Sondage auprès des employés du BSIF – édition 2016
Rapport final

No du contrat de TPSGC : EP363-090027/011/CY
No d’enregistrement de la ROP : POR 021-15
Date d’attribution du contrat : 07/07/2015

This report is also available in English.

Présenté au :

Bureau du surintendant des institutions financières
information@osfi-bsif.gc.ca
www.osfi-bsif.gc.ca

Les Associés de recherche EKOS
Le 31 mai 2016

LES ASSOCIÉS DE RECHERCHE EKOS
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Table des matieres

Sommaire

Le Bureau du surintendant des institutions financières (BSIF) Canada est l’autorité fédérale de réglementation et de surveillance de plus de 1 800 institutions financières, ce qui comprend les institutions de dépôts, les sociétés d’assurances et les régimes de retraite privés fédéraux. Tous les deux ans environ, le BSIF effectue un sondage auprès de ses employés, soit plus de 650 personnes réparties entre quatre villes du Canada. L’objet de la démarche est d’indiquer à la direction si les besoins des employés sont satisfaits, et de lui permettre de décider des mesures à prendre en priorité pour résoudre d’éventuels problèmes signalés par les employés. Le présent rapport présente les conclusions du sondage de 2016 et en compare les résultats à ceux du sondage de 2014.

Les employés du BSIF ont rempli eux-mêmes le questionnaire en ligne entre le 19 janvier et le 15 février 2016. Les questions portaient sur divers thèmes ayant trait à la satisfaction des employés. Les résultats ont été analysés dans l’ensemble, en comparaison de ceux des sondages précédents et par grandes catégories de l’organisation (secteurs/groupes et ville). Le taux de participation est de 91 %. Comme le sondage s’adressait à tous les employés (à la manière d’un recensement), aucune marge d’erreur n’intervient dans l’analyse des résultats.

Extrapolation des conclusions : Comme le sondage a été effectué à la façon d’un recensement et compte tenu du taux de réponse extrêmement élevé, les résultats sont considérés comme représentatifs de la population des employés du BSIF.

Cotes globales

Points forts

Points à améliorer

Le BSIF se servira des résultats de cette enquête pour cerner les points méritant d’être améliorés. Les dépenses au titre de ce projet de ROP totalisent 49 933,31 $, TVH comprise.

Nom du fournisseur : Associés de recherche EKOS
No du contrat de TPSGC : EP363-090027/011/CY
Date d’attribution du contrat : Le 7 juillet 2015
Pour de plus amples renseignements au sujet du présent sondage, prière de faire parvenir un courriel à l’adresse information@osfi-bsif.gc.ca.

Attestation de neutralité politique

La présente attestation doit accompagner le rapport final soumis à l’autorité de projet. En qualité de dirigeant des Associés de recherche EKOS, j’atteste que les livrables sont entièrement conformes aux exigences en matière de neutralité politique énoncées dans la Politique de communication du gouvernement du Canada et dans la Procédure de planification et d’attribution de marchés de services de recherche sur l’opinion publique. Plus précisément, les livrables ne contiennent pas de renseignements sur les intentions de vote, les préférences quant aux partis politiques, les positions des partis ou l’évaluation de la performance d’un parti politique ou de ses dirigeants.

Signé par : Susan Galley (vice‑présidente)

1. Introduction

Le Bureau du surintendant des institutions financières (BSIF) Canada est l’autorité fédérale de réglementation et de surveillance de plus de 1 800 institutions financières, ce qui comprend les institutions de dépôts, les sociétés d’assurances et les régimes de retraite privés fédéraux. Tous les deux ans environ, le BSIF effectue un sondage auprès de ses employés, soit plus de 650 personnes réparties entre quatre villes du Canada. L’objet de la démarche est d’indiquer à la direction si les besoins des employés sont satisfaits, et de lui permettre de décider des mesures à prendre en priorité pour résoudre d’éventuels problèmes signalés par les employés.

EKOS a travaillé avec le BSIF pour mettre au point le sondage de cette année. Le questionnaire s’inspire de celui de 2014; certaines questions ont été légèrement modifiées et quelques autres ont été ajoutés.

L’étude avait pour objet :

2. Méthodologie

Le sondage de 2016 s’inspire de celui de 2014; certaines questions ont été légèrement modifiées et quelques autres ont été ajoutés. Le projet de questionnaire a été testé au préalable en ligne auprès de 17 employés du BSIF (14 anglophones et 3 francophones).

Les employés ont pu participer au sondage entre le 19 janvier et le 15 février 2016. Suite à la première invitation par courriel envoyée par EKOS, ceux qui tardaient à répondre ont reçu jusqu’à trois rappels. Le BSIF a également fourni un soutien au chapitre des communications internes. Les communications précisaient aux employés que leurs renseignements personnels seraient protégés serait protégée pendant toute la durée de l’enquête.

Le questionnaire de 2016 contenait 73 questions fermées, 19 questions à développement et 10 questions à caractère démographique. Des 73 questions fermées, 65 pouvaient être comparées à celles de l’enquête précédente et 8 pouvaient l’être avec le Sondage auprès des fonctionnaires fédéraux.

2.1 Taux de participation

Au total, 599 employés ont rempli le questionnaire, ce qui représente un taux de participation de 91 %. Le taux de participation était sensiblement le même dans les différents secteurs/groupes de l’organisation. Parmi les répondants, 17 % ont choisi de ne pas préciser leur unité de travail ou leur secteur, ce qui a fait passer le taux de participation de divers groupes et secteurs. Comme le sondage s’adressait à tous les employés (à la manière d’un recensement), aucune marge d’erreur n’intervient dans l’analyse des résultats. Comme le sondage a été effectué à la façon d’un recensement et que le taux de participation est très élevé, les résultats sont considérés comme représentatifs de la population des employés du BSIF. Le risque de biais de non‑réponse est aussi très limité puisque 91 % des employés ont participé au sondage. Aucune des variables comparée à la population (lieu de travail, langue et niveau d’emploi) n’affiche une variation supérieure à 2 %.

2.2 Contrôle de la qualité

L’instrument d’enquête a été programmé sur un serveur sécurisé sur Internet. Les participants ont reçu un hyperlien texte avec un NIP unique imbriqué. Par conséquent, seuls les employés du BSIF ont eu accès au questionnaire, et ils ont pu y revenir pour continuer de le remplir ou pour modifier leurs réponses, ce qui les menait directement à la dernière question à laquelle ils avaient répondu. Une fois rempli, le questionnaire était verrouillé; il était donc impossible de le remplir plus d’une fois.

2.3 Interprétation des résultats

3. Principales conclusions

3.1 Données générales

Les résultats ont été analysés dans l’ensemble, en comparaison de ceux des sondages précédents et par grandes catégories de l’organisation. Ces segments comprenaient notamment 9 secteurs/groupes, la ville, les années de service au BSIF et la langue officielle choisie.

Le Secteur des services intégrés est celui des 9 secteurs/groupes affichant la plus forte proportion de répondants (26 %). Viennent ensuite le Secteur de la réglementation (20 %) et le Groupe de soutien de la surveillance (16 %). Le Bureau de l’actuaire en chef (5 %), le bureau de Vancouver (2 %), celui de Montréal (3 %) et le Bureau du surintendant (2 %) sont les segments où le taux de participation est le plus faible. Parmi tous les répondants, 7 % ont choisi de ne pas préciser leur secteur/groupe.

Au chapitre du lieu de travail, les participants sont essentiellement partagés entre Ottawa (44 %) et Toronto (45 %); 3 % des répondants travaillent à Montréal et 2 % travaillent à Vancouver. Ici encore, 7 % des répondants ont choisi de ne pas préciser leur lieu de travail.

Les employés comptant entre 2 et 15 années de service au BSIF forment la majorité des répondants (68 %). Les employés comptant moins de 2 ans de service au BSIF comptent pour 11 % des répondants, contre 12 % pour ceux de plus de 15 années de service au BSIF.

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Description du tableau ci‑dessus : Distribution de l’échantillon selon les principaux segments de l’organisation

3.2 Commentaires

L’instrument d’enquête de 2016 offrait aux employés 19 occasions de formuler des commentaires pour étoffer ou expliquer leurs réponses dans chacun des principaux domaines d’enquête. C’est ainsi que les répondants ont formulé 1 212 commentaires.

Il est à noter que, de façon générale, le nombre de commentaires négatifs au sujet de diverses questions est nettement plus élevé que le nombre de commentaires positifs, ce qui n’a rien d’étonnant, puisque les gens ont tendance, en règle générale, à vouloir s’exprimer sur des sujets dont ils ont une opinion négative. Certaines questions, en particulier, sondent uniquement les répondants ayant indiqué un certain type de réponse à une question précédente (p. ex., quelque peu ou tout à fait en désaccord).

