’Agence sont capables de bien faire leur travail. 56 %
8 % L’Agence travaille fort pour aider les Canadiens à trouver réponse à leurs questions sur l’impôt ou les prestations. 49 %
7 % L’Agence travaille pour le bien de tous les Canadiens. 51 %
3 % Les renseignements fournis par l’Agence pour mon entreprise arrivent à temps. 62 %
3 % L’Agence attrape les fraudeurs fiscaux. 46 %
3 % Je crois que les employés de l’Agence sont dignes de confiance. 57 %
-1 % L’Agence traite tout le monde de la même façon. 49 %
-3 % L’Agence traite mes déclarations de revenus d’entreprise en temps opportun. 65 %
-3 % L’Agence fournit suffisamment de renseignements afin que votre entreprise puisse respecter ses obligations fiscales. 56 %
-4 % J’ai confiance que l’Agence traitera les renseignements de mon entreprise de manière appropriée. 62 %
Les chiffres en caractères gras indiquent une variable importante.

Le niveau d’importance de chaque caractéristique indique la mesure dans laquelle celle-ci prédit le rendement global de l’Agence. Il y a cinq caractéristiques qui représentent en majeure partie l’écart expliqué (serviabilité, traitement équitable, confiance que ce qui est juste sera fait, facilité de production, et capacité), c’est-à-dire qu’elles ont la plus grande incidence sur les cotes de rendement globales de l’Agence. Les améliorations liées à ces facteurs auront la plus grande incidence sur les cotes de rendement globales de l’Agence.

Plus précisément, la mesure dans laquelle l’Agence est serviable (51 %) et traite les contribuables de façon équitable (49 %) figurait parmi les trois cotes les plus faibles attribuées pour chaque caractéristique, ce qui représente les secteurs prioritaires pour améliorer les perceptions générales de l’Agence. Le modèle démontre également que l’Agence a obtenu de bien meilleurs résultats en ce qui concerne le traitement des déclarations de revenus des entreprises en temps opportun (65 %), l’arrivée de renseignements en temps opportun (62 %) et la capacité de traiter les renseignements des entreprises de façon appropriée (62 %). Toutefois, l’importance de ces caractéristiques est relativement faible.

Modèle de service

Le deuxième modèle était composé d’une série de facteurs de service afin de déterminer leur incidence relative sur les cotes de rendement globales de l’Agence. L’écart total expliqué par le modèle de régression était modéré (r2 = 0,57), ce qui explique près des trois cinquièmes des résultats des cotes de rendement globales.

Tableau 119. Principaux facteurs des cotes de rendement de l’Agence parmi les PME – facteurs de service

Importance dérivée Rendement de l’Agence
r2 = 0,57
Cote (% – cote de 8 à 10)
43 % Le service offert par l’Agence était facile à accéder. 66 %
22 % Le service offert par l’Agence a été offert en temps opportun. 66 %
18 % Les renseignements que j’ai reçus étaient complets. 73 %
13 % Les renseignements que j’ai reçus étaient exacts. 70 %
9 % Le représentant de l’Agence était poli. 78 %
8 % Les renseignements que j’ai reçus étaient faciles à comprendre. 69 %
-6 % Le représentant de l’Agence a pris le temps de comprendre ma situation. 69 %
-7 % Le représentant de l’Agence était professionnel. 75 %
Les chiffres en caractères gras indiquent une variable importante.

Le niveau d’importance de chaque caractéristique indique la mesure dans laquelle celle-ci prédit le rendement global de l’Agence. Il y avait quatre caractéristiques qui représentaient la majeure partie de l’écart expliqué : la facilité d’accès, le service en temps opportun, ainsi que des renseignements complets et exacts.

La facilité d’accès était de loin la caractéristique la plus importante relevée parmi les PME interrogées, avec environ deux tiers des répondants (66 %) ayant fourni une cote de 8, 9 ou 10, ce qui représente une possibilité d’amélioration prioritaire. Le service en temps opportun a été positionné de la même façon, avec un niveau d’importance relativement élevé et une cote inférieure identique pour les trois premiers facteurs (66 %). Inversement, le professionnalisme du représentant a obtenu une cote élevée (75 %), mais son importance était moindre.

Intermédiaires fiscaux

Modèle de confiance

Le premier modèle était composé d’une série de facteurs de confiance afin de déterminer leur incidence relative sur les cotes de rendement globales de l’Agence. L’écart total expliqué par le modèle de régression était relativement élevé (r2 = 0,70), ce qui explique un peu plus des deux tiers des résultats des cotes de rendement globales.

Tableau 120. Principaux facteurs des cotes de rendement de l’Agence parmi les intermédiaires fiscaux – facteurs de confiance

Importance dérivée Rendement de l’Agence
r2 = 0,70
Cote (% – cote de 8 à 10)
23 % Les gens de l’Agence sont capables de bien faire leur travail. 45 %
14 % Je peux faire confiance à l’Agence pour faire ce qui est juste. 43 %
13 % L’Agence travaille fort pour aider les Canadiens à trouver réponse à leurs questions sur l’impôt ou les prestations. 41 %
12 % L’Agence travaille pour le bien de tous les Canadiens. 40 %
11 % L’Agence fournit suffisamment de renseignements afin que vos clients puissent respecter leurs obligations fiscales. 42 %
10 % L’Agence facilite le processus de production des déclarations de revenus des entreprises. 42 %
9 % L’Agence traite les contribuables de façon équitable. 40 %
9 % Je crois que les employés de l’Agence sont dignes de confiance. 45 %
8 % Les renseignements fournis par l’Agence pour mes clients d’entreprise arrivent à temps. 44 %
5 % L’Agence est serviable. 43 %
1 % L’Agence attrape les fraudeurs fiscaux. 40 %
-1 % L’Agence traite les déclarations des entreprises en temps opportun. 48 %
-6 % L’Agence traite tout le monde de la même façon. 40 %
-8 % J’ai confiance que l’Agence traitera les renseignements de mes clients de manière appropriée. 46 %
Les chiffres en caractères gras indiquent une variable importante.

Il y a neuf caractéristiques qui représentent en majeure partie l’écart expliqué (capacité, confiance que ce qui est juste sera fait, travailler fort pour aider les Canadiens, avantages pour les Canadiens, fournir suffisamment de renseignements, facilité de production, traitement équitable, fiabilité des gens de l’Agence, et renseignements arrivés à temps), c’est-à-dire qu’elles ont la plus grande incidence sur les cotes de rendement globales de l’Agence. Les améliorations liées à l’un ou l’autre de ces facteurs auront une incidence positive sur les cotes globales de l’Agence.

Plus précisément, le modèle démontre que la capacité des gens de l’Agence a obtenu la cote la plus élevée, avec près de la moitié des intermédiaires fiscaux ayant accordé une cote de 8, 9 ou 10, ce qui laisse entendre que l’Agence obtient un rendement modéré à cet égard. Le modèle démontre également que l’Agence continue d’obtenir de bien meilleurs résultats en ce qui concerne le traitement des déclarations de revenus des entreprises en temps opportun, le traitement équitable et le traitement des renseignements sur les clients. Toutefois, l’importance de ces caractéristiques est relativement faible.

Modèle de service

Le deuxième modèle était composé d’une série de facteurs de service afin de déterminer leur incidence relative sur les cotes de rendement globales de l’Agence. L’écart total expliqué par le modèle de régression était relativement faible (r2 = 0,55), ce qui explique près des trois cinquièmes des résultats des cotes de rendement globales.

Tableau 121. Principaux facteurs des cotes de rendement de l’Agence parmi les intermédiaires fiscaux – facteurs de service

Importance dérivée Rendement de l’Agence
r2 = 0,55
Cote (% – cote de 8 à 10)
30 % Le service offert par l’Agence a été offert en temps opportun. 47 %
27 % Le service offert par l’Agence était facile à accéder. 48 %
19 % Le représentant de l’Agence a pris le temps de comprendre ma situation. 49 %
14 % Les renseignements que j’ai reçus étaient complets. 54 %
12 % Les renseignements que j’ai reçus étaient exacts. 58 %
9 % Le représentant de l’Agence était poli. 61 %
-5 % Le représentant de l’Agence était professionnel. 59 %
-6 % Les renseignements que j’ai reçus étaient faciles à comprendre. 56 %
Les chiffres en caractères gras indiquent une variable importante.

Le niveau d’importance de chaque caractéristique indique la mesure dans laquelle celle-ci prédit le rendement global de l’Agence. Il y avait deux caractéristiques qui représentaient la majeure partie de l’écart expliqué : la rapidité du service et la facilité d’accès.

Les deux caractéristiques de service qui, de loin, ont le plus d’importance sont également les deux qui ont les pires cotes. Bien que la rapidité du service facilité soit la caractéristique la plus importante pour les intermédiaires fiscaux, moins de la moitié (47 %) lui ont donné une cote de 8, 9 ou 10. Une tendance semblable a été observée pour la facilité d’accès, qui a reçu une mauvaise cote dans le classement général, malgré un niveau élevé d’importance pour les cotes de rendement globales. Ces deux attributs devraient être le principal point d’intérêt de l’Agence à l’avenir.

Profil des répondants

Population générale

Tableau P1. Langue
Base : (Population générale) Tous les répondants (n = 2 407)

Langue Total non pondéré
(n = 2 407)
Total pondéré
(n = 2 407)
Anglais 78 % 79 %
Français 22 % 21 %

Tableau P2. Genre
Base : (Population générale) Tous les répondants (n = 2 407)

Genre Total non pondéré
(n = 2 407)
Total pondéré
(n = 2 407)
Homme 52 % 48 %
Femme 47 % 51 %
Autre identité de genre < 1 % < 1 %
Je préfère ne pas répondre < 1 % < 1 %

Tableau P3. Âge
Base : (Population générale) Tous les répondants (n = 2 407)

Âge Total non pondéré
(n = 2 407)
Total pondéré
(n = 2 407)
De 18 à 24 ans 6 % 10 %
De 25 à 34 ans 11 % 16 %
De 35 à 49 ans 22 % 24 %
De 50 à 64 ans 27 % 26 %
65 ans ou plus 34 % 23 %
Je préfère ne pas répondre < 1 % < 1 %

Tableau P4. Région
Base : (Population générale) Tous les répondants (n = 2 407)

Région Total non pondéré
(n = 2 407)
Total pondéré
(n = 2 407)
Colombie-Britannique 13 % 14 %
Alberta 9 % 11 %
Saskatchewan 5 % 3 %
Manitoba 6 % 4 %
Ontario 33 % 39 %
Québec 23 % 22 %
Nouveau-Brunswick 3 % 2 %
Nouvelle-Écosse 4 % 3 %
Île-du-Prince-Édouard 1 % 1 %
Terre-Neuve-et-Labrador 3 % 2 %
Yukon < 1 % < 1 %
Territoires du Nord-Ouest < 1 % < 1 %
Nunavut < 1 % < 1 %

Tableau P5. Études
Base : (Population générale) Tous les répondants (n = 2 407)

Études Total non pondéré
(n = 2 407)
Total pondéré
(n = 2 407)
Un niveau de 8e année ou moins 2 % 2 %
Des études secondaires non terminées 7 % 6 %
Un diplôme d’études secondaires ou un équivalent 16 % 16 %
Un apprentissage enregistré ou un certificat d’une école de métiers ou un diplôme 3 % 3 %
Certificat ou diplôme d’un collège, d’un cégep ou d’une institution non universitaire 22 % 23 %
Certificat ou diplôme universitaire inférieur au baccalauréat 9 % 9 %
Baccalauréat 24 % 25 %
Diplôme d’études supérieures au-delà du baccalauréat 15 % 15 %
Je ne sais pas/je refuse de répondre 2 % 2 %

Tableau P6. Pays de naissance
Base : (Population générale) Tous les répondants (n = 2 407)

Pays de naissance Total non pondéré
(n = 2 407)
Total pondéré
(n = 2 407)
Canada 77 % 74 %
Inde 3 % 4 %
États-Unis 2 % 2 %
Chine 1 % 1 %
Angleterre 1 % 1 %
Philippines 1 % 1 %
France 1 % 1 %
Pakistan < 1 % 1 %
Allemagne 1 % 1 %
Royaume-Uni 1 % 1 %
Jamaïque < 1 % 1 %
Haïti < 1 % < 1 %
Pologne < 1 % < 1 %
Iran < 1 % < 1 %
Brésil < 1 % < 1 %
Nigéria < 1 % < 1 %
Irlande < 1 % < 1 %
Afrique du Sud < 1 % < 1 %
Italie < 1 % < 1 %
Mexique < 1 % < 1 %
Colombie < 1 % < 1 %
Pays-Bas < 1 % < 1 %
Roumanie < 1 % < 1 %
Trinité-et-Tobago < 1 % < 1 %
Maroc < 1 % < 1 %
Écosse < 1 % < 1 %
Autre 8 % 9 %
Je préfère ne pas répondre 1 % 2 %

Tableau P7. Temps passé au Canada
Base : (Population générale) Répondants qui ne sont pas nés au Canada (n = 528)

Temps passé au Canada Total non pondéré
(n = 528)
Total pondéré
(n = 593)
Moins de 1 an 6 % 9 %
Au moins un an, mais moins de cinq ans 12 % 15 %
Au moins 5 ans, mais moins de 10 ans 11 % 13 %
10 ans ou plus 71 % 63 %
Je préfère ne pas répondre < 1 % < 1 %

Tableau P8. Statut d’emploi courant
Base : (Population générale) Tous les répondants (n = 2 407)

Statut d’emploi Total non pondéré
(n = 2 407)
Total pondéré
(n = 2 407)
Employé à temps plein, c’est-à-dire pendant 35 heures ou plus par semaine 41 % 46 %
Employé à temps partiel, c’est-à-dire pendant moins de 35 heures par semaine 7 % 9 %
Travailleur indépendant 8 % 7 %
Sans emploi, mais à la recherche d’un emploi 3 % 3 %
Étudiant à temps plein 3 % 5 %
À la retraite 34 % 25 %
Absent du marché du travail 3 % 3 %
Autre 1 % 1 %
Je ne sais pas/je refuse de répondre < 1 % 1 %

Tableau P9. Principale source de revenus
Base : (Population générale) Tous les répondants (n = 2 407)

Source de revenus Total non pondéré
(n = 2 407)
Total pondéré
(n = 2 407)
Salaire payé par un employeur 47 % 55 %
Propriétaire d’entreprise ou associé – propriétaire unique 5 % 5 %
Propriétaire d’entreprise ou associé – société 3 % 3 %
Revenus de placements 4 % 3 %
Régime de retraite privé ou caisse de retraite constituée 8 % 6 %
Pension du gouvernement 24 % 17 %
Prestations 1 % 2 %
Autre 2 % 2 %
Pension alimentaire versée à un conjoint, à un enfant ou à un parent 2 % 3 %
Aucune source de revenus 2 % 2 %
Je ne sais pas/je refuse de répondre 2 % 2 %

