Rapport final
Préparé pour Affaires mondiales Canada
Nom du fournisseur : Phoenix SPI
Numéro de contrat : 08915-180520/001/CY
Valeur du contrat : 132 465,95 $ (TVH incluse)
Date d’attribution du contrat : 2019-01-31
Date de présentation du rapport : 2019-06-03
Numéro d’enregistrement : POR 115-18
Pour obtenir de plus amples renseignements au sujet du présent rapport, veuillez communiquer avec Affaires mondiales Canada à POR-ROP@international.gc.ca.
This report is also available in English.
Promouvoir la diversification des exportations des petites et moyennes entreprises canadiennes : une recherche quantitative et qualitative sur les accords de libre-échange
Rapport final
Préparé pour Affaires mondiales Canada
Nom du fournisseur : Phoenix Strategic Perspectives Inc.
Juin 2019
Ce rapport de recherche sur l’opinion publique présente les résultats d’un sondage en ligne mené auprès de 507 entreprises exportatrices et d’une série de 40 entrevues téléphoniques approfondies réalisées par Phoenix SPI pour le compte d’Affaires mondiales Canada. Le travail sur le terrain s’est déroulé en mars et en avril 2019.
Cette publication peut être reproduite à des fins non commerciales seulement. Une autorisation par écrit doit être obtenue au préalable auprès d’Affaires mondiales Canada. Pour obtenir de plus amples renseignements au sujet du présent rapport, veuillez communiquer avec Affaires mondiales Canada :
Direction générale des communications
Services publics et Approvisionnement Canada
Portage III, tour A
16A1-11, rue Laurier
Gatineau (Québec) K1A 0S5
Numéro de catalogue :
FR5-159/2019F-PDF
Numéro international normalisé du livre (ISBN) :
978-0-660-30924-8
Publications connexes (numéro d’enregistrement : POR 115-18) :
Numéro de catalogue FR5-159/2019E-PDF (version anglaise du rapport final)
ISBN 978-0-660-30925-5
© Sa Majesté la Reine du Chef du Canada, représentée par la ministre des Affaires étrangères du Canada, 2019
This publication is also available in English under the title: Encouraging Export Diversification for Canadian Small and Medium-Sized Businesses: Quantitative and Qualitative Research on Free Trade Agreements.
Affaires mondiales Canada (AMC) a chargé Phoenix Strategic Perspectives Inc. (Phoenix SPI) de mener une étude quantitative et qualitative afin d’appuyer la diversification des exportations.
Conformément à la lettre de mandat du ministre de la Diversification du commerce international, AMC s’efforce d’aider les entreprises canadiennes à diversifier leurs exportations à l’étranger. Le Groupe de travail sur la promotion des accords de libre-échange (ALE) a été créé afin de mieux faire connaître les accords de libre-échange en auprès des entreprises canadiennes et de former les délégués commerciaux du Canada. Le Groupe de travail est en place depuis trois ans. AMC désirait ainsi recueillir des données de référence sur les connaissances qu’ont les petites et moyennes entreprises (PME) canadiennes des ALE signés par le Canada, sur la mesure dans laquelle ces entreprises tirent profit des ALE en vigueur et sur les défis perçus par les PME concernant la diversification de leurs marchés d’exportations.
La recherche visait à déterminer ce qui suit :
AMC se servira des constats de cette recherche pour élaborer sa stratégie de promotion des ALE afin de mieux répondre aux besoins des PME et d’offrir une meilleure expérience aux entreprises canadiennes qui aimeraient diversifier leurs exportations.
Une recherche comportant un volet qualitatif et un volet quantitatif a été menée auprès du groupe cible suivant : les PME canadiennes qui exportent. Un sondage en ligne a donc été administré à 507 PME canadiennes qui exportent et 40 entrevues téléphoniques individuelles approfondies ont été réalisées avec un sous-échantillon de répondants au sondage. Plus précisément :
Des renseignements supplémentaires sur la méthodologie figurent dans l’annexe.
La majorité des PME exportent vers les États-Unis et d’autres marchés étrangers.
Les PME canadiennes sont confrontées à de nombreux défis pour ce qui est de leurs activités dans des marchés internationaux
Les PME canadiennes ont besoin d’au moins un peu d’aide dans plusieurs secteurs pour développer leurs activités dans des marchés à l’extérieur du Canada
Les PME canadiennes connaissent relativement peu les accords de libre-échange du Canada
Peu d’entreprises utilisent l’un ou l’autre de ces accords de libre-échange, à l’exception de l’ALENA
La réduction des droits de douane représente le principal avantage de l’utilisation des accords de libre-échange.
Les accords de libre-échange ont une incidence sur la stratégie d’exportations des entreprises de diverses façons
Les associations et les collègues sont les principales sources d’information pour faire des affaires à l’étranger
Une vaste majorité de répondants utilisent l’Internet pour demeurer à l’affût des tendances de l’industrie et obtenir des renseignements commerciaux de nature générale
Lire des articles et obtenir des réponses des experts sont les principaux moyens d’obtenir de l’information
La valeur du contrat s’élevait à 132 465,95 $ (TVH incluse).
En ma qualité de cadre supérieure de Phoenix Strategic Perspectives, je certifie par la présente que les produits livrés sont en tout point conformes aux exigences du gouvernement du Canada en matière de neutralité politique qui sont décrites dans la Politique de communication du gouvernement du Canada et dans la Procédure de planification et d’attribution de marchés de services de recherche sur l’opinion publique. Plus particulièrement, les produits finaux ne comprennent pas de renseignements sur les intentions de vote aux élections, les préférences de partis politiques, les positions vis-à-vis de l’électorat ou l’évaluation de la performance d’un parti politique ou de son dirigeant.
Signature :
Alethea Woods, présidente
Phoenix Strategic Perspectives Inc.
La présente section fait état des caractéristiques des répondants au sondage et de leurs entreprises.
Cinquante-cinq pour cent des répondants sont propriétaires de leur entreprise. Les autres sont des gestionnaires ou superviseurs des opérations (13 %), des cadres dirigeants (11 %), des directeurs (7 %), des vice-présidents (5 %) ou des présidents (4 %).
Figure 1 : Rôle des répondants
Description textuelle - Figure 1
Base de référence : n=507; tous les répondants / S3. Quel titre décrit le mieux votre poste au sein de l’entreprise?
La moitié (51 %) des personnes sondées sont responsables de la stratégie de commerce international de leur entreprise. Vingt-huit pour cent n’en sont pas responsables, mais y participent directement. Un répondant sur cinq (21 %) est au courant des activités de l’entreprise, mais n’y participe pas directement.
Figure 2 : Connaissance des activités commerciales de l’entreprise au niveau international
Description textuelle - Figure 2
Base de référence : n=507; tous les répondants / S4. Dans quelle mesure êtes-vous au courant des activités de votre entreprise dans le domaine du commerce international?
La moitié (50 %) des répondants ont indiqué que leur entreprise exportait des biens ou des services à l’échelle internationale depuis plus de 10 ans. Par ailleurs, 20 % travaillent pour des entreprises qui exportent depuis six à 10 ans. En tout, 70 % des personnes sondées œuvrent pour des entreprises qui exportent depuis au moins six ans. Environ un répondant sur cinq (19 %) a mentionné que son entreprise exportait depuis deux à cinq ans, alors que 10 % travaillent pour une entreprise qui exporte depuis moins de deux ans.
Figure 3 : Nombre d’années d’exportations
Description textuelle - Figure 3
Base de référence : n=507; tous les répondants. [Suppression des réponses Ne sait pas/refuse de répondre : 4 %; n=17]
/ A3. Depuis combien d’années votre entreprise exporte-t-elle des biens ou des services à l’échelle internationale?
On a demandé aux répondants d’indiquer le total des revenus de leur entreprise pour le dernier exercice. Deux tiers ont fait mention de revenus de moins de un million de dollars; 41 % ont dit que les revenus de leur entreprise s’élevaient à moins de 250 000 $ et 26 %, qu’ils totalisaient entre 250 000 $ et un peu moins de un million de dollars. En revanche, un quart (24 %) des répondants travaillent pour des entreprises ayant des revenus totalisant entre un million de dollars et un peu moins de 10 millions de dollars, alors que dans 9 %, les entreprises ont touché des revenus d’au moins 10 millions de dollars lors du dernier exercice.
Figure 4 : Revenus des entreprises
Description textuelle - Figure 4
Base de référence : n=507; tous les répondants [Suppression des réponses Ne sait pas/refuse de répondre : 13 %; n=57]
/ A2.Pour votre dernier exercice financier, à combien s’élevait le total des revenus de votre entreprise?
Lorsqu’on leur a demandé d’identifier le principal secteur d’activité de leur entreprise, la plus grande proportion de répondants (27 %) ont indiqué que leur entreprise offrait des services professionnels, scientifiques ou techniques. Des entreprises du secteur de l’information et des industries culturelles (23 %) et les commerces au détail (17 %) arrivent ensuite au deuxième et au troisième rang. [1]
Figure 5 : Secteur d’activité
Description textuelle - Figure 5
Base de référence : n=507; tous les répondants / A1. Dans quelle industrie ou quel secteur votre entreprise exerce-t-elle des activités?
La plus grande proportion des entreprises sont situées dans l’Ouest (44 %) et en Ontario (35 %).
Figure 6 : Lieu du siège social
Description textuelle - Figure 6
Base de référence : n=507; tous les répondants / S6. Dans quelle province ou quel territoire le siège social de votre entreprise est-il situé?
En raison de la conception de la recherche, pratiquement tous les répondants représentaient des petites ou des moyennes entreprises canadiennes.[2]
Figure 7 : Nombre d’employés
Description textuelle - Figure 7
Base de référence : n=507; tous les répondants / S2. Combien d’employés travaillent pour votre entreprise? Veuillez inclure les employés à temps partiel comme des équivalents temps plein.
Les répondants au sondage travaillent dans des entreprises qui exercent des activités commerciales internationales et qui investissent de plusieurs façons.
Figure 8 : Activités commerciales des entreprises
Description textuelle - Figure 8
Base de référence : n=507; tous les répondants / S1. Votre entreprise exerce-t-elle actuellement l’une ou l’autre des activités suivantes? (plusieurs réponses acceptées).
La présente section fait état des activités d’exportations des entreprises sondées.
Plus de la moitié (59 %) des entreprises sondées exportent vers les États-Unis (É.-U.) et d’autres marchés étrangers. Par contre, environ trois entreprises sur 10 (29 %) exportent seulement vers les États-Unis et 12 % vers des marchés étrangers autres que les États-Unis.
Figure 9 : Marchés d’exportations
Description textuelle - Figure 9
Base de référence : n=507; tous les répondants [Suppression des réponses Ne sait pas/refuse de répondre : 4 %; n=19]
/ B1. Votre organisation exporte-t-elle des biens et des services…
La probabilité d’exporter seulement vers les É.-U. était plus élevée chez les petites entreprises (35 %) que chez les micro-entreprises (24 %).
Pour les entreprises qui exportent des biens ou des services (n=348), l’Amérique du Nord (71 %) est la principale destination, suivie de l’Europe (67 %) et de la région Asie-Pacifique (55 %). Un nombre moins important d’entreprises exportent actuellement vers des pays d’Amérique centrale ou du Sud (27 %) et vers le Moyen-Orient ou l’Afrique (22 %).
Figure 10 : Marchés d’exportations actuels
Description textuelle - Figure 10
Base de référence : n=348; répondants qui exportent des biens ou des services vers les É.-U. et des marchés étrangers [Suppression des réponses Ne sait pas/refuse de répondre : 4 %; n=15] / B2. Vers quels marchés votre entreprise exporte-t-elle actuellement? (plusieurs réponses acceptées).
La probabilité d’exporter vers l’Amérique du Nord était plus élevée chez les petites entreprises (77 %) que chez les micro-entreprises (65 %), chez les entreprises exportant des biens (79 %) que chez celles qui exportent des services (63 %), chez les entreprises qui exportent depuis plus de 10 ans (75 %) que chez les entreprises qui exportent depuis cinq ans ou moins (61 %), et chez les entreprises du secteur de l’information et des industries culturelles (87 %) que chez les entreprises du commerce au détail (62 %) et des services professionnels, scientifiques et techniques (61 %).
Les entreprises qui exportent des biens et des services (83 %) étaient plus susceptibles que les entreprises qui exportent seulement des services (60 %) d’exporter vers des pays européens. C’est la même chose pour les entreprises qui connaissent le Service des délégués commerciaux (SDC) : 82 % des entreprises qui connaissent le SDC exportent actuellement vers l’Europe comparativement à 60 % des entreprises qui ne connaissent pas le SDC.
La probabilité d’exporter vers des pays en Asie et le Pacifique était plus élevée chez les entreprises qui exportent des biens seulement (67 %) ainsi que des biens et des services (79 %) comparativement à celles qui exportent uniquement des services (42 %).
Les entreprises qui exportent actuellement en Amérique du Nord le font principalement aux États-Unis. Pratiquement tous les répondants (97 %) ont indiqué que leur entreprise exportait vers les É.-U., alors que seulement un quart des participants (24 %) ont mentionné le Mexique.