3.3 Résultats globaux

Sur les 65 questions fermées du sondage qui sont directement comparables aux résultats de 2014, la cote moyenne est de 4,05, soit essentiellement la même qu’en 2014 (4,04).

Selon la même moyenne des 65 éléments comparables d’un sondage à l’autre, la cote obtenue par le personnel du Bureau du surintendant et du Secteur des services intégrés est la plus élevée (4,32 et 4,28 respectivement); vient ensuite le Secteur de la réglementation (4,21). Les cotes obtenues par le personnel des bureaux de Vancouver et de Montréal et par celui du Bureau de l’actuaire en chef sont légèrement plus faibles (4,11, 4,01 et 4,01 respectivement). Les employés du Secteur des institutions de dépôts, du Secteur de la surveillance des sociétés d’assurances et du Groupe de soutien de la surveillance affichent les cotes moyennes les plus faibles (3,90, 3,82 et 3,75 respectivement). Les segments comparables à ceux de 2014 affichent des résultats très similaires au fil du temps, à l’exception du Bureau du surintendant, dont les chiffres ont légèrement diminué. La comparaison des secteurs/groupes avec le Bureau du surintendant ne vaut qu’au plan de l’orientation.

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Description du graphique ci-dessus : Mesure globale selon le secteur / groupe

Le graphique linéaire ci‑dessous donne une vue d’ensemble des résultats pour chaque thème et chaque secteur/groupe. On constate que le perfectionnement professionnel est le thème le moins bien noté; suivent ceux de la haute direction, de la conciliation travail/vie personnelle et de la gestion du rendement. Le supérieur immédiat et les langues officielles sont les thèmes les mieux notés. En examinant la concentration ou la dispersion des lignes pour un thème donné, on constate aussi que l’engagement envers le BSIF et les orientations de l’organisation sont les thèmes recueillant le plus de réponses favorables entre les divers secteurs/groupes. Si l’on examine les différentes lignes du graphique, les employés du Bureau du surintendant, du Secteur des services intégrés et du Secteur de la réglementation sont les plus positifs et ceux du Groupe de soutien de la surveillance, du Secteur de la surveillance des institutions de dépôts et du Secteur de la surveillance des sociétés d’assurances, les moins positifs.

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Description du graphique ci-dessus : Résultats thématiques selon le secteur / groupe

4. Résultats détaillés

4.1 Engagement envers le BSIF

Les employés demeurent fortement engagés envers le BSIF. Dans la plupart des cas, les employés accordent des notes élevées similaires comparativement aux années précédentes pour l’ensemble des mesures de l’engagement. Ainsi, 9 employés sur 10 se disent fiers de travailler au BSIF et très peu sont en désaccord, ce qui est similaire au résultat de 2014.

Presque tous les employés du BSIF disent entretenir des relations professionnelles positives avec leurs collègues (96 % sont d’accord, dont 70 % sont tout à fait d’accord). Les répondants sont presque aussi nombreux à estimer que leur travail est utile, mais cet avis est un peu moins fermement partagé (87 % sont d’accord; 49 % le sont tout à fait). La proportion d’employés qui recommanderaient le BSIF comme un bon milieu de travail (8 sur 10) a légèrement fléchi depuis 2014 (50 % sont tout à fait d’accord, contre 54 % en 2014).

Les trois quarts des employés du BSIF sont satisfaits de leur emploi (76 % sont d’accord; 40 % le sont tout à fait), alors qu’un employé sur sept environ pense le contraire. Plus de la moitié n’ont pas l’intention de chercher un emploi à l’extérieur du BSIF au cours des 12 prochains mois, soit un peu moins que les 61 % qui étaient de cet avis en 2014; c’est la première fois depuis 2008 que la proportion de répondants qui prévoient chercher un emploi à l’extérieur a augmenté. Trois employés sur quatre ont le sentiment d’être appréciés (71 % sont d’accord dont 37 % sont tout à fait d’accord) et estiment que l’on fait bon usage de leurs compétences, de leur savoir et de leur expérience (77 % sont d’accord; 39 % sont tout à fait d’accord).

On peut comparer les résultats des employés du BSIF à ceux des questions similaires contenues dans le Sondage auprès des fonctionnaires fédéraux (SAFF). La proportion d’employés du BSIF qui ont des relations professionnelles positives avec leurs collègues (96 %) est semblable à celle des répondants du SAFF (94 %); il en va de même de la satisfaction globale à l’égard de l’emploi (76 % au BSIF, 79 % pour les répondants du SAFF). Les employés du BSIF (90 %) sont nettement plus fiers de leur organisation que les répondants du SAFF (64 %), ils sont plus susceptibles de recommander leur organisation comme un bon milieu de travail (80 % au BSIF contre 63 % pour les répondants au SAFF), et ils sont plus enclins à estimer que leur travail est utile (87 % au BSIF contre 79 % pour les répondants au SAFF). Le pourcentage d’employés qui disent chercher un nouvel emploi est plus élevé au BSIF (23 %) que chez les répondants du SAFF (8 %).

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Description du graphique ci-dessus : Engagement envers le BSIF

Même si plusieurs employés se sont dits satisfaits au travail, dans les commentaires, certains ont expliqué de diverses façons la raison pour laquelle ils ne se sentent actuellement pas très engagés envers le BSIF. Les raisons les plus souvent invoquées sont que la rémunération est inférieure à la norme de l’industrie, que les employés estiment ne pas utiliser pleinement leur talent au travail, qu’il semble que les possibilités d’avancement sont insuffisantes et que le processus bureaucratique plus lourd limite l’efficacité des tâches quotidiennes. Certains répondants ont aussi indiqué ne pas aimer le nouvel environnement au BSIF et ce sont souvent les employés insatisfaits de la charge de travail et estimant qu’ils pouvaient avant mieux concilier le travail et la vie personnelle qui ont formulé ce genre de commentaire.

4.2 Orientations de l’organisation

En général, les employés jugent favorablement les orientations de l’organisation, sous l’effet en grande partie de la confiance qu’ont les employés de comprendre le mandat et les valeurs du BSIF et de leur volonté d’aider leurs collègues d’autres unités de travail lorsque l’occasion se présente (76 % à 82 % d’entre eux sont tout à fait d’accord avec ces trois mesures)1. De plus, 9 employés sur 10 comprennent les priorités de leur propre secteur/groupe (55 % sont tout à fait d’accord). Les résultats des trois mesures reprises du sondage de 2014 (mandat, valeurs et priorités) sont comparables ou supérieurs à ceux des sondages précédents auprès des employés du BSIF.

D’après 87 % des employés, il est possible d’obtenir la collaboration et la coopération des collègues lorsqu’on en fait la demande (44 % sont tout à fait d’accord). Les répondants sont un peu moins nombreux à dire que les gens qui travaillent au BSIF attestent les valeurs de l’organisation (83 % sont d’accord; 40 % sont tout à fait d’accord), ce qui est conforme au résultat de 2014. Un peu plus de 3 employés sur quatre estiment aussi que, dans l’ensemble, le milieu de travail au BSIF est positif (77 % sont d’accord; 37 % sont tout à fait d’accord), mais ce dernier chiffre est un peu plus bas qu’en 2014 alors que 42 % étaient tout à fait d’accord.

Tout comme lors des deux derniers sondages, les employés sont moins positifs à propos de la capacité du BSIF de gérer le changement organisationnel. Même si une faible majorité estiment que le BSIF s’en tire bien à ce chapitre (51 %, mais seulement 16 % sont tout à fait d’accord), bon nombre de répondants sont en désaccord (35 %) ou n’ont pas d’opinion (16 %).

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Description du graphique ci-dessus : Orientations de l’organisation

D’après les commentaires, les répondants ont certaines préoccupations à l’égard des orientations du BSIF. Plusieurs employés disent que leurs collègues n’attestent pas les valeurs préconisées par le BSIF. La préoccupation la plus importante des répondants ayant formulé un commentaire a trait au respect de la personne. Dans la plupart des commentaires, ce sont les directeurs et leurs supérieurs qui manquent de respect tandis que dans certains, ce sont les supérieurs immédiats ou les collègues. La lenteur du processus de dotation et la réduction de l’effectif, qui compliquent certains aspects du travail, par exemple, offrir et obtenir de l’aide, font également partie des problèmes soulevés. Ceci pourrait bien être le moteur du cloisonnement au BSIF qui, selon des commentaires, persiste malgré quelques remarques de petites améliorations depuis le dernier sondage. Même si les commentaires au sujet du changement organisationnel sont pour la plupart négatifs, les employés sont divisés quand il est question des récents changements technologiques. Pour certains employés, c’est l’exemple parfait du pire changement et pour d’autres, ils illustrent la façon dont doivent se dérouler tous les changements. Dans l’ensemble, il y a eu très peu de commentaires positifs dans cette section, mais quelques répondants ont profité de l’occasion pour décrire ce qu’ils apprécient dans le fait de travailler au BSIF.