Tableau P10. Revenu d’entreprise annuel approximatif
Base : (Population générale) Répondants qui sont des propriétaires d’entreprise ou des associés (n = 190)

Revenu annuel Total non pondéré
(n = 190)
Total pondéré
(n = 190)
Moins de 30 000 $ 24 % 26 %
De 30 000 $ à moins de 500 000 $ 57 % 58 %
De 500 000 $ à moins de 1 million de dollars 6 % 5 %
De 1 à moins de 4 millions de dollars 2 % 2 %
De 4 à moins de 10 millions de dollars 2 % 2 %
Je préfère ne pas répondre 9 % 8 %

Tableau P11. Revenu du ménage approximatif
Base : (Population générale) Tous les répondants (n = 2 407)

Revenu annuel Total non pondéré
(n = 2 407)
Total pondéré
(n = 2 407)
Moins de 20 000 $ 8 % 9 %
De 20 000 $ à moins de 40 000 $ 16 % 15 %
De 40 000 $ à moins de 60 000 $ 14 % 12 %
De 60 000 $ à moins de 80 000 $ 12 % 12 %
De 80 000 $ à moins de 100 000 $ 10 % 10 %
De 100 000 $ à moins de 120 000 $ 8 % 8 %
De 120 000 $ à moins de 150 000 $ 6 % 7 %
150 000 $ et plus 14 % 15 %
Je préfère ne pas répondre 12 % 12 %

Tableau P12. Statut d’Autochtone
Base : (Population générale) Tous les répondants (n = 2 407)

Statut d’Autochtone Total non pondéré
(n = 2 407)
Total pondéré
(n = 2 407)
Autochtone 4 % 4 %
Non-Autochtone 95 % 94 %
Je préfère ne pas répondre 1 % 1 %

Tableau P13. Statut de personne en situation de handicap
Base : (Population générale) Tous les répondants (n = 2 407)

Statut de personne en situation de handicap Total non pondéré
(n = 2 407)
Total pondéré
(n = 2 407)
Répondants qui sont en situation de handicap 14 % 12 %
Répondants qui ne sont pas en situation de handicap 85 % 86 %
Je ne sais pas 1 % < 1 %
Je préfère ne pas répondre 1 % 1 %

Petites et moyennes entreprises (PME)

Tableau P14. Langue
Base : (PME) Tous les répondants (n = 806)

Langue Total
(n = 806)
Anglais 85 %
Français 15 %

Tableau P15. Région
Base : (PME) Tous les répondants (n = 806)

Région Total
(n = 806)
Colombie-Britannique 17 %
Alberta 10 %
Saskatchewan 3 %
Manitoba 4 %
Ontario 35 %
Québec 24 %
Nouveau-Brunswick 1 %
Nouvelle-Écosse 3 %
Île-du-Prince-Édouard < 1 %
Terre-Neuve-et-Labrador 1 %
Territoires du Nord-Ouest 1 %
Nunavut 1 %
Exploitation nationale < 1 %
Je préfère ne pas répondre < 1 %

Tableau P16. Nombre d’employés (y compris le répondant)
Base : (PME) Tous les répondants (n = 806)

Nombre d’employés Total
(n = 806)
1 33 %
De 2 à 4 23 %
De 5 à 19 16 %
De 20 à 49 12 %
De 50 à 99 13 %
100 ou plus 4 %

Tableau P17. Revenu d’entreprise annuel approximatif
Base : (PME) Tous les répondants (n = 806)

Revenu annuel Total
(n = 806)
Moins de 30 000 $ 17 %
De 30 000 $ à moins de 500 000 $ 34 %
De 500 000 $ à moins de 1 million de dollars 7 %
De 1 à moins de 4 millions de dollars 11 %
De 4 à moins de 10 millions de dollars 10 %
De 10 à moins de 20 millions de dollars 11 %
De 20 à moins de 50 millions de dollars 8 %
De 50 à moins de 250 millions de dollars 4 %
Moyenne 10,9 millions de dollars

Tableau P18. Type d’entreprise
Base : (PME) Tous les répondants (n = 806)

Type d’entreprise Total
(n = 806)
Une entreprise à propriétaire unique 49 %
Une société de personnes 17 %
Une entreprise constituée en société 15 %
Une fiducie 7 %
Un organisme de bienfaisance enregistré 6 %
Un organisme à but non lucratif 3 %
Une coopérative 3 %

Tableau P19. Participation à la prise de décisions opérationnelles
Base : (PME) Tous les répondants (n = 806)

Participation à la prise de décisions opérationnelles Total
(n = 806)
Questions d’ordre fiscal 100 %
Tenue de livres 68 %
Préparation de la TPS/TVH 66 %
Paie 56 %

Tableau P20. Poste au sein de l’entreprise
Base : (PME) Tous les répondants (n = 806)

Poste au sein de l’entreprise Total
(n = 806)
Président, président-directeur général ou propriétaire 57 %
Gestionnaire 11 %
Comptable 8 %
Administrateur supérieur des affaires financières/contrôleur 8 %
Commis comptable 6 %
Gestionnaire ou agent de la paie 6 %
Agent financier 4 %

Tableau P21. Genre
Base : (PME) Tous les répondants (n = 806)

Genre Total
(n = 806)
Homme 57 %
Femme 42 %
Autre identité de genre < 1 %
Je préfère ne pas répondre < 1 %

Tableau P22. Âge
Base : (PME) Tous les répondants (n = 806)

Âge Total
(n = 806)
De 18 à 24 ans 2 %
De 25 à 34 ans 13 %
De 35 à 49 ans 42 %
De 50 à 64 ans 29 %
65 ans ou plus 14 %
Je préfère ne pas répondre 1 %

Tableau P23. Industrie ou secteur d’activité (réponses d’au moins 1 %)
Base : (PME) Tous les répondants (n = 806)


Industries et secteurs
Total
(n = 806)
Services professionnels, scientifiques et techniques 12 %
Finances et assurances 9 %
Commerce de détail 9 %
Construction 8 %
Arts, spectacles et loisirs 8 %
Services d’enseignement 7 %
Soins de santé et assistance sociale 7 %
Fabrication 6 %
Immobilier, location et location à bail 3 %
Administration et soutien 3 %
Agriculture, foresterie, pêche et chasse 2 %
Gestion de sociétés et d’entreprises 2 %
Transport et entreposage 2 %
Commerce de gros 2 %
Services d’hébergement et de restauration 2 %
Services publics 2 %
Extraction minière, pétrolière et gazière 2 %
Industrie de l’information et industrie culturelle 2 %
Organisme de bienfaisance enregistré 2 %
Administration publique 1 %
Services de nettoyage ou d’entretien ménager 1 %
Soins ou services de toilettage pour animaux domestiques 1 %
Services de consultation 1 %
Édition ou publicité 1 %
Industrie du marketing ou des ventes 1 %
Industrie de la beauté ou de la mode 1 %
Réparations automobiles 1 %
Services de garde d’enfants ou de garderie 1 %
Service d’entretien et de réparation à domicile 1 %
Industrie du conditionnement physique ou du mieux-être < 1 %
Services de gestion des déchets et services d’assainissement < 1 %
Industrie des services personnels < 1 %
Industrie du commerce électronique < 1 %
Tourisme ou agence de voyage < 1 %
Industrie de l’environnement/du recyclage < 1 %
Domaine juridique < 1 %
Industrie de la transcription < 1 %
Informatique < 1 %
Autre 1 %
Je préfère ne pas répondre 2 %

Tableau P24. Années d’exploitation de l’entreprise à ce jour
Base : (PME) Tous les répondants (n = 806)

Années d’exploitation Total
(n = 806)
Moins d’un an 4 %
De 1 à 2 ans 8 %
De 3 à 5 ans 17 %
De 6 à 10 ans 26 %
Plus de 10 ans 44 %
Je préfère ne pas répondre < 1 %

Tableau P25. Statut d’Autochtone
Base : (PME) Tous les répondants (n = 806)

Statut d’Autochtone Total
(n = 806)
Autochtone 8 %
Non-Autochtone 86 %
Je préfère ne pas répondre 6 %

Tableau P26. Statut de personne en situation de handicap
Base : (PME) Tous les répondants (n = 806)

Statut de personne en situation de handicap Total
(n = 806)
Répondants qui sont en situation de handicap 13 %
Répondants qui ne sont pas en situation de handicap 80 %
Je ne sais pas 3 %
Je préfère ne pas répondre 4 %

Intermédiaires fiscaux

Tableau P27. Langue
Base : (Intermédiaires fiscaux) Tous les répondants (n = 810)

Langue Total
(n = 810)
Anglais 73 %
Français 27 %

Tableau P28. Région
Base : (Intermédiaires fiscaux) Tous les répondants (n = 810)

Région Total
(n = 810)
Colombie-Britannique 14 %
Alberta 12 %
Saskatchewan 2 %
Manitoba 4 %
Ontario 35 %
Québec 24 %
Nouveau-Brunswick 2 %
Nouvelle-Écosse 3 %
Île-du-Prince-Édouard 1 %
Terre-Neuve-et-Labrador 1 %
Territoires du Nord-Ouest < 1 %
Je préfère ne pas répondre < 1 %

Tableau P29. Nombre d’employés (y compris le répondant)
Base : (Intermédiaires fiscaux) Tous les répondants (n = 810)

Nombre d’employés Total
(n = 810)
1 11 %
De 2 à 4 14 %
De 5 à 19 25 %
De 20 à 49 21 %
De 50 à 99 16 %
100 ou plus 13 %

Tableau P30. Travaux liés à l’impôt effectués pour le compte de petites entreprises clientes
Base : (Intermédiaires fiscaux) Tous les répondants (n = 810)


Travaux liés à l’impôt pour le compte d’entreprises clientes
Total
(n = 810)
Comptabilité 55 %
Préparation de déclarations 46 %
Tenue de livres 41 %
Paie 40 %
Consultation 1 %
Services professionnels ou travaux techniques < 1 %
Immobilier/investissement dans les biens immobiliers < 1 %
Domaine juridique/droit < 1 %
Divertissement/accueil < 1 %
Marketing ou ventes < 1 %
Tout et n’importe quoi < 1 %
Aucun 1 %
Autre 1 %
Je préfère ne pas répondre 9 %

Tableau P31. Années d’exploitation de l’entreprise à ce jour
Base : (Intermédiaires fiscaux) Tous les répondants (n = 810)

Années d’exploitation Total
(n = 810)
Moins d’un an 3 %
De 1 à 2 ans 8 %
De 3 à 5 ans 22 %
De 6 à 10 ans 20 %
Plus de 10 ans 45 %
Je préfère ne pas répondre 2 %

Méthodologie de recherche

Aperçu

Deux sondages ont été réalisés, soit un sondage téléphonique auprès de contribuables particuliers et un sondage en ligne auprès de petites et moyennes entreprises (PME) ainsi que d’intermédiaires fiscaux.

Un sondage téléphonique auprès d’un échantillon aléatoire de 2 407 répondants a été mené entre le 13 février et le 24 mars 2023. Les membres du public cible étaient les contribuables âgés de 18 ans et plus résidant au Canada depuis au moins un an (opérationnalisés dans le cadre de cette recherche comme un échantillon de Canadiens adultes résidant presque universellement au Canada depuis au moins un an).

De plus, un sondage en ligne auprès de 806 PME et de 810 intermédiaires fiscaux a été mené entre le 16 février 2023 et le 17 mars 2023. Les PME cibles étaient des entreprises canadiennes et comprenaient des décideurs ou des personnes prenant part aux décisions en matière de fiscalité, de paie, de préparation de la TPS/TVH ou de tenue de livres. Les titres de poste ciblés étaient les suivants :

Les intermédiaires fiscaux cibles étaient des personnes qui travaillaient avec des clients opérationnels relativement à des questions liées à l’impôt ou à la paie.

Conception du questionnaire

Les questions posées dans le cadre de cette étude ont été fournies par l’Agence. Quorus a examiné les questions, fourni des suggestions et préparé celles-ci dans un format adapté à la collecte de renseignements par téléphone ou en ligne. Conformément aux normes du gouvernement du Canada, des sondages-tests ont été menés en anglais et en français.

Particuliers contribuables

Échantillonnage

Le sondage auprès des contribuables particuliers a été conçu pour être réalisé auprès d’un échantillon aléatoire de 2 407 Canadiens adultes âgés de 18 ans ou plus. Un échantillon de 2 407 répondants engendre une marge d’erreur globale de ± 2,0 points de pourcentage, 19 fois sur 20. Étant donné qu’il s’agit d’un échantillonnage probabiliste effectué au moyen d’une collecte de données randomisées, les résultats du sondage sont extrapolables à l’ensemble de la population adulte canadienne. Le nombre cible approximatif de sondages réalisés en fonction de l’âge, du sexe et de la région a été atteint. Pour refléter le mieux possible la véritable répartition des Canadiens adultes selon ces aspects essentiels, on a mis en place des pondérations statistiques modestes (une pratique de recherche standard dans les études de ce type), réduisant ainsi les possibilités de biais de non-réponse qui auraient pu survenir par rapport à ces trois dimensions démographiques.

L’échantillon fourni pour la composition comportait des dossiers de coordonnées qui reflétaient une composition téléphonique aléatoire, ce qui comprenait un très grand nombre de numéros de téléphone qui ne sont pas en service ou qui ne sont plus attribués. Pour ce qui est des téléphones filaires, les dossiers ont été tirés d’une liste de ménages sélectionnés au hasard compilés à partir de numéros de téléphone au Canada, provenant d’une base de données qui est mise à jour tous les trimestres. Les numéros répertoriés et non répertoriés ont été inclus dans l’échantillon. Quorus Consulting a utilisé le logiciel d’échantillonnage Échantillonneur Canada d’ASDE Inc. pour générer des échantillons de numéros de téléphones filaires du grand public au Canada, lequel est devenu un logiciel standard pour de nombreuses entreprises au Canada. Ce logiciel s’est révélé efficace pour fournir un échantillon équivalent à la composition téléphonique aléatoire. Des numéros de téléphones cellulaires générés au hasard ont également été utilisés. Conformément aux exigences relatives à l’énoncé des travaux, l’échantillon comprenait dès le départ un minimum de 30 % d’utilisateurs de téléphones cellulaires seulement, en plus des numéros de téléphones filaires.

L’échantillon a été stratifié par région afin d’assurer la représentation régionale comme suit :

Région Cibles atteintes
Canada atlantique 260
Québec 550
Ontario/Nunavut 800
Prairies/T.N.-O. 480
C.-B./Yukon 310
Total 2 400

Le plan d’entrevues ciblées comprenait des quotas globaux selon l’âge et le genre, ainsi que par région. Les quotas de sexe étaient d’environ 50/50, tandis que les quotas d’âge ont été répartis en cinq groupes : de 18 à 24 ans, de 25 à 34 ans, de 35 à 49 ans, de 50 à 64 ans et 65 ans ou plus.