Figure 11 : Marchés d’exportations actuels : Amérique du Nord
Description textuelle - Figure 11
Base de référence : n=240; répondants qui exportent en Amérique du Nord. /
B2. Vers quels marchés votre entreprise exporte-t-elle actuellement? (plusieurs réponses acceptées).
Les entreprises qui exportent actuellement vers l’Europe visent surtout le Royaume-Uni (55 %), la France (41 %) et l’Allemagne (38 %). Comme l’indique le graphique, de plus petites proportions d’entreprises exportent actuellement vers divers pays européens.
Figure 12 : Marchés d’exportations actuels : principales destinations européennes
Description textuelle - Figure 12
Base de référence : n=234; répondants qui exportent vers l’Europe / B2. Vers quels marchés votre entreprise exporte-t-elle actuellement? (plusieurs réponses acceptées).
De plus, moins de un répondant sur 10 a fait mention des pays suivants :
Près de la moitié (49 %) des entreprises sondées exportent actuellement vers l’Australie. Suivent ensuite la Chine (36 %), le Japon (32 %), la Nouvelle-Zélande (26 %), Hong Kong (20 %), l’Inde (20 %) et Taïwan (17 %). Comme le montre le graphique, de plus petites proportions d’entreprises exportent vers divers autres pays de l’Asie et du Pacifique.
Figure 13 : Marchés d’exportations actuels : principales destinations en Asie et dans le Pacifique
Description textuelle - Figure 13
Base de référence : n=195; répondants qui exportent vers l’Asie et le Pacifique / B2. Vers quels marchés votre entreprise exporte-t-elle actuellement? (plusieurs réponses acceptées).
Les pays mentionnés par moins de un répondant sur 10 comprennent les suivants :
Quatre répondants sur 10 (42 %) ont indiqué que leur entreprise exportait actuellement vers le Brésil, alors que 26 % exportent vers le Chili, 22 % vers l’Argentine et 22 % vers la Colombie. Viennent ensuite Trinidad et Tobago, le Costa Rica et la Jamaïque (16 % respectivement). Comme le montre le graphique, de plus petites proportions d’entreprises exportent vers divers pays d’Amérique centrale et du Sud.
Figure 14 : Marchés d’exportations actuels : principales destinations en Amérique centrale et du Sud
Description textuelle - Figure 14
Base de référence : n=97; répondants qui exportent vers l’Amérique centrale et du Sud / B2. Vers quels marchés votre entreprise exporte-t-elle actuellement? (plusieurs réponses acceptées).
Les pays mentionnés par moins de un répondant sur 10 comprennent les suivants :
Des proportions semblables de répondants ont indiqué que leur entreprise exportait actuellement vers les Émirats arabes unis (EAU) (36 %), Israël (35 %) et l’Afrique du Sud (32 %). Exactement un quart des entreprises (25 %) exportent vers l’Arabie saoudite et 18 % vers l’Égypte. Comme le montre le graphique, des proportions inférieures d’entreprises exportent vers d’autres pays du Moyen-Orient et de l’Afrique.
Figure 15 : Marchés d’exportations actuels : principales destinations au Moyen-Orient et en Afrique
Description textuelle - Figure 15
Base de référence : n=85; répondants qui exportent vers le Moyen-Orient et l’Afrique / B3.À quels marchés d’exportations, s’il y a lieu, songe ou s’intéresse actuellement votre entreprise? (plusieurs réponses acceptées).
Les pays mentionnés par moins de un répondant sur 10 comprennent les suivants :
Lorsqu’on leur a demandé à quels marchés, s’il y a lieu, leur entreprise songeait ou s’intéressait, les répondants ont mentionné, dans une proportion semblable, l’Europe (43 %) et la région Asie-Pacifique (42 %). Un nombre inférieur d’entreprises prévoient exporter vers des pays d’Amérique centrale ou du Sud (25 %), le Moyen-Orient ou l’Afrique (22 %) et l’Amérique du Nord (16 %).
Un tiers des entreprises ne s’intéressent pas à d’autres marchés pour le moment.
Figure 16 : Futurs marchés d’exportations
Description textuelle - Figure 16
Base de référence : n=296; répondants qui exportent des biens et des services vers les É.-U. et des marchés étrangers [Suppression des réponses Ne sait pas/refuse de répondre : 19 %; n=56] / B3.À quels marchés d’exportations, s’il y a lieu, songe ou s’intéresse actuellement votre entreprise? (plusieurs réponses acceptées).
Les principaux pays mentionnés par les répondants comme des marchés d’exportations possibles sont l’Australie (20 %), la Nouvelle-Zélande (15 %) et le Royaume-Uni (14 %).
Figure 17 : Futurs marchés d’exportations : pays
Description textuelle - Figure 17
Base de référence : n=296; répondants qui exportent des biens et des services vers les É.-U. et des marchés étrangers. [Suppression des réponses Ne sait pas/refuse de répondre : 19 %; n=56] / B3.À quels marchés d’exportations, s’il y a lieu, songe ou s’intéresse actuellement votre entreprise? (plusieurs réponses acceptées).
La présente section fait état des obstacles liés aux exportations auxquels se heurtent les PME canadiennes, ainsi que les types de soutien que les entreprises aimeraient obtenir pour les aider à développer leurs affaires dans des marchés à l’extérieur du Canada.
Près de sept répondants sur 10 (69 %) ont indiqué que la valeur du dollar canadien représentait à tout le moins un obstacle mineur aux activités de leur entreprise dans les marchés internationaux, et environ la moitié d’entre eux ont affirmé qu’elle constituait un obstacle modéré (26 %) ou majeur (21 %). Au moins six répondants sur 10 ont fait mention des obstacles suivants : l’incertitude concernant les exigences réglementaires d’autres pays (67 %), les contacts insuffisants dans les marchés (64 %), les droits de douane et les obstacles commerciaux (63 %), ainsi que les renseignements insuffisants sur les occasions d’affaires (62 %). La proportion de répondants qui jugent ces obstacles modérés ou majeurs variait, passant d’un seuil de 36 % pour les renseignements insuffisants au sujet des occasions d’affaires à 39 % pour les droits de douane et les obstacles commerciaux.
De plus, au moins la moitié des répondants ont indiqué que les obstacles linguistiques ou culturels (57 %), le manque d’accès au financement (53 %) et les taxes et permis d’exportations canadiennes (53 %) représentent à tout le moins des obstacles mineurs pour les activités de leur entreprise dans des marchés internationaux.
En revanche, pour la majorité des répondants, les défis suivants ne posent pas problème pour leur entreprise : la corruption (52 %), les préoccupations relatives aux brevets et à la propriété intellectuelle (52 %), le traitement discriminatoire envers les investisseurs canadiens (51 %) ainsi que la disponibilité et la compétence de la main-d’œuvre (50 %). Les répondants qui ont indiqué que ces défis constituaient des obstacles pour leur entreprise jugeaient dans une plus grande proportion qu’ils étaient mineurs ou modérés plutôt que majeurs.
Figure 18 : Obstacles aux activités dans les marchés internationaux
Description textuelle - Figure 18
Base de référence : n=507; tous les répondants [Suppression des réponses Ne sait pas/refuse de répondre : 6 % à 12 %; n= 30 à 56] / C2. Dans quelle mesure, s’il y a lieu, chacun des enjeux suivants constitue-t-il un obstacle aux activités de votre entreprise dans des marchés internationaux?
La valeur du dollar canadien était plus susceptible d’être un obstacle pour les entreprises prévoyant exporter vers l’Ukraine (90 %) que pour celles qui visaient le Mexique ou les États-Unis (63 %). Les taxes ou permis d’exportations canadiennes étaient plus susceptibles de représenter un obstacle pour les entreprises prévoyant exporter vers l’Ukraine (86 %) que pour celles ayant dans leur mire les pays de l’AECG (56 %). Le traitement discriminatoire envers les investisseurs canadiens était plus susceptible d’être un obstacle pour les entreprises prévoyant exporter vers l’Ukraine (87 %) que pour celles visant le Mexique ou les É.-U. (53 %) et les pays de l’AECG (52 %)[3].
Comparativement aux micro-entreprises (moins de cinq employés), les petites entreprises (5 à 99 employés) étaient plus susceptibles de cerner les obstacles suivants : la valeur du dollar canadien (74 % comparativement à 63 %); les taxes ou permis d’exportations canadiennes (60 % comparativement à 43 %); le traitement discriminatoire ou arbitraire envers les investisseurs canadiens ou leurs investissements (54 % comparativement à 35 %); un accès insuffisant à du financement ou à des fonds (57 % comparativement à 46 %); des droits de douane ou des obstacles commerciaux (72 % comparativement à 53 %); des obstacles linguistiques ou culturels (64 % comparativement à 48 %); et la disponibilité et la compétence de la main-d’œuvre (59 % comparativement à 37 %).
On a demandé aux répondants dans quelle mesure leur entreprise avait besoin, s’il y a lieu, de soutien dans les secteurs suivants lorsqu’elle développe des affaires dans des marchés à l’extérieur du Canada :
Les répondants étaient plus susceptibles d’indiquer que leur entreprise avait besoin d’un peu ou de beaucoup d’aide pour ce qui suit : des renseignements sur les marchés ou de l’information commerciale (48 %), des références à des possibilités de ventes au niveau international (47 %), comprendre les pratiques commerciales responsables dans des marchés étrangers (45 %) et de l’information au sujet des organisations ou des entreprises dans des marchés étrangers (43 %).
Les secteurs pour lesquels les entreprises ont moins tendance à avoir besoin d’aide sont les suivants : les références à des occasions en matière de technologie ou de partenariat en recherche et développement (47 % des entreprises n’ont pas besoin d’aide), de l’information ou des conseils pour trouver du soutien financier (45 % des entreprises n’ont pas besoin d’aide) et des conseils pratiques sur le moment d’effectuer leurs voyages d’affaires et sur l’organisation de tels voyages (44 % des entreprises n’ont pas besoin d’aide).
Figure 19 : Aide requise pour développer les marchés étrangers
Description textuelle - Figure 19
Base de référence : n=507; tous les répondants [Suppression des réponses Ne sait pas/refuse de répondre : 6 % à 9 %; n=28 à 41] / C1. Dans quelle mesure, s’il y a lieu, votre entreprise a-t-elle besoin d’aide dans les secteurs suivants lorsqu’elle se prépare à faire des affaires dans des marchés à l’extérieur du Canada?
Les entreprises situées dans l’ouest du Canada sont plus susceptibles de ne pas avoir besoin d’aide dans plusieurs de ces secteurs, notamment les renseignements sur les marchés et l’information commerciale; la protection de la propriété intellectuelle, les marchés publics et les questions de réglementation; les références à des occasions d’affaires internationales et à des possibilités de vente; les références à d’autres programmes et services commerciaux pertinents; de l’information ou des conseils pour trouver du soutien financier; de l’information au sujet des organisations ou des entreprises dans des marchés étrangers; et comprendre les pratiques commerciales responsables des marchés étrangers.
Les micro-entreprises et les entreprises de petite taille étaient plus susceptibles que les moyennes entreprises de ne pas avoir besoin d’aide dans ces secteurs.
Comparativement aux entreprises qui ne prévoient pas exporter vers un pays avec lequel le Canada a conclu un accord de libre-échange, les entreprises qui prévoient le faire étaient plus susceptibles d’avoir besoin d’aide dans tous ces secteurs.
Cette section présente les constats relativement à la connaissance qu’ont les répondants des accords de libre-échange et à l’utilisation qu’en fait leur entreprise. Dans le questionnaire en ligne, les répondants obtenaient les renseignements suivants :
Les accords de libre-échange sont négociés pour réduire les obstacles commerciaux, comme les contingents d’importation et les droits de douane, et pour accroître les échanges commerciaux de biens et de services entre les pays participants.
Au moins la moitié des répondants n’avaient jamais entendu parler des accords de libre-échange suivants : l’Accord de libre-échange Canada-Ukraine (ALECU) (64 %), l’Accord de libre-échange Canada-Israël (ALECI) (57 %), l’Accord de libre-échange Canada-Chili (ALECC) modernisé (54 %) et l’Accord de libre-échange Canada-Corée (ALECC) (52 %). Les répondants qui disaient connaître quelque peu ces accords de libre-échange étaient plus susceptibles de savoir uniquement leur nom (c.-à-d. « j’en ai entendu parler, mais je n’en connais pas les détails »). Un nombre relativement petit de répondants ont indiqué qu’ils connaissaient les détails de ces accords de libre-échange : l’ALECU (15 %), l’ALECI (13 %), l’ALECC (Chili) (15 %) et l’ALECC (Corée) (14 %).
En revanche, l’Accord de partenariat transpacifique global et progressiste (PTPGP) et l’Accord économique et commercial global entre le Canada et l’Union européenne (AECG) étaient relativement connus. Soixante-quatorze pour cent des répondants avaient entendu parler de l’AECG et 72 %, du PTPGP. Cela dit, seulement 7 % des répondants ont indiqué qu’ils connaissaient les détails de ces accords de libre-échange.