4.3 Communication

Comme par les années passées, la plupart des employés estiment que la communication au sein de leur équipe est efficace, mais ils sont moins nombreux à être aussi positifs au chapitre de la communication au sein de leur secteur/groupe et de l’ensemble de l’organisation. Selon une très forte majorité de répondants, la communication au sein des équipes est efficace (84 %, dont 55 % sont tout à fait d’accord). Ils disent aussi être tenus au courant des questions qui ont une incidence sur leur équipe (80 %, dont 46 % sont tout à fait d’accord), bien que ce résultat soit légèrement moins bon qu’en 2014, alors que 51 % étaient tout à fait d’accord. Les employés estiment en outre généralement que la communication au sujet des questions qui ont une incidence sur leur secteur/groupe est bonne; près de 3 répondants sur 4 disent être tenus informés (73 %, dont 30 % sont tout à fait d’accord), ce qui est conforme aux résultats de 2014. Également comme en 2014, près des deux tiers des employés (65 %, dont 24 % sont tout à fait d’accord) disent être tenus au courant de l’orientation du BSIF. La plupart des répondants sont similairement positifs quant à l’efficacité de la communication entre les équipes de leur secteur/groupe (67 %, dont 22 % sont tout à fait d’accord), mais il faut noter que plus d’un employé sur cinq (21 %) pense le contraire.

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Description du graphique ci-dessus : Communication

Les commentaires formulés ont donné raison à la constatation quantitative que la communication à l’échelle des équipes fonctionne bien, mais qu’il y a au BSIF des domaines de communication qui laissent davantage à désirer. Le point le plus souvent mentionné comme devant être amélioré a trait au mince filet de communication de la direction aux échelons plus bas de l’organisation. En outre, plusieurs employés ont laissé entendre que la communication entre les unités de travail n’est pas aussi ouverte et efficace que celle à l’intérieur des secteurs/groupes. Les répondants ont avancé des sources possibles du problème, par exemple, le nombre de changements récemment apportés, la lourde charge de travail qui leur est imposée et la séparation physique des membres des équipes (p. ex., Toronto et Ottawa).

4.4 Gestion du rendement

Comme lors des sondages précédents, les avis des employés au sujet de la gestion du rendement sont partagés. La plupart des employés disent recevoir une rétroaction de leur supérieur immédiat au moment opportun (82 %, dont 57 % sont tout à fait d’accord). La majorité des employés (83 %, dont 53 % sont tout à fait d’accord) disent comprendre les critères utilisés pour évaluer leur rendement au travail. La plupart des employés (78 %, dont 47 % sont tout à fait d’accord) disent aussi qu’ils comprennent le lien entre leur évaluation de rendement et leur rémunération. Toutes ces mesures sont conformes aux résultats de 2014.

Les résultats pour d’autres mesures de la gestion du rendement sont plus mitigés et sont en légère baisse comparativement à ceux de 2014. Alors qu’un peu plus de 6 employés sur 10 (63 %, dont 32 % sont tout à fait d’accord) disent recevoir des signes de reconnaissance concrets lorsque leur travail est de qualité, plus d’un employé sur cinq (24 %) pense le contraire. Près de 6 répondants sur 10 (61 %, dont 29 % sont tout à fait d’accord) disent que le processus d’examen du rendement les aide à fixer des objectifs pour améliorer leur rendement, mais plus de 1 sur 5 (24 %) pense le contraire. Ce résultat est similaire à celui de 2014.

Les résultats les moins positifs touchent la résolution des problèmes de mauvais rendement au travail, question qui a aussi été soulignée lors de sondages précédents. Plus de la moitié (55 %), dont 24 % sont tout à fait d’accord) disent que leur supérieur immédiat réussit bien à résoudre les problèmes de mauvais rendement. La proportion d’employés en désaccord est d’environ 1 sur 5 (17 %), mais près de 3 sur 10 (29 %) ne sont ni d’accord ni en désaccord à l’égard de cette mesure. Les réponses au sujet de l’incidence du mauvais rendement sur le volume et/ou la qualité du travail sont partagées. Pour 4 répondants sur 10 (40 %), le mauvais rendement des autres nuit à leur volume de travail et/ou à la qualité de leur travail; cette proportion est un peu plus élevée que celle des répondants qui estiment que ce facteur ne nuit pas à leur travail (36 %). Un employé sur quatre (25 %) n’est ni d’accord ni en désaccord avec cette mesure. Ces deux résultats sont très similaires à ceux de 2014.

Comparativement aux données du SAFF (72 %), les employés du BSIF (82 %) sont plus susceptibles de bien noter la rétroaction de leur supérieur immédiat. Ils sont aussi plus portés à dire que leur supérieur immédiat réussit à bien résoudre les problèmes de mauvais rendement (55 % au BSIF contre 38 % pour les répondants du SAFF). Les répondants du BSIF (83 %) et ceux du SAFF (79 %) sont également positifs sur la question de savoir comment leur travail est évalué, et semblablement partagés pour ce qui est de recevoir des signes de reconnaissance concrets (63 % au BSIF contre 57 % pour les répondants du SAFF).

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Description du graphique ci-dessus : Gestion du rendement

D’après les commentaires, les répondants appuient dans une certaine mesure les constatations positives de l’analyse quantitative. Plusieurs employés ont indiqué être heureux des mesures prises par le supérieur immédiat; en fait, bien des employés qui se sont dits satisfaits de leur supérieur prétendent qu’il faudrait leur donner plus de contrôle sur le processus de gestion du rendement qu’aux directeurs généraux qui ne connaissent peut-être pas aussi bien le travail de leurs employés. Les répondants ont indiqué plusieurs problèmes avec le processus de gestion du rendement courant qui est, selon eux, dispendieux et long. Les répondants se sont souvent plaints que les gestionnaires sont trop occupés par les tâches de gestion du rendement tandis que d’autres abandonnent complètement ces tâches. Une impression de manque de reconnaissance appropriée est un thème important dans les commentaires, spécialement compte tenu de la disparition du programme de récompense et reconnaissance.

Parmi les répondants, 30 % disent avoir des subalternes directs, et 73 % d’entre eux estiment avoir le soutien dont ils ont besoin pour régler les problèmes de rendement (37 % sont tout à fait d’accord).

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Description du graphique ci-dessus : Mesures de soutien des gestionnaires

Les employés ayant indiqué avoir des subalternes directs ont été invités à expliquer le genre de soutien qu’ils reçoivent pour résoudre les problèmes de rendement de la part des personnes qu’ils supervisent. Quatorze (14) personnes ont présenté des commentaires qui sont semblables à certaines des réponses à l’énoncé « Mon supérieur immédiat réussit bien à résoudre les problèmes de mauvais rendement au travail », c’est-à-dire que plusieurs commentaires montrent du doigt la longueur et la complexité du processus à cette fin. Ces supérieurs ont aussi indiqué ne pas avoir les outils et les ressources nécessaires pour régler ces problèmes.

4.5 Perfectionnement professionnel

Même si les résultats des employés du BSIF au chapitre de la plupart des mesures du perfectionnement professionnel sont raisonnablement solides et cohérents depuis 2012, les perceptions à propos des affectations et des mutations se sont progressivement détériorées au fil du temps. La plupart des employés reçoivent la formation dont ils ont besoin pour faire leur travail (70 % sont d’accord, dont 37 % sont tout à fait d’accord); reçoivent de l’encadrement au bureau (66 % sont d’accord, dont 31 % sont tout à fait d’accord); et ont à leur disposition des outils et des ressources du BSIF pour prendre leur perfectionnement professionnel en main (63 % sont d’accord, dont 26 % sont tout à fait d’accord). De façon générale, les notes moyennes de ces trois mesures sont stables par rapport aux éditions précédentes du sondage.

Alors que la moitié des employés du BSIF estiment (50 % sont d’accord, dont 25 % sont tout à fait d’accord) que le processus de sélection du candidat à nommer à un poste est équitable, près du tiers pensent le contraire (31 % sont en désaccord, dont 14 % sont tout à fait en désaccord), et la cote moyenne de cette mesure est légèrement moindre qu’en 2014.

Seule une minorité d’employés du BSIF disent qu’il y a suffisamment de possibilités d’affectation et de mutation (32 % sont d’accord, dont 10 % sont tout à fait d’accord), alors que près de la moitié pensent le contraire (48 % sont en désaccord, dont 21 % sont tout à fait en désaccord). La proportion d’employés qui sont tout à fait d’accord avec les mesures a diminué comparativement à 15 % en 2014; la cote moyenne a aussi quelque peu fléchi.