Administration

Comme il a été mentionné, le sondage a été réalisé par téléphone. Le sondage a été programmé par Quorus et son partenaire de collecte de données en anglais et en français au moyen d’un logiciel d’interview téléphonique assistée par ordinateur (ITAO). Les répondants avaient l’option de remplir le sondage dans la langue officielle de leur choix. Les membres du personnel bilingue ont fourni de l’aide, au besoin, et ont assuré une supervision bilingue continue.

En ce qui a trait à la formation, en plus d’un processus de sélection et de formation général exhaustif, les superviseurs et les intervieweurs ont reçu une formation personnalisée propre à un projet, un examen du questionnaire comprenant une terminologie, des prononciations et des acronymes précis, ainsi que des renseignements généraux sur les buts et les objectifs du projet.

Pour ce qui est de la supervision, à l’instar de tous les projets, le ratio était d’un superviseur pour 15 intervieweurs. Ce « superviseur d’étage » répond aux questions, gère les acheminements aux échelons supérieurs, veille à ce que la technologie fonctionne correctement et surveille les intervieweurs. De plus, au moins 10 % des entrevues ont fait l’objet d’une vérification au moyen de l’examen des entrevues enregistrées ou de la surveillance en direct (deux fois le pourcentage requis dans les lignes directrices de l’industrie).

Une fois programmé, le sondage a fait l’objet de tests approfondis visant à vérifier que l’enchaînement des questions était le bon (ordre et questions sautées). En plus de ces tests, un sondage-test a été mené, ce qui s’est traduit par 10 sondages en anglais et 10 en français. L’objectif général du sondage-test consistait à s’assurer que :

À la suite du sondage-test, les données ont été examinées attentivement afin d’en assurer l’exactitude et de cerner les aspects qui devaient être modifiés. Un rapport sur le sondage-test a été préparé pour décrire les résultats. Le sondage a fait l’objet d’une série de révisions afin de réduire la durée moyenne à environ 17 minutes.

En plus des questions réelles du sondage, une section a été incluse à la fin du questionnaire afin de vérifier la compréhension du sondage par les répondants et leur expérience relative à ce sondage. Aucun changement à l’instrument de sondage n’a été jugé nécessaire à la suite de cet exercice, et les réponses ont finalement été incluses dans l’échantillon final.

Les travaux sur le terrain ont été surveillés de façon continue, ce qui a permis aux superviseurs de déterminer si des difficultés ont été éprouvées à l’aide de la répartition des appels ou des renseignements concernant les réponses non valides. En moyenne, les répondants ont pris environ 17 minutes pour répondre au sondage. Un plan de composition a été mis en œuvre dans le cadre duquel il y avait au moins cinq tentatives pour les numéros de téléphones filaires, et au moins cinq tentatives pour les numéros de téléphones cellulaires. Les appels et les rappels étaient effectués à différents moments pendant la journée, ce qui comprenait des appels le jour et le soir, au plus tard à 21 h dans un fuseau horaire donné.

Quorus Consulting et son partenaire de collecte de données ont utilisé un certain nombre de techniques pour maintenir le taux de réponse le plus élevé possible :

Si un intervieweur ne parlait pas la langue officielle demandée par le répondant, l’entrevue était transférée à un autre intervieweur ou un rappel était organisé dans un délai de 20 minutes (ou à un autre moment si le répondant en fait la demande). Lorsqu’on appelait à un endroit particulier en employant une langue prédominante (p. ex., le français au Québec), l’appel initial était effectué par les intervieweurs qui parlent la langue prédominante afin de réduire au minimum le nombre de transferts requis.

Les tableaux ci-dessous relatifs au sondage téléphonique présentent les données sur les régions, le genre et l’âge en ce qui a trait à la répartition réelle des Canadiens adultes, tel qu’il est répertorié dans le recensement de 2021 de Statistique Canada. De plus, les quotas cibles et les sondages remplis pour chaque région, genre et segment d’âge sont détaillés (tant en ce qui concerne le nombre réel de sondages remplis que le pourcentage de tous les sondages remplis). Les tableaux des pages suivantes présentent les données en chiffres pondérés et non pondérés, ainsi qu’en pourcentage par rapport à l’ensemble des sondages recueillis pour les dimensions démographiques pertinentes.

Mise en tableau des données : Il y a eu un total de 60 cellules de pondération statistique qui se chevauchent ou qui ont été créées à partir de la conception de l’étude à l’aide des facteurs de pondération de la région (6 : Atlantique, Québec, Ontario/Nunavut, Manitoba/Saskatchewan, Alberta/Territoires du Nord-Ouest, et Colombie-Britannique/Yukon); du groupe d’âge (5 : de 18 à 24 ans, de 25 à 34 ans, de 35 à 49 ans, de 50 à 64 ans et 65 ans ou plus); et du genre (2 : hommes, femmes). Le total de 36 cellules de pondération statistique différentes qui se chevauchent est atteint quand l’on multiplie le nombre de catégories de région (6) x groupe d’âge (5) x genre (2) = 60. Les données sur la population pour les 60 cellules de pondération statistique sont tirées du plus récent recensement canadien (2021) et peuvent être consultées ici :

https://www150.statcan.gc.ca/t1/tbl1/fr/cv.action?pid=9810002001

Il convient également de noter qu’un petit nombre de personnes n’ont pas été placées dans l’une des 60 cellules de pondération, car elles ont été désignées comme étant des personnes de diverses identités de genre ou elles préféraient ne pas répondre à la question de genre. Aux fins de mise en tableau des données, une valeur de pondération de 1,0 leur a été attribuée.

Sondage téléphonique (Les pourcentages pourraient ne pas arriver exactement à 100 % en raison de l’arrondissement) :

Sous-segments Recensement de 2021 Quota cible (n =) Quota cible (%) Sondages réalisés (données non pondérées) [n =] Sondages réalisés (données non pondérées) [%] Sondages réalisés (données pondérées) [n =] Sondages réalisés (données pondérées) [%]
Région – Canada atlantique 6,7 % 260 10,8 % 262 10,9 % 163 6,8 %
Région – Québec 23,0 % 550 22,9 % 553 23,0 % 536 22,3 %
Région – Ontario/Nunavut 38,7 % 800 33,3 % 800 33,2 % 944 39,2 %
Région – Prairies/T.N.-O. 17,6 % 480 20,0 % 482 20,0 % 425 17,7 %
Région – C.-B./Yukon 14,0 % 310 12,9 % 310 12,9 % 339 14,1 %
Genre – homme 48,8 % 1 171 48,8 % 1 260 52,3 % 1 164 48,4 %
Genre – femme 51,2 % 1 229 51,2 % 1 126 46,8 % 1 222 50,8 %
Âge – de 18 à 24 ans 10,1 % 242 10,1 % 134 5,6 % 248 10,3 %
Âge – de 25 à 34 ans 16,6 % 398 16,6 % 262 10,9 % 397 16,5 %
Âge – de 35 à 49 ans 24,2 % 581 24,2 % 537 22,3 % 582 24,2 %
Âge – de 50 à 64 ans 25,5 % 612 25,5 % 649 27,0 % 622 25,8 %
Âge – 65 ans et plus 23,6 % 566 23,6 % 814 33,8 % 547 22,7 %

Taux de participation/réponse : Les taux ci-dessous ont été calculés à l’aide des éléments principaux de la formule recommandée par la Direction de la recherche sur l’opinion publique du gouvernement du Canada :

Résultats :

A. Nombre total de tentatives d’appel 134 482
Nombre total de numéros non valides 57 345
B. Nombre total d’appels non résolus (NR) 61 742
Pas de réponse, répondeur 61 742
C. Unités admissibles non répondantes (UA) 15 359
Barrière linguistique 180
Impossibilité de répondre au sondage (malade/décédé) 68
Rappel (répondant non disponible) 1 382
Refus de répondre 11 023
Mis fin à l’appel 171
D. Unités répondantes (UR) 2 571
Quota atteint/non réalisé 99
Entrevues achevées 2 407
Disqualifié – le répondant est âgé de moins de 18 ans 36
Disqualifié – province refusée 29
Taux de réponse arrondi : UR ÷ (NR + UA + UR) = 2 571 ÷ (61 742 + 15 359 + 2 571) 3,3
Incidence 93,6

En ce qui concerne le sondage téléphonique, la marge d’erreur illustre l’erreur d’échantillonnage et elle est présentée dans le tableau ci-dessous :

Région Cibles atteintes Marge d’erreur
(sondage de base)
Marge d’erreur (modules de service et d’observation)
Canada atlantique 260 ± 6,1 % ± 8,6 %
Québec 550 ± 4,2 % ± 5,9 %
Ontario/Nunavut 800 ± 3,5 % ± 4,9 %
Prairies/T.N.-O. 480 ± 4,5 % ± 6,3 %
C.-B./Yukon 310 ± 5,6 % ± 7,9 %
Total 2 400 ± 2,0 % ± 2,8 %


Étant donné que cette méthode de sondage téléphonique comportait un échantillonnage probabiliste, les données recueillies peuvent être extrapolées à la population générale canadienne d’adultes âgés de 18 ans ou plus, en respectant les limites des marges d’erreur et de l’intervalle de confiance du répondant.

PME et intermédiaires fiscaux

Échantillonnage

Étant donné le chevauchement des questions pour ces deux publics (c.-à-d., les PME et les intermédiaires fiscaux), les questions ont été regroupées en un seul sondage avec des volets pour les deux publics cibles. On a fait passer le questionnaire du sondage en ligne. L’échantillonnage a été conçu pour atteindre 800 sondages auprès de chaque public cible. Étant donné que les sondages auprès des PME et des intermédiaires fiscaux consistaient en des échantillonnages non probabilistes effectués au moyen d’un panel en ligne de représentants d’entreprise répondants accessible sur le marché, les résultats du sondage ne sont pas extrapolables à l’ensemble des populations canadiennes de PME et d’intermédiaires fiscaux.

Quorus a eu recours aux services du fournisseur de panel en ligne Dynata pour cette étude. Les membres du panel sont recrutés à partir d’un grand nombre de sources afin de maximiser la diversité et la représentation. Cela comprend des groupes de discussion sur la loyauté, l’inscription et les partenariats organiques et ouverts, ainsi qu’un réseau d’affiliation. Dynata a recours à des techniques solides en matière de gestion de groupes de discussion pour surveiller la qualité des données au moyen de divers contrôles de qualité, comme les limites du nombre de participants, les questions de sélection, la prise d’empreintes digitales, les interventions aléatoires et illogiques, le repérage et le retrait des répondants qui choisissent une même réponse pour l’ensemble des questions et les répondants qui répondent trop rapidement au sondage. De plus, Dynata mesure régulièrement la satisfaction des participants à l’égard d’éléments comme la fréquence des invitations, la valeur et la diversité des incitatifs ainsi que les choix de reprise, leur disposition à remplir divers sondages et leur niveau de réceptivité à l’égard des questions ou des préoccupations qu’ils communiquent à l’équipe des services aux membres de Dynata. Des objectifs régionaux ont été établis pour les PME et les intermédiaires fiscaux afin d’assurer une solide représentation régionale dans l’ensemble du pays et d’assurer l’uniformité de la distribution des sondages remplis avec l’approche adoptée l’année précédente.

Administration

Les sondages en ligne utilisés ont été programmés par Quorus en anglais et en français. L’invitation officielle aux répondants était formulée dans la langue officielle de leur choix. De plus, pendant qu’ils répondaient aux questions, les participants avaient la possibilité de basculer entre les deux langues en tout temps. S’ils avaient besoin de l’aide d’employés bilingues pour répondre au sondage, celle-ci leur était fournie. Les répondants ont pu vérifier la légitimité du sondage en communiquant avec des représentants de Quorus ou de l’Agence du revenu du Canada, ou en envoyant une demande par courriel au Conseil de recherche et d’intelligence marketing canadien. Une fois programmé, chaque sondage a fait l’objet de tests visant à vérifier que l’enchaînement des questions était le bon (ordre et questions sautées). Pour faire ces tests, des chercheurs de Quorus ont reçu l’invitation au sondage comme s’ils étaient des répondants, ce qui a également permis de vérifier la justesse de l’envoi, du texte et des liens, entre autres choses. Les membres du personnel de l’Agence du revenu du Canada ont également reçu le lien du sondage-test et, par conséquent, la rétroaction des clients a également été intégrée avant le lancement du sondage.

Un total de huit sondages-tests en anglais et de 12 sondages-tests en français ont été effectués dans l’ensemble des deux publics cibles, ce qui comprend plus précisément huit répondants des PME et 12 intermédiaires fiscaux. Ces sondages-tests ont été effectués au moyen d’un test prélancement dans le cadre duquel un petit nombre de répondants du groupe ont été invités à participer au sondage. Les sondages-tests ont aidé à examiner les données du sondage dans le but de garantir leur fiabilité et de cerner les éventuels problèmes de programmation auxquels il fallait remédier. En plus des questions réelles du sondage, une section a été incluse à la fin du questionnaire afin de vérifier la compréhension du sondage par les répondants et leur expérience relative à ce sondage. Aucun changement à l’instrument de sondage n’a été apporté à la suite de cette démarche. Par conséquent, tous les sondages effectués au moyen du sondage-test ont été conservés dans l’échantillon final.

Dans le cadre des études par panel en ligne, des avis de rappel sont acheminés aux répondants faisant partie de l’échantillon s’ils n’ont pas participé à une étude en ligne récemment, ou si la collecte de données pour une étude en particulier n’est pas en voie d’être achevée avant la date de fin souhaitée. En l’occurrence, les membres du panel faisant partie du milieu des affaires ont été désignés et ont d’abord été informés de l’étude. À l’approche de la date de fin désirée de la collecte de données, l’étude actuelle s’est vu accorder la priorité dans la file d’attente des sondages de chaque répondant éventuel du milieu des affaires. En d’autres termes, à part la recherche actuelle commandée par l’Agence du revenu du Canada, le tableau de bord des sondages de ces membres du panel faisant partie du milieu des affaires aurait présenté peu d’autres sondages, voire n’en aurait présenté aucun autre. Grâce à ce processus, on a presque réalisé le nombre ciblé de sondages dans les délais souhaités. L’étude a été menée du 16 février 2023 au 17 mars 2023. Le travail sur le terrain était surveillé de façon continue pour veiller à ce que les quotas soient atteints. Puisque les liens mis à la disposition des membres du panel ne permettaient de répondre au sondage qu’une seule fois, aucun répondant n’a pu y répondre plus d’une fois.

Au total, 1 616 sondages ont été soumis par les répondants (806 par les PME et 810 par les intermédiaires fiscaux). En moyenne, les répondants ont pris environ 12 minutes pour répondre au sondage. Une approche d’échantillonnage non probabiliste a été mise en œuvre, étant donné que l’étude devait être menée auprès de répondants faisant partie d’un panel en ligne d’entreprises canadiennes. En raison de leur nature même, ces panels ne sont pas probabilistes étant donné qu’ils n’incluent que des gens qui ont décidé eux-mêmes de devenir membres, et que ce ne sont pas tous les membres du public cible qui sont admissibles à participer au panel qui en font effectivement partie.