Figure 20 : Connaissance des accords de libre-échange
Description textuelle - Figure 20
Base de référence : n=507; tous les répondants / D1. Dans quelle mesure connaissez-vous les accords de libre-échange suivants?
Le niveau de connaissance de tous ces accords de libre-échange était plus élevé chez les moyennes entreprises que les micro-entreprises ou les petites entreprises, et chez les entreprises qui connaissent le SDC. De plus, les entreprises qui prévoyaient exporter vers un pays avec lequel le Canada a conclu un accord de libre-échange connaissaient mieux l’ALECC (Corée) (57 % comparativement à 42 % de celles qui ne prévoyaient pas exporter).
Peu d’entreprises qui connaissent ces accords de libre-échange les utilisent. Neuf pour cent utilisent l’AECG et 17 % prévoient l’utiliser, alors que 7 % utilisent l’ALECC (Corée) et 14 % prévoient l’utiliser. Cinq pour cent des entreprises exportatrices connaissent l’ALECU, l’ALECC (Chili) et l’ALECI.
Figure 21 : Utilisation des accords de libre-échange
Description textuelle - Figure 21
Base de référence : n= répondants qui connaissent des ALE / D2. Votre entreprise utilise-t-elle actuellement ou planifie-t-elle utiliser au cours de la prochaine année l’un ou l’autre des accords de libre-échange suivants?
Les micro-entreprises étaient moins susceptibles que les moyennes entreprises de prévoir l’utilisation de l’un ou l’autre de ces accords de libre-échange.
Avant de leur poser des questions au sujet de l’utilisation de ces accords de libre-échange par leur entreprise, nous avons fourni aux répondants plusieurs exemples de la façon dont leur entreprise pourrait utiliser un accord de libre-échange, notamment les suivants :
Lorsqu’on leur a demandé dans quelle mesure il était probable que leur entreprise amorce des échanges commerciaux avec des pays signataires du PTPGP en raison de cet accord de libre-échange, trois répondants sur 10 ont dit que c’était quelque peu (21 %) ou très (9 %) probable. En revanche, 21 % ont dit que c’était peu probable et 23 %, que ce n’était pas du tout probable. Les autres répondants étaient incertains (21 %) des plans de leur entreprise ou ont indiqué que leur entreprise faisait déjà affaire avec des pays signataires du PTPGP.
Figure 22 : Probabilité des échanges commerciaux avec des pays signataires du PTPGP
Description textuelle - Figure 22
Base de référence : n=507; tous les répondants / D3. Dans quelle mesure est-il probable que votre entreprise commence à faire des échanges commerciaux avec les pays du PTPGP en raison de cet accord de libre-échange?
Les petites et moyennes entreprises sont plus susceptibles que les micro-entreprises à amorcer des échanges commerciaux avec des pays signataires du PTPGP en raison de cet accord de libre-échange.
Avant de leur poser des questions au sujet de l’utilisation du PTPGP par leur entreprise, les répondants ont obtenu les renseignements suivants au sujet de l’accord :
L’Accord de partenariat transpacifique global et progressiste (PTPGP) est un accord de libre-échange conclu entre le Canada et 10 autres pays de la région Asie-Pacifique : Australie, Brunéi, Chili, Japon, Malaisie, Mexique, Nouvelle-Zélande, Pérou, Singapour et Vietnam. Une fois que l’accord sera pleinement mis en œuvre, 99 % de toutes les lignes tarifaires seront exemptées de droits. Le PTPGP offre également aux exportateurs un meilleur accès aux marchés publics dans les marchés visés par le PTPGP en plus de fournir une plus grande certitude et stabilité aux investisseurs et aux entreprises dans les secteurs des services et d’accroître la mobilité de la main-d’œuvre.
Le 30 décembre 2018, le PTPGP est entré en vigueur dans les six premiers pays qui l’ont ratifié, soit le Canada, l’Australie, le Japon, le Mexique, la Nouvelle-Zélande et Singapour. Le 14 janvier 2019, le PTPGP est entré en vigueur au Vietnam. Le Pérou, le Chili, la Malaisie, et le Brunéi n’ont pas encore ratifié l’accord.
Pratiquement toutes les entreprises qui font actuellement des affaires avec des pays du PTPGP (n=30)[4] vont probablement continuer de le faire en raison de l’accord de libre-échange (pour 88 % d’entre elles, c’est très probable et pour 9 %, c’est quelque peu probable). Les autres (3 %) n’étaient pas certains des plans de leur entreprise.
Au cours des trois prochaines années, la majorité de ces répondants (n=30)[5] s’attendent à ce que le volume d’exportations de leur entreprise vers la région Asie-Pacifique demeure à peu près le même (51 %). Parmi les répondants qui prévoient un changement, un peu plus d’un quart s’attendent à ce que les volumes augmentent quelque peu (24 %) ou considérablement (3 %). Un répondant sur 10 s’attend à ce que le volume diminue quelque peu et les autres (12 %) ne savent pas à quoi s’attendre en ce qui a trait aux volumes d’exportations vers la région Asie-Pacifique.
Près d’un tiers (32%) des importateurs s’attendent à ce que le volume d’importations provenant de la région Asie-Pacifique augmente quelque peu (27 %) ou considérablement (5 %). Une proportion presque aussi importante (30 %) croit que le niveau des importations demeurera le même. Seulement 6 % des répondants prévoient une diminution (8 % n’étaient pas certains des perspectives et 21 % n’importent pas de cette région).
Figure 23 : Perspectives concernant le volume d’importations vers la région Asie-Pacifique
Description textuelle - Figure 23
Base de référence : n=30; entreprises qui font déjà des échanges commerciaux avec les pays du PTPGP / D6. Au cours des trois prochaines années, vous attendez-vous à ce que le volume d’importations de votre entreprise en provenance de la région Asie-Pacifique…?
Un tiers (33 %) des répondants ont indiqué que leur entreprise utilise actuellement l’Accord de libre-échange nord-américain (ALENA) et 22 % ont dit que leur entreprise prévoit commencer à l’utiliser au cours de la prochaine année. Ainsi, en tout, 55 % des entreprises utilisent actuellement l’ALENA ou prévoient l’utiliser. Les autres ont mentionné que leur entreprise n’avait pas l’intention d’utiliser l’ALENA (20 %) ou étaient incertains des plans de leur entreprise concernant cet accord de libre-échange (25 %). Ensuite, 7 % des entreprises ont recours à l’Accord de libre-échange Canada-Association européenne de libre-échange et 20 % prévoient l’utiliser l’an prochain.
La majorité des entreprises n’utilisent pas et ne prévoient pas utiliser les accords de libre-échange suivants : l’Accord de libre-échange Canada-Honduras (65 %), l’Accord de libre-échange Canada-Jordanie (65 %), l’Accord de libre-échange Canada-Colombie (63 %), l’Accord de libre-échange Canada-Pérou (60 %), l’Accord de libre-échange Canada-Costa Rica (60 %) et l’Accord de libre-échange Canada-Panama (56 %).
Figure 24 : Utilisation d’autres accords de libre-échange
Description textuelle - Figure 24
Base de référence : n=507; tous les répondants / D7. Quel(s) autre(s) accord(s) de libre-échange, s’il y a lieu, votre entreprise utilise-t-elle actuellement ou planifie-t-elle utiliser au cours de la prochaine année?
Les micro-entreprises et les petites entreprises sont plus susceptibles que les moyennes entreprises de ne pas planifier l’utilisation de l’un ou l’autre des accords de libre-échange. Les entreprises qui prévoient commencer à exporter vers des pays avec lesquels le Canada a conclu un accord de libre-échange étaient plus susceptibles que les autres de ne pas planifier l’utilisation de l’un de ces accords.
Trois quarts (75 %) des répondants n’ont pas entendu parler des négociations relatives à l’accord de libre-échange entre le Canada et le MERCOSUR. Les personnes qui en ont entendu parler étaient plus susceptibles de seulement savoir qu’elles avaient cours (16 %) que de connaître certains (7 %) ou tous (2 %) les détails. De plus, 60 % des répondants ne sont pas au courant des discussions exploratoires entre le Canada et l’ANASE. Parmi ceux qui le sont, 28 % avaient entendu parler des discussions exploratoires, 9 % connaissaient certains détails et 3 % connaissaient les détails de ces discussions.
Les négociations relatives à l’accord de libre-échange entre le Canada et l’Alliance du Pacifique étaient mieux connues; seulement 44 % des répondants ont indiqué qu’ils n’en avaient pas entendu parler. Parmi ceux qui étaient au courant, 37 % savaient que des négociations se déroulaient, 15 % connaissaient certains détails, et 4 % en connaissaient les détails. Ainsi, en tout, 56 % des répondants savaient à tout le moins qu’il y avait des négociations relatives à un accord de libre-échange entre le Canada et l’Alliance du Pacifique.
Figure 25 : Connaissance des discussions ou négociations relatives à un accord de libre-échange
Description textuelle - Figure 25
Base de référence : n=507; tous les répondants / D8. Avez-vous entendu quoi que ce soit au sujet de négociations ou de discussions portant sur les accords de libre-échange suivants?
Les répondants qui ont indiqué que leur entreprise n’utilisait pas les accords de libre-échange pour exporter des biens ou des services (n=272) ont invoqué diverses raisons pour justifier cette situation. La raison la plus importante est la perception que leur entreprise n’en tirerait aucun avantage (34 %) et qu’il est difficile de tirer profit ou d’utiliser des accords de libre-échange (30 %). Ensuite, un quart des répondants (26 %) ont dit que leur entreprise ne détenait pas suffisamment de renseignements au sujet des accords de libre-échange et près de un répondant sur cinq (19 %) a mentionné que son entreprise n’était pas intéressée aux marchés accessibles grâce aux accords de libre-échange du Canada.
Parmi les raisons invoquées par environ un répondant sur 10, notons le fait de ne pas savoir que les accords de libre-échange existent (13 %) ainsi que la perception que les exigences d’admissibilité sont complexes (12 %) ou que les accords ne s’appliquent pas aux produits ou aux services de l’entreprise (10 %).
Comme le montre le graphique, plusieurs autres raisons ont été invoquées par moins de un répondant sur 10 pour expliquer pourquoi leur entreprise n’a pas recours aux accords de libre-échange.
Figure 26 : Raisons pour ne pas utiliser les accords de libre-échange
Description textuelle - Figure 26
Base de référence : n=272; répondants qui n’utilisent pas les ALE [Suppression des réponses Ne sait pas/refuse de répondre : 2 %; n=5] / E1. Pourquoi votre entreprise n’utilise-t-elle pas des accords de libre-échange pour exporter des biens ou des services? (plusieurs réponses acceptées).
La présente section fait état des constats concernant les répercussions des accords de libre-échange sur les PME canadiennes aux yeux des répondants. Ces questions ont été posées seulement aux répondants ayant indiqué que leur entreprise utilisait au moins un accord de libre-échange.
Près de six entreprises sur 10 (58 %) qui utilisent les accords de libre-échange (n=191) ont bénéficié d’une réduction ou d’une élimination des droits de douane sur les biens. Un nombre considérablement plus petit a profité de meilleures conditions pour l’exportation des services (23 %), d’un accès plus facile aux possibilités relatives aux marchés publics (20 %), d’une plus grande certitude ou stabilité sur le plan des affaires en raison des clauses d’investissement (17 %) et des clauses liées à la mobilité de la main-d’œuvre et à l’admission temporaire (16 %).
Figure 27 : Avantages de l’utilisation d’accords de libre-échange
Description textuelle - Figure 27
Base de référence : n=191; répondants qui utilisent les ALE [Suppression des réponses Ne sait pas/refuse de répondre : 9 %; n=18] / E2. En pensant aux accords de libre-échange que votre entreprise utilise actuellement, votre entreprise a-t-elle profité de l’un ou l’autre des éléments suivants? (plusieurs réponses acceptées).
Parmi les entreprises qui ont bénéficié d’une réduction ou d’une élimination des droits de douane sur les biens (n=121), 80 % ont réclamé une réduction des droits de douane en vertu des accords de libre-échange qu’elles utilisent. De plus, 76 % des répondants ont indiqué que c’est l’importateur des biens qui l’avait réclamée, alors que 68 % ont dit que c’était le fabricant.
Figure 28 : Droits de douane
Description textuelle - Figure 28
Base de référence : n=121; répondants qui ont bénéficié d’une réduction/élimination des droits sur les biens
[Suppression des réponses Ne sait pas/refuse de répondre : 74 % à 96 %; n=46 à 48] [Suppression des réponses Ne s’applique pas : 10 % à 21 %; n= 5 à 11] / E3. Est-ce que votre entreprise, le fabricant ou l’importateur de vos biens réclame une réduction des droits de douane en vertu d’un accord de libre-échange?