Les employés du BSIF (70 %) sont plus enclins que les répondants du SAFF (63 %) à dire qu’ils reçoivent la formation dont ils ont besoin pour faire leur travail; ils sont aussi plus portés à dire qu’ils disposent d’outils pour faciliter leur perfectionnement professionnel (63 % pour le BSIF contre 52 % pour les répondants au SAFF). Les employés du BSIF sont moins susceptibles (66 %) de dire qu’ils reçoivent de l’encadrement au travail que ne le sont les répondants au SAFF (72 %); ils sont aussi moins portés à croire que le processus de sélection du candidat à nommer à un poste est équitable (50 % au BSIF contre 57 % pour les répondants au SAFF), et qu’il y a suffisamment de possibilités d’affectation et de mutation dans leur organisation (32 % au BSIF contre 42 % pour les répondants au SAFF).

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Description du graphique ci-dessus : Perfectionnement professionnel

Les commentaires au sujet du perfectionnement professionnel illustrent quelques préoccupations dominantes chez les employés du BSIF, notamment le temps et le budget consacrés à la formation, les ressources offertes aux recrues et groupes spécialisés et la qualité et la disponibilité de la formation. Certains employés estiment que la formation à l’externe ne semble pas être un processus selon les besoins. Quelques répondants ont aussi fait des remarques sur la qualité de la formation à l’interne, laissant entendre que malgré leurs solides connaissances techniques, les présentateurs n’excellent pas toujours dans l’art de transmettre l’information pour qu’elle soit facile à comprendre. D’après les réponses, certains employés sont insatisfaits de la mesure dans laquelle leur gestionnaire leur offre du mentorat et de l’encadrement. Ils pensent aussi que l’avancement est une question de préférence du gestionnaire qui engage et pas nécessairement de mérite.

4.6 Conciliation travail/vie personnelle

Comme en 2014, les employés sont très positifs quant au soutien de leur supérieur immédiat à l’égard de la conciliation travail/vie personnelle (85 % sont d’accord, dont 66 % sont tout à fait d’accord). De même, la proportion de répondants qui estiment que les politiques et les pratiques du BSIF contribuent à cet équilibre (80 % sont d’accord, dont 43 % sont tout à fait d’accord) est relativement stable depuis 2014 après avoir sensiblement diminué entre 2012 et 2014.

Tout comme en 2014, la plupart des employés disent que leur supérieur immédiat appuie leur participation aux initiatives et aux activités du programme de bien‑être (80 % sont d’accord, dont 62 % sont tout à fait d’accord) les modalités de travail flexibles si les besoins du service le permettent (83 % sont d’accord, dont 61 % sont tout à fait d’accord). La majorité des répondants estiment en outre que le BSIF offre des ressources appropriées pour les aider à surmonter les difficultés que présente la conciliation de leur vie professionnelle, de leur vie familiale et de leur vie personnelle (81 % sont d’accord, dont 50 % sont tout à fait d’accord)2.

Les résultats au chapitre de l’impact de la charge de travail et des priorités changeantes sur la qualité du travail sont moins bons que ceux, plus positifs, qui caractérisent les mesures en place pour faciliter la conciliation travail/vie personnelle. Même si plus de la moitié des employés disent (56 %, dont 31 % sont tout à fait d’accord) qu’ils ne subissent pas beaucoup de tension dans leur milieu de travail, plus du quart des répondants pensent le contraire (27 %). Résultat encore moins positif, près de la moitié des répondants estiment (48 %, dont 21 % sont tout à fait d’accord) que leur charge de travail n’affecte pas la qualité de leur travail, mais plus de 3 répondants sur 10 pensent le contraire (33 %, dont 12 % sont tout à fait en désaccord). Dans des proportions à peu près identiques, près de la moitié des employés (48 %, dont 21 % sont tout à fait d’accord) disent qu’ils ne subissent pas fréquemment de tension parce que leur charge de travail rend difficile la conciliation travail/vie personnelle, alors que plus de 3 répondants sur 10 soutiennent le contraire (34 %, dont 13 % sont tout à fait en désaccord). La moyenne globale des résultats de ces deux mesures est également en baisse comparativement à 2014.

La question dont les réponses sont les plus partagées a trait à l’impact des priorités qui changent souvent sur la qualité du travail. Près de 4 répondants sur 10 disent que ce facteur n’affecte pas la qualité de leur travail (41 %, dont 20 % sont tout à fait d’accord), et presque autant affirment le contraire (38 %, dont 12 % sont tout à fait en désaccord) alors que 21 % ne sont ni d’accord ni en désaccord.

Les employés du BSIF (85 %) sont plus susceptibles que les répondants du SAFF (71 %)3 de dire que leur supérieur immédiat appuie leurs efforts en vue de concilier leur travail et leur vie personnelle, quoique la question du SAFF ne fasse pas expressément référence au « supérieur ». Les employés du BSIF sont aussi plus enclins à dire qu’ils ont le soutien dont ils ont besoin pour concilier leur travail et leur vie personnelle (80 % au BSIF contre 71 % pour les répondants du SAFF). Des proportions similaires d’employés du BSIF (83 %) et de répondants du SAFF (78 %) disent que leur supérieur est favorable aux modalités de travail flexibles, et que les priorités changeantes nuisent à la qualité de leur travail (38 % au BSIF contre 40 % pour les répondants du SAFF). Les employés du BSIF (33 %) sont moins nombreux que les répondants du SAFF (48 %) à dire que la qualité de leur travail est affectée par leur charge de travail.

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Description du graphique ci-dessus : Conciliation travail/vie personnelle

Dans les commentaires, les répondants ont décrit leur charge de travail, la plupart se sentant écrasés par le volume de travail et quelques-uns se déclarant satisfaits. Les employés qui ont plus de travail qu’il est possible d’en faire en une semaine normale de travail, desquels on attend des heures supplémentaires et qui font face à un fardeau administratif sont tous des points semblables à ceux soulevés les années précédentes. Les employés disent avoir l’impression d’être davantage pressés pour achever les travaux cette année compte tenu du nombre d’employés réduit (récent roulement, congé de maladie, congé de maternité, etc.). Bien des répondants ont aussi mentionné que même si le BSIF offrait des horaires flexibles, y compris le télétravail et des semaines comprimées, ils ont l’impression de ne pas pouvoir en profiter à cause des pressions exercées par la direction; certains sont d’avis qu’il y a de grands écarts dans la façon dont les gestionnaires appliquent ces options à l’échelle de l’organisation.

4.7 Efficacité du leadership

a) Supérieur immédiat

Le leadership dont fait preuve le supérieur immédiat est encore jugé très favorablement; les résultats sont essentiellement les mêmes qu’en 2014. Une forte majorité d’employés disent qu’ils sont traités avec respect par leur supérieur immédiat (86 %, dont 70 % sont tout à fait d’accord), et qu’ils se sentent libres d’exprimer mon opinion et de formuler des recommandations (87 %, dont 67 % sont tout à fait d’accord). Au moins 8 répondants sur 10 sont d’accord avec toutes les autres mesures du leadership de leur supérieur immédiat, sauf pour ce qui est de posséder les bonnes habiletés en gestion du personnel pour pouvoir les diriger (78 % sont d’accord, dont 54 % sont tout à fait d’accord).

S’agissant des supérieurs immédiats, les employés du BSIF sont plus positifs à l’égard de toutes les mesures comparables à celles du SAFF. Ils sont plus enclins à dire qu’ils peuvent confier leurs inquiétudes à leur supérieur immédiat sans crainte de représailles (83 % au BSIF contre 45 % d’après le SAFF), à dire que leur supérieur demande le point de vue et les suggestions de ses employés (86 % au BSIF contre 62 % d’après le SAFF), et à dire que leur supérieur explique les motifs de ses décisions (81 % au BSIF contre 75 % d’après le SAFF).