Étant donné que cette méthode de sondage en ligne a eu recours à un échantillon non probabiliste, les données recueillies ne peuvent pas être extrapolées à l’ensemble des populations de PME et d’intermédiaires fiscaux canadiens. Des quotas minimaux ont été établis pour les régions afin d’assurer une représentation solide des sondages remplis dans l’ensemble du pays, tout en respectant le fait que les plus grandes proportions d’organismes cibles proviennent des provinces et des régions les plus peuplées du pays.

Petites et moyennes entreprises :

Région Quotas cibles
(n =)
Quotas cibles
(%)
Sondages réalisés (données non pondérées) [n =] Sondages réalisés (données non pondérées) [%]
Canada atlantique 55 7 % 42 7 %
Québec 185 23 % 190 20 %
Ontario (Nunavut) 270 34 % 289 38 %
Ouest du Canada 265 33 % 278 35 %
Territoires/National 25 3 % 6 1 %

Intermédiaires fiscaux :

Région Quotas cibles
(n =)
Quotas cibles
(%)
Sondages réalisés (données non pondérées) [n =] Sondages réalisés (données non pondérées) [%]
Canada atlantique 55 7 % 57 7 %
Québec 185 23 % 198 24 %
Ontario (Nunavut) 270 34 % 287 35 %
Ouest du Canada 265 33 % 265 33 %
Territoires/National 25 3 % 1 < 1 %

En plus des quotas régionaux, des objectifs ont été établis pour la taille de l’entreprise des PME en fonction du nombre d’employés travaillant pour chaque entreprise respective.

Petites et moyennes entreprises :

Taille de l’entreprise Quotas cibles
(n =)
Quotas cibles
(%)
Sondages réalisés (données non pondérées) [n =] Sondages réalisés (données non pondérées) [%]
De 1 à 4 450 56 % 454 56 %
De 5 à 99 320 40 % 322 40 %
Plus de 100 30 4 % 30 4 %

Un taux de participation n’a pas pu être calculé pour les segments des PME et des intermédiaires fiscaux en raison du processus de collecte de données utilisé par le fournisseur de panel en ligne Dynata. Plutôt que d’utiliser les courriels comme principal moyen de faire participer les gens au sondage, les participants se sont connectés à leur tableau de bord quand cela leur convenait ou ont répondu à un message texte générique, un courriel ou une notification d’application. Dynata a utilisé un système de routeur qui a dirigé les répondants vers le sondage pour lequel ils étaient ciblés, en utilisant un algorithme complexe qui comprend une stratégie de randomisation robuste. Les répondants ont ouvert une session dans le tableau de bord du panneau et, après avoir répondu à quelques questions pour peaufiner le ciblage, ils ont été dirigés vers le sondage précis. Les répondants ne choisissaient pas le sondage vers lequel ils étaient dirigés, mais étaient répartis en fonction de l’algorithme, qui déterminait la correspondance entre le profil d’un panéliste donné et les besoins du sondage.

Les données n’ont pas été pondérées, conformément aux itérations antérieures de la présente étude. Puisque la méthodologie en ligne a reposé sur un échantillonnage non probabiliste, il est impossible d’appliquer une marge d’erreur aux résultats conformément aux Normes pour la recherche sur l’opinion publique effectuée par le gouvernement du Canada pour les sondages en ligne.

Analyse du biais de non-réponse

Aucun sondage n’est à l’abri des biais et des erreurs. Quand un sondage est mené auprès d’un échantillon de la population, on compte deux catégories globales de biais ou d’erreurs possibles : les erreurs d’échantillonnage, qui sont quantifiables, et les erreurs non dues à l’échantillonnage, qui ne le sont pas. Les erreurs d’échantillonnage s’attribuent au fait que les enquêtes ne sont menées qu’auprès d’un sous-ensemble de la population. Ainsi, il est possible que les résultats tirés de ce groupe de répondants ne soient pas représentatifs de l’ensemble de la population. Par comparaison, les erreurs non dues à l’échantillonnage englobent plusieurs types différents d’erreurs, par exemple au niveau de la couverture, des mesures et du traitement, et en cas de non-réponse. Aucune erreur d’échantillonnage ne peut toucher cette étude en ligne, car les répondants provenaient d’un panel en ligne du public cible, une source d’échantillonnage non probabiliste. Cela dit, plusieurs mesures ont été prises lors de la collecte de données dans le but de s’assurer qu’un nombre suffisant de sondages étaient obtenus auprès des deux segments cibles. Des cibles ont également été établies afin d’assurer une représentation géographique solide dans l’ensemble du pays.

Pour ce qui est des erreurs non dues à l’échantillonnage, plusieurs mesures ont été prises afin de réduire le biais. Les deux sondages ont eu recours à une technologie de programmation de sondage pour veiller au bon enchaînement des questions ainsi que pour réduire les erreurs d’entrée et de captures des données. Les instruments de sondage en français et en anglais ont fait l’objet d’un test préalable auprès d’un petit nombre de répondants, ce qui a permis de s’assurer que ceux-ci le comprenaient bien et que les données étaient adéquatement recueillies. Les intervieweurs ont également été formés et supervisés pour le sondage téléphonique.

En ce qui concerne la couverture, le sondage téléphonique a été mené à partir d’un échantillonnage aléatoire d’un échantillon solide de numéros de téléphones filaires et cellulaires. Des quotas ont été établis pour les groupes démographiques traditionnellement considérés comme centraux dans les études quantitatives, en l’occurrence le sexe, l’âge et la région/province. Après avoir examiné l’ensemble de données définitif, on a découvert que les jeunes Canadiens (de 18 à 34 ans) étaient légèrement sous-représentés dans les sondages recueillis. Par conséquent, on a pondéré à la hausse ce segment dans l’ensemble de données définitif afin de s’assurer qu’ils reflétaient la véritable proportion de ce groupe démographique dans la population canadienne adulte. En d’autres termes, l’ensemble de données définitif a été pondéré de manière qu’il se rapproche de la distribution de ces dimensions reflétées dans le recensement 2021 de Statistique Canada. Les mesures de pondération mises en œuvre étaient plutôt mineures, puisque les données recueillies étaient déjà proches de la distribution réelle des adultes du Canada pour ces dimensions démographiques.

Le sondage en ligne a été mené auprès d’un panel en ligne du public cible, selon une approche d’échantillonnage aléatoire au sein d’un panel en ligne réputé pour le public cible du grand public disponible sur le marché.

Annexes

Questionnaire de la population générale

janvier 2023

Agence du revenu du Canada
Recherche d’entreprise annuelle – 2022
 Grand public

INTRODUCTION

Bonjour / Hello, Je m’appelle _______ et je vous appelle du groupe-conseil Quorus, une société d’études de marché Canadienne. Nous menons un sondage téléphonique sur des questions d’actualité qui intéressent les Canadiens, au nom du gouvernement du Canada, et selon la Loi sur la protection des renseignements personnels. Le sondage prend environ 15 minutes et il est entièrement confidentiel. La participation à ce sondage est volontaire. Vos réponses demeureront anonymes. Voulez-vous que je continue en français ou en anglais?

(AU BESOIN : Thank you. Someone will call you back shortly to complete the survey in English.)

SG-1.  Puis-je parler à un membre du ménage qui est âgé de 18 ans ou plus? Serait-ce vous?
[SI LA PERSONNE N’EST PAS DISPONIBLE, PRENEZ UN RENDEZ-VOUS POUR LA RAPPELER]
[ACCEPTER UN SEUL CODE]

SG-2.  [RÉPÉTEZ L’INTRODUCTION SI VOUS PARLEZ À UNE NOUVELLE PERSONNE] Votre participation au sondage est volontaire, mais elle serait d’une grande utilité. Seriez-vous disponible pour prendre part à ce sondage? Nous pouvons le faire dès maintenant ou à un moment plus propice pour vous.
[ACCEPTER UN SEUL CODE]

[SI REFUSÉ : Y a-t-il une raison qui vous empêche de répondre à cette enquête par téléphone ?

SI LA RAISON EST LE HANDICAP, PROPOSEZ UN AUTRE FORMAT (QUESTIONNAIRE EN LIGNE OU PDF PAR COURRIEL), LE CAS ÉCHÉANT. SI ACCEPTÉ, PRENEZ L'ADRESSE COURRIEL DU RÉPONDANT]

SG-3. Est-ce que je vous ai appelé sur votre téléphone cellulaire?
[ACCEPTER UN SEUL CODE]

SG-4[POSER LA QUESTION SG-4 SEULEMENT SI LA RÉPONSE À LA QUESTION SG-3 EST « OUI »] Êtes-vous dans un environnement qui vous permet de continuer aisément à répondre à ce sondage?
[ACCEPTER UN SEUL CODE]

Ce sondage est mené au nom du gouvernement du Canada. La participation est volontaire et votre décision d’y participer ou non n’aura aucune incidence sur votre relation avec le gouvernement. Cet appel peut être écouté ou enregistré aux fins de contrôle de la qualité.

AU BESOIN : Si vous avez des questions au sujet de ce sondage ou si vous souhaitez vérifier la légitimité de cette recherche, vous pouvez communiquer avec Marie Lemay au 343-575-5446 ou visitez canada.ca/arc-por.

PG-1. Merci d’avoir accepté de participer. Nos premières questions visent à nous assurer que les résultats de notre étude soient représentatifs de tous les Canadiens et Canadiennes. Pour commencer, à quel genre vous identifiez-vous …:
LISEZ LES QUATRE RÉPONSES EN ORDRE [ACCEPTER UN SEUL CODE] 
[ASSUREZ-VOUS QUE L’OBJECTIF DE REPRÉSENTATION ÉQUILIBRÉE DES GENRES EST ATTEINT]

01 – Homme
02 – Femme
03 – Autre, veuillez préciser
04 - Préfère ne pas répondre

PG-2.  En quelle année êtes-vous né(e)?
[ASSUREZ-VOUS QUE LES CIBLES RELATIVES À L’ÂGE SONT ATTEINTES]

98 – ACCEPTER LES QUATRE CHIFFRES DE L’ANNÉE
99 – Refuse de répondre

PG-3. [SI PG-2=REFUSÉ] Pourriez-vous choisir la catégorie d'âge à laquelle vous appartenez ?
LISEZ LA LISTE – PAUSE APRÈS CHAQUE POUR PERMETTRE AU RÉPONDANT DE RÉPONDRE

[ACCEPTER UN SEUL CODE]

01 – 18 à 24
02 – 25 à 34
03 – 35 à 49
04 – 50 à 64
05 – 65 ans ou plus
99 – Refusé

PG-4.  Dans quelle province ou quel territoire vivez-vous? NE LISEZ PAS LES RÉPONSES
[ACCEPTER UN SEUL CODE]

Impressions générales de l’ARC

BG-0. Pour commencer, comment évalueriez-vous le rendement global du gouvernement du Canada dans son ensemble? Veuillez utiliser une échelle de 1 à 10, où 1 signifie « affreux » et 10 signifie « excellent ».  
SOYEZ PERSISTENT POUR ÉVITER D’ACCEPTER UNE APPROXIMATION
[N’AUTORISE QU’UN SEUL CODE]

01 – Affreux
JUSQU’À
10 – Excellent
RÉPONSE SPONTANÉE
99 – Je ne sais pas/je refuse de répondre

BG-1. Maintenant, nous aimerions que vous pensiez précisément à l’Agence du revenu du Canada. L’Agence du revenu du Canada est l’organisme du gouvernement fédéral responsable, entre autres :

[LISEZ POUR LE MANITOBA, LA SASKATCHEWAN, L’ALBERTA, LA COLOMBIE-BRITANNIQUE, LE YUKON, LES TERRITOIRES DU NORD-OUEST, LE NUNAVUT : de la perception de l’impôt sur le revenu, de l’administration de la TPS (ou taxe sur les produits et services) et du Programme d’allocation canadienne pour enfants.]

[LISEZ POUR LE QUÉBEC SEULEMENT : de la perception de l’impôt fédéral sur le revenu et du Programme d’allocation canadienne pour enfants.]

[LISEZ POUR LES PROVINCES DE L’ATLANTIQUE ET DE L’ONTARIO : de la perception de l’impôt sur le revenu fédéral, de l’administration de la TPS/TVH et du Programme d’allocation canadienne pour enfants.]

LISEZ POUR TOUS : Tout au long de ce sondage, nous utiliserons le terme L’ARC pour désigner l’Agence du revenu du Canada.

Comment évalueriez-vous le rendement global de l’Agence du revenu du Canada? Veuillez utiliser une échelle de 1 à 10, où 1 signifie « affreux » et 10 signifie « excellent ».
POSER UNE QUESTION POUR ÉVITER D’ACCEPTER UNE FOURCHETTE
[ACCEPTER UN SEUL CODE]

01 – Affreux
JUSQU’À
10 – Excellent
RÉPONSE SPONTANÉE
99 – Je ne sais pas/je refuse de répondre – PASSEZ À LA QUESTION B-3

B-2.Pourquoi évaluez-vous le rendement de l’Agence en donnant une cote de [RÉPONSE À BG-1] sur 10?

POSER LA QUESTION : Y a-t-il d’autres raisons?
[ENREGISTREZ LA RÉPONSE, ACCEPTEZ PLUS D’UNE RÉPONSE]

98 – Veuillez préciser : (______________)
RÉPONSE SPONTANÉE
99 – Je ne sais pas/je refuse de répondre

B-3.    J’aimerais maintenant que vous évaluiez l’Agence sur une série d’énoncés. Veuillez utiliser une échelle de 1 à 10, où 1 signifie que vous êtes tout à fait en désaccord et 10 signifie que vous êtes tout à fait d’accord. LISEZ L’ÉCHELLE AU BESOIN. POSER UNE QUESTION POUR ÉVITER D’ACCEPTER UNE FOURCHETTE
[PRÉSENTEZ LES ÉNONCÉS ALÉATOIREMENT. ACCEPTER UN SEUL CODE PAR ÉNONCÉ]

[SI L’ON VOUS DEMANDE DES PRÉCISIONS : On vous demande votre opinion selon vos impressions de l’Agence du revenu du Canada basées sur votre expérience personnelle ou sur ce que vous avez vu, lu ou entendu.]

  1. Je peux faire confiance à l’ARC pour faire ce qui est juste
  2. L’ARC travaille pour le bien de tous les Canadiens
  3. J’estime que les gens de l’ARC sont dignes de confiance
  4. Les gens de l’ARC sont capables de bien faire leur travail
  5. L’ARC facilite le processus de production de mes déclarations de revenus
  6. L’ARC est serviable
  7.  L’ARC traite les contribuables équitablement
  8. J’ai confiance que l’ARC traitera mes renseignements personnels de manière appropriée
  9. L’Agence attrape les fraudeurs fiscaux
  10. L’Agence traite tout le monde de la même façon
  11. La hausse du coût de la vie a un impact négatif sur les finances de mon ménage [ANCHOR. ASK LAST]

01 – Tout à fait en désaccord
JUSQU’À
10 – Tout à fait en accord
RÉPONSE SPONTANÉE
99 – Je ne sais pas/je refuse de répondre

Expérience vécue auprès de l’ARC – Production de déclaration de revenus

J’aimerais vous poser des questions au sujet de vos expériences vécues en tant que contribuable.