On a demandé aux répondants ayant indiqué que leur entreprise n’avait pas réclamé une réduction des droits de douane (n=52) quel impact, s’il y a lieu, un certain nombre de facteurs avait eu sur la décision. Les facteurs comprenaient les suivants :
Un plus grand nombre de répondants ont indiqué que les facteurs suivants avaient eu au moins un faible impact sur la décision de leur entreprise : l’entreprise n’avait pas vu une réduction importante des droits de douane (66 %, y compris 26 % qui ont indiqué que cela avait eu un impact considérable), les coûts administratifs élevés associés à l’obtention d’une déclaration d’origine (63 %), le manque de compréhension des accords de libre-échange, des exigences d’admissibilité ou des règles d’origine (62 %) et les longs délais pour obtenir une déclaration d’origine (60 %).
Selon la majorité des répondants, le fait que leur bien n’était pas visé par l’accord de libre-échange (58 %) et l’utilisation des tarifs préférentiels prévus par l’OMC (50 %) n’ont pas eu d’impact sur la décision de l’entreprise de ne pas réclamer une réduction des droits de douane.
Figure 29 : Raisons pour ne pas réclamer une réduction des droits de douane
Description textuelle - Figure 29
Base de référence : n=52; répondants qui n’ont pas réclamé une réduction des droits de douane [Suppression des réponses Ne sait pas/refuse de répondre : 22 % à 47 %; n=9 à 16] / E4. Quel impact, s’il y a lieu, les facteurs suivants ont-ils sur la décision de votre entreprise de ne pas réclamer une réduction des droits de douane pour vos biens?
On a demandé aux répondants ayant indiqué que leur entreprise avait bénéficié d’un accès plus facile aux possibilités relatives aux marchés publics (n=61) d’évaluer dans quelle mesure ils étaient d’accord ou en désaccord avec les énoncés suivants :
En raison des accords de libre-échange…
Dans tous les cas, la majorité des répondants ont indiqué qu’ils ne savaient pas quel impact les accords de libre-échange avaient eu relativement à ces aspects.
Les répondants ayant indiqué que leur entreprise avait bénéficié des clauses relatives à la mobilité de la main-d’œuvre ou à l’admission temporaire (n=47) étaient plus susceptibles de convenir que la direction et le personnel de leur entreprise avaient une plus grande capacité de travailler dans des marchés visés par les accords de libre-échange (66 %) en raison de tels accords. De plus, plus de la moitié des répondants étaient d’avis que la direction et le personnel de l’entreprise avaient une plus grande capacité de profiter d’occasions en tant que contractuels dans des marchés visés par des accords de libre-échange (57 %) et que l’entreprise avait pu envoyer du personnel dans de tels marchés (55 %). Les répondants étaient moins susceptibles de dire que leur entreprise avait augmenter le nombre de voyages d’affaires dans des marchés visés par des accords de libre-échange (44 %).
Figure 30 : Répercussions des accords de libre-échange sur la mobilité de la main-d’œuvre
Description textuelle - Figure 30
Base de référence : n=47; répondants ayant utilisé les clauses de mobilité de la main-d’œuvre ou d’admission temporaire [Suppression des réponses Ne sait pas/refuse de répondre : 37 % à 45 %; n=10 à 12] / E6. Dans quelle mesure êtes-vous d’accord ou en désaccord avec les énoncés suivants?
On a demandé aux répondants ayant indiqué que leur entreprise utilise les accords de libre-échange (n=191) de nous faire part des répercussions de ces accords sur les pratiques commerciales de leur entreprise.
Près de quatre répondants sur 10 (39 %) estiment que les accords de libre-échange ont amélioré les modalités ou l’intégration de la chaîne d’approvisionnement, alors que 22 % se montrent en désaccord. Les autres répondants (39 %) ne sont ni d’accord ni en désaccord.
Ensuite, 35 % sont d’avis que leur entreprise a amélioré ses dispositions contractuelles avec les acheteurs, et 33 % estiment que leur entreprise a modifié ses pratiques administratives pour intégrer des processus visés par les ALE. Les répondants qui ne sont pas d’accord étaient plus susceptibles d’être ni d’accord ni en désaccord que d’exprimer un désaccord.
Figure 31 : Répercussions des accords de libre-échange sur les pratiques commerciales
Description textuelle - Figure 31
Base de référence : n= 235; répondants ayant utilisé les ALE [Suppression des réponses Ne sait pas/refuse de répondre : 37 % à 45 %; n=10 à 12] / E7. Dans quelle mesure êtes-vous d’accord ou en désaccord avec les énoncés suivants?
Selon la plupart des répondants, les accords de libre-échange ont eu une incidence, du moins dans une petite mesure, sur la stratégie d’exportations de leur entreprise. Plus particulièrement, les accords de libre-échange ont eu beaucoup d’influence dans 14 % des cas, une influence modérée dans 27 % des cas et une faible influence dans 33 % des cas. En revanche, la stratégie d’exportations d’un quart (26 %) des entreprises n’a pas du tout été influencée par les accords de libre-échange du Canada.
Figure 32 : Influence des accords de libre-échange sur la stratégie d’exportations
Description textuelle - Figure 32
Base de référence : n=235; répondants connaissant les ALE [Suppression des réponses Ne sait pas/refuse de répondre : 5 %; n=9] / E8. Dans quelle mesure, s’il y a lieu, les accords de libre-échange ont-ils une incidence sur la stratégie d’exportations de votre entreprise et vous encouragent à envisager d’autres marchés?
Les entreprises sont influencées par les accords de libre-échange de diverses façons. La plupart des répondants (84 %) ont indiqué que les accords avaient eu une incidence sur la décision de leur entreprise de se livrer à une vaste gamme d’activités commerciales; 29 % ont indiqué que l’influence était considérable. De plus, près de huit répondants sur 10 (78 %) ont dit que les accords de libre-échange avaient eu une incidence sur la décision de l’entreprise de vendre un plus grand éventail de biens ou de services, alors que sept répondants sur 10 ont dit que ces accords avaient encouragé leur entreprise à recourir à la délocalisation ou à l’approvisionnement extérieur (72 %) ou à investir dans un pays visé par un accord de libre-échange (70 %).
Les accords de libre-échange étaient moins susceptibles d’avoir influencé les entreprises à s’établir à l’étranger ou à soumissionner pour obtenir des contrats publics dans des marchés visés par un accord de libre-échange. Bon nombre de répondants (40 % et 41 %, respectivement) ont indiqué que les accords de libre-échange n’avaient pas du tout influencé la décision de l’entreprise de s’adonner à ces activités.
Figure 33 : Secteurs pour lesquels les accords de libre-échange ont influencé la stratégie d’exportations
Description textuelle - Figure 33
Base de référence : n= 154 à 172; répondants dont la stratégie d’exportations a été influencée par les ALE [Suppression des réponses Ne sait pas/refuse de répondre : 4 % à 8 %; n=6 à 10] [Suppression des réponses Ne s’applique pas : 7 % à 26 %; n=10 à 30] / E9. Dans quelle mesure, s’il y a lieu, les accords de libre-échange ont-ils eu une incidence sur la décision de votre entreprise de …?
Lorsqu’on leur a demandé quels autres avantages, s’il y a lieu, l’utilisation d’accords de libre-échange avait procurés à leur entreprise, 40 % des répondants ont mentionné une augmentation des ventes ou des revenus, 31 %, des nouveaux clients dans des marchés visés par un accord de libre-échange, et 30 %, l’augmentation des ventes à des clients actuels.
De plus, environ un quart des répondants ont mentionné que le prix des produits est plus concurrentiel dans les marchés d’exportations (26 %) et que leur entreprise est capable d’accéder à des biens et de l’équipement spécialisés à l’extérieur du Canada (24 %). Treize pour cent des répondants ont indiqué que leur entreprise avait profité d’un accès à une expertise et des services spécialisés à l’extérieur du Canada en raison des accords de libre-échange.
Près de trois répondants sur 10 (28 %) estiment que leur entreprise n’a pas tiré d’avantages des accords de libre-échange.
Figure 34 : Autres avantages des accords de libre-échange
Description textuelle - Figure 34
Base de référence : n=234; répondants ayant utilisé des ALE [Suppression des réponses Ne sait pas/refuse de répondre : 1 %; n=1] / E10. Quels sont les autres avantages, s’il y a lieu, dont votre entreprise a profité en raison de l’utilisation d’accords de libre-échange?
La présente section fait état de la connaissance et des perceptions des répondants concernant le Service des délégués commerciaux (SDC). Ces questions ont été posées seulement aux répondants qui connaissaient au moins un accord de libre-échange.
Huit répondants sur 10 (82 %) au courant des accords de libre-échange (n=235) savent que le gouvernement du Canada met à la disposition des entreprises de l’information et des ressources pour les aider à accroître leurs échanges commerciaux à l’étranger. Cependant, 18 % ne le savent pas.
Figure 35 : Connaissance des ressources et de l’information du gouvernement du Canada
Description textuelle - Figure 35
Base de référence : n=235; répondants connaissant les ALE / F1. Savez-vous que le gouvernement du Canada met à la disposition des entreprises des renseignements et des ressources pour les aider à accroître leurs échanges commerciaux à l’étranger?
Les répondants qui connaissaient le SDC (94 % comparativement à 69 % des personnes qui ne le connaissaient pas), les micro-entreprises (95 % comparativement à 74 % des petites entreprises et à 78 % des moyennes entreprises) et les entreprises qui exportent actuellement vers les É.-U. et les marchés étrangers (86 % comparativement à 70 % des entreprises qui exportent uniquement vers les É.-U.) étaient plus nombreux à être au courant que le gouvernement du Canada met à la disposition des entreprises de l’information et des ressources pour les aider à accroître leurs échanges commerciaux à l’étranger.
Exactement la moitié (50 %) des répondants qui sont au courant des accords de libre-échange ont déjà entendu parler du Service des délégués commerciaux (SDC).[6] On a demandé aux répondants qui connaissent le SDC (n=115) ce qu’ils savaient à son sujet. La plupart (83 %) ont reconnu qu’ils avaient entendu parler du SDC, mais qu’ils ne pouvaient se rappeler d’aucun renseignement précis au sujet du SDC. Par ailleurs, 13 % avaient entendu dire que le SDC fournit du soutien aux activités commerciales.
Figure 36 : Connaissance du SDC
Description textuelle - Figure 36
Base de référence : n=235; répondants qui connaissent le SDC / F2. Avez-vous déjà entendu parler du Service des délégués commerciaux, ou SDC?
Les répondants qui connaissaient le SDC étaient plus susceptibles d’en avoir d’abord entendu parler par l’entremise d’Internet (40 %). Un petit nombre de répondants ont mentionné une référence d’Exportations et Développement Canada (EDC) (13 %) ou de la Banque de développement du Canada (BDC) (11 %) et un événement d’un tiers (10 %). Toutes les autres sources d’information ont été mentionnées par moins de un répondant sur 10.
Figure 37 : Source d’information au sujet du SDC
Description textuelle - Figure 37
Base de référence : n=116; répondants qui connaissent le SDC [Suppression des réponses Ne sait pas/refuse de répondre : 14 %; n=13] / F4. Comment avez-vous entendu parler pour la première fois du Service des délégués commerciaux (ou SDC)?
La présente section fait état des préférences en matière de communication et des besoins d’information des répondants.
Lorsqu’on leur a demandé où ils obtenaient de l’information et des conseils pour faire des affaires à l’étranger, par exemple pour les exportations et l’utilisation des accords de libre-échange, environ un tiers des répondants ont fait mention des associations commerciales ou de l’industrie (32 %) et des associés, des collègues ou des partenaires commerciaux (32 %).
Vingt-neuf pour cent des répondants se servent de sites Web ou d’outils gratuits en ligne offerts par des organismes de promotion du commerce. Les répondants qui utilisent l’information et les ressources des organismes de promotion du commerce (n=49) étaient plus susceptibles de mentionner la Banque de développement du Canada (50 %), suivie d’un peu plus loin d’Exportations et Développement Canada (38 %), des organismes provinciaux voués aux exportations (26 %) et du Service des délégués commerciaux (20 %).
Environ deux répondants sur 10 ont recours à des services professionnels (22 %), à des publications d’affaires (22 %) et à des courtiers de douane ou des commissionnaires de transport (21 %), alors que de plus petites proportions se fient aux entreprises d’expéditions (18 %), aux institutions financières (16 %), aux conseillers professionnels (12 %), aux courtiers (12 %), aux formations privées (8 %) et aux détaillants (4 %) pour obtenir de l’information et des conseils sur les affaires à l’étranger.
Figure 38 : Sources d’information pour faire des affaires à l’étranger
Description textuelle - Figure 38
Base de référence : n=507; tous les répondants [Suppression des réponses Ne sait pas/refuse de répondre : 5 %, n=22] /
G1. Où obtenez-vous des renseignements et des conseils sur les affaires à l’étranger (c.-à-d., exporter et/ou utiliser des accords de libre-échange)? (plusieurs réponses acceptées)
La probabilité d’utiliser des associations commerciales et de l’industrie était plus élevée chez les entreprises qui exportent actuellement vers les pays concernés par des accords de libre-échange (34 % comparativement à 17 %) et chez les répondants qui connaissent le SDC (50 % comparativement à 25 %). La probabilité de recourir à un associé commercial ou un collègue était plus élevée chez les entreprises de l’Ouest du Canada (32 %) et de l’Ontario (36 %) comparativement aux entreprises du Québec (18 %), les entreprises qui connaissent le SDC (44 % comparativement à 23 %) et les entreprises qui exportent uniquement des services (38 % comparativement à 30 % de celles qui exportent des biens et des services).