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Description du graphique ci-dessus : Leadership : Supérieur immédiat

Les commentaires des répondants à propos des supérieurs immédiats sont parmi les plus positifs. Les répondants disent que leur supérieur est facile d’approche et respectueux, et qu’il possède de solides compétences techniques et en leadership. À l’instar des commentaires formulés dans la section sur la gestion du rendement, plusieurs employés prétendent qu’il faudrait donner à leur supérieur immédiat plus de pouvoirs. Même si de nombreux commentaires sont positifs, certains employés ont aussi indiqué certains problèmes face à leur supérieur immédiat; ils craignent se subir des représailles en exprimant une opinion contraire, et laissent entendre que leur supérieur n’est pas à l’écoute et que ses aptitudes en gestion des personnes laissent à désirer.

b) Cadres supérieurs

Bien que le niveau de satisfaction à l’égard de l’efficacité du leadership exercé par les cadres supérieurs demeure raisonnablement élevé, les résultats de toutes les mesures comparables à celles des sondages précédents ont quelque peu fléchi. Au moins 3 employés sur 4 disent que les cadres supérieurs attestent généralement les valeurs du BSIF, mais seulement 36 % sont tout à fait d’accord comparativement à 45 % en 2014. Une proportion similaire de répondants disent que les cadres supérieurs traitent les employés avec respect, mais ceux qui sont tout à fait d’accord sont moins nombreux (36 %, contre 45 % en 2014). Près de 6 employés sur 10 estiment que les cadres supérieurs se soucient davantage de la réussite de l’ensemble de l’organisme que de celle d’une personne ou d’un groupe, soit un peu moins qu’en 2014 (30 % sont tout à fait d’accord comparativement à 34 % en 2014).

Les deux tiers des employés disent faire confiance au Comité de direction (29 % sont tout à fait d’accord) et que l'information essentielle du Comité de direction est communiquée efficacement au personnel (26 % sont tout à fait d’accord). La même proportion de répondants disent que les cadres supérieurs sont des dirigeants solides (27 % sont tout à fait d’accord contre 31 % en 2014) et faire confiance à l’équipe des cadres supérieurs (26 % sont tout à fait d’accord).

Les employés sont quelque peu moins d’avis que la haute direction tient compte des points soulevés dans les sondages auprès des employés qu’ils ne l’étaient en 2014. Près des deux tiers des répondants sont d’accord (25 % sont tout à fait d’accord) comparativement à 71 % en 2014 (35 % étaient tout à fait d’accord).

Une faible majorité d’employés disent que les cadres supérieurs demandent le point de vue et les suggestions des autres (21 % sont tout à fait d’accord, contre 30 % en 2014), donnent des directives claires et uniformes (21 % sont tout à fait d’accord contre 26 % en 2014) et habilitent les employés à prendre des décisions et à leur donner suite (20 % comparativement à 25 % en 2014).

Les employés du BSIF (66 %) sont plus susceptibles de faire confiance à l’équipe des cadres supérieurs que les répondants du SAAF (53 %); ils sont aussi plus enclins à dire que l’information essentielle du Comité de direction est communiquée efficacement au personnel (65 % au BSIF contre 47 % d’après le SAAF), et que les cadres supérieurs tiennent compte des points soulevés dans les sondages auprès des employés (65 % au BSIF contre 46 % d’après le SAAF). Les employés du BSIF disent que les cadres supérieurs sont des dirigeants solides, et ce, dans une proportion similaire à celle des répondants au SAAF (66 % et 62 % respectivement).

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Description du graphique ci-dessus : Leadership : Haute direction et cadres supérieurs

Bien des répondants ont mentionné dans leurs commentaires qu’il est difficile de faire une évaluation générale de la haute direction, car il y a de grandes différences entre les gestionnaires et que plusieurs gestionnaires viennent tout juste d’être nommés au poste. Les employés qui ont émis une opinion dans leurs commentaires ont indiqué que certains cadres supérieurs manquent de respect, n’écoutent pas les idées, ne mobilisent pas leurs employés, n’habilitent pas les employés à prendre des décisions et ne font pas la promotion de l’initiative Un seul bureau.

4.8 Langues officielles

Pour la troisième fois depuis 2012, le sondage comprenait des questions au sujet des langues officielles en milieu de travail.

De façon générale, les employés du BSIF sont très positifs à l’égard des mesures de ce thème, et plus particulièrement de leur capacité de travailler avec leur supérieur immédiat dans la langue officielle de leur choix (94 % sont d’accord, dont 85 % sont tout à fait d’accord) et d’obtenir de la formation dans la langue officielle de leur choix (92 % sont d’accord, dont 80 % sont tout à fait d’accord). Quelle que soit la mesure considérée, plus de 8 employés sur 10 en ont une opinion positive. Les résultats sont plus mitigés en ce qui touche la compréhension de la Loi sur les langues officielles (LLO) dans son application au BSIF et la mesure où les cadres supérieurs se montrent solidaires des obligations de l’organisation en matière de respect de la LLO. Cela s’explique en partie du fait que les employés sont plus nombreux à n’être « ni d’accord ni en désaccord ». La proportion d’employés en désaccord avec les énoncés de ce thème est assez faible (10 % ou moins). Les résultats de ce thème sont conformes à ceux de 2014. Quelle que soit la mesure considérée, on observe des différences significatives entre anglophones et francophones. Les anglophones sont nettement plus positifs que les francophones à l’égard de la plupart des mesures à l’exception de la compréhension des obligations en lien avec la LLO, où la tendance est inversée.

Les employés du BSIF et les répondants au SAFF sont semblablement positifs à l’égard de la plupart des mesures visant les langues officielles. Les deux groupes disent se sentir libres de parler à leur supérieur dans la langue officielle de leur choix (94 % au BSIF contre 93 % d’après le SAFF), pouvoir obtenir de la formation dans la langue officielle de leur choix (92 % au BSIF contre 90 % d’après le SAFF), et être en mesure d’utiliser la langue officielle de leur choix lors des réunions (88 % au BSIF et d’après le SAFF) dans des proportions similaires. Comparativement aux répondants du SAFF, les employés du BSIF sont moins nombreux à dire qu’ils se sentent libres de rédiger des documents dans la langue officielle de leur choix (86 % et 93 % respectivement).

graphic 13

Description du graphique ci-dessus : Langues officielles

D’après les commentaires, certains employés ont le sentiment de ne pas pouvoir utiliser la langue de leur choix, car le processus est trop long quand leurs travaux doivent être revus par des employés unilingues; en fait, la rareté des employés bilingues à l’échelle de la direction est une plainte souvent mentionnée. Quelques anglophones ont dit ne pas avoir de problème à utiliser la langue de leur choix, mais craignent qu’il en soit autrement pour les francophones. La situation est particulièrement difficile pour les francophones qui se trouvent dans les bureaux du BSIF où la langue prédominante est l’anglais (p. ex., Toronto). Plusieurs employés estiment qu’il y a peu de services de soutien à la formation linguistique en français pour les anglophones. Quelques répondants en ont profité pour remercier le BSIF de tant se conformer à la LLO.

4.9 Appui à la diversité

Deux nouvelles mesures d’appui à la diversité en milieu de travail ont été ajoutées au sondage de 2016. Dans chaque cas, plus de 8 répondants sur 10 sont d’accord avec les énoncés. Ainsi, 83 % disent que le BSIF met en place des activités et des pratiques qui favorisent un milieu de travail diversifié (57 % sont tout à fait d’accord) et 84 % de répondants disent que le BSIF respecte les différences individuelles (55 % sont tout à fait d’accord).

graphic 14

Description du graphique ci-dessus : Appui à la diversité

Presque tous les employés ayant fait des commentaires au sujet de la diversité craignent que le concept n’existe que dans les échelons inférieurs de l’organisation et qu’il y ait un plafond de verre à l’échelle de la direction.

ANNEXE A
Lettre d’invitation

Sondage auprès des employés du BSIF – Édition 2016

Bonjour,

Le Bureau du surintendant des institutions financières a confié l'administration de l’édition 2016 du sondage auprès des employés au cabinet Les Associés de recherche EKOS.

Ce sondage a pour but de recueillir le point de vue des employés du BSIF au sujet de divers aspects de leur travail. Le Comité de direction du BSIF veut savoir ce qui va bien et quelles améliorations sont possibles et s’engage à donner suite à vos commentaires et idées.

Vos réponses vont demeurer strictement confidentielles (conformément à l'énoncé de confidentialité d’EKOS - cliquez sur le bouton que vous trouverez à chaque page pour le consulter). Les résultats du sondage ne seront présentés que sous forme de résumés réunissant les réponses d’au moins dix employés.

La valeur de ce sondage repose entièrement sur la participation des employés. Il ne vous faudra qu’une vingtaine de minutes pour le remplir au moment qui vous conviendra. Vous pourrez quitter le sondage pour y revenir plus tard, à l’endroit même du questionnaire où vous étiez en le quittant.

Nous vous demandons d'y répondre d’ici le 12 février.

Le BSIF informera les employés des conclusions du sondage au printemps.

Pour ouvrir le questionnaire, veuillez cliquer sur le lien que voici :

CLIQUEZ ICI (INSÉRER LE LIEN).

Si le lien ci-dessus ne fonctionne pas, veuillez copier-coller l'adresse URL suivante dans votre navigateur (INSÉRER L’ADRESSE URL).

Note : Ce lien unique est associé à votre courriel. Veuillez donc NE PAS FAIRE PARVENIR ce message ou ce lien à quelqu’un d’autre.