[LISEZ AU BESOIN, PAR EXEMPLE, SI LE RÉPONDANT ARRÊTE DE RÉPONDRE AUX QUESTIONS DE CETTE SECTION : Je vous rappelle que ces questions ne servent qu’à des fins de recherche. Nous vous sommes reconnaissants d’y répondre et vous nous aiderez ainsi à ce que ce soit plus facile pour vous de produire vos déclarations de revenus auprès de l’Agence du revenu du Canada.]

CG-1. Avez-vous envoyé une déclaration de revenu [QUÉBEC SEULEMENT : fédérale] au cours de la dernière année?
[ACCEPTER UN SEUL CODE]

SI L’ON VOUS DEMANDE DES PRÉCISIONS : Il s’agit de la déclaration que vous avez produite l’an dernier pour les revenus que vous avez gagnés en 2021, ou celle que vous avez produite cette année pour les revenus gagnés en 2022.

01 – Oui
02 – Non – PASSEZ À LA QUESTION D-1
RÉPONSE SPONTANÉE
99 – Je ne sais pas/je refuse de répondre – PASSEZ À LA QUESTION D-1

[SI LA RÉPONSE EST « OUI » À LA QUESTION CG-1, LISEZ CE QUI SUIT :] La série de questions suivante portera principalement sur votre expérience la plus récente.

CG-2[SI LA RÉPONSE EST « OUI » À LA QUESTION CG-1] Avez-vous rempli votre déclaration de revenus la plus récente vous-même, ou avez-vous reçu de l’aide? Si vous avez utilisé un logiciel d’impôt, cela est considéré comme remplir par vous-même.

[ACCEPTER UN SEUL CODE]

01 – Rempli par vous-même – PASSEZ À LA QUESTION CG-4
02 – Reçu de l’aide
RÉPONSE SPONTANÉE
99 – Je ne sais pas/je refuse de répondre – PASSEZ À LA QUESTION CG-4

CG-3[POSER LA QUESTION CG-3 SEULEMENT SI LA RÉPONSE À LA QUESTION CG-2 EST « REÇU DE L’AIDE »] De qui avez-vous reçu de l’aide? LISEZ LES CATÉGORIES SEULEMENT SI NÉCESSAIRE; ACCEPTER PLUS D’UN CODE SI C’EST LE CAS; INCLUEZ LES PERSONNES QUI DONNENT DES CONSEILS

01 – Ami(e)/membre de la famille
02 – Préparateur professionnel de déclarations de revenus/comptable (COMPREND LES COMPAGNIES DE TYPE H&R BLOCK)
03 – Programme bénévole qui aide les contribuables à remplir leurs déclarations de revenus
98 – Autre (PRÉCISEZ)
RÉPONSE SPONTANÉE
99 –  Je ne sais pas/je refuse de répondre

CG-4.  [POSER LA QUESTION CG-4 SEULEMENT SI LA RÉPONSE À LA QUESTION CG-1 EST « OUI »]
De quelle façon avez-vous soumis votre déclaration de revenus la plus récente? [AU BESOIN : Autrement dit, avez-vous envoyé votre déclaration par la poste ou par voie électronique?] ACCEPTEZ UNE SEULE RÉPONSE. NE LISEZ PAS LA LISTE.

01 – Par courrier
02 – En ligne (COMPREND LA TED ET IMPÔTNET)
05 – Une autre façon
RÉPONSE SPONTANÉE      
99 –  Je ne sais pas/je refuse de répondre

Expérience vécue auprès de l’ARC - Communications

D-1.    Avez-vous interagi avec l’Agence au cours des 12 derniers mois? Pensez à toute interaction directe que vous avez eue avec l’Agence. Il peut s’agir d’une interaction qui a eu lieu en ligne, par téléphone ou par la poste. NE LISEZ PAS : AU BESOIN – L’INTERACTION COMPREND LA DEMANDE DE RENSEIGNEMENTS, L’OUVERTURE D’UNE SESSION DANS MON DOSSIER, LA VISITE DU SITE WEB, ETC.

01 – Oui
03 – Non – PASSER À [E-1/F-1 : ÉCHANTILLON FRACTIONNÉ]
RÉPONSE SPONTANÉE
99 – Je ne sais pas/je refuse de répondre – PASSER À [E-1/F-1 : ÉCHANTILLON FRACTIONNÉ]

D-2.De quelle façon avez-vous récemment interagi avec l’Agence? LISEZ LA LISTE EN ORDRE –PRÉCISEZ SI NÉCESSAIRE; L’INTERACTION COMPREND LA DEMANDE DE RENSEIGNEMENTS, L’OUVERTURE D’UNE SESSION DANS MON DOSSIER, LA VISITE DU SITE WEB, ETC.[ACCEPTER UN SEUL CODE]

01 – Via le portail fiscal sécure Mon dossier
07 - En visitant les pages d’impôts sur le site web Canada.ca (INCLUS “SITE WEB DE L’ARC”)
02 – Par téléphone
03 – Par télécopieur
04 – Par courrier
05 – En personne

SUR UNE BASE VOLONTAIRE - NE LISEZ PAS : L’ENREGISTREMENT NE DOIT ÊTRE FAIT QUE SI LES RENSEIGNEMENTS SONT FOURNIS SUR UNE BASE VOLONTAIRE. L’INTERVIEWEUR DOIT CONSIGNER LA RÉPONSE TEXTUELLEMENT ET UTILISER LA LISTE DE CODAGE CI-DESSOUS, LE CAS ÉCHÉANT
06 – Par un autre moyen (PRÉCISEZ)
08 - Par l’entremise d’une des plateformes de médias sociaux de l’ARC [AU BESOIN: comme Facebook, Twitter, LinkedIn ou YouTube]
09 - Via les applications mobiles de l’ARC [AU BESOIN: comme MesPrestations ARC ou MonARC]
10 - Via “Clavardez avec Charlie”, le chatbot en ligne de l’ARC
99 – Je ne sais pas/je refuse de répondre

D-3.Maintenant, veuillez réfléchir à la raison pour laquelle vous avez interagi avec l’Agence. Votre interaction LA PLUS RÉCENTE était-elle pour…? LISEZ LA LISTE – ACCEPTEZ PLUS D’UNE RÉPONSE
[LIRE DE MANIÈRE ALÉATOIRE] 

1 – Une vérification, un différend ou un examen
2 – Votre compte en ligne de l’Agence (Mon dossier)
3 – L’impôt sur le revenu des particuliers (par exemple remplir votre déclaration, obtenir votre remboursement, effectuer un paiement, soumettre des documents exigés par l’Agence, etc.)
4 – Des renseignements généraux autres que sur la production d’une déclaration 
7 – Des précisions au sujet de renseignements fournis
8 – Le Supplément unique à l’Allocation canadienne pour le logement
9 – La Prestation dentaire canadienne
10 – D’autres prestations ou crédits

RÉPONSE SPONTANÉE
98 - Autre (PRÉCISEZ)
99 – Je ne sais pas/je refuse de répondre  

D-5.    [NE PAS POSER SI D-2 ET D-3 = JE NE SAIS PAS / JE REFUSE DE REPONDRE] Veuillez maintenant me dire si vous êtes en accord ou en désaccord avec les énoncés suivants par rapport à cette expérience de service, en utilisant une échelle de 1 à 10, où 1 signifie que vous êtes tout à fait en désaccord et 10 signifie que vous êtes tout à fait d’accord. Veuillez indiquer « pas applicable » si un énoncé ne s’applique pas à votre expérience de service. LISEZ L’ÉCHELLE AU BESOIN. POSER UNE QUESTION POUR ÉVITER D’ACCEPTER UNE FOURCHETTE

[PRÉSENTEZ LES ÉNONCÉS ALÉATOIREMENT] [ACCEPTER UN SEUL CODE PAR ÉNONCÉ]

  1. Le service offert par l’Agence était facile à accéder
  2. Le service offert par l’Agence a été offert en temps opportun
  3. Les renseignements que j’ai reçus étaient exacts
  4. Les renseignements que j’ai reçus étaient complets
  5. Les renseignements que j’ai reçus étaient faciles à comprendre
  6. Le représentant de l’Agence a pris le temps de comprendre ma situation [POSER SEULEMENT SI D2_2 Par téléphone OU D2_5 En personne]
  7. Le représentant de l’Agence était professionnel [POSER SEULEMENT SI D2_2 Par téléphone OU D2_5 En personne]
  8. Le représentant de l’Agence était poli [POSER SEULEMENT SI D2_2 Par téléphone OU D2_5 En personne]

01 – Tout à fait en désaccord
JUSQU’À
10 – Tout à fait en accord
RÉPONSE SPONTANÉE
98 – Pas applicable
99 - Je ne sais pas/je refuse de répondre

 

ÉCHANTILLON FRACTIONNÉ – MODULES DE SERVICE (E) & D’OBSERVATION (F)

Module de service (échantillon fractionné avec l’observation, poser à la moitié)

E-5.    Je vais maintenant vous lire quelques énoncés. Pour chacun, veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d’accord ou en désaccord sur une échelle de 1 à 10, où 1 signifie « tout à fait en désaccord » et 10 signifie « tout à fait d’accord ». LISEZ DE FAÇON CLAIRE CHAQUE ÉNONCÉ
[LISEZ DE FAÇON ALÉATOIRE - ACCEPTER UN SEUL CODE]

  1. L’ARC assume que les contribuablesdéclarent leurs impôts avec exactitude jusqu’à preuve du contraire.
  2. Lorsque je communique avec l’Agence par téléphone, je suis en mesure d’être servi dans la langue officielle de mon choix, c’est-à-dire le français ou l’anglais.
  3. Je sais comment accéder aux prestations et aux crédits d’impôt auquel j’ai le droit.
  4. L’ARC se tient responsable des renseignements écrits qu’elle fournit.
  5. L’ARC appuie le fait de rendre les produits du gouvernement et le service à la clientèle accessibles pour tous  

01 – Tout à fait en désaccord
JUSQU’À
10 – Tout à fait en accord
RÉPONSE SPONTANÉE
99 - Je ne sais pas/je refuse de répondre

E-6.     Vous êtes-vous inscrit au service en ligne Mon dossier de l’ARC? Mon dossier est un service en ligne qui vous permet entre autres de faire le suivi de votre remboursement, de visualiser ou de modifier votre déclaration, de vérifier les versements de vos prestations et de vos crédits, d’afficher votre plafond de cotisation à un REER, d’effectuer un dépôt direct, et de recevoir du courrier électronique.
[ACCEPTER UN SEUL CODE]

01 – Oui
02 – Non
RÉPONSE SPONTANÉE
99 – Je ne sais pas/je refuse de répondre

Module d’observation (échantillon fractionné avec le service, poser à la moitié)

Les prochaines questions portent sur des enjeux liés à la fraude fiscale dans les déclarations de revenus. Par fraude fiscale, nous voulons dire les personnes qui choisissent délibérément de ne pas déclarer une partie de leurs revenus. Rien dans cette section ne vous concerne personnellement. Nous voulons plutôt connaître votre opinion à ce sujet. Je tiens à vous rappeler que vos réponses n’auront aucune incidence sur votre relation avec le gouvernement du Canada ou l’ARC. SI L’ON VOUS DEMANDE DES PRÉCISIONS, INDIQUEZ QUE LES QUESTIONS PORTENT UNIQUEMENT SUR LES DÉCLARATIONS DE REVENUS DES PARTICULIERS.

F-3.     Sur une échelle de 1 à 10, où « 1 » signifie « Pas du tout probable » et « 10 » signifie « Très probable », selon vous, dans quelle mesure les Canadiens et les Canadiennes qui trichent dans leurs déclarations de revenus sont-ils susceptibles de se faire prendre? POSER UNE QUESTION POUR ÉVITER D’ACCEPTER UNE FOURCHETTE
[AUTORISER UN SEUL CODE]

01 – Pas du tout probable
JUSQU’À
10 – Très probable
RÉPONSE SPONTANÉE
99 – Je ne sais pas/je refuse de répondre

F-5.    Si vous comparez l’impôt payé par l’ensemble des Canadiens et Canadiennes aux services offerts par les gouvernements, pensez-vous qu’ils paient trop d’impôt, juste assez d’impôt ou trop peu d’impôt? NE LISEZ PAS LES RÉPONSES
SI LA RÉPONSE EST « TROP D’IMPÔT », POSER LA QUESTION : Croyez-vous que les Canadiens et Canadiennes paient « beaucoup trop d’impôt » ou « un peu trop d’impôt »?
[ACCEPTER UN SEUL CODE]

01 – Beaucoup trop
02 – Un peu trop
03 – Juste assez d’impôt
04 – Trop peu
RÉPONSE SPONTANÉE
99 – Je ne sais pas/je refuse de répondre

F-6.  Veuillez me dire si vous êtes d’accord ou en désaccord avec chacun des énoncés suivants. Pour chaque énoncé, veuillez utiliser une échelle de 1 à 10, où 1 signifie que vous êtes tout à fait en désaccord et 10 signifie que vous êtes tout à fait d’accord. RÉPÉTEZ L’ÉCHELLE, AU BESOIN - POSER UNE QUESTION POUR ÉVITER D’ACCEPTER UNE FOURCHETTE
[LISEZ DE FAÇON ALÉATOIRE – ACCEPTER UN SEUL CODE PAR ÉNONCÉ]

  1. Il est acceptable, pour un particulier, de ne pas déclarer un revenu reçu en argent comptant.
  2. Lorsqu’il est question de fraude fiscale, les fonds disponibles pour les services essentiels, notamment les soins de santé et l’éducation, sont réduits.
  3. L’ARC n’aura jamais connaissance d’un revenu reçu en argent comptant s’il n’est pas déclaré dans une déclaration de revenus.
  4. Les pénalités sont efficaces pour décourager la fraude fiscale future.
  5. Il est acceptable pour les particuliers de payer des produits et services en argent comptant pour éviter de payer la TPS/TVH.
  6. Il est plus facile pour les personnes riches de pratiquer la fraude fiscale que pour les Canadiens de la classe moyenne.
  7. L’Agence s’en prend aux Canadiens de la classe moyenne, mais ferme les yeux sur la fraude des riches contribuables et des sociétés.
  8. L’ARC devrait publier une liste des personnes reconnues coupables par les tribunaux d’infractions fiscales.
  9. Les personnes reconnues coupables de fraude fiscale devraient faire face à la même pénalité, peu importe qui elles sont
  10. L’Agence est transparente avec le public quant à la façon dont elle poursuit ceux qui pourraient devoir de l’impôt

01 – Tout à fait en désaccord
JUSQU’À
10 – Tout à fait en accord
RÉPONSE SPONTANÉE
99 – Je ne sais pas/je refuse de répondre 

GRAVITÉ DES TYPES DE FRAUDE

F-8      Sur une échelle de 1 à 10, où « 1 » signifie « pas du tout un cas de fraude fiscale » et « 10 » signifie « grave cas de fraude fiscale », quelle cote accorderiez-vous aux comportements suivants? RÉPÉTEZ L’ÉCHELLE, AU BESOIN - POSER UNE QUESTION POUR ÉVITER D’ACCEPTER UNE FOURCHETTE
[LISEZ DE FAÇON ALÉATOIRE - ACCEPTER UN SEUL CODE PAR ÉNONCÉ]

  1. Sous-estimation du revenu gagné en argent comptant
  2. Obtention d’une « aubaine » sur des réparations (maison ou automobile) en échange d’argent comptant
  3. Production de fausses déclarations pour les programmes de prestations
  4. Omission de biens ou de revenus étrangers dans la déclaration, y compris ceux de paradis fiscaux
  5. Obtention d’un crédit d’impôt pour don de bienfaisance plus élevé que le don en question
  6. Non-enregistrement d’une entreprise
  7. Travailler et recevoir une rémunération en argent comptant pour éviter de payer de l’impôt sur le revenu
  8. Ne pas réclamer les revenus provenant de la location d’une chambre ou d’une maison sur un site Web de location en ligne
  9. Ne pas déclarer les profits obtenus en achetant ou en vendant de la crypto-monnaie, c’est-à-dire une monnaie numérique comme le bitcoin

01 – Pas de tout un cas de fraude fiscale
JUSQU’À
10 – Grave cas de fraude fiscale
RÉPONSE SPONTANÉE
99 – Je ne sais pas/je refuse de répondre

POSER A TOUS (FIN D’ÉCHANTILLON FRACTIONNÉ)

B-4. J’aimerais vous poser une autre question avant de passer à la section portant sur la démographie. Dans l’ensemble, dans quelle mesure faites-vous confiance à l’Agence du revenu du Canada?