Un peu plus des trois quarts (77 %) des répondants se tournent vers l’Internet pour demeurer à l’affût des tendances de l’industrie et obtenir des renseignements commerciaux de nature générale. Par ailleurs, 46 % utilisent les médias sociaux. D’autres sources ont été mentionnées par moins de deux personnes sur 10.
Figure 39 : Sources d’information utilisées pour demeurer à l’affût des tendances de l’industrie
Description textuelle - Figure 39
Base de référence : n=507; tous les répondants [Suppression des réponses Ne sait pas/refuse de répondre : 4 %; n=19] /
G2. Pour demeurer à l’affût des tendances au sein de l’industrie et obtenir des renseignements commerciaux de nature générale, où cherchez-vous habituellement? (plusieurs réponses acceptées).
Pour en savoir davantage à propos d’un certain sujet, 59 % des répondants préfèrent lire des articles et 46 % obtiennent des réponses d’un expert. Environ un tiers ont exprimé une préférence pour les guides décrivant la marche à suivre (32 %) et des formations en personne (31 %), alors que 29 % préfèrent lire des livres blancs et 26 % aiment mieux visionner de courtes vidéos. En outre, 19 % assisteraient à des webinaires et 14 % liraient des blogues.
Figure 40 : Méthodes préférées pour obtenir de l’information
Description textuelle - Figure 40
Base de référence : n=507; tous les répondants [Suppression des réponses Ne sait pas/refuse de répondre : 1 %, n=4] /
G3. Comment préférez-vous obtenir de l’information lorsque vous désirez en savoir davantage à propos d’un certain sujet? (plusieurs réponses acceptées)
Les répondants qui préfèrent obtenir des réponses d’un expert ou assister à une formation en personne ou un webinaire étaient plus susceptibles de connaître le SDC. Les répondants représentant des entreprises qui prévoyaient commencer à exporter vers des pays avec lesquels le Canada a conclu un accord de libre-échange avaient plus tendance à préférer obtenir des réponses d’un expert.
Environ un tiers des répondants préfèrent obtenir de l’information résumée sous forme de sommaire (36 %) ou tout lire (33 %), alors que 17 % aiment mieux les graphiques, les tableaux ou l’infographie et 15 % parcourent rapidement l’information pour en comprendre les principaux points.
Figure 41 : Méthodes préférées pour lire de l’information
Description textuelle - Figure 41
Base de référence : n=507; tous les répondants / G4. Lequel des énoncés suivants décrit le mieux vos préférences pour lire l’information?
Les répondants qui préfèrent tout lire étaient plus susceptibles de représenter des micro-entreprises et des entreprises œuvrant dans le secteur de l’information et des industries culturelles (comparativement à celles du secteur de la fabrication).
Comme le graphique ci-dessous le montre, la vaste majorité des répondants feraient électroniquement toutes ces tâches ou activités.
Figure 42 : Appareil préféré pour diverses activités
Description textuelle - Figure 42
Base de référence : n= 381-505; tous les répondants [Suppression des réponses Je ne fais pas cette activité : <0,5 % à 40 %, n=2 à 144] / G5. Sur quel appareil faites-vous chacune des activités suivantes? Vous pouvez choisir plus d’un appareil pour chaque activité. (plusieurs réponses acceptées).
On a demandé aux répondants d’indiquer laquelle des descriptions suivantes décrit le mieux leur façon d’en savoir davantage à propos d’un certain sujet :
Figure 43 : Méthode utilisée pour effectuer des recherches sur un nouveau sujet
Description textuelle - Figure 43
Base de référence : n=507; tous les répondants / G6. Veuillez choisir l’option qui décrit le mieux comment vous vous y prendriez pour effectuer des recherches sur un nouveau sujet.
Afin d’en savoir davantage à propos d’un nouveau sujet, 83 % des répondants commenceraient par effectuer des recherches en ligne, puis prendraient une décision concernant les prochaines étapes en fonction de ce qu’ils ont appris. Un nombre relativement restreint de répondants appelleraient quelqu’un pour les aider à déterminer les sites à consulter en ligne (12 %), se pencheraient d’abord seulement les renseignements dans leur boîte de courriels (3 %) et demanderaient à quelqu’un d’effectuer des recherches sur le sujet et de leur présenter leurs résultats (2 %).
La présente section fournit des renseignements généraux sur les participants et les activités commerciales de leur entreprise au niveau international.
Les participants de l’étude occupent divers postes au sein de leur entreprise respective. Parmi les titres détenus par les participants, notons les suivants : propriétaire, président, président et chef de la direction, dirigeant principal des finances, dirigeant principal des opérations, comptable en chef, directeur des opérations, concepteur principal, directeur général, gestionnaire des achats et des expéditions, gestionnaire des ventes, gestionnaire de l’approvisionnement et directeur des ventes.
Les types d’activités exercées par les entreprises au niveau international comprennent ce qui suit :
Les participants ont identifié de nombreux pays et/ou régions où leurs entreprises exercent actuellement des activités liées au commerce international, mais les États-Unis (É.-U.) suivis de l’Europe/l’Union européenne ont été les plus souvent mentionnés. Outre les É.-U. et l’Europe, plusieurs pays/régions en particulier ont été mentionnés par les participants.
Figure 44 : Pays ou régions où les entreprises exercent des activités
Description textuelle - Figure 44
La plupart des participants dont l’entreprise exerce des activités dans plus d’un pays ou d’une région ont indiqué que les activités étaient semblables ou les mêmes dans les divers pays ou régions. Lorsqu’il y avait des différences, elles avaient tendance à être liées aux approches et aux stratégies plutôt qu’aux types d’activité. Par exemple, certaines entreprises ont recours à différentes approches ou stratégies pour commercialiser leurs produits dans diverses régions, selon divers facteurs (p. ex., la nature du marché cible, les facteurs culturels, les conseils des représentants des ventes, la présence de distributeurs et d’experts-conseils sur place, leur niveau de connaissance du pays ou du marché).
Quelques participants ont mentionné qu’ils utilisaient une approche différente pour le marché de la Chine en raison des différences culturelles entre la Chine et l’Ouest, ainsi que de la taille et de la diversité du marché (il y a des différences d’une région à l’autre).
Certains ont dit que leur approche ou stratégie avait tendance à être ponctuelle ou circonstancielle (p. ex., elle dépendait de l’identité de leurs partenaires, de leurs collaborateurs ou intermédiaires et des clients dans divers pays). Autrement dit, on adapte l’approche selon les circonstances particulières, notamment les besoins, les exigences et les préférences des clients et des partenaires. En revanche, les auteurs ou romanciers qui vendent leurs produits et en font la promotion en ligne (p. ex., par l’entremise d’Amazon), ainsi que certains fournisseurs de services, ont indiqué que leurs activités ont tendance à être homogènes, peu importe le marché visé.
Il n’est pas surprenant de constater qu’il n’y avait pas de constance ou d’uniformité relativement au nombre d’années d’expérience des entreprises en matière de commerce international. Certaines venaient de s’y initier, alors que d’autres ont une quarantaine d’années d’expérience. Cela dit, la plupart des participants ont indiqué que leur entreprise faisait des affaires au niveau international depuis au moins cinq ans.
Encore une fois, il n’est peut-être pas surprenant de constater des différences en ce qui concerne les débuts des entreprises sur la scène internationale. Cela dit, la plupart des répondants ont indiqué que leur entreprise s’était d’abord concentrée sur le marché national pour ensuite se tourner vers le marché international. Bien qu’il n’y ait pas de cheminement universel pour passer du marché national à l’international, certains facteurs « circonstanciels » (et des variantes) ont été expliqués à maintes reprises pour expliquer l’évolution. Les raisons comprenaient les suivantes :
Les participants qui ont indiqué que leur entreprise avait des visées internationales dès le départ ont invoqué les raisons suivantes : le fait que les marchés pour leurs produits se trouvent principalement à l’extérieur du Canada (p. ex., système important de transport en commun, chevaux et produits liés aux chevaux), la capacité ou la possibilité de profiter de grandes entreprises internationales ou de multinationales (parfois en raison des accords de libre-échange), le besoin d’obtenir de plus grandes possibilités de marchés pour compenser les coûts de production ou les frais généraux, la possibilité de faire davantage d’argent ou de réaliser des profits plus importants (à l’extérieur du Canada), et l’expérience et les contacts personnels.
La raison la plus fréquemment invoquée par les participants pour faire des affaires au niveau international concerne l’augmentation ou le maintien des ventes ou des profits. Les participants ont à maintes reprises cerné d’autres raisons, mais elles étaient généralement liées à l’augmentation ou au maintien des ventes ou des profits. Par exemple, les participants ont parfois parlé des raisons suivantes : de mauvaises conditions économiques au Canada (p. ex., ne pas ou ne plus être capable de réaliser des profits au niveau national seulement), être pressenti par un client étranger (p. ex., une occasion d’augmenter les profits ou d’accéder à un nouveau marché) et prendre de l’expansion dans de nouveaux marchés (c.-à-d. le rendement ou le retour sur investissement est meilleur dans des marchés recelant plus de clients et de réseaux de distribution).
Dans certains cas, les participants ont fait remarquer qu’ils offraient un produit ou un service de créneau, conçu pour des marchés particuliers (p. ex., des produits ou des services conçus pour les zones de tremblements de terre ou de catastrophes naturelles, une race de chevaux en demande seulement aux É.-U., des produits pour les systèmes de transport en commun dans de grandes villes). Cependant, même dans ces cas, la rentabilité était un facteur. Les éditeurs et les romanciers ont également indiqué que le médium avec lequel il travaille (l’édition en ligne) est, de par sa nature, international.
Étant donné que le profit est un facteur qui motive les entreprises à rechercher des occasions d’affaires internationales, il n’est pas surprenant que les raisons invoquées par les participants pour faire des affaires au niveau international n’aient pas beaucoup changé au fil du temps. Ce qui est différent, c’est ce qu’ils ont appris ou confirmé à la suite de leur expérience; par exemple, ils ont développé une meilleure compréhension des marchés internationaux au fil du temps, les conditions économiques mondiales ont favorisé leur croissance d’une manière qui n’était pas possible sur le marché canadien, et les entreprises ont adapté leur approche de marketing en raison de leur entrée sur le marché international (c.-à-d. le recours au numérique plutôt que la presse écrite).
Bien que des occasions d’affaires internationales aient pu se présenter au départ de façon ponctuelle, et en raison des circonstances, les participants ont le plus souvent indiqué que l’approche de leur entreprise à l’égard de ses activités commerciales internationales s’inscrivait dans le cadre d’un plan ou d’une stratégie. Les représentants de petites entreprises et/ou d’entreprises qui se sont récemment lancées dans le commerce international ont parfois décrit leur approche (ou une partie de leur approche) comme ad hoc (c.-à-d. lorsque l’occasion se présente) parce que leur situation est encore précaire (p. ex., ils commencent à peine, ils passent toujours d’un contrat à l’autre, ils ont un nouveau distributeur et sont encore en train de confirmer les détails, ils ne veulent pas se développer trop rapidement de peur de ne pouvoir répondre à la demande).
Les fournisseurs de services étaient plus susceptibles de décrire leur approche des affaires internationales comme ad hoc ou circonstancielle (c.-à-d. profiter de contrats ou saisir des occasions lorsqu’ils se présentent). Selon la description de quelques participants, il est parfois question à la fois d’une stratégie d’entreprise et d’une approche ad hoc (c.-à-d. qu’ils s’attachent activement à dénicher ou à favoriser des possibilités, mais si quelqu’un leur propose une occasion, ils peuvent à l’occasion l’accepter).
La présente section fait état des commentaires relatifs aux défis auxquels sont confrontées les entreprises canadiennes qui exercent des activités en matière de commerce international.
Les participants ont identifié collectivement un certain nombre de défis ou d’obstacles auxquels leurs entreprises sont confrontées dans leurs activités actuelles sur les marchés internationaux. Ils comprennent ce qui suit, et ceux marqués d’un astérisque ont été mentionnés le plus souvent.
Bon nombre d’autres défis ou obstacles ont été identifiés moins fréquemment, ou par au plus quelques participants. Il s’agissait notamment des éléments suivants :
Bon nombre des enjeux ou des défis les plus importants qui affectent la capacité des entreprises participantes à se diversifier et à accéder à de nouveaux marchés sont semblables aux défis qui nuisent à leurs activités actuelles sur les marchés internationaux. Cependant, ces défis ont tendance à être exacerbés ou accentués lorsque les entreprises accèdent à un nouveau marché ou songent à y accéder. Plus précisément, les défis mentionnés précédemment ont été le plus souvent décrits comme étant plus importants lorsqu’on accède à un nouveau marché :
Certains participants ont également fait mention d’un autre défi, associé à ceux mentionnés précédemment, soit le temps et les ressources disponibles pour s’attaquer à ces difficultés. Des participants ont précisé qu’ils n’étaient pas intéressés (ou pas intéressés pour le moment) à accéder à de nouveaux marchés ou à se diversifier.
