Age, physical trauma and care

Alex Robinson

Canadian Medical Association Journal 1995; 152: 1453-1455

[résumé]


Abstract

To cast light on the effects of aging on the metabolic responses to physical trauma an Ottawa researcher has studied strength and blood glucose metabolism in elderly people. He finds that because older people have less lean body mass, particularly muscle mass, than younger people, they are less able to tolerate trauma. They weaken faster and to a greater extent than younger patients who have experienced similar trauma, and they recover more slowly. At the same time, elderly people are less able to tolerate glucose, which is often given as part of their nutritional support. These findings have implications for care: the elderly trauma patient will be weaker than a younger counterpart, and nutrition will need to be provided early, with the glucose intolerance of elderly people borne in mind.

Résumé

Pour expliquer les effets du vieillissement sur les réactions du métabolisme aux traumatismes physiques, un chercheur d'Ottawa a étudié la force et le métabolisme du glucose dans le sang des personnes âgées. Il a constaté que parce que la masse corporelle maigre, et en particulier la masse musculaire, des personnes âgées est inférieure à celle des jeunes, elles sont moins capables de supporter les traumatismes. Elles s'affaiblissent plus rapidement et davantage que les jeunes patients victimes de traumatismes semblables et se rétablissent plus lentement. Par ailleurs, les personnes âgées sont moins capables de tolérer le glucose, qu'elles reçoivent souvent dans leur alimentation de soutien. Ces constatations ont des répercussions sur les soins : les patients âgés traumatisés seront plus faibles que les traumatisés plus jeunes et il faudra leur donner rapidement une alimentation de soutien, en tenant compte de l'intolérance au glucose chez les personnes âgées.
CMAJ May 1, 1995 (vol 152, no 9) / JAMC le 1er mai 1995 (vol 152, no 9)