Veuillez évaluer l’Agence sur une échelle de 1 à 7, où 1 signifie que vous « ne lui faites pas confiance du tout » et 7 signifie que vous « lui faites entièrement confiance ».

1 – Je ne fais pas confiance du tout à l’Agence
2
3
4 – Neutre
5
6
7 – Je fais entièrement confiance à l’Agence
99 –  Je ne sais pas

 PROFIL DU RÉPONDANT
Pour terminer, j’aimerais vous poser quelques questions sur vous et votre ménage aux fins de statistique seulement. Soyez assuré que vos réponses demeureront confidentielles.

PG-5. Quel niveau de scolarité le plus élevé avez-vous terminé? NE LISEZ PAS LA LISTE
[ACCEPTER UN SEUL CODE]

01 – 8e année ou moins
02 – Études secondaires non terminées
03 – Diplôme d’études secondaires ou l’équivalent
04 – Apprentissage enregistré ou diplôme ou certificat d’une école de métiers
05 – Collège, CEGEP, ou certificat ou diplôme non universitaire
06 – Certificat universitaire ou diplôme inférieur au baccalauréat
07 – Baccalauréat
08 – Grade universitaire supérieur au baccalauréat             
99 –Je ne sais pas/je préfère ne pas répondre

PG-6. Quel est votre pays de naissance?
[ACCEPTER UN SEUL CODE]

01 – Canada
98 – Autre (PRÉCISEZ)
RÉPONSE SPONTANÉE
99 – Je ne sais pas/je refuse de répondre

PG-7. [POSER LA QUESTION PG-7 SEULEMENT SI LA RÉPONSE À LA QUESTION PG-6 EST « AUTRE »] Depuis combien de temps habitez-vous au Canada? Est-ce depuis…: LISEZ LA LISTE
[ACCEPTER UN SEUL CODE]

01 – Moins d’un an
02 – Au moins un an, mais moins de cinq ans
03 – Au moins cinq ans, mais moins de 10 ans
04 – Dix ans ou plus
RÉPONSE SPONTANÉE
99 – Je ne sais pas/je refuse de répondre

PG-8.   Laquelle des catégories suivantes décrit le mieux votre emploi actuel? Vous êtes : LISEZ LA LISTE EN ORDRE – ARRÊTEZ LORSQUE LE RÉPONDANT CONFIRME LA CATÉGORIE
[ACCEPTER UN SEUL CODE]

01 – Employé à temps plein, c’est-à-dire pendant 35 heures ou plus par semaine
02 – Employé à temps partiel, c’est-à-dire pendant moins de 35 heures par semaine
03 – Travailleur indépendant
04 – Sans emploi, mais à la recherche de travail     
05 – Étudiant à temps plein            
06 – Retraité
07 – Pas dans la population active  (personne au foyer à temps plein, sans emploi ou pas à la recherche d’emploi)           
RÉPONSE SPONTANÉE
98 – Autre
99 – Je ne sais pas/je refuse de répondre

PG-9.   Quelle est votre source principale de revenus? LISEZ LA LISTE EN ORDRE – ARRÊTEZ LORSQUE LE RÉPONDANT CONFIRME LA CATÉGORIE – S’IL Y EN A PLUS D’UNE, DEMANDEZ LAQUELLE EST LA PRINCIPALE

[ACCEPTER UN SEUL CODE]

01 – Salaire payé par un employeur
02 – Propriétaire d’entreprise ou associé – propriétaire unique
03 – Propriétaire d’entreprise ou associé – société
04 – Revenus de placements
05 – Régime de retraite privé ou caisse de retraite constituée
06 – Pension du gouvernement
RÉPONSE SPONTANÉE
96 – Pension alimentaire versée à un conjoint, à un enfant ou à un parent
97 – Aucune source de revenus
98 – Autre (PRÉCISEZ :________________________)
99 – Je ne sais pas/je refuse de répondre

PG-10. [SI PG-9 = 02 OU 03] Diriez-vous que votre revenu d’entreprise approximatif de l’année dernière était :  LISEZ LA LISTE
[ACCEPTER UN SEUL CODE]

01 – Moins de 30 000 $
02 – De 30 000 $ à moins de 500,000 $
03 – De 500 000 à moins de 1 millions de dollars
04 – De 1 à moins de 4 millions de dollars
05 - 4 millions de dollars ou plus
RÉPONSE SPONTANÉE
99 – Je ne sais pas/refuse de répondre

PG-11.  Veuillez me dire laquelle des catégories suivantes représente le mieux le revenu total de votre ménage en 2022 avant les impôts. LISEZ LA LISTE – ARRÊTEZ LORSQUE LE RÉPONDANT CONFIRME LA CATÉGORIE
[ACCEPTER UN SEUL CODE]

01 – Moins de 20 000 $        
02 – De 20 000 $ à moins de 40 000 $
03 – De 40 000 $ à moins de 60 000 $           
04 – De 60 000 $ à moins de 80 000 $           
05 – De 80 000 $ à moins de 100 000 $
06 – De 100 000 $ à moins de 120 000 $
07 – De 120 000 $ à moins de 150 000 $
08 – 150 000 $ et plus          
RÉPONSE SPONTANÉE
99 – Je ne sais pas/refuse de répondre

PG-12. Faites-vous partie de la population autochtone, c’est-à-dire Premières Nations, Métis ou Inuk (AU BESOIN : Inuit)? Premières Nations comprend les Indiens avec statut et les Indiens sans statut. 
[ACCEPTER UN SEUL CODE]

01    Oui
02    Non
99    Préfère ne pas répondre

PG-13. Est-ce que vous vous identifiez comme une personne handicapée? Une personne handicapée est une personne qui a une déficience à long terme ou récurrente (comme la vision, l’ouïe, la mobilité, la souplesse, la dextérité, la douleur, l’apprentissage, le développement, la mémoire ou la santé mentale) qui limite ses activités quotidiennes à l’intérieur ou à l’extérieur de la maison (comme l’école, le travail ou la collectivité en général).

[ACCEPTER UN SEUL CODE]

01    Oui
02    Non
03    Je ne sais pas
99    Préfère ne pas répondre

PG-14.Pourriez-vous me fournir les trois premiers caractères de votre code postal?
[FORMAT A1A] 
 

         RÉPONSE SPONTANÉE
         99 – Je ne sais pas/je refuse de répondre

 

Voilà qui met fin au sondage effectué pour le compte de l’Agence du revenu du Canada. Dans les mois à venir, le rapport sera accessible par Bibliothèque et Archives Canada. Je vous remercie beaucoup d’avoir pris le temps de répondre au sondage. Nous vous en sommes très reconnaissants.

Questionnaire PME / Intermédiaires fiscaux

janvier 2023

Agence du revenu du Canada
Recherche d’entreprise annuelle – 2023
 Petits & Moyennes Entreprises et Intermédiaires Fiscaux

 

INTRODUCTION

Le gouvernement du Canada mène ce sondage de recherche. [FOURNISSEUR] a été embauché pour réaliser le sondage. If you prefer to complete the survey in English, please click on ENGLISH above. [DIRIGER LE RÉPONDANT VERS LA VERSION FRANÇAISE]. Le sondage prend environ 15 minutes et il est entièrement confidentiel. Votre participation est volontaire, et vos réponses demeureront anonymes. Ce sondage est conforme aux exigences de la Loi sur la protection des renseignements personnels, la Loi sur l’accès à l’information et d’autres lois pertinentes. Cliquez içi* si vous désirez vérifier son authenticité. Pour consulter notre politique sur la protection des renseignements personnels, cliquez içi**.

*POUR LA PROGRAMMATION
Anglais:
https://www.canada.ca/en/revenue-agency/services/about-canada-revenue-agency-cra/public-opinion-research-executive-summaries.html,
Français:
https://www.canada.ca/fr/agence-revenu/services/a-propos-agence-revenu-canada-arc/recherche-opinion-publique-sommaires.html]

**POUR LA PROGRAMMATION
Anglais:
https://www.quorusconsulting.com/index.php/privacy-policy
Français:
https://www.quorusconsulting.com/index.php/fr/politique-de-confidentialite

PB-4. Dans quelle province votre entreprise se trouve-t-elle?
AUTORISER UN SEUL CODE

SB-1. Travaillez-vous avec des petites et moyennes entreprises sur des questions fiscales? Pour les besoins de l’étude, les petites et moyennes entreprises sont définies comme des entreprises ayant des recettes brutes annuelles de 250 millions de dollars ou moins.
AUTORISER UN SEUL CODE

01 – Oui – LE RÉPONDANT EST UN INTERMÉDIAIRE FISCAL. PASSEZ À LA QUESTION SB-2
02 – Non – QUALIFIE POSSIBLEMENT POUR PME. PASSEZ À LA QUESTION SB-2

SB-2. Combien d’employés travaillent pour votre entreprise au Canada, y compris vous-même? Cela comprend les employés à temps plein, à temps partiel et saisonniers, mais n’inclut pas les employés contractuels ou le travail sous-traité.
AUTORISER UN SEUL CODE

01 – 1
02 – De 2 à 4
03 – De 5 à 19
04 – De 20 à 49
05 – De 50 à 99
06 – 100 ou plus

QUOTAS POUR LES PME

1 to 4 employees 450
5 to 99 employees 320
100+ 30

SI SB-1 = 01, PASSEZ A LA QUESTION BB-0

[POSER LES QUESTIONS SB-3 À SB-6 AUX PME SEULEMENT; UNE RÉPONSE VALIDE EST REQUISE À CES QUESTIONS POUR SE QUALIFIER À L’ÉTUDE]

SB-3. Quel est votre revenu annuel approximatif?
AUTORISER UN SEUL CODE

01 – Moins de 30 000 $ de dollars
02 – De 30 000 $ à moins de 500 000 $ millions de dollars
03 – De 500 000 $ à moins de 1 millions de dollars
04 – De 1 à moins de 4 millions de dollars
05 - De 4 à moins de 10 millions de dollars
06 - De 10 à moins de 20 millions de dollars
07 - De 20 à moins de 50 millions de dollars
08 - De 50 à moins de 250 millions de dollars
09 – De 250 millions de dollars ou plus – PASSEZ À L’ÉCRAN FIN – INSÉRER L’ÉCRAN DE TERMINATION

SB-4. Votre entreprise est …?
AUTORISER UN SEUL CODE

01 – Une entreprise individuelle
02 – Une société de personnes
03 – Une fiducie
04 – Un organisme de bienfaisance enregistré
05 – Un organisme à but non lucratif
06 – Une coopérative
07 – Une entreprise constituée en personne morale

SB-5. Dans votre entreprise, prenez-vous des décisions par rapport aux éléments suivants ou y participez-vous directement? Veuillez choisir tout ce qui s’applique à vous.
ACCEPTEZ PLUSIEURS RÉPONSES

01 – Questions d’ordre fiscal [CETTE OPTION DOIT ÊTRE SÉLECTIONNÉE, SINON LE SONDAGE EST TERMINÉ.]
02 – Paie
03 – Préparation de la TPS/TVH
04 – Comptabilité/Tenue de livres
05 – Aucune de ces réponses – PASSEZ À L’ÉCRAN FIN

SB-6. Lequel des choix suivants décrit le mieux votre poste dans l’entreprise?
AUTORISER UN SEUL CODE

01 – Président, PDG ou propriétaire
02 – Directeur financier / Contrôleur
03 – Comptable
04 – Gestionnaire ou agent de la paye
05 – Gestionnaire
06 – Commis comptable
07 – Agent financier
98 – Un autre poste – PASSEZ À L’ÉCRAN FIN
99 – Je préfère ne pas répondre – PASSEZ À L’ÉCRAN FIN

Créer la variable “TYPE RÉPONDANT”
  1 = IF/INTERMÉDIAIRE FISCAL (SB-1=01)
2 = PME (SB-1≠01, SB-3=01-08, SB-5=01-04, SB-6=01-07)

Impressions générales de l’ARC

Merci pour vos réponses. Ce sondage est [PME: destiné aux petites et moyennes entreprises] [IF: mené auprès des intermédiaires fiscaux] pour aider l’Agence du revenu du Canada à mieux connaître vos expériences.

BB-0. Pour commencer, comment évalueriez-vous le rendement global du gouvernement du Canada dans son ensemble? Veuillez utiliser une échelle de 1 à 10, où 1 signifie « affreux » et 10 signifie « excellent ».  
SOYEZ PERSISTENT POUR ÉVITER D’ACCEPTER UNE APPROXIMATION
[N’AUTORISE QU’UN SEUL CODE]

01 – Affreux
JUSQU’À
10 – Excellent
RÉPONSE SPONTANÉE
99 – Je ne sais pas/je refuse de répondre

BB-1.Maintenant, nous aimerions que vous pensiez précisément à l’Agence du revenu du Canada. Sur une échelle de 1 à 10, quelle cote donnez-vous au rendement global de l’Agence du revenu du Canada (ARC)?
AUTORISER UN SEUL CODE

1 – Affreux
2
3
4
5
6
7
8
9
10 – Excellent
99 – Je ne sais pas – PASSEZ À B-3

B-2.Pourquoi évaluez-vous le rendement de l’Agence en donnant une cote de [RÉPONSE À BB-1] sur 10?