Lorsqu’on a demandé aux participants quel type de soutien ou d’aide serait le plus utile à leur entreprise pour l’aider à relever les défis liés à ses activités commerciales internationales actuelles, les éléments suivants ont été mentionnés[7].
Plusieurs participants ont dit que leur entreprise n’a pas besoin du soutien ou de l’aide du gouvernement du Canada parce que les défis auxquels elle est confrontée lui sont propres (p. ex., pour une entreprise qui crée des vêtements personnalisés, la recherche de tissus de qualité constitue un défi, mais ce n’est pas une difficulté qui peut être surmontée par un ordre de gouvernement).
La présente section fait état des commentaires concernant les accords de libre-échange du Canada.
Les participants savent que le Canada participe à divers accords internationaux de libre-échange et la plupart d’entre eux pouvaient en nommer un ou plusieurs par leur nom (ou par une variation du nom), l’acronyme ou l’orientation régionale ou régionale. Cela dit, les participants étaient plus susceptibles d’être au courant de la renégociation de l’Accord de libre-échange nord-américain (l’Accord Canada-États-Unis-Mexique ou ACEUM), suivi du PTPGP et de l’AECG. Bien que les participants étaient nombreux à savoir que le Canada a conclu des accords de libre-échange, la connaissance des modalités ou des détails des accords était limitée. Les fournisseurs de biens étaient beaucoup plus susceptibles d’identifier (ou d’essayer d’identifier) les détails concernant divers accords de libre-échange, tandis que les fournisseurs de services étaient plus susceptibles de commenter les accords de libre-échange en général. Des commentaires concernant des accords de libre-échange particuliers sont fournis ci-dessous.
Parmi les autres accords de libre-échange connus des participants, mais au sujet desquels aucun renseignement détaillé n’a été fourni, notons les suivants :
Les caractéristiques que les participants associent aux accords de libre-échange, ou les idées générales préconçues que les participants ont à leur sujet, comprenaient les éléments suivants, qui ont tous été identifiés à maintes reprises :
Les participants dont les entreprises sont impliquées dans le commerce de biens étaient beaucoup plus susceptibles que ceux qui fournissent des services d’identifier des avantages des accords de libre-échange. En effet, en ce qui concerne les avantages des accords de libre-échange, la plupart des fournisseurs de services ont dit que ces accords s’appliquent principalement ou exclusivement aux produits et non aux services. Parmi les personnes concernées par le commerce des biens, les avantages suivants ont été identifiés :
D’autres avantages moins fréquemment mentionnés comprennent les suivants :
Comme c’était le cas en ce qui concerne les avantages, les participants dont les entreprises sont axées sur des biens ou des produits étaient beaucoup plus susceptibles d’identifier des défis associés aux accords de libre-échange. Les défis se rapportaient généralement à l’une des catégories suivantes :
Pour reprendre les termes d’un participant, il est crucial de comprendre les exigences afin de pouvoir mettre tous les points sur les « i » et les barres sur les « t ». Autrement, si les règlements ne sont pas respectés, les transactions pourraient ne plus être valides.
Les types de défis suivants associés aux accords de libre-échange ont été mentionnés moins souvent :
La plupart des participants ont indiqué que leur entreprise utilise actuellement l’un des accords de libre-échange du Canada ou envisage d’y recourir. Cela dit, ils étaient presque tous des représentants d’entreprises dont les activités internationales sont axées sur des biens ou des produits plutôt que la vente de services. De plus, l’ALENA était, de loin, l’accord le plus fréquemment identifié à cet égard, suivi par le PTPGP et l’Accord de libre-échange Canada-Association européenne de libre-échange. Quelques participants ont dit qu’ils envisageaient utiliser l’ALE Canada-Chine, tandis qu’un participant a parlé de l’ALE Canada-Colombie et un autre, de l’ALE Canada-Pérou.
Lorsqu’on leur a demandé comment ils utilisent ou prévoient utiliser les accords en question, les participants ont généralement dit qu’ils utilisaient les accords pour expédier leurs produits au-delà des frontières, profitant des dispositions non tarifaires ou à faible tarif de l’accord en question. Certains ont dit qu’en vertu de l’accord, ils importaient également des produits ou des composants sources. Quelques participants ont ajouté qu’aux termes de l’ALENA, ils ont conclu des partenariats avec des entreprises américaines, investi aux États-Unis et établi des chaînes d’approvisionnement et des réseaux de distribution pour leurs produits (p. ex., des entrepôts).
Un certain nombre de participants ont déclaré que leur entreprise n’avait pas (ou pas encore) fait face à des défis liés aux ALE auxquels elle a recours. Les participants qui ont relevé des défis liés à des ALE utilisés par leur entreprise avaient tendance à les qualifier de mineurs ou modérés. Dans certains cas, les défis étaient de nature générale (c.-à-d. qu’ils ne s’appliquaient pas nécessairement à un accord commercial particulier). Par exemple, certains participants ont dit qu’il n’était pas facile de se familiariser avec les dispositions des accords commerciaux qu’ils utilisent (p. ex., les règles d’origine). Dans le cas du nouvel accord de l’ALENA, ou de l’accord révisé, certains participants ont dit qu’il était difficile de comprendre ce qui est nouveau ou différent dans le nouvel accord de l’ALENA. Quelques participants dont les entreprises ont recours à plus d’un accord ont dit qu’un défi auquel ils sont confrontés est de comprendre les similitudes et les différences entre les différents accords.
Les défis associés à certains accords de libre-échange comprennent les suivants :
Les participants qui anticipent des défis liés à des ALE que leur entreprise envisage utiliser (ou songe à utiliser) parlaient principalement de la difficulté de se familiariser avec les dispositions des accords commerciaux. Parmi les défis plus précis, mentionnons les suivants :
La plupart des participants ont indiqué que leur entreprise n’avait pas demandé d’aide pour composer avec ces défis. Pour bon nombre d’entre eux, les ressources internes ont été suffisantes jusqu’à présent. Cela dit, un certain nombre de participants ont déclaré que leur entreprise avait demandé de l’aide. Ils ont le plus souvent parlé des réseaux existants et des liens d’affaires. Certains ont identifié des associations commerciales et de l’industrie, alors que d’autres ont fait mention de ressources gouvernementales canadiennes, notamment Exportations et Développement Canada, la Banque de développement du Canada, Affaires mondiales Canada et des ambassades, consulats et hauts-commissariats canadiens dans différents pays.
On a demandé précisément ce que le gouvernement du Canada/Affaires mondiales Canada ou le Service des délégués commerciaux pouvaient faire pour aider les entreprises à surmonter les défis liés aux accords de commerce international. Les éléments suivants ont été mentionnés :
Les participants qui ont dit que leur entreprise n’utilise pas ou ne songe pas à utiliser l’un ou l’autre des accords de libre-échange conclus par le Canada ont fourni diverses raisons, dont les suivantes :
La présente section fait état des besoins et des préférences des participants en matière d’information pour qu’ils puissent poursuivre leurs activités commerciales sur la scène internationale.
Lorsqu’on a demandé aux participants quels étaient les principaux besoins d’information de leur entreprise pour qu’elle poursuive ses activités commerciales internationales, il n’est peut-être pas surprenant qu’ils parlent à maintes reprises des questions soulevées plus tôt concernant les défis ou les obstacles auxquels leur entreprise fait face actuellement sur les marchés internationaux. Les types précis d’information identifiés sont énumérés ci-dessous et classés par thème pour faciliter l’examen[8].
De plus, certains participants représentant les petites entreprises ont dit qu’ils avaient besoin d’information sur l’aide financière disponible (p. ex., le capital de démarrage). D’autres types d’information nécessaires comprenaient des renseignements généraux sur les activités commerciales en Chine et les différences entre le nouvel ALENA et l’ancien.
Un certain nombre de participants, en particulier les fournisseurs de services, ont déclaré qu’ils étaient confrontés à peu ou pas de contraintes ou de problèmes pour obtenir l’information dont ils ont besoin pour soutenir leurs activités commerciales internationales. En revanche, un certain nombre de participants, principalement des représentants de petites entreprises et des propriétaires uniques, ont identifié de telles contraintes. Il s’agissait notamment des éléments suivants :
De façon générale, les participants ont indiqué qu’ils avaient tendance à utiliser différentes sources d’information pour leurs activités commerciales internationales. Il s’agissait le plus souvent de sources différentes pour divers types d’information (p. ex., fiscalistes/comptables pour les questions financières, banques/institutions financières en ce qui concerne les marges de crédit, sources gouvernementales pour les règles et les règlements). De plus, certains ont recours à des sources différentes pour le même type d’information afin de comparer l’information de la source à une autre. Certains représentants de grandes entreprises utilisent des sources différentes parce qu’ils ont accès à un large éventail de sources par l’entremise de leurs réseaux et de leurs liens (p. ex., courtiers en douane, expéditeurs et distributeurs).
Les participants qui utilisent ou ont tendance à utiliser les mêmes sources ou des sources similaires ont fourni des raisons différentes. Par exemple, quelques représentants de petites entreprises ont dit qu’ils se fiaient à Internet, une source unique qui leur donne accès à un large éventail d’informations et de ressources. Certains représentants s’appuient sur des « sources internes » parce qu’elles sont suffisantes pour répondre à tous leurs besoins en matière d’information (c.-à-d. qu’ils sont autonomes pour répondre la plupart de leurs besoins commerciaux). Enfin, quelques-uns ont dit qu’ils utilisent les mêmes sources ou des sources similaires parce que leurs besoins d’information sont plutôt limités et/ou adéquatement desservis par une seule source d’information (p. ex., ils ont une source éprouvée et fiable d’information).
Il n’est peut-être pas surprenant que les descriptions que font les participants de leur propre niveau d’expertise pour trouver de l’information et des ressources afin d’aider leur entreprise dans ses activités commerciales internationales varient. Certains jugeaient qu’ils avaient une grande ou une très bonne expertise, alors que d’autres estimaient qu’ils avaient une expertise de base ou suffisante ou une expertise limitée ou médiocre.
En ce qui concerne les caractéristiques d’une bonne ressource pour obtenir de l’information ou d’une ressource utile, les participants ont généralement identifié des éléments semblables pour ce qui est de la forme (c.-à-d. conception/mise en page, format) et du contenu. Ces caractéristiques sont énumérées ci-dessous sous chacune de ces deux rubriques (c.-à-d. forme et contenu).
Lorsqu’il s’agit de la présentation de l’information, les caractéristiques suivantes ont été identifiées à maintes reprises comme étant utiles par les participants :
Quelques participants ont dit que la conception, la mise en page et le format des ressources d’information ne sont pas particulièrement importants pour eux. Ce qui importe, c’est le contenu.
En ce qui concerne le contenu de l’information, les caractéristiques suivantes ont été jugées utiles par bon nombre de participants :
Les participants n’avaient pas tendance à exprimer des préférences fortes ou exclusives par rapport aux moyens privilégiés pour consommer de l’information lorsqu’ils désirent en savoir davantage sur un nouveau sujet. Au contraire, ils préfèrent généralement disposer de plusieurs options, car diverses méthodes comportent des avantages et des inconvénients particuliers. Autrement dit, les perceptions concernant diverses méthodes avaient tendance à être mitigées. Les avantages et les inconvénients perçus des diverses façons sont présentés ci-dessous.
Une recherche comportant un volet qualitatif et quantitatif a été menée auprès de la population cible : les PME canadiennes qui exportent. Elle comprenait un sondage en ligne et des entrevues téléphoniques individuelles approfondies.