Si vous avez des questions au sujet de la façon de remplir le questionnaire ou pour y répondre par téléphone ou sur papier, veuillez appeler Jeremie Blanc, Les Associés de recherche EKOS, au 1-800-388-2873, ou lui écrire à jblanc@ekos.com. Si vous avez des questions au sujet du contenu du questionnaire (par exemple, son objectif, l'échéancier ou les motifs de questions précises), veuillez appeler Susan Galley (Les Associés de recherche EKOS) au 613-235-7215, poste 123. Tous les appels demeureront confidentiels.

Nous vous remercions à l'avance de votre participation.

Susan Galley,
vice-présidente,
Les Associés de recherche EKOS

ANNEXE B
LETTRE DE RAPPEL

Sondage auprès des employés du BSIF – Édition 2016

Bonjour,

Vous avez reçu, le 19 janvier 2016, un courriel du cabinet Les Associés de recherche EKOS, à qui le Bureau du surintendant des institutions financières a confié l'administration de l'édition 2016 du sondage auprès des employés.

Nous tenons à vous rappeler que vos commentaires sont précieux. Ce sondage a pour but de recueillir le point de vue des employés du BSIF au sujet de divers aspects de leur travail. Le Comité de direction du BSIF veut savoir ce qui va bien et quelles améliorations sont possibles et s'engage à donner suite à vos commentaires et idées.

Il ne vous reste qu'une journée! Nous vous demandons d'y répondre d’ici le 12 février.

Pour ouvrir le questionnaire, veuillez cliquer sur le lien que voici :

CLIQUEZ ICI (INSÉRER LE LIEN).

Si le lien ci-dessus ne fonctionne pas, veuillez copier-coller l'adresse URL suivante dans votre navigateur (INSÉRER L’ADRESSE URL).

Note : Ce lien unique est associé à votre courriel. Veuillez donc NE PAS FAIRE PARVENIR ce message ou ce lien à quelqu’un d’autre.

Vos réponses vont demeurer strictement confidentielles (conformément à l'énoncé de confidentialité d'EKOS - cliquez sur le bouton que vous trouverez à chaque page pour le consulter). Les résultats du sondage ne seront présentés que sous forme de résumés réunissant les réponses d'au moins dix employés.

Si vous avez des questions au sujet de la façon de remplir le questionnaire ou pour y répondre par téléphone ou sur papier, veuillez appeler Jeremie Blanc, Les Associés de recherche EKOS, au 1-800-388-2873, ou lui écrire à jblanc@ekos.com. Si vous avez des questions au sujet du contenu du questionnaire (par exemple, son objectif, l'échéancier ou les motifs de questions précises), veuillez appeler Susan Galley (Les Associés de recherche EKOS) au 613-235-7215, poste 123. Tous les appels demeureront confidentiels.

Nous vous remercions à l'avance de votre participation.
Susan Galley,
vice-présidente,

Les Associés de recherche EKOS

ANNEXE C
QUESTIONNAIRE DU SONDAGE

INTRO

Bienvenue au sondage auprès des employés du BSIF - édition 2016

Votre opinion compte!

Ce sondage a pour but de recueillir le point de vue des employés du BSIF au sujet de divers aspects de leur travail. Le Comité de direction du BSIF veut savoir ce qui va bien et quelles améliorations sont possibles et s'engage à donner suite à vos commentaires et idées.

Le lien qui se trouve dans l'invitation que vous avez reçue ne s'adresse qu'à vous; vous ne devez le transférer à personne.

Nous vous invitons à répondre aux questions en toute franchise, car c'est là que réside toute la valeur de cet exercice. Tout au long du questionnaire, vous aurez la possibilité d'étoffer vos réponses et de formuler des réflexions, et nous vous encourageons à vous exprimer librement. Vos réponses demeureront strictement confidentielles (conformément à l'énoncé de confidentialité d'EKOS).

Vous avez jusqu'au 12 février 2016 pour remplir le questionnaire.

La confidentialité est assurée

EKOS fait partie de l'Association de la recherche et de l'intelligence marketing (ARIM (insérer le lien), et il souscrit aux principes du code de déontologie (insérer le lien) de l'ARIM. Conformément aux normes de pratique professionnelle qui régissent les sondages d'opinion dans les secteurs public et privé, EKOS ne dévoilera AUCUNE réponse individuelle à qui que ce soit au BSIF; les réponses seront fournies sous forme de rapport sommaire de données agrégées.

Les questions qui se trouvent à la fin du sondage ont pour but d'aider le BSIF à comprendre si la perception de l'organisation varie en fonction de caractéristiques démographiques particulières; les données recueillies aideront la direction à élaborer des plans d'action efficaces et adaptés au milieu de travail auquel ils sont destinés. Nous espérons que vous accepterez d'y répondre pour que les résultats du sondage donnent lieu à des interventions concrètes. Pour assurer l'anonymat des répondants, les résultats du sondage seront agrégés en sous-groupes fondés sur au moins dix réponses fournies par des personnes ayant au moins un facteur démographique en commun.

Pour obtenir de plus amples renseignements, consultez l'énoncé de confidentialité d'EKOS (insérer le lien) (ou cliquez sur Confidentialité, au bas de toutes les pages).

Comment remplir le sondage

Le questionnaire comporte onze sections, et il vous faudra une vingtaine de minutes pour répondre à toutes les questions.

Certaines questions, y compris celles qui visent à recueillir des renseignements de nature démographique, portent sur votre unité de travail ou votre équipe. Veuillez formuler vos réponses en songeant au groupe auquel vous avez été affecté le plus longtemps en 2015.

Vous pouvez répondre à toutes les questions d'une seule traite ou par section. Si vous fermez le questionnaire avant d'avoir terminé, vos réponses seront enregistrées et, lorsque vous l'ouvrirez de nouveau, il s'affichera à l'endroit où vous étiez rendu. Certains termes sont définis. Cliquez ici (insérer le lien) pour en consulter la liste, ou passez le curseur de votre souris (sans cliquer) sur les termes soulignés pour en voir la définition à mesure que vous répondrez aux questions. Toutes les questions offrent une option de réponse « Ne sais pas / Sans objet ». Veuillez choisir cette réponse si vous estimez ne pas posséder les connaissances nécessaires pour répondre à la question ou si elle ne cadre pas avec votre situation. Vous pouvez poursuivre le sondage dans l'une ou l'autre des langues officielles en cliquant n'importe quand sur le lien du coin supérieur droit. Vous pouvez passer à une version accessible du sondage en cliquant sur le lien du coin supérieur droit.

Pour nous joindre

Si vous avez des questions au sujet de la façon de remplir le questionnaire ou pour y répondre par téléphone ou sur papier, veuillez appeler Jeremie Blanc à EKOS au 1-800-388-2873, ou lui écrire à jblanc@ekos.com. Si vous avez des questions au sujet ducontenu du questionnaire (par exemple, son objectif, l'échéancier ou les motifs de questions précises), veuillez appeler Susan Galley (EKOS) au 613-235-7215, poste 123. Tous les appels demeureront confidentiels.

PQ1
SECTION I : ORIENTATIONS DE L'ORGANISATION

Dans quelle mesure êtes-vous d'accord avec les énoncés suivants?

Je comprends...

Rappel : passez le curseur de votre souris (sans cliquer) sur les termes soulignés pour en voir la définition à mesure que vous répondrez aux questions.

Q1
... le mandat du BSIF.

Q2
les valeurs du BSIF.

Q3
...les priorités de mon secteur/groupe.

Q4
En règle générale, les gens qui travaillent au BSIF attestent des valeurs fondamentales du BSIF.

Q5
En tant qu'organisation, le BSIF parvient à bien gérer le changement organisationnel (p. ex., modification des structures hiérarchiques et des niveaux de dotation en personnel, renouvellement des technologies).

Q6A
Mes collègues à l'extérieur de mon groupe de travail collaborent et coopèrent avec moi lorsque je leur en fais la demande.

Q6B
Quand les circonstances s'y prêtent, je m'empresse d'offrir de l'aide à mes collègues à l'extérieur de mon groupe de travail.

Q9 [0,2]
Avez-vous des commentaires ou des suggestions à ce sujet? (question facultative)

PQ9
SECTION II : COMMUNICATION

Dans quelle mesure êtes-vous d'accord avec les énoncés suivants?

PQ7
La communication est efficace...

Q7
...
entre les membres de mon équipe (c'est-à-dire, mon unité de travail immédiate).
Vos réponses doivent être fondées sur votre expérience de travail auprès du groupe auquel vous avez été affecté le plus longtemps en 2015.

Q8
...entre les équipes de mon secteur/groupe.