98 – Question ouverte
99 – Je ne sais pas

B-3.    Sur une échelle de 1 à 10, ou 1 signifie que vous êtes tout à fait en désaccord et 10 signifie que vous êtes tout à fait en accord, quelle cote donneriez-vous aux énoncés suivants sur l’ARC selon vos impressions générales :
[PRÉSENTEZ LES ÉNONCÉS ALÉATOIREMENT - AUTORISER UN SEUL CODE]

[INSTRUCTION DU PROGRAMMATEUR : afficher sous forme de grille]

[Lignes]

  1. Je peux faire confiance à l’ARC pour faire ce qui est juste
  2. L’ARC travaille pour le bien de tous les Canadiens
  3. J’estime que les gens de l’ARC sont dignes de confiance
  4. Les gens de l’ARC sont capables de bien faire leur travail
  5. L’ARC travaille de façon soutenue pour aider les Canadiens à régler leurs questions d’impôt et de prestations.
  6. L’ARC facilite le processus de production [PME: de mes déclarations de revenus d’entreprise] [IF: des déclarations de revenus des entreprises]
  7. L’ARC traite [PME: mes déclarations de revenus d’entreprise] [IF: les déclarations des entreprises] en temps opportun
  8. L’ARC est serviable
  9. L’ARC traite les contribuables équitablement
  10. L’ARC fournit suffisamment de renseignements afin que [PME : votre entreprise puisse] [IF : vos clients puissent] respecter [PME : ses] [IF : leurs] obligations fiscales.
  11. Les renseignements fournis par l’Agence pour [PME : mon entreprise][IF : mes clients d’entreprise] arrivent à temps.
  12. J’ai confiance que l’ARC traitera [PME: les renseignements de mon entreprise][IF: les renseignements de mes clients] de manière appropriée
  13. L’Agence attrape les fraudeurs fiscaux
  14. L’Agence traite tout le monde de la même façon

[colonnes]
1     – Tout à fait en désaccord
2
3
4
5
6
7
8
9
10 – Tout à fait en accord
99 – Je ne sais pas

Expérience vécue auprès de l’ARC – Production de déclaration de revenus

CB-2[PME SEULEMENT] Lorsque vous produisez des déclarations de revenus des sociétés, votre entreprise :
AUTORISER UN SEUL CODE

CB-3[PME SEULEMENT] Qu’en est-il de la planification fiscale? Votre entreprise…
AUTORISER UN SEUL CODE

C-5.    Dans l’ensemble, dans quelle mesure êtes-vous satisfait de votre expérience la plus récente en matière de déclaration de revenus? Veuillez utiliser une échelle de 1 à 10 ou 1 signifie « complètement insatisfait » et 10 signifie « complètement satisfait ».
AUTORISER UN SEUL CODE

1 – complètement insatisfait
2
3
4
5
6
7
8
9
10 – complètement satisfait
99 – Je ne sais pas

Expérience vécue auprès de l’ARC - Communications

D-1.    Avez-vous interagi avec l’Agence au cours des 12 derniers mois? Pensez à toute interaction directe que vous avez eue avec l’Agence. Il peut s’agir d’une interaction qui a eu lieu en ligne, par téléphone ou par la poste.

01 – Oui
03 – Non – PASSER À [E-1/F-1 : ÉCHANTILLON FRACTIONNÉ]
99 – Je ne me souviens pas – PASSER À [E-1/F-1 : ÉCHANTILLON FRACTIONNÉ]

D-2.De quelle façon avez-vous récemment interagi avec l’Agence?
AUTORISER UN SEUL CODE

01 –Via le portail fiscal sécure [PME : Mon dossier d’entreprise][IF : Représenter un client]
06 - En visitant les pages d’impôts sur le site web Canada.ca
02 – Par téléphone
03 – Par télécopieur
04 – Par courrier
05 – En personne
07 - Autre méthode : veuillez préciser [Zone de texte ouverte: __________________]
99 – Je ne me souviens pas

D-3A. [INTERMÉDIAIRES FISCAUX SEULEMENT] Veuillez réfléchir au sujet de votre interaction la plus récente avec l’Agence du revenu du Canada. Quel type de client représentiez-vous?

01 - Un particulier
02 - Une entreprise
03 - Une succession ou une fiducie
04 - Un organisme de bienfaisance ou à but non lucratif
05 - Autres (veuillez préciser)
06 - Je ne sais pas

D-3.Maintenant, veuillez réfléchir à la raison pour laquelle vous avez interagi avec l’Agence. Votre interaction LA PLUS RÉCENTE était-elle pour…?

[PRÉSENTEZ LES CATÉGORIES DE RÉPONSE ALÉATOIREMENT]
01 – Des renseignements généraux autres que ceux concernant la production de déclarations de  revenus des entreprises
02 – Des précisions au sujet de renseignements fournis par l’Agence
03 – Votre compte en ligne de l’Agence, [PME : compte Mon dossier d’entreprise] [IF : Représenter un client]
04 – Une vérification, un différend ou un examen 
05 – L’impôt des entreprises (p. ex., produire une déclaration de revenus, obtenir un      remboursement, effectuer un paiement, soumettre des documents demandés par l’Agence, etc.)
06 – [IF SEULEMENT] L’impôt personnel d’un client (p. ex., produire une déclaration de revenus, obtenir un remboursement, effectuer un paiement, soumettre des documents demandés par l’Agence, etc.)
08 – [PME SEULEMENT] Paie
09 – [PME SEULEMENT] TPS/TVH
98 – Autres (veuillez préciser)______________________] [ANCRE]
99 – Je ne me souviens pas [ANCRE]

[POUR LES IF – NE PAS POSER SI D2 ET D3A ET D3 = Je ne me souviens pas]
[POUR LES PME, NE PAS POSER SI D2 AND D3 = Je ne me souviens pas]

D-5.    Veuillez maintenant indiquer si vous êtes en accord ou en désaccord avec les énoncés suivants par rapport à cette expérience de service, en utilisant une échelle de 1 à 10, où 1 signifie que vous êtes tout à fait en désaccord et 10 signifie que vous êtes tout à fait d’accord. Veuillez indiquer « pas applicable » si un énoncé ne s’applique pas à votre expérience de service.
AUTORISER UN CODE PAR ÉNONCÉ – PRÉSENTEZ LES ÉNONCÉS ALÉATOIREMENT

  1. Le service offert par l’Agence était facile à accéder
  2. Le service offert par l’Agence a été offert en temps opportun
  3. Les renseignements que j’ai reçus étaient exacts
  4. Les renseignements que j’ai reçus étaient complets
  5. Les renseignements que j’ai reçus étaient faciles à comprendre
  6. Le représentant de l’Agence a pris le temps de comprendre ma situation [POSER SEULEMENT SI D2_2 Par téléphone OU D2_5 En personne]
  7. Le représentant de l’Agence était professionnel [POSER SEULEMENT SI D2_2 Par téléphone OU D2_5 En personne]
  8. Le représentant de l’Agence était poli [POSER SEULEMENT SI D2_2 Par téléphone OU D2_5 En personne] 

1 - Tout à fait en désaccord
2
3
4
5
6
7
8
9
10 – Tout à fait en accord
98 – Pas applicable
99 – Je ne sais pas

D-6a.  [SI D-1 = 01] Avez-vous obtenu de l’Agence du revenu du Canada ce dont vous aviez besoin à ce moment-là?
AUTORISER UN SEUL CODE

01 – Oui
02 – Non
99 – Je ne sais pas

D-7.Selon votre expérience, diriez-vous que le niveau du service à la clientèle offert par l’Agence est meilleur, à peu près semblable ou pire que le service que vous pourriez recevoir des institutions financières avec lesquelles vous faites affaire?
AUTORISER UN SEUL CODE

01 – Meilleur
02 – À peu près semblable
03 – Pire
99 – Je ne sais pas

ÉCHANTILLON FRACTIONNÉ – MODULES DE SERVICE (E) & D’OBSERVATION (F)

Module de service (échantillon fractionné avec l’observation, poser à la moitié)

E-1.     [PME SEULEMENT] [SI CB-2 = 02 SERVICES D’UN SPÉCIALISTE] Vous avez indiqué plus tôt que vous avez utilisé un service de préparation de déclarations de revenus externe pour vous aider à préparer votre dernière déclaration de revenus. Quel serait votre niveau de confiance si on vous demandait de préparer et de soumettre les déclarations pour votre entreprise sans de l’aide externe? Veuillez utiliser une échelle de 1 à 10, où 1 signifie que vous n’auriez aucune confiance et 10 signifie que vous auriez beaucoup de confiance.
AUTORISER UN SEUL CODE

1 – aucune confiance
2
3
4
5
6
7
8
9
10 – beaucoup de confiance
99 – Je ne sais pas

E-2.    Vous allez maintenant être présenté avec une liste de situations où vous pourriez avoir à traiter avec l’Agence. Pour chacune, indiquez comment vous SOUHAITERIEZ recevoir le service ou les renseignements de l’Agence.
PRÉSENTEZ LES ÉNONCÉS ALÉATOIREMENT

a.        Si vous vouliez des renseignements de base, que feriez-vous?
b.        Si vous aviez besoin de précisions sur des renseignements que l’Agence vous a envoyés, que feriez-vous?
c.        Si vous aviez besoin d’assistance sur une situation fiscale personnelle, comme les impôts dû sur un héritage, que feriez-vous?

PRÉSENTEZ LES RÉPONSES DE 01 TO 06 ALÉATOIREMENT; AUTORISER UN SEUL CODE

01 – Visiter les pages d’impôts sur le site Web Canada.ca
02 – Communiquer avec l’Agence par téléphone
03 – Envoyer une lettre à l’Agence
04 – Envoyer un courriel à l’Agence
05 – Communiquer avec l’Agence par l’intermédiaire des médias sociaux
06 – Communiquer avec l’Agence via leur outil de chat en ligne
07 – Envoyer une télécopie à l’Agence
08 – [PME SEULEMENT] Demander au conseiller financier ou au comptable de communiquer avec l’Agence
98 – Autre méthode: veuillez préciser [Zone de texte ouverte: __________________]
99 – Je ne sais pas

E-3.    Si vous aviez un désaccord avec l’Agence au sujet [PME : de vos impôts d’entreprise][IF : des impôts d’un client], dans quelle mesure êtes-vous confiant que la situation se règlerait? Veuillez répondre en utilisant une échelle de 1 à 10, où « 1 » signifie que vous n’êtes pas du tout confiant et « 10 », que vous êtes extrêmement confiant.
AUTORISER UN SEUL CODE

1 – pas du tout confiant
2
3
4
5
6
7
8
9
10 – extrêmement confiant
99 – Je ne sais pas

E-4.    Et quelle que soit la façon dont le désaccord est résolu, dans quelle mesure êtes-vous confiant que le processus serait exécuté de façon équitable?
AUTORISER UN SEUL CODE

1 – pas du tout confiant
2
3
4
5
6
7
8
9
10 – extrêmement confiant
99 – Je ne sais pas

E-5.    Pour chacun des énoncés suivants, veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d’accord ou en désaccord sur une échelle de 1 à 10, où 1 signifie « tout à fait en désaccord » et 10 signifie « tout à fait d’accord ».
PRÉSENTEZ LES ÉNONCÉS ALÉATOIREMENT - AUTORISER UN SEUL CODE PAR ÉNONCÉ

  1. L’ARC assume que les entreprises déclarent leurs impôts avec exactitude jusqu’à preuve du contraire.
  2. Lorsque je communique avec l’Agence par téléphone, je suis en mesure d’être servi dans la langue officielle de mon choix, c’est-à-dire le français ou l’anglais.
  3. Je sais comment accéder aux prestations et aux crédits d’impôt [PME : auxquels mon entreprise a le][TI : auxquels mes clients ont le] droit.
  4. Je me sens bien informé des services offerts par l’Agence.
  5. L’ARC se tient responsable des renseignements écrits qu’elle fournit.
  6. L’ARC offre des services en ligne qui répondent à vos besoins.
  7. L’ARC appuie le fait de rendre les produits du gouvernement et le service à la clientèle accessibles pour tous

1 – Tout à fait en désaccord
2
3
4
5
6
7
8
9
10 – Tout à fait en accord
99 – Je ne sais pas

E-6.     Vous êtes-vous inscrit au service en ligne [PME: Mon dossier d’entreprise][IF: Représenter un client] de l’ARC?
AUTORISER UN SEUL CODE

01 – Oui
02 – Non
99 – Je ne sais pas

E-7.     [SI D-2=02 ET E-6=01] Vous avez indiqué plus tôt que votre dernier contact était par téléphone. Quelle est la principale raison pour laquelle vous avez décidé d’appeler au lieu d’utiliserle portail [PME: Mon dossier d’entreprise][IF: Représenter un client]?

ZONE DE TEXTE OUVERTE

EB-8. [PME SEULEMENT] Si vous receviez une lettre de l’ARC adressée à votre entreprise, que seriez-vous le plus susceptible de faire?
AUTORISER UN SEUL CODE

01 – Je la lirais et m’en occuperais moi-même
02 – Je la lirais et la donnerais à mon comptable ou à mon service financier pour qu’il s’en occupe
03 – Je la donnerais à mon comptable ou à mon service financier sans la lire
99 – Je ne sais pas

EB-9. [PME SEULEMENT] [SI EB-8= 02 OU 03] Votre organisation a-t-elle des employés dédiés qui traitent avec l’ARC au nom de votre organisation?
AUTORISER UN SEUL CODE

01 – Oui
02 - Non
99 – Je ne sais pas

E-10.   [PME SEULEMENT] Veuillez indiquer si votre entreprise fait chacune des activités suivantes fréquemment, parfois, rarement ou jamais.
[PRÉSENTEZ LES ÉNONCÉS ALÉATOIREMENT - AUTORISER UN SEUL CODE PAR ÉNONCÉ]

a.  Services bancaires en ligne
b.  Faire des achats en ligne
c. Envoyer ou recevoir des transferts d’argent électronique (virements électroniques)
d. Recevoir des factures par voie électronique
e. Envoie des factures par voie électronique
f. Maintient un site Web d’entreprise
g.Effectuer des paiements en ligne

01 – Fréquemment
02 – Parfois
03 - Rarement
04 - Jamais
99 – Je ne sais pas

E-11.  Avez-vous déjà consulté les pages sur l’impôt du site Web Canada.ca pour y chercher des renseignements liés aux impôts?
AUTORISER UN SEUL CODE

01 –Oui
02 – Non
99 – Je ne sais pas

E-12. [POSER LA QUESTION E-12 SEULEMENT SI LA RÉPONSE À LA QUESTION E-11 EST « OUI »]
Dans quelle mesure êtes-vous d’accord ou en désaccord au sujet des pages sur l’impôt du site Web Canada.ca. Pour chaque énoncé, veuillez utiliser une échelle de 1 à 10, où 1 signifie que vous êtes tout à fait en désaccord et 10 signifie que vous êtes tout à fait d’accord.
[PRÉSENTEZ LES ÉNONCÉS ALÉATOIREMENT – AUTORISER UN SEUL CODE PAR ÉNONCÉ]

a.     Les renseignements fournis sur les pages sur l’impôt du site Web Canada.ca sont faciles à comprendre.
b.     Il est facile de trouver les renseignements que je cherche.
c.    Le site Web vous fournit les renseignements dont vous avez besoin.