Les caractéristiques suivantes s’appliquaient au sondage en ligne :
Échantillon total utilisé | 23 860 |
---|---|
Non complété (NC) | 17 243 |
Unités visées par le champ de l’enquête – Pas de réponse (V) | 860 |
Aucune réponse | 797 |
Sondages partiellement complétés | 63 |
Unités répondantes (R) | 5 757 |
Sondage complété | 507 |
Disqualifiées : Rejetées - R1 | 4 687 |
Disqualifiées : Rejetées - R2 | 126 |
Disqualifiées : Rejetées - R4 | 108 |
Disqualifiées : Rejetées - R5 | 58 |
Disqualifiées : Rejetées - R7 | 271 |
Taux de réponse = R/(NC+V+R) | 24 % |
En ce qui concerne l’industrie ou le secteur, les options de réponse dans le questionnaire du sondage ont été regroupées comme suit pour l’analyse et la production du rapport :
Options de réponse du sondage | Regroupement aux fins de l’analyse |
---|---|
Aéronautique | Fabrication |
Agriculture et agroalimentaire | Agriculture, forêts et pêches |
Arts et industries culturelles | Information et industries culturelles |
Automobiles | Fabrication |
Produits chimiques et plastiques | Fabrication |
Technologies propres | Énergie |
Produits de consommation | Commerce au détail |
Défense et sécurité | Fabrication |
Éducation | Services professionnels, scientifiques et techniques |
Services financiers et assurances | Services professionnels, scientifiques et techniques |
Forêts et produits du bois | Agriculture, forêts et pêches |
Machinerie industrielle | Fabrication |
Technologies de l’information et des communications | Information et industries culturelles |
Infrastructure/produits et services de construction | Transports et entreposage |
Sciences de la vie | Services professionnels, scientifiques et techniques |
Exploitation minière | Exploitation minière, pétrole et extraction de gaz |
Technologies océaniques | Énergie |
Pétrole et gaz | Exploitation minière, pétrole et extraction de gaz |
Services professionnels | Services professionnels, scientifiques et techniques |
Tourisme | Hébergement et services alimentaires |
Transports | Transports et entreposage |
Gouvernement | Autre |
Les caractéristiques suivantes s’appliquaient aux entrevues approfondies :
On compte plusieurs participants par région :
Région | Nombre d’entrevues |
---|---|
Ouest | 17 |
Ontario | 13 |
Québec | 9 |
Atlantique | 1 |
Total | 24 |
Toutes les étapes du projet étaient conformes aux Normes pour la recherche sur l’opinion publique effectuée par le gouvernement du Canada.
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[SUIVANT]
Page d’introduction au sondage
Nous vous remercions d’avoir accepté de répondre à ce bref sondage réalisé pour le compte du gouvernement du Canada par Phoenix Strategic Perspectives Inc. Cliquez ici si vous désirez vérifier l’authenticité de cette étude. Le sondage ne devrait pas prendre plus de 15 minutes de votre temps. La participation est volontaire et vos réponses seront confidentielles. Nous vous assurons que toutes les opinions demeureront anonymes; elles ne vous seront attribuées personnellement d’aucune façon. Pour consulter notre politique de confidentialité, veuillez cliquer ici.
Cliquez sur « Suivant » pour commencer à répondre au sondage.
[SUIVANT]
NOTES DE PROGRAMMATION :
Cliquez ici si vous désirez vérifier l’authenticité de cette étude. Une nouvelle fenêtre s’ouvrira si le répondant clique là-dessus. Le texte se lira comme suit :
Si vous avez des questions au sujet du sondage, veuillez communiquer avec Emma Blackburn de Phoenix Strategic Perspectives Inc., au 613-260-1700, poste 221 (eblackburn@phoenixspi.ca).
Pour consulter notre politique de confidentialité, veuillez cliquer ici. Une nouvelle fenêtre s’ouvrira si le répondant clique là-dessus. Le texte se lira comme suit :
Phoenix Strategic Perspectives Inc. appuie et respecte rigoureusement les normes et les lignes directrices de l’industrie en ce qui a trait à l’Internet et à d’autres types de recherche.
Le 1er janvier 2004, le gouvernement canadien a adopté la Loi sur la protection des renseignements personnels et les documents électroniques (LPRPDE), qui protège la vie privée et les droits de la population tout en reconnaissant et en soutenant les pratiques légitimes dans le domaine des études de marché. Phoenix assure une surveillance constante de ses pratiques en matière de sécurité et de gestion de données afin de se conformer pleinement aux exigences de la Loi. Vous pouvez obtenir de plus amples renseignements au sujet de la LPRPDE à l’adresse http://laws.justice.gc.ca/en/P-8.6/index.html. Vos renseignements personnels (nom, adresse électronique, etc.) ne seront jamais communiqués à un tiers sans votre consentement explicite. De plus, vos réponses seront combinées à celles d’autres répondants et compilées sous forme regroupée. Vos réponses aux questions du sondage demeureront entièrement confidentielles.
LES RÉPONDANTS NE DEVRAIENT PAS VOIR LES TITRES DES SECTIONS À L’ÉCRAN.
LES RÉPONDANTS NE DEVRAIENT PAS VOIR LES NUMÉROS DES QUESTIONS À L’ÉCRAN.
TOUTES LES QUESTIONS SONT OBLIGATOIRES.
À MOINS D’INDICATION CONTRAIRE, NE PERMETTRE QU’UNE SEULE RÉPONSE.
Questionnaire de sélection
S1. Votre entreprise exerce-t-elle actuellement l’une ou l’autre des activités suivantes? [SONDAGE DU SDC]
Sélectionnez toutes les réponses qui s’appliquent
[REMERCIER/METTRE FIN SEULEMENT SI : « F : Chercher des sources internationales pour financer des projets ou du capital de risque »; « G : Chercher des occasions de recherche et développement et/ou de partenariats en matière de technologie »; ou « H : Importer »]
MESSAGE DE CLÔTURE :
Merci pour votre intérêt à participer au sondage. Malheureusement, vous ne correspondez pas aux critères d’admissibilité de l’étude.
S2. Combien d’employés travaillent pour votre entreprise? Veuillez inclure les employés à temps partiel comme des équivalents temps plein.
S3. Quel titre décrit le mieux votre poste au sein de l’entreprise?
S4. Dans quelle mesure êtes-vous au courant des activités de votre entreprise dans le domaine du commerce international?
S5. Le siège social de votre entreprise est-il situé au Canada?
S6. Dans quelle province ou quel territoire le siège social de votre entreprise est-il situé?
S7. Votre entreprise est-elle actuellement un client du Service des délégués commerciaux, ou SDC? Remarque : Vous êtes un client du Service des délégués commerciaux si vous (ou votre entreprise) avez reçu un service ou des services au cours des deux dernières années et que l’on vous a demandé de répondre à un sondage de suivi sur votre satisfaction concernant ces services. Les clients reçoivent généralement un sondage sur la satisfaction trois mois après avoir obtenu un service du SDC.
Section A : Profil de l’entreprise
A1. Dans quelle industrie ou quel secteur votre entreprise exerce-t-elle des activités? Si votre entreprise est active dans plus d’un secteur, veuillez indiquer le secteur principal.
A2.Pour votre dernier exercice financier, à combien s’élevait le total des revenus de votre entreprise?
A3. Depuis combien d’années votre entreprise exporte-t-elle des biens ou des services à l’échelle internationale?
Section B : Profil d’exportateur
Nous aimerions en savoir un peu plus au sujet de vos activités et de votre stratégie en matière de commerce international.
B1. Votre organisation exporte-t-elle des biens et des services… [SONDAGE DU SDC]
B2. Vers quels marchés votre entreprise exporte-t-elle actuellement?
Sélectionnez toutes les réponses qui s’appliquent
B3.À quels marchés d’exportations, s’il y a lieu, songe ou s’intéresse actuellement votre entreprise?
Sélectionnez toutes les réponses qui s’appliquent
Section C : Obstacles et défis liés aux exportations
C1. Dans quelle mesure, s’il y a lieu, votre entreprise a-t-elle besoin d’aide dans les secteurs suivants lorsqu’elle se prépare à faire des affaires dans des marchés à l’extérieur du Canada? [SONDAGE DE SDC - MODIFIÉ]
[GRILLE; ALTERNER L’ORDRE DES CHOIX DE RÉPONSE]
[RANGÉES]
[COLONNES]
Aucune aide
Très peu d’aide
Un peu d’aide
Beaucoup d’aide
Je ne sais pas/je ne suis pas certain(e)
C2. Dans quelle mesure, s’il y a lieu, chacun des enjeux suivants constitue-t-il un obstacle aux activités de votre entreprise dans des marchés internationaux? [SONDAGE DE SDC - MODIFIÉ]
[GRILLE; ALTERNER L’ORDRE DES CHOIX DE RÉPONSE]
[RANGÉES]
[COLONNES]
Pas du tout un obstacle
Un obstacle mineur
Un obstacle modéré
Un obstacle majeur
Je ne sais pas/ne s’applique pas
Section D – Connaissance des accords de libre-échange
Les accords de libre-échange sont négociés pour réduire les obstacles commerciaux, comme les contingents d’importation et les droits de douane, et pour accroître les échanges commerciaux de biens et de services entre les pays participants.
D1. Dans quelle mesure connaissez-vous les accords de libre-échange suivants?
[GRILLE; ALTERNER L’ORDRE DES CHOIX DE RÉPONSE]
[RANGÉES]
[COLONNES]
[SI D1=JAMAIS ENTENDU PARLER TOUT ALE, PASSER AU PRÉAMBULE DE D3]
D2. Votre entreprise utilise-t-elle actuellement ou planifie-t-elle utiliser au cours de la prochaine année l’un ou l’autre des accords de libre-échange suivants? Rappelez-vous qu’il y a plusieurs façons d’utiliser un accord de libre-échange. Par exemple, en tant qu’entreprise, vous pourriez utiliser un accord de libre-échange si votre entreprise :
[RANGÉES=LES ALE DONT LE RÉPONDANT EST AU COURANT SELON E2 À L’EXCLUSION DU PTPGP]
[COLONNES]
L’utilise actuellement
Planifie l’utiliser
Je ne sais pas/je ne suis pas certain(e)
NOTE DE PROGRAMMATION :
SI LE RÉPONDANT NE CONNAÎT QU’UN ALE, NE PAS UTILISER UNE GRILLE. UTILISER LE FORMAT SUIVANT :
Votre entreprise utilise-t-elle actuellement ou planifie-t-elle utiliser au cours de la prochaine année [INSÉRER L’ALE]?
[TEXTE À LIRE POUR LES PARTICIPANTS :]
L’Accord de partenariat transpacifique global et progressiste (PTPGP) est un accord de libre-échange conclu entre le Canada et 10 autres pays de la région Asie-Pacifique : Australie, Brunéi, Chili, Japon, Malaisie, Mexique, Nouvelle-Zélande, Pérou, Singapour et Vietnam. Une fois que l’accord sera pleinement mis en œuvre, 99 % de toutes les lignes tarifaires seront exemptées de droits. Le PTPGP offre également aux exportateurs un meilleur accès aux marchés publics dans les marchés visés par le PTPGP en plus de fournir une plus grande certitude et stabilité aux investisseurs et aux entreprises dans les secteurs des services et d’accroître la mobilité de la main-d’œuvre.
Le 30 décembre 2018, le PTPGP est entré en vigueur dans les six premiers pays qui l’ont ratifié, soit le Canada, l’Australie, le Japon, le Mexique, la Nouvelle-Zélande et Singapour. Le 14 janvier 2019, le PTPGP est entré en vigueur au Vietnam. Le Pérou, le Chili, la Malaisie, et le Brunéi n’ont pas encore ratifié l’accord.
D3. Dans quelle mesure est-il probable que votre entreprise commence à faire des échanges commerciaux avec les pays du PTPGP en raison de cet accord de libre-échange?
[POSER D4 SI D3=NOUS FAISONS DÉJÀ DES ÉCHANGES COMMERCIAUX AVEC LES PAYS DU PTPGP]
D4. Dans quelle mesure est-il probable que votre entreprise continue à faire des échanges commerciaux avec les pays du PTPGP en raison de cet accord de libre-échange?
[POSER D5 SI D3=NOUS FAISONS DÉJÀ DES ÉCHANGES COMMERCIAUX AVEC LES PAYS DU PTPGP]
D5. Au cours des trois prochaines années, vous attendez-vous à ce que le volume d’exportations de votre entreprise vers la région Asie-Pacifique…?
[POSER SI L’ENTREPRISE IMPORTE SELON S1]
D6. Au cours des trois prochaines années, vous attendez-vous à ce que le volume d’importations de votre entreprise en provenance de la région Asie-Pacifique…?
[DEMANDER À TOUS]
D7. Quel(s) autre(s) accord(s) de libre-échange, s’il y a lieu, votre entreprise utilise-t-elle actuellement ou planifie-t-elle utiliser au cours de la prochaine année?
[GRILLE]
[RANGÉES]
[COLONNES]
L’utilise actuellement
Planifie l’utiliser
Ne planifie pas l’utiliser
Je ne sais pas/je ne suis pas certain(e)
D8. Avez-vous entendu quoi que ce soit au sujet de négociations ou de discussions portant sur les accords de libre échange suivants:
[GRILLE]
[RANGÉES]
[COLONNES]
Section E – Utilisation et répercussions des ALE
[POSER EI L’ENTREPRISE N’UTILISE PAS DES ALE SUR LA BASE DE D2, D3, D7]
E1. Pourquoi votre entreprise n’utilise-t-elle pas des accords de libre-échange pour exporter des biens ou des services?
Sélectionnez toutes les réponses qui s’appliquent
[ALTERNER L’ORDRE DES CHOIX DE RÉPONSE]
[NON-UTILISATEURS D’ALE, PASSER À G1]
[DEMANDER E2 SI UTILISE DES ALE SUR LA BASE DE D2, D3, D7]
E2. En pensant aux accords de libre-échange que votre entreprise utilise actuellement, votre entreprise a-t-elle profité de l’un ou l’autre des éléments suivants?