PQ9T
On me tient au courant

Q10
...des questions qui ont une incidence sur mon équipe.
Vos réponses doivent être fondées sur votre expérience de travail auprès du groupe auquel vous avez été affecté le plus longtemps en 2015.

Q11
...des questions qui ont une incidence sur mon secteur/groupe.

Q12
...de l'orientation du BSIF (à un horizon de un à trois ans).

Q13 [0,2]
Avez-vous des commentaires ou des suggestions à ce sujet? (question facultative)

PQ14
SECTION III : GESTION DU RENDEMENT

Dans quelle mesure êtes-vous d'accord avec les énoncés suivants?

Vos réponses doivent être fondées sur votre expérience de travail auprès du groupe auquel vous avez été affecté le plus longtemps en 2015.

Q14
Je reçois de la rétroaction de mon supérieur immédiat au moment opportun.

Q15
Je comprends les critères utilisés pour évaluer mon rendement au travail.

Q16
Je comprends les liens entre l'évaluation de rendement et mon niveau de rémunération.

Q17
L'examen du rendement m'a aidé à fixer des objectifs pour améliorer mon rendement.

Q18
Je reçois des signes de reconnaissance concrets lorsque mon travail est de qualité.

Q19
Le mauvais rendement des autres nuit à mon volume de travail et/ou à la qualité de mon travail.

Q20
Mon supérieur immédiat réussit bien à résoudre les problèmes de mauvais rendement au travail.

Q20X [0,2]
Avez-vous des commentaires ou des suggestions à ce sujet? (question facultative)

Q15B [0,2]

Si... Q15 = 1,2
Veuillez expliquer votre réponse ci-après si vous le souhaitez ou suggérer des améliorations possibles relatives à l'énoncé « Je comprends les critères utilisés pour évaluer mon rendement au travail. »

Q20B [0,2]
Si... Q20 = 1,2

Veuillez expliquer votre réponse ci-après si vous le souhaitez ou suggérer des améliorations possibles relatives à l'énoncé « Mon supérieur immédiat réussit bien à résoudre les problèmes de mauvais rendement au travail. »

PQ21
SECTION IV : PERFECTIONNEMENT PROFESSIONNEL

Dans quelle mesure êtes-vous d'accord avec les énoncés suivants?

Q21
Je reçois la formation (à l'interne et à l'externe) dont j'ai besoin pour faire mon travail.

Q22
L'encadrement que je reçois au bureau me permet d'améliorer ma façon de travailler.

Q23
Le BSIF met à ma disposition les outils et les ressources dont j'ai besoin pour prendre mon perfectionnement professionnel en main.

Q24
Il y a suffisamment de possibilités d'affectation et de mutation au BSIF.

Q25
Le processus de sélection du candidat à nommer à un poste est équitable au BSIF.

Q27 [0,2]
Avez-vous des commentaires ou des suggestions à ce sujet? (question facultative)

Q21B [0,2]
Si... Q21 = 1,2

Veuillez expliquer votre réponse ci-après si vous le souhaitez ou suggérer des améliorations possibles relatives à l'énoncé « Je reçois la formation (à l'interne et à l'externe) dont j'ai besoin pour faire mon travail. »

PQ28
SECTION V : SUPÉRIEUR IMMÉDIAT

Dans quelle mesure êtes-vous d'accord avec les énoncés suivants?
Vos réponses doivent être fondées sur votre expérience de travail auprès du groupe auquel vous avez été affecté le plus longtemps en 2015.
En règle générale, mon supérieur immédiat :

Q28
...possède les bonnes habiletés en gestion du personnel pour pouvoir me diriger.

Q29
...possède les bonnes habiletés techniques pour pouvoir me diriger.

Q30
.. .demande le point de vue et les suggestions de ses employés.

Q31
...donne suite aux suggestions de ses employés.

Q32
...explique les motifs de ses décisions à ses employés.

Q33
...accorde à ses employés la marge de manoeuvre nécessaire pour prendre des décisions et leur donner suite.

Q34
...encourage les membres de son équipe à collaborer entre eux.

Q35
...encourage les équipes du BSIF à collaborer entre elles.

Q36
...me traite avec respect.

Q37
En règle générale, je me sens libre d'exprimer mon opinion et de formuler des recommandations à mon supérieur immédiat au sujet des questions et des tâches qui m'incombent.

Q38
Je sais que je peux confier mes inquiétudes à mon supérieur immédiat sans crainte de représailles.

Q39 [0,2]
Avez-vous des commentaires ou des suggestions à ce sujet? (question facultative)

PQ40
SECTION VI : HAUTE DIRECTION ET CADRES SUPÉRIEURS

Dans quelle mesure êtes-vous d'accord avec les énoncés suivants?

Q40
Je fais confiance au Comité de direction du BSIF.

Q41
Je fais confiance à l'équipe des cadres supérieurs du BSIF.

Q42
L'information essentielle du Comité de direction est communiquée efficacement au personnel.

PQ43
Les cadres supérieurs du BSIF.

Q43
...sont des dirigeants solides.

Q44
...donnent des directives claires et uniformes.

Q45
...demandent le point de vue et les suggestions des autres.

Q46
...habilitent les employés à prendre des décisions et à leur donner suite.

Q47
...se soucient davantage de la réussite de l'ensemble de l'organisme que de celle d'une personne ou d'un groupe.

Q48
...traitent les employés avec respect.

Q49
...attestent généralement des valeurs de l'organisme.

Q51 [0,2]
Avez-vous des commentaires ou des suggestions à ce sujet? (question facultative)

Q50A
Avez-vous actuellement des subalternes directs?

Q50B
Si... Q50A = 1
Je reçois le soutien dont j'ai besoin pour chercher à résoudre les problèmes de rendement insatisfaisant.

Q50C [0,2]
Si... Q50B = 1,2

Veuillez expliquer votre réponse ci-après si vous le souhaitez ou suggérer des améliorations possibles relatives à l'énoncé « Je reçois le soutien dont j'ai besoin pour chercher à résoudre les problèmes de rendement insatisfaisant. »

Q50D [0,2]
Si... Q50B = 1,2

PQ52
SECTION VII : LANGUES OFFICIELLES / DIVERSITÉ

Dans quelle mesure êtes-vous d'accord avec les énoncés suivants?

Q52
Je comprends mes obligations au BSIF aux termes de la Loi sur les langues officielles dans le cadre de mes échanges tant avec les employés du BSIF qu'avec les gens de l'extérieur.

Q53
Les cadres supérieurs du BSIF se montrent solidaires des obligations du BSIF en matière de respect de la Loi sur les langues officielles.

Q54
Lorsque je rédige des documents à usage interne, y compris des courriels, je me sens libre de le faire dans la langue officielle de mon choix. (Cet énoncé ne s'applique pas aux documents distribués à l'extérieur du BSIF.)

Q55
Durant les réunions de service, je me sens libre d'utiliser la langue officielle de mon choix.
Vos réponses doivent être fondées sur votre expérience de travail auprès du groupe auquel vous avez été affecté le plus longtemps en 2015.

Q56
Lorsque je communique avec mon supérieur immédiat, je me sens libre de le faire dans la langue officielle de mon choix.
Vos réponses doivent être fondées sur votre expérience de travail auprès du groupe auquel vous avez été affecté le plus longtemps en 2015.

Q57
Le BSIF offre de la formation dans la langue officielle de mon choix.

Q58
Le BSIF met en place des activités et des pratiques qui favorisent un milieu de travail diversifié.

Q59
Je crois que le BSIF respecte les différences individuelles.

Q60 [0,2]
Avez-vous des commentaires ou des suggestions à ce sujet? (question facultative)

PQ61
SECTION VIII : CONCILIATION DU TRAVAIL ET DE LA VIE PERSONNELLE

Dans quelle mesure êtes-vous d'accord avec les énoncés suivants?
Vos réponses doivent être fondées sur votre expérience de travail auprès du groupe auquel vous avez été affecté le plus longtemps en 2015.

Q61
Les politiques et les pratiques du BSIF m'aident à concilier ma vie professionnelle, ma vie familiale et ma vie personnelle.

Q62
Mon supérieur immédiat se montre solidaire de mes efforts en vue de concilier ma vie professionnelle, ma vie familiale et ma vie personnelle, et il applique les politiques du BSIF au besoin.

Q63
Si les besoins du service le permettent, mon supérieur immédiat est favorable aux modalités de travail flexibles (p. ex., les heures flexibles, la semaine de travail comprimée et le télétravail).

Q64
Le BSIF offre des ressources appropriées (p. ex., le Programme d'aide aux employés et des initiatives de bien-être) qui m'aident à surmonter les difficultés que présente la conciliation de ma vie professionnelle, de ma vie familiale et de ma vie personnelle.