1 – Tout à fait en désaccord
2
3
4
5
6
7
8
9
10 – Tout à fait en accord
99 – Je ne sais pas

EB-13. En pensant à [PME : votre entreprise] [IF : vos clients d’entreprise], veuillez indiquer dans quelle mesure vous êtes d’accord ou en désaccord avec les énoncés suivants.
[PRÉSENTEZ LES ÉNONCÉS ALÉATOIREMENT- AUTORISER UN SEUL CODE PAR ÉNONCÉ]

  1. Au cours de la dernière année, j’ai mis moins de temps à chercher les renseignements dont j’avais besoin pour remplir les obligations de [PME : mon entreprise][IF : mes clients d’entreprise] auprès de l’ARC.
  2. L’ARC élabore de nouveaux produits et services qui répondent bien aux impératifs liés aux affaires.
  3. L’ARC prend en considération les besoins des entreprises lorsqu’elle élabore de nouveaux produits et services.

1 – Tout à fait en désaccord
2
3
4
5
6
7
8
9
10 – Tout à fait en accord
99 – Je ne sais pas

EB-14. Sur une échelle de 1 à 10, à quel point est-ce un fardeau [PME : pour votre entreprise de respecter ses obligations en matière de production de déclarations][IF : pour vous de respecter les obligations en matière de production de déclarations pour vos clients d’entreprises]?
AUTORISER UN SEUL CODE

01– Pas du tout un fardeau
2
3
4
5
6
7
8
9
10 – Énorme fardeau
99 – Je ne sais pas

Module d’observation (échantillon fractionné avec le service, poser à la moitié)

Les prochaines questions portent sur des enjeux liés à la fraude fiscale dans les déclarations de revenus d’entreprises. Par fraude fiscale, nous voulons dire les entreprises qui choisissent délibérément de ne pas déclarer une partie de leurs revenus. Rien dans cette section ne concerne votre entreprise. Nous voulons plutôt connaître votre opinion à ce sujet. On tient à vous rappeler que vos réponses n’auront aucune incidence sur votre relation avec le gouvernement du Canada ou l’ARC.

F-1. Sur une échelle de 1 à 10, où « 1 » signifie « pas du tout courante » et « 10 » signifie « très courante », selon vous, dans quelle mesure la fraude fiscale par les entreprises est-elle courante au Canada?
AUTORISER UN SEUL CODE

01– Pas du tout courante
2
3
4
5
6
7
8
9
10 – Très courante
99 – Je ne sais pas

F-2.     Pensez-vous que l’Agence du revenu du Canada en fait trop, pas assez ou juste assez pour réduire la fraude fiscale par les entreprises?
AUTORISER UN SEUL CODE

01 – Pas assez d’efforts
02  - Juste assez d’efforts
03 – Trop d’efforts
99 – Je ne sais pas

F-3.     Sur une échelle de 1 à 10, où « 1 » signifie « Pas du tout probable « et « 10 » signifie « Très probable », selon vous, dans quelle mesure les entreprises canadiennes qui trichent dans leurs déclarations de revenus sont-elles susceptibles de se faire prendre?
AUTORISER UN SEUL CODE

01– Pas du tout probable
2
3
4
5
6
7
8
9
10 – Très probable
99 – Je ne sais pas

F-4.     Pensez à une situation où une entreprise que vous connaissez pratique peut-être la fraude fiscale. Sur une échelle de 1 à 10, où « 1 » signifie « Pas du tout probable » et « 10 » signifie « Très probable », quelle est la probabilité que vous dénonciez cette entreprise si…?
[POSER EN ORDRE - AUTORISER UN SEUL CODE]

  1. Vous soupçonniez qu’elle pratiquait la fraude fiscale?
  2. Vous saviez avec certitude qu’elle pratiquait la fraude fiscale?

01– Pas du tout probable
2
3
4
5
6
7
8
9
10 – Très probable
99 – Je ne sais pas

F-5.    Si vous comparez l’impôt payé par l’ensemble des entreprises canadiennes aux services offerts par les gouvernements, pensez-vous qu’elles paient trop d’impôt, juste assez d’impôt ou trop peu d’impôt?
AUTORISER UN SEUL CODE

01 – Beaucoup trop
02 – Un peu trop
03 – juste assez d’impôt
04 – Trop peu
99 – Je ne sais pas

F-6.     Veuillez indiquer si vous êtes d’accord ou en désaccord avec chacun des énoncés suivants. Pour chaque énoncé, veuillez utiliser une échelle de 1 à 10, où 1 signifie que vous êtes tout à fait en désaccord et 10 signifie que vous êtes tout à fait d’accord.
[PRÉSENTEZ LES ÉNONCÉS ALÉATOIREMENT- AUTORISER UN CODE PAR ÉNONCÉ]

  1. Il est acceptable pour une entreprise de ne pas déclarer un revenu reçu en argent comptant.
  2. La fraude fiscale auprès des entreprises réduit les fonds disponibles pour les services essentiels, notamment les soins de santé et l’éducation.
  3. L’ARC n’aura jamais connaissance d’un revenu reçu en argent comptant s’il n’est pas déclaré dans une déclaration de revenus d’une entreprise.
  4. Les pénalités sont efficaces pour décourager la fraude fiscale future.
  5. Les entreprises qui ne payent pas l’impôt sur tous leurs revenus, ou qui ne perçoivent pas la TPS/TVH, ont un avantage injuste par rapport à celles qui le font.
  6. Il est acceptable que l’ARC utilise des information accessibles au public, comme les médias sociaux, pour aider à repérer les entreprises qui ne paient pas leur juste part d’impôts.
  7. L’ARC devrait publier une liste des personnes reconnues coupables par les tribunaux d’infractions fiscales.
  8. Les personnes reconnues coupables de fraude fiscale devraient faire face à la même pénalité, peu importe qui elles sont
  9. L’Agence est transparente avec le public quant à la façon dont elle poursuit ceux qui pourraient devoir de l’impôt

01– Tout à fait en désaccord
2
3
4
5
6
7
8
9
10 – Tout à fait en accord
99 – Je ne sais pas

GRAVITÉ DES TYPES DE FRAUDE

F-8      Sur une échelle de 1 à 10, où « 1 » signifie « pas du tout un cas de fraude fiscale » et « 10 » signifie « grave cas de fraude fiscale », quelle cote accorderiez-vous aux comportements suivants?
[PRÉSENTEZ LES ÉNONCÉS ALÉATOIREMENT - AUTORISER UN CODE PAR ÉNONCÉ]

  1. Sous-estimation du revenu gagné en argent comptant
  2. Dépenses réclamées en trop
  3. [IF SEULEMENT] Obtention d’une « aubaine » sur des réparations (maison ou automobile) en échange d’argent comptant
  4. Production de fausses déclarations pour les programmes de prestations
  5. Omission de biens ou de revenus étrangers dans la déclaration, y compris ceux de paradis fiscaux
  6. [PME SEULEMENT] Obtention d’un crédit d’impôt pour don de bienfaisance plus élevé que le don en question
  7. [IF SEULEMENT] Promouvoir un programme de dons de bienfaisance alors que les crédits d’impôt dépassent le montant donné
  8. Non-enregistrement d’une entreprise
  9. [PME SEULEMENT] Payer des employés en argent comptant pour éviter les impôts sur les salaires
  10. [IF SEULEMENT] Travailler et recevoir une rémunération en argent comptant pour éviter de payer de l’impôt sur le revenu
  11. Ne pas réclamer les revenus provenant de la location d’une chambre ou d’une maison sur un site Web de location en ligne
  12. Ne pas déclarer les profits obtenus en achetant ou en vendant de la crypto-monnaie, c’est-à-dire une monnaie numérique comme le bitcoin
  13. Ne pas réclamer les cadeaux reçus par les influenceurs sur les plateformes de réseaux sociaux

01– Pas de tout un cas de fraude fiscale
2
3
4
5
6
7
8
9
10 – Grave cas de fraude fiscale
99 – Je ne sais pas

FB-9[POUR TOUTE NOTE DE 5 OU INFÉRIEURE à LA FB-8, CHOISSISEZ UN SCÉNARIO AU HASARD ET DEMANDEZ:] Vous avez noté [INSÉREZ LE SCÉNARIO ICI] comme n’étant pas un grave cas de fraude fiscale. Veuillez considérer le scénario suivant et notez sur une échelle de 1 à 10, où « 1 » signifie « Pas du tout un cas de fraude fiscale » et « 10 » signifie « Grave cas de fraude fiscale ».
Quelle note donneriez-vous :
AUTORISER UN CODE PAR ÉNONCÉ

[SI LA NOTE EST TOUJOURS 5 OU INFÉRIEURE à5, DEMANDEZ] :

[SI LA NOTE EST TOUJOURS 5 OU INFÉRIEURE à5, DEMANDEZ]:

01– Pas du tout un cas de fraude fiscale
2
3
4
5
6
7
8
9
10 – Grave cas de fraude
99 – Je ne sais pas

F-10. Sur une échelle de 1 à 10, où 1 signifie « pas du tout important » et 10 signifie « très important », dans quelle mesure est-il important … ?
PRÉSENTEZ LES ÉNONCÉS ALÉATOIREMENT - AUTORISER UN CODE PAR ÉNONCÉ

  1. Pour l’ARC de recouvrer les taxes impayées lorsque les gens travaillent clandestinement pour de l’argent?
  2. Pour l’ARC de recouvrer les taxes impayées lorsque les gens ne déclarent pas des biens ou des revenus étrangers imposables?

01– Pas du tout important 
2
3
4
5
6
7
8
9
10 – Très important
99 – Je ne sais pas

POSER A TOUS (FIN D’ÉCHANTILLON FRACTIONNÉ)

B-4. J’aimerais vous poser une autre question avant de passer à la section portant sur la démographie. Dans l’ensemble, dans quelle mesure faites-vous confiance à l’Agence du revenu du Canada?

Veuillez évaluer l’Agence sur une échelle de 1 à 7, où 1 signifie que vous « ne lui faites pas confiance du tout » et 7 signifie que vous « lui faites entièrement confiance ».

1 – Je ne fais pas confiance du tout à l’Agence
2
3
4 – Neutre
5
6
7 – Je fais entièrement confiance à l’Agence
99 – Je ne sais pas

PROFIL DU RÉPONDANT

Ces dernières questions seront utilisées à des fins de statistique seulement. Soyez assuré que toutes vos réponses demeureront strictement confidentielles.

PB-1. [PME SEULEMENT] à quel genre vous identifiez-vous …:
AUTORISER UN SEUL CODE

01 – Homme
02 – Femme
03 – Autre, veuillez préciser
99 – Je préfère ne pas répondre

PB-2. [PME SEULEMENT] En quelle année êtes-vous né(e)?

98 – _ _ _ _
99 – Je préfère ne pas répondre

PB-3. [PME SEULEMENT] [SI PB-2=99] Pourriez-vous choisir la catégorie d'âge à laquelle vous appartenez ?
AUTORISER UN SEUL CODE

01 – 18 à 24
02 – 25 à 34
03 – 35 à 49
04 – 50 à 64
05 – 65 ans ou plus
99 – Je préfère ne pas répondre

PB-15. [PME SEULEMENT] Dans quelle industrie ou quel secteur exploitez-vous votre entreprise? Si vous êtes actif dans plus d’un secteur, veuillez déterminer le secteur d’activité principal.
AUTORISER UN SEUL CODE

01 – Services d’hébergement et de restauration
02 – Administratif et de soutien
03 – Agriculture, foresterie, pêche et chasse
04 – Arts, spectacles et loisirs
05 – Construction
06 – Services d’enseignement
07 – Finance et assurance
08 – Soins de santé et assistance sociale
09 – Gestion de sociétés et d’entreprises
10 – Fabrication
11 – Extraction minière, pétrolière et gazière
12 – Services professionnels, scientifiques et techniques
13 – Administration publique
14 – Services immobiliers et services de location et de location à bail
15 – Organisme de bienfaisance enregistré
16 – Commerce de détail
17 – Transport et entreposage
18 – Services publics
19 – Services de gestion des déchets et d’assainissement
20 – Commerce de gros
21 – Industrie de l’information et industrie culturelle
98 – Autre secteur : veuillez préciser votre secteur [ZONE DE TEXTE OUVERTE : _______]
99 – Je préfère ne pas répondre

PB-16.[IF SEULEMENT] Quels types de tâches fiscales votre entreprise fait-elle pour le compte de vos clients qui sont des petites entreprises? Veuillez indiquer tout ce qui s’applique à vous.
ACCEPTEZ PLUSIEURS RÉPONSES

01 – Comptabilité
02 – Paie
03 – Préparation de déclarations
04 – Tenue de livres
98 – Autre type de tâches : veuillez préciser [ZONE DE TEXTE OUVERTE BOX : _______]
99 – Je préfère ne pas répondre

PB-17. Depuis combien de temps votre entreprise mène-t-elle ses activités?
AUTORISER UN SEUL CODE

01 – Moins d’un an
02 – 1 à 2 ans
03 – 3 à 5 ans
04 – 6 à 10 ans
05 – Plus de 10 ans
99 – Je préfère ne pas répondre

PB-12. [PME SEULEMENT] Faites-vous partie de la population autochtone, c’est-à-dire Premières Nations, Métis ou Inuk (Inuit)? Premières Nations comprend les Indiens avec statut et les Indiens sans statut. 
AUTORISER UN SEUL CODE

01    Oui
02    Non
99    Je préfère ne pas répondre

PB-13. [PME SEULEMENT] Est-ce que vous vous identifiez comme une personne handicapée? Une personne handicapée est une personne qui a une déficience à long terme ou récurrente (comme la vision, l’ouïe, la mobilité, la souplesse, la dextérité, la douleur, l’apprentissage, le développement, la mémoire ou la santé mentale) qui limite ses activités quotidiennes à l’intérieur ou à l’extérieur de la maison (comme l’école, le travail ou la collectivité en général).
AUTORISER UN SEUL CODE

01    Oui
02    Non
03    Ne sait pas
99    Préfère ne pas répondre

Voilà qui met fin au sondage effectué pour le compte de l’Agence du revenu du Canada. Dans les mois à venir, le rapport sera accessible par Bibliothèque et Archives Canada. Je vous remercie beaucoup d’avoir pris le temps de répondre au sondage. Nous vous en sommes très reconnaissants.