Sélectionnez toutes les réponses qui s’appliquent
[ALTERNER L’ORDRE DES CHOIX DE RÉPONSE]
[DEMANDER SI E2=RÉDUCTION/ÉLIMINATION DES DROITS DE DOUANE SUR LES BIENS]
E3. Est-ce que votre entreprise, le fabricant ou l’importateur de vos biens réclame une réduction des droits de douane en vertu d’un accord de libre-échange?
[GRILLE]
[RANGÉES]
[COLONNES]
[DEMANDER SI E3=NON]
E4. Il y a plusieurs raisons pour lesquelles une entreprise pourrait ne pas réclamer une réduction des droits de douane en vertu d’un accord de libre-échange. Quel impact, s’il y a lieu, les facteurs suivants ont-ils sur la décision de votre entreprise de ne pas réclamer une réduction des droits de douane pour vos biens?
[GRILLE; ALTERNER L’ORDRE DES CHOIX DE RÉPONSE]
[RANGÉES]
[COLONNES]
Pas d’impact du tout
Un faible impact
Un impact modéré
Un impact considérable
Je ne sais pas/je ne suis pas certain(e)
[DEMANDER SI E2= ACCÈS PLUS FACILE AUX POSSIBILITÉS RELATIVES AUX MARCHÉS PUBLICS]
E5. Dans quelle mesure êtes-vous d’accord ou en désaccord avec les énoncés suivants? En raison des accords de libre-échange …
[GRILLE; ALTERNER L’ORDRE DES CHOIX DE RÉPONSE]
[RANGÉES]
[COLONNES]
Fortement en désaccord
En désaccord
Ni d’accord ni en désaccord
D’accord
Fortement d’accord
Je ne sais pas/je ne suis pas certain(e)
[DEMANDER SI E2=CLAUSES LIÉES À LA MOBILITÉ DE LA MAIN-D’ŒUVRE/ADMISSION TEMPORAIRE]
E6. Dans quelle mesure êtes-vous d’accord ou en désaccord avec les énoncés suivants? En raison des accords de libre-échange…
[GRILLE; ALTERNER L’ORDRE DES CHOIX DE RÉPONSE]
[RANGÉES]
[COLONNES]
Fortement en désaccord
En désaccord
Ni d’accord ni en désaccord
D’accord
Fortement d’accord
Je ne sais pas/je ne suis pas certain(e)
[DEMANDER À TOUS CEUX QUI ONT UTILISÉ DES ALE]
E7. Dans quelle mesure êtes-vous d’accord ou en désaccord avec les énoncés suivants? En raison des accords de libre-échange …
[GRILLE; ALTERNER L’ORDRE DES CHOIX DE RÉPONSE]
[RANGÉES]
[COLONNES]
Fortement en désaccord
En désaccord
Ni d’accord ni en désaccord
D’accord
Fortement d’accord
Je ne sais pas/je ne suis pas certain(e)
E8. Dans quelle mesure, s’il y a lieu, les accords de libre-échange ont-ils une incidence sur la stratégie d’exportations de votre entreprise et vous encouragent à envisager d’autres marchés?
[NE PAS DEMANDER SI E8=PAS DU TOUT]
E9. Dans quelle mesure, s’il y a lieu, les accords de libre-échange ont-ils eu une incidence sur la décision de votre entreprise de…?
[GRILLE; ALTERNER L’ORDRE DES CHOIX DE RÉPONSE]
[RANGÉES]
[COLONNES]
Pas du tout
Un peu
Modérément
Beaucoup
Je ne sais pas/je ne suis pas certain(e)
Ne s’applique pas
[DEMANDER À TOUS CEUX QUI ONT UTILISÉ DES ALE]
E10. Quels sont les autres avantages, s’il y a lieu, dont votre entreprise a profité en raison de l’utilisation d’accords de libre-échange?
Sélectionnez toutes les réponses qui s’appliquent
[ALTERNER L’ORDRE DES CHOIX DE RÉPONSE]
Section F – Connaissance de SDC
F1. Savez-vous que le gouvernement du Canada met à la disposition des entreprises des renseignements et des ressources pour les aider à accroître leurs échanges commerciaux à l’étranger?
F2. Avez-vous déjà entendu parler du Service des délégués commerciaux, ou SDC?
F3. Qu’avez-vous entendu, le cas échéant, au sujet du Service des délégués commerciaux, ou SDC?
[OUVRIR LA BOÎTE DE TEXTE]
F4. Comment avez-vous entendu parler pour la première fois du Service des délégués commerciaux (ou SDC)? [SONDAGE DU SDC]
Section G – Enjeux connexes
G1. Où obtenez-vous des renseignements et des conseils sur les affaires à l’étranger (c.-à-d., exporter et/ou utiliser des accords de libre-échange)?
Sélectionnez toutes les réponses qui s’appliquent
G2. Pour demeurer à l’affût des tendances au sein de l’industrie et obtenir des renseignements commerciaux de nature générale, où cherchez-vous habituellement?
Sélectionnez toutes les réponses qui s’appliquent
G3. Comment préférez-vous obtenir de l’information lorsque vous désirez en savoir davantage à propos d’un certain sujet?
Sélectionnez toutes les réponses qui s’appliquent
G4. Lequel des énoncés suivants décrit le mieux vos préférences pour lire l’information?
G5. Sur quel appareil faites-vous chacune des activités suivantes? Vous pouvez choisir plus d’un appareil pour chaque activité.
[Grilles avec plusieurs mentions possibles]
[RANGÉES]
[COLONNES]
Ordinateur portable / de poche
Ordinateur
Tablette
Téléphone intelligent
Je ne ferais pas cette activité en ligne
Je ne fais pas cette activité
G6. Veuillez choisir l’option qui décrit le mieux comment vous vous y prendriez pour effectuer des recherches sur un nouveau sujet.
Ces dernières quelques questions au sujet de votre entreprise nous aiderons a classifier les données.
G7. Est-ce-que l’un ou l’autre des énoncé>s suivants s’applique à votre entreprise?
Sélectionnez toutes les réponses qui s’appliquent
G8. Votre entreprise exerce-t-elle des activités dans d’autres provinces ou territoires, hors d’où est situé son siège social?
G9. Dans quelles provinces ou quels territoires votre entreprise exerce-t-elle des activités?
G13. Accepteriez-vous de participer à une discussion de suivi sur ces mêmes enjeux pour approfondir certaines questions? Dans l’affirmative, un chercheur principal de Phoenix Strategic Perspectives pourrait communiquer avec vous au cours des prochaines semaines pour mener un entretien téléphonique de suivi. Les participants/participantes qui se qualifient et complètent l’entrevue téléphonique recevront $150 en guise de remerciement pour leur temps. Si vous êtes intéressé à participer, on vous demandera de fournir les coordonnés qui permettront à Phoenix Strategic Perspectives de vous rejoindre. Acceptez-vous de participer?
En remplissant les informations ci-dessous, vous consentez à la divulgation de ces informations à Phoenix Strategic Perspectives dans le but limité de participer à une interview téléphonique.
Nom:
Numéro de téléphone :
Courriel:
Je ne veux pas donner mes coordonnées
Page de clôture
Le sondage est maintenant terminé. Les résultats seront disponibles sur le site Web de Bibliothèque et Archives Canada au cours des prochains mois. Nous vous remercions d’avoir pris le temps de nous fournir vos commentaires. Nous l’apprécions énormément.
Premier contact : fixer une date et une heure pour l’entrevue
REMARQUE : Les participants potentiels seront recrutés au moyen du sondage en ligne. La liste des répondants au sondage qui acceptent de participer à une entrevue sera fournie et comprendra le nom des personnes, leur numéro de téléphone et leur adresse électronique. Phoenix SPI communiquera tout d’abord par courriel avec ces personnes; les autres contacts se feront par téléphone. Les personnes jointes pour participer à une entrevue auront l’option d’y prendre part dans la langue officielle de leur choix.
Entrevue
FONDÉ SUR LE SONDAGE :
I. Introduction
II. Contexte : profil de l’entreprise
J’aimerais commencer par poser quelques questions à votre sujet et au sujet des affaires de votre entreprise à l’échelle internationale.
Explorer au besoin :
- Exportations de biens seulement
- Exportations de services seulement
- Exportations d’une combinaison de biens et de services
- Conception de produits au Canada, mais fabrication ou vente dans des pays étrangers
- Investissements directs à l’étranger
- Approvisionnement et importation d’éléments faisant partie d’une chaîne d’approvisionnement/de valeur
Explorer : - Établir un lien entre les types d’activités (p. ex., investissements directs, exportations) et les régions
Explorer au besoin :
- Conditions économiques canadiennes (favorables ou défavorables)
- Conditions économiques mondiales (favorables ou défavorables)
- Pour augmenter les ventes/profits
- Pour assurer une croissance dans de nouveaux marchés ou des marchés existants
- Pour la diversification
- Marché canadien trop petit/saturé
- Contactée par un investisseur/acheteur étranger
- Excitation/attraits des marchés étrangers
- Liens avec d’autres pays (p. ex., pays d’origine, où vivent des membres de la famille)
- Produit de créneau/conçu pour des marchés particuliers
III. Défis liés aux activités commerciales à l’échelle internationale
J’aimerais maintenant aborder les défis que doivent relever les entreprises en ce qui concerne leurs activités commerciales à l’échelle internationale.
NOTE À L’INTERVIEWEUR : Si le participant demande ce qu’on entend par « diversification du commerce », expliquez que cela désigne l’accès à de nouveaux marchés ou les activités dans ces marchés, des marchés qui sont différents de ceux auxquels ont généralement accès les entreprises.
Explorer au besoin :
- Soutien financier/capital
- Assurance
- Renseignements stratégiques (explorer pour connaître le type; p. ex., nouveaux marchés/marchés en croissance, obstacles possibles)
- Débouchés commerciaux
- Aide pour la promotion de produits/services
- Conseils pour comprendre les règles, les politiques et les règlements internationaux
- Personnes-ressources à l’étranger pour contribuer à la mise en œuvre du plan commercial
IV. Accords internationaux de libre-échange
J’aimerais maintenant changer de sujet et parler des accords de libre-échange.
[ALTERNER LES QUESTIONS AU SUJET DES AVANTAGES/DÉFIS]
[CONTINUER SI LA PERSONNE CONNAÎT DES ALE; PASSER À LA SECTION V SI ELLE NE CONNAÎT PAS D’ALE]
INTERVIEWEUR – À TITRE DE RÉFÉRENCE, LES ALE DU CANADA EN VIGUEUR :
[POUR CHAQUE ALE UTILISÉ PAR L’ENTREPRISE, POSER LES QUESTIONS SUIVANTES]
[SI LE PARTIPANT PRÉVOIT UTILISER UN ALE]
[SI LE PARTICIPANT NE PRÉVOIT PAS UTILISER D’ALE]
V. SDC [POSER CES QUESTIONS SEULEMENT AUX PARTICIPANTS QUI NE CONNAISSENT PAS LE SDC]
VI. Besoins en matière d’information
Changeons de sujet encore une fois.
Explorer :
- Renseignements stratégiques/conseils pour aider à accéder à des marchés étrangers
- Débouchés commerciaux
- Renseignements au sujet des règles, des politiques et des règlements internationaux
- Personnes-ressources à l’étranger pour contribuer à la mise en œuvre du plan commercial
Explorer au besoin :
- Manque de temps
- Coûts
- Manque d’expertise/de personnel qualifié
- Ne sait pas où chercher
Explorer :
Explorer au besoin :
VI. Conclusion
Merci beaucoup d’avoir pris le temps de vous entretenir avec moi aujourd’hui. Vos commentaires seront très utiles.
[Disponibles sous pli séparé]
[1] Les réponses à cette question ont été regroupées pour les fins du rapport. Des renseignements détaillés à ce sujet figurent dans l’annexe 1 : Renseignements détaillés sur la méthodologie.
[2] Un petit nombre de répondants représentaient des entreprises comptant 500 employés ou plus. En raison des limites de l’échantillon, cela était nécessaire afin d’obtenir un échantillon de la taille visée. Pour ce qui est de la pondération, ces entreprises ont été regroupées à des entreprises de moyenne taille.
[3] La prudence est de mise lors de l’interprétation de ces résultats en raison de la taille des échantillons.
[4] La prudence est de mise lors de l’interprétation des résultats pour ce sous-groupe de répondants en raison de la petite taille de l’échantillon.
[5] La prudence est de mise lors de l’interprétation des résultats pour ce sous-groupe de répondants en raison de la petite taille de l’échantillon.
[6] Les répondants qui ont indiqué être des clients du SDC ne pouvaient pas répondre au sondage.
[7] Il est entendu que certaines de ces mesures et/ou activités peuvent avoir déjà été entreprises ou envisagées par AMC ou le gouvernement du Canada ou d’autres organismes et ministères connexes.
[8] Certains exemples fournis à titre d’information pourraient être inclus dans différentes catégories (p. ex., « informations stratégiques » et « possibilités d’affaires »).