Q65
Mon supérieur immédiat est favorable à ma participation aux initiatives et aux activités du programme de bien-être.

Q66
J'éprouve souvent de la tension, car j'arrive difficilement à bien concilier mon travail et ma vie personnelle à cause de ma charge de travail.

Q67
J'estime que ma charge de travail nuit à la qualité de mon travail.

Q68
J'estime que les priorités qui fluctuent fréquemment nuisent à la qualité de mon travail.

Q68A [0,2]
Si... Q68 = 4,5

Veuillez expliquer votre réponse ci-après si vous le souhaitez ou suggérer des améliorations possibles relatives à l'énoncé « J'estime que les priorités qui fluctuent fréquemment nuisent à la qualité de mon travail. »

Q69
Combien d'heures travaillez-vous par semaine en moyenne?


Vos réponses doivent être fondées sur votre expérience de travail auprès du groupe auquel vous avez été affecté le plus longtemps en 2015.

Q70
Je suis considéré comme un.

Q71 [0,2]
Avez-vous des commentaires ou des suggestions à ce sujet? (question facultative)

PQ72
SECTION IX : ENGAGEMENT

Dans quelle mesure êtes-vous d'accord avec les énoncés suivants?

Q72
Je suis fier de travailler au BSIF.

Q73
J'entretiens des relations professionnelles positives avec mes collègues.
Vos réponses doivent être fondées sur votre expérience de travail auprès du groupe auquel vous avez été affecté le plus longtemps en 2015.

Q74
Je subis régulièrement beaucoup de tension dans mon milieu de travail.
Vos réponses doivent être fondées sur votre expérience de travail auprès du groupe auquel vous avez été affecté le plus longtemps en 2015.

Q75
Je recommanderais le BSIF à d'autres comme un bon milieu de travail.

Q76
Le BSIF fait bon usage de mes compétences, de mon savoir et de mon expérience.

Q77
J'ai le sentiment d'être apprécié au BSIF.

Q78
J'ai le sentiment que le travail que j'accomplis au BSIF est utile.

Q79
Tout compte fait, je suis satisfait de mon emploi.

Q80
J'ai l'intention de chercher du travail à l'extérieur du BSIF au cours des 12 prochains mois.

Q81 [0,2]
Avez-vous des commentaires ou des suggestions à ce sujet? (question facultative)

Q74B [0,2]
Si... Q74 = 4,5

Veuillez expliquer votre réponse ci-après si vous le souhaitez ou suggérer des améliorations possibles relatives à l'énoncé « Je subis régulièrement beaucoup de tension dans mon milieu de travail. »

PQ82
SECTION X : MILIEU DE TRAVAIL

Dans quelle mesure êtes-vous d'accord avec les énoncés suivants?

Q82
Dans l'ensemble, je dirais que le climat de travail du BSIF est positif.

Q83
Les cadres supérieurs du BSIF tiennent compte des points soulevés dans les sondages auprès des employés.

Q82B [0,2]
Si... Q82 = 1,2

Veuillez expliquer votre réponse ci-après si vous le souhaitez ou suggérer des améliorations possibles relatives à l'énoncé « Dans l'ensemble, je dirais que le climat de travail du BSIF est positif. »

Q84 [0,2]
Avez-vous des commentaires ou des suggestions à formuler sur des sujets autres que ceux dont traite déjà le présent sondage?

Q94
Les commentaires écrits des répondants offrent un contexte détaillé dans lequel situer certains des résultats d'un sondage comme celui-ci.

Les commentaires seront classés par groupe de travail et ne seront communiqués aux cadres supérieurs que si au moins dix remarques ont été formulées par les membres d'un groupe de travail (les commentaires formulés par les membres d'un groupe de travail particulier pourraient également être groupés avec ceux de collègues appartenant à une autre unité, de sorte qu'au moins dix commentaires soient fournis aux cadres). Dans aucun cas les commentaires pourront ils être attribués à des employés particuliers ni rattachés aux réponses autres.

Consentez-vous à ce que vos commentaires écrits soient communiqués aux cadres supérieurs du BSIF?

PQ85
SECTION XI : RENSEIGNEMENTS GÉNÉRAUX

Le volet qui suit est un élément important du sondage. Il nous aidera à comprendre si divers groupes d'employés ont des perceptions différentes de l'organisme. Nous vous encourageons à répondre à ces questions.

Nous vous donnons l'assurance que vos réponses seront traitées de façon confidentielle. En sa qualité de membre de l'Association de la recherche et de l'intelligence marketing (ARIM), EKOS souscrit à son code de déontologie, qui protège l'anonymat du répondant. Conformément aux normes de pratique professionnelle qui régissent les sondages d'opinion dans les secteurs public et privé, EKOS ne dévoilera AUCUNE réponse individuelle à qui que ce soit au BSIF.

Les réponses présentées dans le rapport établi par Les Associés de recherche EKOS seront tirées d'au moins 10 questionnaires remplis par des employés ayant au moins une caractéristique démographique en commun. Les réponses des plus petits groupes seront groupées avec celles d'un autre groupe afin d'assurer l'anonymat des répondants.

Nous vous remercions de bien vouloir répondre aux questions suivantes.

Q87
Depuis combien de temps travaillez-vous pour le BSIF?

Q88
À quelle catégorie d'employés appartenez-vous?

Q93
Pour que le BSIF puisse mettre en application ses plans sur les langues officielles, veuillez indiquer la langue officielle de votre choix.

PQ89
Les questions suivantes ont pour seul objet de recueillir des données d'analyse et ne doivent pas être confondues avec le questionnaire d'auto-identification que les Ressources humaines demandent aux employés de remplir aux fins de l'équité en matière d'emploi.

Nous vous donnons l'assurance que vos réponses seront traitées de façon confidentielle. Les réponses présentées dans le rapport établi par Les Associés de recherche EKOS seront tirées d'au moins 10 questionnaires remplis par des employés ayant au moins une caractéristique démographique en commun.

Q89
Êtes-vous :

Q90
Êtes-vous membre d'une minorité visible?

Q91
Êtes-vous un Autochtone?

Q92
Êtes-vous une personne handicapée?

Q85A
Quel est votre secteur / groupe?

Q85B
Si... Q85A n’est pas = 8,9,1,99

À quel groupe de travail avez-vous été affecté le plus longtemps en 2015?

Encore une fois, nous vous donnons l'assurance que vos réponses seront traitées de façon confidentielle, conformément au code de déontologie de l'ARIM. Les réponses présentées dans le rapport établi par Les Associés de recherche EKOS seront tirées d'au moins 10 questionnaires remplis par des employés d'un groupe de travail particulier. Les réponses des plus petits groupes seront groupées avec celles d'un autre groupe de travail afin d'assurer l'anonymat des répondants.

Q86
Si... Q85A n’est pas = 8,9,1 et Q85B n’est pas = 471,472

Où travaillez-vous?

THNK
Vos réponses au sondage ont été enregistrées. Nous vous remercions d'avoir pris le temps de répondre à ce questionnaire.

ANNEXE D
DÉTAILS DU TAUX DE PARTICIPATION

Répartition finale des résultats

Des 664 employés en poste au BSIF au moment de l’enquête, trois étaient impossibles à joindre et 599 ont rempli le questionnaire, ce qui représente un taux de participation de 90,6 %.

Règlement Nombre d’employés Pourcentage (%)
Nombre total de questionnaires envoyés 664 100
Retournés 3 0
Échantillon valide 661 --
Questionnaires remplis 599 90,6
Questionnaires incomplets 10 1,5
Non-réponse 52 8,1

Note de bas de pages

[1] Deux nouvelles mesures ont été ajoutées sous le thème « Orientations de l’organisation » en 2016 : « Quand les circonstances s’y prêtent, je m’empresse d’offrir de l’aide à mes collègues à l’extérieur de mon groupe de travail » et « Mes collègues à l’extérieur de mon groupe de travail collaborent et coopèrent avec moi lorsque je leur en fais la demande ».

[2] Aux fins de la présente enquête, la mesure « Le BSIF offre des ressources appropriées (p. ex., le Programme d’aide aux employés et LifeSpeak) qui m’aident à surmonter les difficultés que présente la conciliation de ma vie professionnelle, de ma vie familiale et de ma vie personnelle » a été remplacée par « Le BSIF offre des ressources appropriées (p. ex., le Programme d’aide aux employés et des initiatives de bien-être) qui m’aident à surmonter les difficultés que présente la conciliation de ma vie professionnelle, de ma vie familiale et de ma vie personnelle » afin de préciser le type de ressources en question.

[3] L’énoncé correspondant dans le SAFF est le suivant : « Je reçois du soutien au travail pour concilier mon travail et ma vie personnelle. ».